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2 juillet 2024 2 02 /07 /juillet /2024 19:26
Il y a le luciferisme, celui qui apporte la lumière et le satanisme, le dernier a besoin pour se nourrir de sacrifices d'enfants et d'adorateurs dévoués, soumis entièrement à sa volonté, la barrière est mince entre les deux. Le luciférisme pourrait aboutir à la fusion de la matérialité par la machine le transhumanisme, ce qui cadre tout à fait avec le programme, le satanisme est un mécanique de destruction, de chaos systèmatique puisque ç'est la détestation de la vie. L'un anéanti la vie, la création, l'autre bloque la création dans la matière et la prive de sa part divine et de son évolution !
Henry

 

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Pour ceux qui vivent dans le déni du satanisme : témoignage de Ronald Bernard (Vidéos)
 

2017-09-03 22_36_55-Real Big Power_ Revelations by insider Ronald Bernard-part 2 - YouTube

Depuis que j'ai rediffusé le témoignage d'Audrey et Séverine, les deux mamans qui dénoncent un réseau pédophile du genre sectaire donnant aussi, apparemment, dans des "expériences" de type contrôle mental, j'ai reçu plusieurs témoignages de victimes qui m'expliquent avoir vécu cela.

Cependant, il est très difficile de comprendre de quoi il s'agit. Je diffuse donc aujourd'hui le témoignage d'un ex-PDG et financier hollandais, qui parle de son expérience d'enfant abusé et manipulé pour devenir à son tour un prédateur.

 

Au sujet de ces pratiques de manipulation de la personnalité, par le recours aux abus, mais aussi aux drogues et à divers appareils, on dispose aujourd'hui d'un certain nombre de témoignages de victimes aux Etats-Unis.

En Europe, la pratique semble un peu différente, davantage organisée dans un cadre rituel, mais dans les faits les choses reviennent au même: les victimes souffrent d'une sorte de fractionnement de la personnalité, et toutes les valeurs humaines sont effacées pour être remplacées par des valeurs de destructions.

Derrière tout cela, il y a un délire qui relève de ce que j'appelle génériquement le "satanisme", et qui consiste à augmenter son pouvoir en se livrant aux pires horreurs. Ces pratiques, on les retrouve partout dans les pays occidentaux, et sous des formes plus proches de la sorcellerie en Afrique et dans les Caraïbes, par exemple. Ceux qui s'y livrent sont des gens bien sous tous rapports, aidés par des sous-fifres, et dirigés par des gens souvent plus puissants que les politiciens nationaux et internationaux, qui finalement ne sont que des marionnettes entre leurs mains.

Mais revenons au témoignage de Ronald Bernard qui est en trois parties, dont la dernière a été diffusée fin aout, et que je vais retranscrire pour l'essentiel.

Une déviance transgénérationnelle

1912-wall-street-banksters-cartoon 

Ronald Bernard a longtemps été entrepreneur et avant de se lancer dans la gestion de ses propres actifs, à la recherche des placements les plus rentables (ce qui passe pas des montage financiers tellement tordus qu'en réalité ils sont illégaux). Il explique qu'à un moment, quand il était très riche, on lui a proposé d'entrer dans le tout petit monde de la haute finance internationale. Bernard est OK, et on propose de l'introduire dans le réseau contre 10% de ses gains annuels, et il est avertit : "Si tu es incapable de mettre ta conscience au congélateur, et pour congélateur j'entends à -100°C, pas à -18°C, alors ne le fais pas".

Bernard explique aussi, et c'est loin d'être intéressant, comment fonctionne le monde : qu'au sommet, ils font mine d'être ennemis, mais qu'ils suivent un agenda établi en commun. Ils s'organisent pour que personne dans les couches inférieures de la société ne sachent ce qu'ils sont en train de faire, et organisent les choses en sollicitant les bons pions aux bons endroits. Il estime qu'aujourd'hui, "entre 8.000 et 8.500 personnes seulement dirigent le monde entier". Cela représente la population d'une petite ville de province, où tout le monde finit par se connaître.

Pendant 5 ans, il gérait des quantités d'argent, souvent issues de circuits illégaux car Bernard devait "s'arranger" pour le réintroduire dans le système financier normal. Cet argent appartenait à cette "élite", tout "en haut de la pyramide", qui organise le monde. Il a gagné sa place en rentrant plus profondément dans le petit cercle des puissants.

Il explique que l'argent circule entre services secrets (qu'il qualifie d'"organisations criminelles"), banques, gouvernements, organisations terroristes, et son boulot était de le faire discrètement. Bernard dit, tout comme plusieurs de mes sources, que les services secrets se finançaient notamment grâce à l'argent du trafic de drogue, du trafic d'armes, et même, ce que je ne savais pas, du trafic d'être humains. Je savais que les flux de roms ou de migrants leur étaient très utiles pour faire traverser la frontière à certaines marchandises, mais je ne savais pas qu'ils en tiraient un bénéfice pécuniaire.

Et puis, tout s'est arrêté d'un coup.

A force d'être le spectateur de toutes ces magouilles, il a commencé à être "dévoré intérieurement". "J'ai suivi un entraînement pour devenir psychopathe. J'ai échoué", dit-il. Il explique que ces gens du cercle d'en-haut sont généralement des lucifériens, et l'ont invité plusieurs fois dans des "églises de Satan", "j'ai assisté à leurs messes avec des femmes nues, des liqueurs, plein d'autres choses. Je trouvais cela amusant. Je ne croyais pas du tout en ces choses, j'étais très loin d'être convaincu que tout cela était bien réel (...) Arrivé à un certain point, j'ai été invité à participer à des sacrifices à l'étranger. Ça a été le point de rupture", précise-t-il alors qu'il a du mal à parler, "des enfants"... On lui a demandé de le faire et il n'a pas pu.

Après cela, il a sombré. Cela lui a rappelé des éléments de son enfance. Il a commencé à refuser certaines missions et devenait ainsi une menace puis a fait un burnout et a mis un an pour se rétablir. Il dit que lorsqu'il sortait de l'hôpital il était physiquement torturé, et même enlevé pendant un certain temps.

Dans cette interview, il évoque le Protocole des Sages de Sion, un document dont on explique en fac d'histoire qu'il est un faux, sans jamais s'attarder sur la question, et surtout sans jamais examiner le texte lui-même. Car plus d'un siècle après sa rédaction, force est de constater qu'une partie du programme a déjà été réalisée. Et peu importe qui l'a écrit.

Témoignage intégral de Ronald Bernhard : 

Partie 1

Le haut de la pyramide

 

Dans la 2ème partie, Bernard est d'abord interrogé au sujet du haut de la pyramide, ces 8.000 à 8.500 personnes qui dirigeraient le monde. Il explique que ces gens utilisent le système monétaire et financier (tous deux aussi boiteux et incohérents l'un que l'autre), et aussi la BRI, la Banque des Règlements Internationaux, ou BIS en anglais, une société anonyme chapeautée par l'ONU et installée à Bâle, qui a toujours servi à gérer d'énormes transactions internationales dans l'opacité la plus complète [1].

Selon Bernard, les "8.000" donnent directement leurs instructions pour gérer le système financier comme il leur plaît à la BRI, qui fait appliquer les nouvelles mesures partout : ce sont les "accords de Bâle" que j'ai dénoncés il y a bien longtemps, à l'époque où on nous disait que cette réunion de banquiers était apte à réguler le monde de la finance. C'est-à-dire à ne rien faire, puisque c'est bien connu, les banques savent s'autoréguler. Comme tous les voleurs d'ailleurs.

En dessous de la BRI, on a le Fonds Monétaire International, où Lagarde la fan de numérologie a succédé à DSK, et la Banque Mondiale, qui créent leurs propres règles et les imposent au monde entier, quitte à détruire des États comme la Grèce, après la crise asiatique ou les diverses crises en Amérique latine dans les années 90 - 2000. "Ce qu'ils font en réalité, c'est créer de la dette" dans les pays auxquels ils viennent en aide, "de façon à ce qu'ils ne seront jamais capables de rembourser. Ils calculent le montant [de dette] qu'il faut pour y arriver, ce qui leur permet d'accroître leur mainmise sur le pays ou sur un continent comme l'Afrique, qui est riche en ressources, très riche. Grâce à leurs connexions avec leurs "amis", avec des multinationales, ils peuvent extraire la richesse de ces pays en les autorisant à payer en nature cette dette qu'ils ne pourront jamais rembourser".

Pour y parvenir, poursuit Bernard, "la seule chose qu'il faut c'est d'acheter les élites de ce pays, vous les faites chanter avec des enfants".

Il explique comment les banques créent de l'argent quand on s'endette auprès d'elle: l'argent qu'elles nous "prêtent", en réalité elles ne l'ont pas en caisse. Elles le créent à la demande et ajoutent une ligne de compte à leur actif. Les intérêts que l'on verse sont absolument injustifiés, mais Bernard explique que ces 5% de rentabilité annuelle, ce 5% de taux d'intérêt moyen, c'est ce qui est réclamé au système financier par les "8.000".

Plus il y a de dette, plus ces gens s'enrichissent. On imagine les milliards gagnés sur le dos de la Grèce, juste à côté de chez nous. Il explique que c'est aussi pour cela que les dettes souveraines, c'est-à-dire celles des États, ne font qu'augmenter (en France on ne rembourse d'ailleurs que les intérêts, et c'est le 2ème plus gros budget après l’Éducation Nationale). Ce système implique une inflation permanente, c'est-à-dire en réalité une baisse de la valeur de la monnaie, et donc des salaires. Il explique que c'est pour cela qu'aujourd'hui un couple qui travaille parvient difficilement à faire faire vivre sa famille, alors qu'il y a 40 ans un seul salaire suffisait.

Partie 2 (sous-titrages anglais)

[1] Créée en 1930 pour gérer les réparations dûes par l'Allemagne aux alliés après la 1ère guerre mondiale, elle a immédiatement servi de courroie de transmission entre Wall Street et les caisses d'Hitler et sa clique (ce que confirme Bernard dans la 2e vidéo). LA BRI fonctionne comme un financeur et un superviseur des banques centrales des Etats et groupes d'Etats comme l'Europe. Elle est absolument intouchable, est indépendante de tous les Etats et institutions, et possède même sa propre police.

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