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3 décembre 2021 5 03 /12 /décembre /2021 13:00
Interview avec les militaires 'anti-vax': «Je suis un soldat et mon pays ne veut plus de moi car je refuse le vaccin » (PARTIE 1)

 

Cette interview est présentée en deux parties.

  • Vous pouvez lire la seconde partie ici.
  • Il existe aussi une version en anglais ici.

 

INTRODUCTION

Ces histoires vont peut-être vous choquer, vous énerver ou vous attrister, en tout cas elles ne vous laisseront sans doute pas indifférent. Ces histoires, ce sont celles de huit français, des militaires honorables et patriotes, qui se sont trouvés face à un choix cornélien qui remet en cause leur engagement : la vaccination COVID 19. Ces hommes et femmes, forgés dans le moule du devoir et de l’obéissance, mais à qui leur carrière a aussi appris l’honneur et le discernement, se trouvent aujourd’hui dans une situation extrêmement compliquée. Certains subissent des pressions, d’autres ont été renvoyés, d’autres se voient menacés par leurs chefs, d’autres doivent se livrer à des activités illégales pour pouvoir continuer à servir leur pays.

En effet, depuis l’été 2021, une série de mesures du gouvernement français a imposé la vaccination obligatoire contre le COVID 19 à un certain nombre de professions, dont les militaires. Si la vaccination contre le COVID a soulevé de profonds débats dans la société civile, très peu de gens sont allés interroger les militaires pour savoir comment est perçu ce sujet dans l’armée.

Pourquoi ce silence ? Que l’Armée ne communique pas sur ce sujet est tout à fait normal. Mais que font les journalistes ? La presse française a-t-elle peur de l’effet que pourraient avoir ces témoignages sur le public ? Effectivement, la population française pourrait commencer à se poser des questions si il apparaissait que beaucoup de militaires, du soldat au général, sont très méfiants sur le sujet de la vaccination COVID.

Gallia Daily a la chance d’avoir des liens privilégiés avec l’institution militaire, avec les militaires eux-mêmes. Nous sommes heureux aujourd’hui de pouvoir donner la parole à certains d’entre eux, afin qu’ils témoignent de ce qu’ils voient, de ce qu’ils vivent, de ce qu’ils observent et de ce qu’ils pensent de tout cela.

Voila ce que certains vont nous reprocher. Nous leur répondrons que, si notre armée tremble parce qu’un petit caporal-chef donne son avis sur un sujet de société, c’est probablement qu’il y a un mal beaucoup plus profond qui menace notre pays, et qu’il y a donc un certain nombre de problèmes plus urgents que d’attaquer un petit média indépendant comme le nôtre.

L’Armée Française a toujours été grande, le mensonge ne préservera pas cette grandeur, il va la ternir. La tragédie c’est qu’aujourd’hui notre armée soit forcée de s’enfoncer dans une spirale de dissimulation pour conforter la politique et les éléments de langage du gouvernement, un gouvernement qui affirme à tue-tête que la vaccination remporte l’adhésion de la masse, et en premier lieu des citoyens respectables que sont les militaires.

La situation est beaucoup plus complexe et nuancée. La situation est bien moins apaisée que ne le laisse penser ce silence ordonné et coordonné. Notre article a pour vocation de donner la parole à certaines de ces personnes. Quand nous avons commencé à tirer sur le fil, nous avons reçu des centaines de retours de militaires désireux de parler de ce sujet et d’en témoigner. Plus surprenant encore, nous avons reçu des centaines et des centaines de messages de femmes de militaires qui témoignent pour leur mari. Et même des messages d’enfants (le plus jeune a 13 ans!) qui souhaitent parler de ce qui se passe pour leur papa… Nous avons décidé de sélectionner huit témoignages, du simple soldat au général, du commando au marin, en passant par le médecin et la femme de militaire.

Nous nous excusons d’avance d’avoir dû faire cette sélection difficile, mais nous espérons que notre choix permettra de rendre justice, dans l’ensemble, à tous les éléments que pouvaient évoquer ces témoignages. Par ailleurs, la plupart des témoignages reçus ou des interviews que nous avons menées étaient très denses. Nous nous excusons donc d’avoir dû modifier certains passages du texte final, pour en simplifier la lecture, ajouter du contexte ou protéger les sources. Les huit témoins ont évidemment relu et validé leur témoignage avant publication définitive.

 

 

 

Adjudant-chef Fred, régiment d’infanterie

 

Mon Adjudant-Chef, pouvez-vous vous présenter ?

Je suis Adjudant-Chef dans un régiment d’infanterie, ADU en compagnie de combat. Je me suis engagé dans l’Armée de Terre à 17 ans et demi et j’ai participé à 11 opérations extérieures. J’ai été blessé deux fois dont une assez gravement. Je suis marié et père de trois enfants.

 

Êtes-vous engagé politiquement ? Est-ce que vous vous reconnaissez dans le terme «Anti-vax» ?

Je n’ai jamais fait de politique, je vote blanc ou je ne vote pas. Je ne fais toujours pas de politique, je n’ai jamais compris cet empressement à vouloir absolument jouer à un jeu truqué…

Par ailleurs non, je ne suis pas anti-vaccins : tout au long de ma carrière j’ai dû recevoir une bonne trentaine de vaccins pour pouvoir partir dans les pires coins du globe. Cela avait un sens, et je ne regrette pas : j’ai déjà vu un jeune en Afrique mourir du paludisme en quelques heures ou des bébés avoir des séquelles à vie à cause de la dengue. Il y a des maladies qui méritent qu’on les combattent. Et d’autres beaucoup moins, comme le COVID.

 

Comment a commencé cette position de doute, que certains qualifieront de «complotiste» ?

Au début du COVID, comme la plupart des gens normalement constitués, j’ai activé mon cerveau reptilien et j’étais sur la défensive face à une menace que l’on n’avait encore assez peu cernée. Je crois qu’à ce moment là j’aurais pris le vaccin sans trop hésiter. Mais ce moment là est vite passé, le sang froid est vite revenu. Dès le premier confinement j’ai commencé à comprendre qu’il y avait «autre chose» derrière tout cela. Que ce n’était pas seulement médical, mais qu’il y avait un agenda politique, qui était enclenché avec pour prétexte le combat sanitaire. De même que depuis plusieurs années on voit un agenda politique très clair être appliqué avec le prétexte fallacieux de sauver les arbres ou les pandas… La réponse du gouvernement français à la crise a donc éveillé ma suspicion. Cela s’est confirmé quand on a commencé à voir les premiers chiffres sortir sur la mortalité du COVID, ridiculement basse, en tout cas pas suffisamment haute pour justifier l’immense cirque dans lequel s’est enfoncé le monde.

 

Vous n’êtes donc pas vacciné ?

Je ne suis pas vacciné contre le COVID 19. Et il n’y a absolument aucune chance que je prenne ce vaccin. Le gouvernement est allé bien trop loin dans la folie pour que je leur accorde le moindre crédit ou le moindre sérieux quand ceux-ci prétendent vouloir veiller à ma santé. Vous remarquerez que c’est cocasse, le Président, celui qui m’a envoyé onze fois risquer ma vie à l’étranger prétend aujourd’hui tenir à ma santé. Quelle bouffonnerie. Je rajouterai aussi que je n’ai jamais eu besoin des politiciens pour prendre soin de moi, je suis capable de veiller seul à ma santé et celle de ma famille. On appelait ça être un homme, avant.

 

Concrètement, quelles conséquences cela a par rapport à votre engagement militaire ?

Concrètement je ne suis plus militaire. Ils m’ont poussé vers la porte. J’ai eu le droit à des rendez-vous interminables devant mon chef de corps, devant des généraux et des torche-culs du ministère, venus de Paris m’expliquer que je suis un «mauvais sous-officier et un mauvais exemple pour mes hommes», je cite… J’ai même eu le droit à un rendez-vous avec un psychologue et un psychiatre, qui devaient évaluer ma «capacité à servir» ou «détecter des signes de paranoïa ou de radicalisation». J’ai répondu, que si j’étais P4 [inapte psychologique], ils auraient dû s’en rendre compte pendant mes 30 ans de service...

J’ai eu le droit au discours faussement compatissant du psychiatre, qui m’a expliqué que j’avais «le droit d’être méfiant envers les médecins» comme j’avais été blessé, que je souffrais peut être de PTSD. Je lui ai simplement répondu que le problème ce n’est pas les médecins, mais le fait de m’injecter une thérapie génique dans le sang, de force. Cet imbécile à oser me répondre «Avec votre âge, votre forme physique, vous faites partie des populations à risque»... En réponse, je l’ai défié à un concours de tractions et un test cardio Cooper, en lui rappelant que si 11 OPEX ne m’avaient pas foutu au sol, ce n’est pas une grippe qui allait le faire

 

Bon en d’autres termes j’ai été peu conciliant avec les demandes de mes chefs. Mais il faut dire que leurs demandes, même si elles étaient formulées avec la politesse des faux-culs, revenaient en fait à me dire «ferme ta gueule, vaccine toi, sinon on te dégage». Un adjudant-chef ne ferme pas sa gueule, donc je me suis fait dégager, soit disant parce que mon «profil psychologique montre des incohérences».

Le dernier coup de poignard est venu de mon chef de corps, qui a pris soin de faire circuler une rumeur selon laquelle, en gros, j’avais déraillé. Pour faire croire qu’ils m’avaient viré pour ce motif psychologique, alors qu’ils m’ont évidemment viré à cause du vaccin, sans l’avouer, pour éviter que cela fasse tâche je suppose. En tout cas ils ont réussi le tour de force de me virer à cause du vaccin, avant même que la vaccination ne soit obligatoire officiellement.

 

Au sein de votre régiment et de vos connaissances, vous étiez le seul dans cette position ?

Non seulement je n’étais pas seul, mais en plus nous sommes sacrément nombreux. Avant que la vaccination ne soit obligatoire, je crois que nous étions bien une grosse moitié de sceptiques au régiment, l’autre moitié étant purement indifférente.

Au sein de ma compagnie, mon CDU [le capitaine] avait la même position que moi. Il m’a dit un jour :

«Fred, si jamais je meurs et que ces enflures vaccinent mes gosses à l’école, tu me promets que tu prends un HK à l’armurerie et tu vas te faire la maîtresse, le toubib, la directrice de l’école, le préfet, le ministre de la santé et le président».

J’ai promis. Il m’a fait la même promesse. Elle tient toujours, et je dis ça sérieusement. L’autorité parentale c’est sacré, si ces imbéciles veulent jouer avec nos enfants, ils vont vite se rendre compte que tout le monde n’est pas très prompt à livrer ses progénitures à Chronos ou à se la jouer Simon de Trente. Je crois que c’est la position de la plupart des sous-off avec qui je peux parler, en tout cas tous ceux qui ont des enfants. Le fait d’avoir des enfants doit aider à se projeter, ça créait un enjeu de long terme.

Le fait que je me fasse virer a servi d’exemple malgré tout je crois. Certains collègues ont accepté de prendre le vaccin. Beaucoup ont posé des permissions et sont revenus «vaccinés» au régiment, avec des faux certificats. Mais au moins quatre camarades de ma compagnie, deux EVAT, un sergent et un jeune lieutenant sont malgré tout sur la sellette pour avoir refusé de se compromettre tout court. Je ne sais pas encore où en est leur parcours du combattant. Mais je n’ai qu’un conseil à leur donner s’ils me lisent : ne vous soumettez pas, de toute façon vous êtes déjà morts pour eux, même si vous cédez, vous n’aurez pas de carrière, vous êtes fichés comme étant des vilains petits canards, pour de bon.

Je ne suis pas très bon avec les chiffres et je ne peux pas sonder les corps et les sangs, mais des contacts que j’ai encore au sein de ma compagnie, je pense qu’il y a grosso modo au moins 50 % de vaccinés, la plupart par contrainte, pas par conviction. Ensuite, environ 35 % de faux vaccinés, qui ont trouvé un médecin complaisant ou qui ont fait falsifier leur dossier mili grâce à des proches. Et 15 % de dissidents, soit qui résistent vraiment comme les quatre larrons dont je viens de parler, soit qui étaient sur la fin de leur contrat et qui ont préféré se barrer plutôt que de se vacciner. D’après ce que j’entends de mes amis, c’est globalement à peu près pareil partout, dans tous les régiments.

 

Et maintenant, pour vous quel est le plan ?

Je pars en 2022 m’installer en Croatie avec ma famille et la famille d’un autre collègue, lui aussi poussé à la porte. Pour nous, la France c’est terminé. C’est un crève cœur. Mais si ce pays ne veut pas de nous, même comme gilet pare-balle, on ne va pas imposer notre présence. Surtout, mes deux plus jeunes enfants sont au collège et à l’école primaire, il est hors de question que je leur impose de vivre dans un pays entouré de cinglés. La Croatie c’est bien et si ça ne va plus, on ira ailleurs. Et je vous le dis : j’espère qu’un maximum de mes collègues feront pareil. Votre valeur en tant qu’hommes et en tant que Français, ce n’est pas de vous soumettre pour faire carrière. Votre valeur c’est vos qualités humaines et professionnelles, votre capacité à protéger votre sang, votre famille. Il reste des pays en Europe où vous serez respectés et accueillis pour ça.

 

 

 

 

 

 

Thierry : major CPA

 

Major, pouvez-vous vous présenter ?

Je suis le Major Thierry, je sers dans l’Armée de l’Air depuis mes 19 ans. J’ai effectué la majorité de ma carrière en tant que fusiller de l’air, puis au sein du CPA 10 et du CPA 20 (forces spéciales de l’armée de l’air). Je suis parti une quinzaine de fois en mission. Je suis marié, père de famille, j’ai deux enfants et trois petits-enfants. Accessoirement, j’ai aussi 3 chevaux et 3 chiens, qui comptent sur moi.

 

Major, pouvez-vous nous dire si vous êtes vacciné, pourquoi, et ce que cela a comme effet sur votre carrière militaire ?

Je suis vacciné, j’ai décidé de le faire après une longue réflexion. Ma mère est hospitalisée, la structure privée où elle est me refusait la possibilité de la visiter… Au début, je m’en accommodais comme je pouvais grâce à mon frère, vacciné, qui me permettait de voir ma mère en appel vidéo. Mais j’ai vu la santé de ma mère décliner, l’isolement ne devant pas aider. Je me suis vacciné pour pouvoir lui rendre visite car je ne pouvais pas supporter de la voir mourir petit à petit sans pouvoir aller lui dire que je l’aimais. J’ai bien fait, elle est morte le lendemain de ma première visite, je crois sincèrement qu’elle attendait de me voir.

Je me suis donc vacciné par pure contrainte d’une certaine façon, sinon je ne l’aurais jamais fait. Ni ma femme, ni mes enfants ou petits enfants ne sont vaccinés.

En tant que sous-officier, mes cadres m’ont demandé de prendre en compte le statut de vaccination de mes gars. Ça devait être une formalité, en faisant circuler une fiche en interne. Mais pour avoir discuter avec mes gars à la popote ou au sport, je savais très bien que ça coincerait pour certains. J’ai donc pris le paris de voir tous mes gars en tête à tête, et j’ai discuté avec eux de la situation. Certains étaient déjà vaccinés, la plupart par contrainte, pour garder leur job. Pour eux je ne pouvais rien faire.

Mais il y avait aussi quelques gaulois réfractaires. Grosso modo environ 20 sur 80, qui n’étaient pas vaccinés et qui n’avaient pas du tout envie de le faire. J’ai proposé à tous de récupérer des faux certificats. Ce qu’ils ont tous fait. Deux d’entre eux ne pouvaient pas payer le faux, j’ai payé de ma poche. Il y a un seul gars, un sergent, qui refusait absolument de se faire vacciner ou même d’utiliser un faux. Je l’ai prévenu des risques qu’il prenait, il a accepté de quand même monter au carton.

Je l’ai défendu autant que je pouvais face à nos cadres. Il a eu le droit à la totale, C2, C1, Généraux, visites médicales à rallonge, tests anti-cannabis tous les deux jours, visite de la DRSD (le service de contre-espionnage de l’armée, qui donne les accréditations Secret-Défense ou vérifie la radicalisation des militaires). Il s’est pris un torrent sur la gueule. Ils ont aussi mis une pression hallucinante sur sa petite amie, qui occupe un poste administratif de civil de la défense, en lui expliquant qu’elle perdrait son poste si son copain ne cédait pas. Cela a évidemment fait éclater leur couple. Point assez surprenant, sur la route, il s’est fait contrôler par les gendarmes 7 fois en deux mois, alors qu’il ne s’était jamais fait contrôler de sa vie. Je soupçonne qu’ils cherchaient à lui coller une procédure dans le civil pour justifier son renvoi. Enfin, pour finir, ils ont intégré son groupe de combat à une autre section, partie en terrain à l’autre bout de la France, sans lui bien sûr. De façon à le laisser totalement isolé, sans ses camarades…

Il n’a pas cédé, je salue infiniment son courage. Aujourd’hui, il a été muté dans un service logistique, de «plieur de chaussettes» comme on dit, une tâche dégradante pour un militaire qui a été formé pour être commando. Cela est temporaire, je pense qu’il sera expulsé discrètement d’ici quelques semaines ou quelques mois maintenant que la vaccination est officiellement obligatoire…

J’ai dit clairement à mes cadres ce que je pensais du sort qu’ils réservaient à ce jeune chef. Cette façon de faire me dégoutte. J’aurais préféré qu’il soit viré directement, plutôt que d’assister à ces tractations visant à le briser. Cela m’a donné honte d’avoir servi ces colonels et ces généraux. En tant que chef, j’ai appris à être le bouclier de mes hommes, pas le marteau utilisé pour les abattre. Apparemment, en France et dans l’Armée, tout le monde ne partage pas cette vision du service…

La quasi totalité des militaires ne veulent pas se faire vacciner, c’est un fait. Certains l’ont fait par dépit, beaucoup ont fait des faux et quelques uns tiennent la ligne de front symboliquement. Je ne pouvais pas accepter de devenir le mirador de la politique sanitaire du gouvernement alors même que la totalité des hommes qui me font confiance s’opposent à cette politique, pour diverses raisons. Mon rôle de chef, c’est d’être le représentant de mes hommes auprès des officiers, pas d’être le représentant des officiers auprès de mes hommes. Je défie n’importe quel chef d’ aller au feu et de m’expliquer le contraire. Pour toutes ces raisons, j’ai décidé de partir de l’armée et de prendre ma retraite, j’ai précisé très clairement à mes cadres que je le faisais en opposition à leur gestion de la politique sanitaire, ce qui m’a valu un bon nombre de soucis également.

C’est «facile» pour moi en tant que vieux sous-off d’avoir cette liberté. Mais je peux vous assurer que c’est quand même une sorte de déchirement de quitter la tête basse une institution que l’on a servi pleinement pendant 30 ans. En tant qu’homme je ne peux m’empêcher de penser que l’Institution est en train de trahir ce qu’elle est ; mais en tant que militaire je ne peux m’empêcher de penser que c’est moi qui est en train de trahir… Je crois que cela va me hanter pendant longtemps, car en réalité il n’y a pas de bonne ou de mauvaise réponse. Je suis heureux d’avoir fait ce choix, même s’il était difficile. Et j’invite les jeunes sous-off des trois armées à écouter ce que j’ai à leur dire : vous êtes le bouclier de vos gars, leur berger, gardez ça à l’esprit, toujours. Vous avez la charge de leur vie au feu, mais aussi à l’arrière en temps de paix. Soutenez toujours leurs choix, même si parfois cela est difficile, usant ou destructeur pour vous.

 

Et maintenant, pour vous quel est le plan ?

Je vais déménager pour me rapprocher de mes deux enfants, qui habitent à la frontière suisse. Je me suis proposé pour faire l’école à la maison à mes deux petites filles. Cela risque de bien m’occuper, mais j’ai hâte. Ma femme va quitter son emploi actuelle et m’aider dans cette tâche aussi. Une page se tourne, c’est ainsi.

 

 

 

 

Sous-Lieutenant Clément: ESM de Saint-Cyr

 

Mon Lieutenant, pouvez-vous vous présentez ?

Je suis le sous-lieutenant Clément, élève-officier au Premier Bataillon de France de Cyr. Je suis entré à Coet après une prépa au Vieux Bahut [Prytanée de La Flèche]. J’aspire à devenir officier depuis mon enfance, mon père étant sous-officier et mon grand-père ayant été lui même officier, monté par l’interne.

 

Pouvez-vous nous dire si vous êtes vacciné, pourquoi, et ce que cela a comme effet sur votre jeune carrière militaire ?

Je ne suis pas vacciné, comme un certain nombre de mes camarades. Nous avons fait des faux pour passer entre les mailles du filet avant septembre. Tout le monde n’a pas cette chance cependant. Certains camarades de l’ESM2 et l’ESM3 ont été pris au dépourvu : les cadres ont prévu une séance de vaccination collective au retour de terrains exigeants ou de stages d’aguerrissement, à des moments ou les bazars étaient peu aptes à résister.

Mais j’ai quand même quelques exemples de ptits co courageux qui résistent courageusement. Ils se prennent une pression pas possible de la part des cadres de l’école. Les cadres nous ont aussi demandé de leur mettre la pression de notre côté… On remarquera l’ironie du sort : ça fait vingt ans que l’État nous emmerde à cause des traditions et du bahutage, qui seraient soit disant du harcèlement… Mais aujourd’hui ils nous demandent directement à nous, les Anciens, de harceler légalement les bazars non-vaccinés ou de mettre la pression à nos camarades de promo.

Je pense que ces camarades vont de toute évidence se faire exclure ou pousser vers la sortie, leur carrière est de toute façon foutue. L’encadrement lui même s’assure de mettre les récalcitrants face au mur. En entretien, un de nos ptit-co a eu le droit à un long sermon, sur le fait que, refusant le vaccin, il était «pire qu’un terroriste» ou qu’un «combattant de Daech au Sahel». Notre bazar, a eu la bonne idée de répondre, malicieusement mais avec justesse, que Daech ne pouvait pas être au Sahel, puisque Daech signifie «Etat Islamique en Iraq et au Sham». La remarque n’a probablement pas arrangé son cas. Mais on remarquera la perfidie d’une telle affirmation : il faut avoir beaucoup de culot pour oser dire à un jeune qui vient de passer trois ans en prépa et trois ans en école, dans l’espoir de servir son pays, qu’il ne vaut pas mieux que le dernier rat de l’État Islamique. Visiblement, notre État ne fait absolument aucune différence entre ses officiers qui défilent le 14-Juillet sur les Champs Élysées, et les djihadistes qui roulent sur des enfants le 14-Juillet. C’est bon à savoir...

Je sais par ailleurs que la vaccination a posé problème avec plusieurs crocos, les élèves étrangers (souvent africains), qui refusaient aussi de se faire vacciner au départ… Certains ont été menacés d’être renvoyés chez eux en Afrique. Ici encore, on notera l’ironie de la situation, politiquement… Un gouvernement qui refuse d’expulser les criminels et terroristes étrangers, menace d’expulser des officiers africains hautement diplômés qui refusent de se vacciner…

Dernier point : je ne peux pas en témoigner directement car on n’appartient pas à la même promotion, mais apparemment les officiers sous contrat de l’EMAC ont été les plus menacés. Ils ne font que 1 an à Cyr au lieu de trois ans. Donc la plupart n’étaient pas vaccinés, et ont pu un peu passer entre les mailles du filet. La politique du gouvernement s’accentuant, ils ont finalement été obligés de se vacciner, ce que certains ont refusé bien sûr, ils sont donc sur la sellette, et tout le tralala. Beaucoup ont fait des faux, mais d’autres ont été vaccinés en masse directement par le SSA à l’école. Sauf qu’ils ont eut un mauvais timing : il y avait l’inauguration de l’EMAC par la Ministre Parly juste quelques jours après. Et certains officiers avaient des fortes fièvres après le vaccin, plusieurs ont fait des malaises. Les cadres de l’EMAC ont dit aux officiers qui si un seul d’entre eux tombait pendant la cérémonie avec la Ministre, sa carrière serait détruite. A mon avis ils craignaient la mauvaise pub : avoir des officiers vaccinés qui tombent devant un membre du gouvernement c’est moyen. Si il est fréquent que des militaires tombent pendant des cérémonies, je crois que l’idée d’avoir d’un coup 10 personnes par terre leur faisait un peu peur. Fun fact : ça a été pareil pour le défilé du 14-Juillet, non seulement ils ont menacé les non-vaccinés de ne pas pouvoir y participer, mais en plus ils ont viré du défilé les officiers vaccinés qui avaient des effets secondaires graves…

Il y a probablement dans mon témoignages des imprécisions, des détails exagérés ou d’autres que j’ai oublié, cela mériterait que vous interrogiez directement d’autres camarades des autres promos. Je n’ai pas la prétention de parler pour les autres. Mais cela vous donne clairement un bon aperçu de la situation à Saint Cyr. Ce n’est pas la joie. Entre les parias, ceux que l’on prend par surprise, ceux que l’on menace, ceux qui sont harcelés ou poussés vers la sortie, ceux qui se vaccinent à contre cœur et ceux qui font des faux, ça fait un sacré paquet de mécontents. J’espère que nos dirigeants s’en rendent compte et qu’ils prennent cette variable au sérieux.

 

Et maintenant donc, que prévoyez-vous ?

Après mon passage en DA, je vais servir quelques années, histoire de rembourser ce que je dois à ce pays. Je suis passé entre les mailles du filet, donc je vais en profiter. Mais ensuite je me barre, définitivement. L’épisode COVID a totalement détruit mes derniers accents «patriotiques». Pour être patriote, il faut une patrie. Je refuse de servir un appareil d’État dont le principal objectif est de vendre des doses d’un vaccin israélo-américains à des français en bonne santé. Qu’ils aillent se faire foutre. Je le dis en tant que fils et petit-fils de militaire. Je le dis en tant qu’ancien de Autun, en tant que Brution et en tant que Cyrard. Je le dis en tant qu’officier et en tant que militaire. Et je le dis en tant que citoyen. Qu’ils aillent se faire foutre.

On en parle beaucoup entre nous, je crois que le sentiment qui prédomine c’est exactement celui-là. Le ras le bol. Les 12 derniers mois ont fait l’effet d’un électrochoc chez beaucoup d’entre nous. Ceux qui se moquaient de ces sujets s’en moquent toujours. Mais ceux qui étaient sur le fil, qui avaient des doutes, sont aujourd’hui totalement passés de l’autre côté du miroir. Le turnover des officiers est déjà important, je crois qu’on va le voir exploser.

Je me projette peut être un peu, mais je ne sais pas comment l’État peut résoudre ce problème. Dans le secteur hospitalier je sais qu’ils vont faire appel à des travailleurs étrangers pour compenser les effectifs de non-vaccinés. Pour l’armée ça va être plus compliqué, mais à mon avis on va aller de plus en plus vers des contractuels, y compris étrangers, sans statut militaire, qui vont servir de de garde prétorienne à la République... Sympathique, je suis sûr que Napoléon, paix à son âme, serait fier de voir le sort qui est réservé à ses protégés par ses descendants…

En tout cas je n’ai qu’un truc à dire à ceux qui peuvent nous lire : si vous êtes militaires, EVAT par exemple, sachez qu’il y a une génération d’officier qui arrive et qui en a autant plein le cul que vous. Voilà. Si vous êtes civils, je ne sais pas quoi vous dire, si ce n’est qu’on a besoin de vous pour gueuler. Nous on ne peut rien faire. Pour l’instant. Alors c’est à vous de bouger. Mais faites le en sachant que vous n’êtes pas seuls, il y a beaucoup de policiers, de gendarmes, de pompiers et de militaires, qui sont d’accord avec vous, sur l’essentiel. Finalement c’est le message que je veux que tout le monde retienne : vous n’êtes pas seuls. Nous sommes majoritaires. De très loin. Des gens qui ont pris le vaccin par conviction, c’est une très petite minorité. Que nous soyons non-vaccinés, fraudeurs ou vaccinés par contrainte, c’est nous la masse, c’est nous la majorité. Même si on nous fait croire le contraire. Alors j’ai un truc à dire aux dirigeants : le mot de Cambronne [Merde!].

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Lieutenant de Vaisseau Marc, FUSCO

 

→ Capitaine, pouvez-vous vous présenter pour nos lecteurs ?

Je suis le lieutenant de vaisseau Marc, j’ai passé l’intégralité de ma carrière chez les FUSCO. Depuis cinq ans je sers au sein des commando-marine. Je suis fiancé et je suis père d’un petite garçon. Je suis par ailleurs sportif de haut niveau dans le civil.

 

Pouvez-vous nous dire si vous êtes vacciné, pourquoi, et ce que cela a comme effet sur votre carrière militaire ?

Je ne suis pas vacciné, comme beaucoup de mes collègues. Pour passer sous les radars j’ai pu bénéficier de l’aide de la femme d’un camarade de l’École Navale, qui travaille au SSA dans un hôpital militaire. En d’autres termes, j’ai un faux pass et un faux certificat de vaccination.

En tant qu’officier, j’ai encouragé tous mes hommes à faire de même. J’ai même eu l’assentiment officieux de deux de mes cadres pour agir de la sorte. Cela est bien sûr totalement illégal. Mais sur le papier, l’intégralité de mon commando est vacciné. Dans la réalité, je pense qu’on a au grand maximum 30 % de «vrais vaccinés», en tout cas chez les commando-marine. Je parle un peu avec mes camarades des autres commandos ou de divers bâtiments, le schéma est à peu près le même. Il y a un certain nombre de gens qui se font vraiment vacciner, mais une grande partie qui a refusé ou qui fait des faux.

Je crois que globalement le fait que nous appartenions au COS [forces spéciales], nous permet d’avoir un peu moins la pression que les autres militaires ou que les autres professions. La priorité du commandement n’est pas de nous faire fuir. Pour former un jeune sur la filière CTLO, c’est 3 ans de formation et au moins 2 ans de déploiement pour arriver à un niveau de professionnalisation suffisant. Cela en plus de sa formation initiale. D’une certaine façon le rapport de force est en notre faveur donc, ils ne peuvent pas se permettre de nous virer, ils nous laissent globalement assez tranquilles. J’ai même l’exemple d’un officier-marinier qui a pu partir il y a quelques semaines en zone Sahel, sans être vacciné, ce qui est bien sûr totalement interdit. Les chefs ont fermé les yeux, du fait qu’il avait un rôle crucial et qu’il aurait été compliqué de le remplacer en dernière minute.

Je crois malheureusement que nous sommes privilégiés, en quelque sorte. Nos amis de l’Armée de Terre font face à une forme de répression beaucoup plus agressive, c’est les remontées qu’on a de nos échanges avec eux. J’ai un camarade de prépa qui sert en régiment de transmission et qui préparait l’École de Guerre. Il se retrouve aujourd’hui sur un siège éjectable car il a clairement refusé la vaccination. En l’occurrence, ils lui ont envoyé la DRSD, pour des motifs fallacieux bien sûr. J’ai aussi le neveu d’un voisin, qui est rentré dans l’armée il y a quelques mois et qui se retrouve bloqué à la fin de sa formation technique, la DRHAT ayant refusé de valider son affectation dans une compagnie, parce qu’il refuse le vaccin.

Je crois que dans la Marine, la plupart des gens, s’ils avaient le choix, n’aurait pas fait le vaccin. C’est paradoxal en quelque sorte, la vie d’un marin c’est de passer son temps dans les espaces exigu de bâtiments coupés de tout. On pourrait se dire que les marins auraient très envie de se vacciner pour se protéger. Mais c’est le contraire.

Il faut dire que dès le départ, nous les marins avions une preuve assez frappante du fait que le COVID ne présentait pas de danger. Nos camarades du porte-avions Charles de Gaulle se sont retrouvé tous contaminés, dès le début de l’épidémie. 1500 marins dans un espace restreint avec le COVID. Je crois qu’ils ont tous attrapé le COVID. Donc ça nous donne un bon indicateur de la dangerosité du virus : minime. Sur 1500 marins, il y a eut 10 cas de personnes nécessitant une prise en charge médicale, ça veut dire une visite médicale, même pas de la réanimation. Et je crois qu’il y a eut seulement deux cas graves, qui ont tous les deux touchés de vieux camarades avec des comorbidités. L’empirisme est donc formel : chez des jeunes en bonne santé, sportifs, sans comorbidité, le risque est presque inexistant. Voire inexistant. Ce n’est pas les marges statistiques qui viendront invalider cet état de fait.

C’est la raison pour laquelle j’ai refusé de me faire vacciner : ça ne me gêne pas de prendre un vieux vaccin contre le tétanos ou ce genre de choses. Mais j’ai un gros problème avec l’idée de m’injecter, en y étant contraint, une dose de virus dans le corps, alors même que je n’ai littéralement aucune chance de souffrir de formes graves. C’est totalement incohérent. C’est ce que je pense et ce que pensent la plupart de mes collègues, chefs et subordonnés. Notre position est assez unanime sur ce plan.

 

Et maintenant donc, que prévoyez-vous ?

Ma position est très confortable. Je fais ce que j’aime, je passe sous les radars, mes hommes aussi. Je vais essayer de continuer à agir ainsi. Je suis plus utile à ce poste plutôt qu’au chômage. Je vais essayer autant que possible de permettre à mes gars d’éviter la piqouze. Ça me paraît être mon devoir. On a déjà suffisamment de choses à gérer pour en plus devoir se soucier de ces conneries pseudo-sanitaires.

Ce n’est pas une question de peur du vaccin, ou de quoi que ce soit. Je ne suis pas médecin, au mieux je sais poser un pansement trois côtés pour tenir un gars en vie le temps que l’evasan arrive. Mais je n’y connais pas grand-chose en épidémiologie. Le problème ce n’est pas les risques du vaccin. C’est purement une question d’honneur. J’ai juré obéissance à la France, pour des missions très précises. Par principe, je prends le droit de refuser tout ce qui sort de ce cadre. Cette pandémie est un phénomène avant tout médiatique. C’est une question d’honneur pour moi de refuser. Je suis breton, marin et commando. On nous apprend à être des requins, ils vont attendre longtemps avant de me transformer en poisson rouge nageant avec le banc. J’ai fait un choix d’homme, je l’assume totalement.

Peut être que je me trompe et que je regretterai de ne pas avoir pris ce vaccin. Je l’assume totalement. J’use de mon droit à vivre libre et donc de me rendre compte que j’ai fait le mauvais choix. Je n’ai pas besoin de l’État pour me protéger de moi même et de mes mauvaises décisions. Donc oui, j’ai refusé, pour une question d’honneur. Il est hors de question que je me soumette à cette contrainte ridicule. Cette mascarade est un test de foi. C’est un test pour voir qui se soumet et qui à la force de résister. Il n’y a que les chiens qui se soumettent. Mais il n’y a que les idiots qui sortent du rang et lèvent le bras quand on demande des volontaires pour le peloton d’exécution. Il faut être assez malin pour refuser le collier sans s’aliéner le maître, pas tout de suite en tout cas. Donc je refuse tout en ménageant mes possibilités, en faisant des faux, en passant sous les radars.

Si la situation n’empire pas, je pense qu’on pourra continuer sur cette lancée. Mais si la Marine serre la vis ou si le gouvernement serre la vis, on devra aviser. Je ne sais pas trop jusqu’où ils sont prêts à aller, donc je ne sais pas jusqu’où nous sommes prêts à aller aussi. Nous verrons. Mais il y a certaines lignes rouges à ne pas franchir, je pense qu’ils savent exactement lesquelles, je l’espère. Sinon l’issue de tout cela risque d’être tristement compliquée pour tout le monde. Croyez moi, ils n’ont aucune envie d’avoir ne serait-ce que 40 anciens commandos foutus au chômage forcé. En fait, même un seul ça serait déjà beaucoup, ce serait déjà dangereux. Ils le savent.

Le gouvernement doit prendre conscience que même si les militaires sont muets, ils ne sont pas aveugles. Nous avons des yeux pour voir les infos, y compris celles des médias indépendants, pas toujours très sérieuses mais souvent très utiles. Nous avons des familles, des frères et sœurs qui travaillent dans le civil. Parmi les infirmières que vous mettez au chômage ou que vous noyez dans les gaz lacrymogènes le samedi, il y a des femmes de militaires, des femmes de gendarmes, des femmes de policiers… Nous avons des enfants voire des petits-enfants, alors quand vous vous permettez d’utiliser nos petits comme des cobayes, rappelez vous qu’il y a dans le lot des enfants de militaires. C’est à dire les enfants d’hommes dont le métier consiste essentiellement à mettre symboliquement et physiquement leur vie en jeu pour protéger l’avenir des enfants de France.

Nous nous taisons, car c’est notre métier. Mais nous nous forgeons un avis en silence, rappelez vous en. Avec votre politique, vous êtes en train de vous aliéner une partie de l’armée, une partie des militaires, de tous grades. Mais surtout, et c’est le plus important, vous vous aliénez la population française, vaccinée ou pas. Rappelez vous que les non-vaccinés le sont par conviction, mais que très peu des vaccinés l’ont fait par conviction. Ils ne descendront pas dans la rue pour défendre la République Vaccinale. L’immense majorité des vaccinés, y compris dans l’armée, l’ont fait pour avoir la paix. Si vous ne leur donnez pas la paix qu’ils méritent enfin, vous allez bientôt vous retrouver avec un énorme bloc de 20 % de citoyens, transversal à toutes les classes et tous les métiers, qui n’a aucune envie de reculer. Un bloc acculé qui ne va pas cesser de grossir. J’appréhende beaucoup ce qui peut sortir d’une telle fracture. Je crois que nos dirigeants aussi, je l’espère en tout cas. Car s’ils choisissent la voie du jusqu’au-boutisme, l’issue sera explosive, je peux vous l’assurer.

 

 

 

Colonel Antoine : chef de corps d'un régiment de cavalerie

 

→ Mon, Colonel, pouvez-vous vous présenter ?

Je suis le Colonel Antoine, je suis chef de corps d’un régiment de cavalerie. Je dirige au quotidien près de 800 hommes et femmes qui ont choisi la voie des armes. Dans ma vie privée, je suis marié et père de cinq enfants.

 

→ Mon, Colonel, êtes-vous vacciné ? Pourquoi ? Quels effets cela a-t-il sur votre carrière ?

La décision a été très difficile à prendre pour moi. J’ai une méfiance naturelle envers les vaccins, depuis longtemps. Mon frère cadet est atteint de sclérose en plaques. Selon les médecins, cela est très probablement dû au fait que notre mère se soit vaccinée contre l’hépatite pendant sa grossesse. La maladie s’est déclarée tard chez mon frère, mais j’ai vu sa santé se dégrader à un rythme terrifiant. A mesure que l’armée faisait de moi un homme plus fort et plus solide, je voyais mon frère être détruit par la maladie. Tout cela à cause d’un vaccin. Autant vous dire que je n’ai jamais apprécié les vaccins, et tout au long de ma carrière militaire j’ai essayé de crassusser (éviter) les séances de vaccination, comme on dit. Mon médecin généraliste m’a beaucoup aidé à chaque fois.

En théorie je n’aurais donc pas dû faire le vaccin COVID. Pas plus celui là qu’un autre donc. Mais je me suis trouvé face à un cas de conscience affreux. J’ai compris assez vite que le vaccin allait être obligatoire pour les militaires, les informations circulaient avant l’annonce officielle. Nous avons longuement discuté de ce sujet avec plusieurs cadres du BOI de mon régiment [l’état major du régiment]. Il m’est alors apparu avec assez d’évidence que nous allions nous trouver face à plusieurs types de profils : des soldats vaccinés volontairement, des soldats vaccinés par dépit, des soldats faussement vaccinés et des soldats non vaccinés prêts à résister. Quatre catégories de soldats, ce qui est déjà une aberration alors que toute notre mission consiste à créer de l’efficacité en créant de la symbiose, c’est à dire de la cohésion.

En tant que chef, j’ai beaucoup hésité à démissionner, à écrire à la presse, à écrire à mes chefs. A entrer dans le rapport de force. Je ne l’ai pas fait. J’ai décidé de rester à mon poste et d’utiliser tout le pouvoir que j’avais pour laisser le plus grand choix possible à mes hommes, en laissant une grande marge de manœuvre aux CDU [capitaines de compagnie], en faisant traîner au maximum les demandes du SSA et de la DRHAT [Service de Santé des Armées et Direction des Ressources Humaines], en laissant circuler les bonnes astuces pour récupérer des faux pass ou des faux certificats de vaccination.

Mais j’ai rapidement pris conscience d’une chose. Malgré cela, il y aurait des soldats qui ne pourraient pas passer sous les radars, ou simplement qui refuseraient de se plier à l’impératif et qui refusaient même l’idée d’avoir un faux. Il y a eut quelques cas. Je pense notamment à un caporal-chef, qui refusait désespérément de se faire vacciner, mais qui refusait aussi de faire un faux certificat, par principe, car il refusait d’avoir un passe-droit, car il voulait se montrer solidaire avec ceux qui ne pouvaient pas avoir de faux ou qui ne voulaient pas. Je l’ai reçu cinq fois dans mon bureau, pour essayer de le convaincre. Il m’a expliqué qu’il avait peur de perdre son travail et d’être renvoyé de l'armée, car il a une fille de quatre an, un prêt, des parents vieillissant. Je lui ai expliqué que c’était une raison de plus pour lui de jouer profil bas et d’accepter l’idée d’avoir un faux certificat, pour rester militaire.

Ce caporal-chef m’a répondu qu’il ne pouvait pas s’y résoudre. Vous savez ce qu’il m’a répondu ? Il m’a dit «Je ne peux pas supporter l’idée que je doive me soumettre et perdre mon âme pour avoir le droit d’éléver ma fille normalement. Je préférerais que ma fille grandisse sans père, plutôt qu’elle grandisse en étant fier d’un père qu’elle ne peut admirer que parce qu’il s’est couché et à ramper».

J’ai compris ce jour là qu’il serait plus facile pour moi d’envoyer ce caporal-chef dix fois à Verdun ou à Uzbin, plutôt que de réussir à lui faire à renier ses principes. J’ai compris que j’allais devoir le virer. Ou plutôt que, à travers moi, l’armée allait le virer.

Cette situation m’a fait beaucoup réfléchir à mon rôle de chef et à mes valeurs d’homme. J’ai passé des nuits blanches entières, préoccupé par ces questions : Quel genre d’homme je suis si, confortablement caché derrière les concessions que je fais, je m'autorise à juger de l’avenir de ceux qui refusent ces mêmes concessions ?

J’ai donc décidé de me faire vacciner. Je n’avais pas à le faire, car j’avais déjà un certificat valide, un faux, mais j’ai décidé de me faire quand même vacciner. Par respect pour ces hommes dont j’ai la responsabilité. Ceux qui se sentent obligés de se faire vacciner pour conserver l’emploi qui nourrit leur famille. Ceux qui utilisent des faux tout en ayant conscience de s’être déjà à moitié soumis. Et pour tous ceux qui, comme le caporal-chef, vont perdre leur travail car ils refusent la compromission.

C’est peut être la plus grande erreur que j’ai fait de ma vie. Mais paradoxalement je me sens en paix avec ma conscience. J’avais le pouvoir de refuser la compromission et de «passer entre les gouttes». Mais tous n’ont pas ce pouvoir. Moralement en tant que chef, je ne pouvais supporter l’idée de diriger des hommes sans être au même régime qu’eux. Maintenant, je suis dans leur situation. Nous partageons la même chose. Ils ne le sauront pas et ils s’en moquent. Et je m’en moque. Mais j’ai fait ce que je pensais être juste et ce que me commandait mon éthique et mon honneur. Mon C2 [commandant en second] a fait exactement le même choix et m’a accompagné sur cette voie, il a décidé après coup de se faire vraiment vacciner, pour être dans le même bateau que nos hommes qui ne peuvent pas refuser et pour pouvoir nous regarder dans le miroir quand on devra pousser vers la porte des Anciens qui eux ont refuser de se compromettre.

Ce sont des choix déchirants. Je ne dis pas qu’il y a un bon et un mauvais choix. Nous avons tous des situations différentes. Certains peuvent entrer dans le rapport de force, d’autres ont moins de marge de manœuvre et préfère passer sous les radars. Certains pourraient passer sous les radars, mais leur sens moral est tel qu’ils préfèrent tout perdre que de céder un millimètre à leur ennemi… Dans cette histoire, il n’y a pas plusieurs camps en réalité, il y en a un seul : la population contre le gouvernement et ses donneurs d’ordre. J’ai un profond mépris pour l’appareil politique qui a créé toute cette situation, pour tous les déchirements que cela entraîne.

.

 

 

 

Lieutenant-Colonel Gabrielle : médecin militaire au SSA

 

→ Colonel, pouvez-vous vous présenter ?

Je suis le Lieutenant-Colonel Gabrielle, je suis médecin militaire au SSA. J’ai servi en antenne et en hôpital militaire. Je suis mariée et mère de trois enfants.

 

→ Colonel, êtes-vous vaccinée ? Pourquoi ? Quels effets cela a-t-il sur votre carrière ?

Je ne suis pas vaccinée, je ne me ferai jamais vacciner contre le COVID 19. J’ai fait en sorte d’obtenir un faux certificat, comme certaines de mes collègues. Je crois profondément dans mon rôle de médecin, qui consiste à soigner et sauver des vies. La politique de vaccination autour du COVID n’entre certainement pas dans ce cadre là. Je me refuse à injecter des soldats avec une substance supposée les protéger d’une maladie... qui ne peut de toute façon pas les tuer. Je me refuse à leur injecter un vaccin qui ne les empêchera de toute façon pas d’être porteurs ou de transmettre la maladie.

Je suis par ailleurs assez sceptique quant à ce vaccin, si efficace et si consensuel qu’il est nécessaire de passer par la coercition pour que les gens acceptent de le recevoir. Un vaccin contre un virus qui, rappelons le, est si agressif que les gens sont obligés de faire plusieurs tests pour savoir s’ils sont malades… La politique sanitaire du gouvernement n’a véritablement aucun sens, en tout cas pas sous l’angle sanitaire.

Je fais partie des médecins qui considèrent que, de façon empirique, contre une maladie il faut trouver un remède, pas un vaccin. Il est inutile de traiter des gens qui ne peuvent de toute façon pas développer de formes graves. Par contre il est très utile de développer des médicaments capables d’atténuer ces formes graves SI elles se présentent. C’est la question que je pose aujourd’hui : cela fait près de deux ans que nous faisons face à cette crise sanitaire, donc où en sont les remèdes éventuels contre le virus et ses symptômes ? Est-ce qu’on a au moins essayé d’en trouver ? Ou même pas ?

Je fais aussi partie de ces médecins qui considèrent que vacciner massivement et de façon indiscriminée PENDANT la phase de croissance épidémique est une très mauvaise idée, car c’est le meilleur moyen de laisser apparaître ce que l’on nomme des variants d’échappements. Cela est bien documenté dans la presse spécialisée, mais pour faire très simple : le vaccin permet d’uniformiser le «marché», ce qui simplifie grandement la tâche du virus, qui n’a plus à s’adapter à chaque individu, mais qui trouve au contraire un point d’accroche commun chez tout le monde, via le vaccin. Après quoi le virus n’a plus qu’à opérer une seule mutation, lui permettant de surpasser le vaccin. Et d’un virus finalement inoffensif, on se retrouve alors avec un virus extrêmement agressif.

Bref, même sans être médecin, il y a un grand nombre de points qui posent sérieusement question dans la gestion de cette crise sanitaire. Et je pense qu’ils mériteraient d’être discutés de façon démocratique. Le fait que le gouvernement passe par la coercition prouve selon moi que le COVID n’est plus une question médicale, c’est devenu une question politique, et seulement politique. Et l’armée (pas plus que la population civile) ne devrait payer le prix de cette folle politique. Ça ne viendrait à l’esprit à personne de rendre le vaccin contre la grippe obligatoire. C’est exactement ce que l’on fait avec le COVID.

Voilà les raisons qui font que j’ai refusé la vaccination. Et voilà les raisons qui font que j’ai décidé, depuis juin dernier, avec l’aide d’un capitaine et de plusieurs auxsan, de ne pas vacciner au sein de l’armée. Ou plutôt, de vacciner ceux qui le souhaitent vraiment, mais de permettre à ceux qui ne le veulent pas d’obtenir un faux.

Ce que je fais est totalement illégal, je sais qu’il y a un risque et je sais que nous finirons probablement pas être découverts ou dénoncés. Cela arrivera. Mais je quitterai l’armée en ayant au moins la conscience tranquille. J’ai la conviction que je protège plus la santé de la troupe en ne les piquant pas plutôt qu’en les piquant.

Je suis certes un médecin et un militaire. Mais je suis et je reste avant tout une femme et une mère. Je connais le prix de la vie, ce qu’elle coûte, ce qu’elle vaut, ce qu’elle implique. Je connais la beauté de la vie, celle qu’on peut voir dans les yeux d’un enfant qui rigole. Mais je connais aussi la fragilité de la vie, celle qu’on peut voir en regardant les yeux d’un patient qui est en train de partir pour sa dernière chevauchée. Mon rôle est de défendre la vie.

Mes collègues en régiment défendent la vie en risquant la leur. Je ne peux pas me résoudre à bafouer ces sacrifices qu’ils font en mettant leur vie en danger simplement parce que j’obéis aux ordres du gouvernement. La seule chose que je fais donc, c’est de rendre à chacun le choix que le gouvernement leur a enlevé. Je les rends maître de leur destin et je les laisse choisir. Je laisse mes auxsan faire de même et je les couvre autant que possible.

Et vous savez quoi ? Quand les gens ont le choix, en général ils décident tous de ne pas se faire vacciner. Et croyez moi, c’est exactement la raison pour laquelle le vaccin est obligatoire pour les militaires et en passe de l’être pour les civils : parce que sinon, personne ne voudrait se faire vacciner. Parce qu’au fond, sauf quelques exceptions, tout le monde sait très bien que cette situation autour du COVID n’est pas médical, mais politique. Les gens ont du bon sens, c’est pour ça que le gouvernement a besoin de la coercition. Et c’est pour rendre honneur au bon sens des gens et à la valeur de leur vie que je me refuse à être un agent de cette coercition. Et je ferai cela jusqu’à ce que les gendarmes viennent me chercher par la force.

 

 

Vous pouvez lire la seconde partie ici.

 

__

 

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3 décembre 2021 5 03 /12 /décembre /2021 11:10
Le Dr Andreas Noack, chimiste autrichien renommé, est mort quelques heures après avoir dénoncé les risques de l’hydroxide de graphène
 

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Le lanceur d’alerte Dr. Andreas Noack, chimiste autrichien renommé, expert sur le carbone, est mort quelques heures seulement après avoir dénoncé les effets de l’adjuvant hydroxyde de graphène, une nanotechnologie qui serait présente dans l’injection, expliquant que c’est ce qui tue réellement les gens en s’immisçant dans l’ensemble des organes et provoquant des lésions au niveau cellulaire, « comme des nano-lames de rasoir ».

 

 

Il affirme que cela pourrait expliquer pourquoi les athlètes meurent soudainement pendant les entraînements et les matchs, ou pourquoi certains meurent instantanément si l’adjuvant a été injecté dans la circulation sanguine plutôt que dans le muscle…

 

Cette semaine, 23 novembre, le Dr Noack a été « battu à mort » après sa dernière vidéo, selon sa femme visiblement enceinte.

 

[...]

 
Résumé :
 

L’hydroxyde de graphène a été trouvé dans tous les vaccins étudiés. L’hydroxyde de graphène forme des structures dans le flux sanguin d’environ 50 nm de large et 0,1 nm d’épaisseur. Elles sont très fines mais très solides. Elles agissent comme de petites lames de rasoir dans le flux sanguin qui peuvent couper les vaisseaux sanguins. Elles ne se décomposent pas. Une fois dans la circulation sanguine, elles y resteront pour toujours (à moins que la personne ne reçoive une transfusion sanguine pour les éliminer). Leur effet sur les vaisseaux sanguins est cumulatif. Plus elles restent longtemps dans la circulation sanguine, plus les vaisseaux sanguins sont endommagés au fil du temps. Cela crée des problèmes d’hémorragie dans tout le corps.

 

Selon lui, un débit sanguin plus élevé (dû à une activité physique intense des athlètes) entraînerait des dommages plus importants aux vaisseaux sanguins causés par l’hydroxyde de graphène et expliquerait donc les décès d’athlètes parmi les personnes injectées.

 
Voici des citations importantes faites par le Dr Noack :
 

Recevoir le vaccin, c’est comme jouer à la roulette russe. Les personnes qui meurent immédiatement ou peu après avoir reçu le vaccin sont comme des victimes de la roulette russe. C’est lorsque l’oxyde de graphène frappe immédiatement la paroi des vaisseaux sanguins qu’il provoque la mort, ou l’effondrement immédiatement après avoir reçu le vaccin.

 

Les médecins qui pratiquent des autopsies sur les victimes du vaccin ne vont rien trouver. Ces médecins cherchent quelque chose de biologique comme cause de la mort, mais l’hydroxyde de graphène n’est pas biologique donc il ne sera pas visible dans leurs tests.

 

Il y a des photos de sang coagulé sortant du nez. Les gens saignent à mort de l’intérieur.

 

Les athlètes de haut niveau qui meurent, ont un sang qui s’écoule rapidement. Plus le sang circule vite, plus les rasoirs font de dégâts.

 

En tant que chimiste, si vous injectez ça dans le sang, vous êtes un meurtrier.

 

La question à poser aux fabricants de vaccins et aux politiciens est la suivante : POURQUOI CES LAMES DE RASOIR SONT-ELLES DANS LES VACCINS ? Comment peuvent-ils justifier leur présence dans les vaccins ?

 

Et maintenant, ils veulent forcer les enfants à être vaccinés dès l’âge de 5 ans avec ce produit horrible !

 

Il y a un an (nov 2020), le chimiste avait été arrêté par une unité de police armée pendant un live YouTube.

 

L’Autriche est le premier pays d’Europe et du monde à mettre en œuvre un programme de vaccination de l’ensemble de la population sous peine d’amendes ou d’emprisonnement en cas de non-vaccination. Le plan de vaccination complet débutera en février 2022.

 

sources :
researchgate.net/detection-of-graphene-in-Covid19-vaccines
strangerinajewishworld.com/2021/11/28/dr-andreas-noack
odysee.com/AndreasNoack:2
truth11.com/2021/11/30/whistleblower-dr-andreas-noack-renown-austrian-chemist-is-dead

Source

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3 décembre 2021 5 03 /12 /décembre /2021 11:01
 

par le Collectif Reinfocovid.

Lettre publiée dans « The Lancet Regional Health – Europe » : Il semble que ce soit faire preuve d’une grave négligence que d’ignorer la population vaccinée en tant que source possible et pertinente de transmission lorsqu’on décide de mesures de contrôle de santé publique

Les points importants de cet article notés par l’équipe de Reinfocovid sont :

  • La part des personnes vaccinées dans la transmission de la covid -19 est en augmentation constante
  • Les personnes vaccinées transmettent la maladie autant que les non-vaccinés à leurs contacts familiaux
  • La charge virale maximale est identique entre les vaccinés et les non vaccinés
  • Au royaume Uni, la probabilité d’avoir le covid était plus élevée chez les vaccinés que chez les non-vaccinés pour toutes les personnes de plus de 30 ans.
  • Dans un cluster israélien causé par un vacciné, 14 personnes vaccinées ont eu des formes graves et sont décédées pour certaines alors que les deux seules personnes non vaccinées ont eu des formes légères.

Il semble que ce soit faire preuve d’une grave négligence que d’ignorer la population vaccinée en tant que source possible et pertinente de transmission lorsqu’on décide de mesures de contrôle de santé publique.

*

Traduction littérale de la lettre :

On s’attendait à ce que des taux élevés de vaccination contre le COVID-19 réduisent la transmission du SARS-CoV-2 dans les populations en diminuant le nombre de sources possibles de transmission et, par conséquent, à ce qu’ils réduisent la charge de la maladie du COVID-19.

Cependant, les données récentes indiquent que les individus vaccinés contre le COVID-19 comptent dans la transmission de la maladie.

Au Royaume-Uni, il a été décrit que le taux d’attaque secondaire parmi les contacts familiaux exposés à des individus entièrement vaccinés était similaire à celui des contacts familiaux exposés à des individus non vaccinés (25 % pour les vaccinés contre 23 % pour les non vaccinés). 12 des 31 infections chez les contacts familiaux entièrement vaccinés (39 %) provenaient d’individus entièrement vaccinés et épidémiologiquement liés. La charge virale maximale ne différait pas selon le statut vaccinal ou le type de variant1.

En Allemagne, le taux de cas symptomatiques de COVID-19 chez les personnes entièrement vaccinées (” breakthrough infections “) est rapporté chaque semaine depuis le 21 Juillet 2021 et était alors de 16,9% chez les patients de 60 ans et plus2. Cette proportion augmente de semaine en semaine et était de 58,9% le 27 Octobre 2021 (Figure 1), ce qui prouve clairement l’importance croissante des personnes entièrement vaccinées comme source possible de transmission. Une situation similaire a été décrite pour le Royaume-Uni. Entre les semaines 39 et 42, un total de 100160 cas de COVID-19 ont été signalés parmi les citoyens âgés de 60 ans ou plus. Et 89 821 sont survenus parmi les personnes entièrement vaccinées (89,7%), 3 395 parmi les personnes non vaccinées (3,4%)3. Une semaine auparavant, le taux de cas de COVID-19 pour 100.000 était plus élevé dans le sous-groupe des vaccinés que dans le sous-groupe des non-vaccinés dans tous les groupes d’âge de 30 ans ou plus.

En Israël, une épidémie nosocomiale a été signalée, impliquant 16 travailleurs de la santé, 23 patients exposés et deux membres de la famille. La source était un patient entièrement vacciné contre le COVID-19. Le taux de vaccination était de 96,2 % parmi toutes les personnes exposées (151 travailleurs de la santé et 97 patients). Quatorze patients entièrement vaccinés sont devenus gravement malades ou sont décédés, les deux patients non vaccinés ont développé une maladie légère4.

Les Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC) identifient quatre des cinq comtés ayant le pourcentage le plus élevé de population entièrement vaccinée (99,9-84,3 %) comme des comtés à transmission “élevée”5. De nombreux décideurs partent du principe que les personnes vaccinées peuvent être exclues en tant que source de transmission. Il semble que ce soit faire preuve d’une grave négligence que d’ignorer la population vaccinée en tant que source possible et pertinente de transmission lorsqu’on décide de mesures de contrôle de santé publique.

Taux de vaccination et proportions de personnes entièrement vaccinées parmi les cas symptomatiques de COVID-19 (≥ 60 ans) en Allemagne entre le 21 juillet et le 27 Octobre 2021 sur la base des rapports hebdomadaires de l’Institut Robert Koch [2].

 

  1. Singanayagam A, Hakki S,  Dunning J,  et al.,Community transmission and viral load kinetics of the SARS-CoV-2 delta (B.1.617.2) variant in vaccinated and unvaccinated individuals in the UK: a prospective, longitudinal, cohort study. Lancet Infect Dis. 2021; https://doi.org/10.1016/S1473-3099(21)00648-4
  2. Robert Koch-Institut. Wöchentlicher Lagebericht des RKI zur Coronavirus-Krankheit-2019 (COVID-19). AKTUALISIERTER STAND FÜR DEUTSCHLAND 22. Juli 2021. https://www.rki.de/DE/Content/InfAZ/N/Neuartiges_Coronavirus/Situationsberichte/Wochenbericht/Wochenbericht_2021-07-22.pdf?__blob=publicationFile
  3. UK Health Security Agency. COVID-19 vaccine surveillance report. Week 4328. Oktober 2021. https://assets.publishing.service.gov.uk/government/uploads/system/uploads/attachment_data/file/1029606/Vaccine-surveillance-report-week-43.pdf
  4. Shitrit P, Zuckerman NS , Mor O, Gottesman BS, Chowers M. Nosocomial outbreak caused by the SARS-CoV-2 Delta variant in a highly vaccinated population, Israel, July 2021. Euro Surveill. 2021; 262100822  https://doi.org/10.2807/1560-7917.ES.2021.26.39.2100822
  5. Subramanian SV, Kumar A., Increases in COVID-19 are unrelated to levels of vaccination across 68 countries and 2947 counties in the United States. Eur J Epidemiol. 2021; https://doi.org/10.1007/s10654-021-00808-7

source:https://reinfocovid.fr/science/

Source : reseauinternational

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23 novembre 2021 2 23 /11 /novembre /2021 20:10

 

Source : businessbourse

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23 novembre 2021 2 23 /11 /novembre /2021 20:07

Myocardite : Vaccin Pfizer : les effets indésirables ...

 

Le risque de développer un syndrome coronarien aigu (SCA) a considérablement augmenté chez les patients qui reçoivent des vaccins à ARNm COVID-19, selon un rapport présenté lors des sessions scientifiques 2021 de l'American Heart Association (AHA), tenues du 13 au 15 novembre 2021.

 

 

L'étude a inclus 566 hommes et femmes (1:1) âgés de 28 à 97 ans, qui étaient des patients d'un cabinet de cardiologie préventive. Tous les patients ont reçu un nouveau test cardiaque PULS, 2 à 10 semaines après leur deuxième vaccination. Le résultat de ce test a été comparé à un score PULS, 3 à 5 mois avant vaccination. Le test cardiaque PULS mesure plusieurs biomarqueurs protéiques, notamment le facteur de croissance des hépatocytes [HGF], le Fas soluble et l'IL-16, et utilise les résultats pour calculer un score de risque sur 5 ans, pour un nouveau SCA. Le score PULS augmente avec une élévation au-dessus de la normale. Tous les participants ont fait ce test tous les 3 à 6 mois, pendant 8 ans.

De la prévaccination à la postvaccination, les niveaux d'IL-16 ont augmenté de 35=/-20 à 82=/-75 au-dessus de la norme. Le Fas a montré une augmentation de 22±15 à 46=/-24 au-dessus de la norme. Le HGF est passé de 42 ± 12 à 86 ± 31 au-dessus de la norme. En conséquence, le score de risque SCA PULS à 5 ans est passé de 11 % à 25 %. Au moment de la publication du rapport, les changements avaient persisté pendant 2,5 mois ou plus après la deuxième dose de vaccin.

L'auteur de l'étude a conclu que "l'ARNm [vaccins] augmente considérablement l'inflammation de l'endothélium et l'infiltration des cellules T du muscle cardiaque, cela peut expliquer l'augmentation des thromboses, des cardiomyopathies et d'autres événements vasculaires, après vaccination"

Référence

Gundry SR. Les vaccins ARNm COVID augmentent considérablement les marqueurs inflammatoires endothéliaux et le risque de SCA tels que mesurés par le test cardiaque PULS : un avertissement. Présenté à : AHA Scientific Sessions 2021 ; 13-15 novembre 2021. Affiche VMP41.

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23 novembre 2021 2 23 /11 /novembre /2021 19:52

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23 novembre 2021 2 23 /11 /novembre /2021 19:22

Le 28 juillet 2021

"Pas d'excuses, malgré l'attente. Emmanuel Macron n'a pas formulé de demande de pardon en Polynésie pour les essais nucléaires menés dans le passé, mais le chef de l'État a reconnu la "dette" de la France à l'égart de l'archipel." source Franceinfo

 

C'eut été un minimum !

 

Après l'affaire du Chlordécone et la vaccination covid la Guadeloupe en feu !

 

Le véritable village Gaulois est en Guadeloupe

Face au coronavirus, les leçons de l'Asie - l'Opinion

Pour ce qui concerne le traitement des émeutes en Guadeloupe, ça n'est ni plus ni moins qu'un traitement colonial d'un refus qui vire au soulèvement en envoyant des troupes de métropole. C'est nier aux Français du cru la capacité de gérer la crise localement.

En France nous devrions saluer la solidarité de la Guadeloupe et  en prendre de la graine, mais les Français semblent avoir abandonnés depuis longtemps leur orgueil, leur réflexion, et leur amour propre pour délégué leur état de liberté à des gouvernants qui ne méritent même pas leur fonction. Ils ont abandonnés lâchement le personnel soignant qui a refusé la vaccination. C'est une honte.

Un jour viendra ou tout cela sera noté sur la longue liste des déchéances, pour certains des crimes, et du déshonneur qui sera attaché à leur comportement, soit pas laxisme, soit par attentisme, soit par hypocrisie, soit par ignorance, et souvent par crédulité, et je n'en doute pas ce seront les premiers à demander justice par ce que le sentiment du mépris et de l'humiliation aura dépassé l'entendement.

En tout cas pour ma part je soutiens les Guadeloupéens qui font preuve d'un grand courage et d'une grande détermination !

Merci à vous !

 

 

 

Guadeloupe : l’île est paralysée par la grève générale contre la vaccination obligatoire

 

Le rapport de forces a commencé lundi 15 novembre, comme annoncé lors de la conférence de presse au Palais de la mutualité de Pointe-à-Pitre. Les leaders syndicaux avaient prévenu par la voix de Maïté Hubert M’Toumo, secrétaire générale de l’UGTG : « Le président français a dit que les vaccins c’est la liberté, la liberté est donc conditionnée à un vaccin, un vaccin qui n’est pas maîtrisé, un vaccin qui génère de plus en plus d’effets secondaires graves. C’est ça la liberté ? C’est pas possible. Donc à partir de lundi, la guerre est déclarée ! »


A l’heure actuelle la mobilisation prend de plus en plus d’ampleur : pompiers contre forces de l’ordre, enseignants occupant le rectorat, axes routiers bloqués, barrages et véhicules enflammés, trafic aérien perturbé… La chaîne de télévision Canal 10 est au plus près de l’information en Guadeloupe.

Trafikera informe tous les jours de la situation sur de nouveaux points de blocage :
  • Giratoire de Perrin, RN5/RD106, aux Abymes (SDIS de Dothemare),
  • RN4, Mare Gaillard, Le Gosier, au niveau de l’abri bus, ainsi qu’au niveau de l’enseigne Super U, avant Saint-Félix,
  • RN5, au giratoire de Cimetière, Morne-à-l’Eau et sur le Pont de La Baie, au Moule,
  • RN2, au giratoire de La Boucan, Sainte Rose, ainsi que devant le centre hospitalier Louis-Daniel-Beauperthuy, à Pointe-Noire,
  • RN1, au niveau du pont de Sainte-Marie, Capesterre Belle-Eau,
  • RD23, au carrefour de Mahault, Pointe-Noire,
  • Plusieurs autres points nous ont été signalés dans Les Grands Fonds également…

Les médias métropolitains restent très discrets sur ce qui se passe en ce moment en Guadeloupe. La peur de voir l’insurrection s’installer en France ? L’État déploie des blindés de la gendarmerie pour tenter de reprendre la main, la situation devient insurrectionnelle :

 

Face au non catégorique des Guadeloupéens concernant la vaccination obligatoire, le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin préfère matraquer une population qui refuse l’apartheid du pass sanitaire :

 

Après avoir été poussés à tabasser les pompiers, les gendarmes se voient dans l’obligation d’éteindre eux-mêmes les feux de véhicules en utilisant des seaux d’eau récupérés dans la rivière en contre-bas. Le gouvernement français a rendu cette situation ubuesque au possible.

 

Cette vidéo — même en créole — donne aux métropolitains une idée de la détermination : « Écoutez bien ce que je vais vous dire. Pendant que vous essayez de nous couillonner… Capitaine, respectez-nous ! Nous sommes ici et nous resterons en revendiquant ce que tous les Guadeloupéens connaissent : non à l’obligation vaccinale, non au pass sanitaire ! Autrement dit, le peuple guadeloupéen vous dit : foutez-nous la paix ! »

 

 

 

Publiée par Eric Coriolan sur Lundi 15 novembre 2021

 

Le président de la région Guadeloupe Ary Chalus — vacciné mais contre le pass sanitaire et l’obligation vaccinale — se dit très préoccupé par la situation et a alerté le président de la République Emmanuel Macron, ainsi que les membres du gouvernement en charge de la Guadeloupe.

Le gouvernement ferait bien d’abandonner la lutte au lieu de risquer de voir importer en métropole la détermination d’un peuple qui ne se soumet à la dictature sanitaire. Les Gilets Jaunes pourraient renaître de leurs cendres d’une manière ou d’une autre.

Le Média en 4-4-2

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23 novembre 2021 2 23 /11 /novembre /2021 19:14

Discours de Robert F. Kennedy, Jr. (vidéo + script)

Discours de Catherine Austin Fitts, The Solari Report (vidéo + script)

Robert F. Kennedy, Jr. — Transcript :

« Aucun gouvernement, dans l’histoire de l’humanité n’a jamais renoncé volontairement au pouvoir.

Le pouvoir qu’ils nous ont pris, au cours de ces 20 derniers mois, ils ne le rendront jamais.

Ils nous ont enlevé notre liberté d’expression. Ils ont fermé les églises. Ils ont supprimé les procès avec jury contre les entreprises, peu importe leur négligence, peu importe leur imprudence, peu importe la gravité de votre blessure, vous ne pouvez pas poursuivre cette entreprise.

Ils ont supprimé nos droits de propriété aux États-Unis, ils ont fermé un million d’entreprises, pendant un an, sans compensation équitable et sans procédure régulière.

Ils ont supprimé notre droit d’être libre, à l’abri des perquisitions et des saisies sans mandat, et de la surveillance par le gouvernement.

Aux États-Unis, tous ces droits sont énumérés dans notre Déclaration des droits de la Constitution des États-Unis.

Parmi les plus importants de ces droits, après le droit à la libre expression, qui a disparu, il y a le droit de pouvoir participer à l’élaboration des règles.

Donc quand le gouvernement veut passer une loi, il doit publier la loi proposée. Il doit expliquer la base scientifique de cette loi. Il doit faire une analyse bénéfice/risque de cette loi et l’expliquer au public. Et puis nous avons des commentaires, auxquels tout le public peut participer. Et puis nous avons une audience, où les personnes qui s’opposent à la loi, comme moi, peuvent apporter leurs propres scientifiques, experts, et études scientifiques, et tout est transparent, tous ces garde-fous ont été effacés. Aujourd’hui, la loi est dictée par un homme présenté comme le meilleur médecin d’Amérique, Anthony Fauci.

Au mois de mars, Tony Fauci a dit au monde que les masques ne marchaient pas. C’était sans valeur scientifique. Deux mois plus tard, il a ordonné à tous les Américains de mettre un masque. Il ne nous a donné aucune étude scientifique qui l’ait fait changer d’avis. Il nous a simplement dit « au vu de cette nouvelle loi, faites ce qu’on vous dit »…

Tous ces droits, pour lesquels les fondateurs de notre pays, sont morts, en sacrifiant leurs biens ou leurs moyens de subsistance, pour nous donner une Déclaration des droits, et tous ces droits, en 20 mois, ont été oblitérés, enlevés au peuple américain et pas seulement aux Américains. C’est un coup d’état global contre la démocratie libérale à travers la planète.

Tous ces droits qui nous ont été retirés, le gouvernement nous a dit que c’était temporaire, que c’était seulement deux semaines que ça serait fini. En vérité, vous pouvez tous voir ce qui se passe. Ils prennent ces droits et ils ne les rendront jamais, à moins que nous ne les forcions.

Le Pass Sanitaire est leur coup d’état. Le Pass Sanitaire est la façon dont ils consolident leur pouvoir sur vos vies.

Le Pass Sanitaire n’est pas une mesure de santé publique. C’est un outil de contrôle totalitaire, de vos transports, de votre compte en banque, de vos mouvements ; chaque aspect de votre vie.

Et ce n’est pas une idée nouvelle.

C’est la même idée qu’ils ont utilisé en Allemagne en 1937, il ont émis un pass pour les gens qu’ils voulaient contrôler.

Quand le gouvernement sud-africain de l’apartheid, a voulu contrôler la population noire d’Afrique du Sud, quelle a été la chose la plus importante qu’il a faite ? Ils ont émis un pass.

Je veux que vous demandiez, à toutes les personnes de la presse journalistique, qui sont ici aujourd’hui, si le pass sanitaire concerne la santé publique, pourquoi ce n’est pas le ministère de la santé qui le délivre ?

Il est délivré par le ministère des finances. Nous prennent-ils pour des idiots ?

C’est un moyen de contrôler votre argent. Une fois que vous avez ce pass, et qu’ils ont la monnaie numérique, si quelqu’un vous dit de ne pas quitter Milan, et que vous partez en voyage à Bologne, votre argent ne fonctionnera pas à Bologne. Si le gouvernement vous dit de ne pas acheter de pizza, il peut faire en sorte que votre pass ne vous permette pas d’acheter une pizza, il peut contrôler tous les aspects de votre vie.

Ils vous disent que nous avons besoin d’un p pour nous assurer que tout le monde se fait vacciner. Mais ils admettent que le vaccin n’empêche pas la transmission. Le vaccin ne vous empêche pas de contracter la maladie. Le vaccin ne peut pas arrêter la pandémie. Alors pourquoi ont-ils besoin de nous faire vacciner si le vaccin n’arrête pas la transmission ?

Je vais vous le dire dans deux minutes, je vais parler du vaccin.

Les gens qui disent que je suis contre les vaccins, je ne suis pas contre les vaccins. Je suis seulement contre les mauvais vaccins.

Et je ne vais pas vous dire ce que pense Robert Kennedy. Je vais vous dire ce que Pfizer a dit à la FDA des Etats-Unis.

Pfizer est la seule entreprise à avoir un vaccin approuvé aux Etats-Unis.

Et Pfizer était censé faire une étude de trois ans, mais ils l’ont réduite à six mois. Et ensuite ils ont donné des vaccins à tous le groupe témoin.

Pourquoi ont-ils fait ça ? Pourquoi ont-ils arrêté l’étude après 6 mois ?

Parce qu’ils ont appris que les anticorps disparaissent en 6 mois et que le vaccin ne protège plus.

Ils ont donc dû y mettre fin en 6 mois. Ils ne pouvaient pas faire ce qu’ils avaient prévu, trois ans.

Ils ont pris tous leurs dossiers pour ces 6 mois et les ont remis à la FDA.

Le tableau le plus important est celui qui vous indique la mortalité toutes causes confondues. Combien de personnes sont mortes dans le groupe vacciné ? Combien sont mortes dans le groupe placebo pendant cette période de 6 mois ? Ce tableau est appelé « S4 » vous pouvez tous le regarder.

Voici ce que disent les chiffres.

Il y avait 22 000 personnes, dans le groupe vacciné, sur une période de 6 mois, une est décédée du COVID.

Dans le groupe placebo, le groupe témoin, sur 22 000 il y a eu 2 personnes qui sont mortes du COVID en 6 mois.

Cela a permis à Pfizer de dire au public américain que le vaccin est efficace à 100%, parce qu’il y a eu 2 mort au lieu de 1, soit 100% d’augmentation.

La plupart des Américains et des Italiens, lorsqu’ils entendent dire que le vaccin est efficace à 100%, pensent que si je prends le vaccin, j’ai 100% de chances de ne pas mourir du COVID.

Ce que cela signifie [en réalité], c’est qu’ils doivent administrer 22 000 vaccins pour protéger [supposément] une personne contre le COVID.

Ce que cela signifie, c’est qu’ils doivent s’assurer que le vaccin lui-même ne tue pas une personne, car s’il en tue une, cela annule tous les bénéfices.

Voici ce qui est important.

Dans le groupe vacciné, 20 personnes sont mortes en 6 mois, toutes causes confondues, 20 sur 22 000.

Dans le groupe témoin, seules 14 personnes sont mortes sur 22 000.

Cela signifie que si vous prenez le vaccin, vous avez 48% plus de chances de mourir au cours des 6 prochains mois que si vous ne le prenez pas.

Ce sont les chiffres de Pfizer, pas les miens.

Voici comment les gens sont morts.

Dans le groupe témoin, 1 personne est morte d’une crise cardiaque.

Dans le groupe vacciné, 5 personnes sont mortes d’une crise cardiaque en 6 mois.

Cela signifie que si vous faites le vaccin, vous avez un risque de 500% d’avoir une crise cardiaque fatale dans les 6 mois.

Cela signifie également, que pour chaque personne sauvée de la mort par le COVID, le vaccin tue 4 personnes d’une crise cardiaque.

Ce n’est pas une bonne politique de santé publique.

La santé publique est censée sauver des vies.

C’est pour contrôler, contrôler notre société et contrôler nos enfants.

Et la seule raison pour laquelle les gens ne comprennent pas ce que je viens de dire, et que les gens soutiennent encore le vaccin, la seule raison, est la manipulation par la peur.

Ce sont des mathématiques simples. N’importe qui peut le vérifier, si vous le faites, vous aurez encore plus peur du vaccin que vous n’avez peur du covid.

Le gouvernement, et les compagnies pharmaceutiques, ont une méthode pour éteindre le cerveau des gens, afin qu’ils ne puissent plus faire de simples mathématiques.

Et leur outil, c’est la peur. La peur nous empêche d’exercer notre esprit critique. Elle nous permet de croire que si nous faisons simplement ce qu’on nous dit, c’est le seul moyen de sauver nos vies. Cela s’appelle le syndrome de Stockholm. Et les ravisseurs enferment un pays entier pendant un an, et les gens deviennent reconnaissants envers leurs ravisseurs. Et pensent que la seule façon de sortir d’ici vivant est de faire preuve une obéissance absolue.

Je vais faire une autre remarque. Combien de personnes ici ont entendu parler de l’Event 201 ?

Si vous n’en avez pas entendu parler, vous devriez aller le voir sur YouTube.

L’event 201, est une simulation d’une pandémie de Coronavirus. Elle s’est produite à New York en octobre. Nous savons maintenant, qu’un coronavirus circulait à Wuhan le 12 septembre 2019. Ainsi, un mois plus tard, une pandémie de coronavirus a été simulée à New York.

Nos hôtes, les personnes qui ont participé à cet événement, étaient les grandes entreprises de médias sociaux, les entreprises de médias. Et Johnson and Johnson, la plus grande entreprise de vaccins, a accueilli trois personnes. Un est Bill Gates.

Le deuxième, George Gao, qui est à la tête du CDC chinois, et la troisième, Avril Haines, la directrice adjointe de la CIA.

Et Avril Haines est aujourd’hui, l’espionne numéro un des Etats-Unis. Elle est à la tête de l’agence de sécurité nationale de Joe Biden. Donc elle est passée d’Event 201 à devenir la plus grande espionne de notre pays.

Parce que la CIA ne fait pas de santé publique, la CIA a fait un coup d’État.

Entre 1947, et l’année 2020, la CIA a été engagée dans 73 coups d’états, la plupart d’entre eux contre des démocraties. 1 tiers des pays du monde.

Eh bien, si vous regardez l’Event 201, il n’y avait aucune discussion sur la santé publique.

Personne ne parlait de comment apporter de la vitamine D à tous les gens. Comment faire pour que les gens perdent du poids ? Comment s’assurer qu’ils mangent bien ? Comment trouver des médicaments réutilisables pour soigner les gens ? Comment mettre les malades en quarantaine ? Comment préserver les droits constitutionnels ? Pas un mot n’a été dit sur la santé publique.

Au contraire, ce dont ils ont parlé, c’est comment utiliser la pandémie, comme un prétexte pour installer un contrôle totalitaire et pour déconstruire la démocratie.

Ils ont passé un quart de la journée, à discuter de la manière de s’assurer que personne n’est autorisé à répandre la rumeur, selon laquelle la pandémie de coronavirus est générée en laboratoire, nous sommes en octobre 2019.

Et ils parlent de comment confiner la population, comment la forcer à prendre des vaccins expérimentaux. Comment s’assurer que les Noirs ne commencent pas à résister, car dans notre pays, les Noirs sont très méfiants à l’égard de l’establishment médical et ils étaient très inquiets de notre résistance.

Quand j’ai fait des recherches pour mon livre, ce que j’ai appris, c’est que l’Event 201 n’était pas unique. Nous avons trouvé 20 simulations de pandémie distinctes commençant en 2020.

La seule chose qu’ils avaient en commun, la plupart d’entre eux, Bill Gates a été impliqué, Tony Fauci a été impliqué et tout le monde, la CIA a été impliqué et la CIA a écrit le script, des fonctionnaires de la CIA ont participé à chacune de ces simulations de pandémie.

Elles impliquent des centaines de personnes. Elles étaient menées secrètement, par des travailleurs américains de première ligne, et elles formaient la police, les systèmes hospitaliers et les services publics en Europe, en Italie, en Allemagne, au Canada et en Australie, tous en même temps, à réagir à une pandémie. Il ne s’agissait pas d’une réponse de santé publique. Il s’agissait d’une réponse visant à utiliser la pandémie pour autre chose.

Ils s’exercent donc, encore et encore et encore, à utiliser une pandémie comme prétexte pour imposer des contrôles totalitaires et pour anéantir la démocratie libérale sur toute la planète.

Une des expériences qu’ils utilisent, s’appelle l’expérience de Milgram, c’était une expérience de la CIA en 1957. Et ce que la CIA a découvert, c’est que si un puissant responsable médical, ordonne aux gens de faire quelque chose de mal, c’est-à-dire quelque chose qui viole leur conscience, qui viole leurs valeurs fondamentales, 67% des gens, obéiront à l’autorité, plutôt qu’à leurs valeurs.

Et 67% des gens, seront hypnotisés par la peur, ils obéiront à une position d’autorité, à une figure d’autorité.

Mais 33% des gens n’obéiront pas. Et vous êtes les 33%.

Notre mission est de sortir de là aujourd’hui. Et de tendre la main à nos frères et soeurs, les gens qui sont encore hypnotisés, et de leur dire que nous allons nous battre pour leur liberté, jusqu’à ce qu’ils soient capables de se battre eux-mêmes.

Nous devons tendre la main quand nous partirons d’ici aujourd’hui, à tous nos frères et soeurs, les 67% qui sont encore hypnotisés, et nous devons leur dire, que vous devez aimer votre liberté plus que vous avez peur d’un germe.

Cette année, nous avons assisté à la destruction de la Constitution américaine. Cette Constitution a été écrite par un groupe de personnes, qui ont compris qu’il y a des choses pires que la mort.

Et ils ont mis leur vie en première ligne, leurs biens, leurs carrières, leurs moyens de subsistance, pour se battre pour la liberté, et pour se battre pour ces droits que nous avons perdus au cours des mois précédents.

Et maintenant c’est notre travail. Et c’est le travail de tout le monde dans cette foule de sortir et de se battre pour résister, résister, résister, résister…

Et de réclamer à notre gouvernement, de réclamer nos vies pour nos enfants, pour notre pays et pour toutes les générations futures et je peux vous dire que je serai à vos côtés. Et si je dois mourir pour ça, je mourrai la tête haute. »

Catherine Austin Fitts — Transcript :

« C’est tellement merveilleux de retourner à Milan, et de voir tant de gens qui célèbrent la liberté, merci…

Je voyage et je communique dans le monde entier, et dans le monde entier les gens apprécient la lutte acharnée du peuple italien, et la clarté de votre lutte contre le pass sanitaire.

Le pass sanitaire n’a rien à voir avec la santé. En août 2019, les banquiers centraux du monde entier se sont réunis aux États-Unis, à Jackson Hole, et ont voté en faveur d’un plan « Going Direct Reset ». (remise à zéro directe 00:41)

Ce plan a été conçu par un groupe de banquiers centraux travaillant par l’intermédiaire du Blackrock investment Institute.

Dans le cadre de ce plan Going Direct, les banques centrales ont injecté d’importantes sommes d’argent dans certains secteurs de l’économie, depuis deux ans.

L’argent a commencé à être injecté en septembre 2019. Et en mars, l’arrêt de l’économie a permis à l’économie de faire du shopping.

Les petites entreprises, et les agriculteurs ayant fermé leurs portes dans le monde entier, l’argent était disponible pour acheter des actifs à des prix dérisoires.

Les banquiers centraux ont pu centraliser le contrôle, d’énormes quantités de richesses.

Mais surtout, ils ont pu briser l’équilibre du pouvoir que nous avons depuis plus de 100 ans.

Depuis de très nombreuses générations, il existe un équilibre du pouvoir entre les banquiers et l’électorat.

Les banquiers dirigent la politique monétaire, et les gens votent pour leurs représentants qui dirigent la politique fiscale.

Et maintenant les banquiers centraux veulent contrôler les deux, dans un coup d’état financier.

Depuis de nombreux siècles, ce n’est pas la première fois que les lois de la peste sont utilisées pour centraliser le contrôle

Le contrôle des transports, le contrôle du travail, le contrôle des banques, mais cette fois, c’est différent. S’ils arrivent à créer un système de transaction financière entièrement numérique, ils peuvent nous ramener à l’esclavage.

Le pass sanitaire n’est qu’une partie de la mise en place d’un système de transactions financières, qui mettra fin aux monnaies pour la population générale.

Les banquiers centraux auront le contrôle direct de votre et de mon compte bancaire et ils pourront prélever des impôts quand ils le voudront et les augmenter quand ils le voudront.

Pendant de nombreuses années, ils ont utilisé le principe « diviser pour régner » pour centraliser le contrôle.

Les hommes contre les femmes, les noirs contre les blancs, et maintenant les vaccinés contre les non vaccinés.

Mais lorsqu’ils contrôleront les comptes bancaires des vaccinés et des non-vaccinés, ils dépouilleront chacun d’entre nous de tous les actifs et de toutes les richesses familiales.

Notre plus grande richesse, où est notre plus grande richesse ? Notre plus grande richesse, ce sont nos enfants. Pour construire une grande civilisation, il faut un enfant à la fois.

Alors nous nous levons et nous célébrons et nous nous battons pour la liberté, mais plus que tout, nous nous battons pour les enfants.

C’est donc un grand privilège pour moi, de passer le micro à quelqu’un qui a fait plus que n’importe quel homme sur la planète, pour défendre et protéger et se battre pour nos enfants et leur avenir. Un homme qui n’a pas besoin d’être présenté. Quelqu’un peut-il deviner de qui je parle ?

Je vous demande donc de l’inviter au micro, en lui exprimant ce que vous ressentez vis à vis de la liberté ! »

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23 novembre 2021 2 23 /11 /novembre /2021 19:03

L Etat avec cette crise Covid s'est payé sur le dos de l'hôpital un plan social à pas cher, sous les viva le silence général, car qui ne dit mot consent ! Alors n'allez pas pleurer de la ruine hospitalière dans les mois qui viendront !

 

_____________

 

https://s.france24.com/media/display/9f5c3e36-db0d-11eb-93a0-005056bfb2b6/w:1280/p:16x9/download.jpg

 

 

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23 novembre 2021 2 23 /11 /novembre /2021 18:57

Selon le bureau de statistique, la mortalité plus élevée peut être observée dans toutes les tranches d’âge. Statistics Netherlands n’a pas encore d’explication concernant cette surmortalité. D’autres décès de patients Covid ont été enregistrés à l’Institut national de la santé publique et de l’environnement (RIVM) la semaine dernière. Selon le bureau central de la statistique, la surmortalité a clairement augmenté ces dernières semaines. Mais depuis début août, la mortalité était déjà au-dessus des chiffres habituels durant cette période.


On estime que 2 100 personnes âgées de 80 ans et plus sont décédées la semaine dernière. C’est presque 500 de plus que prévu. La mortalité dans ce groupe d’âge a été remarquablement élevée pendant quatre semaines. Cela vaut également pour les personnes de 65 à 80 ans. Dans cette tranche d’âge, 1 200 personnes sont décédées la semaine dernière, soit près de 300 de plus que prévu. Parmi les personnes de moins de 65 ans, le taux de mortalité la semaine dernière était estimé à 450, soit plus de 50 de plus que prévu.

Aux Pays-Bas, 85 % des plus de 18 ans sont complètement vaccinés et beaucoup n’ont reçu leur vaccin que récemment. Les vendeurs de vaccins soutiennent que les injections offrent une protection au cours des premiers mois avant que la « protection » ne commence à s’affaiblir. Ils accusent les non-vaccinés de l’augmentation des décès. C’est évidemment faux.

Le nombre de personnes infectées n’a jamais été aussi haut, malgré le taux de vaccination élevé. Les vaccins ne font évidemment pas ce qui avait été promis.

 

Au total, 23 680 cas ont été signalés jeudi, le quatrième jour consécutif de record de cas après une semaine qui a battu le record du nombre le plus élevé de nouvelles infections (110 000) depuis le début de la pandémie – une augmentation de 44 % au cours de la semaine précédente, et les chiffres de cette semaine n’ont pas encore été ajoutés.

Les autorités néerlandaises ont commencé à injecter des rappels jeudi, des semaines plus tôt que prévu.

Anke Huckriede, professeur de vaccinologie à l’Université de Groningue, a déclaré que les injections intramusculaires n’offrent pas de protection dans les voies respiratoires supérieures où le virus pénètre dans notre corps.

Avec seulement 15 % de la population adulte non vaccinée, les Néerlandais ont un taux de vaccination plus élevé que la majorité des pays. Mais Bas van den Putte, professeur de communication sur la santé à l’Université d’Amsterdam et membre du conseil consultatif scientifique de l’unité comportementale Corona du RIVM, a admis qu’il ne pouvait pas expliquer l’augmentation dramatique des décès. D’autres « experts » n’avaient malheureusement pas non plus d’explication à l’échec du vaccin.

Frits Rosendaal, professeur d’épidémiologie clinique au Centre médical de l’Université de Leiden, a blâmé la géographie et la densité de population tandis que Huckriede a déclaré qu’elle n’avait aucune idée de la raison pour laquelle cela se produisait. « Nous ne savons tout simplement pas. »

D’après les données hebdomadaires de l’Office of National Statistics (ONS) au Royaume-Uni, les personnes vaccinées de moins de 60 ans sont deux fois plus susceptibles de mourir que les personnes non vaccinées. Et les décès globaux en Grande-Bretagne sont bien au-dessus de la normale.

Comme en Allemagne, les Suédois semblent également mourir à des taux de 20 % ou plus au-dessus de la normale quelques semaines après avoir reçu leur deuxième vaccin Covid, selon les données d’une étude suédoise.

Malgré l’accumulation de preuves tangibles d’un échec total de la santé publique à l’échelle mondiale, les gouvernements et les politiciens continuent de s’en tenir à leurs obligations inutiles.

Pays-Bas : Les manifestations commencent à dégénérer…La violence s’intensifie ! Les semaines à venir vont être cauchemardesques !!! Mais c’est pour votre bien…

 

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