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12 novembre 2019 2 12 /11 /novembre /2019 18:34

En effet, pourquoi parler d'un krach en 2008 puisque celui ci n'a pas été résolu, nous le constatons tous les jours : érosion du pouvoir d'achat, augmentation des prix, précarisation de l'emploi, effondrement des services publics, licenciements de masse dans les secteurs bancaires et tertiaires, destruction des secteurs de production en faveur de ceux de l'investissement hors sol, essoufflement de la consommation, injections massives de liquidités, rachat de titres par les banques centrales, baisse des taux pour une relance hypothétique, fuite de capitaux vers les comptes offshores, scandales de corruption plus visible, restriction des budget territoriaux par l'assèchement des ressources en partie dues par l'état, insolvabilité de l'Etat ou du moins politique de moins en moins accommodante des Etats, ou refus de payer ses dus aux organismes sociaux, afin également d'assécher les ressources et de privatiser.

Voilà ou nous en sommes ! alors que l'on vient nous seriner à longueur de temps l'air de la reprise.

Quand aux officiels ! Les voilà emperruqués  la figure enfarinée, l'air pincé nous ânonner les vertus de leurs agissements, faire l'éloge de leur intégrité inégalée depuis plusieurs lustres ; l'on en viendrait si ce n'était à rire parfois à un en pleurer tant le spectacle est affligeant. Oui nous voilà bien servis par ces grands comiques parés des colifichets et des artifices de multiples expertises alambiquées.

Le mensonge enjolivé par les recettes d'apothicaires d'apprentis sorciers.

Si personne n'est dupe de cette vaste pièce, les acteurs restent toujours en scène comme si de rien n'était, les décors et les lumières sont retirés par les préteurs au fur et a mesure que l'acte se joue et les voici suintant sous les fards s'époumonant aux tirades du pitoyable auteur.

Mais le toupet final est quand même qu'a chaque changement d'acte ils nous demande de rembourser leur mauvaise prestation !

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