Même après avoir admis mercredi qu’une injection sur 5 000 provoque des “effets secondaires graves”, le ministère de la Santé continue d’imposer la “vaccination” contre le Covid.
Moins d’une semaine après que le ministère allemand de la Santé a admis qu’une injection de Covid sur 5 000 entraîne des effets secondaires graves, la fédération allemande des hôpitaux demande que l’obligation de vaccination du personnel de santé soit révoquée. “Il n’est pas judicieux de poursuivre dans cette voie”.
Jusqu’à présent, la Fédération allemande des hôpitaux (DKG) était favorable à la vaccination obligatoire du personnel soignant et de soins. Toutefois, selon une déclaration officielle, l’association, qui relève du ministère de la Santé, change désormais de position car les vaccinations n’ont guère de sens contre la variante omikron.
“Selon les constatations actuelles, il n’est pas judicieux et pas transférable de continuer”, a déclaré mercredi Henriette Neumeyer, vice-présidente du conseil d’administration, à Redaktionsnetzwerk Deutschland.
“A l’époque de la variante delta, l’obligation de vaccination du personnel soignant semblait avoir un effet protecteur important, également pour les groupes vulnérables dans les hôpitaux”, Neumeyer défend la position antérieure de la DKG. “Avec la variante omikron, cela est devenu obsolète”.
La vaccination obligatoire
Le gouvernement allemand a approuvé la vaccination obligatoire du personnel de santé en décembre dernier. Les employés des établissements accueillant des personnes vulnérables, comme les maisons de retraite et les cliniques, devaient prouver qu’ils avaient été vaccinés ou guéris à partir de la mi-mars 2022. Selon la loi, cette réglementation ne s’applique que jusqu’à la fin de l’année et serait abolie si la loi de protection contre les infections n’est pas à nouveau modifiée.
L’injection entraîne de graves effets secondaires
Le ministère allemand de la santé a officiellement admis mercredi dernier qu’une injection sur 5 000 provoquait des “effets secondaires graves”, à savoir une hospitalisation, une invalidité permanente ou la mort. Une personne qui reçoit quatre injections a une chance sur 1250 de subir ces effets dévastateurs.
— Bundesgesundheitsministerium (@BMG_Bund) July 21, 2022
Avec cet aveu, les autorités ont officiellement admis pour la première fois qu’il y avait un grave problème de sécurité avec les injections expérimentales contre covid, qui ont été administrées des milliards de fois dans le monde entier.
Selon les chiffres officiels, des dizaines de milliers de personnes ont déjà été hospitalisées, handicapées ou tuées rien qu’en Allemagne jusqu’à présent. Les effets secondaires « légers » pour lesquels les gens ont dû consulter un médecin, tels que les problèmes menstruels, les problèmes cardiaques ou les convulsions, ne sont pas inclus dans les chiffres. En outre, il ne comprend que les cas signalés par les médecins.
Les données comprenaient 5 862 rapports d’effets indésirables suspectés chez les enfants et les adolescents. Parmi les rapports, 186 effets indésirables suspectés sont survenus chez des enfants de moins de 5 ans et 124 chez des enfants âgés de 15 mois à quatre ans.
Soixante et un effets indésirables suspectés ont été signalés chez des nourrissons dont les mères ont été vaccinées pendant l’allaitement.
Les politiques de vaccination menacées dans le monde entier
Les aveux du ministère de la Santé ouvrent la porte aux victimes de vaccins pour intenter des poursuites contre les autorités, qui ont toujours affirmé que les vaccins étaient sûrs. Cela met également une bombe dans les campagnes de vaccination actuelles et futures dans le monde entier. En outre, la décision pourrait avoir des conséquences juridiques de grande portée pour les gouvernements qui veulent maintenant imposer une obligation de vaccination.
Il n’y a absolument aucun soutien scientifique pour vacciner les enfants en bonne santé avec des injections expérimentales. Les enfants de moins de vingt ans ont statistiquement 99,9987% de chances de survivre à une infection Covid. Les enfants en bonne santé sont encore moins susceptibles de mourir du Covid.
La confession a-t-elle joué un rôle ?
La Fédération allemande des hôpitaux ne dit rien sur les aveux du ministère de la Santé concernant la nocivité des vaccins Covid dans son communiqué. Cependant, il est frappant de constater que la Fédération allemande des hôpitaux a changé de position sur l’obligation de vaccination des employés de la santé moins d’une semaine plus tard.
Les autorités américaines doivent immédiatement cesser l’exportation illégale de produits agricoles et de pétrole depuis le territoire syrien, a déclaré le porte-parole de la diplomatie chinoise Wang Wenbin.
Il a pointé le fait que les militaires américains avaient pris et occupé en Syrie des régions primordiales de cultures agricoles et de champs pétroliers.
Le diplomate chinois l’a qualifié de maraudage au niveau de l’État et a exigé non seulement de cesser de piller les ressources syriennes, mais également de compenser tout le préjudice infligé par les Américains à ce pays arabe.
Le porte-parole chinois a indiqué que les Américains contrôlaient les communications principales de la Syrie. Les Syriens sont indignés par les actions des militaires américains et disent que les Américains n’y sont pas venus pour combattre le terrorisme mais pour piller le pays.
Les propos sur le pillage de la Syrie par les Américains sont confirmés par de nombreuses sources, écrit la revue iranienne Resalat. Les statistiques officielles du ministère syrien du Pétrole confirment que jusqu’à 70.000 barils par jour sont exportés du pays par les Américains et les groupes qu’ils contrôlent.
Comme l’a noté la revue saoudienne Asharq Al-Awsat, la taille des réserves pétrolières de la Syrie restait longtemps confidentielle. En 2015, le département américain de la Défense estimait les revenus de l’État islamique (EI, organisation terroriste interdite en Russie) de la vente de pétrole syrien à 40 millions de dollars par mois. Deux ans plus tard, les troupes de l’EI ont été chassées de l’est de la Syrie, alors que les Forces démocratiques syriennes kurdes soutenues par Washington ont établi le contrôle sur les principaux gisements pétroliers du pays.
La production pétrolière en Syrie s’élevait à 406.000 barils par jour en 2008. En 2015, la production avait chuté jusqu’à 27.000 barils, et jusqu’à seulement 24.000 en 2018. Puis, en 2020, elle est répartie à la hausse pour atteindre 89.000 barils par jour, mais, comme l’a déclaré le ministre syrien du Pétrole et de Ressources minérales Bassam Tohmé, pratiquement tout le pétrole produit actuellement dans l’est de la Syrie est volé.
Le ministère russe de la Défense avait attiré plusieurs fois l’attention sur le pillage des ressources syriennes par les Américains. Le ministre russe de la Défense Sergueï Choïgou, lors d’un entretien avec son homologue turc Hulusi Akar, a dit que depuis longtemps les militaires américains se trouvaient illégalement sur le territoire syrien et volaient les ressources minières du pays.
C’était également confirmé par l’ancien président américain Donald Trump: « Nous gardons le pétrole. Souvenez-vous en. Je l’ai toujours dit: gardez le pétrole. Et nous voulons garder le pétrole, 45 millions de dollars par mois. »
En 2020, la revue Politico a rapporté qu’une certaine compagnie américaine avait signé un contrat avec les autorités kurdes au nord-est de la Syrie sur l’exploitation et l’exportation de pétrole brut depuis la région dans le cadre d’un accord secret approuvé par le gouvernement américain. « Le ministre syrien des Affaires étrangères a qualifié cet accord d’illégal le qualifiant de vol du pétrole syrien », indique Politico.
Les États-Unis volent non seulement le pétrole, mais aussi les céréales syriennes. Avant le début du conflit, la Syrie était un pays agraire prospère et produisait jusqu’à 4 millions de tonnes de blé par an. Ces récoltes suffisaient non seulement pour satisfaire la demande intérieure, mais également pour les exportations, notamment en Union européenne. À présent, la Syrie manque de céréales et Damas est contraint d’en acheter à l’étranger.
L’armée américaine et les Forces démocratiques syriennes qui lui sont subordonnées ont occupé et retiennent des territoires à l’est de l’Euphrate avec un centre dans la province de Hassaké, qui est le plus grand producteur de blé dans le pays. Les céréales et le pétrole qui y sont produits sont expropriés par les Américains et leurs complices syriens pour être déplacés en Irak.
Si le blé et le pétrole à l’est de l’Euphrate étaient entièrement utilisés pour la demande intérieure, cela aurait nettement réduit les problèmes alimentaires et autres de la Syrie, alors que le niveau de vie de la population locale augmenterait.
Sur fond de préoccupation hypocrite des États-Unis par les céréales ukrainiennes, le pillage de la Syrie par les Américains paraît particulièrement cynique.
Par Wolf Wagner, journaliste indépendant pourFranceSoir
CHRONIQUE – Sous couvert de lutter contre le terrorisme et de se conformer au droit européen, l’Assemblée nationale vient de voter une loi sur « la prévention de la diffusion de contenus à caractère terroriste ». Ce texte donne à présent le droit aux autorités de censurer, dans l’heure et sans aucune intervention de la justice, tout contenu publié sur internet dès lors que celui-ci peut être considéré comme « terroriste ».
Une loi qui menace directement la liberté d’expression. Explications.
Gérald Darmanin ne s’y trompe pas. Il s’est félicité sur Twitter que « ce texte important permet de contraindre éditeurs et hébergeurs web à retirer les contenus terroristes dans l’heure ».
Le ministre de l’Intérieur fait ici référence au texte adopté par l’Assemblée nationale le 27 juillet 2022.
Une loi qui vise à se conformer à la législation européenne entrée en vigueur le 7 juin dernier. Pour Caroline Cayeux, ministre déléguée chargée des Collectivités territoriales, qui était présente sur les bancs de l’assemblée pour défendre les positions du gouvernement, « il était indispensable que des autorités indépendantes chargées d’assurer et de contrôler la légalité du retrait des contenus soient désignés par chaque État-membre ».
L’autorité indépendante en question censée contrôler ces contenus est l’Arcom, l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique, le successeur du CSA. C’est-à-dire une instance dont les membres sont nommés par les présidents de la République, du Sénat et de l’Assemblée nationale, par le Conseil d’État et par la Cour de cassation.
Autrement dit : les membres d’une autorité à l’indépendance et à l’impartialité politique fortement contestable.
Et pour parvenir à ses fins, l’autorité indépendante entend s’appuyer sur sa plateforme Pharos, qui recense les signalements de contenus illicites réalisés par des internautes.
Être jugé coupable sans intervention judiciaire et sans possibilité de se défendre en amont de la sanction
Grâce à l’adoption de cette proposition de loi par l’assemblée, l’Arcom a donc bien à présent la possibilité de forcer tout site Internet, réseaux sociaux en tête, à supprimer dans l’heure un contenu qu’elle jugerait terroriste.
Contrairement à ce que permet habituellement le droit français, un plaignant pourrait ainsi se voir être injustement condamné avant d’avoir la possibilité de se défendre. En résumé, la sanction interviendra avant toute intervention de l’institution judiciaire, et donc avant tout procès.
Une situation inacceptable déjà dénoncée en avril 2021, depuis le Parlement européen, par l’eurodéputée EELV Gwendoline Delbos-Corfield : « Bien entendu, il sera possible après d’attaquer cette décision en justice, et peut-être de se voir rendre justice, si c’était illégitime. Mais « après ». En attendant, l’UE aura créé l’opportunité d’une forme de censure préalable, ce qui va à l’encontre des éléments fondamentaux de la liberté d’expression. »
Sans oublier qu’en cas de censure subie, il est difficile d’imaginer que le Français, ou que l’Européen, moyen injustement condamné souhaitera s’engager dans une longue procédure judiciaire s’il n’obtenait pas rapidement gain de cause face à la censure de l’une de ses publications. Il est fort à parier que celui-ci préférera accepter sa sanction et passer à autre chose plutôt que d’entrer dans un long combat potentiellement perdu d’avance.
Et pour les entités plus puissantes, capables d’engager une procédure judiciaire contraignante, il est envisageable – notamment concernant la presse indépendante, – que toute information publiée et censurée à tort par l’Arcom, perdra en valeur et en intérêt si elle ne devait réapparaître sur Internet que bien plus tard, une fois la procédure judiciaire terminée et remportée par l’accusé. Le mal aura dans tous les cas été fait, l’information aura été censurée au moment de sa diffusion.
Un contenu supprimable partout en Europe à la demande de n’importe quel ministère de l’Intérieur de l’UE ?
Beaucoup plus inquiétant, Gwendoline Delbos-Corfield alerte sur le fait que « demain, le ministère de l’Intérieur d’un pays va pouvoir faire supprimer en une heure un contenu qu’il aura décrété terroriste dans le pays voisin, en s’adressant directement à la plateforme qui l’héberge et sans qu’aucune autorité judiciaire, des deux côtés, n’ait jamais eu un regard dessus. »
À l’en croire, cette loi permettrait tout simplement une ingérence permanente entre États européens sur la manière de régulariser la liberté d’expression des citoyens de l’UE sur Internet. Un mode opératoire qui, s’il venait à véritablement voir le jour, soulèverait de nombreuses questions.
En effet, l’eurodéputée rappelle que « dans certains États de cette Union européenne, on peut être ciblé officiellement comme traître à la nation ou ennemi de l’État pour avoir simplement questionné une décision gouvernementale. Dans certains États de cette Union européenne, la constitution peut être interprétée comme jugeant acte terroriste le fait d’organiser un référendum. Dans certains États de cette Union européenne, des membres de gouvernements et des hauts fonctionnaires ont qualifié d’actes terroristes de mineures dégradations matérielles faits par des activistes environnementalistes ».
Une définition du « terrorisme » qui prête ainsi largement à interprétation selon l’eurodéputée et selon plusieurs ONG auxquelles Public Sénat faisait écho, le 13 juillet dernier, dans un article paru suite à l’adoption du texte par le Sénat : « Ces publications « à caractère terroriste » regroupent, selon la définition prévue par les textes législatifs, toute incitation à la commission d’infractions terroristes, la sollicitation d’une personne ou d’un groupe pour commettre des actes terroristes, la fourniture d’instruction pour la fabrication ou l’utilisation d’armes ou d’explosifs. Cette définition large est critiquée par de nombreuses associations et Organisation Non Gouvernementales (ONG), qui y voient une menace pour la liberté d’expression ».
Qu’est-ce qu’un terroriste ?
L’eurodéputée soulève ici une très bonne question : qu’est-ce concrètement qu’un terroriste ? Comment le différencier d’un déséquilibré ou d’un opposant politique violent ?
Un terroriste est-il forcément djihadiste ? Un terroriste doit-il obligatoirement proférer des attentats sur le territoire national pour être considéré comme tel ? Ou encore, un attentat terroriste doit-il obligatoirement toucher des personnes ou la seule atteinte aux biens suffit-elle ?
Autant de critères non définis qui laissent à terme la porte ouverte à une multitude d’interprétations possibles.
D’autant qu’il n’est pas nécessaire de remonter jusqu’à la Seconde Guerre mondiale, quand les résistants de l’époque étaient appelés « terroristes » par le régime nazi et par celui de Vichy, pour trouver des analogies parfois hasardeuses, voire mensongères, au sujet d’individus qualifiés de terroristes.
En effet, pour Michel Wieviorka, sociologue et directeur d’études à l’École des hautes études en sciences sociales, interrogé en 2021 par CNews au sujet de l’incendie d’un centre de vaccination à Urrugne dans les Pyrénées-Atlantiques, il s’agit « certainement de groupes tout à fait petits qui organisent ce genre de choses. On est dans de l’action structurée, organisée, violente… j’ai envie de vous dire : la colère se refroidit et se transforme en quasi terrorisme».
Le mot « terrorisme » a donc déjà été lâché par un éminent sociologue au sujet de l’incendie, plutôt léger, d’une simple tente abritant un centre de vaccination.
Une interrogation qui avait alors été reprise telle quelle par un influent site Internet de l’époque, celui de Jean-Marc Morandini, qui avait choisi de diffuser l’interview du sociologue et qui débute son article en se posant cette question : « La colère est-elle en train de se transformer en actes terroristes ? ».
D’un incendie d’une tente, nous avons donc rapidement basculé vers un discours où l’amalgame était permis entre opposants antivax et le terme de terroriste, généralement consacré aux individus animés de velléités meurtrières contre les intérêts français.
Il serait simple de se dire que ces mots n’engagent que le sociologue qui les a prononcés, mais, dans un pays où la novlangue est devenue reine et où la définition des mots peut parfois évoluer très rapidement, il convient de rester méfiant quant à l’interprétation que l’on peut faire d’un texte de loi de ce type à plus ou moins court terme.
Qui peut aujourd’hui dire ce que sera le sens du mot « terrorisme » dans deux ans ? Et qui sera alors susceptible de répéter les arguments autrefois défendus par Michel Wieviorka ? Nul ne peut le prédire, et c’est bien là tout le danger de ce texte.
Comment s’interdire d’imaginer que dans le cas où nous aurions à revivre une situation proche de celle rencontrée au cours des années 2020 et 2021, avec un pouvoir aussi vertical que strict, certains opposants, plus ou moins violents et hostiles à la politique du gouvernement, ne seraient pas de nouveau qualifiés de terroristes par une partie toujours plus importante de l’intelligentzia ?
Faut-il par exemple rappeler les différentes sorties médiatiques d’un Raphaël Enthoven pour s’en convaincre ? Comme lorsqu’il écrit que les antivax seraient revenus « à l’État de nature », c’est-à-dire qu’ils seraient en opposition avec le contrat social qui régit nos civilisations depuis le XVIIe siècle. En un mot, selon Enthoven, les antivax seraient des êtres sous-développés philosophiquement aux aspirations moyenâgeuses, pour ne pas dire animales.
Grâce à cette loi et à la lecture de ces différentes déclarations, serait-il possible dans le futur de supprimer toute prise de position publique de la part d’antivax ou d’antipass sur le simple prétexte qu’ils représenteraient un danger terroriste, ou a minima un danger pour la sécurité intérieure du pays ?
La démarcation entre terrorisme et sécurité intérieure est trop poreuse pour pouvoir affirmer qu’ils ne seraient pas victimes d’une chasse aux sorcières encore plus agressive.
Quoi qu’il en soit, le simple fait que cette question puisse être posée démontre de facto que la réponse est incertaine. Ce qui est déjà en soi, un sérieux problème démocratique.
Par ailleurs, un individu qui serait considéré comme terroriste en Hongrie ou en Allemagne, le serait-il obligatoirement aussi en France ?
Pas forcément.
En Allemagne, l’extrême droite considérée par les autorités comme plus dangereuse que le terrorisme djihadiste
En effet, récemment en Allemagne, un groupe qualifié « d’antivax proche de l’extrême droite » a été arrêté car il aurait projeté de réaliser des attentats sur le sol allemand.
Le 15 avril 2022, Le Parisien écrit à ce sujet : « En Allemagne, à l’issue d’une enquête menée depuis octobre 2021, cinq Allemands appartenant à la mouvance anti-restrictions sanitaires et faisant partie d’un groupe de messagerie intitulé « Patriotes unis », ont été suspectés de planifier des attentats d’extrême droite. (…) Leur réseau, organisé sur la plate-forme Telegram, envisageait notamment des enlèvements de personnalités publiques comme le ministre de la Santé Karl Lauterbach, partisan des restrictions face au Covid-19. »
Le groupe rassemblait environ 70 personnes à travers le pays. Ils parlaient entre eux « d’un renversement de l’ordre démocratique, de la mise en place d’un nouveau gouvernement, jusqu’à des déclarations selon lesquelles (le président russe Vladimir) Poutine devrait aussi réussir ici en Allemagne pour permettre l’avènement d’un nouveau système », a résumé le ministre de l’Intérieur de Rhénanie-Palatinat, Roger Lewentz. ».
Pour Le Figaro qui relate également la nouvelle : « Les opérations policières visant la frange radicale de la mouvance anti-restrictions sanitaires se sont multipliées dans le pays qui a érigé la violence d’extrême droite au premier rang des menaces pour l’ordre public, avant le risque djihadiste. ».
Si les accusations portées à l’encontre de ces Allemands étaient par la suite confirmées par la justice d’outre-Rhin, ce groupe mériterait alors d’être condamné, mais l’information la plus importante divulguée ici par Le Figaro, c’est que l’Allemagne considère à présent la menace de l’extrême droite comme plus dangereuse que celle incarnée par le terrorisme djihadiste.
Ce qui est loin d’être le cas en France.
Preuve que les sensibilités politiques varient bel et bien d’un pays à l’autre.
D’autant que quelle que soit la réalité actuelle, en suivant la logique allemande et en tenant compte des propos de Gwendoline Delbos-Corfield, une nouvelle question se pose inéluctablement : que se passerait-il dans le cas où le ministre de l’Intérieur allemand en voyant une publication sur les réseaux sociaux d’antivax français – qu’il qualifierait, à juste titre ou non, de membres de l’extrême droite – décidait, en tant qu’autorité allemande et au nom de sa propre interprétation politique nationale, de demander au réseau social de supprimer la publication de cet internaute français ?
Au nom de l’Europe, si l’on en croit l’eurodéputée, il serait très certainement exaucé. Il deviendrait ainsi possible de voir des autorités étatiques étrangères avoir le droit d’intervenir administrativement pour faire sanctionner des citoyens d’autres nations.
Un mode opératoire qui semble néanmoins totalement inapplicable en l’état, tant les nations de l’UE ne possèdent pas les mêmes standards. Exemple concret avec la Hongrie et sa politique vis-à-vis de la communauté LGBT. Qui Facebook devra-t-il suivre si d’un côté les autorités hongroises considèrent comme terroriste, ou a minima comme dangereux, le militantisme LGBT, pendant que celui-ci serait au contraire défendu dans un pays tel que la France ?
Il y a là une contradiction évidente qui ne pourrait au final être levée qu’en cas de perte définitive des souverainetés nationales au profit de celle de l’UE.
Qui veut tuer son chien l’accuse de la rage. Qui veut tuer un mouvement politique le qualifie d’extrême droite.
Le souci avec les étiquettes politiques, que ce soit en Allemagne, en Hongrie ou en France, ce sont donc les critères choisis pour les définir.
Difficile par exemple d’un point de vue franco-français de pouvoir affirmer ou infirmer le bien-fondé du jugement allemand sur les individus récemment arrêtés et sur leur obédience politique réelle. Néanmoins, il suffit de faire le parallèle avec la France pour constater que, concernant ce sujet, certains jugements peuvent parfois être hâtifs, quand ils ne sont pas clairement mensongers.
En effet, y a-t-il déjà eu par le passé en France des cas de personnes injustement qualifiées d’extrémistes de droite dans le seul but de chercher à les discréditer aux yeux de l’opinion ?
La réponse est oui.
Il est par exemple aisé de se souvenir que de nombreuses voix, notamment à gauche, s’étaient élevées avant même le début du mouvement des Gilets Jaunes pour crier au complot d’extrême droite. Une appellation fallacieuse, largement documentée, mais qui avait par exemple vu la CGT – dont le communiqué a depuis été supprimé de son site Internet (sans intervention de l’Arcom) – écrire une petite vingtaine de jours avant la première mobilisation des Gilets Jaunes : « L’appel lancé un samedi, sans réelle ambition de bloquer l’économie, s’appuie sur une colère légitime mais dont les ressorts sont obscurs et les solutions préconisées pour sortir de cet engrenage sur le long terme demeurent floues, voire dangereuses pour le monde du travail.
Plusieurs partis d’extrême droite semblent être à la manœuvre. »
Dans le même registre, trois ans plus tard, il y a aussi eu une tentative d’associer antipass et extrême droite (1, 2, 3) en tentant de mettre tous ceux qui étaient opposés aux restrictions sanitaires dans ce seul et même sac.
Pourtant, avec le recul et une fois posé, ce raisonnement ne tient pas.
Les soignants suspendus ne sont pas une assemblée de militants d’extrême droite. Les pompiers suspendus, idem. Et que dire des membres du collectif Où est mon cycle, à laquelle la presse dominante a décidé de s’intéresser dernièrement ? Ou encore ces 700 artistes qui ont conjointement appelé à refuser le passe vaccinal ? Ils seraient d’extrême droite ?
Bien évidemment, la réalité est tout autre, tant du côté des manifestants sortis dans les rues, que de celui de ces artistes aux militantismes politiques différents. Veronique Genest ou Alexandre Jardin, tous deux connus pour être idéologiquement de droite, côtoient au sein de cette tribune Bruno Gaccio, Yvan Le Bulloch ou encore Alain Damasio, dont les prises de position à gauche ne sont plus à démontrer.
Preuve que, contrairement au narratif assené à l’époque par une partie de la classe médiatique et politique, l’ensemble de ces personnalités, de ces collectifs, de ces personnels soignants ou, plus généralement, de ces anonymes qui se sont rassemblés dans la rue se sont en réalité retrouvés d’abord et avant tout derrière une volonté de s’opposer au passe vaccinal sans pour autant s’être préalablement entendus sur une idéologie politique et partisane commune.
Or, d’un côté en Allemagne, en érigeant l’extrême droite en menace supérieure de la nation, et de l’autre en France, en rattachant injustement toute une frange de la population à ce camp politique, comme ce fut le cas lors du mouvement des Gilets Jaunes ou lors de celui des antipass, il y a là avec l’application de cette loi, déjà tous les ingrédients nécessaires pour permettre à terme de justifier une future censure à l’encontre de ce type de mouvement, qu’il voit le jour en Allemagne ou en France.
Cette loi est bien plus dangereuse d’un point de vue démocratique qu’il n’y paraît.
Dans la continuité, avec un tel pouvoir d’action dénué de tout contrôle, combien des articles de FranceSoir publiés durant la crise sanitaire auraient pu être supprimés par l’Arcom grâce à cette nouvelle loi ? Combien de ces papiers auraient pu résister à l’accusation d’avoir diffusé des « fake news complotistes » mettant en danger la sécurité intérieure ?
Comme par exemple l’article qui révélait la probabilité que le virus puisse s’être échappé du laboratoire P4 de Wuhan et qui avait à l’époque vu un grand nombre de « fact-checkeurs » assurer à l’opinion publique que l’information était assurément fausse… avant de finalement se rétracter quelques mois plus tard pour expliquer que cette hypothèse était à présent privilégiée.
Combien de temps ce papier aurait-il pu survivre en ligne avec ce type de lois et avec cette définition si évasive du mot « terrorisme » ?
Là encore, impossible d’affirmer quoi que ce soit, mais au vu des années passées et compte tenu de la manière avec laquelle la macronie, et une bonne partie des pouvoirs européens, a su imposer avec force et virulence ses positions, il est plus qu’envisageable d’imaginer que cette loi puisse, in fine, permettre de pouvoir encore davantage « emmerder les non-vaccinés », ces « irresponsables qui ne sont plus des citoyens ».
Tour de passe-passe démocratique
Dernière particularité concernant le vote de cette loi : sa méthode.
En effet, comme le rapporte Public Sénat : « Certains sénateurs se sont interrogés sur la méthode : utiliser une proposition de loi – c’est-à-dire un texte venu des parlementaires plutôt que du gouvernement – pour transposer dans la loi un règlement européen. Ainsi les sénateurs « Les Indépendants », pourtant soutiens de la majorité présidentielle, ont émis leurs « réserves » sur cette méthode qui prive les parlementaires de toute étude d’impact et d’un avis du conseil d’État. ».
Pour Guy Benarroche, représentant le groupe écologiste du Sénat, dont les propos sont rapportés par Public Sénat, cette méthode est un « tour de passe-passe qui entache la sincérité du processus démocratique. ».
Avis partagé du côté des sénateurs communistes qui s’adressent au gouvernement avec « le sentiment que le règlement européen vous donne le prétexte de nous faire voter ce qui a déjà été supprimé – à raison- par ailleurs. ».
Les communistes font ici référence au Conseil Constitutionnel qui avait en grande partie retoqué la loi dite AVIA contre la haine en ligne et dont certains articles reprenaient la loi votée actuelle.
Un Conseil Constitutionnel qui représente aujourd’hui un bien faible dernier rempart pour retoquer un texte aux aspects des plus dangereux au vu de la menace anti-démocratique qu’il fait peser sur la liberté d’expression des citoyens français… et européens.
Des échanges de SMS rendus public accablent Emmanuel Macron, très proche du dirigeant d'Uber, Travis Kalanick, pendant son mandat de ministre à Bercy entre 2014 et 2016!😳 pic.twitter.com/Lvh4aUU77p
— ❗️𝙴𝚗𝙼𝚘𝚍𝚎𝙼𝚊𝚌𝚊𝚛𝚘𝚗™️❗️ (@EnModeMacaron) July 31, 2022
D'après un récent rapport remis à au ministère de la Santé, l'Assurance Maladie accusait à la fin de l'année 2021 un déficit de près de 24 milliards d'euros. Le remboursement des tests de dépistage auprès des laboratoires et des pharmacies pèse énormément dans la balance.
C'est un Graal que l'Assurance Maladie semble ne jamais parvenir à éteindre. La branche maladie de la Sécurité sociale accuse ces dernières années un déficit grandissant et s'éloigne de plus en plus de l'équilibre budgétaire. Dans un rapport annuel remis au début du mois de juillet dernier au ministère de la Santé, en vue de la prochaine loi de finances de la Sécurité sociale, l'Assurance Maladie accuse ainsi près de 24,6 milliards d'euros de déficit pour l'année 2021.
Le gouffre est énorme. Avant la pandémie, en 2019, le déficit ne s'élevait qu'à 1,5 milliard d'euros. Ce qui a pesé dans la balance pour l'organisme, c'est avant tout les tests de dépistage contre le Covid-19. En deux ans de pandémie, 266 millions de tests ont été réalisés dans l'Hexagone. L'Assurance Maladie a d'abord dû mettre la main à la poche en ce qui concerne les tests PCR, réalisés en laboratoires. Montant total de l'enveloppe : 12 milliards d'euros. S'ajoutent à cela les frais liés aux 151 millions de tests antigéniques réalisés ces dernières années (notamment en pharmacies) : près de 4 milliards d'euros sortis du porte-monnaie.
Quelques dizaines d'officines françaises ont d'ailleurs profité du contexte sanitaire pour frauder et détourner au moins 53 millions d'euros en déclarant de faux tests de dépistage : un véritable trou dans la raquette pour l'Assurance Maladie.
Un nouveau pacte financier avec les labos ?
En pratique, durant cette pandémie, le secteur de la biologie médicale a vu son chiffre d'affaires grimper de façon exponentielle. En 2019, les laboratoires avaient gagné près de 5,1 milliards d'euros. Ce montant a doublé en 2021, pour plafonner à 9,4 milliards d'euros alors qu'à de multiples reprises, l'Assurance Maladie a diminué les taux de remboursement des tests de dépistage. Biogroup, Cerballiance, Inovie, Synlab, Eurofins et Unilabs - les 6 plus grands groupes - cumulent à eux seuls 61% du chiffre d'affaires du secteur, comme le rappelle le Parisien.
Devant une telle rentabilité, l'Assurance Maladie souhaite aujourd’hui mettre en place un nouveau pacte financier et une régulation pluriannuelle des tarifs. La prochaine loi de finances de la Sécurité sociale pourrait permettre d'effectuer ces réajustements.
Les pédophiles dirigent le monde et le fléau du trafic sexuel d’enfants est « ancré dans la haute société » et couvert par les médias grand public, selon le cofondateur de Wikipédia, Larry Sanger, qui affirme que le monde doit se réveiller à cette « horrible réalité » avant que le changement puisse avoir lieu.
La pédophilie des élites est systématique et enracinée, avertit Sanger, qui prévient que « beaucoup de gens du Beau Monde sont au courant du trafic sexuel d’enfants par les élites » avant d’ajouter « certains y participent, et… les médias et les tribunaux le couvrent ».
Sanger, qui a cofondé Wikipédia, inventant le nom désormais emblématique et rédigeant une grande partie de sa politique de gouvernance initiale, a tourné son attention vers le fléau de la pédophilie des élites, déclarant : « Ce n’est pas une blague et c’est réel. »
Sanger a rédigé un fil Twitter approfondi sur le sujet, reliant divers auteurs de célébrités avec des expositions et des dissimulations moins connues, mais non moins dérangeantes, de l’histoire récente, dans une tentative d’éveiller les masses à ce qu’il décrit comme la « réalité et l’horreur » du trafic sexuel d’enfants par les élites.
« Malheureusement, cela se produit encore… et encore… et encore. »
1/ Thread:
Child sex trafficking—by elites—is a horrible reality.
Below, I outline the case for this claim. Please share with friends so they can wake up.
Favor? After each tweet, please post the most persuasive online evidence you know of.
La plongée profonde de Sanger dans le monde dépravé des violeurs d’enfants d’élite et de leurs complices se poursuit ci-dessous, avec des instructions sur la façon d’éduquer vos amis sur ce fléau :
« Commencez par Jeffrey Epstein. Son cercle d’amis comprend certaines des personnes les plus célèbres du monde. Des gens comme Bill Clinton, Bill Gates, le Prince Andrew, et même Donald Trump. Regardez le carnet de vol du « Lolita Express » et son carnet noir. Un cercle social assez impressionnant, vraiment.
« Il a été arrêté (deux fois) parce qu’il était un pédophile qui a abusé de nombreuses adolescentes. Il avait une île dans les Caraïbes où cela se passait, qui, selon tous les témoignages crédibles, était visitée par nombre de ses amis célèbres.
« Il existe des preuves judiciaires que les amis d’Epstein ont abusé sexuellement des adolescentes qu’il a recueillies, qui, dès l’âge de 12 ans, étaient essentiellement des esclaves sexuelles.
« Mais je ne fais que gratter la surface, ici. Il y a des affirmations à vous glacer le sang à propos d’un « temple » sur son île et des rites effectués dans la colline en dessous. Vous n’avez pas besoin de croire cela, pour être choqué par le cercle d’Epstein. Mais les connexions occultes reviennent sans cesse, de manière inquiétante.
« C’est ce que vous avez entendu et (si vous êtes comme la plupart des gens) probablement déjà oublié. Mais nous ne sommes pas près d’en avoir fini. Saviez-vous que ABC News avait cette histoire en 2016, et l’a couverte ? Oui, ils l’ont fait. Tout le monde le sait aussi, mais peu en parlent.
« Saviez-vous que cela a été couvert d’une manière différente en 2008, quand Epstein a été condamné à une simple tape sur la main ? Pourquoi diable, au nom de tout ce qui est saint ? « Parce qu’il est si puissant et qu’il a des amis puissants à protéger », dites-vous.
« Exact. Pensez à ça. Dur. D’autres éléments de l’histoire ont été révélés l’été dernier. Mais personne d’autre n’a été emprisonné, pas même la principale complice d’Epstein, Ghislaine Maxwell, dont on ignore où elle se trouve. Peu de gens dans la presse à scandales…. semblent s’en soucier. C’est bizarre, n’est-ce pas ?
« Nous, le peuple, en apprendrions beaucoup plus sur les suspects et les allégations si davantage de documents judiciaires étaient rendus publics. Mais un nombre massif de documents sur l’affaire Epstein ont été scellés. Le système judiciaire protège les coupables – encore une fois, comme ils l’ont fait en 2008. Ils le font souvent, s’avère-t-il.
« Maintenant, réfléchissez. Cela ne nécessite pas de preuves, il faut un peu de courage pour penser. À quoi doit ressembler notre monde bien-aimé et distingué de personnes célèbres, riches et puissantes, si les amis d’Epstein (CES personnes !) violent des adolescents esclaves sexuels et que les tribunaux les *protègent* ?
« On dirait bien que (a) beaucoup de gens du Beau Monde connaissent le trafic sexuel d’enfants par les élites, (b) certains y participent, et (c) les médias et les tribunaux le couvrent. « Mais… systématiquement ? Le font-ils vraiment ? Sûrement pas », dites-vous. Malheureusement, cela se produit encore…et encore…et encore.
« Regardez ça : NOTE : un tweet séparé ci-dessous pour chacun ! L’Église catholique, le pédophilie, les groupies mineures, Jimmy Savile, Rotherham, les disparitions du CPS, l’Institut Kinsey, Jean de Dieu, NXIVM, The Finders, Marc Dutroux, Laura Silsby…
« L’Église catholique a eu un nombre massif de pédophiles. Ils ne disparaissent jamais. Pourquoi pas ? Pourquoi la police ne s’en prend-elle pas à eux ? Pourquoi cela dure-t-il depuis des générations ? Et il y a des preuves que c’est toléré, oui, toléré et organisé, au sein de l’Eglise.
« Hollywood a connu *trop* de scandales pédophiles, c’est écœurant. Regardez le Digital Entertainment Network (regardez le documentaire), Roman Polanski, et Dan Schneider, les témoignages de Corey Feldman, Bella Thorne, Isaac Kappy, Macaulay Culkin, Elijah Wood, et bien d’autres. C’est vrai.
« Faisons une pause dans cette liste pour réfléchir à une question importante. Comment ces personnes peuvent-elles s’en sortir avec leurs crimes ? Pourquoi peuvent-ils *encore* se cacher, car la plupart des auteurs de ces crimes sont en liberté ? La police et les tribunaux doivent être payés ou faire partie des réseaux.
« Le monde de la musique est rempli de groupies mineures. Si les gens avaient l’habitude d’excuser cela, à quoi pensaient-ils ? Regardez David Bowie, Michael Jackson, R. Kelly, Jimmy Page, Steven Tyler, etc. Des pédophiles. Vous pensez que ça s’est arrêté ? Qu’est-ce qui le rend possible ? C’est un crime… non ?
« Le cas de Jimmy Savile, célèbre comédien britannique, est stupéfiant parce qu’il a été anobli par la Reine longtemps après que des rumeurs ont commencé à dire qu’il violait systématiquement des enfants dans les hôpitaux… et fournissait des enfants à d’autres. Un ami proche de la famille royale. Vous pensez qu’ils ne savaient pas ? Le Prince Andrew ?
« Oui, c’est lourd. Mais, écoutez, ça arrive partout dans le monde, à plusieurs reprises, dans la « haute société ». C’est juste… qu’on ne fait jamais le lien entre tout ça. Les médias sont largement silencieux. C’est sûrement pour cela que NAMBLA et la pédophilie ont eu des défenseurs célèbres, comme le poète Allen Ginsberg et certains psychologues.
« Pourquoi diable les autorités ont-elles laissé se dérouler des abus systématiques et horribles sur des enfants à Rotherham et dans d’autres endroits (tant d’endroits : écoles, églises, hôpitaux, etc., vous pouvez chercher) ?) Elles ont laissé faire. Systématiquement. Délibérément. Ce n’est pas une blague et c’est réel.
« Et saviez-vous que des enfants ont disparu, des milliers d’entre eux, du système de placement en famille d’accueil du Service de protection de l’enfance ? Et non. Ce ne sont pas tous des fugueurs. Certains sont achetés. Le fait est que ce qui devrait être un scandale retentissant est… ignoré. Pourquoi ?
« Les célèbres premières études de l’Institut Kinsey ont été réalisées par des scientifiques travaillant, entre autres, avec des pédophiles connus – qui n’ont pas été dénoncés. La preuve de Kinsey que les bébés peuvent avoir des orgasmes était basée sur l’observation qu’ils pleuraient lorsqu’ils étaient abusés.11210651
« Jean de Dieu dirigeait en gros un camp d’esclaves sexuels déguisé en une sorte de réveil spirituel. Oprah lui a rendu visite et a été ravie de son ministère. Mais elle a sa propre école pour filles en Afrique du Sud, qui a connu ses propres scandales de viols d’enfants, alors peut-être qu’elle s’en fichait.
« En avons-nous fini avec les liens entre l’Establishment et la pédophilie ? Non. Et ce sont des choses réelles que vous pouvez vérifier. Vous ne le saviez tout simplement pas. Recherchez la secte d’esclaves sexuels NXIVM, qui impliquait des enfants, et avait des liens avec l’héritière Clare Bronfman, Catherine Oxenberg, et Alison Mack.
« Maintenant, si des personnes célèbres, la police et les tribunaux sont impliqués dans ce genre de choses – comme ils doivent l’être, pour couvrir autant de choses pendant si longtemps – le FBI ne serait-il pas également impliqué ? Ouaip. Cherchez « The Finders ». C’est une histoire fascinante et horrifiante.
« Bien sûr, les pédophiles d’élite opèrent partout dans le monde, et pas seulement dans le monde anglophone. Prenez, par exemple, la Belgique, pays de l’un de ses criminels les plus tristement célèbres, Marc Dutroux, qui dirigeait un réseau pédophile international, apparemment pour l’élite.
« Regardez le cas de Laura Silsby, et là je crains que nous entrions dans un territoire qui n’est pas seulement horrifiant, mais aussi controversé, parce que Silsby est une amie d’Hillary Clinton. Son association caritative haïtienne, accusée de trafic d’enfants.
« Wikileaks est célèbre en partie à cause du lien entre Clinton et Silsby, mais aussi parce que de multiples courriels ayant fait l’objet de fuites sont remplis d’une phraséologie bizarre qui a du sens s’ils organisaient des abus sexuels sur des enfants.
« La pléthore d’abus sexuels d’enfants par l’élite rend plus concevable l’organisation par des agents politiques, n’est-ce pas ? J’ai commencé à prendre ces choses plus au sérieux après avoir appris pour Epstein… et le terrier du lapin. Cherchez Denny Hastert et un autre associé de Clinton, Anthony Weiner.
« En tant que philosophe, j’ai profondément étudié les théories de la connaissance, de la preuve et de la justification. Mes principes méthodologiques n’ont pas changé. Je ne suis pas impressionné par les preuves non concluantes. De nombreuses personnes décentes ne le sont pas non plus. Ils sont rebutés par les jugements injustifiés des autres. C’est vrai !
« Et nous parlons de crimes horribles, et de justice, ici. Les enjeux sont élevés. Il est plus important que tout que nous soyons sûrs de nos conclusions, afin que justice soit faite. Comme la plupart des gens, j’y attache beaucoup d’importance et je ne veux pas jouer avec les réputations. »
Des pédophiles britanniques expulsés de Pologne après s’y être rendus pour « aider » des réfugiés ukrainiens
Des milliers d’enfants non accompagnés ont été déplacés d’Ukraine.
Dix pédophiles britanniques ont été expulsés de Pologne après s’être rendus dans le pays sous le prétexte d’aider des réfugiés, dont des milliers d’enfants non accompagnés, fuyant l’Ukraine.
Pas moins de 5 000 enfants non accompagnés auraient été déplacés au cours des premières semaines du conflit.
Selon l’Agence nationale de lutte contre la criminalité (NCA), les pédocriminels connus ont été repérés alors qu’ils se rendaient en Pologne sous l’apparence de « volontaires » au cours des premières semaines de la guerre, apparemment pour profiter du chaos qui régnait à la frontière avec l’Ukraine.
The Independent rapporte : Les 10 hommes ont tous été priés de quitter la Pologne après un entretien avec les agents de l’immigration et les forces de l’ordre, et les autorités britanniques s’efforcent de dissuader d’autres personnes de voyager.
« Pour nous, il s’agit de faire prendre conscience aux partenaires que ces délinquants sexuels pédophiles condamnés sont sur leur territoire, pour des raisons évidentes », a déclaré un porte-parole de la NCA.
« Il y a au moins 5 000 enfants non accompagnés qui ont été déplacés d’Ukraine. S’assurer qu’ils sont en sécurité est absolument primordial. »
Les fonctionnaires ont déclaré que les pédophiles condamnés sont censés déclarer leur casier judiciaire aux pays qu’ils visitent, mais « nous constatons inévitablement qu’ils ne le font pas ».
Les efforts sont actuellement axés sur la prévention des déplacements des délinquants sexuels en Pologne ou dans d’autres pays, si ce n’est pas « pour les bonnes raisons », et sur leur expulsion s’ils n’ont pas respecté les règles.
Cette question fait partie d’un « large éventail de menaces qui sont apparues ou ont été renforcées par ce conflit » ukrainien, a déclaré la NCA.
Il s’agit notamment de l’esclavage moderne, de la traite des êtres humains et de la criminalité organisée liée à l’immigration qui touche les réfugiés.
La revue Nature annonçait le 26 juillet 2022 que la Chine approuve l’Azvudine, un traitement antirétroviral utilisé dans la lutte contre le VIH/sida et s’interroge sur l’annonce faite par le Pr Luc Montagnier qui affirmait dès 2020 que le Sars Cov-2 avait été fabriqué en laboratoire et faisait l’objet d’un ou plusieurs gains de fonction. Voici quelques explications qui montrent que le Pr Luc Montagnier ne s’était pas trompé et que l’industrie pharmaceutique continu de s’enrichir en proposant des « traitements » sur des pathogènes qu’ils ont contribué à créer artificiellement.
La récente annonce de la validation de l’Azvudine par la Chine pour traiter le Covid soulève de nombreuses questions, sauf dans la presse subventionnée qui en fait peu cas mais qui avait copieusement mis au placard (une énième fois) le Pr Luc Montagnier en 2020 pour sa publication faisant apparaître des séquences de la gp120 dans le génome du Sars Cov-2.
Sars Cov-2 : le Pr Montagnier évoquait une chimère avec des caractéristiques du VIH
En Août 2020, le Pr Montagnier et le mathématicien Jean Claude Perez publiaient une information selon laquelle 18 fragments de l’ARN du Sars Cov-2 étaient homologues avec le SIV ou le VIH. Ces fragments composés de 18 à 30 nucléotides avaient la capacité de modifier l’expression génétique du Sars Cov-2. Autrement dit, il s’agit d’une chimère fabriquée en laboratoire car ce travail ne pouvait être issue d’une évolution naturelle mais seulement d’un gain de fonction, à savoir de l’ingénierie génétique.
Les travaux du Pr Montagnier et du mathématicien Jean Claude Perez avaient montré que le génome du coronavirus était modifié et contient la gp120 du VIH/sida. Leurs travaux ont été confirmés par un autre médecin italien dans un ouvrage intitulé « la chimère qui a changé le monde » ; Joseph Tritto, microchirurgien, expert en biotechnologie et nanotechnologie, président de l’Académie mondiale des sciences et technologies biomédicales, et auteur d’un ouvrage.
Un inhibiteur de protéase pour traiter le Covid ?
Pour les non spécialistes l’Azvudine est un traitement antirétroviral de plus. Il n’en est rien puisqu’il s’agit d’un antirétroviral utilisé depuis de nombreuses années pour traiter les patients infectés par le VIH (sida). D’aucuns auront remarqué que l’Azvudine est un inhibiteur de protéase comme la zidovudine, plus connue sous le nom d’AZT, qui est le 1er antirétroviral disponible aux Etats-Unis pour traiter l’infection à VIH, puis dans le monde entier.
J’aime à rappeler que dans les années 60, la zidovudine avait été développée par le National Institutes of Health (NIH) qui finance aux Etats-Unis la recherche publique en santé. D’abord développée pour traiter le cancer, ses effets secondaires importants l’on relégué au placard…jusqu’en 1985. Le laboratoire Burroughs Wellcome – intégrée au groupe GlaxoSmithKline depuis plusieurs années – rachète le brevet pour une bouchée de pain alors que le développement avait été financé par le secteur public, donc par les impôts des citoyens. Les traitements seront ensuite facturés 10 000 dollars par an et par malade du sida. Le mensonge du coût de la « recherche et développement » pour ce produit aura permis de justifier un tel tarif. Difficile de ne pas rapprocher cette histoire avec celle que nous vivons aujourd’hui pour les injections contre covid qui engraissent l’industrie pharmaceutique et lui confère une puissance économique et politique sans comparaison dans le passé.
L’azvudine agit sur la gp120
L’azvudine est donc un inhibiteur nucléosidique de la transcriptase inverse – comme l’AZT (zidovudine) – qui a été largement dénigré par la presse subventionnée qui affirmait qu’elle était étrangère à la dynamique du Covid et qu’il n’y avait pas de lien entre sida et covid.
Mais voilà, l’azvudine – pour être efficace – inhibe notamment la protéine de surface du VIH appelée gp120. Donc l’efficacité de cet antirétroviral contre Covid pourrait donner raison au Pr Montagnier sur la présence (partielle) de la gp120 dans le génome du Sars Cov-2.
L’azvudine reste très proche de la zidovudine dans son processus d’inhibition de la gp120 (en interaction avec CCR5) et reste un traitement utilisé dans les combinaisons antirétrovirales contre le VIH/sida.
Le déni du lien entre Covid et Sida finira par tomber
Au cours d’une émission américaine, le Dr Eads qui suit et traite les pathologies post vaccinatoires témoigne de son expérience clinique. Elle dénonce l’apparition de cas de sida qui seraient provoqués par la vaccination : « Oui, nous voyons maintenant à l’hôpital une immunodéficience acquise liée au vaccin à partir du triple vaccin. . . C’est une blessure vaccinale, et nous ne savons pas vraiment comment traiter cela ». Comme pour les personnes atteintes du VIH/sida, elle constate un effondrement des CD4 et des CD8 qui jouent un rôle fondamental dans le système immunitaire. Cet effondrement est la porte ouverte à l’apparition de diverses pathologies comme les cancers. Elle rapporte d’ailleurs que le génome du Sars-cov 2 présente une combinaison du génome du VIH, du MERS et du SRARS.
Sars Cov-2 et les injections Covid sont des armes biogénétiques
Le covid a été créé pour les vaccins et non les vaccins pour le Covid ; de nombreuses observations viennent confirmer cette affirmation depuis de nombreux mois, et la Chine vient appuyer la parenté entre VIH et Sars Cov-2 en faisant entrer dans la famille des traitements contre Covid… un antiviral contre le VIH.
L’affaire Moderna et son implication dans le brevetage d’une partie du génome du Sars Cov-2 était une preuve flagrante d’une chimère fabriquée par l’industrie pharmaceutique ; la même qui vend aujourd’hui des injections expérimentales qui sont d’une manière ou d’une autre imposées aux populations dont on attend toujours le réveil… qui progresse.
Pour comprendre l’ingénierie des virus et la justification qui cache les réelles intentions de ceux qui financent les armes biologiques, nous invitons ceux qui le souhaitent à consulter le dossier intitulé « Origines du Covid et armes biologiques ».
Bild a révélé que les fonctionnaires de l'UE ont décidé d'augmenter leurs salaires afin de ne pas souffrir de l'inflation et des coûts élevés causés par les sanctions anti-russes qu'ils ont imposé.
"C'est le rêve de millions de travailleurs : une augmentation de salaire automatique, qui compense entièrement l'inflation. Et c'est à Bruxelles que cela se passe - quelque 60.000 employés de l'UE recevront une augmentation de salaire d'environ 8,5 % d'ici la fin de l'année, ce qui atténuera totalement la gigantesque inflation."
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À peine démis de ses fonctions de Premier ministre, Jean Castex en cumule déjà quatre autres
Jean Castex, qui a quitté Matignon le 16 mai, n’est pas à la rue. Avant d’être Premier ministre, à force de cumuler les emplois, il était un des fonctionnaires les mieux payés de France : 200 000 € en 2019. Il a donc repris ses bonnes vieilles habitudes.
Le 27 juillet 2022, il est nommé président de la Fondation Agir Contre l’Exclusion. Il succède au très macronien Jean-Marc Borello, président du Groupe SOS depuis le 10 mai 2022. Le poste est bénévole, mais… Alain Roumilhac (Groupe Manpower France) et François-Marie Geslin (AG2R La Mondiale) qui l’ont précédé en tant que président et vice-président n’ont pas donné l’exemple du désintéressement et n’ont pas réussi à en convaincre la Cour des comptes. Il faut dire que les partenaires ne sont pas réputés pour être particulièrement philanthropes. Ce sont : Accenture, Adecco, AG2R La Mondiale, Axa, Barilla, BNP Paribas, Carrefour, Casino, Fondation Korian, IBM International, L’Oréal, ManpowerGroup France, Michelin, Publicis, Thalès, Veolia, et tant d’autres…
Toujours le 27 juillet 2022, Jean Castex devient président du conseil d’administration de l’Agence de financement des infrastructures de transport de France (indemnité annuelle de 42 000 euros, pour une présence au conseil d’administration tous les deux mois).
Audition de Jean Castex ce matin à l’#AssembleeNationale. L’ancien Premier ministre s’est vu proposer le poste de président de l’Afitf, une agence reliée au ministère des Transports. Problème: la Cour des Comptes nous dit qu’elle ne sert strictement à rien. pic.twitter.com/wmhUS6okMl
Le 26 juillet 2022, Jean Castex a aussi reçu un avis favorable de la Haute autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP) pour « réaliser des prestations de conseil à Olivier Brousse, directeur général de la société Idverde ». Selon l’entourage de l’ancien Premier ministre, il s’agit d’accompagner « de manière très ponctuelle » (pour 1 500 euros/mois) ce « leader français et européen des entreprises du paysage, sur un projet innovant de végétalisation des espaces urbains ». Heureusement que Jean Castex est arrivé pour leur donner un coup de main !
Fin août, Jean Castex va également réintégrer fin août la Cour des Comptes, son corps d’origine, où il sera chargé de « missions spécifiques » à la définition non précisée. Il était conseiller maître en 2008 (9 250 €/mois en fin de carrière), quel échelon lui reste-t-il à gravir ? Premier président ? Procureur général ? C’est de l’ordre de 14 500 euros/mois. Président de chambre ? 12 500 euros/mois.
Les habitants de Prades ne reverront pas leur maire à 22 000 €/an. Jean Castex prend un nouveau départ avec en poche : une prime de 44 730 euros.
L’ex-ministre Emmanuelle Wargon recasée à la Commission de régulation de l'énergie, alors que 48 parlementaires (contre 43) avaient voté contre ! Le copinage macroniste continue, et c’est l’horreur ! Ça doit cesser ! https://t.co/EOzbwGjJYy
Agnès Buzyn, ancienne ministre de la Santé, est nommée à la Cour des comptes, annonce l’Élysée
« Agnès Buzyn, ancienne ministre, professeur d’université-praticien hospitalier, est nommée conseillère maître en service extraordinaire à la Cour des comptes, à compter du 1er septembre 2022 », a annoncé l’Élysée ce vendredi 29 juillet.
« Agnès Buzyn, ancienne ministre, professeur d’université-praticien hospitalier, est nommée conseillère maître en service extraordinaire à la Cour des comptes, à compter du 1er septembre 2022 », a annoncé la présidence de la République dans le compte rendu du conseil des ministres.
Agnès Buzyn, hématologue de profession, avait notamment dirigé l’Institut national du cancer, avant d’être nommée en 2017 ministre de la Santé après l’élection d’Emmanuel Macron.
L’ancienne ministre est mise en examen pour « mise en danger de la vie d’autrui »
Son passage au ministère a été marqué par un mouvement social dans les hôpitaux ainsi que la polémique sur la fin du remboursement de l’homéopathie par l’Assurance maladie, une mesure en faveur de laquelle Agnès Buzyn a pesé.
Elle a quitté le ministère début 2020 pour se porter candidate à la mairie de Paris en remplaçant au dernier moment le précédent candidat de la majorité, Benjamin Griveaux.
Le choix de Agnès Buzyn, qui a finalement perdu contre la maire socialiste sortante Anne Hidalgo, avait fait l’objet de vives critiques en raison du contexte marqué par le début de la pandémie de Covid en France.
L’ancienne ministre, qui a par la suite dirigé l’Académie de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), a été mise en examen fin 2021 pour « mise en danger de la vie d’autrui » dans sa gestion de l’épidémie, une décision critiquée par une partie du monde politique qui craint une judiciarisation excessive de l’action publique.
L'United Kingdom Independence Party (UKIP) prépare le référendum sur l'appartenance du Royaume-Uni à l'Union européenne. Artisan du " Brexit ", il se montre pugnace et pas très respectueux de...
Jean Castex, qui a quitté Matignon le 16 mai, n'est pas à la rue. Avant d'être Premier ministre, à force de cumuler les emplois, il était un des fonctionnaires les mieux payés de France : 200...