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6 décembre 2021 1 06 /12 /décembre /2021 18:02
Un document confidentiel de Pfizer expose la dissimulation criminelle de la FDA sur les MORTS PAR VACCIN… ils savaient que le vaxx tuait des gens dès début 2021… trois fois plus de FEMMES que d’HOMMES

Grâce aux efforts d’un groupe appelé Public Health and Medical Professionals for Transparency,, nous avons maintenant des documents confidentiels qui montrent que Pfizer et la FDA savaient au début de 2021 que les vaccins à ARNm de pfizer tuaient des milliers de personnes et provoquaient des avortements spontanés tout en endommageant trois fois plus de femmes que d’hommes.

Image: Smoking gun confidential Pfizer document exposes FDA criminal cover-up of VACCINE DEATHS… they knew the jab was killing people in early 2021… three times more WOMEN than MEN

Un document confidentiel en particulier faisait partie d’une publication ordonnée par un tribunal de dossiers de la FDA, et que la FDA a combattu en affirmant que l’agence devrait avoir un délai de 55 ans pour publier cette information. Un juge du tribunal n’était pas d’accord et a ordonné la publication de 500 documents par mois, et le tout premier lot de documents contenait cette bombe intitulée “Analyse cumulative des rapports d’événements indésirables post-autorisation“.

Vous pouvez l’obtenir ici:

https://phmpt.org/wp-content/uploads/2021/11/5.3.6-postmarketing-experience.pdf

Ou ici, en miroir sur les serveurs NN :

https://www.naturalnews.com/files/536-postmarketing-experience.pdf

Le document révèle que 90 jours seulement après la publication par l’EUA (The Emergency Use Authorization) du vaccin à ARNm de Pfizer, la société était déjà au courant des rapports volontaires d’effets indésirables qui ont révélé 1.223 décès et plus de 42.000 rapports négatifs décrivant un total de 158.893 effets indésirables. Les rapports provenaient de nombreux pays, dont les États-Unis, le Royaume-Uni, l’Italie, l’Allemagne, la France, le Portugal, l’Espagne et d’autres pays.

Mis à part les « troubles généraux », la catégorie n° 1 d’effets indésirables du vaccin à ARNm la plus fréquemment signalée était les troubles du système nerveux, avec 25.957 rapports.

Pfizer a caché le nombre total de doses vendues dans le monde, parlant des secrets commerciaux. Ceci est indiqué par « (b) (4) » dans le document, où des chiffres et des faits spécifiques sont rédigés.

Même ces chiffres – déjà assez choquants, étant donné l’insistance de la FDA sur le fait que les vaccins à ARNm sont « sûrs et efficaces » – effleurent à peine la surface des dommages et des décès causés par ces vaccins. « Les rapports sont minimisés volontairement et l’ampleur de la sous-déclaration est inconnue », explique Pfizer à la page 5.

Trois fois plus de femmes esquintées que d’hommes

Étonnamment, le document révèle que plus de trois fois plus de femmes ont été esquintées par le vaccin Pfizer que d’hommes. Il y a eu 29.914 événements indésirables enregistrés chez les femmes, contre seulement 9.182 enregistrés chez les hommes. On ne sait pas si le même nombre d’hommes et de femmes ont pris le vaccin, mais ce nombre expose la possibilité très réelle d’un risque de dommages au vaccin spécifique au sexe que la FDA s’est donné beaucoup de mal pour dissimuler.

Pour l’anecdote, la plupart des dommages neurologiques que nous avons observés chez les personnes qui ont été endommagées par le vaccin – convulsions, engourdissements, douleur, etc. – ont été décrits chez des femmes, pas chez des hommes. Il semble que la FDA sache que le vaccin à ARNm présente un profil de dommages disproportionné et spécifique au sexe qui affecte également les femmes en termes d’avortements spontanés (également caché dans le rapport).

Pfizer a déclaré à la FDA que ses vaccins à ARNm contre le covid peuvent provoquer une « maladie accrue » en aggravant le covid

Également choquant pour de nombreux observateurs qui viennent tout juste de creuser dans ce document de preuve irréfutable, Pfizer a déclaré à la FDA comme « Problèmes de sécurité » (section 3.1.2) que son injection d’ARNm pourrait provoquer la Maladie aggravée par le vaccin (Vaccine-Associated Enhanced Disease VAED), y compris les maladies respiratoires aggravées par la vaccination (VAERD). »

Cela signifie que la FDA savait que le vaccin pouvait rendre malade et tuer des patients qui ont été infectés par le covid après vaccination.

Sous l’étiquette « informations manquantes », Pfizer a également déclaré à la FDA qu’elle ne disposait d’aucune information sur « l’utilisation pendant la grossesse et l’allaitement » ni sur « l’utilisation chez les enfants de moins de 12 ans ».

« Efficacité du vaccin » a également été répertorié comme « Informations manquantes » par Pfizer.

En d’autres termes, Pfizer a déclaré à la FDA que ses vaccins pouvaient tuer des gens et qu’elle n’avait aucune information sur l’efficacité des vaccins, pourtant la FDA a frauduleusement promu et poussé  le vaccin comme « sûr et efficace » de toute façon. Pfizer a même déclaré à la FDA qu’elle n’avait aucune information de sécurité sur l’utilisation chez les femmes enceintes, mais la FDA (et Fauci, le CDC, etc.) ont tous poussé le vaccin pour les femmes enceintes, malgré le manque total d’informations sur la sécurité.

Sur la base de ce document, il semble que la FDA elle-même ait été impliquée dans un complot criminel visant à cacher la vérité sur les effets secondaires invalidants et sur les décès dus aux vaccins tout en accordant des autorisations d’utilisation aux mêmes sociétés qui ont ouvertement déclaré à la FDA que ses produits tuaient des gens.

Notez également que l’ensemble du complexe des Grands Médias   a menti dès le premier jour, affirmant à tort que le vaccin n’a tué personne. Ils sont bien entendu complices de cet holocauste vaccinal.

Avortements spontanés, décès néonatals et autres effets sur les femmes enceintes

Dans la section intitulée « Utilisation pendant la grossesse et l’allaitement », le rapport traite des rapports indiquant que le vaccin à ARNm est lié à :

avortement spontané (23), résultat en attente (5), naissance prématurée avec décès néonatal, avortement spontané avec décès intra-utérin (2 chacun), avortement spontané avec décès néonatal et issue normale (1 chacun).

Notez que « l’avortement spontané » représente de loin le nombre le plus élevé dans ces rapports. En d’autres termes, la FDA savait que ce vaccin tuerait les bébés à naître, mais elle l’a quand même imposé aux femmes enceintes.

Tous les vaccins à ARNm doivent être immédiatement arrêtés et les bureaucrates de la FDA doivent être inculpés et arrêtés

Ce document confidentiel, le premier parmi des milliers à être publié, révèle deux choses essentielles :

1) La FDA a commis une fraude criminelle et une fausse déclaration en approuvant les vaccins à ARNm comme « sûrs et efficaces ». Cela signifie que les principaux décideurs de la FDA doivent désormais faire face à une arrestation et à des poursuites pénales.

2) Le vaccin à ARNm était connu par Pfizer pour être mortel même au cours de ses trois premiers mois d’utilisation d’urgence. Cela signifie que Pfizer est également complice de la mort continue de victimes innocentes, car Pfizer lui-même aurait dû retirer son vaccin mortel et arrêter toutes les ventes et distributions.

Vidéo : Brighteon.com/6779b557-d912-4ff9-8191-06e7ff6aae03

Source : Natural News

Source : Numidia Liberum

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6 décembre 2021 1 06 /12 /décembre /2021 18:01
Pfizer : vous avez 2,6 % de « chance » d’avoir une cardiopathie à la loterie des effets secondaires
 
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L’Agence européenne des médicaments nous informe ! Elle nous tient au courant des effets secondaires des vaccins Pfizer et Moderna. Selon son Comité d’évaluation des risques en pharmacovigilance, le risque de myocardite et de péricardite est globalement « très rare ». Cela signifie que pas plus d’une personne vaccinée sur 10.000 peut en être affectée.


Cette estimation se fonde sur Epi-phare, une étude du ministère de la Santé. C’est le ministère lui-même qui l’a commandée pour justifier ses propres décisions. On a prouvé son peu de sérieux dans un article là. Il faut croire que l’Agence européenne des médicaments n’a pas lu notre article. Elle n’a même pas jeté un coup d’œil sur celui de Pierre Chaillot, statisticien, et Vincent Pavan, mathématicien. Ils en ont démontré en détail les biais (c’est le terme qui remplace le mot fraude). Vous, en revanche, vous pouvez le lire là.

On a tendance à estimer plus fiable l’étude de Pfizer, principal intéressé, d’autant plus qu’elle est encore en grande partie confidentielle. On ne se demande plus pourquoi après en avoir lu les trente premières pages. Dans le compte-rendu récemment divulgué de ces essais, les victimes de cardiopathie ne se résument pas à quatre individus malchanceux. IIs sont 1.098 sur 42.000 cobayes, soit 2,6 %, à avoir souffert de cardiopathies.

Vous avez mathématiquement beaucoup plus de chances d’attraper une cardiopathie que de gagner au loto. Gagner au loto : une chance sur près de 20 millions !
Donc arrêtez de jouer à des jeux de hasard : la vaccination est bien plus sûre.

Jacqueline pour Le Média en 4-4-2.

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6 décembre 2021 1 06 /12 /décembre /2021 17:59
60.000 scientifiques demandent l’arrêt de la vaccination de masse
 

 

 Martin Kulldorff, Sunetra Gupta et Jay Bhattacharya les trois rédacteurs de la déclaration de Great Barrington (Massachussetts) View pictures in App save up to 80% data.
Martin Kulldorff, Sunetra Gupta et Jay Bhattacharya les trois rédacteurs de la déclaration de Great Barrington (Massachussetts)

La communauté scientifique s’élève contre la politique sanitaire des autorités : la déclaration de Great Barrington (USA) contre les injections massives d’ARNm a récolté 870.000 signatures.

Alors que le président de la République française réunit ce lundi 6 décembre, un nouveau Conseil de Défense pour lutter contre la propagation de l’épidémie de Covid-19, de plus en plus de voix s’élèvent contre la politique sanitaire complètement folle des autorités qui vise à vacciner toujours plus la population. Après la troisième dose de vaccin imposée, sous peine de désactivation du pass sanitaire ! Voilà qu’il est question de vacciner les enfants de 5 à 11 ans.

Une décision qui serait gravissime selon de nombreux médecins et chercheurs dont nous nous sommes faits l’écho ici même.

 

Des effets secondaires graves

La vaccination de masse avec un vaccin encore expérimental à ARN messager inquiète depuis longtemps la communauté scientifique. Dès le 4 octobre 2020, trois scientifiques de haut niveau, le Pr Martin Kulldorff, professeur de médecine à l’université de Harvard, biostatisticien et épidémiologiste, spécialisé dans la détection et le suivi des épidémies de maladies infectieuses et dans l’évaluation de la sécurité des vaccins. La Dr Sunetra Gupta, professeur à l’Université d’Oxford, épidémiologiste spécialisée dans l’immunologie, le développement de vaccins et la modélisation mathématique des maladies infectieuses. Et le Dr Jay Bhattacharya, professeur à la faculté de médecine de l’université de Stanford, médecin, épidémiologiste, économiste de la santé et expert en politique de santé publique, spécialisé dans les maladies infectieuses et les populations vulnérables recommandaient une approche alternative contre la Covid-19 dans ce que l’on a appelé la Déclaration de Great Barrington. Car ils sont très inquiets des effets secondaires de la vaccination de masse sur les populations.
Que préconisent-ils ? Une protection « focalisée ». C’est-à-dire de protéger autant que possible les personnes âgées, infirmes, fragiles et de laisser aux autres le soin de vivre normalement jusqu’à ce que la société atteigne l’immunité collective. Or, la vaccination massive par ARNm rend impossible cette immunité collective.

L’un des premiers cosignataires était le Dr Simon Thornley, épidémiologiste et biostatisticien à l’université d’Auckland. De plus en plus connue dans le monde, la Déclaration de Great Barrington a, depuis, été signée par 60.000 médecins et scientifiques. Une pétition a recueilli à ce jour 870.000 signatures de soutien.

La Déclaration de Great Barrington

« En tant qu’épidémiologistes des maladies infectieuses et scientifiques spécialisés en santé publique, nous sommes inquiets des impacts physiques et mentaux causés par les politiques actuelles contre la COVID-19 et nous recommandons une approche alternative que nous appelons Protection focalisée (Focused Protection), écrivent les trois premiers signataires.
« Que nous soyons de gauche ou de droite et quel que soit notre pays d’origine, nous avons consacré nos carrières à la protection des populations. Les politiques actuelles de confinement produisent des effets désastreux sur la santé publique à court, moyen et long terme. Parmi les conséquences, on peut citer, entre autres, une baisse des taux de vaccination chez les enfants, une aggravation des cas de maladies cardio-vasculaires, une baisse des examens pour de possibles cancers ou encore une détérioration de la santé mentale en général. Cela va engendrer de grands excès de mortalité dans les années à venir, notamment dans la classe ouvrière et parmi les plus jeunes. Maintenir les écoliers en dehors de l’école est une grande injustice.
Conserver ces mesures en attendant qu’un vaccin soit disponible causera des dégâts irréparables. Les couches sociales les moins favorisées seront les plus touchées.

Une maladie peu dangereuse pour les enfants

Heureusement, notre compréhension du virus s’améliore. Nous savons que la vulnérabilité à la mort par la COVID-19 est plus de mille fois plus haute parmi les personnes âgées et infirmes que chez les jeunes. En effet, pour les enfants, la COVID-19 est moins dangereux que bien d’autres maux, y compris la grippe.
L’immunité grandissant dans la population, le risque d’infection baisse pour tout le monde, y compris les plus vulnérables. Nous savons que toutes les populations vont finir par atteindre l’immunité collective, c’est-à-dire le point où le nombre de nouvelles infections est stable, et que ce processus peut s’accompagner (sans pour autant dépendre) de l’existence d’un vaccin. Par conséquent, notre objectif devrait être de minimiser la mortalité et le mal fait à la société jusqu’à ce qu’on atteigne l’immunité collective.
Une approche à la fois compassionnelle et prenant en compte les risques et les bénéfices consiste à autoriser celles et ceux qui ont le moins de risques de mourir du virus de vivre leurs vies normalement afin qu’ils fabriquent de l’immunité au travers d’infections naturelles tout en protégeant celles et ceux qui ont le plus de risques de mourir. Nous appelons cela la Protection Focalisée (Focused Protection).

En plein air plutôt qu’à l’intérieur

Le fait d’adopter des mesures pour protéger les plus vulnérables devrait être le but central des réponses de santé publique à la COVID-19. À titre d’exemples, les résidences pour personnes âgées devraient être dotées de personnel qui a acquis l’immunité et qui réalise fréquemment des tests pour les autres membres du personnel et les visiteurs. Par ailleurs, la rotation du personnel devrait être la plus faible possible. Les personnes retraitées qui vivent chez elles devraient se voir livrer leurs courses à domicile. Quand c’est possible, elles devraient rencontrer les proches en plein air plutôt qu’à l’intérieur.
Une liste de mesure complète et détaillée, incluant des approches pour les foyers comprenant plusieurs générations, peut être mise en œuvre. C’est largement dans la capacité et les prérogatives des professionnels de la santé publique.
Ceux qui ne sont pas vulnérables devraient immédiatement être autorisés à reprendre une vie normale. Des mesures d’hygiène simples, comme se laver les mains et rester chez soi si l’on est malade, devraient être pratiquées par chacun pour réduire le seuil de l’immunité collective. Les écoles et les universités devraient rouvrir pour des enseignements en présentiel. Les activités extrascolaires comme le sport devraient reprendre. Les jeunes adultes qui présentent peu de risques devraient travailler normalement plutôt que depuis chez eux. Les restaurants et les commerces devraient ouvrir. Les arts, la musique, le sport et les autres activités culturelles devraient reprendre. Les personnes qui présentent plus de risque peuvent participer si elles le souhaitent à ce processus tandis que la société dans son ensemble bénéficie de la protection ainsi conférée aux plus vulnérables par ceux qui ont construit l’immunité collective. »

Source

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6 décembre 2021 1 06 /12 /décembre /2021 17:56
Dr. David John Sorenson et Dr. Vladimir Zelenko : « Vaccine Death Report »
 

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6 décembre 2021 1 06 /12 /décembre /2021 17:55

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3 décembre 2021 5 03 /12 /décembre /2021 16:26
Ne m’appelez plus Commission, mais Corruption européenne

 

 

 

On savait la Commission européenne inféodée aux puissances multinationales, ce qui signifie antinationales (elles reversent très peu d’impôts aux nations qu’elles ratissent) ; on savait sa nouvelle présidente, Ursula von der Leyen, surnommée von der Liar (Ursula du Mensonge), très proche de Pfizer via son mari Heiko, mais alors là, les égouts de l’UE débordent. C’est carrément toute la merde de la corruption qui gicle des tréfonds de l’entité européiste. Sur les réseaux sociaux, tous les éléments tombent en même temps, c’est une pluie d’infos et nous allons essayer de les mettre dans l’ordre.

 

D’abord, il y a cet article énorme sur Agoravox de Gérard Luçon, qui reprend un article du Roumain Adrian Onciu, qui a balancé une enquête sur la corruption de l’UE, du couple Leyen et de Pfizer. On rappelle que l’UE a acheté pour 36 milliards d’euros de pseudo-vaccins au groupe du PDG Albert Bourla, qui n’a pas été lui-même vacciné, si l’on en croit sa déclaration.

 

 

Voici le début de cette enquête traduite :

 

 

Premier épisode / Comment le mari d’Ursula von der Leyen est devenu le pion principal dans l’affaire Pfizer de 36 mld $

 

Même si le Parquet européen ne se saisit pas, pour diverses raisons faciles à deviner, nous continuons à présenter des informations vraiment choquantes de la promiscuité dans l’affaire Pfizer-Ursula. Ce sont des informations officielles et vérifiées. Pas des histoires à dormir debout.

 

Les résultats de la présente enquête sont vraiment explosifs. Ils montrent sans équivoque la combinaison putride entre de hauts responsables politiques de l’UE et la mafia Big Pharma. Et tout cela en pleine pandémie. Ils se sont moqués de la vie, de la santé et des libertés des centaines de millions de personnes terrorisées par un système de propagande mensongère. Ils nous ont mis des milliards de vaccins autour du cou (bien au-delà de ce dont nous aurions besoin), juste dans une quête désespérée du profit.

 

Le gros lot est d’environ 36 milliards de dollars. Soit 1,8 milliard de doses de vaccin Pfizer, négociées par le chef de la Commission européenne avec le patron de l’entreprise pharmaceutique, Albert Bourla. Négociées de manière totalement opaque, comme je l’ai souligné dans des articles précédents. Vous pouvez également les retrouver sur le site de l’agence Mediafax, pourvu qu’il n’y ait pas de « défaillances techniques ».

 

Je présenterai brièvement l’histoire dans cette première partie, en m’aidant moins de chiffres, mais avec suffisamment de références et de noms de protagonistes, comme il en ressort des preuves directes et indirectes réunies. C’est le devoir du procureur en chef Kovesi maintenant de mener l’enquête. Vérifier les comptes bancaires, la circulation de l’argent entre les entreprises, demander l’aide du FBI à New York et à Bruxelles, punir les coupables. Comme elle l’a fait en Roumanie avec tant de politiciens de premier plan. Du moins faut-il qu’elle ait la volonté nécessaire.

 

Je précise que la société Pfizer n’en est pas à son premier délit. Elle a beaucoup de dossiers, certains pénaux. Aucun coupable pour le moment. Les procureurs américains l’ont mise en observation, mais ne sont pas allés plus loin. Ils n’ont pas même puni les cadres impliqués.

 

La clé de la négociation de l’accord de 36 milliards de dollars est le mari d’Ursula von der Leyen. Jusqu’au début de la pandémie, et même bien après, personne n’avait entendu parler du Dr Heiko von der Leyen. Époux de la Première dame de Bruxelles. En d’autres termes, le mari de la cheffe du gouvernement européen.

 

La famille der Leyen vit près de Hanovre (Allemagne) depuis 2007, sur la propriété qu’Heiko a héritée de ses parents. Ils ont sept enfants et un petit-fils.

 

Et maintenant, souvenons-nous. La pandémie a commencé en Roumanie en mars 2020. Quelques mois plus tard, en décembre 2020, un médecin allemand relativement inconnu, chef d’une clinique à Hanovre, atterrit directement au conseil d’administration d’une très puissante entreprise Big Pharma aux États-Unis. Et non, il ne s’agit pas de Pfizer. Cela aurait été trop simple. Trop frappant. Dr Heiko a été transféré à l’étranger, « dans l’intérêt du service », dans une société pharmaceutique spécialisée (depuis de nombreuses années) dans la technologie bien connue de l’ARNm. C’est Orgenesis Inc. À l’époque, les spécialistes d’Orgenesis menaient des expériences pour traiter les cancers. Mais une énorme opportunité s’est présentée : la pandémie ! Ainsi, les bons gars de Pfizer ont immédiatement flairé la méga-affaire mondiale. D’ailleurs, ils avaient de l’expérience !

 

Le résumé de cette (juteuse) affaire de famille par François Ducrocq, homme de brevets :

 

 

Un gigantesque conflit d’intérêts aux conséquences incalculables !

 

On comprend mieux pourquoi notre mère à tous, la patronne de la Commission, cherche à vacciner de force près d’un demi-milliard d’Européens. Pour le site Contrepoints, cette volonté politique, pour ne pas dire totalitaire, peut mener à une situation à la guadeloupéenne :

La présidente de la Commission européenne Ursula van der Leyen vient d’annoncer qu’elle est en faveur d’une discussion sur la vaccination obligatoire dans les pays de l’Union européenne. Si pour l’instant le choix est laissé aux États, une brèche est ouverte. Le risque que les dirigeants européens s’y enfoncent est important.

La position favorable de la Commission envers la vaccination obligatoire risque de soulever des remous majeurs dans l’UE et tout particulièrement dans des pays eurosceptiques aussi bien peu vaccinés ou que vaccinés. (...)

Le souhait de la Commission d’une vaccination obligatoire obéit à une logique politicienne. Cette obligation n’a pas d’intérêt dans une Europe de l’Ouest qui avance bien sa campagne de vaccination. Par contre, elle serait punitive pour l’Europe centrale.

Pour l’instant, la Commission laisse les États décider. Mais la gestion de la crise a montré que les recommandations deviennent parfois des obligations. Plus concrètement, il est à craindre des pressions sur les États qui refuseraient d’aligner leur stratégie vaccinale sur celles des États clés comme l’Allemagne ou les institutions européennes.

Cette position pourrait donner les mêmes résultats que la France métropolitaine avec les territoires d’outre-mer. Il apparaît peu probable que des pays connus pour avoir un vivier d’eurosceptiques se montrent passifs si cette obligation devenait réalité.

 

 

 

La dictature vaccinale européenne se met donc doucement en place et l’on voit apparaître de drôles de choses, ici et là, qui donnent un aperçu d’un très dystopique futur...

 

 

La majorité des Français, pour ne parler que du cas français, reste amorphe, comme en 40. Mais la partie vivace de la nation a compris, et réagit.

 

 

Peu de personnalités médiatico-politiques réagissent, parce qu’elles font partie finalement du Système. La liberté de parole est à trouver dans la France d’en bas, celle qui bruisse sous les radars.

 

 

La pression monte contre le couple Leyen, mais celle qui se nomme elle-même la grande presse, qui est toute petite en matière d’indépendance, se tait. C’est trop énorme, la boss de l’UE qui plonge dans une affaire de corruption meurtrière ! En plus, cette idiote a égaré les mails compromettants :

 

 

Et au moment où la pince de la vérité se rapproche du couple Leyen-Pfizer, cette horrible association, ce mariage diabolique, un rapport délicat sur le groupe américain sort du néant..

 

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3 décembre 2021 5 03 /12 /décembre /2021 16:18
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3 décembre 2021 5 03 /12 /décembre /2021 13:38

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3 décembre 2021 5 03 /12 /décembre /2021 13:14
Un patient mourant de COVID-19 se rétablit après que le tribunal a ordonné à l'hôpital d'administrer de l'ivermectine

Un patient âgé a reçu du Remedesivir pour traiter Covid-19 dans un hôpital de l'Illinois, mais il n'a pas pu traiter le patient. Cet hôpital insistait pour administrer ce médicament. Mais, le patient a été récupéré avec de l'ivermectine lorsque le tribunal lui a permis de l'utiliser malgré les objections de l'hôpital.

Un patient mourant de COVID-19 se rétablit après que le tribunal a ordonné à l'hôpital d'administrer de l'ivermectine

Le comprimé d'ivermectine a été suggéré par un médecin extérieur. Ce comprimé est utilisé pour traiter les affections créées par les vers parasites. Ces conditions comprennent la strongyloïdose intestinale et l'onchocercose.

 
 

Ce médicament est approuvé par la FDA et certaines formes ont également été approuvées pour traiter la rosacée et les poux de tête. Il peut également être utilisé pour soigner les animaux.

Le remdesivir est destiné à être utilisé en urgence pour traiter le Covid-19. Il est devenu controversé d'utiliser l'ivermectine pour traiter Covid-19 car il n'est pas approuvé par la FDA pour traiter les problèmes de santé causés par le virus SARS-CoV-2.

Les critiques ont accusé la FDA d'être indifférente et trop prudente aux problèmes de santé humaine dans son approche du contrôle et de la réglementation des produits pharmaceutiques.

 
 
 
 

La loi, selon la FDA, "est un autre moyen pour les patients qui ont reçu un diagnostic de maladies ou d'affections potentiellement mortelles qui ont essayé toutes les options de traitement approuvées et qui ne sont pas en mesure de participer à un essai clinique d'accéder à certains traitements non approuvés".

La FDA affirme que l'utilisation hors AMM de l'ivermectine pour traiter Covid-19 peut être dangereuse dans de nombreux scénarios, mais les médecins peuvent néanmoins la prescrire pour traiter ce problème. Selon l'agence, des essais cliniques sur l'homme d'usage de médicaments contre le Covid-19 sont en cours.

Comment l'ivermectine a sauvé la vie de Sun Ng

Une personne âgée, Sun Ng, 71 ans, de Hong Kong était en visite aux États-Unis. Il est venu fêter le premier anniversaire de sa fille, mais a été infecté par le Covid-19. Il a été hospitalisé, mais son état s'est aggravé. Il a été placé sous ventilateur.

 
 
 
 

La fille de Ng, Man Kwan Ng, a fait de nombreuses recherches et a décidé d'essayer l'ivermectine pour soigner son père. De nombreux médecins pensent que ce comprimé peut être efficace contre le Covid-19. Elle a demandé aux médecins d'utiliser l'ivermectine pour traiter son père, mais l'hôpital a refusé de l'administrer et a également refusé l'accès à un médecin disposé à l'administrer. 

Le 1er novembre, la fille est allée au tribunal au nom de son père et le juge Paul M. Fullerton a accordé une ordonnance d'interdiction temporaire exigeant que l'hôpital autorise l'administration d'ivermectine au patient, mais l'hôpital a refusé de se conformer à l'ordonnance du tribunal.

 

Le 5 novembre, lors d'une audience ultérieure, Fullerton a déclaré qu'un médecin qui a témoigné a décrit le patient comme "essentiellement sur son lit de mort", avec seulement 10 à 15 % de chances de survie.

 

Ce médicament peut avoir des effets secondaires minimes comme la diarrhée, des démangeaisons cutanées et des étourdissements à la posologie suggérée pour Ng, mais les « risques de ces effets secondaires sont si minimes que la situation actuelle de M. Ng l'emporte cent fois sur ce risque », a déclaré Fullerton.

Le juge a émis une injonction préliminaire ce jour-là ordonnant à l'hôpital d'"accorder immédiatement … des privilèges d'urgence temporaires" au médecin de Ng, le Dr Alan Bain, "uniquement pour administrer de l'ivermectine à ce patient".

 
 

Les 6 et 7 novembre, l'hôpital a résisté à l'ordonnance du tribunal et a refusé à Bain l'accès à son patient. L'hôpital a affirmé qu'il ne pouvait pas laisser entrer Bain car il n'était pas vacciné contre Covid-19 et le médecin-chef de l'hôpital n'était pas présent pour « surveiller » Bain administrant de l'ivermectine.

 

Le 8 novembre, un rapport d'urgence auprès du tribunal a été déposé par l'avocat de la fille et les deux parties ont été entendues par Fullerton. Le juge a réprimandé l'hôpital et a réaffirmé que l'hôpital doit autoriser Bain à l'intérieur pendant une période de 15 jours et le laisser faire son travail.

 

Fullerton a nié lorsque l'hôpital a déposé une requête en suspension de l'ordonnance. Le 27 novembre, Sun Ng a été libéré pendant que l'ivermectine fonctionnait.

"Le rétablissement de mon père est incroyable", a déclaré sa fille, Man Kwan Ng, dans un communiqué.

 

 

« Mon père est un homme dur. Il travaillait si dur pour survivre, et bien sûr, avec la main de Dieu. Il a cessé de prendre de l'oxygène environ trois jours après avoir quitté l'unité de soins intensifs. Il a commencé à s'alimenter par voie orale avant sa sortie de l'hôpital.

 

Il est rentré chez lui sans porter une bouteille d'oxygène et un tube d'alimentation installé dans son estomac. Il peut maintenant se tenir debout avec une marchette à son chevet et s'entraîner à marcher. Après avoir été mis sous sédation pendant un mois sous respirateur en soins intensifs, ses performances dépassent nos attentes. Louez le Seigneur.

L'avocat Erickson a déclaré que le résultat final "heureux" donne ici "de l'espoir pour la nation".

 
 

« Nous recevons des appels de partout », a-t-elle déclaré à Epoch Times . «Les gens qui veulent poursuivre les hôpitaux après le décès de quelqu'un, ils voulaient obtenir le médicament et ne pouvaient pas. Évidemment, c'est un cas différent et difficile parce qu'un cas de faute professionnelle médicale est très difficile.

Les gens veulent juste faire ce qui est le mieux pour les membres de leur famille et « trouver eux-mêmes l'ivermectine » et l'avoir sous la main « et l'utiliser quand quelqu'un commence à développer des symptômes », a déclaré Erickson.

Elle a déclaré que son équipe juridique et son client étaient "vraiment reconnaissants" que Ng se soit rétabli et "nous saluons" le juge Fullerton, le Dr Bain et d'autres, ainsi que l'hôpital pour avoir finalement respecté l'ordonnance du tribunal.

 

 

 

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3 décembre 2021 5 03 /12 /décembre /2021 13:10

Covid-19 vaccines: Fact sheets warn against use in immuno ...

 

Alors que le pays a entamé sa campagne de rappel, dès juillet dernier, Israël envisage d'ores et déjà l'administration d'une 4ème dose, selon i24News.

"Il n'est pas déraisonnable de penser que nous aurons besoin d'un quatrième vaccin", a annoncé le ministre de la Santé israélien ce mercredi 24 novembre.

 

9% des nouveaux cas ont reçu trois doses

Au cours d'une interview télévisée, Nisan Horowitz a révélé que 9% des nouveaux cas de Covid-19 détectés mardi 23 novembre dans le pays étaient des personnes qui avaient reçu la dose de rappel, souvent une 3e.

Malgré la recrudescence des contaminations, il a néanmoins écarté l'hypothèse d'une 5e vague en Israël.

Pionner sur la vaccination

Premier pays au monde à s'être lancé dans la vaccination de masse en décembre 2020, l'Etat hébreu avait été également pionnier dans la campagne de rappel en juillet, puis premier à vacciner les 5-11 ans. Fin novembre, plus de 80% des 9 millions d'Israéliens sont vaccinés avec deux doses.

Exemple pour le reste du monde ?

Alors qu'Olivier Véran a annoncé ce jeudi la généralisation de la 3ème dose à tous les Français majeures, la situation israélienne est observée par de nombreux pays dans le monde. Tout ce qui s'est d'abord passé là-bas, s'est ensuite passé à peu près partout ailleurs...

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