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4 mai 2020 1 04 /05 /mai /2020 14:16

On parle aujourd'hui du Nouvel Ordre Mondial et certains balayent d'un revers de manche cette proposition, mais à y regarder de plus près cela n'a t'il pas existé,

 

Il ne subsiste aujourd’hui à peu près rien de la première station de forage montée en 1859 à Titusville, en Pennsylvanie. C’est pourtant là qu’est née l’aventure du pétrole, dont la répercussion sur l’économie mondiale devait être presque aussi importante que celle de l’électricité. L’ouvrage d’Anthony Sampson, les Sept Sœurs, va plus loin que son titre ne le laisserait croire (1). Il ne décrit pas seulement la naissance et la croissance des sept plus grandes sociétés pétrolières du monde, mais aussi la formation de l’Amérique moderne, la constitution de méga-fortunes, celles de Rockefeller ou de Gulbenkian, la lente évolution des mentalités qui président aux rapports entre le monde surdéveloppé consommateur et le tiers-monde producteur, etc.

Ces quelque cinq cents pages constituent une remarquable enquête, au fil de laquelle l’auteur égrène posément les péripéties et les arguments.

La réalité qui recouvre les activités des « Sept Sœurs » est à l’image de leur flotte pétrolière, « entreprise dépourvue de centre ou de base géographique, dont le cœur navigue en haute mer entre une source intermittente d’approvisionnement et une destination sujette à changement enfin, pour couronner le tout, n’ayant d’allégeance envers aucun pays particulier ». Il y a eu les fondations américaines d’abord. Les pionniers avaient le goût et le courage du risque, même si ils ont voulu par la suite y trouver une justification à tous leurs excès, oubliant ce qu’ils devaient à une nature extrêmement généreuse. Eux-mêmes ou leurs successeurs immédiats ont fourni quelques-uns des plus beaux exemples de ce que peut donner le « capitalisme sauvage » pratiqué par des hommes de fer. Les particularités du pétrole aggravant d’ailleurs considérablement les conséquences de cette agressivité tendance au gigantisme, au monopole et, faute de mieux, au cartel, intégration verticale. Sampson montre comment ces problèmes existaient déjà au début du siècle : on les retrouve presque inchangés aujourd’hui, comme si l’activité pétrolière restait en dehors de l’économie générale, inassimilable, indomptable.

Les hommes, après les Américains, les Anglais et les Hollandais, plus tard les Français et les Italiens, se sont donné, si l’on ose dire, des « soeurs » à leur mesure. L’histoire de chacune — l’aristocratique British Petroleum, l’ombrageuse Texaco, l’exubérante Mobil— est brossée par Sampson avec un sens de l’anecdote qui a ici toute sa valeur. On frémit rétrospectivement en pensant à l’irresponsabilité des Etats laissant des originaux jouer en toute inconscience avec une géopolitique qui devait se révéler explosive. La race des acheteurs-producteurs de pétrole en engendra naturellement une autre, celle des technocrates des Etats pétroliers. Elèves appliqués, parfois d’une brillante intelligence, apprenant d’une génération à l’autre ce que l’on voulait bien leur enseigner, mais aussi, et chaque fois un peu plus, découvrant eux-mêmes les tricheries dissimulées par les « Sept Sœurs », leurs faiblesses, découvrant, comme le dit l’un d’eux, « que ces géants étalent des gens ordinaires et qu’en vérité, le rocher de Gibraltar n’était que du carton pâte ». Leurs portraits figurent aussi dans le livre de Sampson.

Le lecteur découvrira sans surprise qu’en tant que consommateur individuel les acteurs de ce drame ne lui réservent que le rôle de figuration le moins intelligent possible : dire « Ah ! » quand l’essence arrive jusqu’à la station-service, et payer, ou ne rien dire du tout, quand la pompe est à sec, et payer encore, si possible un peu plus, pour que le précieux liquide y revienne. L’auteur montre bien comment l’étrangeté, la nouveauté d’un produit qui paraissait devoir rester ubiquiste, ont favorisé chez les gouvernements des Etats consommateurs une attitude de démission, ou à tout le moins de délégation de pouvoir, dont leurs populations devaient inévitablement faire les frais.

D’autres raisons que la simple négligence ont sous-tendu la politique de ces gouvernements.

Il s’agissait parfois d’une adhésion béate au dogme du libéralisme économique (quitte à lancer périodiquement de violentes campagnes antitrusts contre les géants du pétrole) ou de la volonté de ne pas investir — politiquement ou financièrement — dans des zones lointaines apparemment subalternes par rapport à d’autres théâtres d’opérations (coloniaux souvent) promettant, eux, de substantiels dividendes électoraux. Il y eut aussi, dans le cas des Etats-Unis notamment, les conséquences d’une diplomatie pro-israélienne, heureuse de pouvoir concéder à des intérêts privés le souci des rapports avec les pays arabes. Enfin et surtout, les « Sept Sœurs » sont apparues longtemps comme un précieux corps intermédiaire, régulant d’une façon à peu près satisfaisante une distribution mondiale, ce qu’aucun Etat ou aucun groupe d’Etats n’était et n’est encore en mesure de taire, évitant en outre aux pays acheteurs et aux pays producteurs les frictions d’une diplomatie directe.

Par suite, l’économie internationale devait subir passivement les conséquences des décisions incontrôlées des pétroliers. La recherche principale du profit encouragerait les « majors » à aller toujours de l’avant – en terme de prospection ou d’exploitation – quitte à freiner des quatre fers lorsque apparaît, récurrente, une période de surproduction. Comme le dit très bien Sampson, pendant des années, « la vente des produits pétroliers était considérée moins comme une source de profits que comme une solution au problème de leur écoulement » Le seul souci alors était de maintenir le marché de la production et celui de la consommation dans un état « confortable » pour les grandes sociétés pétrolières. On imagine aisément quelle « diplomatie » cet état d’esprit a pu engendrer.

Les Etats producteurs, négligés par les sociétés pétrolières et par les Etats consommateurs, s’aperçurent d’eux-mêmes que le pétrole pouvait devenir une arme politique ; et il le devint. Sampson relate tout au long cette prise de conscience, cette prise de pouvoir, commencée par les accords de Téhéran et de Tripoli, et qui s’affirma lors de l’embargo pétrolier de 1973. Sa connaissance des principaux protagonistes de l’affrontement nous permet de suivre les chassés-croisés de cette guerre économique. La fin du livre donne à voir un réveil général de tous les acteurs de cette saga du pétrole. Cette fois, chacun a compris l’enjeu politique que recouvre, cent dix-sept ans après l’éphémère Titusville, la production d’énergie. Mais le problème est planétaire, et, à ce niveau, peu de progrès ont été faits depuis un siècle. Au centre de l’écheveau, les « Sept Sœurs », servies par l’impuissance et la division des Etats, ont encore un bel avenir devant elles.

(1) Les Sept Sœurs, Anthony Sampson, éditions Alain Moreau, Paris, 1976, 515 pages, 54 P.

Alain-Marie Carron

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4 mai 2020 1 04 /05 /mai /2020 13:36
[Henry Makow] — Le colonel à la retraite Vladimir Kvachkov du GRU (renseignement militaire russe) expose l’agenda du Nouvel Ordre Mondial sur le coronavirus. Le colonel Kvachkov, ancien du Centre d’études de défense et stratégiques de l’état-major général des forces armées russes.
« Le phénomène des coronavirus, la soi-disant pandémie — et laissez-moi vous dire — il n’y a pas de pandémie, tout ça, c’est un gros mensonge — Il doit être considéré comme une opération spéciale, stratégique et mondiale. Ce sont des exercices des pouvoirs sionistes et financiers qui manipulent en coulisse le monde pour le contrôle de l’humanité. Ils veulent réduire notre liberté et accroître leur contrôle politique. Le coronavirus et la crise financière qui ont immédiatement éclaté sont inextricablement liés. Une première tentative mondiale de retirer des droits politiques (des gens) a eu lieu le 11 septembre 2001, puis il y a eu une déclaration de guerre à l’humanité déguisée en guerre contre le terrorisme. Maintenant, ils ont besoin d’une autre excuse pour une et prise de contrôle de l’humanité. Le coronavirus a été lancé par les puissances sionistes et financières mondiales dans le but de limiter les droits politiques et de faire peur aux gens,"

 

« Le coronavirus a une origine artificielle; c’est déjà prouvé scientifiquement. Nous recevons une propagande d’information psycho-politique spéciale, une opération des médias de masse mondialistes au service des pouvoirs en coulisse qui créent cette terreur. “Ils” scrutent et recherchent qui obéit et qui ne n’obéit pas pas. De plus, les relations économiques sont passées de l’économie réelle à la bulle financière de l’économie virtuelle, qui doit maintenant être dégonflée. En Chine, ils ont une faction patriotique et une autre de pro-américains dont le seul intérêt est le fric, [les traîtres] qui ont essayé d’utiliser le coronavirus à Wuhan [jusqu’à ce que le président Xi mette fin aux enfermements]. Et puis ça a commencé en Europe. L’Europe et la Chine sont deux adversaires géo-économiques des USA. Et c’est là qu’ils ont d’abord injecté ce virus.

« Un autre objectif est de réduire la population mondiale. Ils pensent qu’il y a trop de gens ordinaires [Ils veulent] 100 millions de leur propre genre et peut-être 1 milliard de serfs pour les servir. Tant que nous ne nous débarrasserons pas des parasites internes qui nous gouvernent, nous ne résisterons pas aux autres parasites. »

 

La traduction de l’entrevue

Vladimir Vasilyevich Kvachkov, ancien responsable du renseignement russe a déclaré dans une interview à la télévision russe devant 100 millions de téléspectateurs que l’épidémie du Covid-19 était un contrôle mondial de l’initiative d’un nouvel ordre mondial.

L’ancien colonel des Spetsnaz, docteur en sciences militaires et publiques a déclaré qu’« il n’y a pas d’épidémie, c’est tout un mensonge. Le Covid-19 est en fait une arme qu’ils utilisent pour se renseigner sur l’avenir proche, sur la possibilité de domination mondiale. »

Il a également déclaré : « Ceux à la tête de l’élite économique mondiale visent à diluer la population mondiale. C’est tout leur gagne-pain. Le reste des personnes qui les serviront ne devrait pas dépasser un milliard de personnes et alors ils peuvent vraiment célébrer et savourer à volonté, donc il y a un lien entre le virus du Covid-19 et le ralentissement économique mondial, le lien le plus étroit avec lequel les gens se sont habitués à un certain niveau de vie et de liberté, C’est donc ce qu’ils font avec ce virus », a-t-il déclaré.

De la théorie mondiale des armes biologiques au contrôle de la vie humaine, le général décrit ensuite l’attaque terroriste contre les tours jumelles du 11 septembre 2001 et déclare : « Leur première expérience de contrôle (du Nouvel Ordre Mondial) a eu lieu dans la période du 11 septembre lorsque les tours jumelles de New York sont tombées. Comme mentionné, il y avait quatre avions dans cette histoire, et les médias ne montrent constamment que les deux avions qui sont entrés dans les bâtiments jumeaux.

« Selon les Américains, deux terroristes ont saisi des avions Boeing et sont entrés directement dans les tours jumelles, le World Trade Center. Les enquêtes ont révélé que des terroristes s’étaient auparavant entraînés sur de petits avions simples. Cependant, j’ai parlé à des pilotes de Boeing hautement expérimentés qui prétendent que c’était impossible pour quiconque pratiquait auparavant. Oui, sur des avions qui ne sont pas ce genre de Boeing, pour les faire naviguer avec une telle précision, même les pilotes très expérimentés qui atterrissent sur des terrains d’atterrissage ont toujours besoin de navigation extérieure et prennent du temps, jusqu’à ce qu’ils atterrissent avec une grande précision et succès.

« Pour ceux qui n’ont pas beaucoup d’expérience, c’est une tâche impossible. Nos pilotes militaires ont enquêté sur le problème et ont conclu que ces deux avions pouvaient atteindre autant et toucher les bâtiments, que si quelqu’un contrôlait ces avions à distance, avec les pilotes eux-mêmes dans l’avion, aucun contrôle. Soit dit en passant — la base des chercheurs qui ont enquêté sur le problème des tours jumelles était dans un endroit appelé Lourdes, et après notre enquête, cette base a été complètement détruite pour une raison quelconque. »

Le colonel a également déclaré : « Les Américains affirment que l’attentat sur le bâtiment du Pentagone était un énorme Boeing et qu’il a percuté un bâtiment de cinq étages. Et la question est, alors, où sont les restes de l’avion ? Il n’y avait pas de débris de l’avion au Pentagone. Un avion, pas de cadavres, pas de preuves, rien. Dans un cas d’enquête typique, rassemble toujours toutes les parties de l’avion qui ont été laissées pour comprendre les causes de l’attaque et ici, il n’y a tout simplement rien. La partie du Pentagone détruite était à ce moment là en pleines rénovations. Selon nos chercheurs, les gens qui sont venus dans la région ont en fait envoyé une fusée dans le but exact de la construction du Pentagone et une attaque terroriste créée par un avion.

« En fait, c’était le programme de l’élite gouvernant dans les coulisses, dans leur première tentative, d’exercer un contrôle sur les humains, en contrôlant par la peur. Par conséquent, même ce qui se passe maintenant avec le Corona, ce n’est pas du tout une épidémie. Sur la planète, beaucoup moins que ce qu’ils disent dans les médias, bien sûr, nous sommes désolés pour chaque personne décédée, mais si nous la comparons avec le nombre de personnes autour de la planète, c’est un nombre très minime.

« C’est une autre des tentatives de l’élite économique gouvernante d’inculquer la peur aux êtres humains et, ce faisant, de leur ôter les libertés générales auxquelles les humains se sont habitués à la dernière génération. C’est leur objectif initial, mais l’objectif général est, comme je l’ai déjà mentionné, de diluer la population de la terre.

« Ils veulent juste contrôler l’humanité en contrôle absolu. Ils veulent renverser l’économie mondiale. C’est pourquoi toute l’épidémie a commencé en Chine. les médecins chinois, après avoir fait des recherches sur le virus, sont arrivés à une conclusion sans équivoque — ce virus est un produit de laboratoire présenté aux humains. Les généticiens chinois et autres experts du monde sont arrivés à cette conclusion.

« Ici en Italie, nous voyons que le virus est plus fort que le reste du monde, et beaucoup plus de personnes sont infectées et mortes. Encore une fois, si nous regardons sous un angle différent et regardons les données, nous constaterons que, chaque année, en Italie, les malades avec des soucis respiratoires meurent dix fois plus de leurs maladies que du Coronavirus. Tout les résultats de l’infection et de la mort suite (soi disant) au Coronavirus qu’ils ont aujourd’hui sont honteusement faux. Encore une fois, je souligne, leur objectif est de faire tomber la terreur et la peur sur les humains, de voir quel groupe de personnes, ou quel État, ils peuvent contrôler ou pas», a conclu le colonel.

Une brève analyse :

 

Nous retrouvons ici le florilège du complotisme, mais il faut bien se poser la question, y a t il un complot d'expansionnisme mondial ou le siège du gouvernement serait à Jérusalem, l'ancienne Sion, en tout cas beaucoup d'éléments laissent supposer d'intérêts communs, d'alliances de circonstances tout à fait opportunistes, comme on a pu le constater dans "Le secret des sept soeurs" ou les compagnies pétrolières ont agit de concert pour s'accaparer les champs pétrolifères du Moyen Orient, puis du reste du monde.

à partir de ce fait je vous laisse seuls juges de ce que des intérêts communs entre puissants peuvent faire sur les multitudes. Aussi n'est il pas incongru de penser à ce type d'alliance, aussi étonnantes parfois que ce celles de la carpe et du lapin.

D'autre part, notez que ce refrain d'un complot international semble une rémanence du côté de l'ex URSS qui trouve de nombreux échos dans la terre du milieu qu'est l'Europe coinçée entre les USA et la Russie dont le destin est d'alterner entre une Europe et une Eurasie.

Aussi convient il de se poser la question de ce qui est la manipulation médiatique sur le net et la diffusion de certains éléments qu'il convient de vérifier absolument, et de ce fait on ne peut à l'heure actuelle se fier aux médias nationaux européens tous qu'ils sont assujettis à leur dépendance financière et par la même obligé à des redevabilités ou des excès de servilité, ce que certains n'hésitent pas à anticiper car telle est leur nature.

 

À propos du colonel Vladimir Kvachkov

Le colonel Vladimir KvachkovVladimir Vasilievich Kvachkov (russe : Влади́мир Васи́льевич Квачко́в ; né le 5 août 1948) est un ancien colonel russe Spetsnaz et officier du renseignement militaire, connu pour avoir été arrêté et inculpé pour la tentative d’assassinat du politicien et homme d’affaires Anatoly Chubais [1] en 2005, pour lequel il a été emprisonné pendant trois ans jusqu’à ce qu’il soit acquitté le 5 juin 2008. Kvachkov n’a pas admis ni nié son rôle dans la tentative d’assassinat, déclarant au contraire l’acte non criminel, et que l’élimination de Tchoubaïs et de l’actuel gouvernement russe était justifiée car la Russie est sous l’occupation d’une « mafia judéo-maçonnique ».

En 1981, peu de temps après avoir obtenu son diplôme de l’académie militaire, Kvachkov a commencé à servir dans le district militaire de Leningrad. En 1983, il a été transféré en Afghanistan pour diriger une brigade de GRU Spetsnaz pendant la guerre soviéto-afghane, où il fut atteint du « choc de l’obus » et a dû subir des soins médicaux.

De 1984 à 1986, Kvachkov a servi à Pskov, et de 1986 à 1989, il a été chef d’état-major d’une brigade du Groupe des forces soviétiques en Allemagne. En 1989, Kvachkov est devenu le commandant de la 15e brigade GRU Spetsnaz située dans le district militaire du Turkestan, et a participé à des conflits militaires en Azerbaïdjan pendant la guerre du Nagorno-Karabakh en 1990, et au Tadjikistan pendant la guerre civile en 1992. Kvachkov a servi plus tard comme consultant militaire pour le film Black Shark, où il a également joué un rôle de colonel Spetznaz dans le film.

En 1997, Kvachkov et Pavel Popovskikh (à l’époque le chef du renseignement militaire des troupes aéroportées russes) ont organisé la conférence scientifique sur les opérations spéciales et la nécessité de créer la branche des forces spéciales de l’armée russe. Kvachkov et Popovskikh ont préconisé de faire des groupes Spetsnaz un bras de service des forces armées de la Fédération de Russie. La réforme qu’ils ont proposée n’a pas été acceptée.

Le 17 mars 2005, le politicien et homme d’affaires Anatoly Chubais [1] a échappé de justesse à une embuscade à l’extérieur de Moscou lorsque son convoi a été dynamité par des bombes routières et piégé par des tirs automatiques. Bientôt Kvachkov et deux autres anciens soldats de Spetznaz, Alexander Naydenov et Robert Yashin ont été arrêtés sous le soupçon d’être impliqués dans la tentative d’assassinat. Le tribunal du district de Meshchansky de Moscou a approuvé une arrestation de dix jours pour Kvachkov. Les enquêteurs ne disposaient d’aucune preuve directe ou indiquant sa culpabilité, mais des preuves indirectes ont permis au tribunal de délivrer le mandat. La version était principalement basée sur les paroles d’un seul témoin, Igor Karvatko.

Alors que la première perquisition au domicile de Kvachkov n’a rien révélé de criminel, la deuxième perquisition a trouvé des pétards dans la datcha de Kvachkov. Kvachkov a nié son implication et a refusé d’aider l’enquête. Le 25 mars 2005, les procureurs russes ont officiellement inculpé Kvachkov de tentative d’assassinat. Les médias libéraux pro-Kremlin ont plaidé pour des « peines sévères » pour refroidir les « vengeurs populaires » et enfin, après trois ans d’emprisonnement, Kvachkov, Naydenov et Yashin ont été acquittés par le tribunal le 5 juin 2008.


« Tant que nous ne nous débarrasserons pas des parasites internes qui nous gouvernent, nous ne résisterons pas aux autres parasites. »

Vladimir Kvachkov

______

NOTE :

  1. Anatoli Borissovitch Tchoubaïs (en russe : Анатолий Борисович Чубайс), né le 16 juin 1955 à Borissov (RSS de Biélorussie), est un homme politique, économiste, oligarque et dirigeant d’entreprise russe. Personnage controversé et très impopulaire en Russie1, au point que l’expression « c’est toujours la faute de Tchoubaïs (ru) » fasse partie de la vie courante, il fut l’un des idéologues et des auteurs des réformes économiques des années 1990 (ce fut notamment lui qui conçut et organisa la privatisation par coupons). Sa fortune estimée à environ un milliard de dollars en fait un des hommes d’affaires les plus riches de Russie. Président, de 2001 à 2008, du monopole national de distribution d’électricité RAO EES Russie, il dirige, depuis le 22 septembre 2008, le conglomérat d’État Rusnano, chargé du développement des nanotechnologies en Russie.
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24 avril 2020 5 24 /04 /avril /2020 09:33
Que savaient les services secrets américains sur le coronavirus ? Est ce une manipulation pour autre chose ?

Je reprends cet excellent article sur ce que savaient les services secrets américains. Il faut se poser des questions essentielles aux vues des éléments qui ont fuités.

Pour ma part vous trouverez dans mon dossier coronavirus plusieurs articles qui peuvent vous guider.

Ensuite deux articles sur :

- la création d'un virus (coronavirus) de laboratoire par la docteur Zhengli en 2015, preuve à l'appui avec dépot de recherche dans la revue Nature,

- Une affaire de vol de données au laboratoire P4 de Winnipeg au Canada d'un coronavirus en 2019 et du décès assez curieux du directeur de ce laboratoire.

Donc nous voici avec de nouveaux éléments qui suggèrent que les services secrets américains étaient au courant d'une potentielle épidémie bien avant que celle ci ne se déclare et notamment sur Wuhan.

Alors pourquoi ? Est ce pour couvrir la crise financière qui couvait, ou est ce pour instaurer un ordre mondial répressif (voyez certains de mes articles sur les restrictions des droits individuels) ou est ce aussi pour les deux ?

 

 

"Savoir exactement où chercher

Il est inconcevable que les services de renseignements américains, en l’occurrence le NCMI, n’aient pas eu connaissance de ces développements en Chine, compte tenu de l’espionnage de la CIA et du fait que ces discussions étaient ouvertes sur Weibo et WeChat. Ainsi, si le « produit » du NCMI n’est pas un faux et existe réellement, il n’a fait que révéler la preuve, en novembre, de quelques vagues cas de peste pneumonique.

L’avertissement – à la DIA, au Pentagone, au Conseil National de Sécurité et même à la Maison Blanche – portait donc sur ce point. Il ne pouvait pas s’agir du coronavirus.

La question brûlante est inévitable : comment le NCMI pouvait-il être au courant d’une pandémie virale, déjà en novembre, alors que les médecins chinois n’ont positivement identifié les premiers cas d’un nouveau type de pneumonie que le 26 décembre ?

Ajoutez à cela la question intrigante de savoir pourquoi le NCMI s’est intéressé à cette saison particulière de la grippe en Chine en premier lieu – des cas de peste traités à Pékin aux premiers signes d’une « mystérieuse épidémie de pneumonie » à Wuhan.

Il se peut qu’il y ait eu de subtils indices d’une légère augmentation de l’activité dans les cliniques de Wuhan fin novembre et début décembre. Mais à l’époque, personne – les médecins chinois, le gouvernement, sans parler des renseignements américains – n’aurait pu savoir ce qui se passait réellement.

La Chine ne pouvait pas « couvrir » ce qui n’a été identifié comme une nouvelle maladie que le 30 décembre, dûment communiqué à l’OMS. Puis, le 3 janvier, le chef du CDC américain, Robert Redfield, a appelé le haut responsable chinois du CDC. Les médecins chinois ont séquencé le virus. Et ce n’est que le 8 janvier qu’il a été déterminé qu’il s’agissait du Sars-Cov-2 – qui provoque le Covid-19.

Cette chaîne d’événements rouvre, une fois de plus, une redoutable boîte de Pandore. Nous avons l’événement 201, qui arrive à point nommé ; la relation intime entre la Fondation Bill et Melinda Gates et l’OMS, ainsi que le Forum Économique Mondial et la galaxie Johns Hopkins à Baltimore, incluant l’École de Santé Publique Bloomberg ; le combo identité numérique ID2020/vaccin ; Dark Winter – qui a simulé une bio-attaque de variole sur les États-Unis, avant que l’attaque à l’anthrax de 2001 ne soit imputée à l’Irak ; les sénateurs américains qui se débarrassent de leurs actions après un briefing du CDC ; plus de 1 300 PDG qui abandonnent leur confortable perchoir en 2019, « prévoyant » l’effondrement du marché total ; la Fed qui déverse de l’argent hélicoptère dès septembre 2019 – dans le cadre du QE4.

Et puis, validant le rapport d’ABC News, Israël intervient. Les renseignements israéliens confirment que les renseignements américains les ont effectivement avertis en novembre d’une pandémie potentiellement catastrophique à Wuhan (une fois de plus : comment ont-ils pu savoir cela la deuxième semaine de novembre, si tôt dans la partie ?) Et les alliés de l’OTAN ont été avertis – en novembre également.

Le bilan est explosif : l’administration Trump ainsi que le CDC avaient un délai d’avance de pas moins de quatre mois – de novembre à mars – pour être correctement préparés à l’éventualité où le Covid-19 frapperait les États-Unis. Toute l’affaire « La Chine est une sorcière » est démystifiée.

De plus, la révélation israélienne soutient ce qui n’est rien de moins qu’extraordinaire : Les renseignements américains connaissaient déjà l’existence du Sars-Cov-2 environ un mois avant les premiers cas confirmés détectés par les médecins dans un hôpital de Wuhan. Une intervention divine.

Cela n’aurait pu se produire que si les renseignements américains étaient au courant, avec certitude, d’une chaîne d’événements antérieure qui aurait nécessairement abouti à la « mystérieuse épidémie » de Wuhan. Et pas seulement cela : ils savaient exactement où chercher. Ni en Mongolie intérieure, ni à Pékin, ni dans la province de Guangdong.

Il n’est pas de trop de répéter la question dans son intégralité : comment les renseignements américains ont-ils pu être au courant d’une contagion un mois avant que les médecins chinois ne détectent un virus inconnu ?

Mike « Nous mentons, nous trichons, nous volons » Pompeo a peut-être dévoilé le jeu lorsqu’il a déclaré, en public, que le Covid-19 était un « exercice en live ». Si l’on ajoute à cela les nouvelles d’ABC et les rapports israéliens, la seule conclusion possible et logique est que le Pentagone – et la CIA – savaient d’avance qu’une pandémie serait inévitable.

C’est la preuve irréfutable. Et maintenant, le gouvernement américain couvre toutes les bases en accusant la Chine proactivement et rétroactivement."

Pepe Escobar

source : https://www.strategic-culture.org

traduit par Réseau International

 

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23 avril 2020 4 23 /04 /avril /2020 13:15

OUI, lui même Pierre Jovanovic s'interroge sérieusement sur plusieurs indices et recoupements qui semblent aller vers une construction du Nouvel Ordre Mondial.

En partant des informations financières il a beaucoup de difficultés a définir un fil naturel mais plutôt manigancé vers une direction mondialiste qui commence à s'instaurer.

 

Il s'interroge sur la difficulté à trouver en France des masques. Je vous donne la réponse.....

et bien les masques filtrent les gaz lacrymogènes eh oui ! Et comme cette fine équipe s'attend quand même à ce que ça rue dans les brancards !!!

Alors que faire, masques ou pas masques !

 

 

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22 avril 2020 3 22 /04 /avril /2020 15:52
Masquez ou débranchez votre webcam et couvrez votre microphone à cause du piratage

OUI, a l'heure actuelle, beaucoup utilisent leur webcam ainsi que leur microphone, hors les pirates utilisent une attaque en ligne connue sous le nom de « camfecter. Ces pirates prennent le contrôle de votre webcam en désactivant votre touche off et à partir de ce moment là vous êtes filmés à votre insu ; il en va de même pour votre microphone.

 

Mais outre les cybercriminels qui utilisent certains fameux spams, d'autres proviennent d'actes d'espionnage d'entreprise ou pis encore des agences de renseignements gouvernementales.

 

"Deux techniques d’acquisition sont couramment utilisées dans les attaques de webcams. La première est connue sous le nom de RAT (Remote Administration Tool) et la seconde se fait par le biais d’un faux « support technique à distance » proposé par des personnes malveillantes.

Le véritable support technique à distance provient généralement de votre fournisseur Internet. Nous faisons confiance à nos techniciens agréés, mais vous ne devriez pas accorder cette confiance à un « ami » que vous connaissez à peine et qui vous propose d’utiliser son propre logiciel de support technique à distance pour vous « aider » à résoudre un problème.

Un exemple de RAT est un cheval de Troie transmis par courrier électronique. Cela permet aux pirates informatiques de contrôler un appareil en interne."

 

La possibilité d’installer un RAT existe depuis plusieurs années. En 2015, un RAT populaire pouvait être acheté sur Internet pour seulement 40 dollars américains. Le logiciel malveillant (logiciel nuisible) peut être déployé via un courriel, une pièce jointe ou une clé USB.

 

Et que dire de vos maisons dites "intelligentes". Je vous laisse le soin de penser aux conséquences d'un contrôle du centre de gestion de tout ces appareils, caméra, appareil avec qui l'on parle et qui vous espionne à distance, vidéo surveillance du domicile etc...

 

Donc pratiquez la cyberhygiène, fermez vos ordinateurs quand vous ne vous en servez plus, ne les laissez pas en veille, mettez des bandes opaques sur vos webcam ou un chiffon épais, et bouchez votre microphone.

J'ajoute que si vous travaillez dans une entreprise, vous n'avez pas les moyens de sécurités forcément identiques à domicile alors parlez en en réunion surtout si vous travaillez dans des secteurs sensibles...

 

Merci de votre attention

 

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20 avril 2020 1 20 /04 /avril /2020 14:04
La pétition de la Maison Blanche pour enquêter sur la «Fondation Bill Gates» pour les crimes contre l'humanité et les fautes professionnelles médicales dépasse les 80 000 signatures.

La pétition de la Maison Blanche  pour enquêter sur la «Fondation Bill Gates» pour les crimes contre l'humanité et les fautes professionnelles médicales dépasse les 80 000 signatures.

Roger Stone a suggéré lundi que Bill Gates pourrait avoir contribué à la création d'un coronavirus afin qu'il puisse planter des micropuces dans la tête des gens pour savoir qui a et n'a pas été testé pour COVID-19.

Roger Stone a suggéré lundi que Bill Gates pourrait avoir contribué à la création du coronavirus

«Le fait que Bill Gates ait joué un rôle dans la création et la propagation de ce virus est sujet à débat. J'ai des amis conservateurs qui disent que c'est ridicule et d'autres disent absolument », a déclaré Stone à Joe Piscopo, animateur de l'émission de radio« The Answer »à 9 h 70, qui avait posé des questions sur les théories du complot concernant la pandémie.

«Lui et d'autres mondialistes l'utilisent pour les vaccinations obligatoires et les micropuces afin que nous sachions s'ils ont été testés. Sur mon cadavre. Vaccinations obligatoires? Pas question, Jose! " Stone a déclaré à un adepte de Piscopo, qui a qualifié le conseiller de longue date du président Trump de «légende».

Maintenant, une pétition de la Maison Blanche appelle à des enquêtes sur la «Fondation Bill & Melinda Gates» pour faute professionnelle médicale et crimes contre l'humanité

La pétition déclare:

Alors que nous examinons les événements entourant la «pandémie de COVID-19», diverses questions restent sans réponse. Le 18 octobre 2019, quelques semaines seulement avant la déclaration de Ground Zero à Wuhan, en Chine, deux événements majeurs ont eu lieu.

L'un est «l'événement 201», l'autre est les «Jeux mondiaux militaires», qui se déroulent à Wuhan. Depuis lors, une campagne mondiale pour les vaccins et le suivi biométrique a été lancée.

Au premier plan, Bill Gates, qui a déclaré publiquement son intérêt à «réduire la croissance de la population» de 10 à 15% par la vaccination. Gates, l'UNICEF et l'OMS ont déjà été accusés de manière crédible d'avoir stérilisé intentionnellement des enfants kenyans en utilisant un antigène HCG caché dans des vaccins contre le tétanos.

CLIQUEZ ICI POUR SIGNER LA PÉTITION

Le Congrès et tous les autres organes directeurs sont laissés pour compte jusqu'à ce qu'une enquête approfondie et publique soit terminée.

Source : breakingwide du 15 avril 2020

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20 avril 2020 1 20 /04 /avril /2020 13:49
Quelles données numériques  pourraient être  utilisées dans le cadre du coronavirus
Quelles données numériques  pourraient être  utilisées dans le cadre du coronavirus

"Les innovations numériques de lutte contre la pandémie du COVID-19 se multiplient en France et à l’étranger.

Il convient toutefois de rester prudent quant à l’usage des données personnelles que font les propriétaires des innovations numériques. On peut par exemple s’inquiéter comme l’Observatoire de l’intelligence économique du recours par l’Assistance Publique – Hôpitaux de Paris aux solutions du géant états-unien du big-data Palantir, proche de la CIA, pour le traitement des données de santé. "

Donc restons très prudent avant d'accepter l'utilisation d'investigations numériques, si cela est imposé, il faut le refuser

"Rappelons donc à chacun quels types de données peuvent être collectés (ou non) par des innovations numériques :

Les données biométriques sont les caractéristiques physiques ou biologiques permettant d’identifier une personne (ADN, contour de la main, empreintes digitales, reconnaissance faciale, etc.). Certains pays (Russie, Chine) ont eu recours à l’usage de ces données dans le cadre de la lutte contre le coronavirus.

Les données de santé sont actuellement sur le devant de la scène. Le règlement européen sur la protection des données personnelles (RGPD), qui est entré en application le 25 mai 2018, procède à une définition large des données de santé : « Les données à caractère personnel concernant la santé sont les données relatives à la santé physique ou mentale, passée, présente ou future, d’une personne physique (y compris la prestation de services de soins de santé) qui révèlent des informations sur l’état de santé de cette personne. » Sont donc compris dans cette définition, les résultats d’examens médicaux, les données génétiques, les échantillons biologiques, les antécédents médicaux, les traitements, etc. Ces données de santé sont considérées comme sensibles et font l’objet d’une protection particulière par les textes (règlement européen sur la protection des données personnelles, loi Informatique et Libertés, code de la santé publique, etc.). Elles sont collectées par les autorités sanitaires qui en détiennent la gestion. Le plus souvent dans la crise actuelle se sont les Etats qui vont les utiliser pour les croiser avec d’autres données (mobiles ou de géolocalisation par exemple pour localiser des personnes atteintes du virus ou retracer leurs déplacements et les personnes qu’ils ont pu croiser).

Les données de géolocalisation sont obtenues par des procédés permettant de positionner un appareil (téléphone, objet connecté, véhicule, etc.) sur un plan ou une carte à l’aide de ses coordonnées géographiques. Elles permettent par extrapolation de positionner la personne utilisatrice de l’appareil. Ces données peuvent être détenues par les opérateurs mobiles ou les gestionnaires des appareils. Ainsi, Orange a fournit ces données, anonymisées, aux autorités (INSERM), pour évaluer précisément combien de parisiens avaient quitté la capitale en période de confinement.

Les données mobiles rassemblent les informations numériques échangées, via internet, entre l’extérieur et les applications installées par l’utilisateur sur son smartphone. Certaines applications vous demandent donc d’avoir accès votre agenda, vos contacts, d’autres application, votre position géographique, etc. Une fois l’autorisation accordée le gestionnaire de l’application peut en disposer, l’utilisateur lui ayant donné son accord.

Les données Bluetooth concernent de la même manière les informations numériques échangées, entre deux appareils par la technologie de radio courte distance Bluetooth. Plusieurs applications de lutte contre le coronavirus utilisent la technologie Bluetooth, notamment en Europe, pour éviter d’avoir recours aux données de géolocalisation. Elles permettent alors de communiquer avec les appareils proche du sien (à condition que le mode Bluetooth soit activé). Plus que des données, il s’agit en fait d’un mode de transmission de données.

Une donnée personnelle est une information permettant d’identifier directement ou indirectement une personne physique et dont, parce qu’elle la concerne, celle-ci doit en conserver la maîtrise. il s’agit donc des noms et prénoms, des numéros de téléphone, plaques d’immatriculation, numéros de sécurité sociale, adresses postales ou mails, mais aussi maintenant une image ou un échantillon de voix.

Nous renvoyons nos lecteurs vers les cartographies réalisées par région qui spécifient le risque éthique et réglementaire (faible, moyen, fort) par pays (www.covid-innovation.fr).

 

Enfin, rappelons que s’il existe un droit à l’oubli numérique dans certains pays ou région (France, Europe), celui ci n’est applicable que dans ces zones et surtout que si ce droit à l’oubli numérique existe, l’oubli numérique lui n’existe pas. Le citoyen pourra donc, dans certains cas, demander l’effacement de ses données, mais celles-ci auront pu être copiées, volées ou piratées entre temps, voire données ou vendues après transformation (anonymisation par exemple). Il sera bien évidement impossible de faire valoir ses droits dans ces cas.

Il nous paraît donc aujourd’hui plus que nécessaire de lire les conditions générales d’utilisation des applications de lutte contre la pandémie avant des les accepter en étant bien conscient qu’un retour en arrière sera bien difficile.

 

 

Source : Atlantico

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20 avril 2020 1 20 /04 /avril /2020 13:42

Il évoque également que les dispositions de contrôle resteront après la période de déconfinement.

 

Edward Snowden est également de cet avis et déclare qu’à « mesure que l’autoritarisme se répand, que les lois d’urgence se multiplient, que nous sacrifions nos droits, nous sacrifions également notre capacité à arrêter le glissement dans un monde moins libéral et moins libre ».

 

Lien : La Chine interdit toute publication de contenu négatif sur internet.

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20 avril 2020 1 20 /04 /avril /2020 13:31
Un appel d'offre le 3 mars pour 3,6 millions d'euros de gaz Lacrymogènes

le 3 mars, a été publié l’appel d’offre pour des aérosols lacrymogènes pour plus de 3,6 millions d’euros, « au profit de la police nationale et de la gendarmerie nationale » , précisément des « Aérosols CS à diffusion dispersive petite capacité (40 à 50 ml) », des « Aérosols CS à diffusion dispersive moyenne capacité (300 ml) » et des « Aérosols CS à diffusion dispersive grande capacité (500ml) ».

- Télécharger l’avis d’achat :

Avis d’achat d’aérosols lacrymogènes 3 mars 2020.

En revanche, ce n’est que le 28 mars que le ministre de la Santé, Olivier Véran, a annoncé que le gouvernement avait commandé 5 millions de tests rapides du coronavirus.

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20 avril 2020 1 20 /04 /avril /2020 13:23
L'Etat achète pour 4 millions d'euros de drones

Dans le cadre du contrôle étatique de la population, comment peut on le nommer autrement, l'Etat achète pour 4 millions de drones. Soit 650 drones.

 

Publié le 12 avril au bulletin officiel des annonces des marchés publics, cet appel d’offres prévoit de dépenser près de 4 millions d’euros hors TVA pour différents types de drones, y compris de très discrets nano-drones d’un poids de maximum 50 grammes.

Pour votre sécurité, vous serez tous surveillés !

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