Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Contact : Administrateur@Henrydarthenay.com

  • : Vouillé un peu d'Histoire
  • : Histoire, politique historique comparée, économie, finance, généalogie, techniques Moyen âge,
  • Contact

vous êtes 1784 000 visiteurs 300 000 pages lus et je vous en remercie vues , merci de votre visite

contact :henry.arthenay@hotmail.fr
 
Facebook :
 

Youtube 

 
Crowdbunker 

 
 

Recherche

réf.

16 décembre 2022 5 16 /12 /décembre /2022 17:44

Cette histoire d'énergie est l'arbre qui cache la forêt, on s'aperçoit que Blackrock, Vanguard et autres sociétés investissement s'intéressent au secteur environnemental (carbones notamment) , via la Smart Global Gouvernance. Les ESG Américaines dont la gestion notamment par Blackrock et Vanguard est remis en cause.

Au début des années 1990, BlackRock a commencé à étendre considérablement son intérêt pour les investissements ESG. Le PDG Larry Fink a qualifié l’ESG de « plus grande opportunité d’investissement jamais offerte », selon le Wall Street Journal. [Sources : 12]

L’ESG, qui signifie Environnemental, Social et Gouvernance, concerne trois facteurs clés pour mesurer la durabilité d’un investissement. L’ESG est souvent considéré comme un instrument de mesure de la durabilité des investissements, mais il désigne également la durabilité environnementale, la durabilité sociale et la durabilité économique. Sources : 10,3]

L’ESG a été utilisé pour la première fois dans la gouvernance en 2005 – à la Société financière internationale comme base d’investissement – et s’est largement répandu dans les années suivantes. Le concept a évolué à tel point que l’ESG est désormais le fondement de l’investissement durable et responsable (ISR). C’est aujourd’hui un élément clé de ce que l’on appelle les « investisseurs socialement responsables » et les « carrières gagnantes ». [Sources : 9,2,10]

 

Mais on voit également que Bill Gates lorgne sur le  secteur de l'énergie, donc un panel assez représentatif d'investisseurs que l'on retrouve  dans d'autres secteurs tels que Big Pharma. Par la vente d'Alstom en 2015 par Macron à la CGE à un prix dérisoire ne doute pas qu'une politique de prédation s'est opéré sur le plan national, mais aussi Européen. Aujourd'hui la dépendance Européenne énergétique profite largement aux USA, toutes les conditions ont été réunies pour que cela arrive 

Henry

 

_________________________________________________

 

Vidéo à voir absolument, de l’explosif avec en complément une grande partie clairement énoncée des noms des traître. Nous arrivons à un moment crucial de notre histoire toute récente où tout ou presque va basculer. Faisons en sorte que   toutes ces révélations sulfureuses qui vont se succéder les unes à la suite des autres ne retombent pas dans l’oubli. Il faut entretenir et amplifier cette dynamique. C’est là le rôle et la mission des politicards, ceux qui se prétendent et se disent patriotes.

En cette période de risque de restriction énergétique cette vidéo est cataclysmique pour macron et sa bande, des fossoyeurs de la France et des Français.

 

Comment en est-on arrivés là ? C’est la question que pose en substance le 11 décembre 2022 Ivan Rioufol à son invité, Fabien Bouglé, expert en politique énergétique, et Fabien, vous allez voir, ne passe pas par quatre chemins : la situation énergétique dramatique que vit la France, actuellement, est due à une guerre que l’Allemagne mène contre nos intérêts depuis 20 ans, et qui a contribué, avec la complicité de hauts dirigeants politiques français, à affaiblir notre filière nucléaire, et donc notre indépendance énergétique.

Bouglé  : « En fait, avant de se poser la question de savoir si on a une crise énergétique, en réalité, le problème c’est de comprendre que nous sommes en guerre énergétique, et je pense qu’il est important d’alerter nos concitoyens qu’en réalité cette guerre énergétique prend ses racines il y a à peu près 20 ans, et cette guerre énergétique, elle vient de l’Allemagne. C’est une guerre déclarée par l’Allemagne contre la France.

C’est une guerre des temps modernes, une guerre économique, où l’Allemagne veut s’approprier la maîtrise de notre système énergétique en mettant en place un mix éoliennes-gaz, gaz venant de Russie, maintenant c’est plutôt du charbon, et pour imposer ce modèle à la France, il fallait une destruction de notre système nucléaire et il fallait une disparition progressive de nos réacteurs nucléaires. Et c’est toute cette logique qui est au cœur de cette destruction intellectuelle politique et juridique du nucléaire français, et qui est à l’origine de cette crise qui est en fait la conséquence d’une guerre.

En fait, ça a commencé en plusieurs étapes, la première étape ça a été Corinne Lepage, qui a été donc ministre jupette de Jacques Chirac, qui était, il faut le rappeler, avocate de la ville de Genève pour faire fermer Superphénix, et, dans un conflit d’intérêt incroyable, Corine Lepage est ministre de l’Environnement et continue, lorsqu’elle est ministre, à vouloir faire fermer Superphénix. Et elle est avocate ensuite des promoteurs éoliens, puisqu’il y a une liaison en fait entre la destruction de notre système nucléaire et la promotion du système éolien, les deux raisons sont complètement liées.

Ensuite vous avez Dominique Voynet, qui est apparue dans une vidéo tout à fait récente qui fait le buzz actuellement, d’une vidéo où elle explique que ministre de l’Environnement de Lionel Jospin, elle avait la mission d’aller à la Commission européenne pour défendre le fait que le nucléaire appartenait aux énergies d’avenir et elle a saboté cette présence en utilisant un prétexte fallacieux de la Grande-Bretagne pour faire supprimer le nucléaire des listes des énergies d’avenir, et rappelez-vous, elle a surtout contribué à la fermeture de Superphénix dans le cadre de l’accord. »

Ce qu’énonce très clairement Bouglé, et que résume Rioufol, c’est la trahison d’une partie de la classe politique française non pas au profit de l’Europe, ou de l’environnement, mais des intérêts allemands, qui coïncident officiellement, depuis l’avènement de l’euro, avec les intérêts dits européens. Cependant, aujourd’hui, malgré une Leyen allemande à la tête de l’Union européenne, ce sont les intérêts américains qui prévalent en Europe, et qui vont contre les intérêts industriels allemands. La soumission énergétique de la France au profit de l’Allemagne aura affaibli considérablement l’Europe, et maintenant c’est l’Allemagne qui risque de souffrir de désindustrialisation du fait de la crise énergétique provoquée par les Américains. On est toujours trahi par plus vilain que soi…

Dans ce jeu complexe de guerre économique, les écologistes ont été eux aussi manipulés ; on pense aux écolos de base, pas à leurs dirigeants, qui savaient ce qu’ils faisaient en participant à la destruction de la filière nucléaire, fleuron industriel français. Aujourd’hui, le gouvernement et le Président multiplient les messages expliquant qu’ils vont relancer la filière à toute allure, mais le mal est fait. Et des projets prometteurs comme Astrid ont été abandonnés en rase campagne, comme l’explique Bouglé ici.

L’émission entière : indispensable

Causes et conséquences de l’abandon du projet Astrid

Un rapport parlementaire tire à boulets rouges sur l’impact de l’abandon par la France en 2019 du projet de réacteur nucléaire de 4e génération Astrid. Et il réclame une stratégie de recherche sur le nucléaire avancé. Ses auteurs appellent à « relancer le débat démocratique sur ce sujet central pour l’indépendance et la souveraineté de la France », selon une synthèse présenté mercredi par les député Thomas Gassilloud (Agir ensemble) et le sénateur Stéphane Piednoir (LR). Lors d’une conférence de presse, ce dernier a regretté « la procrastination à l’œuvre depuis 2019 », quand le Commissariat à l’énergie atomique (CEA) a annoncé que le déploiement industriel d’un réacteur de 4e génération, pour succéder à l’EPR, n’interviendrait pas avant la deuxième moitié du siècle.

Le projet Astrid, porté par le CEA depuis 2010, repose sur un réacteur à neutrons rapides refroidis au sodium, d’une puissance de 600 mégawatts. Il permet d’utiliser plusieurs fois le plutonium et même d’en produire plus qu’il n’en consomme par « surgénération », grâce à de l’uranium de retraitement ré-enrichi. Les rapporteurs estiment que la suspension du projet a quatre impacts. Une « image écornée » du nucléaire français, selon M. Piednoir, avec une décision qui « sème le doute sur la cohérence de la démarche de fermeture du cycle suivie par la France », et qui risque donc de faire percevoir la France comme un partenaire peu fiable.

C’est à lire sur Capital.

Partager cet article
Repost0

commentaires

Pages