( messe du 07/02/2022 )
Le Césaro Hyppocratisme de Big Pharma a orienté ou été orienté par le Gouvernement Américain , il a imposé au monde Occidental une médecine colonialiste par le biais de la corruption de l'Administration et de ses représentants via Fauci. Aujourd'hui plusieurs pays reconnaissent la machination dont les USA eux mêmes, le Japon, le Royaume Uni, les médias Allemands ; mais curieusement la France reste arc boutée sur ses dogmes de l'infaillibilité vaccinale alors que le produit préconisé n'en était pas un ce qui n'éclaircit pas le doute de manoeuvres commerciales étendues sur les instances étatiques et sanitaires avec la connivence et le soutien des médias durant cette opération de soumission de masse.
Henry
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Comme à l'ancienne : homélie du père Michel Viot de Blois dans la digne ligne de Fénelon !
Voici la liste des 1300 effets secondaires des vaccins Covid (extraite des propres documents de Pfizer).
— MARILYN JOHNSON (@MWidcoq) January 14, 2024
Ce sont ces documents que Pfizer avait voulu garder secrets pendant 75 ans... avant qu'un juge américain n'ordonne leur publication.#CovidVaccine #VaccineSideEffects… https://t.co/T5SJZaIy77
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Emi Rose se demande si son cancer est lié à l'injection COVID.
☝️👓 Regardez bien les commentaires et à quel point les gens ont pris conscience de la réalité, même si dette dernière est plutôt accablante !
➡️https://t.co/RODYtl24tN pic.twitter.com/W69NaZ7RxU
— ⚜ Eric Archambault ⚜ (@EricArchambaul7) July 23, 2024
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Posted by Gérard Maudrux
Robert Redfield n’est pas n’importe qui. Il est, avec Anthony Fauci celui qui a piloté (manipulé) la crise Covid aux USA, imposant leurs vues au monde entier. En fait de ” vues “, il fallait cacher.
Non, il n’a pas rejoint les complotistes, mais lorsqu’il a été entendu devant le Sénat américain, il n’a pu tenir d’autres propos que ceux qui ont été mis au ban de la société pour avoir refusé de confondre vérité politique et vérité scientifique. Contrairement à la France où le mensonge est devenu banalité voire vérité, aux USA, c’est une des fautes les plus graves, et peu s’y aventurent quand ils sont sous serment.
Si son comparse Anthony Fauci devant la même commission, pour ne pas mentir, avait dit ne se souvenir de rien, Robert Redfield a avoué ce que toutes les personnes réfléchissant ( = complotistes) savaient.
Ce 12 juillet 2024, il a avoué devant les sénateurs que l’ARNm diffusait dans tout l’organisme, passant toutes les barrières, que la spike protéine engendrée était toxique, entraînant de “ grosses réactions inflammatoires ” (à la question sur les dégâts vasculaires). Pire, il a dit que c’était connu depuis le début et qu’ ” il n’y a pas eu de transparence dès le début sur les effets secondaires potentiels de ces vaccins “, qu’ “ il y a eu des décisions inappropriées de la part de certaines personnes pour essayer de minimiser les effets secondaires parce qu’elles soutenaient que cela rendrait le public moins enclin à se faire vacciner “. Il était bien placé pour faire partie de ces ” certaines personnes “, ou alors il a fait part d’une abstention criminelle.
Et pour terminer, il affirme être à 100 % d’accord avec son interlocuteur comme pour le reste ( ” I am 100 % agreeing with you ”) : ” Je pense que l’une des plus grandes erreurs commises a été d’imposer ces vaccins. Ils n’auraient jamais dû être imposés, ils auraient dû être laissés au choix de chacun. Ils ne préviennent pas les infections, mais ont des effets secondaires “.
Tout ceci a été affirmé par le numéro 2 de la covid aux USA, devant une commission sénatoriale. En toute connaissance de cause, ces dirigeants américains, les nôtres en France, savaient également. Il suffisait de lire l’étude Pfizer, même avec peu de compétences. Ils ont caché tout cela pour que, comme avoué, les gens se vaccinent, sinon ils ne l’auraient pas fait avec un consentement éclairé. Pire, pour imposer ce vaccin que l’on savait dangereux et inefficace, on a craché sur les soignants qui sont montés au front pour vous sauver lors des deux premières vagues. Pas seulement insultés, mis au ban de la société, mais privés de travail, de ressources, ruinés. Combien de drames familiaux, de familles détruites, de suicides ? Que risquent aujourd’hui les responsables de ces crimes, notre président en tête, qui voulait les emmerder ?
En ce qui concerne la crédibilité et la compétence de ce Robert Redfield, c’était le directeur du CDC depuis le 26 mars 2018, devenu avec Anthony Fauci membre de la Task Force créée le 26 janvier 2020 pour lutter contre la covid. Le CDC est le ” Centre pour le contrôle et la prévention des catastrophes ” il est l’équivalent chez nous de l’ANSM, chargée du contrôle de la sécurité du médicament. Il était également jusqu’en 2021 administrateur pour le ” registre des substances toxiques et des maladies “
Pendant 3 ans, il formera un tandem rapproché avec le fameux Docteur Fauci, directeur de l’Institut National des Allergies et des maladies Infectieuses des National Institutes of Health, considéré dans le monde comme le messie de l’épidémie, messie que tout le monde suivait les yeux fermés malgré son passé (limite Mengele). On a appris par la suite que ce dernier était à l’origine de la fabrication du Sars-Cov-2 et de ses gains de fonction, sans que personne ne s’offusque de voir un pompier pyromane à ce niveau de conflit d’intérêt. On peut voir la paire, ensemble sur nombre de photos :
Voici un extrait de son passage devant la commission sénatoriale face au sénateur Ron Johnson :
Les politiques du monde entier savaient cela, il n’y a rien de nouveau dans ces informations, connues dès les premiers jours mais cachées. Si vous voulez savoir pourquoi, premièrement Fauci, vu ses antécédents était le mieux placé pour tenter de cacher ses responsabilités, maintenant bien établies par les autorités aux USA. Ensuite c’est comme toujours un problème de gros sous : n’oubliez pas ces agences de communication qui conseillaient Pfizer sur comment vendre son vaccin, et qui étaient également embauchées par des haut fonctionnaires fainéants et incompétents pour faire le boulot à leur place, pour savoir comment diffuser ces vaccins. Bons défenseurs des laboratoires, leurs premiers clients, ils ont conseillé les seconds de vacciner une population qui avait un risque inférieur à celui de la grippe saisonnière. N’oubliez pas non plus les échanges de mails entre Fauci et Delfraissy, tous deux d’accord pour cacher la vérité et contrer toute autre velléité de traitements classiques, ainsi que Bill Gates, premier bailleur de fonds de l’OMS, qui devait rentabiliser son investissement de septembre 2019 dans BioNtech. Bien entendu investissement de pur hasard, il n’était au courant de rien, comme les autres.
Les politiques ne sont pas seuls responsables, il y a aussi les journalistes, censés se renseigner pour informer la population. Ils ont démissionné, aucune enquête, aucun débat, critiquant ceux qui doutaient de la fausse pensée unique.
Le corps médical et ses responsables ont aussi failli et ont leur part de responsabilité. Ils ne se sont pas renseignés, ont ignoré l’observationnel, ne savent plus réfléchir et ont accepté d’abandonner leurs patients. Ils ont mis au ban de la société ceux qui cherchaient une solution thérapeutique. Ils condamnent ceux qui pensent à la santé de leurs patients avant celle du pouvoir politique, que l’on n’a plus le droit de critiquer. La liberté d’expression est pourtant indispensable aux progrès de la science, sinon la terre serait toujours plate, comme l’est le cerveau de ces censeurs.
Y aura-t-il reconnaissance de la vérité ? Repentance ? Amnistie de la part de ces censeurs ? Réhabilitation de ceux qui avaient raison et ont été injustement condamnés ? J’ai des doutes quant à leur capacité intellectuelle à le faire. Par contre pour dire qu’ils ont été trompés, alors qu’il était de leur compétence de redresser la vérité, je leur fais confiance. Quant à la presse mainstream et les fact checkers je serai curieux de voir s’ils vont traiter cette information et comment.
Les États Unis ont beaucoup de défauts, mais il faut leur reconnaître une indépendance de la justice. J’ai toujours dit que la vérité passera d’abord par chez eux. Par contre chez nous, ce sera l’occasion de voir si la justice est indépendante du pouvoir politique comme on nous l’affirme. Avec les plus hautes instances comme le Conseil d’État officiellement présidé par le Président de la République, et le Conseil Constitutionnel présidé par un ancien premier ministre et des membres recasés de la politique, j’ai des doutes. Deux politiques purs, aucun n’est issu d’une filière juridique. Mêmes comparaisons avec la transparence dans les auditions de Fauci ou de Redfield, et celle d’Amine Umlil sur le même sujet qui nous concerne ici, avec le son coupé lors de son audition par l’OPECST et sa disparition dans les retranscriptions.
Enfin Macron vient de faire remettre la Légion d’honneur à Fauci. Ils étaient deux à orchestrer ces mensonges criminels, il serait normal de la remettre également à Redfield au nom de l’égalité chère à notre devise, et on n’est plus à une monstruosité près dans cette affaire. Emmerder les honnêtes gens dévoués, décorer les menteurs et les criminels, elle est belle notre république !
Gérard Maudrux
Source : Covid-factuel
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Le gouvernement admet maintenant que l’augmentation des maladies cardiaques et la surmortalité sont dues aux vaccins contre la COVID. Docteur Thomas Levy: « Les vaccins provoquent des lésions cardiaques chez au moins 2,8 % des personnes ayant reçu les injections Covid… 7 MILLIONS d’Américains ont désormais le cœur endommagé par les vaccins COVID »
BREAKING:
The Government Is Now Admitting That The Increase In Heart Disease And Excess Deaths Are Due To COVID Vaccines.
Doctor Thomas Levy:
"Vaccines are causing heart injury in at least 2.8% of people who received the Covid injections"
"7 MILLION Americans now have… pic.twitter.com/8QTOtUKhkW
— Wall Street Silver (@WallStreetSilv) May 7, 2024
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Document récapitulatif d’origine britannique qui insiste sur les dégâts à l’encontre des enfants.
En France c’est toujours « motus et bouche cousue »
Les gouvernements tentent généralement d’enterrer les mauvaises nouvelles en les publiant le vendredi après-midi, en espérant qu’elles seront enfouies sous la montagne d’informations d’ici lundi.
Alors que les gens étaient occupés à voter contre le larbin du WEF, Rishi Sunak, en faveur du larbin du WEF, Keir Starmer, le gouvernement essayait désespérément de garder secrète cette histoire dévastatrice sur le nombre énorme d’enfants qu’il a tués et mutilés.
Les grands médias complices leur ont peut-être donné un laissez-passer, mais nous n’allons pas les laisser s’en tirer sans problème.
Les données officielles du gouvernement britannique que ce dernier a tenté d’enterrer ont révélé que des millions d’enfants dans le monde ont été mutilés et tués et courent un risque extrêmement élevé de mourir, toutes causes confondues, dans un avenir proche.
Les chiffres inquiétants publiés dans un rapport officiel du gouvernement confirment nos pires craintes et prouvent que les vaccins expérimentaux à ARNm massacrent des enfants à un rythme sans précédent.
Le rapport officiel a été compilé à l’aide des données de l’Office of National Statistics, connu sous le nom d’ONS, et révèle que les enfants vaccinés contre le Covid sont 4.423 % plus susceptibles de mourir toutes causes confondues que les enfants dont les parents ont décidé d’éviter les injections de Covid.
Cela signifie que les enfants vaccinés contre le Covid sont 45 fois plus susceptibles de mourir jeunes que les enfants non vaccinés.
Si vous connaissez quelqu’un qui soutient encore que les vaccins Covid valent le risque, frappez-le avec cette statistique : les enfants vaccinés contre le Covid ont également 13.633 % plus de risques de mourir du Covid que leurs pairs non vaccinés.
C’est-à-dire que les enfants vaccinés contre le Covid ont 137 fois plus de risques de mourir de la maladie contre laquelle ils sont censés être protégés.
Pour ceux qui remettent en question ces chiffres effroyables, je vous invite à faire vos propres recherches et à lire l’ensemble de données de l’ONS. Il s’intitule “Deaths by Vaccination Status, England, 1 January 2021 to 31 May 2022” (« Décès par statut vaccinal, Angleterre, 1er janvier 2021 au 31 mai 2022 ») et vous pouvez y accéder sur le site Web de l’ONS ici et le télécharger ici.
Dans un nouvel ensemble de données, le tableau 6 révèle des données sur les décès dus au COVID-19, non liés au COVID et toutes causes confondues, par groupe d’âge en Angleterre du 1er janvier 2021 au 31 mai 2022.
Il comprend le nombre de décès d’enfants âgés de 10 à 14 ans et d’adolescents âgés de 15 à 19 ans selon le statut vaccinal. Cependant, l’ONS n’a pas fourni de taux de mortalité pour 100.000 années-personnes pour ces tranches d’âge, contrairement aux adultes.
Il n’est pas étonnant que l’ONS cherche désespérément à dissimuler les taux de mortalité infantile. Les chiffres sont choquants. Derrière des portes closes, les bureaucrates se préparent à des émeutes massives dans les rues, tandis que des mères, des frères, des sœurs, des oncles et des tantes pleurent la perte des enfants de la nation et exigent que justice soit rendue contre le gouvernement.
Malgré leur tentative de dissimuler la vérité, les données de l’ONS fournissent encore suffisamment d’informations pour le calcul des taux de mortalité infantile. En divisant le nombre de décès par le nombre d’années-personnes, nous pouvons déterminer les taux pour 100.000 années-personnes.
Les chiffres montrent des différences significatives dans les taux de mortalité chez les enfants âgés de 10 à 14 ans en fonction du statut vaccinal.
Pour les enfants non vaccinés, le taux de mortalité dû au COVID-19 est de 0,31 pour 100.000 années-personnes.
Pour ceux qui ont reçu une dose, il passe à 3,24, et pour ceux qui ont reçu trois doses, il augmente considérablement jusqu’à 41,29 pour 100.000 années-personnes.
Ces chiffres mettent en évidence les différences marquées dans les taux de mortalité selon le statut vaccinal parmi les enfants de ce groupe d’âge.
Basées sur la formule d’efficacité des vaccins de Pfizer, ces données horribles révèlent que les vaccins Covid s’avèrent avoir une efficacité négative contre la mort chez les enfants.
Vous vous souvenez de l’affirmation initiale de Pfizer selon laquelle une efficacité de 95 % ?
L’efficacité réelle du vaccin chez les enfants entre janvier 2021 et mai 2022 est visible dans le tableau suivant :
Les injections ont une efficacité négative alarmante dans le monde réel contre la mort, elle est de -13.633,33 % chez les enfants dont les parents les ont fait vacciner trois fois.
Mais ces chiffres étonnants sont encore pires.
Comme le montre ce graphique, les enfants qui ont reçu trois doses d’ARNm courent un risque bien plus élevé de mortalité toutes causes confondues que les enfants qui ont reçu deux doses. Par contre, les enfants qui n’ont reçu aucune dose d’ARNm sont de loin les moins susceptibles de mourir.
Nous vivons dans un monde où les chiffres officiels du gouvernement britannique prouvent que les enfants et les adolescents vaccinés à l’ARNm contre le Covid sont de loin, beaucoup, beaucoup plus susceptibles de mourir à la fois du Covid-19 et de toute autre cause que les enfants et les adolescents dont les parents ont protégés du vaccin mortel.
Pourtant, les grands médias sont complices du gouvernement et des grandes sociétés pharmaceutiques en supprimant ces informations et en traitant le public comme si nous étions des imbéciles.
Nous, le peuple, refusons de soutenir cela – et les rangs de ceux qui sont déterminés à révéler la vérité grossissent de jour en jour.
Au cours de la semaine dernière, trois oncologues de premier plan nous ont rejoints dans notre lutte contre l’élite mondiale, fournissant des preuves inestimables pour les prochains procès pénaux pour crimes contre l’humanité.
Les grandes sociétés pharmaceutiques et l’élite mondiale ont le doigt dans le trou pour boucher le mur du barrage, essayant désespérément d’empêcher la vérité d’exploser et de tout balayer devant elle.
En Australie, il a été révélé cette semaine que le juge qui a rejeté un procès qui aurait empêché Pfizer et Moderna de continuer à distribuer le vaccin Covid se trouvait être sur la liste de paie de Pfizer depuis des années.
Big Pharma est un cartel et parfois il semble que tout et tout le monde s’oppose à ceux d’entre nous qui sont déterminés à révéler la vérité et à réveiller les masses.
Mais des lanceurs d’alerte haut placés se manifestent et des médecins de premier plan se souviennent du serment d’Hippocrate qu’ils ont prêté au début de leur carrière.
Cette semaine, trois des plus grands oncologues du monde ont partagé leurs découvertes alarmantes sur les thérapies géniques expérimentales Covid.
Nous avons d’abord eu le Dr. Masanori Fukushima qui a averti qu’un tsunami de décès dans la cohorte vaccinée menace de réduire considérablement la population mondiale au cours des prochaines années.
Ensuite, nous avons eu le professeur Gabriel Oon, le plus ancien oncologue de Singapour et président fondateur de la Société d’oncologie de Singapour, qui met en garde depuis un certain temps déjà contre les conséquences dévastatrices de la technologie de l’ARNm.
Et maintenant, nous avons le principal oncologue du Royaume-Uni, le professeur Angus Dalgleish, qui a rendu public sa demande d’interdiction immédiate de la thérapie génique à ARNm en raison de l’escalade terrifiante du nombre de morts et de la crise du turbo-cancer qui ravage le monde.
La demande du professeur Dalgleish est une véritable bombe, un oncologue de renommée mondiale qui a travaillé avec le Dr Anthony Fauci au début des années 80 et qui comprend la magie noire de l’élite.
Les informations qu’il partage dans cette vidéo sont de l’or vingt-quatre carats et seront utilisées dans des procédures pénales dans un avenir proche pour demander des comptes à l’élite et rendre justice aux millions de personnes endeuillées qui ont perdu leurs proches, y compris leurs enfants, à cause des injections d’ARNm.
Se pourrait-il que ces éminents oncologues de différentes parties du monde aient soudainement cessé de soutenir les vaccins expérimentaux et aient commencé ensemble à dire non à la thérapie génique à ARNm ?
Entrons dans le vif du sujet : le point commun de ces trois critiques virulentes est d’être récemment retraités.
Cela signifie qu’ils n’ont pas à craindre de perdre leur emploi ou leurs moyens de subsistance s’ils s’expriment. Mais il y en a beaucoup d’autres qui se taisent parce qu’ils ont peur de perdre leur emploi… Voire même leur vie.
Nous traversons une période critique et ici, à People’s Voice, nous sommes déterminés à dénoncer l’élite et à lui demander des comptes avant qu’il ne soit trop tard. Rejoignez-nous dans notre mission de réveiller les masses en diffusant ces informations autour de vous.
Par Baxter Dmitry – The People’s Voice
10 juillet 2024
Source : Numidia Libérum
Par la Dre Suzanne Burdick Recherche mondiale, 17 juillet 2024 Défense de la santé des enfants 2 juillet 2024
Une équipe de chercheurs italiens a vérifié ce qu’ils ont appelé « l’impact réel de la campagne de vaccination » en comparant le risque de décès toutes causes confondues parmi les résidents vaccinés et non vaccinés de la province italienne de Pescara.
Les vaccins contre le COVID-19 ont été associés à une augmentation de la mortalité toutes causes confondues dans une nouvelle étude évaluée par des pairs qui a analysé les données du système national de santé italien.
Sur la base de leur analyse, une équipe de chercheurs italiens a vérifié ce qu’ils ont appelé « l’impact réel de la campagne de vaccination » en comparant le risque de décès toutes causes confondues parmi les résidents vaccinés et non vaccinés de la province italienne de Pescara.
Dans leur analyse univariée, les chercheurs ont constaté que le risque de décès toutes causes confondues était de plus de 20 % plus élevé pour les personnes vaccinées avec deux doses ou plus du vaccin COVID-19 par rapport aux personnes non vaccinées .
En revanche, des recherches antérieures effectuées dans la même région suggéraient que ceux qui recevaient trois ou quatre doses présentaient un risque plus faible de décès toutes causes confondues.
« Nous avons également constaté une perte d’espérance de vie légère mais statistiquement significative pour les personnes vaccinées avec 2 ou 3/4 doses », ont-ils indiqué dans le rapport publié le 30 juin dans Microorganisms .
Le Dr Peter McCullough a déclaré au Defender :
« Ces résultats appellent à un arrêt immédiat de la vaccination contre la COVID-19 dans le monde et à une enquête approfondie sur ce qui n’a pas fonctionné pendant la campagne de vaccination contre la COVID-19. »
McCullough a écrit sur Substack que le point principal du document est que
« La vaccination contre le COVID-19 n’a pas « sauvé des vies », comme tant de personnes à Washington l’ont proclamé sans preuve. »
Alberto Donzelli , l’un des auteurs de l’étude italienne, a déclaré au Defender que l’étude est « une avancée importante » car elle examine la mortalité toutes causes confondues, ventilée par statut vaccinal, et prend en compte les variables confusionnelles qui pourraient avoir affecté les rapports antérieurs sur le COVID-19. vaccination et mortalité toutes causes confondues.
Très peu d’études dans le monde ont réussi à atteindre cet objectif, a-t-il déclaré.
McCullough a également déclaré au Defender que les résultats de l’étude sont « cohérents » avec ceux d’une récente étude allemande – actuellement disponible en prépublication – qui a révélé que la vaccination contre le COVID-19 était liée à une augmentation des décès toutes causes confondues dans 16 États allemands.
Des chercheurs entreprennent une étude pour corriger les biais
Pour leur étude, Donzelli et ses co-auteurs ont utilisé les mêmes données analysées par d’autres chercheurs dans une étude italienne antérieure sur l’efficacité du vaccin COVID-19.
L’étude précédente – qui a suivi des personnes deux ans après le début de la campagne de vaccination contre le COVID-19 – a révélé que ceux qui avaient reçu une ou deux doses avaient un risque significativement plus élevé de décès toutes causes confondues, tandis que ceux qui avaient reçu trois vaccins ou plus. les doses présentaient un risque de décès plus faible .
Cependant, ces résultats ont probablement été faussés en raison d’un « biais du temps immortel », ont déclaré Donzelli et ses co-auteurs.
Le biais de temps immortel est un défaut courant dans la conception des études qui peut perturber les estimations statistiques entre une exposition (comme une injection de COVID-19) et un résultat (comme un risque accru de décès), selon le catalogue des biais de l’Université d’Oxford.
Donzelli a déclaré que le biais « afflige la plupart des études observationnelles sur la mortalité due au COVID-19 ». Lui et ses co-auteurs ont donc pris les mesures nécessaires pour corriger le biais et réanalyser les mêmes données.
Ils ont examiné les dossiers de vaccination du 1er janvier 2021 au 31 décembre 2022 pour les personnes âgées de 10 ans et plus.
Ils ont également examiné les données de suivi collectées du 1er janvier 2021 au 15 février 2023 pour ces personnes, à condition qu’elles n’aient pas été testées positives pour le COVID-19 à la date du suivi.
Ils ont également examiné d’autres variables, telles que des pathologies autres que la COVID-19, qui pourraient avoir affecté la santé des personnes.
« Les résultats sont surprenants », a écrit McCullough après avoir effectué des calculs à l’aide des données du rapport. « Les décès spécifiques au COVID-19 n’ont pas été réduits avec la vaccination, mais il y a eu une tendance en forme de U à noter lorsque les décès dus au COVID-19 ont été ajustés pour 1 000 habitants : non vaccinés 1,98/1 000, une dose 0,27/1 000, deux doses 1,08/1 000, et 3/4 doses 3,5/1000.
De plus, Donzelli et ses co-auteurs, dans leur analyse multivariée, ont découvert que ceux qui ont reçu une dose du vaccin contre la COVID-19 présentaient un risque relatif – qui est une estimation statistique du risque – de 2,4 pour la mortalité toutes causes confondues, ce qui signifie qu’ils étaient beaucoup plus susceptibles de mourir que les non vaccinés.
« Les personnes vaccinées avec deux doses présentaient un taux de risque de décès presque double : 1,98 », a souligné Donzelli.
Ces chiffres sont bien pires que ceux rapportés dans l’étude originale qui n’avait pas corrigé le biais temporel immortel, a-t-il déclaré. La correction de ce biais a également modifié les résultats pour ceux qui ont été vaccinés avec trois doses ou plus.
Les auteurs originaux de l’étude avaient affirmé qu’être vacciné trois fois ou plus réduisait le risque de mortalité de plus de quatre fois. Sur la base de son analyse corrigée et de celle de ses co-auteurs, Donzelli a qualifié cette affirmation d’« invraisemblable ».
Il a dit à propos de l’analyse multivariée :
« Ceux qui ont été vaccinés avec trois doses ou plus sont décédés au même rythme que les non vaccinés. »
Cependant, combinés aux analyses univariées et aux estimations de l’espérance de vie, tous les schémas posologiques du vaccin contre la COVID-19 montrent une augmentation globale de la mortalité toutes causes confondues.
CDC : Les injections de COVID « sauvent des vies »
Le Défenseur a demandé aux Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) s’ils envisageaient de modifier leur déclaration selon laquelle « les vaccins contre le COVID-19 sauvent des vies » à la lumière des résultats de l’étude.
Un porte-parole du CDC a déclaré au Defender que le CDC « ne commente pas les conclusions ou les affirmations d’individus ou d’organisations extérieures au CDC ». Le porte-parole a refusé de fournir des études ou des données appuyant l’affirmation de l’agence selon laquelle les vaccins sauvent des vies.
« Les recherches du CDC ont continuellement démontré que les vaccins contre le COVID-19 sont sûrs et efficaces », a déclaré le porte-parole.
MISE À JOUR : Cet article a été mis à jour pour indiquer que les chercheurs ont découvert que le risque de décès toutes causes confondues était de plus de 20 % plus élevé pour les personnes vaccinées avec deux doses ou plus du vaccin COVID-19 par rapport aux personnes non vaccinées.
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Suzanne Burdick, Ph.D., est journaliste et chercheuse pour The Defender basée à Fairfield, Iowa.
L’image présentée provient de CHD
La crise mondiale du coronavirus, un coup d’État mondial contre l’humanité
par Michel Chossudovsky
Michel Chossudovsky revient en détail sur la façon dont ce projet insidieux « détruit la vie des gens ». Il fournit une analyse complète de tout ce que vous devez savoir sur la « pandémie » – des dimensions médicales aux répercussions économiques et sociales, en passant par les fondements politiques et les impacts mentaux et psychologiques.
« Mon objectif en tant qu’auteur est d’informer les gens du monde entier et de réfuter le discours officiel qui a été utilisé comme justification pour déstabiliser le tissu économique et social de pays entiers, suivi de l’imposition du « vaccin » « mortel » contre le COVID-19. Cette crise touche l’humanité dans son ensemble : près de 8 milliards de personnes. Nous sommes solidaires de nos semblables et de nos enfants du monde entier. La vérité est un instrument puissant.
Commentaires
Il s’agit d’une ressource approfondie d’un grand intérêt si c’est la perspective plus large qui vous motive à comprendre un peu mieux, l’auteur connaît très bien la géopolitique et cela se reflète dans la manière dont Covid est contextualisé. — Dr Mike Yeadon
Dans cette guerre contre l’humanité dans laquelle nous nous trouvons, dans cet assaut singulier, irrégulier et massif contre la liberté et la bonté des peuples, le livre de Chossudovsky est un roc sur lequel soutenir notre combat. – Dr Emmanuel Garcia
En quinze chapitres scientifiques concis, Michel retrace la fausse pandémie de covid, expliquant comment un test PCR, produisant jusqu’à 97 % de faux positifs prouvés, combiné à une campagne de peur incessante 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, a pu créer une panique mondiale. plandémique » ; que cette plandémie n’aurait jamais été possible sans le fameux test de réaction en chaîne par polymérase modifiant l’ADN – qui à ce jour est imposé à une majorité de personnes innocentes qui n’en ont aucune idée. Ses conclusions sont étayées par des scientifiques de renom. — Peter Koenig
Le professeur Chossudovsky expose la vérité selon laquelle « il n’y a aucune relation causale entre le virus et les variables économiques ». En d’autres termes, ce n’est pas la COVID-19 mais plutôt la mise en œuvre délibérée de mesures de confinement illogiques et sans fondement scientifique qui ont provoqué l’arrêt de l’économie mondiale. – David Skripac
La lecture du livre de Chossudovsky fournit une leçon complète sur la façon dont un coup d’État mondial est en cours appelé « La Grande Réinitialisation » qui, s’il n’est pas résisté et vaincu par les gens épris de liberté partout dans le monde, entraînera un avenir dystopique inimaginable. Transmettez ce cadeau gratuit du professeur Chossudovsky avant qu’il ne soit trop tard. Vous ne trouverez pas autant d’informations et d’analyses précieuses au même endroit. -Edward Curtin
ISBN : 978-0-9879389-3-0, Année : 2022, PDF Ebook, Pages : 164, 15 chapitres
Prix : 11,50 $ COPIE GRATUITE ! Cliquez ici (docsend) et téléchargez .
Vous pouvez également accéder à la version en ligne du livre électronique en cliquant ici .
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Défense de la santé des enfants , 2024
Source : Global Research
Dans ce debriefing, Silvano Trotta décrypte la situation actuelle en Allemagne. Depuis le 19 mars 2024, l’Allemagne est en proie à des révélations importantes sur la gestion de la crise covid. Le magazine Multipolar, qualifié de complotiste pendant toute la pandémie, a obtenu plus de 1000 pages des comptes rendus du RKI (l’Institut Robert Koch) en charge de la gestion de la crise sanitaire en Allemagne. Il s'agit de procès-verbaux de réunions s'étant tenues pendant la première année de la crise covid entre le gouvernement allemand et le RKI, ces procès-verbaux ayant été classés sous le secret défense.148 pages sont caviardées et Multipolar continue d'ester en justice afin d’obtenir la transparence totale sur cette gestion de la crise covid.
Devant ces révélations, les médias et les politiques ont dû se rendre à l’évidence que Multipolar avait eu raison. Les révélations sont relayées par de nombreux journaux, mais le Berliner Zeitung, un grand journal berlinois, est allé plus loin en tirant des conséquences pour les journalistes et le journalisme hautement subventionné en Allemagne.
Multipolar a fait des analyses identiques à celle de France-Soir en France qui a subi le même sort. Rappelons qu’en aout 2020, France-Soir présentait un calcul des décès qui auraient pu être évités en France si l’on avait appliqué la même thérapie qu’en Allemagne sur la période. Ceci confirmait l’analyse faite par le Professeur Perronne dans son premier livre – 25 000 décès en trop.
En 2021, Patrice Kiener, dans une tribune, présentait le match France-Allemagne sur la crise covid et concluait que la France avait une large avance par rapport à l’Allemagne qui en 2020 a eu une année presque normal. Rappelons que le protocole en France demandait aux français de rester chez eux, de prendre du paracétamol et d’appeler le 15 en cas de problèmes. Les patients n’ont donc pas été pris en charge et soignés comme ils l’ont été à l’IHU Méditerranée qui déplorait en 2020 5 fois moins de morts qu’à Paris. En 2024, une étude scientifique sur base des données des 30 423 patients soignés à l’IHU méditerranée confirmait que les décès et hospitalisations étaient réduits de 58% avec la prise en charge et le traitement précoce des patients (connu comme la bithérapie du Pr Raoult).
Une estimation faite à partir de ces chiffres concluait que 90 000 décès en France auraient pu être évités et plus de 4 millions dans le monde avec la systématisation des traitements précoces. Cela a été fait dans l’État du Para au Brésil qui a compté 5,5 fois moins de décès covid que l’État voisin d’Amazonie.
Des réponses que ne manqueront pas de chercher à obtenir les journalistes et politiques français. Affaire à suivre.
Espagne : les ex-ministres de la santé poursuivis après les décès d'enfants vaccinés Pfizer
Si au début de la crise covid, la vaccination a été présentée comme l'outil majeur pour contrer la propagation du
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