Ce médecin australien raconte les pressions qu'il a subies et demande pardon pour ne pas avoir signalé les effets indésirables des injections : "Je donnais plus d'importance à mon travail, à ma famille, à ma sécurité et à mes finances qu'à mes patients"
— JDLM (@NicolasPichot6) August 8, 2022
pic.twitter.com/lRxI5GzyM0
Nous assistons à des revirements très importants dans la politique vaccinale sur le Covid sur ces deux ans, notamment par les dirigeants même des Instances conseillères au niveau de l'Etat. En effet ç'est au plan européen que l'affaire se joue notamment au niveau des tribunaux Italiens et Espagnol.
Il est de plus difficile de dissimuler les effets secondaires des vaccins sur une large part de la population ; et quand le doute s'installe !
La voie de la Justice est donc prise et cela va démontrer le haut niveau de corruption, notamment au plan Européen avec Mme. Von der Leyen Cela ne serait pas fait sans l'aval des chefs d'Etats mais aussi l'assentiment d'une large part du représentatif de ces derniers, sans éluder bien sûr les corps professionnels concernés.
Donc le navire coule sur fonds de crise financière et économique, résultant d'une avidité sans fin des acteurs de ces milieux.
L'histoire de la vaccination Covid, puis les nouvelles, la crise énergétique due à la guerre en Ukraine ne sont que des subterfuges pour créer des ressources financières pour un modèle en fin de course, car ç'est le cas ; ne vous leurrez pas.
Tout cela va se savoir, car tout cela est lié par les intérêts, les financements des financeurs aux financés en passant par les intermédiaires et les multiples bénéficiaires, et gare au retour de bâton qui sera foudroyant !
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Charles Gave :
"Trois possibilités aujourd'hui quand on analyse la France:
1/ Nous sommes gouvernés par des imbéciles
2/ Ils ont un agenda caché que l'on ne comprend pas,
3/ Ce sont des crapules qui nous volent."
— Messori Jean-claude (@JCMessori) August 4, 2022
En tout cas je vote pour les trois !
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— Laurent Mucchielli (@LMucchielli) August 2, 2022
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Jean-François Delfraissy, président du Conseil scientifique [1], devenu complotiste, serait-il inquiet ?
« @codePS17 « Le bal des morts de trouille !! Ah ça voulait piquer tout le monde de gré ou de force et maintenant ils ont le trouillomètre à zéro de peur de se retrouver derrière les barreaux pour très longtemps »
« IL FAUT ARRÊTER DE DIRE ET RACONTER TOUT ET N’IMPORTE QUOI » dit JF. Delfraissy résumant l’action du Conseil scientifique
« UN ÉCHEC TOTAL, IL FAUT LE DIRE, en termes de mortalité, de morbidité et d’accès aux droits humains. Zéro covid n’était pas la solution. Ce sont les médias qui poussent à cela. Il faut à un moment donné redevenir raisonnables, les Français l’ont compris ».
« LE DOUBLE AVEU DU Pr DELFRAISSY : Soulageant sa conscience, il dénonce en fait la DOUBLE SOUMISSION révélée par la covid-19, celle des États occidentaux à Big Pharma, celle de la classe dirigeante à la toute-puissance des médias, qui imposent leurs vues par intimidation et censure. »
ET sur la variole du singe
@MaxDelvallee : DELFRAISSY sur la variole du singe : « Elle est beaucoup mise en avant parce que les médias ne veulent pas rater le début d’une éventuelle nouvelle crise (…). Je ne crois pas à la gravité et à l’existence d’une pandémie de ce type. (…) C’est une maladie peu sévère dans 99 % des cas. »
LE PARCOURS DÉPLORABLE DE JF. DELFRAISSY ET DU CONSEIL DIT SCIENTIFIQUE
Dès mars 2020 nous avons dénoncé les mesures prétendument sanitaires (confinement et autres privations de liberté), comme inefficaces car contraires à la vérité scientifique [2] [3] [4] [5], les tests PCR chez les asymptomatiques comme une arnaque sans intérêt médical uniquement destinée à faire croire à des poussées de l’épidémie [6] et l’objectif officiel du zéro covid comme un mirage de la propagande marchande provax.
Depuis la mise sur le marché des pseudo-vaccins et la propagande forcenée que martèlent les médias pour nous les imposer, nous répétons que les injections anti-covid ne sont pas des vaccins mais des médicaments, qu’elles sont totalement expérimentales et issues d’une technique jusqu’alors jamais utilisée en infectiologie, qu’elles ne protègent ni de la maladie, ni des transmissions, ni des formes graves, ni de la mort.
Ces constatations scientifiques des faits publiés par l’OMS ont été constamment traitées de fake news par de pseudo- journalistes peu scrupuleux qui nous qualifient de complotistes [7] en suggérant même que nous serions d’extrême droite, voire antisémites pour nous diffamer. Malheureusement pour ces mercenaires de la désinformation, la vérité est têtue et ce que nous proclamons depuis près de deux ans et demi est progressivement confirmé et reconnu même par les anciens avocats des mesures sanitaires dès qu’ils quittent le monde imaginaire des simulations biaisées pour examiner le monde réel…
Un très bel exemple d’un retour très tardif au monde réel est celui de JF Delfraissy [8].
Confinement déclaré indispensable puis reconnu dévastateur
Début 2020 Jean-François Delfraissy avait prétendu que le confinement était indispensable malgré ses doutes qu’il a récemment confié au Parisien : « Mais qu’est-ce qu’on a fait ? [9] », avant de se rassurer rapidement : « Plusieurs autres membres du Conseil scientifique doutaient, eux aussi, et on s’est remonté le moral, se répétant qu’on n’avait pas d’autre choix. ». Attitude vraiment incroyable d’un prétendu scientifique censé analyser la balance avantage/risques d’une mesure avant de la conseiller.
Un an plus tard, malgré le bilan catastrophique avéré du premier confinement [10], il récidivait avec Denis Malvy et Karine Lacombe, plaidant pour une nouvelle astreinte à résidence de la population « e confinement apparaît vraiment irrémédiable. » !
Mais l’inefficacité sanitaire et les conséquences dramatiques des confinements ont depuis été largement démontrées par tous les scientifiques indépendants des gouvernements et des organismes qui les ont imposés [11] [12] [13] [14] [15].
En février 2021 dans une lettre au Lancet [16], J. Delfraissy reconnaissait enfin, avec 5 autres membres du Conseil scientifique, que le confinement avait été nocif et qu’il fallait changer de politique : « il est temps d’abandonner les approches fondées sur la peur, fondées sur un confinement généralisé apparemment aléatoire ».« L’impact de l’enfermement général sur des économies entières a été dévastateur, le pire à venir étant le taux de chômage et la dette nationale. » « Les conséquences sociales et sanitaires (y compris la santé mentale) sont également colossales, en particulier pour les jeunes générations, bien qu’elles soient à faible risque en termes de morbidité et de mortalité par infection par le SRAS-CoV-2. »
Alors pourquoi a-t-il conseillé le premier confinement et persisté ensuite dans l’erreur plusieurs fois ?
Le scandale des passes inefficaces et discriminatoires
Le Conseil scientifique et son président ont présenté les passes comme des mesures permettant de retrouver les libertés sans risque alors qu’ils ne constituaient que des chantages aux libertés pour forcer à l’injection les gens qui n’en avaient aucun besoin.
Lors de son audition au Sénat, à la question : « Est-ce que le passe protège réellement ? La réponse de J. Delfraissy a été : « non ».
Ce que confirme l’explosion des contaminations après leur instauration :
Alors pourquoi ont-ils menti aux Français en prétendant le contraire ?
@dreslincourt 31 juil.
Dans le Parisien, le Pr Delfraissy reconnaît un traitement « inhumain » de nos anciens en Ehpad pendant le covid, et une mainmise des labos sur les stratégies vaccinales ! Quand nous informions les Français de ces choses, la presse nous qualifiait de « complotistes » ! Des excuses ?
Le mirage du “Zéro Covid” reconnu un « échec total. »
Pendant près de deux ans le Conseil scientifique a fait croire que les mesures sanitaires et la vaccination allaient éradiquer le virus selon la stratégie du zéro covid inventée par les Chinois. Ils nous ont promis qu’on obtiendrait l’immunité collective après la vaccination de 60 % des Français, puis de 70 %, puis de 90 %. Mais tous les pays (sauf la Chine) qui nous avaient précédés dans cette stratégie ont reconnu qu’il s’agissait d’un mirage impossible à atteindre dans le monde réel.
Mais après deux ans d’atteintes majeures à nos libertés fondamentales cautionnées par son comité prétendument scientifique J. Delfraissy avoue : « Le “Zéro Covid” est un échec total… Il faut vivre avec le virus ! » [17]
Cette stratégie n’a jamais permis d’éradiquer une épidémie avec réservoir animalier connu comme l’est le covid. Alors pourquoi l’a-t-il conseillée sinon pour vendre des prétendus vaccins ?
Les « vaccins sûrs et efficaces » devenus des « vax médicaments inefficaces »
Le Comité scientifique et son président ont validé tous les mensonges de Pfizer comme celui d’appeler vaccin un médicament expérimental ne contenant aucun antigène et celui « d’une efficacité de 95 % » pour inciter la population à se faire injecter. Plus tard, alors que l’échec contre la diffusion virale devenait évident, ils ont persisté. « Les vaccins sont efficaces contre le variant delta, si l’on a eu deux injections. Il faut se faire vacciner » et quelques mois plus tard ils ont persévéré en prétendant « le vaccin est toujours efficace contre le covid-19 (…) s’il a été administré trois fois ».
Encore plus choquantes ont été les déclarations de Delfraissy à Sciences-Po Lille conseillant la vaccination des plus jeunes qui ne risquent rien du covid et celle poussant à la vaccination des femmes enceintes, hérésie scientifique jusqu’ici toujours contre-indiquée.
Ce n’est qu’après la fin annoncée de son Comité anti-scientifique que J. Delfraissy avoue « Ce n’est pas le bon vaccin ! Il ne protège pas contre l’infection et la contagion ».
Alors pourquoi ne s’excuse-t-il pas d’avoir menti pendant au moins dix-huit mois et des complications et des morts que ces médicaments expérimentaux ont causé ?
Le Pr. Delfraissy a été en pointe dans la propagande alarmiste et les décisions portant atteinte à nos libertés fondamentales en leur donnant un alibi scientifique mensonger. Il a bafoué et décrédibilisé la science en trompant les Français pour qu’ils supportent l’inacceptable.
Espère-t-il par ces aveux se faire pardonner ?
Faute avouée est à demi pardonnée dit-on. Mais JF Delfraissy n’a avoué que la moitié de ses fautes. En particulier il n’a dénoncé ni l’inefficacité ni la toxicité des masques ni l’absence de toute justification scientifique des obligations vaccinales imposées aux soignants et pompiers ni l’ignominie des mesures sociales qui ont été imposées aux vaccino- prudents. Espérons qu’il complétera bientôt sa confession.
@Phil_7338
« Il sera jugé. Je ne lui pardonnerai jamais, port du #masque obligatoire pour nos enfants petits enfants quasiment H24. Ni les #Confinement #CouvreFeu 21h 19h 18h…ni les #Attestations débiles ni les 1km,10km…#dérogations #tests gratuits, payants, 72h…24h #coronacircus »
Et à propos des mails échangés avec Fauci pour supprimer le traitement précoce HCQ, belle réussite pourtant Pr Delfraissy ! Ces aveux sont pitoyables après avoir conseillé les inconcevables lock-down, masques, couvre-feux, suspensions et injections. »
@verity_france Covid-19 : Jean-François Delfraissy a des « regrets » dans la gestion de la pandémie qui n’est « pas terminée »/ si c’est un honnête homme il dira tout devant un juge pour expliquer les pressions, et détailler l’instrumentalisation dont il a fait l’objet
« SCIENCE SANS CONSCIENCE N’EST QUE RUINE DE L’ÂME » (Pantagruel, RABELAIS)
Il reconnaît enfin que ce sont les compagnies pharmaceutiques qui ont tout pouvoir sur les décisions prétendument scientifiques en rapport à ces pseudo-vaccins. Mais pourquoi ne l’a-t-il pas dénoncé plus tôt et démissionné du Conseil scientifique comme l’a fait très rapidement le Pr D. Raoult ?
Le ministre proclame son désir de transparence. Pour nous en convaincre, il faudrait qu’il fasse lever le secret défense ubuesque qui pèse sur les 300 réunions et les 80 avis ou notes rédigés en deux ans et quatre mois par ce Comité scientifique pour que chacun puisse en faire l’analyse.
À défaut, l’opposition parlementaire devrait l’exiger car qui peut croire que la divulgation de ces documents jusqu’à présent classés secret défense [18] puisse renforcer la virulence du Sars-CoV-2 ?
Les covidistes passent (tardivement) aux aveux ! – YouTube
Au passage, il pourrait rappeler qui nomme le collège des experts de la HAS soi-disant indépendante et qui maintient la suspension des soignants et pompiers non vaccinés ? les mêmes politiques trop proches de Big Pharma.
Quelques commentaires sur Twitter
@EdBernardelli « Il est plus facile de tromper les gens que de leur faire admettre qu’ils ont été trompés » M. Twain En ce 1er août, le passe et l’état d’urgence sont arrêtés. Stop aux manipulations ! Le combat continue pour réintégrer les soignants suspendus et éveiller les consciences !
@UnionPierre 31 O7 22
Des soignants Covid peuvent travailler alors que des soignants en bonne santé ne le peuvent pas, c’est tellement absurde! Nous demandons la réintégration immédiate avec des excuses! Soutenez notre collectif, suivez-nous #JusticePourLesSuspendus #SoignantsSuspendus
@Sarah41659531 30 juil.
Le 1er août tous les Français pourront reprendre une vie normale sans PASSE à l’intérieur des frontières SAUF les soignants suspendus qui resteront » punis » (expression de @PatrickPelloux) et sans revenus pour se nourrir et nourrir leurs familles. » Pays des droits de l’homme »
@LucileFievet
26 juil. Important et assez urgent Très Sérieux Pour les soignants et agents toujours suspendus au 1er août 2022
Selon l’avis de juristes, il est possible de considérer que l’obligation vaccinale prend fin au 31 juillet 2022, avec la fin de l’état d’urgence.
Piste à explorer d’urgence !
La démocratie nécessite une information impartiale relayant les faits et des commentaires honnêtes. Durant ces deux ans et demi, elle ne l’a pas jamais été. Le rôle particulièrement nocif des propagandistes de la désinformation, proclamés « fact-checkers », doit être souligné et on espère que les violations permanentes de l’éthique journalistique dont ils ont fait preuve en ne donnant jamais la parole aux personnes qu’ils accusaient ternira à jamais leur CV.
Nous avons gagné une grosse bataille avec la suppression du passe par le vote de l’assemblée (E. Macron avait prévu la prolongation de la loi d’urgence jusqu’en 2023), mais le combat doit se poursuivre par la suppression de l’obligation vaccinale des soignants et pompiers dans les faits, la suppression des tentatives de détournement de la loi votée par des arrêtes autorisant que l’Assistance Publique de Paris, des cliniques, pharmacies ou autres imposent le port du masque ou un passe alors qu’il est maintenant non seulement démontré par les faits établis, mais aussi reconnu par la quasi-totalité de leurs anciens avocats que ces mesures n’ont eu aucun effet démontré contre l’infection…
RÉAGISSONS PAR DES PLAINTES SUCCESSIVES À CES DÉTOURNEMENTS
@Steiner61421320 Il est temps de remplacer les vigiles à l’entrée des hôpitaux par des soignants et en priorité les soignants suspendus (en les dédommageant) ! #JusticePourLesSuspendus #PassSanitaire
@DIVIZIO1
- 6h
Ça commence : ce matin déjà des vigiles ont réclamé le passe à l’entrée d’une clinique ! Ça c’est cependant très bien passé en ce qu’alertés, ils ont appelé la direction qui leur a confirmé ne pas avoir à contrôler. Mais du coup : ils servent à quoi ? Ils sont payés pour quoi ?
Gérard Delépine
[1] Conseil qui disparaît ce 31 juillet 22 en même temps que la loi d’urgence.
[2] Delépine « Confinement, mesure sanitaire ou politique ? » Agoravox samedi 21 mars 2020 https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/confinement-mesure-sanitaire-ou-222478
[3] Nicole Delépine, Gérard Delépine Autopsie d’un confinement aveugle Édition Fauves septembre 2020 https://docteur.nicoledelepine.fr/autopsie-dun-confinement-aveugle/
[4]Delépine « Ce n’est pas de confinement généralisé que la France a besoin, mais de liberté, de masques et de chloroquine » Agoravox » https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/ce-n-est-pas-de-confinement-222712
[5] https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/confinement-cette-mesure-d-223105
[6] Vers le faire-part de décès des tests PCR https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/vers-le-faire-part-de-deces-des-tests-pcr
[7] Le Collectif citoyen Quand la démocratie devient un complot https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/quand-la-democratie-devient-un-complot
[8] Jean-François Delfraissy, né le 19 mai 1948 à Paris, est un médecin et professeur de médecine français, spécialisé dans l’immunologie.
Il est nommé président du Comité consultatif national d’éthique en 2016. Il prend en 2020 la présidence du Conseil scientifique covid-19, institué par le ministre Olivier Véran pour conseiller le gouvernement dans la lutte contre la pandémie de covid-19.
[9] Capture BFM TV
« Mais qu’est-ce qu’on a fait ? » : Jean-François Delfraissy sans filtre sur la gestion de la covid-19 Capture BFM TV
[10] Le confinement, tout ce que l’on ne vous a pas dit : aberration humaine, sanitaire, économique https://www.francesoir.fr/societe-sante/le-confinement-tout-ce-que-lon-ne-vous-pas-dit-aberration-humaine-sanitaire
[11] https://ripostelaique.com/il-faut-mettre-fin-immediatement-a-ce-confinement-mortifere-pour-le-pays.html
[12] Surjit S BhallaLockdowns and Closures vs COVID – 19: COVID WinsNov 1, 2020 https://www.semanticscholar.org/paper/Lockdowns-and-Closures-vs-COVID-%E2%80%93-19%3A-COVID-Wins-Bhalla/95aeeff82b572458ce69ca46b0b44118206a901b
[13] Thomas Meunier Full lockdown policies in Western Europe countries have no evident
impacts on the COVID-19 epidemic. https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.04.24.20078717v1.full.pdf
[14] Jonas Herby, Lars Jonung, and Steve H. Hanke A LITERATURE REVIEW AND META-ANALYSIS OF THE EFFECTS OF LOCKDOWNS ONCOVID-19 MORTALITY SAE./No.200/January 2022 https://sites.krieger.jhu.edu/iae/files/2022/01/A-Literature-Review-and-Meta-Analysis-of-the-Effects-of-Lockdowns-on-COVID-19-Mortality.pdf
[15] Bendavid E, Oh C, Bhattacharya J, Ioannidis JPA. Assessing mandatory stay-at-home and business closure effects on the spread of COVID-19. Eur J Clin Invest. 2021 Apr;51(4):e13484. doi: 10.1111/eci.13484. Epub 2021 Feb 1. PMID: 33400268; PMCID: PMC7883103. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33400268/
[16] Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin Jean-François Delfraissy Denis Malvy Immune evasion means we need a new COVID-19 social contract The Lancet :2021 February 18,
https://www.thelancet.com/journals/lanpub/article/PIIS2468-2667(21)00036-0/fulltext
[17] https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/mais-qu-est-ce-qu-on-a-fait-jean-fran%C3%A7ois-delfraissy-sans-filtre-sur-la-gestion-de-la-covid-19/ar-AA1086Uu
[18] Le secret défense a été créé pour protéger les informations militaires ou diplomatiques nécessaires à la sécurité militaire du pays. On ne comprend pas en quoi cela s’est appliqué à un virus, pas plus que le nouveau « commando » que veut mettre en place le ministre Braun.
Source : Riposte Laïque
Lire également sur le même sujet : ns2017 – Jean-François Delfraissy, président du Conseil scientifique de Emmanuel Macron, serait-il devenu complotiste ?
Fabrice Di Vizio dézingue Jean-François Delfraissy après ses soi-disant «regrets» dans Le Parisien : «Vous êtes responsable de tragédies innombrables et affreuses!» (Vidéo complète) https://t.co/AgQ6pGF0y3
— Dissident Officiel (@do_officiel) August 5, 2022
…
Jean François delfraissy se demande : qu’a t’on fait ? Je l’aide à répondre à cette question ! pic.twitter.com/arbs1i2HN0
— Fabrice Di Vizio (@DIVIZIO1) August 4, 2022
Le ministre de la Santé allemand Karl Lauterbach vient de recommander une quatrième dose de vaccin contre le Sars-CoV-2, pour les moins de 60. Un avis que ne partage pas Thomas Mertens, chef de la Commission permanente des vaccinations (la Stiko). Ce n’est pas la première fois que Karl Lauterbach doit faire face aux désaccords de Thomas Mertens, désormais connu pour son franc-parler.
L’Allemagne, comme l’ensemble des pays européens, fait face à une nouvelle vague de coronavirus. Cette fois, ce sont les sous-variants d’Omicron, les BA4 et BA5 qui sont à l’origine de la nouvelle épidémie. Si le variant n’est pas très létal, il est très contagieux. Selon l'Institut Robert Koch (RKI), l'incidence ne cesse de croître et les experts estiment depuis un certain temps qu'il existe un nombre élevé de cas non recensés par le RKI, notamment parce que toutes les personnes infectées ne font pas un test PCR. Seuls les tests PCR positifs sont comptabilisés dans les statistiques. De plus, des déclarations tardives ou des problèmes de transmission peuvent entraîner une distorsion de certaines valeurs quotidiennes.
Les autorités sanitaires allemandes ont-elles une stratégie claire en matière de politique vaccinale contre le Sars-CoV-2 ? La quatrième dose de rappel pourrait bien être celle de la discorde entre l’exécutif et une partie de la communauté scientifique. En effet, dans ce contexte de reprise épidémique, le ministre de la Santé, Karl Lauterbach, s’est prononcé en faveur d'une quatrième vaccination pour les moins de 60 ans. Selon lui, ce nouveau rappel permettrait de réduire le risque d’infection et de covid long pendant quelques mois. Néanmoins, il estime que la décision doit se faire en concertation avec le médecin de famille compétent, comme le rapporte le Spiegel.
« Si une personne veut profiter de l'été et ne pas prendre le risque de tomber malade, je recommanderais alors la vaccination aux plus jeunes, en accord avec le médecin de famille. On a alors tout simplement une tout autre sécurité », a-t-il déclaré.
À la suite de ces déclarations, Thomas Mertens, président de la Commission permanente des vaccinations (la Stiko), n'a pas tardé à réagir pour faire connaître ses désaccords avec le ministre. Il a justifié sa position en expliquant ne pas disposer de données qui justifient une quatrième dose pour les personnes plus jeunes.
« Je pense qu'il est mauvais de faire des recommandations médicales selon la devise "beaucoup aide beaucoup" (Viel hilft viel) » a-t-il déclaré.
Jusqu’à présent, la Stiko recommande le second rappel uniquement pour les personnes de 70 ans et plus et les personnes qui présentent des comorbidités.
Au niveau européen, le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC) et l'Agence européenne des médicaments (EMA) ont fait connaître leur position ; elles ont estimé qu’il était judicieux de permettre à toutes les personnes de 60 ans et plus, ainsi qu’aux personnes ayant été malades ou ayant des comorbidités, de recevoir un nouveau vaccin de rappel contre le Sars-CoV-2.
Après les recommandations des agences européennes, Karl Lauterbach a laissé entendre que la Commission permanente des vaccinations se rangerait à l’avis des agences européennes. « Je suis presque certain que la Stiko fera de même » avait-il déclaré tout en certifiant qu’après cette quatrième dose, il serait encore possible de prendre un vaccin spécifiquement adapté à Omicron.
Interrogé sur la mission de la Stiko, le ministre de la Santé a critiqué le travail général de cet organisme. À la question de savoir si la Commission avait besoin d’un nouveau chef, il n’a pas répondu directement, mais a appelé à réfléchir à la manière de dynamiser le travail de la Stiko. Il est vrai que ce n’est pas la première fois que Karl Lauterbach et Thomas Mertens ont des vues divergentes en matière de politique vaccinale. À l’automne dernier, à propos de la vaccination des enfants avec le vaccin pédiatrique de Pfizer/ Biontech, le plus grand expert de la vaccination en l’Allemagne avait ébranlé la confiance dans la stratégie vaccinale du gouvernement en déclarant qu’il ne ferait pas vacciner son enfant.
Les laboratoires Pfizer et Moderna ont annoncé il y a peu la mise sur le marché de nouveaux vaccins contre les nouveaux variants. Des vaccins qui sont déjà sur le continent américain et qui devraient arriver en Europe à l'automne. Il s'agit de vaccins bivalents. Les deux contiennent la séquence ARN de la protéine Spike de la souche sauvage de Wuhan, à laquelle ont été ajouté la séquence ARN du variant BA.1 pour le vaccin élaboré par Moderna et la séquence ARN du variant BA.4 et BA.5 pour celui de Pfizer.
Lire aussi : De "nouveaux" vaccins de rappels pour cet automne: la folle course en avant
Le choix du vaccin sera déterminé par le variant qui dominera à l'automne, a assuré le porte-parole du gouvernement, qui prépare déjà une population de plus en plus réticente à recevoir les nouvelles thérapies, malgré un certain degré d'incertitude sur les paramètres de l'épidémie.
Depuis le début de la campagne de vaccination en Nouvelle-Zélande, le nombre de décès et d’effets indésirables consécutifs aux injections ne cesse de croître. Face à cette situation, un collectif de médecins nommé New Zeland Doctors Speaking Out with Science (NZDSOS) s’est constitué pour demander l’ouverture d’une enquête par la police. Ils ont fait paraître une lettre dans laquelle ils expliquent leurs positions ainsi que leurs attentes. Voici les principales allégations qu'ils portent contre le mandat vaccinal et la pharmacovigilance de leur pays.
Selon ces médecins, le système de pharmacovigilance de la Nouvelle-Zélande est peu efficace. Dans ce pays comme dans beaucoup d’autres, les médecins n’ont pas l’obligation de signaler les effets secondaires. Or, avant le début du déploiement des vaccins en Nouvelle-Zélande, les systèmes de pharmacovigilance des pays qui avaient beaucoup vacciné, montraient déjà des signaux très alarmants chez certaines personnes ayant reçu les injections.
La situation en Nouvelle-Zélande ne s'est pas avérée différente de celle des pays qui ont appliqué une politique vaccinale analogue, et devant les effets indésirables suspectés d'être en lien avec la vaccination, de plus en plus de professionnels de santé exigent une enquête appropriée, comme c’est le cas pour tout médicament ne faisant pas l’objet d’étude de sécurité.
Au début du mandat vaccinal, le Dr Helen Petousis-Harris, spécialiste de la vaccination, a prévenu que des mécanismes de surveillance précis et établis étaient essentiels, étant donné l'absence sans précédent de tests sur les animaux ou d'essais cliniques prolongés pour ce traitement expérimental et précipité contre le Covid-19.
" Il est vital que des systèmes solides de pharmacovigilance et de surveillance active soient en place", avait-elle déclaré.
Comme ce qu’elle a demandé n’a pas été instauré, une base de données citoyenne s’est créée, pour compenser le manque de pharmacovigilance. Quelque 500 décès consécutifs aux injections y ont été enregistrés par des groupes de bénévoles, qui ont tous reçu une formation dans le domaine des soins de santé, des sciences et de l’informatique. Des professionnels de l’épidémiologie et des bases de données ont également apporté un soutien dans l’analyse des cas déclarés. La grande majorité de la base de données des personnes décédées a été constituée à partir de la notification des parents, d’amis ou de professionnels de santé.
Dans leur lettre, les médecins rappellent que le vaccin Comirnaty de Pfizer n'a été et n'est toujours diffusé que sous le couvert de l'autorisation provisoire du ministre de la Santé. À l'origine, l'autorisation provisoire d’un médicament ou d’un vaccin permettait de l’utiliser « de manière restreinte pour le traitement d'un nombre limité de patients ». Cela était dû aux nombreuses inconnues du produit encore en phase d'essai clinique.
Lorsque les mesures des autorités ont fait l’objet d’une contestation devant la Haute Cour en mai 2021, le gouvernement a été jugé en violation de ses propres lois. Pour répondre à cette nouvelle situation, il a rapidement modifié la loi en supprimant la réserve relative à l'utilisation de médicaments ayant fait l'objet d'un consentement provisoire. Désormais, un médicament provisoire n'a plus besoin d'être utilisé sur une « base restreinte » ou « pour un nombre limité de patients » et tout le monde peut l'obtenir.
Dans tout essai de clinique « normal », les chercheurs sont extrêmement attentifs à tout signe éventuel de problème, et l'essai est immédiatement arrêté si des problèmes sont détectés par le comité indépendant de surveillance de la sécurité (ISMB). Dans le passé, ces mesures de précautions ont toujours été appliquées dans les programmes de vaccination précipités. Lors de l’épidémie de grippe porcine de 2008, le vaccin déployé contre l’épidémie a été retiré après avoir provoqué moins de 50 décès dans le monde et plusieurs centaines de cas de lésions neurologiques chez les enfants.
Depuis le début du mandat vaccinal contre le Sars-CoV-2, la thérapie génique de Pfizer a fait l'objet de cent soixante rapports de décès enregistrés à la CARM, le système de rapport « officiel », en Nouvelle-Zélande. Cependant, de l’avis de ces médecins, ce système de pharmacovigilance est passif, lent et totalement inadapté.
Ces médecins dénoncent également l’attitude de l’organisme de réglementation des médicaments, Medsafe, qui a déclaré que 48 de ces décès sont « insuffisamment documentés » et 99 autres décès sont « peu susceptibles d'avoir été causés par le vaccin ». Seuls trois de ces décès signalés ont été officiellement liés au vaccin, dont deux concernaient des jeunes gens qui étaient très peu susceptibles d'avoir été gravement affectés par l'infection de Covid-19.
Pour cette association de médecins, un grand nombre de gouvernements et d'autorités de santé publique dans le monde poursuivent leurs efforts de vacciner toute la population, ignorant les signaux évidents de leurs propres systèmes de notification passifs, alors même que la publication ordonnée par la justice des documents confidentiels de Pfizer relatifs à la post-commercialisation révèle que le géant pharmaceutique était au courant de 1 223 décès (voir page 7) et de plus de 40 000 cas d'effets indésirables au cours des trois premiers mois d'utilisation.
En outre, les données de Pfizer publiées ultérieurement ont confirmé qu'elles prévoyaient le phénomène ADE (Antibody Dependant Enhancement traduit par facilitation de l’infection par les anticorps), entraînant une aggravation de la maladie de Covid-19 chez les personnes vaccinées, ainsi que des risques pour des femmes enceintes, notamment des fausses couches et des enfants morts nés. Une recherche récente publiée dans la revue Nature suggère que le phénomène ADE est bien réel.
Les données de Medsafe, qui publie des rapports de sécurité mensuels sur le déploiement du vaccin, soulèvent beaucoup de suspicions depuis que l’agence a déclaré qu’elle ne pouvait saisir que 5 % des décès et des effets secondaires. Le collectif – mais les soupçons vont bien au-delà – est certain que le nombre de victimes de la vaccination est très élevé et qu’il n’est pas communiqué au public, qui continue à accepter un produit plus dangereux que la maladie qu’il est censé prévenir, en particulier chez les jeunes, pour qui le rapport bénéfice/risque ne joue pas en faveur de la vaccination.
Voir aussi : "Ne faisons pas un remède pire que le mal" : l'entretien essentiel, avec Christian Vélot
Dans ce pays de cinq millions d’habitants, la convergence entre les périodes de vaccination et la hausse de la mortalité interrogent les statisticiens et les entrepreneurs de pompes funèbres. En établissant une comparaison entre les années 2020 et 2021, le statisticien Grant Nixon a noté une augmentation de 2 000 décès supplémentaires, avec une moyenne de six par jours, dont les vagues suivent presque exactement les taux de vaccination hebdomadaire des plus de 65 ans.
Face à cette situation inquiétante, les médecins ont écrit une lettre à la police, dans laquelle ils rappellent à Andrew Coster (qui dirige cette institution) que certains faits rapportés par des juristes alléguant des problèmes avec les vaccins ont volontairement été ignorés. Les mêmes manquements se sont produits lorsque les médecins lui ont rapporté des fautes imputables, selon eux, à l'organisme de règlementation Medsafe, n’hésitant pas à souligner l’aspect criminel de cette négligence.
Loin d’abandonner leur mission et malgré l'absence de réponse suite aux premiers courriers, les médecins ont renouvelé leur démarche. Ils espèrent que cette fois, la police se décidera à intervenir pour ouvrir une enquête sur les morts suspectes. Pour appuyer leur requête, ils ont joint certains rapports des personnes décédées.
Cette lettre officielle rappelle également à la police sa principale mission, à savoir « défendre le bien public en distinguant le bien du mal, le mensonge de la vérité, en cessant de s’abriter derrière des institutions gouvernementales contrôlées, défaillantes ou corrompues ». En somme, toutes les qualités indispensables à cette institution pour assurer la sécurité des personnes.
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[Source : lecourrier-du-soir.com]
Dans une lettre adressée au prochain Premier ministre et lue par Lecourrier-du-soir.com, cent (100) médecins et scientifiques britanniques demandent au prochain gouvernement de mettre une pause à la vaccination des enfants le temps qu’une étude approfondie et indépendante soit entreprise sur la sécurité des vaccins. Dans la lettre, les 100 médecins et scientifiques émettent de sérieux doutes quant à la sécurité et la nécessite de vacciner les enfants.
La vaccination des enfants est-elle devenue le nouveau front dans la guerre qui oppose les Etats aux médecins? En tout cas, si dans beaucoup de pays au monde, notamment aux Etats-Unis, les autorités sanitaires appellent à vacciner les enfants contre le Covid, dans d’autres parties du monde, cette mesure est vue d’un mauvais œil.
C’est notamment le cas de la Grande-Bretagne où 100 influents médecins et scientifiques ont co-signé une lettre exigeant du prochain Premier ministre qu’il ou qu’elle mette une pause urgente au déploiement du vaccin Covid-19 pour les enfants en bonne santé le temps qu’une étude approfondie et indépendante de la sécurité de ce vaccin soit entreprise.
Lien: https://www.gofundme.com/f/faire-un-don-jeminformetvcom
Dans la tribune lue par Lecourrier-du-soir.com, les 100 médecins affichent leur doute quant à la fiabilité de ce vaccin administré aux enfants. “Nous, agents sanitaires et scientifiques, nous faisons d’énormes soucis concernant la sécurité et la nécessité de ce vaccin administré aux enfants (…). Nous vous demandons de mettre en pause le déploiement de ce vaccin pour les enfants en bonne santé le temps qu’une étude approfondie et indépendante de la sécurité soit entreprise”, peut-on lire.
Dans la lettre, les médecins enfoncent le gouvernement. “Nous vous demandons fermement de renoncer au déploiement de ce vaccin (chez les enfants, ndlr) pour les raisons suivantes. Le Covid a toujours été une maladie très bénigne chez les enfants, provoquant 1 risque de décès sur 2 000 000”, notent-ils.
Pour étayer leurs arguments, les 100 médecins et scientifiques britanniques soulignent la disparition rapide de l’immunité conférée par le vaccin ainsi que l’absence de données fiables autour du vaccin Covid. Plus loin, les médecins crachent le morceau : “en gros, la balance Bénéfice/Risque, utilisée pour déployer le vaccin mRNA chez les plus âgés et les plus vulnérables, est totalement inappropriée et inapplicable chez les enfants en 2022.”
Pour lire la lettre dans sa version originale, cliquez ici : ChildrensUnion.org
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