
Le Pr Christian Perronne est l’invité de ce nouvel “Entretien essentiel” dans lequel il vient nous présenter son dernier ouvrage “Les 33 questions auxquelles ils n’ont toujours pas répondu”. L'occasion pour le médecin et professeur des universités de revenir sur les critiques dont il a fait l’objet au cours de la crise sanitaire, à l’image de plusieurs autres praticiens et scientifiques qui ont exprimé des opinions divergentes sur sa gestion, et d'énoncer les “plus gros scandales” de cette période. Après avoir établi ce panorama, il développe une démarche à suivre pour la suite.
Interrogé sur son œuvre, Christian Perronne explique son objectif : "Éclairer avec mes petits moyens les personnes qui sont restées libres par rapport à une espèce d'oppression (...). Je ne pouvais pas me taire face à tout ce que nous avons vu ces trois dernières années (...). Ils ont capturé beaucoup de cerveaux de Français." Cependant, il note : "De plus en plus de gens sont éveillés, je le vois dans ma rue quand ils me parlent (...). Cela montre que les Français ont compris qu’il faut que chacun agisse à son niveau pour refuser tout ce qu’on nous impose de manière complètement totalitaire”.
Le médecin a évoqué les virulentes critiques dont il a fait l’objet ces dernières années. “J’avais déjà une certaine expérience de ces attaques car bien avant, je me suis battu pour la reconnaissance de la maladie chronique de Lyme (...) Je m’étais opposé à des collègues, à des autorités". "J’étais un peu blindé”, rassure-t-il.
M. Perronne explique avoir constaté les mêmes “mécanismes de manipulation” qu'à l'époque où il militait pour la reconnaissance de la maladie de Lyme. “Lorsque j’ai vu la supercherie du covid apparaître dans tous les médias, j’ai constaté les mêmes mécanismes de manipulation des données de santé publique, la même manipulation des instances de recommandations, des grands journaux médicaux internationaux... Cela m’a sauté aux yeux...”, dit-il.
Et de revenir sur la gestion de la crise du Covid-19 : “On a fait peur aux Français (...) On a fait peur aux gens tous les jours. En juillet dernier, ce virus représentait 0.002% de mortalité. C’était une pandémie de peur, de manipulation, de scandales financiers qui éclatent de partout”. Il s’agit, poursuit encore Christian Perronne, d'un “petit groupe de milliardaires qui veut contrôler le monde et tout cela est coordonné par des agences privées de conseil, que le Sénat a cité. On voit que les mêmes décisions sont prises à Madrid, au Canada, en Australie, en Hongrie... Une coordination des décisions”.
Il évoque les trois “plus gros scandales” de son avis durant cette épidémie, à savoir “les restrictions et les menaces liées à l’utilisation des traitements qui marchent comme l'hydroxychloroquine", l’usage “de produits expérimentaux qu’ils ont appelé vaccin” et la surenchère médiatique et politique, créée “artificiellement”, autour des différentes vagues de l'épidémie.
Revenant à son livre, il explique qu’on “savait déjà que la pandémie allait arriver, que c’était organisé (...)”. Il cite le cas de l'hydroxychloroquine : “Dès le début, y avait déjà des études randomisées publiées en Chine qui l’avait comparé à un placebo et qui montrait la supériorité de l’hydroxychloroquine”. Puis notre invité cite aussi l’ivermectine et les pressions sur les chercheurs qui ont mené des études favorables aux deux traitements.
Christian Perronne estime qu’il “faut que tous les Français soient rassurés. Le covid est une maladie respiratoire comme d’autres. La mortalité est extrêmement faible. On rencontre des cas sévères avec des décès comme n’importe quel virus respiratoire”. Il appelle aussi à cesser “d'interdire de prescrire des traitements comme de l’hydroxychloroquine (...) des médecins ont été radiés pour cela (...) Les variants sont de plus en plus bénins (...) on s’aperçoit que cela devient une maladie courante. Toutes ces injections de pseudo-vaccins sont totalement inutiles (...)”, dit-il, rappelant que “ceux qui ont été vaccinés avant d’être contaminés ont fait face à des situations beaucoup plus graves”, citant également les cas de jeunes victimes de myocardites après avoir reçu les doses de vaccin.
Et d’ajouter : “Il ne faut pas toucher aux enfants (...) Ils font des formes bénignes et ne transmettent pas le virus (...) Faut rester zen. On va nous sortir d'autres causes de peur pour essayer de continuer à nous asservir mais les gens doivent se sentir libérés de cette pandémie”.
Abordant la pression que subissent des médecins qui ne suivent pas les recommandations adoptées par les autorités, Christian Perronne fait le parallèle avec la presse. Il rend hommage à FranceSoir, estimant que le retrait de l’agrément CPPAP doit être considéré comme “une légion d’honneur” : “On traite [FranceSoir] de la même manière qu’on a traité les médecins et les autres experts. Finalement, on voit que c’est une organisation globale pour augmenter la censure”.
/http%3A%2F%2Fwww.francesoir.fr%2Fsites%2Fdefault%2Ffiles%2F2022-12%2FMartine%20Wonner%2C%20m%C3%A9decin-psychiatre%2C%20ancienne%20d%C3%A9put%C3%A9e%20.jpg)
"C'est la première fois qu'il y a, à ce point, une chasse aux sorcières" Martine Wonner | FranceSoir
" La liberté d'opinion et d'expression d'un parlementaire se trouve sous l'emprise d'ordres juridictionnels qui portent atteinte à la fonction législative ", écrit dans un communiqué Me Brusa ...
/image%2F1213017%2F20150829%2Fob_934e51_sceau-10.jpg)
mivilud - Vouillé un peu d'Histoire
Contact : Administrateur@Henrydarthenay.com Blog : Vouillé un peu d'Histoire Description : Histoire, politique historique comparée, économie, finance, généalogie, techniques Moyen âge, Contact
Imaginez que l'on annonce une nouvelle grande pandémie virale... pic.twitter.com/CafQq5CJQ2
— Dr Stéphane GAYET (@gayets) November 29, 2022
Le Dr Gayet est moins connu que les Raoult, Perronne, Toussaint, Toubiana, Delépine, Henrion-Caude, ces stars des réseaux sociaux et du peuple français qui ont ouvert la voie à la résistance des scientifiques honnêtes contre la tyrannie covidique depuis maintenant presque trois ans.
Il est moins connu, mais il a repris le drapeau que d’autres ont lâché, ou partagé : ses interventions relayées sur Twitter sont un modèle de logique, d’humour et de pugnacité. Mais d’une pugnacité tranquille, qui a l’assurance d’avoir la vérité, ou du moins la justice avec elle.
Il est temps de relayer les sorties de ce docteur pas comme les autres (la masse soumise ou terrorisée par l’Ordre des médecins) qui tient la dragée haute à la désinformation officielle et aux injonctions des Véran et autres Braun, c’est-à-dire du Big Pharma.
Le Dr Gayet n’a évidemment rien à voir avec la Julie du même nom, qui est la maîtresse officielle de l’ex-président de la République, qui a d’ailleurs totalement disparu du paysage politique, comme si son contrat – un CDD de 5 ans – d’affaiblissement de la France était terminé.
D’abord, le Dr Gayet est une victime du covidisme en tant que soignant.
Dr Stéphane GAYET, à écouter attentivement et à diffuser partout.
Ce qui arrive au Docteur Stéphane GAYET est un scandale abominable. L'ordre des médecins doit vraiment disparaître... pic.twitter.com/P7Ze6VTlEC
— Victor Djamba (@VictorDjamba) November 13, 2022
Pourtant, ses analyses de la situation sanitaire et des effets extrêmement nocifs des injections sont à la fois claires et intéressantes :
Une découverte biologique récente, vraiment cruciale, nous permet de mieux comprendre pourquoi la protéine S du virus SARS-CoV-2, l'agent de la CoVid-19, provoque autant d'agressions de nos cellules sanguines et endothéliales (cellules de la face interne des vaisseaux sanguins). pic.twitter.com/SnAC6u1uOB
— Dr Stéphane GAYET (@gayets) November 23, 2022
Le Conseil de l’Ordre serait-il contre la logique scientifique et l’information du grand public ? Gayet expliquera le 24 novembre 2022 devant le Parlement européen situé dans sa ville pourquoi il a été radié.
Je serai interviewé, ce jeudi 24 novembre à 10 heures (heure GMT, fuseau horaire 0), au Parlement européen de Strasbourg, dans un petit auditorium, sur mon parcours professionnel juridictionnel ordinal, ayant abouti à ma radiation. Merci de partager. pic.twitter.com/P0PLQiwKP6
— Dr Stéphane GAYET (@gayets) November 23, 2022
Il est vrai que les propos mesurés, sourcés et cohérents du Dr Gayet peuvent déranger et le corps médical soumis au covidisme, et le grand public qui a cédé à l’injonction de l’injection ou qui l’a gobée toute crue.
Ici, Gayet balance une information sur ses confrères qui a déjà été relayée à propos de Buzyn et ses proches : les vaccinateurs ne sont pas forcément vaccinés...
De source fiable : les élus, médecins et autres, qui martèlent publiquement leurs discours de culpabilisation, de forte incitation et parfois de menace à l'endroit des personnes non – encore – injectées, n'ont eux-mêmes, pour la plupart, pas reçu de néo-injectable à ARN messager.
— Dr Stéphane GAYET (@gayets) December 4, 2022
Pire, beaucoup de ses confrères ont alimenté le moulin de la psychose covidique uniquement pour se faire du fric, car chaque injection était rémunérée. De là à dire que ces médecins étaient plus intéressés par leur profit personnel que par la santé de leurs potentielles victimes...
Jusqu'à la mi-avril 2021, les médecins vaccinateurs des centres dédiés étaient rémunérés à l'acte : 25 € par injection et 44,6 € le week-end, plus 5,4 € pour l'inscription dans le fichier. Certains médecins ont vacciné massivement à raison d'une injection toutes les 4 minutes.
— Dr Stéphane GAYET (@gayets) December 5, 2022
Il est clair que ce faisant, Gayet se met hors de la communauté médicale, car la loi du milieu dit qu’un médecin ne doit pas attaquer un autre médecin. Le devoir de solidarité est total, et qui l’enfreint est sévèrement puni.
Cependant, Gayet appartient désormais à la partie noble, même si elle est minoritaire, de la médecine, celle des soignants qui ne sont pas mus par le profit ou l’ambition personnelle, que ce soit dans l’Ordre ou le mille-feuille administratif et parasitaire de la santé française.
Dans cette liste se glissent aussi les défenseurs médiatiques de ces médecins qui ont gardé l’esprit du serment d’Hippocrate.
@idrissaberkane@BanounHelene@StatChrisCotton@louisfouch3@CaudeHenrion@gmx30@DrMenat@MichelJeanDomi1@LucMmontagnier@LMucchielli@PavanVincent@chris_perronne@raoult_didier@SabatierJeanMa1@B_Stiegler@amine_umlil@ZelenkoDr@dupontaignan@xazalbert@BOROWSKIMIKE
— Dr Stéphane GAYET (@gayets) December 2, 2022
Au moment d’être admis(e) à exercer la médecine, je promets et je jure d’être fidèle aux lois de l’honneur et de la probité.
Mon premier souci sera de rétablir, de préserver ou de promouvoir la santé dans tous ses éléments, physiques et mentaux, individuels et sociaux.
Je respecterai toutes les personnes, leur autonomie et leur volonté, sans aucune discrimination selon leur état ou leurs convictions. J’interviendrai pour les protéger si elles sont affaiblies, vulnérables ou menacées dans leur intégrité ou leur dignité. _ Même sous la contrainte, je ne ferai pas usage de mes connaissances contre les lois de l’humanité.
J’informerai les patients des décisions envisagées, de leurs raisons et de leurs conséquences.
Je ne tromperai jamais leur confiance et n’exploiterai pas le pouvoir hérité des circonstances pour forcer les consciences.
Je donnerai mes soins à l’indigent et à quiconque me les demandera. Je ne me laisserai pas influencer par la soif du gain ou la recherche de la gloire.
Admis(e) dans l’intimité des personnes, je tairai les secrets qui me seront confiés. Reçu(e) à l’intérieur des maisons, je respecterai les secrets des foyers et ma conduite ne servira pas à corrompre les mœurs.
Je ferai tout pour soulager les souffrances. Je ne prolongerai pas abusivement les agonies. Je ne provoquerai jamais la mort délibérément.
Je préserverai l’indépendance nécessaire à l’accomplissement de ma mission. Je n’entreprendrai rien qui dépasse mes compétences. Je les entretiendrai et les perfectionnerai pour assurer au mieux les services qui me seront demandés.
J’apporterai mon aide à mes confrères ainsi qu’à leurs familles dans l’adversité. Que les hommes et mes confrères m’accordent leur estime si je suis fidèle à mes promesses ; que je sois déshonoré(e) et méprisé(e) si j’y manque.
Question : le Conseil de l’Ordre peut-il s’auto-radier pour avoir enfreint ou violé quasiment tous les points du serment d’Hippocrate ?
commenter cet article …