commenter cet article …
contact :henry.arthenay@hotmail.fr
Facebook :
Youtube
Crowdbunker
Pierrick pompier suspendu « Salaire à 0€, 0€ d’allocation chômage, j’ai vendu ma voiture pour tenir quelques mois, manger et payer mon loyer. Les Français ne se rendent pas compte qu’on est encore suspendu » @THEVENONPierri1 pic.twitter.com/fLwVXW5z5L
— MIKE BOROWSKI (@BOROWSKIMIKE) June 19, 2022
____________________________________________________
Vaccination : une infirmière suspendue gagne son procès contre l'hôpital public
C’est une décision de justice importante qui pourrait faire jurisprudence. Le tribunal administratif de Dijon a en effet prononcé l’annulation de la suspension d’une infirmière du centre hospitalier de Joigny, dans l’Yonne, pour défaut de vaccination contre la Covid-19, rapporte Actu.fr le mercredi 15 juin.
La soignante avait été placée en arrêt maladie le 26 août 2021, arrêt prolongé jusqu’au 18 juin 2022, en raison d’un accident de travail qui a résulté de violentes douleurs à l’épaule pour l'infirmière. Cette dernière avait ensuite été suspendue, comme 15.000 autres personnels soignants, le 15 septembre 2021, pour défaut de vaccination à la Covid-19.
Face à cette situation, le tribunal a jugé qu'il était illégal de suspendre un agent public pour défaut de présentation d’un justificatif de vaccination contre la Covid-19, dès lors que celui-ci ne peut plus exercer ses fonctions avant la fin de son congé maladie.
Cette décision fait la joie de Tarek Koraitem, l'avocat de la plaignante : "Je le dis très humblement, sans fausse modestie, mais il s’agit d’un jugement très important car une seule annulation avait été prononcée à ce jour en France dans ce type de contentieux."
L'avocat est d'autant plus satisfait que l'annulation est rétroactive. L'infirmière va donc percevoir ses salaires, ses congés payés, ses droits à la retraite, ses primes, rétroactivement à la date du 15 septembre 2021, date effective de sa suspension.
Une décision qui pourrait faire jurisprudence
Maître Koraitem se veut optimiste pour la suite : "Même si le centre hospitalier voulait faire appel, il serait perdant. Nos confrères pourront désormais s’appuyer sur ce jugement. Cette décision va faire jurisprudence pour les requêtes en annulation déposées à travers le pays."
Ce jugement pourrait donc avoir un effet boule de neige. Selon Maître Koraitem, c'est plus d'une centaine de contentieux du même type qui sont actuellement en attente de jugement en France.
C'est la deuxième fois qu'une cour de justice annule la suspension d'un personnel soignant mis à pied pour défaut de vaccination à la Covid-19. En mars dernier, le conseil des prud’hommes d’Alençon avait ordonné la réintégration d'une infirmière non vaccinée travaillant dans un Ehpad de l’Orne.
Source Rootymous TV @Rootymous
https://www.youtube.com/watch?v=RSKXQQFCBiI
Xavier Poussard : l’entourage d’Emmanuel Macron / Faits & Documents
Source : Odysee
Où l’on apprend que l’UE empêche l’Afrique d’acheter des céréales russes puisqu’il est impossible aux pays africains de régler avec swift leur livraison à la Russie.Un scandale de plus.https://t.co/WW6ooYpqI6
— Philippe Murer (@PhilippeMurer) June 16, 2022
Vladimir Poutine : "L'Union européenne a complètement perdu sa souveraineté" https://t.co/TFXttM0cIa
— La Tribune (@LaTribune) June 17, 2022
Les banques locales chinoises gèlent les comptes. Les manifestants ne peuvent pas s’approcher des banques car leur application sanitaire pour le COVID-19 devient rouge. Les autorités n’ont fourni aucune explication…
Comme le rapporte Dorothy Li de The Epoch Times, plusieurs déposants ont déclaré à The Epoch Times le 14 juin que le code de santé sur leur application COVID-19 était devenu rouge dès qu’ils avaient scanné les codes-barres des lieux à Zhengzhou, la capitale de la province du Henan, en Chine centrale.
Un code de santé rouge – indiquant un patient potentiel du COVID-19 – signifie que le porteur se voit interdire l’accès à tous les lieux publics, des toilettes publiques aux magasins en passant par les gares, et qu’il doit être placé en quarantaine dans des centres d’isolement centralisés.
Ils font partie des dizaines de milliers de détenteurs de comptes bancaires qui se battent depuis plus de deux mois pour récupérer leurs économies. La crise a commencé en avril lorsqu’au moins quatre prêteurs du Henan ont gelé les retraits d’argent, invoquant des mises à niveau de leur système interne. Mais les clients ont déclaré que ni ces banques ni les responsables n’ont depuis lors fourni d’informations sur les raisons et la durée de ce gel, ce qui a provoqué des manifestations de colère devant le bureau du régulateur bancaire à Zhengzhou en mai.
Environ un million de clients auraient été touchés, ce qui a mis en péril les économies de nombreux habitants et empêché les patients de payer leurs soins médicaux réguliers.
Les déposants ont été privés d’au moins 39,7 milliards de yuans (5,91 milliards de dollars), selon le Sanlian LifeWeek, un magazine d’État.
Les déposants lésés à travers le pays ont prévu une autre manifestation à Zhengzhou le 13 juin pour exiger une réponse, bien que les rassemblements précédents se soient heurtés au silence des autorités locales et à la violence de la police en civil.
(…)
Leur plan a toutefois été contrecarré une nouvelle fois, leur code sanitaire étant devenu rouge dans les gares ou à l’entrée des autoroutes de la ville.
Un code rouge indique le niveau de risque le plus élevé, ce qui signifie que la personne a été testée positive, a été proche d’un patient atteint du COVID-19 ou a visité des zones à haut risque de COVID au cours des 14 derniers jours. Les résidents ayant un code rouge risquent deux semaines d’isolement centralisé.
(…)
« Ils [les fonctionnaires] sont comme des voleurs », a déclaré un troisième client de banque qui a été arrêté par la police à la gare de Zhengzhou le 12 juin et a dû partir.
« Nous sommes tous des déposants légaux… Pourquoi n’avons-nous même pas pu avoir une explication ? ».
(…)
« C’est tellement effrayant », a commenté un utilisateur.
« Si le code sanitaire est utilisé de manière abusive (…), cela pourrait nous mettre des menottes numériques. Tout le monde deviendra un prisonnier à partir de maintenant et pourra être arrêté n’importe où, n’importe quand. »