Sachez quand même qui tirent les ficelles de votre destin, les Parques se sont muées en des officiants assassins en cols blancs et cette fois ci ils avaient bien prévus une extermination de masse au moins équivalente à la "Grippe Espagnole" soit au moins un minimum de 65 millions de morts !
Mais au fait si l'évènement ne s'est pas produit d'un coup ou une courte période, n'est il pas encore en cours !
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Quelques semaines à peine avant le déclenchement de la pandémie de Covid-19, les élites mondiales se sont réunies pour jouer à un "jeu de guerre" impliquant une épidémie de coronavirus "fictive" sans "aucune possibilité qu'un vaccin soit disponible la première année", avertissant d'une "pandémie similaire à l'avenir".
Le 18 octobre 2019, ce jeu de guerre, appelé Event 201, s'est produit à New York via le Johns Hopkins Center for Health Security. Les organisateurs ont réuni des « experts de la santé publique » influents, ainsi que de hauts responsables gouvernementaux du monde entier.
Le package vidéo de la simulation a été préparé par Interface Media Group, qui a travaillé sur des projets pour des médias grand public tels que CNN, PBS et HBO, avec une série de segments d'un réseau GNN fictif, avec des têtes parlantes discutant de la pandémie catastrophique.
Le dossier rapporte : Plus particulièrement, l'événement 201 a été organisé par la Fondation Bill et Melinda Gates et le Forum économique mondial.
Dans la simulation, cette pandémie de coronavirus a entraîné la mort de 65 millions de personnes, devenant la pandémie la plus meurtrière de l'histoire, encore pire que la grippe espagnole de 1918.
Les 15 participants à la simulation Event 201 comprenaient un groupe intéressant :
- George Gao, le directeur du CDC chinois
- Hasti Taghi, vice-président de NBC
- Avril Haines, ancienne directrice adjointe de la Central Intelligence Agency
- Chris Elias, directeur de la Fondation Bill et Melinda Gates
- Timothy Grant Evans, ancien fonctionnaire de l'Organisation mondiale de la santé et de la Fondation Rockefeller
- Lavan Thiru, directeur de l'Autorité monétaire de Singapour
- Adrian Thomas, vice-président de Johnson & Johnson
- Brad Connett, président de Henry Schein, Inc., un important distributeur de produits de soins de santé
- Jane Halton, cadre de la deuxième plus grande banque d'Australie
- Stephen Redd, un haut responsable du CDC
- Sofia Borges, haut fonctionnaire de la Fondation des Nations Unies
- Eduardo Martinez, cadre supérieur chez UPS
- Matthew Harrington, COO d'Edelman, une société de marketing et de relations publiques
- Martin Knuchel, directeur principal chez Lufthansa
- Latoya D. Abbott, cadre supérieure chez Marriott International
Sur ces 15 joueurs, 13 travaillaient dans les échelons supérieurs d'organisations privées ou d'agences gouvernementales qui seraient presque immédiatement témoins d'un avantage monétaire exponentiel ou d'une énorme absorption du pouvoir politique.
Dans The Real Anthony Fauci, l'auteur RFK Jr démontre que plusieurs de ces personnes étaient peut-être déjà au courant des rumeurs entourant une épidémie en Chine, en particulier le directeur chinois du CDC.
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