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18 décembre 2021 6 18 /12 /décembre /2021 19:03
 

Pfizer va acquérir Arena Pharmaceuticals, une société qui est spécialisée dans les traitements pour les problèmes cardio-vasculaires et les maladies auto-immunes.

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18 décembre 2021 6 18 /12 /décembre /2021 18:59
Livre choc: "Le scandale Ivermectine" par Jean-Loup Izambert

 

Livre choc: "Le scandale Ivermectine" par Jean-Loup Izambert

Nous vous présentons ici deux livres écrits par Jean-Loup Izambert, ancien collaborateur régulier du mensuel économique et financier Les Échos, de VSD ainsi que de L'Humanité,

J-L Izambert a dernièrement publié un best-seller "Le virus et le président", écrit en collaboration avec Claude Janvier (voir en bas d'article) mais le revoici avec son tout nouvel ouvrage d'investigations, "Le scandale Ivermectine", un nouveau livre choc sur un médicament miracle dans la lutte contre le covid-19 et volontairement oublié des gouvernements sous pression de Bigpharma.

Bien que l'efficacité de l'Ivermectine soit prouvée, les chiffres parlant pour lui, le médicament est écarté depuis le début de la crise sanitaire, ce, pour des raisons évidemment financières, un scandale raconté dans ce livre par Jean-Loup Izambert.

En exclusivité pour WikiStrike, l'auteur et journaliste partage avec vous ses premières pages.

 

La censure autour des livres nous révoltant, nous vous invitons à les lire: ici et ici, deux livres éclairants à déposer sous le sapin !

Jean-Loup Izambert a choisi WikiStrike pour s'exprimer


Curieuse, Marina, ma correspondante de Wikistrike m’a posé la question : « Et au bout du compte, 50 ans plus tard, tu en penses quoi de ton métier ? »

Journaliste par vocation pour tenter d’expliquer les problèmes économiques, sociaux et politiques. Sans leur compréhension hommes et femmes ne peuvent agir pour décider de leur destin et changer l’état des choses. J’ai toujours eu horreur des consciences stériles qui roupillent dans le confort des idées reçues et de la trouille d’entreprendre. « Apprendre, encore apprendre, toujours apprendre » disait le révolutionnaire russe Lénine.

Après avoir travaillé au sein de rédactions de la presse d’information politique et générale et spécialisée (économique et financière), il m’est vite apparu que traiter ces questions impliquait un engagement total. Fièvre de la passion. Refusant l’autocensure, combattant la censure et les pressions de toutes sortes ma vingtaine d’années « d’apprentissage » ne pouvait que me précipiter dans les enquêtes au long cours. Un chemin où l’on devient vite seul car le métier s’empare de vous. Pas d’idée reçue, ne faire confiance à personne et vérifier toutes les sources.

L’une des mes rares satisfactions sont ces messages de soutien reçus d’inconnus, de lecteurs, ces associations qui, avec très peu de moyens, s’emparent du livre pour éclairer les consciences et faire bouger les choses. Au bout du compte nous sommes des « prolétaires de l’écriture » s’efforçant de dégrossir l’information brute, des sortes d’ours solitaires grattant à la source le dessous de la banquise des conflits humains.

Jean-Loup Izambert

 

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Un juge condamne un hôpital pour outrage : donnez de l'ivermectine à une femme mourante ou payez une amende de 10 000 $ par jour

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18 décembre 2021 6 18 /12 /décembre /2021 18:45

Rangez vous derrière les bannières de ceux qui sont appelés à vous défendre, donc voyez pour l'association que va créer Maître Divizio. J'ai ajouté une vidéo de l'intervention de Florian Philippot, même si l'on aime pas, il est un des rares à défendre la liberté vaccinale et ce depuis le début. J'ai également ajouté une autre vidéo plus satirique. Soyez prêts le temps est venu de se mobiliser, car après ce pass vaccinal ce sera l'obligation vaccinale.

Je signale que je ne suis pas anti vaccins. Vous avez les éléments dans ce site pour comprendre l'évolution de la tromperie, l'ampleur de la manipulation et en filigrane la finalité de ceci.

A vous de jouer, comme à moi d'ailleurs.

 

Oui ! Je tiens à rajouter un apartheid social va être mis en place ; il y aurait fort à parier que les non vaccinés ne puissent se présenter physiquement pour les votes pour la Présidentielle, puis les législatives, cela se fera par voies électroniques, comme pour l'élection de Biden ! A bon entendeur Salut !

 

Merci !

 

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6 décembre 2021 1 06 /12 /décembre /2021 18:46

 

Cet article est une reprise Pfizer criminal history 

La vidéo d'IDRISS ABERKANE corrobore exactement cela, son analyse est pertinente. Vous trouverez des liens concernant les diverses condamnations dont certaines dépassent les milliards de dollars.
 

Alors avez toujours confiance dans une entreprise qui a été condamnée plusieurs fois pour "charlatanisme" et qui pratique la corruption comme moyen commercial. Cette longue liste, ainsi que les pratiques laissent envisager des comportements equivalent à la  mafia.

 

Juste un mot le Président de Reuters agence de presse mondiale de référence est au Conseil d'Administration de Pfizer article

 

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"Je suis sûr que Pfizer ne mentirait jamais sur l'efficacité et la sécurité de ses produits. Je suis sûr que la FDA, qui a déjà approuvé le glyphosate, la troglitazone, le Vioxx, le thimérosal, le rBGH, le yellow 5&6, etc. et qui reçoit plus de 70 % de son budget de réglementation des médicaments des entreprises qu'elle réglemente, n'aurait aucune raison de mentir non plus. Je suis sûr que vous devriez faire aveuglément confiance à ce que les médias disent de Pfizer, étant donné que plusieurs sociétés de médias partagent un membre du conseil d'administration avec Pfizer et reçoivent des milliards de dollars de revenus publicitaires de Pfizer. Je suis sûr que les personnes qui n'ont absolument rien à gagner en s'élevant contre l'obligation aveugle d'utiliser l'un des produits de Pfizer ne sont que des théoriciens de la conspiration.

Oui, c'est ce que je pense.

 

 

Voici un bref aperçu du passé criminel de Pfizer. Rappelez-vous, ce n'est que ce que nous savons par le tribunal :

 

 

* Pfizer a reçu la plus grosse amende de l'histoire des États-Unis dans le cadre d'un accord de 2,3 milliards de dollars avec les procureurs fédéraux pour avoir fait la promotion de médicaments (Bextra, Celebrex) et versé des pots-de-vin à des médecins complaisants. Pfizer a plaidé coupable d'avoir fait une mauvaise publicité pour l'analgésique Bextra en promouvant le médicament pour des utilisations pour lesquelles il n'était pas approuvé.

 

 

* Dans les années 1990, Pfizer a été impliqué dans des valves cardiaques défectueuses qui ont entraîné la mort de plus de 100 personnes. Pfizer avait délibérément trompé les autorités de réglementation sur les dangers. La société a accepté de payer 10,75 millions de dollars pour régler les accusations du département de la justice pour avoir trompé les régulateurs.

 

 

* Pfizer a payé plus de 60 millions de dollars pour régler un procès concernant le Rezulin, un médicament contre le diabète qui a provoqué le décès de patients souffrant d'une insuffisance hépatique aiguë.

 

 

* Au Royaume-Uni, Pfizer a été condamné à une amende de près de 90 millions d'euros pour avoir surfacturé le NHS, le service national de santé. Pfizer a facturé au contribuable 48 millions d'euros supplémentaires par an pour un médicament qui aurait dû coûter 2 millions d'euros par an.

 

 

* Pfizer a accepté de payer 430 millions de dollars en 2004 pour mettre fin à des accusations criminelles selon lesquelles elle avait soudoyé des médecins pour qu'ils prescrivent son médicament contre l'épilepsie Neurontin pour des indications pour lesquelles il n'était pas approuvé.

 

 

* En 2011, un jury a conclu que Pfizer avait commis un racket frauduleux dans le cadre de la commercialisation du médicament Neurontin. Pfizer a accepté de payer 142,1 millions de dollars pour régler ces accusations.

 

 

* Pfizer a révélé qu'elle avait versé à près de 4 500 médecins et autres professionnels de la santé quelque 20 millions de dollars pour s'exprimer au nom de Pfizer.

 

 

* En 2012, la U.S. Securities and Exchange Commission a annoncé qu'elle avait conclu un accord de 45 millions de dollars avec Pfizer pour mettre fin aux accusations selon lesquelles ses filiales avaient soudoyé des médecins et d'autres professionnels de la santé à l'étranger pour augmenter les ventes à l'étranger.

 

 

* Pfizer a été poursuivie devant un tribunal fédéral américain pour avoir utilisé des enfants nigérians comme cobayes humains, sans le consentement de leurs parents. Pfizer a payé 75 millions de dollars pour régler le litige devant le tribunal nigérian pour avoir utilisé un antibiotique expérimental, le Trovan, sur les enfants. La société a versé un montant supplémentaire non divulgué aux États-Unis pour régler les accusations portées ici. Pfizer avait violé le droit international, notamment la convention de Nuremberg établie après la Seconde Guerre mondiale, en raison des expériences menées par les nazis sur des prisonniers non consentants.

 

 

* Alors que de nombreuses critiques étaient formulées à l'encontre des pays pauvres pour l'achat de médicaments, Pfizer s'est engagée à verser 50 millions de dollars à l'Afrique du Sud pour un médicament contre le sida. Plus tard, cependant, Pfizer n'a pas honoré cette promesse.

 

 

Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)"

La FDA demande à un juge fédéral de lui accorder jusqu'en 2076 pour publier intégralement les données de Pfizer sur le vaccin COVID-19.
Le gouvernement fédéral protège Pfizer de toute responsabilité. Il lui donne des milliards de dollars. oblige les Américains à prendre son produit. Mais ne vous laisse pas voir les données prouvant son innocuité/efficacité. Pour qui le gouvernement travaille-t-il ?

Aaron Siri


La FDA a demandé à un juge fédéral d'obliger le public à attendre l'année 2076 pour divulguer toutes les données et informations sur lesquelles elle s'est appuyée pour homologuer le vaccin COVID-19 de Pfizer.   Ce n'est pas une faute de frappe.   Elle veut 55 ans pour produire ces informations au public. 

Comme nous l'avons expliqué dans un article précédent, la FDA a promis à plusieurs reprises une "transparence totale" concernant les vaccins COVID-19, et a notamment réaffirmé "l'engagement de la FDA en matière de transparence" lors de l'homologation du vaccin COVID-19 de Pfizer. 

Avec cette promesse à l'esprit, en août et immédiatement après l'approbation du vaccin, plus de 30 universitaires, professeurs et scientifiques des plus prestigieuses universités de ce pays ont demandé les données et informations soumises à la FDA par Pfizer pour l'homologation de son vaccin COVID-19. 

La réponse de la FDA ?  Elle n'a rien produit.  Donc, en septembre, mon cabinet a intenté une action en justice contre la FDA au nom de ce groupe pour exiger ces informations.  A ce jour, presque trois mois après avoir homologué le vaccin de Pfizer, la FDA n'a toujours pas publié une seule page.  Pas une seule.

Au lieu de cela, il y a deux jours, la FDA a demandé à un juge fédéral de lui donner jusqu'en 2076 pour produire toutes ces informations.  La FDA a demandé au juge de la laisser produire les plus de 329 000 pages de documents fournis par Pfizer à la FDA pour l'homologation de son vaccin au rythme de 500 pages par mois, ce qui signifie que sa production ne sera pas terminée avant 2076.  La promesse de transparence de la FDA est, pour ne pas dire plus, un amas d'illusions. 

Il a fallu à la FDA exactement 108 jours entre le moment où Pfizer a commencé à produire les dossiers pour l'homologation (le 7 mai 2021) et celui où la FDA a homologué le vaccin Pfizer (le 23 août 2021).   Si l'on prend la FDA au mot, elle a procédé à un examen et à une analyse intenses, solides, approfondis et complets de ces documents afin de s'assurer que le vaccin de Pfizer était sûr et efficace pour l'homologation. Alors qu'elle peut mener cet examen intense des documents de Pfizer en 108 jours, elle demande maintenant plus de 20 000 jours pour mettre ces documents à la disposition du public. 

Donc, mettons les choses au clair. Le gouvernement fédéral protège Pfizer de toute responsabilité.  Lui donne des milliards de dollars.  oblige les Américains à prendre ses produits.  Mais ne vous laissera pas voir les données prouvant la sécurité et l'efficacité de son produit.  Pour qui le gouvernement travaille-t-il ? 

La leçon à retenir, une fois de plus, est que les droits civils et individuels ne devraient jamais être subordonnés à une procédure médicale.  Tous ceux qui veulent se faire vacciner et se faire stimuler devraient être libres de le faire.  Mais personne ne devrait être contraint par le gouvernement à prendre part à une procédure médicale.  Et certainement pas une procédure pour laquelle le gouvernement veut cacher jusqu'en 2076 l'ensemble des informations sur lesquelles repose l'autorisation d'exercer.

Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)

Le ministère de la Justice annonce le plus grand règlement de fraude en matière de soins de santé de son histoire
Pfizer paie 2,3 milliards de dollars pour un marketing frauduleux

WASHINGTON – Le géant pharmaceutique américain Pfizer Inc. et sa filiale Pharmacia & Upjohn Company Inc. (ci-après ensemble « Pfizer ») ont convenu de payer 2,3 milliards de dollars, le plus grand règlement de fraude en matière de soins de santé de l'histoire du ministère de la Justice, pour résoudre les problèmes criminels et responsabilité civile résultant de la promotion illégale de certains produits pharmaceutiques, a annoncé aujourd'hui le ministère de la Justice.

Pharmacia & Upjohn Company a accepté de plaider coupable à une infraction à la loi sur les aliments, les médicaments et les cosmétiques pour une mauvaise image de Bextra dans l'intention de frauder ou d'induire en erreur. Bextra est un médicament anti-inflammatoire que Pfizer a retiré du marché en 2005. En vertu des dispositions de la loi sur les aliments, les médicaments et les cosmétiques, une entreprise doit spécifier les utilisations prévues d'un produit dans sa demande de nouveau médicament auprès de la FDA. Une fois approuvé, le médicament ne peut pas être commercialisé ou promu pour des utilisations dites « hors AMM » – c'est-à - dire, toute utilisation non spécifiée dans une demande et approuvée par la FDA. Pfizer a promu la vente de Bextra pour plusieurs utilisations et dosages que la FDA a spécifiquement refusé d'approuver en raison de problèmes de sécurité. L'entreprise paiera une amende pénale de 1,195 milliard de dollars, la plus grosse amende pénale jamais imposée aux États-Unis pour quelque affaire que ce soit. Pharmacia & Upjohn perdra également 105 millions de dollars, pour une résolution pénale totale de 1,3 milliard de dollars.

En outre, Pfizer a accepté de payer 1 milliard de dollars pour résoudre les allégations en vertu de la loi civile False Claims Act selon lesquelles la société aurait fait la promotion illégale de quatre médicaments – Bextra ; Geodon, un médicament antipsychotique ; Zyvox, un antibiotique ; et Lyrica, un médicament antiépileptique - et a provoqué la soumission de fausses allégations aux programmes de soins de santé gouvernementaux pour des utilisations qui n'étaient pas des indications médicalement acceptées et donc non couvertes par ces programmes. Le règlement civil résout également les allégations selon lesquelles Pfizer aurait versé des pots-de-vin aux prestataires de soins de santé pour les inciter à prescrire ces médicaments, ainsi que d'autres. La part fédérale du règlement civil est de 668 514 830 $ et la part de l'État Medicaid du règlement civil est de 331 485 170 $. Il s'agit du plus grand règlement de fraude civile de l'histoire contre une société pharmaceutique.

 

lire la suite en dessous  (texte traduit):

Pfizer accepte de payer 345 millions de dollars pour résoudre les allégations anticoncurrentielles d'EpiPen
 

À la mi-juillet 2021, Pfizer, Inc. et deux de ses filiales, Meridian Medical Technologies et King Pharmaceuticals, ont accepté de payer 345 millions de dollars pour résoudre les réclamations des consommateurs qui alléguaient avoir payé en trop pour EpiPens à la suite de pratiques anticoncurrentielles mises en avant par Pfizer et Mylan.

Les plaignants ont initialement déposé une plainte consolidée en recours collectif, alléguant que les entreprises avaient violé la loi fédérale sur les racketteurs et les organisations corrompues (RICO) et les lois antitrust des États sur la base de la «tarification prétendument supraconcurrentielle de l'EpiPen et de la conduite connexe».

Le règlement sera divisé en deux pools de fonds : un pour les consommateurs individuels et un pour les tiers payeurs et sera divisé en pourcentage des dommages relatifs subis par les individus et les tiers payeurs. Au sein de chaque pool, les fonds seront distribués au prorata à tous les membres du groupe admissibles qui déposent une preuve de réclamation valide et en temps opportun. Tous les fonds qui restent dans un pool se répercuteront sur l'autre pool si certaines conditions sont remplies.

Pfizer a nié tout acte répréhensible "et continue de croire que ses actions étaient appropriées". Dans le dossier du tribunal, Pfizer note que non seulement la société n'a commis aucun acte répréhensible comme allégué, mais qu'elle nie également toute responsabilité pour les réclamations alléguées par les plaignants et nie que les plaignants aient subi des blessures ou des dommages. Selon l'entreprise, un règlement a été conclu suite à un « désir de l'entreprise d'éviter la distraction d'un litige continu et de se concentrer sur des avancées qui changent la vie des patients ».

 

Lire la suite texte traduit ci-dessous

 
Pendant trois ans, les employés de Pfizer Italie ont fourni gratuitement des téléphones portables, des photocopieurs, des imprimantes et des téléviseurs aux médecins, organisé des vacances (comme "week-end à Gallipoli", "week-end avec compagnon" et "week-end à Rome") et ont même effectué des paiements directs en espèces. (sous couvert d'honoraires de cours et d'honoraires) en échange de promesses faites par les médecins de recommander ou de prescrire les produits de Pfizer.

Aujourd'hui, le siège new-yorkais du géant pharmaceutique a accepté de payer un total de 60,2 millions de dollars de pénalités pour régler les accusations documentées de corruption. La Securities and Exchange Commission (SEC) a déclaré que les employés de Pfizer Italie ont fait tout leur possible pour comptabiliser « faussement » les dépenses sous des étiquettes « trompeuses » telles que « Formation professionnelle » et « Publicité dans des revues scientifiques ».

La pénalité est d'environ un demi pour cent des bénéfices annuels de l'entreprise qui dépassent 10 milliards de dollars par an sur des ventes mondiales de 67,4 milliards de dollars en 2011.

 

Lire la suite ci-dessous en Français

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6 décembre 2021 1 06 /12 /décembre /2021 18:45

"La FDA américaine, qui voulait rendre confidentiel les documents de #Pfizer pendant 55 ans, est forcée par la justice américaine de les publier.
En regardant le nb d'effets indésirables enregistrés pour les 42000 participants à l'essai, c'est AFFOLANT. Mortalité : 3% !"
Pat MN

— Maryline Maubois (@MaryMbois) December 3, 2021

 

Justice US : Plus de 42.000 rapports d’effets indésirables révélés dans le premier lot de documents du vaccin de Pfizer
 
 
 
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La publication atrocement lente par la FDA des données relatives au vaccin contre le COVID-19 de Pfizer a déjà porté ses fruits, et ceux-ci sont accablants malgré un rythme de seulement 500 pages par mois sur 329.000 pages – ce qui prendra jusqu’en 2076 pour être complet.

Comme l’a d’abord rapporté Kyle Becker, il y a eu un total de 42.086 rapports de cas pour des effets indésirables (25.379 confirmés médicalement, 16.707 non confirmés médicalement), couvrant 158.893 événements au total.

Plus de 25.000 de ces événements ont été classés dans la catégorie « troubles du système nerveux ».

 
http://
 
Depuis que le vaccin a été administré publiquement, plus de 913.000 rapports d’événements indésirables ont été enregistrés dans la base de données mondiale OpenVAERS.
 
http://
 

Et ce n’est que ce qui a été rapporté. 
 
Entre-temps, Twitter a suspendu le compte de @iGNORANTCHiMP – qui a mis en lumière une grande partie de cette affaire et a corrigé des inexactitudes mineures dans son fil.
Source
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6 décembre 2021 1 06 /12 /décembre /2021 18:43

Orwell 1984

 

L’AFP a officialisé le 6 décembre son partenariat avec le géant du web Google dans l'objectif affiché de lutter contre les fake news. «Objectif désintox» n’est cependant pas la première immixtion des GAFAM dans le traitement de l’information.

 

A l’approche des élections présidentielles, l’AFP a annoncé le 6 décembre sur son compte Twitter un partenariat avec le géant du web Google. Baptisé «Objectif désintox», «ce programme de formation et de collaboration, à destination des rédactions françaises, s'appuiera sur une alliance des médias et d’organisations de fact-checking intéressés dans la lutte contre la désinformation», affirme leur communiqué commun.

Ce partenariat sera assuré «grâce au soutien financier de Google», selon le PDG de l’AFP, Fabrice Fries, qui assure toutefois que son agence agira «en toute indépendance éditoriale» et que l'accès pour les utilisateurs sera gratuit. Il devrait se décliner en cinq axes principaux.

En premier lieu, des formations en ligne seront organisées à destination de tous les médias revendiquant la pratique du fact-checking (anglicisme signifiant la vérification de l'information).

En second lieu, une plateforme commune, censée servir de hub entre les membres de cette alliance, verra le jour. Un dispositif de signalement de fake news devrait y être intégré.

Troisième axe : des réunions thématiques devraient être ponctuellement organisées et animées par l’AFP, réunions auxquelles tous les membres pourront participer également. Des intervenants extérieurs, comme des experts, devraient y prendre part.

Quatrièmement : tous les membres de l’alliance bénéficieront de contenus établis par l’AFP sur le site AFP Factuel. Enfin, un programme d’accompagnement des rédactions est prévu.

Tous ces contenus devraient également bénéficier du label «Objectif désintox». «La coalition des médias vise à souder les rangs des acteurs de la lutte contre la désinformation dans la perspective […] de l’élection présidentielle» , a ainsi déclaré le PDG de l’AFP, Fabrice Fries.

Les GAFAM investissent de plus en plus le traitement de l’information

Ce n’est pas la première fois qu’un géant du web s’allie avec la presse dans le cadre de partenariats liés au domaine de l’information. Le quotidien Le Monde avait notamment publié en janvier 2018 un article justifiant son alliance avec Facebook au sujet de sa cellule de fact-checking : Les Décodeurs.

Fustigeant «la prolifération des fausses informations, ou infox, sur les réseaux sociaux pendant la présidentielle américaine de 2016», Facebook avait alors mis en place son propre système de vérification de l’information aux Etats-Unis. Un combat que Le Monde assurait partager sans réserve, d’où son alliance avec la société de Mark Zuckerberg.

En 2017 déjà, huit médias français s’étaient justement alliés à Facebook en affirmant vouloir lutter contre les fausses nouvelles. Il s’agissait, outre Le Monde, de l’AFP, BFMTV, France Télévisions, France Médias Monde, L’ExpressLibération et 20 Minutes.

Cette immixtion de plus en plus grande des géants du web dans le traitement de l’information ne se fait toutefois pas sans soulever des interrogations. Le Monde a assumé pour sa part être directement rétribué par Facebook pour effectuer ce travail «depuis le milieu de l’année 2017» tout en assurant à ses lecteurs que «ce partenariat n’entrave en rien [son] indépendance éditoriale vis-à-vis de Facebook».

Si Le Monde a ainsi vanté le «pragmatisme» des rédactions ayant fait le choix de s’allier aux géants du web, dans les faits, l'algorithme dispose d'un rôle important dans la détection des informations jugées problématiques.

Celles-ci peuvent alors voir leur diffusion réduite par ce même outil, et assorties d'une mention «faux», «retouché» ou encore «titre trompeur». Un point très apprécié par Jérôme Fenoglio, directeur du Monde : «C’est cet élément qui nous a décidés. Pour la première fois, il serait possible d’agir sur un algorithme quand un contenu pose un problème éditorial».

Des algorithmes faillibles malgré la confiance qui leur est prêtée ?

Pourtant cette confiance affichée soulève des questions de diverses natures. A titre d'exemple, Facebook s'était attiré une avalanche de critiques pour son algorithme qui censurait à l'extrême toute forme de nudité. Cela avait notamment affecté la célèbre photographie de Nick Ut Cong Huynh qui avait immortalisé une jeune fille courant nue, brûlée par du napalm à l'époque de la guerre du Vietnam.

Par ailleurs, la censure de toute forme de nudité semblait notamment avoir conduit Facebook à incorporer les œuvres d’art dans son algorithme avant d'être contraint de réviser sa politique en la matière. Pour rappel, des œuvres célèbres comme L'origine du monde de Gustave Courbet étaient censurées par le réseau social, entraînant une querelle juridictionnelle afin que Facebook comparaisse bien devant un tribunal français.

Outre des questions techniques, la problématique de la neutralité politique des géants de la toile se pose elle aussi, comme en témoigne l'implication de Facebook sur le terrain des informations liées au Covid, son rôle durant la dernière présidentielle américaine, les accusations de censure qui le visent, sans parler du sort réservé aux médias russes sur cette plateforme.

Source

Trop tard, la vérité suinte de partout ! Google n'est plus indispensable à la diffusion de l'info et l'AFP encore moins...

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6 décembre 2021 1 06 /12 /décembre /2021 18:33
Plateforme indépendate de recensement des effets secondaires du vaccin
 

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ICI

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6 décembre 2021 1 06 /12 /décembre /2021 18:26
“C’est quoi le message ? On parle plus aux non-vaccinés”, se demande Virginie Joron (ici à droite). Pixabay / DR

Ce mercredi 17 novembre, FranceSoir s’est rendu au Parlement européen pour rencontrer plusieurs députés qui se dressent contre la gestion de la crise sanitaire en Europe. Nous vous diffuserons l’ensemble de ces interviews au cours des jours à venir.

Aujourd’hui, nous vous proposons de découvrir l’entretien avec les députées Virginie Joron (Rassemblement national, groupe Parti Identité et démocratie au Parlement européen) et Francesca Donato (Indépendante, Italie,).

Voir la vidéo ICI

Avec elles, nous sommes revenus sur le manque total de transparence des contrats signés par la Commission européenne avec le laboratoire pharmaceutique Pfizer. « La moitié des contrats sont caviardés. […] On ne connaît même pas le prix des achats. », s’insurge Virginie Joron. Ce grave manque de transparence est problème crucial dont la population n’a pas forcément conscience et dont il devrait s’emparer, explique l’ancienne conseillère régionale du Grand Est. Autre point qu’elle soulève : la question de la prise en charge des effets secondaires des vaccins. « Les fabricants n’assument aucune responsabilité. […] Ce sont les États qui doivent assumer les conséquences en termes de dommages. » Ceci, alors même qu’une clause prévoit « que les fabricants ne garantissent pas l’efficacité des vaccins vendus. »

À lire aussi Des députés européens dénoncent le passe sanitaire, “oppressif et inefficace”

De son côté, Francesca Donato souligne le manque de transparence sur la fabrication des vaccins. « Jusqu’aujourd’hui, aucun laboratoire ni agence quelconque n’a eu la possibilité d’examiner le contenu des flacons. Ce n’est pas normal alors que la responsabilité des effets secondaires est de fait à la charge des citoyens. »

Encore faut-il que les autorités sanitaires reconnaissent le lien de causalité entre une pathologie quelconque et l’injection. D’après l’ancienne membre de la Ligue du Nord, cette reconnaissance est très difficile à obtenir. « En Italie, il n’y a pour l’heure que deux cas de décès où la justice a reconnu le rôle du vaccin. »

Les parlementaires ont ensuite évoqué la façon dont étaient traités les non-vaccinés partout en Europe avec le passe sanitaire, sans parler du confinement qui leur est actuellement imposé en Autriche. Virginie Joron s’agace : « Quel est le message ? On ne parle plus aux gens qui ne sont pas vaccinés. »

Pour sa part, Francesca Donato s’interroge les raisons cette politique vaccinale à outrance. Sans y répondre directement, elle « constate que dans le monde d’aujourd’hui, les pouvoirs judiciaire, législatif et exécutif sont passés aux mains du monde de la finance, de la technologie et des médias ».

Dans la dernière partie de l’entretien, nous sommes revenus sur le rôle du Parlement européen. L’une de ses particularités est que ses membres n’ont pas le pouvoir de proposer des lois. C’est la Commission européenne qui dispose de ce monopole. « C’est un vieux débat », commente la députée italienne. « Notre pouvoir se limite à voter, mais n’avons pas le choix des sujets abordés », abonde Virginie Joron. Et d’ajouter : « Notre rôle est aussi devenu celui de lanceur d’alerte ». Juriste de formation, elle appelle à refonder les institutions européennes, afin « qu’elles servent aux citoyens, et non à cette élite qui est déconnectée de la réalité ».

Auteur(s): FranceSoir

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6 décembre 2021 1 06 /12 /décembre /2021 18:19
Le scandale des opioïdes va coûter plus de 570 millions à McKinsey

Le prestigieux cabinet de conseil en stratégie de l'Elysée a accepté de payer 573 millions de dollars pour clore les procédures engagées par 49 Etats américains. Il n'admet pas pour autant de faute ni de responsabilité dans l'usage excessif des opioïdes aux Etats-Unis.

 

Selon des chiffres officiels, le nombre de décès chaque année par surdoses d'opioïdes sur ordonnance aux Etats-Unis a quadruplé entre 1999 et 2018, avec plus de 232.000 Américains morts d'un usage abusif sur cette période.
Selon des chiffres officiels, le nombre de décès chaque année par surdoses d'opioïdes sur ordonnance aux Etats-Unis a quadruplé entre 1999 et 2018, avec plus de 232.000 Américains morts d'un usage abusif sur cette période. (Drew Angerer/Getty Images/AFP)

Par Les Echos

Publié le 4 févr. 2021

L'argent n'a pas d'odeur, dit-on. Ce n'est pas toujours vrai, et McKinsey en fait l'amère expérience. La procureure de l'Etat de New York, Letitia James, a révélé ce jeudi que le prestigieux cabinet de conseil en stratégie a signé un accord pour solder les poursuites engagées par 49 Etats américains l'accusant d'avoir contribué à la mortelle crise des opioïdes aux Etats-Unis. McKinsey a accepté de verser 573 millions de dollars. Il paiera immédiatement environ 80 % de l'argent afin de contribuer à renforcer les programmes de traitement et à soutenir les budgets de la police très sollicitée du fait d'un usage accru dans la population de ces analgésiques addictifs, selon des sources proches du dossier citées par l'agence Bloomberg. Le reste sera payé sur quatre ans... suite sur Echos

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6 décembre 2021 1 06 /12 /décembre /2021 18:13

De nombreux articles ont été publiés montrant à quel point les vaccins protègent les personnes après la deuxième dose. Une partie de cet effet est une illusion. L'effet se produit en raison d'une mesure inexacte et d'un phénomène appelé  biais de survie .

Pourquoi cacher ce qui se passe dans les deux premières semaines après la vaccination ?

Biais de survie se produit lorsqu'un groupe est comparé à deux moments, mais que les membres du groupe changent entre les moments. Ce serait comme évaluer la qualité d'une école de natation qui privilégie la technique consistant à jeter les gens au milieu de l'océan, à les laisser quelques heures et à revendiquer le mérite de savoir à quel point les élèves restants savent nager. Au bout de deux heures, il ne restait plus que ceux qui savaient déjà nager et peut-être quelques-uns qui ont appris à nager à la dure ! Les pauvres âmes qui se sont noyées entre-temps ne comptent même pas. Attribuer la capacité de natation des personnes restantes à l'entraîneur qui est arrivé 2 heures plus tard donnerait évidemment une image très trompeuse. Souligner que personne ne s'est noyé dans les leçons ultérieures serait tout aussi trompeur pour déterminer le succès de la « technique d'enseignement ». 

 

Avec la vaccination contre le covid,  il y a une période de deux semaines après la vaccination qui n'est pas incluse dans les données . La raison invoquée est que les vaccins mettent un certain temps à induire des anticorps et que, par conséquent, les données des deux premières semaines ne sont pas pertinentes. De toute évidence, cela est défectueux. Et si les vaccins avaient des effets délétères visibles d'emblée, qui n'ont rien à voir avec la production d'anticorps ? Un exemple est le taux élevé de  zona  observé après la vaccination contre le covid, suggérant qu'il existe un problème de réactivation virale. Cela peut expliquer pourquoi les taux d'infection au Sars-CoV-2 sont en fait  plus élevés  chez les vaccinés que chez les non vaccinés au cours des deux premières semaines suivant la vaccination.

L'élimination des deux premières semaines a pour effet un biais de données trompeur. Si des personnes sont infectées et meurent pendant cette période, cela doit être inclus. La possibilité que le vaccin lui-même puisse exercer un effet sur le taux d'infection ne peut être ignorée et l'ensemble des données doit être inclus afin d'évaluer avec précision l'efficacité. En ne mesurant que la période après le risque plus élevé d'infection (0-14 jours), il est possible de se tromper. Tout signal serait manqué.

En plus d'être absurde en termes de risque individuel de supprimer cette période de temps, il y aura également un impact sur la communauté au sens large. Si le vaccin provoque en fait un  pic d'infections au  cours des deux premières semaines, cela augmentera inévitablement la propagation et entraînera une augmentation du nombre d'infections dans cette communauté pendant cette période. Par conséquent, l'évaluation de l'impact du programme de vaccination doit inclure non seulement l'effet sur l'individu, mais l'impact sur la communauté au sens large.

 

 

Ce point est particulièrement pertinent pour les communautés très unies où beaucoup sont vaccinées en même temps, comme les écoles et en particulier les communautés avec un nombre élevé de personnes vulnérables telles que les maisons de soins et les hôpitaux. Ce que nous faisons effectivement, c'est « accélérer » la vague d'infections (et de décès). Finalement, à la fin de la saison virale, le même nombre de personnes sont décédées. En raison de l'exclusion des décès antérieurs (1-14 jours), nous sommes induits en erreur en pensant que les vaccins étaient plus efficaces qu'ils ne l'étaient en réalité. En ne regardant que la dernière période et en voyant moins de morts pendant cette période, l'illusion a été créée que des vies ont été sauvées. Cela est évident dans les données de nombreux pays après le déploiement du vaccin. Le graphique ci-dessous montrant le Royaume-Uni par rapport à l'Europe illustre ce point, car le Royaume-Uni a été le plus rapide à déployer le vaccin.Le nombre total de décès, représenté par la zone sous la courbe, était similaire à celui d'autres pays, mais est juste comprimé sur une période plus courte.

Figure 1 : Décès de Covid en hiver au Royaume-Uni et dans l'Union européenne

Examinons maintenant quelques exemples précis, par exemple cette  étude  sur les résidents de maisons de soins infirmiers aux États-Unis. Les  résultats  montrent qu'au cours de l'étude 6,8 % de la population vaccinée ont été infectés et 6,8 % de la population non vaccinée ont été infectés. Cependant, en décidant que les 14 premiers jours après la vaccination doivent être exclus, la zone grise pour le groupe vacciné est comparée à la zone noire et grise combinée pour les non vaccinés. Cela pourrait conduire à l'affirmation d'une efficacité de 66% du vaccin contre l'infection. Les auteurs de cette étude ont été assez honnêtes pour partager les données brutes et n'ont pas revendiqué 66% d'efficacité.

 
 
 
 

Figure 2: Les données de  papier américain  indiquant le pourcentage de la population à domicile de soins infirmiers à être infecté par le temps après la clinique est venue à leur domicile et par la vaccination quo s

Cependant, de nombreuses études se sont appuyées sur cette astuce pour revendiquer l'efficacité du vaccin. Les exemples les plus évidents en sont l' étude d'essai originale de  Pfizer  et l'   essai d' AstraZeneca .

 

Figure 3 : Graphique de l'  essai AstraZeneca  montrant la censure de la première période (« période d'exclusion »)

Pour prendre un deuxième exemple, un   article danois a mesuré le nombre d'infections chez les travailleurs de la santé et les résidents des maisons de soins. Avant le début du programme de vaccination, 4,8 % des travailleurs de la santé avaient été infectés et 3,8 % des résidents des maisons de soins l'avaient été. L'étude s'est terminée à la fin de la vague d'hiver danoise après que 95 % des résidents des maisons de soins aient été vaccinés et 28 % des travailleurs de la santé l'aient été. Compte tenu de la pire position au début et du taux de vaccination plus faible chez les travailleurs de la santé, vous pouvez vous attendre à ce qu'ils soient globalement moins bien lotis. Cependant, le pourcentage d'infectés à la fin de la vague était de 7,0% chez les travailleurs de la santé mais de 7,7% chez les résidents des maisons de soins.

Figure 4 : Données d'un   article danois montrant le pourcentage de la population infectée parmi les résidents des maisons de soins et les travailleurs de la santé

 
 

Dans quelle mesure l'efficacité du vaccin dans la recherche rapporté Covid est vraiment une mesure de biais de survie associée à  n immunité acquise aturellement? C'est une question critique. Aucune allégation d'efficacité du vaccin ne doit être faite sans d'abord aborder ce point.

 

Rapport publié à l'origine par l'équipe d'avis de santé et de rétablissement. HART est un groupe de médecins, scientifiques, économistes, psychologues et autres experts universitaires britanniques hautement qualifiés. 

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