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5 août 2022 5 05 /08 /août /2022 13:30
La aussi informations déjà misent en ligne, mais il faut attendre que des enquêtes soient faites pour que l'on s'en inquiéte.

 

On a érigé via les médias puisqu'ils sont chargés de diffuser la vérité officielle Zelensky comme étant un sauveur, bref la caricature de ce qu'il a joué dans ses séries, mais ç'est un triste personnage, impitoyable, maître chanteur, escroc, parvenu et menteur, qui plus est lié à la mafia Ukrainienne qui on le sait est le principe de la vertu incarnée !

 

https://s2.qwant.com/thumbr/0x380/e/9/0ecfb2e30b4a0debf8cc26642b9b312d1725752d27bea5f35ee7be37a36705/09344bf3923dabc0b8a699226d255a9f.jpg?u=https%3A%2F%2Fi.pinimg.com%2Foriginals%2F09%2F34%2F4b%2F09344bf3923dabc0b8a699226d255a9f.jpg&q=0&b=1&p=0&a=0

 

 Il me semble impensable qu'Amnesty ait publié un tel rapport sans avoir eu le feu vert, sinon même la commande, de ses puissants commanditaires.
Zelensky a donc du souci à se faire.
Soit c'est une mise en demeure d'obéir à un ordre essentiel.
Soit sa chute est décidée.
pic.twitter.com/NGwBff0uT1

— François Asselineau (@UPR_Asselineau) August 5, 2022
_______________________________
Ukraine. Les tactiques de combats ukrainiennes mettent en danger la population civile

 

 

  • Des bases militaires sont installées dans des zones résidentielles, notamment dans des écoles et des hôpitaux
  • Des attaques sont lancées depuis des secteurs habités par des civil·e·s
  • Ces violations ne justifient cependant pas les attaques menées sans discrimination par les forces russes, qui ont fait de nombreux morts et blessés parmi la population civile

Les forces ukrainiennes mettent en danger la population civile en établissant des bases et en utilisant des systèmes d’armement dans des zones résidentielles habitées, notamment des écoles et des hôpitaux, lors des opérations visant à repousser l’invasion russe qui a débuté en février, a déclaré Amnesty International le 4 août.

Ces tactiques de combat violent le droit international humanitaire et mettent gravement en danger la population civile, car elles transforment des biens de caractère civil en cibles militaires. Les frappes russes qui en ont résulté dans des zones habitées ont tué des civil·e·s et détruit des infrastructures civiles.

« Nous avons réuni des informations sur de nombreux cas où les forces ukrainiennes ont mis en danger des civil·e·s et violé les lois de la guerre en opérant dans des zones habitées, a déclaré Agnès Callamard, secrétaire générale d’Amnesty International.

« Le fait de se trouver dans une position défensive n’exempte pas l’armée ukrainienne de l’obligation de respecter le droit international humanitaire. »

Toutes les attaques russes sur lesquelles Amnesty International a rassemblé des informations n’ont cependant pas été menées dans des circonstances semblables. En effet, Amnesty International a dans d’autres cas conclu que la Russie avait commis des crimes de guerre, notamment dans certains secteurs de la ville de Kharkiv, sans avoir trouvé d’éléments prouvant que les forces ukrainiennes s’étaient installées dans les zones civiles visées de façon illégale par l’armée russe.

Entre avril et juillet, une équipe de recherche d’Amnesty International a pendant plusieurs semaines enquêté sur les frappes russes dans les régions de Kharkiv, du Donbas et de Mykolaïv. L’organisation a inspecté les sites de frappes, interrogé des victimes, des témoins et des proches de victimes des attaques, et recouru à la télédétection et analysé des armes.

Lors de toutes ces investigations, les chercheurs ont trouvé des éléments prouvant que les forces ukrainiennes ont lancé des attaques depuis des zones résidentielles peuplées et qu’elles se sont aussi basées dans des bâtiments civils dans 19 villes et villages de ces régions. Le Laboratoire de preuves du programme Réaction aux crises d’Amnesty International a analysé des images satellites afin de vérifier les informations recueillies sur le terrain.

La plupart des zones résidentielles où les soldats s’étaient installés se trouvaient à des kilomètres de la ligne de front. Ils auraient pourtant eu la possibilité de s’installer dans d’autres lieux qui n’auraient pas mis en danger la population civile, comme des bases militaires ou des zones densément boisées des environs, ou d’autres structures encore situées loin des zones résidentielles. Dans les cas sur lesquels Amnesty International a réuni des informations, à la connaissance de l’organisation, quand l’armée ukrainienne s’est installée dans des structures civiles dans des zones résidentielles, elle n’a ni demandé aux civil·e·s d’évacuer les bâtiments environnants, ni aidé les civil·e·s à les évacuer, s’abstenant ainsi de prendre toutes les précautions possibles pour protéger la population civile.

Attaques lancées depuis des zones civiles habitées

Des victimes et des témoins des frappes russes dans les régions du Donbas, de Kharkiv et de Mykolaïv ont dit aux chercheurs d’Amnesty International que l’armée ukrainienne menait des opérations près de leurs habitations au moment des attaques, ce qui exposait ces quartiers à des frappes de représailles des forces russes. Les chercheurs d’Amnesty International ont été témoins de ce comportement dans de nombreux endroits.

Le droit international humanitaire prévoit que toutes les parties à un conflit doivent éviter de positionner, dans toute la mesure du possible, des objectifs militaires dans des zones densément habitées ou près de ces zones. D’autres obligations existent visant à protéger les civil·e·s des conséquences des attaques, comme l’obligation d’éloigner les civil·e·s du voisinage d’objectifs militaires et l’obligation d’alerter efficacement sur des attaques qui risquent de nuire à la population civile.

La mère d’un homme de 50 ans tué le 10 juin lors d’une attaque à la roquette dans un village au sud de Mykolaïv a dit à Amnesty International : « Les militaires s’étaient installés dans une maison à côté de la nôtre et mon fils allait souvent voir les soldats pour leur prendre de la nourriture. Je l’ai supplié plusieurs fois de rester à distance de cet endroit, parce que j’avais peur qu’il lui arrive quelque chose. Cet après-midi-là, au moment de la frappe, mon fils se trouvait dans la cour de notre maison et moi j’étais à l’intérieur de la maison. Il a été tué sur le coup. Son corps a été déchiqueté. Notre maison a été en partie détruite. » Les chercheurs d’Amnesty International ont trouvé de l’équipement et des uniformes militaires dans la maison d’à côté.

Mykola, qui habite dans une tour dans les environs de Lyssytchansk (Donbas) ayant subi plusieurs frappes russes qui ont tué au moins un vieil homme, a dit à Amnesty International : « Je ne comprends pas pourquoi notre armée tire depuis les villes et non depuis la campagne. » Un autre habitant, un homme de 50 ans, a dit : « Il y a vraiment une activité militaire dans le quartier. Quand il y a des tirs depuis ce secteur, on entend ensuite des tirs qui cette fois visent ce secteur. Les chercheurs d’Amnesty International ont vu des soldats utiliser un immeuble d’habitation situé à une vingtaine de mètres de l’entrée d’un abri souterrain utilisé par les habitants, où le vieil homme a été tué.

Dans une ville du Donbas, le 6 mai, les forces russes ont utilisé des armes à sous-munitions, largement interdites et qui frappent sans discernement, contre une localité constituée principalement de maisons d’un ou deux étages, depuis laquelle les forces ukrainiennes procédaient à des tirs d’artillerie. Des éclats d’obus ont endommagé les murs de la maison où vivent Anna, qui a 70 ans, son fils et sa mère de 95 ans.

Anna a expliqué : « Les éclats d’obus ont volé à travers les portes. J’étais dans la maison. L’artillerie ukrainienne se trouvait près de mon champ […] Il y avait des soldats derrière le champ, derrière la maison […] Je les ai vus entrer et sortir […] depuis le début de la guerre […] Ma mère est […] paralysée je ne pouvais donc pas m’enfuir. »

Début juillet, un paysan a été blessé quand les forces russes ont visé un hangar agricole, dans le secteur de Mykolaïv. Quelques heures après cette frappe, les chercheurs d’Amnesty International ont été témoins de la présence de personnel et de véhicules militaires ukrainiens dans les environs du hangar agricole, et d’autres témoins ont confirmé que les militaires avaient utilisé la grange située de l’autre côté de la route par rapport à une ferme où des civil·e·s habitaient et travaillaient.

Alors que les chercheurs d’Amnesty International examinaient les dégâts subis par des immeubles d’habitation et des bâtiments publics voisins, à Kharkiv et dans des villages du Donbas et de l’est de Mykolaïv, ils ont entendu des coups de feu venant de positions militaires ukrainiennes à proximité.

À Bakhmout, plusieurs habitants ont dit à Amnesty International que l’armée ukrainienne avait utilisé un bâtiment situé à 20 mètres à peine d’une tour d’habitation, de l’autre côté de la rue. Le 18 mai, un missile russe a touché la façade de cet immeuble, détruisant partiellement cinq appartements et causant des dégâts à des bâtiments voisins. Kateryna, une habitante qui a vécu cette attaque, a dit : « Je n’ai pas compris ce qui se passait. [Il a eu] des vitres brisées et beaucoup de poussière chez moi […] J’étais restée là parce que ma mère ne voulait pas partir. Elle a des problèmes de santé. »

Trois habitants ont dit à Amnesty International qu’avant cette frappe, les forces ukrainiennes avaient utilisé un bâtiment situé de l’autre côté de la rue par rapport à l’immeuble touché, et que deux camions militaires étaient garés en face d’une autre maison qui a subi des dégâts quand le missile a frappé. Les chercheurs d’Amnesty International ont trouvé des signes d’une présence militaire à l’intérieur et à l’extérieur de ce bâtiment, notamment des sacs de sable et des bâches de plastique noir recouvrant les vitres, ainsi que des équipements de premiers secours neufs fabriqués aux États-Unis.

« Nous n’avons pas notre mot à dire par rapport à ce que fait l’armée, mais c’est nous qui en payons le prix », a dit à Amnesty International un habitant dont la maison a également subi des dégâts à cause de cette frappe.

Des bases militaires dans des hôpitaux

Les chercheurs d’Amnesty International ont été témoins de l’utilisation d’hôpitaux comme bases militaires de facto par les forces ukrainiennes dans cinq localités. Dans deux villes, des dizaines de soldats se reposaient, s’affairaient et prenaient leurs repas dans des hôpitaux. Dans une autre ville, des soldats procédaient à des tirs depuis des positions situées près d’un hôpital.

Le 28 avril, une frappe aérienne russe a blessé deux employés d’un laboratoire médical dans la banlieue de Kharkiv après que les forces ukrainiennes eurent installé une base dans ce complexe.

L’utilisation d’hôpitaux à des fins militaires constitue une violation évidente du droit international humanitaire.

Des bases militaires dans des écoles

L’armée ukrainienne installe régulièrement des bases dans des écoles dans les villes et villages du Donbas et de la région de Mykolaïv. Des écoles ont été temporairement fermées pour les élèves depuis le début du conflit, mais dans la plupart des cas, ces bâtiments se trouvaient à proximité de zones habitées par des civil·e·s.

Dans 22 des 29 écoles qu’ils ont visitées, les chercheurs d’Amnesty International ont constaté que des soldats utilisaient ces bâtiments ou y ont trouvé des éléments prouvant une activité militaire passée ou présente – notamment des treillis militaires, des munitions abandonnées, des sachets de rations militaires et des véhicules militaires.

Les forces russes ont frappé un grand nombre des écoles utilisées par les forces ukrainiennes. Dans au moins trois villes, à la suite de bombardements russes sur des écoles, les soldats ukrainiens se sont installés dans d’autres écoles des environs, exposant ainsi les quartiers environnants au risque de subir de semblables attaques.

Dans une ville à l’est d’Odessa, Amnesty International a constaté que les soldats ukrainiens avaient très largement pour habitude d’utiliser des espaces civils pour leur hébergement et pour d’autres usages : ils ont ainsi placé des véhicules blindés sous des arbres dans des quartiers uniquement résidentiels, et utilisé deux écoles situées dans des secteurs résidentiels densément peuplés. Les frappes russes près de ces écoles ont tué et blessé plusieurs civil·e·s entre avril et fin juin, notamment un enfant et une femme âgée qui ont été tués chez eux par une attaque à la roquette le 28 juin.

À Bakhmout, les forces ukrainiennes utilisaient comme base militaire le bâtiment d’une université quand une frappe russe l’a atteint le 21 mai ; sept soldats auraient été tués. L’université se trouve à côté d’une tour d’habitation qui a subi des dégâts lors de cette frappe, de même que d’autres immeubles d’habitation civils situés à une cinquantaine de mètres de là. Les chercheurs d’Amnesty International ont trouvé les restes d’un véhicule militaire dans la cour du bâtiment universitaire bombardé.

Le droit international humanitaire n’interdit pas spécifiquement aux parties à un conflit de se baser dans des écoles en dehors des périodes scolaires. Cependant, les militaires ont l’obligation d’éviter d’utiliser les écoles situées à proximité de maisons ou d’immeubles d’habitation remplis de civil·e·s, car cela mettrait leur vie en danger, sauf en cas de nécessité militaire absolue. Le cas échéant, les militaires doivent alors avertir les civil·e·s et, si nécessaire, les aider à évacuer les lieux. Cela ne s’est manifestement pas passé comme cela dans les cas examinés par Amnesty International.

Les conflits armés nuisent considérablement à l’exercice du droit à l’éducation pour les enfants, et l’utilisation d’établissements d’enseignement à des fins militaires peut entraîner des destructions qui privent encore les enfants de ce droit après la guerre. L’Ukraine fait partie des 114 pays qui ont approuvé la Déclaration sur la sécurité dans les écoles, un accord sur la protection de l’éducation lors des conflits armés qui permet aux parties d’utiliser les écoles abandonnées ou évacuées que s’il n’existe pas d’autre solution viable.

Attaques menées sans discrimination par les forces russes

Un grand nombre des frappes russes sur lesquelles Amnesty International a réuni des informations ces derniers mois ont été menées avec des armes frappant sans discrimination, notamment des armes à sous-munitions interdites, ou avec d’autres armes explosives à large champ d’action. D’autres frappes ont été menées au moyen d’armes guidées avec des niveaux de précision variables ; dans certains cas, ces armes ont été suffisamment précises pour toucher des cibles bien définies.

La pratique de l’armée ukrainienne qui consiste à placer des objectifs militaires dans des zones habitées ne justifie en aucun cas les attaques menées sans discernement par les forces russes. Toutes les parties à un conflit doivent en toutes circonstances faire la distinction entre les objectifs militaires et les biens de caractère civil et prendre toutes les précautions possibles, y compris en ce qui concerne le choix des armes, pour réduire le plus possible les préjudices subis par la population civile. Les attaques menées sans discrimination qui tuent ou blessent des civil·e·s ou endommagent des biens de caractère civil constituent des crimes de guerre.

« Le gouvernement ukrainien doit immédiatement prendre les mesures nécessaires pour placer ses forces loin des zones habitées, et pour évacuer les civil·e·s dans les zones où l’armée mène des opérations. Les militaires ne doivent en aucun cas utiliser des hôpitaux pour faire la guerre et ils ne doivent utiliser des écoles ou des immeubles d’habitation civils qu’en dernier ressort, en l’absence de toute autre solution viable », a déclaré Agnès Callamard.

Amnesty International a contacté le ministère de la Défense ukrainien en lui indiquant les conclusions de ses recherches le 29 juillet 2022. Au moment de la publication, Amnesty n’avait reçu aucune réponse.

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5 août 2022 5 05 /08 /août /2022 13:19

Rien de neuf sous le soleil que je n'ai déjà publié, ç'est juste que l'information passe par un média officiel en Autriche

 

 

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Un saint homme enfin présenté comme tel, ayant toutes les qualités requises pour diriger l'Ukraine, menteur, voleur, maître chanteur, manipulateur et criminel. Priez pour lui ! les Ukrainiens en auront bien besoin ! Amen !

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Comptes offshore et examen des médias : la biographie révèle les relations secrètes de Zelenskyy

Des détails explosifs et des révélations dont le président ukrainien Volodymyr Zelenky n'a pas du tout besoin pour le moment. Une biographie d'initiés par deux journalistes brosse un tableau clair des comptes offshore, "Wagnergate" et de la guerre dans laquelle se trouvait l'Ukraine avant l'invasion russe.

 

"Les oligarques font partie de l'histoire", a tweeté Zelenskyy le 2 juillet 2021 après avoir lancé son registre des oligarques. Ceux qui s'y tiennent doivent déclarer leurs revenus, tout comme les fonctionnaires du gouvernement. Les oligarques enregistrés ne sont pas autorisés à financer des partis politiques ou à participer à des privatisations majeures de biens publics.

Le magnat des médias Rinat Akhmetov a entre-temps transféré les licences de ses stations à l'État. La guerre de Zelenky contre les oligarques est un coup dur pour la diversité des médias dans le pays. Petro Porochenko annonce également qu'il a vendu ses trois chaînes de télévision Kanal 5, Kanal et Espresso. "La principale raison de l'introduction de cette" loi sur les oligarques "est de prendre le contrôle des médias", déclare Porochenko avec colère.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le film sur les Pandor Papers devrait être arrêté

Le film "Offshore 95" devrait être présenté en première à Kyiv le 3 octobre 2021. Le documentaire est basé sur les controversés Pandora Papers. Onze millions de documents divulgués par des fournisseurs de services financiers révèlent les comptes offshore de centaines de responsables gouvernementaux à travers le monde. Volodymyr Zelenskyy joue un rôle important dans les 2,9 téraoctets d'informations confidentielles.

Mais la première est annulée à la dernière minute. Le théâtre est en cours de rénovation et l'éclairage ne fonctionne pas, a-t-il indiqué dans un message aux journalistes invités. Les services secrets ukrainiens auraient joué un rôle dans cette affaire. L'annulation de la première a provoqué un scandale majeur en quelques heures. L'indignation était si grande que le film a été projeté le même jour.

 

 

 
La première du documentaire "Offshore 95" devrait être empêchée
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

 

 

"Est-ce que Zelenskyj s'est soustrait aux impôts ?"

Le fait que Zelenskyy ait des comptes offshore n'était pas nouveau à l'époque. En 2019, il a déjà été révélé que Zelenskyj est actif à Chypre. Les recherches de Slidstvo.info ont révélé que le comédien de l'époque, avec les frères Shefir et un autre employé du Studio Kwartal 95, possède également des sociétés dans les îles Vierges britanniques et au Belize. Au cœur de cette structure d'entreprise compliquée se trouve Maltex Multicapital Corp., jusque-là inconnue, constituée dans les îles Vierges.

Il aurait reçu un total de 40 millions de dollars depuis 2012 de sociétés appartenant à Ihor Kolomoiskyi. La société semble également posséder des appartements dans le centre de Londres d'une valeur de 7,5 millions de dollarsPeu avant l'élection présidentielle, Zelenskyy a cédé ses parts dans Maltex Multicapital Corp. sur Serhi Shefir. Le but de ces offshores n'est pas clair. « Est-ce que Zelensky a échappé aux impôts ? Ou Studio Kwartal 95 était-il impliqué dans le blanchiment d'argent criminel pour la banque privée de Kolomoyskyi », demandent les journalistes d'investigation Steven Derix et Marina Shelkunova dans leur livre Zelenskyy. The Current Biography », dont la sortie est prévue le 6 août. Les extraits de cet article sont tirés de cette biographie d'initié.

 
Steven Derix et Marina Shelkonova écrivent la puissante histoire de la vie de Volodymyr Zelensky, un acteur qui a joué le rôle de président puis est devenu à contrecœur président de guerre.

"Wagnergate"

Le livre traite également de "Wagnergate". En juillet 2020, trente-trois mercenaires - trente-deux Russes et un Biélorusse - ont été arrêtés dans une station thermale près de la capitale biélorusse de Minsk. Il s'agirait d'une action visant à piéger et à arrêter des dizaines de membres du groupe de mercenaires russes Wagner qui combattaient dans le Donbass. On espérait que les témoignages des hommes éclaireraient le rôle de la Russie dans le conflit. Et que certains pourraient avoir plus à dire sur la chute du MH17.

Les services secrets avaient mis en place des sociétés écrans pour recruter des gens de Wagner pour un travail de « service de garde » très bien rémunéré au Venezuela. Le plan était que les mercenaires voyagent par voie terrestre de la Russie à Minsk et de là prennent un vol pour Istanbul, d'où ils auraient continué leur voyage vers le Venezuela. Dans l'espace aérien ukrainien, l'avion de Turkish Airlines aurait alors été contraint d'atterrir à Kyiv, où les mercenaires devaient être arrêtés. Le plan était si imprudent qu'il était voué à l'échec. Cependant, la cause immédiate de l'échec était le président Zelensky lui-même.Un jour avant le départ prévu des mercenaires de Minsk, le président ukrainien a décidé de reporter l'opération. Le résultat: Trente-trois mercenaires wagnériens attendaient leur vol dans un parc de vacances et y ont été démasqués en raison de leur "comportement atypique pour les touristes russes". Des témoins avaient rapporté à la police biélorusse qu'il y avait des hommes bien entraînés en tenue militaire qui ne buvaient pas une goutte d'alcool et restaient dans leur chambre même pendant la soirée disco. C'est ainsi qu'il a été arrêté en juillet 2020.

 
Des mercenaires russes du groupe Wagner devaient être attirés dans un piège – l'opération a été révélée

Le texte précédent est basé sur un extrait du livre de Steven Derix et Marina Shelkunova : « Zelenskyj. La biographie actuelle » sera publiée par Edel Books le 6 août.

Pour la première fois la presse de gauche aux États-UnisÉtats-Unis qui soutient Biden, fait référence à la corruption en Ukraine.

 

Cet article se hasarde à des hypothèses audacieuses, mais l’idée de départ selon laquelle les fissures qui apparaissent sont à prendre en considération, cette idée mérite que l’on s’y attarde.

Martin JAY

Strategic Culture 4 août 2022

Biden pense-t-il que le meilleur moyen de détourner les critiques des médias américains est de sortir de la guerre en Ukraine et d’envisager une deuxième phase plus tard ?

Vous ne l’avez peut-être pas remarqué. Pour la première fois par la presse de gauche aux États-Unis qui soutient Biden, a fait référence à la corruption. Elle existe et est un vrai problème dans l’administration du président Zelensky en Ukraine.

L’article, rédigé par le principal correspondant des affaires étrangères du Washington Post et journaliste primé Thomas L Friedman, visait vraiment à laisser entendre que les relations entre le camp de Biden et celui de Zelensky n’étaient guère solides. Peut-être ne l’ont-t-elles jamais été. Mais pour le moment, le récit qui est introduit dans le système – via Friedman – c’est que les relations ne sont pas tout à fait ce qu’elles sont perçues par la plupart des médias occidentaux.

Le moment est intéressant car j’ai longtemps soutenu que les États-Unis cherchaient un moyen de se distancier de Zelensky et pourraient bien envisager comment l’éliminer (même par un assassinat qui pourrait être imputé aux Russes). Le camp Biden prépare-t-il le terrain pour un tel mouvement avec cet article ?

Friedman a décrit la décision de Zelensky de licencier la procureure générale Irina Venediktova et le chef du Service de sécurité de l’État (SBU), Ivan Bakanov, à la mi-juillet, comme une  » affaire amusante en cours à Kiev « , ajoutant qu’il n’avait encore vu aucun reportage dans un média américain qui « explique de manière convaincante » les raisons du plus grand remaniement du gouvernement de Kiev depuis le début de la guerre. 

« C’est comme si nous ne voulions pas regarder de trop près et voir ce qui se passe sous le capot à Kiev par peur de la corruption ou des bouffonneries que nous pourrions y voir, alors que nous y avons tant investi », écrit-il.

Est-ce un indice de changement ? Biden avertit-il Zelensky de nettoyer son arrière-cour et de limiter la revente d’armes américaines au marché noir des armes, ce qui signifie souvent vendre à des groupes terroristes en Syrie – ou autre. 

Ou est-il en train de dire au reste des médias que c’est le thème que nous aimerions que vous développiez? Commencer par le Washington Post et utiliser quelqu’un comme Friedman serait un mouvement médiatique habile pour créer une dynamique sur ce thème donné de la corruption qui devient incontrôlable. 

Mais ce serait également un moyen subtil d’envoyer un message à Zelensky lui-même. 

Nous le saurons bientôt dans les prochaines semaines.

Il est tout à fait possible que le camp de Biden ait su que l’armée ukrainienne vendait d’énormes quantités de militaires envoyés en Ukraine et en était assez satisfait, cela permet à la Maison Blanche de prendre prend la main sur les événements quotidiens de la guerre. Cela alimente les milliers de mèmes satiriques sur les réseaux sociaux qui dépeignent Zelensky comme une sorte d’esclave sexuel, avec des sous-vêtements en PVC.

Mais voici cinq pistes qui expliquent la corruption et les armes revendues

  1. Blanchiment d’argent. Biden envoie le matériel et Zelensky en vend la moitié au marché de l’armement. L’argent est conservé par Zelensky au nom de Biden. Zelensky est simplement un directeur de banque pour Biden dont la famille a de toute façon de nombreuses affaires troubles dans le pays. (Il ne faut pas oublier que Joe Biden était gouverneur du Delaware, Etat paradis fiscal Usa)
  2. Biden est conscient que les armes sont vendues et que Zelensky conserve les bénéfices en échange du maintien d’un certain nombre d’accords commerciaux que la famille Biden a là-bas.
  3. L’armée ukrainienne vend l’équipement et garde elle-même les bénéfices et Zelensky n’en fait pas partie, bien qu’il y donne son approbation tacite.
  4. L’argent de la revente d’armes ainsi que l’argent des contribuables américains sont détenus sur un compte « banque sale », contrôlé par Zelensky, que la famille Biden conserve à ses propres fins.
  5. Le camp Biden utilise ces bénéfices pour armer et financer ses propres groupes terroristes au Moyen-Orient ou dans d’autres points chauds du monde. Cet argent sale peut être utile à Biden exactement de la même manière que Reagan a utilisé 30 millions de dollars des Iraniens dans les années 80, utilisés en partie pour financer les « Contras » au Nicaragua.

Biden a-t-il pensé que le moyen de détourner l’opprobre des médias américains est de sortir de la guerre en Ukraine et d’envisager une deuxième phase plus tard ?

 Il pourrait rapidement réduire les niveaux de fournitures militaires et d’argent en invoquant des préoccupations concernant la responsabilité de Zelensky tout en dirigeant les médias vers la nouvelle « menace » de la Chine, qui, bien sûr, a été entièrement fabriquée par lui et Pelosi. 

Est-ce le scénario gagnant-gagnant où il peut continuer à pousser des dizaines de milliards d’argent des contribuables américains vers le complexe militaro-industriel tout en essayant en même temps de faire croire au public américain qu’une confrontation militaire avec la Chine est en cours et que lui seul sauve l’Amérique ? 

Cela devrait l’amener en meilleure position à mi-mandat et peut-être que les électeurs ne remarqueront pas les 5 dollars pour le gallon d’essence et l’Amérique en route vers la récession la plus profonde depuis 1929, n’est-ce pas ? 

Regardez de très près comment les journalistes américains se retournent maintenant lentement contre Zelensky et commencent à regarder son gouvernement et ses actions à travers des spécifications plus claires et non teintées de rose. EN PRIME

UN AUTRE AVERTISSEMENT A ZELENSKY

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5 août 2022 5 05 /08 /août /2022 13:11

Pixi ROUXEL Les Shadoks / Résine Shadok médecin

 

 

PAR LHK

Nanoréseau intégré au corps humain. Extraordinaire dossier réalisé par un scientifique.
Le IoNT est l’Internet des Nano objets. Les nanoparticules dont on vous bombarde finissent par parler pour vous. Dans cette illustration, un scientifique de très haut niveau a rédigé un document très professionnel et très détaillé qui positionne l’humain injecté dans le circuit des IoNT. Si cette planche est définitivement validée, nous pouvons conclure qu’un certain nombre d’injectés (pas forcément tous) sont en cours de mutation pour devenir des transhumains. On peut supposer que pour atteindre l’étape finale du modèle, il faut plusieurs doses.

Avertissement. Le dossier transmis ici est exceptionnellement documenté et précis. Je le reprends pour enrichir la réflexion et l’hypothèse de travail autour de la transhumanisation des peuples. Toutefois, aussi longtemps que nos autorités sanitaires refuseront de faire procéder à des analyses indépendantes du contenu de fioles contenant les produits à injecter, nous serons incapables d’affirmer si, et dans quelle mesure, la liste des éléments indésirables listés dans ce document ont pollué la production industrielle des injections réalisées depuis une année.

Un scientifique de premier plan a transmis au Net des planches détaillées de ce que pourraient être les divers éléments non identifiables découverts dans les fioles de produits à injecter et/ou dans les échantillons sanguins étudiés. Un autre scientifique tout aussi fiable m’a transmis son travail.

Bien que n’ayant pas l’identité de l’auteur, je ne peux qu’apprécier la précision avec laquelle les différents éléments que nous mettons au jour depuis des mois (pour ne pas dire des années) sont agencés et intégrés dans sa présentation.

Un fichier externe contenant une image, une illustration, etc. Le nom de l'objet est fchem-07-00399-g0001.jpg
https://lilianeheldkhawam.com/2021/07/05/le-graphene-outil-de-surveillance-de-la-sante-se-trouve-dans-les-masques-ecouvillons-et-les-vaccins-consequences-sur-la-sante-humaine-potentiellement-desastreuses/

Vous constaterez la référence aux dots quantiques d’oxyde de graphène dont nous parlions récemment.

Ce diagramme montre tous les composants qui sont introduits avec les diverses inoculations. Ensemble, ils agissent comme un réseau de surveillance du corps humain. (traduction ci-dessous)
Image
Traduction effectuée par Chantal Attia. Avec mes remerciements à elle.

Composants du nanoréseau au plan intracorporel

1. Nanotubes de carbone et dérivés CNT, SWCNT, MWCNT

2. Points quantiques de graphène GQD

3. Nageurs hydrogels

4. Nanoantennes fractales en graphène

5. Nanorouteur ou nanocontrôleurs

6. CODEC ou Nanointerface

Topologie de nanoréseau

1. Nanonodes (GQD, Hydrogel nageurs, Nanotubes, Fibres)

2. Nanocapteurs (circuits de nanotubes, nanofeuillets de graphène)

3. Nanocontrôleurs (circuits de nanorouteurs QCA)

4. Nanointerface (circuits QCA nanoCODEC)

5. => Communication avec l’extérieur =>

La présence de points quantiques d’oxyde de graphène.
La présence de points quantiques d’oxyde de graphène.– Les points quantiques de graphène sont des morceaux de graphène ou d’oxyde de graphène à l’échelle micro-nanométrique avec des formes circulaires, hexagonales, triangulaires… qui résultent de la décomposition ou de l’oxydation de nanofeuillets de graphène.– Les GQD, loin d’être un défaut du réseau, jouent un rôle fondamental, puisque leur taille leur permet de fonctionner ou d’opérer comme des nano-antennes. De plus, ils circulent à travers le système circulatoire, les artères, les veines, capillaires, servant de marqueurs électriques, mais aussi biologique, car ils adsorbent les protéines et autres composants présents dans le sang.
L’interface humain-machine avec transmission de données
La nanointerface est un circuit QCA plus complexe, qui contient un nanoantenne pour émettre et recevoir des signaux TS-OOK. Avec une forte probabilité, il dispose d’un CODEC pour crypter les paquets de données et les retransmettre à l’extérieur
Nanocapteurs et nanorouters
– Lorsque le nanorouteur reçoit les signaux, il parvient à les encoder dans TS-OOK et à les acheminer sous forme de paquets de données à transmettre. le Les signaux TS-OOK ont un modèle binaire facile à interpréter et à transmettre, ce qui augmente la capacité de transmission de données et la bande passante pouvant être prise en charge dans le nanoréseau.– Le nanorouteur n’a pas besoin de processeur pour fonctionner, car l’architecture QCA (point quantique) lui permet de fonctionner à une fréquence d’horloge, tout comme le ferait un processeur d’ordinateur.– De cette façon, les signaux sont transmis au nanorouteur le plus proche afin d’optimiser le nanoréseau et d’éviter la saturation du signal. Pour cette raison, plusieurs de ces composants sont prévu, assis grâce à l’hydrogel.
Image
Traduction effectuée par Chantal Attia. Avec mes remerciements à elle.

Avec ce document, nous entrons donc de plain pied dans le processus d’intégration homme-machine. Nous voyons sur cette planche d’ensemble que le résultat correspond à la convergence NBIC. L’auteur de ces planches sait avec précision de quoi il en retourne. De fait, très peu de scientifiques ont une vision d’ensemble de ce que peut être le transhumanisme.

https://lilianeheldkhawam.files.wordpress.com/2021/12/image-39.png
7 ans après la votation, les différents axes qui paraissaient martiens à l’époque deviennent subitement plus réelles…

LHK

Le document complet

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5 août 2022 5 05 /08 /août /2022 13:01

Comment vous désinforme t on officiellement !

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4 août 2022 4 04 /08 /août /2022 18:24
"La révolution a commencé": 75 000 Britanniques vont cesser de payer leurs factures d'électricité au milieu d'une tempête d'inflation

La résistance grandit alors que plus de 75 000 personnes irritées au Royaume-Uni se sont engagées à ne pas payer leur facture d'électricité cet automne lorsque les prix grimperont à nouveau. 

"75 000 personnes se sont engagées à faire grève le 1er octobre ! Si le gouvernement et les compagnies d'énergie refusent d'agir, les gens ordinaires le feront ! Ensemble, nous pouvons imposer un prix équitable et une énergie abordable pour tous", a tweeté " Don't Pay UK ", un anonyme. groupe à la tête de l'effort pour que plus d'un million de Britanniques boycottent leur facture d'électricité d'ici le 1er octobre. 

 

La grève survient alors qu'une tempête inflationniste des prix élevés de l'énergie a  anéanti  les revenus des ménages. Les Britanniques sont les plus  misérables  depuis trois décennies, l'inflation devant atteindre 13 %. Et tandis que le gouverneur de la Banque d'Angleterre (BoE), Andrew Bailey, a le plus relevé les taux d'intérêt en 27 ans pour maîtriser l'inflation, les risques de récession augmentent. 

Le 1er octobre, le ménage moyen paiera près de 300 £ par mois pour l'électricité, a averti la BoE. Associez la flambée des coûts de l'électricité à une croissance négative des salaires réels, et il devient évident que les ménages sont sous pression. Cela exclut la flambée des prix du logement, de la nourriture et de l'essence à la pompe - cette tendance n'est pas durable et pourrait entraîner  des instabilités sociales . 

Le journal britannique  Glasgow Live  a déclaré que la grève était similaire à "l'action de la fin des années 1980 et des années 1990 pour lutter contre la taxe de vote introduite par le Premier ministre Margaret Thatcher. En signe de protestation, 17 millions de personnes ont refusé de payer". 

Le journaliste financier et animateur britannique Martin Lewis a déclaré ceci à propos de la grève :

"Je pense que je peux le catégoriser plus précisément maintenant, le grand mouvement que je vois est une augmentation de la croissance du nombre de personnes appelant à un non-paiement des factures d'énergie, un non-paiement de masse. En fait, une grève des consommateurs sur les factures d'énergie et se débarrasser de la légitimité de payer cela.

"Nous nous rapprochons d'un moment de poll tax sur les factures d'énergie à venir en octobre et nous avons besoin que le gouvernement maîtrise cela, car une fois qu'il commencera à devenir socialement acceptable de ne pas payer les factures d'énergie, les gens cesseront de payer les factures d'énergie et vous êtes ne va pas couper tout le monde."

Pendant ce temps, le directeur général d'Ofgem (régulateur de l'énergie au Royaume-Uni), Jonathan Brearley, a déclaré samedi à BBC Radio 4's Today que les gens ne devraient pas se joindre à la grève pour deux raisons.

"Tout d'abord, cela augmentera les coûts pour tout le monde. Et deuxièmement, si vous rencontrez des difficultés pour payer votre facture, la meilleure chose à faire est de contacter votre compagnie d'énergie."

Il a ajouté: "Je n'encouragerais personne à suspendre le paiement de sa facture, car cela ne fait que nuire davantage aux choses et cela les affectera personnellement."

La semaine dernière, le gouvernement britannique a critiqué le mouvement, le qualifiant de "hautement irresponsable". 

"Il s'agit de messages hautement irresponsables, qui ne feront finalement que faire grimper les prix pour tous les autres et affecteront les cotes de crédit personnelles", a déclaré un porte-parole du gouvernement cité par The Independent.

Don't Pay UK pense que 6,3 millions de ménages britanniques seront poussés dans la pauvreté de la facture d'électricité cet hiver, et que des millions d'autres ressentiront le stress d'une inflation incontrôlable. 

Les gens sur Twitter ont répondu au moment en disant : "la Révolution a commencé " et "un peu de troubles civils se dirigent vers nos rues et à juste titre". 

Peut-être que l'implication du mouvement sera un excellent indicateur du mécontentement croissant parmi les Britanniques qui pourrait entraîner  des troubles civils  cet hiver alors que des millions de personnes auront du mal à garder les lumières allumées, le four chaud et à mettre de la nourriture sur la table. 

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4 août 2022 4 04 /08 /août /2022 17:59

 

 

 

Nous assistons à des revirements très importants dans la politique vaccinale sur le Covid sur ces deux ans, notamment par les dirigeants même des Instances conseillères au niveau de l'Etat. En effet ç'est au plan européen que l'affaire se joue notamment au niveau des tribunaux Italiens et Espagnol.

 

Il est de plus difficile de dissimuler les effets secondaires des vaccins sur une large part de la population ; et quand le doute s'installe !

 

La voie de la Justice est donc prise et cela va démontrer le haut niveau de corruption, notamment au plan Européen avec Mme. Von der Leyen Cela ne serait pas fait sans l'aval des chefs d'Etats mais aussi l'assentiment d'une large part du représentatif de ces derniers, sans éluder bien sûr les corps professionnels concernés.

 

Donc le navire coule  sur fonds de crise financière et économique, résultant d'une avidité sans fin des acteurs de ces milieux.

 

L'histoire de la vaccination Covid, puis les nouvelles,  la crise énergétique due à la guerre en Ukraine ne sont que des subterfuges pour créer des ressources financières pour un modèle en fin de course, car ç'est le cas ; ne vous leurrez pas.

 

Tout cela va se savoir, car tout cela est lié par les intérêts, les financements des financeurs aux financés en passant par les intermédiaires et les multiples bénéficiaires, et gare au retour de bâton qui sera foudroyant !

 

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Ce médecin australien raconte les pressions qu’il a subies et demande pardon pour ne pas avoir signalé les effets indésirables des injections : « Je donnais plus d’importance à mon travail, à ma famille, à ma sécurité et à mes finances qu’à mes patients »
 

 

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En tout cas je vote pour les trois !

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EXCLUSIF ! Après Delfraissy, Alain Fischer retourne aussi sa veste ! Le conseil d’orientation de la stratégie vaxxinale « arrête son travail », annonce Alain Fischer à La Dépêche !

 

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Le Pr. Cyrille Cohen retourne sa veste sur la vaccination des enfants après l’avoir recommandée!
 
Allemagne : la quatrième dose de vaccin suscite la discorde
Auteur(s)
 
Karl Lauterbach et Thomas Mertens Allemagne
 
Thomas Mertens (G), le "monsieur vaccin" de l'Allemagne, et Karl Lauterbach (D), ministre de la Santé.
AFP
 

Le ministre de la Santé allemand Karl Lauterbach vient de recommander une quatrième dose de vaccin contre le Sars-CoV-2, pour les moins de 60. Un avis que ne partage pas Thomas Mertens, chef de la Commission permanente des vaccinations (la Stiko). Ce n’est pas la première fois que Karl Lauterbach doit faire face aux désaccords de Thomas Mertens, désormais connu pour son franc-parler.

La situation épidémiologique en Allemagne

L’Allemagne, comme l’ensemble des pays européens, fait face à une nouvelle vague de coronavirus. Cette fois, ce sont les sous-variants d’Omicron, les BA4 et BA5 qui sont à l’origine de la nouvelle épidémie. Si le variant n’est pas très létal, il est très contagieux. Selon l'Institut Robert Koch (RKI), l'incidence ne cesse de croître et les experts estiment depuis un certain temps qu'il existe un nombre élevé de cas non recensés par le RKI, notamment parce que toutes les personnes infectées ne font pas un test PCR. Seuls les tests PCR positifs sont comptabilisés dans les statistiques. De plus, des déclarations tardives ou des problèmes de transmission peuvent entraîner une distorsion de certaines valeurs quotidiennes.

La quatrième dose de la discorde

Les autorités sanitaires allemandes ont-elles une stratégie claire en matière de politique vaccinale contre le Sars-CoV-2 ? La quatrième dose de rappel pourrait bien être celle de la discorde entre l’exécutif et une partie de la communauté scientifique. En effet, dans ce contexte de reprise épidémique, le ministre de la Santé, Karl Lauterbach, s’est prononcé en faveur d'une quatrième vaccination pour les moins de 60 ans. Selon lui, ce nouveau rappel permettrait de réduire le risque d’infection et de covid long pendant quelques mois. Néanmoins, il estime que la décision doit se faire en concertation avec le médecin de famille compétent, comme le rapporte le Spiegel.

« Si une personne veut profiter de l'été et ne pas prendre le risque de tomber malade, je recommanderais alors la vaccination aux plus jeunes, en accord avec le médecin de famille. On a alors tout simplement une tout autre sécurité », a-t-il déclaré.

À la suite de ces déclarations, Thomas Mertens, président de la Commission permanente des vaccinations (la Stiko), n'a pas tardé à réagir pour faire connaître ses désaccords avec le ministre. Il a justifié sa position en expliquant ne pas disposer de données qui justifient une quatrième dose pour les personnes plus jeunes.

« Je pense qu'il est mauvais de faire des recommandations médicales selon la devise "beaucoup aide beaucoup" (Viel hilft viel) » a-t-il déclaré.

Jusqu’à présent, la Stiko recommande le second rappel uniquement pour les personnes de 70 ans et plus et les personnes qui présentent des comorbidités.

Au niveau européen, le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC) et l'Agence européenne des médicaments (EMA) ont fait connaître leur position ; elles ont estimé qu’il était judicieux de permettre à toutes les personnes de 60 ans et plus, ainsi qu’aux personnes ayant été malades ou ayant des comorbidités, de recevoir un nouveau vaccin de rappel contre le Sars-CoV-2. 

Après les recommandations des agences européennes, Karl Lauterbach a laissé entendre que la Commission permanente des vaccinations se rangerait à l’avis des agences européennes. « Je suis presque certain que la Stiko fera de même » avait-il déclaré tout en certifiant qu’après cette quatrième dose, il serait encore possible de prendre un vaccin spécifiquement adapté à Omicron.

Interrogé sur la mission de la Stiko, le ministre de la Santé a critiqué le travail général de cet organisme. À la question de savoir si la Commission avait besoin d’un nouveau chef, il n’a pas répondu directement, mais a appelé à réfléchir à la manière de dynamiser le travail de la Stiko. Il est vrai que ce n’est pas la première fois que Karl Lauterbach et Thomas Mertens ont des vues divergentes en matière de politique vaccinale. À l’automne dernier, à propos de la vaccination des enfants avec le vaccin pédiatrique de Pfizer/ Biontech, le plus grand expert de la vaccination en l’Allemagne avait ébranlé la confiance dans la stratégie vaccinale du gouvernement en déclarant qu’il ne ferait pas vacciner son enfant.

En attente de nouveaux vaccins

Les laboratoires Pfizer et Moderna ont annoncé il y a peu la mise sur le marché de nouveaux vaccins contre les nouveaux variants. Des vaccins qui sont déjà sur le continent américain et qui devraient arriver en Europe à l'automne. Il s'agit de vaccins bivalents. Les deux contiennent la séquence ARN de la protéine Spike de la souche sauvage de Wuhan, à laquelle ont été ajouté la séquence ARN du variant BA.1 pour le vaccin élaboré par Moderna et la séquence ARN du variant BA.4 et BA.5 pour celui de Pfizer. 

Lire aussi : De "nouveaux" vaccins de rappels pour cet automne: la folle course en avant

Le choix du vaccin sera déterminé par le variant qui dominera à l'automne, a assuré le porte-parole du gouvernement, qui prépare déjà une population de plus en plus réticente à recevoir les nouvelles thérapies, malgré un certain degré d'incertitude sur les paramètres de l'épidémie.

Décès consécutifs aux vaccins: des médecins néo-zélandais sonnent l'alerte
 
Depuis l'autorisation européenne lundi, jusqu'à la première vaccination dimanche, il reste des étapes à franchir pour le vaccin en France
© JOEL SAGET / AFP/Archives
 

Depuis le début de la campagne de vaccination en Nouvelle-Zélande, le nombre de décès et d’effets indésirables consécutifs aux injections ne cesse de croître. Face à cette situation, un collectif de médecins nommé New Zeland Doctors Speaking Out with Science (NZDSOS) s’est constitué pour demander l’ouverture d’une enquête par la police. Ils ont fait paraître une lettre dans laquelle ils expliquent leurs positions ainsi que leurs attentes. Voici les principales allégations qu'ils portent contre le mandat vaccinal et la pharmacovigilance de leur pays.

Un système de pharmacovigilance peu fiable

Selon ces médecins, le système de pharmacovigilance de la Nouvelle-Zélande est peu efficace. Dans ce pays comme dans beaucoup d’autres, les médecins n’ont pas l’obligation de signaler les effets secondaires. Or, avant le début du déploiement des vaccins en Nouvelle-Zélande, les systèmes de pharmacovigilance des pays qui avaient beaucoup vacciné, montraient déjà des signaux très alarmants chez certaines personnes ayant reçu les injections.

La situation en Nouvelle-Zélande ne s'est pas avérée différente de celle des pays qui ont appliqué une politique vaccinale analogue, et devant les effets indésirables suspectés d'être en lien avec la vaccination, de plus en plus de professionnels de santé exigent une enquête appropriée, comme c’est le cas pour tout médicament ne faisant pas l’objet d’étude de sécurité. 

Au début du mandat vaccinal, le Dr Helen Petousis-Harris, spécialiste de la vaccination, a prévenu que des mécanismes de surveillance précis et établis étaient essentiels, étant donné l'absence sans précédent de tests sur les animaux ou d'essais cliniques prolongés pour ce traitement expérimental et précipité contre le Covid-19. 

" Il est vital que des systèmes solides de pharmacovigilance et de surveillance active soient en place", avait-elle déclaré.

Comme ce qu’elle a demandé n’a pas été instauré, une base de données citoyenne s’est créée, pour compenser le manque de pharmacovigilance. Quelque 500 décès consécutifs aux injections y ont été enregistrés par des groupes de bénévoles, qui ont tous reçu une formation dans le domaine des soins de santé, des sciences et de l’informatique. Des professionnels de l’épidémiologie et des bases de données ont également apporté un soutien dans l’analyse des cas déclarés. La grande majorité de la base de données des personnes décédées a été constituée à partir de la notification des parents, d’amis ou de professionnels de santé.

L’autorisation provisoire en question

Dans leur lettre, les médecins rappellent que le vaccin Comirnaty de Pfizer n'a été et n'est toujours diffusé que sous le couvert de l'autorisation provisoire du ministre de la Santé. À l'origine, l'autorisation provisoire d’un médicament ou d’un vaccin permettait de l’utiliser « de manière restreinte pour le traitement d'un nombre limité de patients ». Cela était dû aux nombreuses inconnues du produit encore en phase d'essai clinique.

Lorsque les mesures des autorités ont fait l’objet d’une contestation devant la Haute Cour en mai 2021, le gouvernement a été jugé en violation de ses propres lois. Pour répondre à cette nouvelle situation, il a rapidement modifié la loi en supprimant la réserve relative à l'utilisation de médicaments ayant fait l'objet d'un consentement provisoire. Désormais, un médicament provisoire n'a plus besoin d'être utilisé sur une « base restreinte » ou « pour un nombre limité de patients » et tout le monde peut l'obtenir.

Les signaux évidents ignorés

Dans tout essai de clinique « normal », les chercheurs sont extrêmement attentifs à tout signe éventuel de problème, et l'essai est immédiatement arrêté si des problèmes sont détectés par le comité indépendant de surveillance de la sécurité (ISMB). Dans le passé, ces mesures de précautions ont toujours été appliquées dans les programmes de vaccination précipités. Lors de l’épidémie de grippe porcine de 2008, le vaccin déployé contre l’épidémie a été retiré après avoir provoqué moins de 50 décès dans le monde et plusieurs centaines de cas de lésions neurologiques chez les enfants.

Depuis le début du mandat vaccinal contre le Sars-CoV-2, la thérapie génique de Pfizer a fait l'objet de cent soixante rapports de décès enregistrés à la CARM, le système de rapport « officiel », en Nouvelle-Zélande. Cependant, de l’avis de ces médecins, ce système de pharmacovigilance est passif, lent et totalement inadapté.

Ces médecins dénoncent également l’attitude de l’organisme de réglementation des médicaments, Medsafe, qui a déclaré que 48 de ces décès sont « insuffisamment documentés » et 99 autres décès sont « peu susceptibles d'avoir été causés par le vaccin ». Seuls trois de ces décès signalés ont été officiellement liés au vaccin, dont deux concernaient des jeunes gens qui étaient très peu susceptibles d'avoir été gravement affectés par l'infection de Covid-19.

Pour cette association de médecins, un grand nombre de gouvernements et d'autorités de santé publique dans le monde poursuivent leurs efforts de vacciner toute la population, ignorant les signaux évidents de leurs propres systèmes de notification passifs, alors même que la publication ordonnée par la justice des documents confidentiels de Pfizer relatifs à la post-commercialisation révèle que le géant pharmaceutique était au courant de 1 223 décès (voir page 7) et de plus de 40 000 cas d'effets indésirables au cours des trois premiers mois d'utilisation.

En outre, les données de Pfizer publiées ultérieurement ont confirmé qu'elles prévoyaient le phénomène ADE (Antibody Dependant Enhancement traduit par facilitation de l’infection par les anticorps), entraînant une aggravation de la maladie de Covid-19 chez les personnes vaccinées, ainsi que des risques pour des femmes enceintes, notamment des fausses couches et des enfants morts nés. Une recherche récente publiée dans la revue Nature suggère que le phénomène ADE est bien réel.

Les données de Medsafe, qui publie des rapports de sécurité mensuels sur le déploiement du vaccin, soulèvent beaucoup de suspicions depuis que l’agence a déclaré qu’elle ne pouvait saisir que 5 % des décès et des effets secondaires. Le collectif – mais les soupçons vont bien au-delà – est certain que le nombre de victimes de la vaccination est très élevé et qu’il n’est pas communiqué au public, qui continue à accepter un produit plus dangereux que la maladie qu’il est censé prévenir, en particulier chez les jeunes, pour qui le rapport bénéfice/risque ne joue pas en faveur de la vaccination.

Voir aussi : "Ne faisons pas un remède pire que le mal" : l'entretien essentiel, avec Christian Vélot

Une mortalité anormalement haute et suspecte

Dans ce pays de cinq millions d’habitants, la convergence entre les périodes de vaccination et la hausse de la mortalité interrogent les statisticiens et les entrepreneurs de pompes funèbres. En établissant une comparaison entre les années 2020 et 2021, le statisticien Grant Nixon a noté une augmentation de 2 000 décès supplémentaires, avec une moyenne de six par jours, dont les vagues suivent presque exactement les taux de vaccination hebdomadaire des plus de 65 ans.

Face à cette situation inquiétante, les médecins ont écrit une lettre à la police, dans laquelle ils rappellent à Andrew Coster (qui dirige cette institution) que certains faits rapportés par des juristes alléguant des problèmes avec les vaccins ont volontairement été ignorés. Les mêmes manquements se sont produits lorsque les médecins lui ont rapporté des fautes imputables, selon eux, à l'organisme de règlementation Medsafe, n’hésitant pas à souligner l’aspect criminel de cette négligence.

Loin d’abandonner leur mission et malgré l'absence de réponse suite aux premiers courriers, les médecins ont renouvelé leur démarche. Ils espèrent que cette fois, la police se décidera à intervenir pour ouvrir une enquête sur les morts suspectes. Pour appuyer leur requête, ils ont joint certains rapports des personnes décédées. 

Cette lettre officielle rappelle également à la police sa principale mission, à savoir « défendre le bien public en distinguant le bien du mal, le mensonge de la vérité, en cessant de s’abriter derrière des institutions gouvernementales contrôlées, défaillantes ou corrompues ». En somme, toutes les qualités indispensables à cette institution pour assurer la sécurité des personnes.

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4 août 2022 4 04 /08 /août /2022 17:47

 

Vous croyiez dans votre grande ingénuité et votre grande naïveté avoir a faire a des gens de qualités mais vous n'avez au-dessus de vous que la lie de l'humanité qui se vautre dans le luxe, les vices, le mépris, la magouille et le crime le tout à vos dépens !

Alors n'espérez rien de ceux là qui vous mentent et vous volent sans vergogne ! Prenez votre destin en mains !

 

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Christine Deviers-Joncour : « Les citoyens se croyant protégés par leurs gouvernants réalisent aujourd’hui que ce sont leurs pires ennemis ! »
 

Son nom ne vous est pas inconnu, cette femme a défrayé la chronique de toute la presse française dans les années fin 90- début 2000.
Connue sous le sobriquet de « la putain de la République », Christine Deviers-Joncour réapparaît dans la lumière par le biais de l’écriture.
A l’occasion de la sortie de son dernier roman In silico, Christine, comme elle aime se faire appeler, nous a accordé un entretien sincère et émouvant laissant transparaître une femme forte, pleine de conviction et assoiffée de liberté. Une bouffée d’oxygène loin des médisances du passé !

 

 

« J’entendais leur mépris pour le peuple et leur fameux projet concernant une dépopulation à venir pour soi-disant « sauver la planète » car, disaient-ils, le peuple pollue et pour la plupart, les citoyens sont des « inutiles ». »

Le Média en 4-4-2 : Bonjour Christine et merci d’avoir accepté l’invitation du Média en 4-4-2. Vous venez de publier votre dernier roman, In Silico, la cité des abysses, dont l’intrigue se déroule dans un monde de science-fiction pas si loin de la réalité…Votre héroïne, Elem, habite au 65e étage dans un 40 mètres carrés. Elle utilise sa carte de crédit et un lecteur d’empreintes pour y accéder. Dans son appartement, se trouve sur un mur « un orifice pour assurer sa protection et sa sécurité. » Il lui faut sa « carte magique » pour se doucher, utiliser sa cafetière. Cette carte fait également office de carte Vitale et lui est indispensable pour avoir « un toit, de l’eau et du confort ». Et pour couronner le tout, Elem a une puce implantée à son poignet pour avoir accès à son lieu de travail… On se croirait en plein 1984 de George Orwell ! Est-ce que, comme lui à son époque, vous voyez notre société plonger vers ce monde du tout-contrôle

Christine Deviers-Joncour : Merci pour votre invitation. J’ai écrit ce livre en 2012. Et à cette époque je n’imaginais pas une seconde que nous allions vivre une période aussi sombre. Juste une précision : le terme in silico est un terme utilisé en informatique et bio-informatique. Je crois que c’est là mon vrai premier roman. Aucune référence à mon expérience personnelle passée, contrairement aux autres livres. Et c’est sans doute là que je me suis sentie le plus libre. Mais forte de mon expérience, de ce que j’ai vécu pendant quelques années si proche du pouvoir, il y avait des choses que je brûlais d’évoquer. Sous la forme de fiction ce fut plus facile et même assez grisant. Il est vrai qu’à une période de ma vie où j’ai dû côtoyer le pouvoir d’un peu trop près, j’assistais souvent à des discussions qui ne laissaient aucun doute sur leurs intentions. J’entendais leur mépris pour le peuple et leur fameux projet concernant une dépopulation à venir pour soi-disant « sauver la planète », car, disaient-ils, le peuple pollue et, pour la plupart, les citoyens sont des « inutiles ». Je ne pouvais imaginer à l’époque que cela deviendrait réalité. Mais je sentais bien que l’avenir s’assombrissait. Je n’avais pas lu 1984 de George Orwell à l’époque. J’ai depuis comblé cette lacune. Mais pour répondre à votre question : oui, il décrit ce monde du tout-contrôle dans sa fiction et en ce qui nous concerne ce n’est malheureusement plus de la fiction, mais une terrible réalité dans laquelle nous sommes en train de sombrer, si nous ne nous ne réagissons pas. Et il y a urgence !
.
« Cette poignée de psychopathes inhumains, avides de pouvoir et de richesse s’effondrera tôt ou tard ! »

Le Média en 4-4-2 : Face à cette urgence, comment réagir ? Comment faire prendre conscience à nos concitoyens de cet immense danger ? Car, comme décrit dans votre roman, le pouvoir opère depuis très longtemps une manipulation de la masse, qui n’en est pas consciente.

Christine Deviers-Joncour : Oui, cette manipulation de masse a été sciemment mise en place depuis très longtemps. Au lieu de Grand Reset, je préfère Grand Réveil ! Peu à peu les gens s’informent et comprennent  que nous sommes sur un volcan. Nous n’avons plus besoin de livres d’Histoire. L’Histoire est un flux qui nous nourrit de vérités, de faussetés que nous trions comme d’antiques chercheurs d’or que les évènements rongent car, par tous les canaux, surtout par ceux d’une propagande excessive, ridicule, les réalités viennent à nous, jour après jour, comme autant de coups de boutoir, comme autant de vagues qui finissent par faire du sable des falaises les plus dures. Nous vivons comme les anciens dieux qui observaient les Grecs et les Troyens et intervenaient dans leurs combats. Nous aussi nous observons et nous intervenons. Le Net est un rugissement de révélations et de colères. Et il est difficile de gouverner en le négligeant. Cette poignée de psychopathes inhumains, avides de pouvoir et de richesse s’effondrera tôt ou tard ! Patience…. On dit que In silico est prophétique ! Alors lisez jusqu’au bout et vous verrez la fin de ce cauchemar dans la Cité des Abysses ! C’est la fin que je nous souhaite !

Le Média en 4-4-2 : Effectivement, c’est un roman plein d’espoir et nous n’allons pas dévoiler la fin inattendue de cette histoire. Mais vous qui avez été l’observatrice, l’objet voire la confidente de certains de ces psychopathes, ne pensez-vous pas que pour certains d’entre eux leur part d’humanité est tellement enfouie que c’est là la faille. Et qu’au lieu de s’en éloigner, il suffirait de rallumer cette flamme, comme pour Wendel !

Christine Deviers-Joncour : L’amour peut engendrer des miracles ! Rare, mais possible… (rires) ! Pour gagner l’estime et se battre dans l’arène, l’homme s’est détourné de sa vraie nature, de son essence profonde. En retrouvant cette essence, ses vraies richesses intérieures lui seraient révélées. Réconcilié avec lui-même, il y gagnerait une communication plus simple et plus humaine. Que chacun agisse en accord avec sa nature profonde, avec son âme et tout en restant soi-même, chacun danserait ainsi avec l’autre dans la créativité et dans un magnifique mouvement d’évolution. Malheureusement pour eux, ces gens de pouvoir sont infirmes, sans empathie, sans humanité et la frontière est fragile avec la criminalité. Cela devient flagrant ces dernières années Covid. Les citoyens se croyant protégés par leurs gouvernants réalisent aujourd’hui que ce sont leurs pires ennemis !

Le Média en 4-4-2 : Puisque nous évoquons la relation entre vos deux personnages principaux, pouvez-vous nous parler du choix de leurs prénoms ? Elem, prénom turc qui signifie Dieu, et Wendel, prénom allemand qui signifie « errer »…

Christine Deviers-Joncour : En ce qui concerne Elem, ce nom est tiré du dictionnaire elfique de Tolkien qui signifie : fine, délicate, élégante. Quant à Wendel, j’ai inventé ce prénom et je vous remercie de me donner son origine. Sans dévoiler qui est notre héros, « errer » lui convient parfaitement, mais je ne peux en dire davantage. Le lecteur comprendra ! Néanmoins, les prénoms n’avaient pas pour but de définir leurs caractères propres et leurs parcours. Mais en ce qui concerne Wendel, je suis très touchée par cette référence…

« Le peuple devient du bétail manipulé, sans bientôt plus aucun libre arbitre »
Le Média en 4-4-2 : Comme quoi, si le hasard existe, il fait bien les choses ! A la seconde lecture de votre roman, et en gardant en tête qui en est l’auteur, on se demande où est la frontière entre la fiction et la réalité, notamment en ce qui concerne le contrôle total de la population. On se doute que vous ne pouvez pas révéler tout ce que vous avez entendu en étant « si proche du pouvoir »… Avez-vous écrit une fiction pour être en quelque sorte « plus libre » ?
.
Christine Deviers-Joncour : Probablement oui, on peut ainsi dire des vérités sans interdit, ni barrière ! Dans l’histoire, deux lieux se chevauchent : d’une part, une ville futuriste, inhumaine et expérimentale très cruelle pour les citoyens, non loin de ce que nous vivons depuis quelque temps, et de l’autre, le pays des rêves pour survivre pour inventer une autre vie possible dans une sorte de réel imaginaire. Effectivement, tout au long de l’histoire, on peut se demander où est le réel et où est l’imaginaire ? La plus parfaite illusion d’un monde vaut la réalité, mais à la condition d’en ignorer la nature. Voyez ce que nous sommes en train de vivre au quotidien : les libertés sont grignotées chaque jour davantage, notre constitution bafouée, les élections truquées, les interdictions en rafale. Le peuple devient du bétail manipulé, sans bientôt plus aucun libre arbitre. Covid et injections meurtrières, dépopulation, chômage et tout ce qui en découle ! Les angoisses et la tristesse, la peur du lendemain et d’un futur sombre, la peur pour nos enfants. Que nous reste-t-il ? Rêver ? Oui sans doute. Là on ne peut ni nous le prendre, ni le taxer, ni nous l’interdire ! Et c’est gratuit ! Chimère, utopie ? Gérard de Nerval disait : « Le rêve est une seconde vie …» Pourquoi pas ? Que risquons-nous ? Et souvent les rêves deviennent réalité. Dans tous les cas, c’est là quelque chose d’insondable qui imprègne toutes choses de sublime. Et quelquefois ce qui est de l’ordre du sublime devient visible.
« J’ai aujourd’hui gagné ma liberté et je suis fière du combat que j’ai mené »

Le Média en 4-4-2 : On sent dans vos réponses beaucoup de sagesse et de spiritualité, une Christine totalement éloignée de la Christine de la presse à scandale, « La putain de la République ». Pouvez-vous nous raconter l’histoire cachée de ce titre? Et comment passe-t-on de cette image publique peu flatteuse et lourde à porter à celle d’un écrivain plein de possibilités, libre si j’ose dire?

Christine Deviers-Joncour : Ce nom peu flatteur me fut donné par la juge Eva Joly des mois avant de me connaître ! A travers moi, elle voulait s’attaquer à Roland Dumas, alors président du Conseil Constitutionnel, quatrième homme d’État. Grand bourgeois, grand érudit, et collectionneur, il n’avait pas que des amis au sein du parti socialiste. Et de plus, on ne lui avait pas pardonné, du temps où il était au Quai-d’Orsay, sa politique pro-palestinienne, pro-russe, etc. Il savait tout cela et m’en parlait à l’époque. Et puis, ce fut le scandale de « l’affaire des frégates de Taïwan », baptisée JUDICIEUSEMENT : « Affaire Dumas-Deviers-Joncour ». Quatre milliards de francs de l’époque détournés sur un contrat d’État et une vingtaine de morts, malheureux témoins des détournements. Je fus le fusible désigné pour protéger cette corruption. Mais je n’ai pas baissé les bras et j’ai bataillé. J’ai appelé ça, ma « drôle de guerre à moi ». L’ennemi était de taille : politiques, presse, journalistes, juges, avocats véreux et la Justice … qui n’en avait que le nom ! Je fus la toute première en 2001 à oser dénoncer la corruption politique en France ! Prison, contrat sur ma vie, menaces. L’argent qui me fut reproché n’était pas pour moi… Je l’ai rendu en intégralité à la Justice. Je suis la dernière survivante de cette affaire que le juge Van Ruymbeke désigna comme le plus gros scandale de la 5e république en rétrocommissions et nombre de morts, malheureux témoins. Sachez que dans ces affaires, à ce niveau-là, il faut toujours des fusibles… je fus l’un d’eux. Ce malheureux titre dont on m’a affublée aurait dû être : « Putain de République » ! Trop compliqué et dangereux, je n’ai pas pu à l’époque pour de multiples raisons ! Mais le peuple commence enfin à ouvrir les yeux sur la corruption et les mensonges et manigances de leurs « élites » et ce, à tous les niveaux. Il était temps ! La vraie Christine est celle qui écrit. Et ce depuis toujours. Cela m’a aidée aussi à me défendre dans cette horrible période grâce à de nombreux essais. Libre ? Ô combien ! Quand vous avez passé cinq années dans Paris affublée d’un gilet pare-balles et sur un vélo en sens interdit pour me protéger… J’ai aujourd’hui gagné ma liberté et je suis fière du combat que j’ai mené. Libre oui ! Loin de tout… ce qui permet de les observer à la loupe bâtir d’improbables cathédrales sur des socles de poussière. Ils sont pathétiques. Alors j’ai continué à écrire et illustrer aussi… Et c’est dans l’écriture que j’ai trouvé mon second souffle, car écrire est une façon de hurler en silence et de chasser les démons.
    
Le Média en 4-4-2 : Et à quel prix ! Une liberté que vous avez arrachée du plus profond de vos tripes. Et en même temps, des décennies plus tard, lorsque vous évoquez Roland Dumas, on sent un profond respect, une admiration étouffée. Pour autant, il n’était pas un enfant de chœur, avocat reconnu, franc-maçon, membre du Grand Orient de France, sans compter son passé politique et il a été le bras droit de François Mitterrand. Êtes vous objective lorsqu’il s’agit de Roland Dumas ?
    
Christine Deviers-Joncour : Je garde de cet homme le meilleur : une immense et insatiable culture, l’esthète, le talentueux chanteur d’opéra ténor méconnu, le tribun hors norme, le passionné de musique et d’art, polyglotte, six langues et se mettait au persan, capable de parler par exemple l’allemand avec l’accent berlinois ou l’accent autrichien à Vienne. Intarissable sur l’Histoire de l’art ou de la littérature. Un des derniers meilleurs ministres des Affaires étrangères, et de loin ! Quand on voit ceux qui défilent sous les lambris du Quai-d’Orsay ces dernières années. Grandeur et décadence. Un personnage à multiples facettes. Pendant dix années j’ai côtoyé cet homme et tenté sans cesse de me mettre à niveau, consciente de mes lacunes. Il m’a appris et communiqué cet appétit de connaissance… dans tous les domaines. Et cela est précieux et je l’en remercie. Je fus aussi touchée par sa sensibilité extrême, mais troublée aussi par son implacable dureté. Un jour, il m’avoua que je fus la seule femme auprès de qui il n’avait ressenti ni ennui ni lassitude… Ce fut pour moi un magnifique compliment. Multiples facettes oui, ange et démon. Franc-maçon oui… comme tous ceux qui font carrière, ne soyons pas naïfs ! Et puis comme tout homme de pouvoir quand ils se sentent en danger, ils n’hésitent pas à pratiquer la politique de la terre brûlée pour se protéger. Il déclara sans vergogne qu’il ne me connaissait pas ou à peine. Brutal, injuste et douloureux. Il a 100 ans cette année. Laissons-le en paix. Dieu reconnaîtra les siens..
« Imaginez, juste un instant, les Russes installant des bases militaires aux frontières des États-Unis ! »

Le Média en 4-4-2 : En plus de l’écriture, vous vous engagez dans le milieu caritatif notamment auprès de Novopole, une association qui apporte son aide aux Russophones de la région du Donbass. Vous n’avez donc pas découvert il y a quelques mois les atrocités menées par le régime ukrainien dans cette région… Comment percevez-vous cette opération menée par Vladimir Poutine, notamment au niveau géopolitique ?

Christine Deviers-Joncour : En 2014 je fus mise en contact avec des gens qui se mobilisaient pour apporter une aide au peuple russophone de l’Est de l’Ukraine, le Donbass en particulier,  pilonné sans cesse par les ukro-nazis de Kiev. Touchée et émue par ce peuple en souffrance, je me suis approchée de tous ces gens de bonne volonté. N’ayant pas de moyens financiers, j’ai exécuté plusieurs illustrations sur ce drame qui furent mises aux enchères à Genève par une association ; les ventes ont permis de récolter un peu d’argent pour les aider. Vous pouvez les voir sur mon site internet. À cette époque, nous espérions en priant pour que la Russie vienne leur porter secours et stopper ce carnage aux portes de l’Europe. Les accords de Minsk n’étant pas respectés, nous étions très inquiets devant ces bombardements permanents, ces pilonnages et ces enfants massacrés et surtout ce silence radio assourdissant de tous les médias occidentaux ! Mais il a fallu du temps pour que cette aide tant espérée arrive enfin. En prévision de sanctions des États-Unis et de l’Union européenne inévitables, la Russie a dû s’y préparer durant ces huit années. Le 21 février 2022, trois jours avant l’invasion de l’Ukraine par la Russie, le président de la fédération de Russie, Vladimir Poutine, déclarait lors d’une allocution télévisée : « L’Ukraine, ce n’est pas seulement notre voisin mais c’est également une partie de notre histoire, de notre espace culturel ». Avant d’ajouter que « l’Ukraine contemporaine a été entièrement et complètement créée par la Russie, plus exactement par la Russie communiste, bolchévique ». Imaginez, juste un instant, les Russes installant des bases militaires aux frontières des États-Unis ! Il y aurait fort à débattre mais je ne suis pas experte en géopolitique et ce n’est pas le propos ici !
« J’ai lourdement payé pour avoir vu de très près ! »

Le Média en 4-4-2 : En retraçant l’ensemble de votre parcours, avez-vous des regrets, des remords ? Auriez-vous fait des choses différemment ?

Christine Deviers-Joncour : Des regrets, oui, bien sûr. Qui n’en n’a pas… Des remords ? oui, d’avoir fait de mauvais choix : ainsi ma vie a été conduite pour l’amour de mes deux fils qui ont eu chacun des pères peu responsables et défaillants et qui eux aussi en ont souffert. J’ai dû alors prendre la relève. J’ai dû assumer les rôles de père et de mère. Je me suis donc battue. Seule. Donc mes regrets sont là : les mauvais choix quant à mes deux époux et pères de mes fils. Pour autant, j’ai eu une vie chaotique mais je ne regrette rien. Je me suis frottée à la vraie vie, aux combats, aux difficultés et j’ai réalisé depuis longtemps dans quel monde nous vivions avec ses injustices et ses dérives. Je suis  témoin de ce que sont vraiment nos gouvernants et du système qu’ils ont instauré. J’ai lourdement payé pour avoir vu de très près ! À refaire ? oui sans aucun doute. Pour le meilleur et pour le pire. Je ne suis pas ressortie de ce cauchemar indemne, c’est un fait, les cicatrices trop profondes ne se refermeront pas. Mais j’ai acquis une force qui me permet de regarder ce monde dans lequel nous vivons avec une grande lucidité et sans surprise, ni panique. Alors j’écris… Que mon expérience puisse aider les gens à ouvrir les yeux.
En fait, nous vivons deux apocalypses : tout d’abord celle de la fin d’un monde qui se détruit tout seul par ses excès, le fameux « hubris » qui est la faute fatale qui culbute les hommes qui s’y abandonnent, les empires qui s’étendent trop et deviennent ingérables. L’apocalypse où tombent les masques ! Et enfin l’apocalypse du renouveau que tous les enfants de ce siècle, qui part si mal, ont envie de créer ! « Les affaires, sont les affaires… », disent certains. L’harmonie universelle  leur est supérieure. Le choix est fait !
« Les peuples doivent impérativement continuer à se lever, réagir pour mettre fin à ce délire, à cet assassinat planétaire perpétré par une poignée de nuisibles, complètement fous et dégénérés »

Le Média en 4-4-2 : Merci Christine pour le temps que vous nous avez consacré ! Merci pour cet émouvant et captivant entretien. Nous vous laissons le mot de la fin pour que vous puissiez par exemple nous dire ce qu’on peut vous souhaiter pour la suite.

Christine Deviers-Joncour : Mon souhait ? que les peuples retrouvent enfin un monde apaisé et la sérénité ! Que nos enfants soient protégés de ces satanistes qui opèrent et complotent depuis trop longtemps… Que justice soit faite contre ces criminels ! Quant à moi, que je puisse à travers l’écriture continuer ce combat avec tant d’autres qui se battent aussi. L’ordre mondial actuel ne peut plus se perpétuer de la sorte ! Il est un problème crucial pour l’humanité, un problème qui doit être impérativement et au plus vite résolu. Les peuples doivent impérativement continuer à se lever, réagir pour mettre fin à ce délire, à cet assassinat planétaire perpétré par une poignée de nuisibles, complètement fous et dégénérés.

Source

 

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Christine Deviers-Joncour : les vices purulents des milieux corrompus de nos « républiques »
 
#dessin de @nawak_dessins #affairebenalla #affairedetat # ...
 
 
Je n'ai aucune prétention, non seulement à l'infaillibilité, et moins encore à la parfaite et pure intégrité morale. Ajoutons que parfois j'hésite à publier certaines nouvelles qui pourraient décourager des lecteurs jeunes et encore « innocents » (plus ou moins) et les pousser à l'ignominie de s'abandonner, pour n'être pas considérés comme bêtes et niais, aux vices et au crimes. J'ai été éducateur, et professeur, respectueux des adolescents qui m'étaient confiés.

C'est pourquoi je crois devoir publier cette lettre de madame Christine Deviers-Joncour.
Non que je considère madame Deviers-Joncour comme une sainte. Qu'elle ne fut pas toujours dans le milieu (politique) où elle fut immergée. Je veux croire qu'elle-même ne se considère pas comme une sainte, sauf à être la pire des hypocrites. D'ailleurs les saints authentiques ne furent pas tous des « jésus en bocaux » pour reprendre une expression créole de chez nous. Et ce qui fait la force intellectuelle et morale de certains de ceux-ci c'est d'être devenus tout à fait clairvoyants sur les vices, dont ils furent dans leur passés prisonniers.

Il faut pour nos populations, pas seulement dans nôtre occident bien malade actuellement, y compris dans nos aires antillaises, c'est d'être éduqués chrétiennement et de ce fait rendus lucides et volontaires.

La lettre de Deviers-Joncours montre, me semble-t-il qu'elle avait reçu cette éducation.

Je tenais à ces précisions pour faire comprendre qu'il n'y a nulle jubilation de ma part dans cette publication, seulement une volonté de réaction.

Les imbéciles ne traitent-ils pas vôtre Scrutateur de … « réactionnaire ».

Eh bien oui, je le le suis. Bonne journée .

Le Scrutateur.
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Doux avec les puissants et dur avec les faibles !


Christine Deviers-Joncour :


Elle fut la maîtresse de Roland Dumas, de longues années ministre des affaires étrangères de François Mitterrand.
En son temps, elle sortit un livre de révélations intitulé « La putain de la République ».
Son nom a beaucoup circulé dans des histoires de corruption impliquant les plus hauts personnages de l’État.
Autant dire qu’elle a vu de ses yeux l’envers du décor et la face obscure du monde politique.

Voici ce qu’elle dit:

 
«J’entendais leurs délires, loin d’imaginer qu’ils iraient jusqu’au bout de leur folie.
Je les ai vus, à l’époque, se goberger, s’empiffrer sur le dos de la bête. Je les ai vus, les yeux plus gros que le ventre, piller et se goinfrer. Se donner des lettres de noblesse factices que leur position et leur pouvoir leur conféraient.
Je les ai vus bomber le torse et de leur petite hauteur, mépriser le peuple en donnant au château de Versailles des fêtes royales pour célébrer dignement l’arrivée au pouvoir du nouveau « monarque ».
Les cortèges de voitures officielles comme autant de carrosses et les garden-parties de ces nouveaux parvenus bientôt emperruqués.

J’ai vu les épouses et leur marmaille jouant à Marie-Antoinette sans vergogne sous les lambris, dont le passe-temps se limitait à organiser des dîners fins entre amis et visiter le Mobilier national comme on va chez Ikea. Gratuit ici.
Surtout quand on omettait de restituer pièces d’art et meubles d’époque.

Je les ai vus et j’ai payé très cher pour avoir été témoin, n’étant pas du sérail…

J’ai vu les caisses noires des ministères exonérées d’impôts, les frais d’intendance éhontés enfler toute honte bue, chauffeurs et gardes du corps à vie et retraites cumulées replètes, rétro-commissions sur des marchés d’état, des avions équipés comme des palaces volants, des jets sur le tarmac prêts à décoller au moindre caprice ou quand tsunamis, tremblements de terre et autres catastrophes permettaient d’appeler les hordes de photographes, après être passé en vitesse chez le coiffeur et le couturier branché, pour se faire immortaliser au pied d’un jet avec un sac de riz sur le dos.

J’ai vu des soutes en provenance d’Afrique garnies de billets de banque et des coffres de voitures transformés en caverne d’Ali Baba pour distribution d’argent à grande échelle, des contrats d’État passés aux mains des filous, des comptes bien cachés dans des pays aux lagons bleus, (…)

J’ai vu des enfants éventrés, des femmes violées, lapidées, torturées. J’ai vu un avion avec une croix rouge sur son flanc porter secours à des populations africaines affamées en leur tirant dessus, et j’ai même vu certains crocodiles bouffer de malheureux témoins encombrants et d’autres tomber des fenêtres, arrêts cardiaques et cancers fulgurants.

Toute cette honte, tous ces crimes pour encore plus de Pouvoir et Richesses.

Un monde aux mains de la Finance Internationale, Bilderberg, Nouvel Ordre Mondial criminel, FMI, GAFAM etc, pour maintenir, verrouiller le système, protéger une élite et asservir les peuples en les abrutissant et en les dépravant en inversant les valeurs !

Nous leur donnons une once de pouvoir et ils perdent tout sens commun. Et plus on monte dans la hiérarchie, plus ils s’en donnent à cœur joie, perdent le sens des réalités et franchissent allègrement et sans états d’âme l’inacceptable. Et au plus haut niveau de la pyramide ils n’ont plus rien d’humain. Ce sont des monstres.
(…) Le pouvoir, aphrodisiaque suprême, les déshumaniserait-il à ce point ? Et le fric, moteur essentiel à toutes ces dérives…
Comment osent-ils se poser en donneurs de leçons, parler de probité, d’intégrité, de franchise, quand se multiplient leurs égarements et que les affaires de corruption et autres méfaits les éclaboussent ? (…)
Nous sommes devenus un immense peuple de moutons à tondre, tandis que la démocratie n’existe plus depuis longtemps, et tout dépend maintenant du pouvoir de résistance et de révolte des peuples.

La mise en esclavage des populations est passée à la vitesse supérieure avec cette « plandémie covid » en créant la PEUR !
Et les grands argentiers de la planète et leurs marionnettes nous font clairement comprendre que seuls comptent leurs profits, que le bien-être des citoyens n’a aucune espèce d’importance.
Leurs pandémies et leurs vaccins mortifères finiront le sale boulot pour une dépopulation mondiale annoncée : Le projet ne date pas d’hier, croyez-moi !
Nous sommes tous sacrifiés sur l’autel des profits. Depuis ces dernières décennies tout fut mis en œuvre fissa pour nous anéantir. Et la télévision et les médias aux ordres ont participé à cet abrutissement de masse qui nous a conduits à l’impuissance en nous lavant le cerveau.

Je veux pourtant rester optimiste. Nous sommes à un tournant majeur, un changement de civilisation.

Il est urgent que tous les citoyens se réveillent et reprennent en main leur pays, leur souveraineté et éliminent cette vermine financière afin de réinjecter dans les caisses des états pour le bien collectif, les incroyables fortunes détournées par une poignée de mafiosi sans foi ni loi et dangereux.

Il faut bien prendre conscience que, quels que soient votre bord politique ou votre conception de la vie, si vous ne faites pas partie de leur élite, vous serez broyés.

Christine Deviers-Joncour
 
 
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4 août 2022 4 04 /08 /août /2022 17:46

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Une nouvelle fois le directeur général de l’OMS aux antécédents lourds [1][2][3] veut imposer sa décision en accord avec Bill Gates et contre le vote de ses propres collègues sur le risque de la variole du singe et censure les voix contraires. Il veut rejouer le covid-19. Serons-nous encore complices ?

Le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom, a demandé aux entreprises de médias sociaux du monde entier de lutter contre toute « désinformation » concernant le monkeypox.

En d’autres termes il veut censurer quiconque n’est pas d’accord avec sa folie du monkeypox.

« Comme nous l’avons vu avec le COVID-19, la mésinformation et la désinformation peuvent se propager rapidement en ligne. Nous appelons donc toutes les plateformes de médias sociaux, les entreprises technologiques et les organes de presse à travailler avec nous pour prévenir et contrer les informations nuisibles », a déclaré Adhanom le 26 juillet 2022.

@jgalt485 27 juil.

Il y a quatre jours le chef de l’OMS a déclaré la variole du singe « urgence sanitaire internationale », annulant une décision de la majorité de membres du panel qui avaient voté contre une telle déclaration.

Ces méthodes sont habituelles pour le directeur général de l’OMS vendu à Bill Gates et sa volonté de vacciner le monde entier.

Terrible aveu (non exprimé au début des essais covid) :

Les labos qui ont produit le vaccin anti-monkeypox considèrent que la vaccination des populations constituera un test clinique en grandeur réelle.

@jgalt485 27 juil. L’INFODÉMIE !

C’est la même étape que l’OMS a franchie en 2020 et 2021 lorsque l’OMS a affirmé que toutes les informations allant à l’encontre du récit faisaient partie d’une « infodémie » plus large.

« Peu de temps après que le monde a commencé à s’habituer aux termes coronavirus et COVID-19, l’OMS a inventé un autre mot : » infodémie « — une surabondance d’informations et la propagation rapide de nouvelles, d’images et de vidéos trompeuses ou fabriquées. Comme le virus est très contagieux et se développe de façon exponentielle. Cela complique également les efforts de réponse à la pandémie de COVID-19 », lit-on dans un article de 2020 intitulé « Immuniser le public contre la désinformation ».

Au cours de la pandémie, l’OMS a commencé à s’associer à des pays pour lutter contre « l’infodémie », ce qui, le plus souvent, signifiait censurer les personnes en ligne qui avaient de véritables inquiétudes ou essayaient de faire proliférer la vérité sur les effets indésirables à la suite de piqûres d’ARNm.

De telles réactions indésirables sont maintenant connues pour être un fait, et les responsables de la santé du monde entier ont commencé à avertir les gens de risques comme la myocardite post-vaccinale, que l’OMS a toujours écartée comme une théorie du complot ».

Et dans la ligne française d’obéissance aveugle aux diktats du couple OMS-Gates le nouveau ministre de la Santé se précipite pour ouvrir environ 100 centres de vax anti-monkeypox et déjà plus de 6 000 personnes ont reçu cette nouvelle drogue expérimentale ! [4][5][6]

@MouldeuxJean 25 juil.

« Je me demandais d’où sortent les 85 % d’efficacité selon DE “NOMBREUSE ÉTUDES” par l’OMS, Vidal, etc. Eh bien j’ai trouvé. D’une étude observationnelle menée en RD Congo en… 1988 avec un autre vax !
https://medium.com/microbial-instincts/effectiveness-of-monkeypox-vaccine-is-questionable-especially-when-the-virus-has-mutated-de6c9ad1c843 »

Les exploits de l’OMS en Afrique sont célèbres [7] mais ont rendu les Africains méfiant alors l’OMS et Bill Gates, ça continue, tentent de poursuivre leurs expériences sur les Européens…

NOUVELLE TENTATIVE DE L’OMS EN JUILLET 2022 DE FAIRE ACCEPTER UN AGENDA MONDIAL QUI FERAIT DU DIRECTEUR DE L’OMS LE ROI DU MONDE
Au service des mondialistes de Davos
Présentation de l’avant-projet de l’OMS présenté actuellement à Genève
(du 18 au 22 juillet) destiné à renforcer l’influence de l’OMS.
Tout le monde est concerné !

PDF de la transcription de la vidéo mise en page et 2 extraits de l’avant-projet de l’OMS, avec tous les liens !

Voir : 10-points-que-chacun-devrait-connaîtreTélécharger

Sous-titrage en français de la vidéo originale qui se trouve ici :

https://jamesroguski.substack.com/p/ten-things-everyone-needs-to-know

Un twittos fait remarquer justement :

« Leur stratégie est forte, ils attaquent au même moment sur plusieurs points éloignés de nos modèles de société, que si nous ne faisons pas les liens, on pourrait penser qu’il n’y a pas de relation dans la finalité de leurs monde, ils brisent mentalement plusieurs piliers… » 

Et curieusement le patron du conseil secret d’EM tente de reculer en douceur.

#Delfraissy « Le pouvoir sur le vaccin a été pris par les industriels » pour le prochain vaccin. Les #Big Pharma ont décidé une combinaison virus initial + Omicron « Je pense que sur le plan scientifique ce n’est pas une bonne chose »

« Delfraissy le prochain vaccin en octobre 2022 ne sera pas suffisant ! »

 Jean-François Delfraissy, se laisse aller à quelques confidences. Les « Big Pharma ont pris le pouvoir » . On sent que le médecin veut se refaire une virginité, il tourne doucement sa veste… 

MÊME SI LE COUP D’ÉTAT MONDIAL DE L’OMS NE SEMBLE PAS TRÈS BIEN PARTI, RESTONS EN ALERTE ROUGE

Les mondialistes internationaux ont décidé de rédiger un traité leur donnant essentiellement un pouvoir de loi martiale discrétionnaire partout.

Cliquer pour accéder à A75_18-fr.pdf

Mais la résistance se développe. L’Équateur avait le premier refusé. L’archevêque Vigano, donneur d’alerte récurrent contre la mafia tentaculaire du « Nouvel Ordre Mondial », a dénoncé ce traité, haute trahison de la part des politiciens qui l’entérineraient.[8][9][10] De nombreux sites ont alerté sur cette tentative de prise de pouvoir mondiale par l’OMS. Nous avions relayé l’appel de R Kennedy et « stop the treaty »[11]. Sans surprise, le Président français soutenait l’OMS et Gates.[12]

Dans un premier temps, nombre de pays avaient fait refuser le texte d’origine en l’état (notamment avec les amendements présentés par le Président américain).[13] Nombre de pays (47) manifestement refusent catégoriquement cette proposition mafieuse [14]: Brésil, plusieurs nations africaines, la Russie, la Chine, l’Afrique du Sud, l’Iran, la Malaisie…

Le futur empereur mondial n’a pas apprécié.[15] Mais manifestement le gotha des milliardaires et des vedettes d’Hollywood semblent prendre de la distance.[16]

FINANCEMENT DE L’OMS

Ceci explique cela. Les fondations donatrices (comme celle de Bill Gates) flèchent leurs dons qui doivent être utilisés selon leur volonté.

 

(Voir liens en bas de l'article sur le financement de Bill Gates)

 

Dans la foulée de sa volonté de dominer le monde, Tedros a essayé de modifier le financement de l’OMS. Un peu plus d’indépendance vis-à-vis de Gates ou Schwab lui conviendrait probablement. Très près des Chinois, on sait ou on subodore que ces mondialistes eugénistes sont d’accord pour dominer la plèbe, mais se mangeraient bien entre eux…

L’Assemblée mondiale de la santé a adopté un texte prévoyant de faire passer la partie du budget financée par les États membres de 16 % à 50 % d’ici à 2028, afin de renforcer le leadership de l’organisation onusienne.

« Il s’agit d’un tournant historique », a déclaré Tedros Ghebreyesus, directeur général de l’OMS. Le 24 mai 22, lors de l’Assemblée mondiale de la santé, les États membres de l’agence onusienne basée à Genève ont adopté une réforme du financement de l’organisation très attendue.

La partie du budget financée par les États membres devrait passer de 16 % à 50 % d’ici à 2028, ce qui devrait permettre à l’OMS de regagner une partie de son indépendance.

Cette réforme faisait partie des cinq priorités esquissées par Tedros « pour le monde et pour l’OMS » le 24 janvier : renforcer le rôle de l’OMS « au cœur de l’architecture de la santé mondiale », afin qu’elle devienne « plus efficace et efficiente ».

Depuis le mandat, entre 1998 et 2003, de Gro Harlem Brundtland à la tête de l’OMS, les fonds privés ont pris une place de plus en plus importante et déterminante dans le financement de l’agence.

Contributions volontaires

Résultat, seulement 16 % de l’exercice biennal 2022-2023 sont abondés par les contributions obligatoires des États membres, fixées d’année en année en fonction des ressources de chacun.

La réforme va permettre d’élever le niveau de ces contributions de 956,9 millions à 2,2 milliards de dollars d’ici à 2028. Le budget total actuel est de 6,1 milliards de dollars.

L’essentiel du budget (84 %) provient des contributions dites « volontaires ».Ces dernières peuvent venir d’États décidant de fournir plus d’argent que leurs contributions obligatoires ne les y obligent.

Le Royaume-Uni, notamment, fournissait 135 millions de contributions volontaires lors de l’exercice 2020-2021, en plus de sa contribution obligatoire de 49 millions, dépassant ainsi la participation chinoise. Ce supplément de cotisations permet de renforcer le jeu des influences au sein de l’organisation.

Parmi ces contributions volontaires, l’écrasante majorité (88 %) est issue de fonds privés strictement affectés à des programmes ou lieux géographiques spécifiques ; ils doivent également être dépensés dans un délai précis.

En 2020-2021, les programmes spéciaux, dont celui d’éradication de la poliomyélite financé par la Fondation Gates, totalisaient 757,6 millions de dollars, soit 13 % du budget total.

« Le recours excessif aux contributions volontaires (privées ou publiques) se traduit par une incapacité à fixer des priorités en fonction des priorités mondiales de santé publique, notait en janvier 2021 un article du South Centre,une organisation intergouvernementale de pays en développement basée à Genève.

Les États membres tentent de fixer des priorités, mais les fonds sont destinés à des questions spécifiques, sélectionnées par un petit nombre de donateurs qui jouent un rôle décisif dans la décision de l’organisation. »

Il s’agit donc bien de reconquérir un leadership affaibli par le poids des États à forte capacité d’investissement et par les intérêts privés des fondations qui abondent les comptes de l’OMS.

75 ONG, organisations philanthropiques et experts dans le domaine de la santé mondiale, dont Gavi, le Global Health Council ou encore Save the Children, ont publié une lettre appelant les États membres à saisir cette « occasion historique de renforcer et d’investir dans le rôle de l’OMS en tant que principale organisation intergouvernementale de la santé qui se consacre à la promotion de la santé et du bien-être de tous dans le monde ».

Augmenter les contributions obligatoires marque donc un grand pas dans l’histoire de l’OMS, mais encore faut-il les payer. Au 31 décembre 2020, près de 300 millions de dollars n’avaient pas été versés au compte de l’OMS, selon un rapport publié le 5 janvier. Les résolutions de l’OMS n’étant pas contraignantes, des experts se demandent comment l’organisation pourra obliger les États membres à augmenter leurs cotisations d’année en année.

ATTENTION, RESTONS EN ALERTE !

https://healthfreedomdefense.org/wfd/embed/#?secret=YLyGIj9tYQ#?secret=okLXz6JbVJ

Lettre ouverte concernant le nouveau traité pandémique international de l’OMS

Lettre ouverte sur le nouveau traité pandémique international de l’OMS

À la population;
Aux gouvernements, Présidents et Ministres de la santé, Parlements, Conseil de l’Europe, Commission Européenne;
Aux médias;
Aux organisations de la santé, telles que Swissmedic, OFSP, Fédération Suisse des Patients;
À l’OMS, par l’Assemblée mondiale de la santé, Dr Tedros Adhanom Ghebreysus, Dr Soumya Swaminathan;
Aux Nations Unies, par Antonio Guterres, Liu Zhenmin, Elliott Harris, Maria-Francesca Spatolisano.

Nous, médecins, soignants, professionnels de la santé, citoyens, déclarons notre désaccord face au nouveau traité pandémique international proposé par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), qui n’est autre qu’une mainmise sur les gouvernements et la population.

Cet accord mondial sur les futures pandémies octroierait à l’OMS des pouvoirs lui permettant de se substituer aux pouvoirs exécutifs des états membres, ceux-ci devenant de simples organes d’exécution.

Ce traité inutile constitue une menace pour la souveraineté des pays et les droits humains fondamentaux.

Il convient de relever que le Règlement Sanitaire International (RSI) fortement imprégné du respect des droits humains, adopté en 2005 par 196 pays, dont la Suisse, et entré en force en 2007 a justement pour objectif de répondre aux urgences pandémiques. Cependant ce dernier n’a pas été appliqué durant la crise covid, tout comme le plan pandémique établi par la Confédération Helvétique.

La définition d’une pandémie, selon l’OMS, a évolué ces dernières années, ainsi, jusqu’en 2009, elle était définie comme un événement caractérisé par une évolution grave de la maladie et une mortalité extrême. C’était donc la morbidité et la létalité qui conditionnaient une pandémie.

« Une pandémie survient lorsqu’un nouveau virus apparaît pour lequel la population humaine n’a aucune immunité, résultant aussi en de nombreuses épidémies simultanées dans le monde, avec d’énormes nombres de décès et de malades. »

En mai 2009, la définition a été révisée de manière à ne plus dépendre de la gravité de la maladie ni de la mortalité, mais uniquement d’une propagation mondiale de « cas de la maladie ». La dernière définition suppose des vagues récurrentes et différentes phases. Ainsi, chaque vague annuelle de grippe peut être déclarée « pandémique ».

Avec ce traité l’OMS pourrait alors déclarer opportunément des pandémies, (déclaration qui active de surcroît, les contrats avec les fabricants de vaccins), imposer des mesures déshumanisantes telles que des confinements, des traitements coûteux, dangereux et/ou inefficaces, des programmes de vaccination obligatoire, des régimes de test, imposer des interventions médicales, dicter toutes les pratiques de santé publique contre la volonté de la population et ce, même contre l’avis des gouvernements, qui par la validation du traité en ont accepté la valeur contraignante.

Force est de constater que l’OMS ne doit pas être autorisée à contrôler l’agenda mondial de la santé, ni à imposer des mesures allant à l’encontre des droits fondamentaux, tels que les confinements qu’elle a recommandés durant le chapitre covid-19, la suppression des traitements préventifs/précoces et l’encouragement à l’utilisation de produits expérimentaux en population large, ainsi que toutes les autres mesures qui ne se sont avérées ni sûres ni efficaces.

Les activités de l’OMS ne sont malheureusement pas effectuées en toute transparence et ceci est aggravé par l’existence des « comités d’urgence » secrets d’experts.

Pour rappel, l’OMS présente des conflits d’intérêts importants. Bien que bénéficiant de financements publics des États membres (impôts de la population…), elle reçoit également des fonds substantiels d’intérêts privés qui utilisent leurs contributions pour influencer et tirer profit des décisions et des mandats de l’OMS.

Ce nouveau traité pandémique menace gravement la souveraineté des États membres et les droits humains fondamentaux, c’est pourquoi nous, médecins, soignants, professionnels de la santé, citoyens, nous opposons avec force à la mise en œuvre d’un tel accord mondial.

Références:

EN CONCLUSION, NE LAISSONS PAS L’OMS NI DAVOS DIRIGER NOTRE MONDE

L’OMS et son directeur général voudraient être le bras armé des mondialistes de Davos, Schwab, Fauci, Gates et leurs affidés dont notre président, pour imposer sous des allures humanistes et désintéressées les terribles choix des eugénistes qui ont mis en musique le scénario covid. Ce dernier n’a pas réussi à 100 % et les dirigeants du monde voudraient compléter la mise au pas des peuples par de nouveaux films de peur, d’horreur et de moyens pervers comme des injections imposées via le crédit social.

Parallèlement Tedros tente-t-il comme Delfraissy de prendre ses distances avec Davos et Cie, devant l’échec manifeste des injections géniques expérimentales anti-covid et la rumeur de colère qui monte de partout dans le monde devant tant de drames et de morts liés à l’injection. Mais pourquoi vouloir recommencer avec le vaccin anti-variole du singe, le nouveau monkeypox ? Pris entre deux feux ? C’est la saison !

Ils ont oublié que nous sommes des milliards, mais même s’ils sont très riches, ils ne sont seulement que quelques milliers.

Soit l’ONU redevient une instance internationale indépendante et refuse l’entrisme de quelques pays occidentaux, soit il faut supprimer cette organisation et surtout ne pas être dupe de ses décisions exceptionnellement médicales et allant quasiment toujours dans le sens d’une dictature supranationale niant les peuples. Ce que de nombreux pays africains, asiatiques et américains du sud ont largement compris.

Informons, résistons pour sauver l’avenir de nos enfants.

Dr Nicole Delépine

Notes :

[1] En réponse à @jgalt485

«  Tedros, ancien ministre de la Santé dans l’ancien Empire totalitaire de Libye, promu à l’OMS en passant devant 2 autres candidats européens sur les injonctions de la Chine qui entretenait d’excellentes relations avec l’empire libyen en son temps ».

[2] Senta Depuydt : quand le directeur de l’OMS appelait à « embrasser des Chinois dans la rue » – Profession Gendarme (profession-gendarme.com) la journaliste est allée enquêter sur Tedros Ghebreyesus. Le personnage est particulièrement sulfureux. « Il a commencé sa carrière politique dans un groupe terroriste marxiste, le Front de libération du peuple du Tigray dans les années 1970 », découvre-t-elle. « Un groupe qui a fait des attaques à main armée, des enlèvements… », rapporte-t-elle. Un groupe qui aura pris le pouvoir en 1991 et « qui domine toujours depuis ». De plus, le directeur de l’OMS est « le premier à ne pas être médecin ». Il était surtout « le ministre de la Santé de 2005 à 2012 en Éthiopie ».

[3] Tedros Adhanom Ghebreyesus : l’OMS est-elle dirigée par un terroriste ? — Childrens’ Health Defense Europe (childrenshealthdefense.eu) «  En quelques semaines, le sort de la planète entière semble avoir été placé sous le commandement de l’Organisation mondiale de la santé et de son leader, Tedros Gherbreyesus. Mais au cours des derniers jours, sa gestion de la crise des coronavirus et ses relations avec la Chine ont mis le président de l’organisation sous le feu des projecteurs, beaucoup appelant à sa démission. Alors, qui est cet homme qui a soi-disant notre destin entre ses mains ? »

[4] IMVAMUNE® Smallpox Vaccine in Adult Healthcare Personnel at Risk for Monkeypox in the Democratic Republic of the Congo—Full Text View—ClinicalTrials.gov

[5] Official Title: An Open-Label Prospective Cohort Study of IMVAMUNE® Smallpox Vaccine in Adult Healthcare Personnel at Risk for Monkeypox in the Democratic Republic of the Congo
Actual Study Start Date : February 23, 2017
Estimated Primary Completion Date : August 2022
Estimated Study Completion Date : August 2022
IMVAMUNE
Two doses of attenuated live virus smallpox vaccine (IMVAMUNE liquid formulation or lyophilized formulation) administered on days 0 and 28 via subcutaneous injection (deltoid) (1 x 108 Tissue Culture Infectious Dose 50 [TCID50] per 0.5 ml) Other Names: Modified Vaccinia Ankara (MVA) MVA-BN
JYNNEOS
IMVANEX

[6] Petersen BW, Kabamba J, McCollum AM, Lushima RS, Wemakoy EO, Muyembe Tamfum JJ, Nguete B, Hughes CM, Monroe BP, Reynolds MG. Vaccinating against monkeypox in the Democratic Republic of the Congo. Antiviral Res. 2019 Feb;162:171-177. doi: 10.1016/j.antiviral.2018.11.004. Epub 2018 Nov 14. Review.

[7] @RomanAude l’épidémie de polio survenue en Inde en 2007 2008 révèle selon les propres données de l’OMS que 77 % des gens touchés avaient reçu + de 7 doses de vaccin oral soi-disant le +efficace et 18 % avaient reçu 4 doses ou + ce qui porte le nbre de gens touchés pourtant archi vax à 95 %.

[8] https://guyboulianne.com/2022/05/30/larcheveque-vigano-met-en-garde-les-nations-contre-la-prise-de-pouvoir-du-traite-pandemique-de-loms-ceder-a-la-souverainete-est-considere-comme-un-crime-de-haute-trahison/

[9] https://www.thegatewaypundit.com/2022/05/exclusive-yielding-sovereignty-considered-crime-high-treason-archbishop-vigano-nation-states-handing-sovereignty/

[10] D’autres aussi :
https://www.francesoir.fr/societe-sante/traite-international-oms-prevention-pandemies-des-chercheurs-sonnent-lalerte
https://www.onenation.org.au/australias-secretive-and-unaccountable

[11] Stop au coup d’État de l’OMS contre la démocratie ! — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)
#StopTheTreaty. World Freedom Declaration—Health Freedom Defense Fund
Déclaration d’opposition aux modifications apportées par l’OMS au Règlement sanitaire international — Health Freedom Defense Fund

[12] https://www.profession-gendarme.com/emmanuel-macron-donne-les-pleins-pouvoirs-a-loms-pour-la-sante-des-francais-lors-des-pandemies/comment-page-2/

[13] https://qactus.fr/2022/05/29/oms-120-pays-sur-179-auraient-refuse-le-texte-loms-a-retire-12-des-13-articles-mais-saccroche-au-dernier-qui-modifie-leur-constitution/
https://leve-toi.com/oms-120-pays-sur-179-auraient-refuse-le-texte-loms-a-retire-12-des-13-articles-mais-saccroche-au-dernier-qui-modifie-leur-constitution/
https://www.thegatewaypundit.com/2022/05/world-health-organization-temporarily-withdraws-bidens-public-health-emegency-amendments/

[14] https://www.onenation.org.au/who-forced-into-humiliating-backdown

[15] https://www.naturalnews.com/2022-05-27-schwab-threatens-bolsonaro-refusing-sign-pandemic-treaty.html

[16] https://www.business-standard.com/article/international/davos-forum-is-back-after-2-yrs-with-less-billionaire-starpower-and-no-snow-122052300374_1.html

[17] Par Delphine Roucaute Publié le 24 mai 2022.

La source originale de cet article est nouveau-monde.ca

Copyright © Dre Nicole Delépinenouveau-monde.ca, 2022

 Nicole Delépine

Pédiatre, cancérologue, ancienne chef de service de cancérologie pédiatrique à l’hôpital R Poincaré Garches APHP France Site http://www.docteurnicoledelepine.fr et site ametist.org pour la défense des enfants atteints de cancer

(Source : Riposte laïque)

Source : louyehi.wordpress.com

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4 août 2022 4 04 /08 /août /2022 17:36
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2 août 2022 2 02 /08 /août /2022 18:59

Delfraissy avoue enfin : « Ce n’est pas le bon vaccin ! Il ne protège pas contre l’infection et la contagion »

 

C'est officiel : vous vous êtes fait emplumés en beauté, le temps est au revirement, ça sent le gaz ;  bientôt des procès mais aussi des petits meurtres entre amis corrompus ! Du grand spectacle nous attends !

 

Oui mais ces vaccins s'ils ne servaient à rien étaient ils dangereux, et ç'est bien là que le bât blesse !

 

On s'en inquiète déjà dans le Sud de l'Europe, qui sur un autre plan, celui énergétique cette fois refuse les diktats de L'Europe de Mme. Von der Leyen, grande amie de M. Bourlat PDG de PFIZER !

 

 

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Avant le clap de fin du Conseil scientifique fin juillet, son président Jean-François Delfraissy, se laisse aller à quelques confidences et pas des moindres. En effet il dit avoir été instrumentalisé : « On a pu être instrumentalisés par nous-mêmes, par vous, les médias, qui avez porté l’idée d’un troisième pouvoir médical, et par le politique lui-même. » On sent que le médecin veut se refaire une virginité et renvoyer la responsabilité au gouvernement, après avoir collaboré pendant ces deux dernières années.


Mais le plus incroyable vient de ce débat organisé par La Veille Acteurs de santé dans son émission Les Contrepoints de la Santé (voir vidéo ci-dessous) où le Pr Delfraissy nous explique le plus tranquillement du monde, qu’en fin de compte, « Les vaccins actuels ont une efficacité confirmé sur la protection de formes graves [NDLR, chez les personnes avec des comorbidités], par contre ils protègent peu contre l’infection et la contagion. C’est assez contradictoire dans une certaine mesure, je l’admets, y compris pour les médecins et évidemment pour les citoyens. Je crois qu’il vaut mieux le reconnaître, simplement. On n’a pas le bon vaccin. »

Et que nous annonce le président du Conseil scientifique ? Que l’on aura de nouveaux vaccins au mois d’octobre 2022. « Alors, on va avoir de nouveaux vaccins qui ont comme objectif plutôt non pas la contagiosité mais d’être actifs contre des variants qui seraient plus transmissibles et en particulier contre la série des “Omicron” [NDLR : qui sont inoffensifs pour 99,9% de la population]. Donc on aura des nouveaux vaccins au mois d’octobre. On a les premiers résultats qui existent à la fois chez Moderna et Pfizer et qui montrent que ces vaccins qui sont des combinaisons du virus initial plus de la souche Omicron et du Variant BA.1. Le premier montre qu’il y a une protection qui est accrue contre les Omicron en général et contre contre BA.5, c’est-à-dire le variant actuel. Maintenant, est-ce que ces vaccins sont suffisants ? Non, ces vaccins ne protégeront pas bien contre l’infection et contre la transmission. »

Conclusion : Delfraissy se refait une santé sur le dos de ses patrons, admet qu’en fin de compte que le vaccin injecté à des millions de Français n’est pas le bon, qu’il ne protège pas contre la transmission et la contagion. Malgré ces nouvelles alarmantes, il nous annonce en guest-star, l’arrivée d’un vaccin qui ne protègera pas de l’infection ou de la transmission et fabriqué par l’un des plus gros repris de justice de la planète, le champion Pfizer qui cumule 75 condamnations et 10 milliards $ d’amendes. Vous êtes en de bonnes mains ! Donc ne vous inquiétez pas, faites-vous vacciner, ayez confiance, les prochains fonctionneront, promis !

À sa décharge le prudent M. Delfraissy a évité, selon ses termes, de « se mouiller ». En effet, il n’a évoqué que très rapidement ce qui lui semble pourtant des vaccins efficaces : « Il faut autre chose. Il faut un nouveau mécanisme d’action vaccinale et en particulier des vaccins à visée muqueuse. » Pourquoi ne pas avoir insisté sur ces vaccins faciles à administrer (par le nez) ? Est-ce parce qu’ils ne seront commercialisés qu’en 2023 ou bien parce qu’ils sont français ?

Le Média en 4-4-2.

 

 

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Delfraissy : « Le “Zéro Covid” est un échec total. Ce sont les médias qui poussent à ça. Il faut vivre avec le virus ! »
 

Après nous avoir dit la vérité sur le vaccin — « Ce n’est pas le bon vaccin ! Il ne protège pas contre l’infection et la contagion » —, Jean-François Delfraissy assure (voir vidéo ci-dessous) que la stratégie du « Zéro covid » était une erreur. « C‘est un échec total, mais total, il faut le dire ! Il faut arrêter de laisser dire tout et n’importe quoi. C’est un échec total en terme de mortalité, morbidité, d’accès aux droits humains… il faut arrêter, il faut redevenir raisonnable… »

 

Si le président du Conseil scientifique, pendant ces deux dernières années, savait que c’était une voie sans issue, pourquoi n’a-t-il rien dit ? À cette question, le médecin Delfraissy a trouvé son coupable : « Ce sont les médias qui poussent à ça. Moi je m’oppose formellement à ça pour dire que le “Zéro covid” ce n’était pas la solution ; que d’emblée, il fallait dire il y a dix-huit mois : on va vivre avec le variant […] c’était une solution qui était réaliste dans nos pays européens. Sur les grandes directions, ne nous trompons pas quand même. Il faut arrêter un moment donné. »

Voilà. Les Français seront ravis d’apprendre — par la bouche du président du Conseil scientifique covid-19 qui tire sa révérence le 31 juillet — qu’ils se sont fait vacciner pour rien, confiner pour rien, menacer de perdre leur travail pour rien. Que cela a duré dix-huit mois et qu’il fallait simplement vivre avec. C’est, dans les grandes lignes, le discours des complotistes de la première heure, dont Le Média en 4-4-2.

 

 

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