32 médecins de 11 pays mettent en garde contre la prise du vaccin COVID-19!
Dr Andrew Kaufman, BrandNewTube
Il y a de bonnes raisons de croire que le vaccin COVID-19 est dangereux.Seuls ceux qui ne savent rien du casier judiciaire des fabricants de vaccins ou de l'histoire des blessures causées par les vaccins accepteraient de l'accepter dans leur corps. Ses partisans disent qu'il est sûr et efficace, mais ils ne peuvent pas en apporter la confirmation scientifique. Le développement des versions précédentes de ce même type de vaccin a dû être interrompu en raison de réactions indésirables, y compris la mort, avec des animaux de laboratoire. Les gouvernements ont donné le statut «accéléré» pour commercialiser le nouveau vaccin avec seulement une fraction des tests qui seraient normalement nécessaires. Même ces tests limités ont révélé des effets indésirables, que les fabricants ont rejetés comme non pertinents. C'est pourquoi ces médecins et autres professionnels de la santé du monde entier mettent en garde contre ce vaccin. -GEG
There are strong reasons to believe the COVID-19 vaccine is dangerous. Only those who who know nothing about the criminal record of vaccine manufacturers or the history of vaccine injuries would ...
Mic mac autour des chiffres de la Covid-19 dans les Alpes-Maritimes... Alors que tous les regards sont braqués sur le nombre de lits disponibles pour accueillir des malades souffrant de formes graves de Covid, on découvre d’importantes divergences dans les chiffres.
Il ne s’agit pas de minimiser l’ampleur de l’épidémie ni sa gravité, alors que le virus continue de circuler activement sur le territoire. Mais de faire état de la réalité de la situation, aussi objectivement possible. Or la situation dans les Alpes-Maritimes, selon qu’elle s’appuie sur les données de Santé publique France, ou sur celles fournies au quotidien par les acteurs de terrain, prend des visages différents.
Nous avons fait cette découverte après avoir reçu des courriers de médecins hospitaliers s’étonnant des discordances entre les informations diffusées par Nice-Matin au sujet des hospitalisations pour Covid (issues de Santé publique France) et les observations de terrain.
Or, le nombre d’hospitalisations pour Covid-19 fait partie des indicateurs suivis avec la plus grande attention. Il rend compte du niveau d’occupation des lits dédiés à l’accueil des malades souffrant de formes graves de la Covid-19.
Chaque jour, des personnels du CHU de Nice, établissement support des Alpes-Maritimes, interrogent ainsi tous les établissements accueillant des malades de la Covid-19, et recensent le nombre de lits occupés pour ce motif.
Des informations précieuses, relayées à tous les professionnels hospitaliers ainsi qu’à l’ARS, et qui participent en premier lieu aux choix politiques: couvre-feu, confinement…
Rappelons en effet que toutes les mesures prises ont pour objectif d’éviter une saturation des lits d’hôpitaux.
DE GROSSES DIFFÉRENCES PENDANT DES SEMAINES CRUCIALES
Nous avons pu nous procurer ces tableaux et les courbes d’évolution depuis début octobre, lorsque l’épidémie est repartie à la hausse après la trêve estivale. Et nous avons comparé les données y figurant à celles publiées par Santé publique France, établissement sous la tutelle du ministère de la santé. Données relayées par Nice-Matin, et l’ensemble des médias.
Et là, nous avons constaté des différences majeures concernant les lits occupés mais aussi l’évolution de la courbe des hospitalisations pendant plusieurs semaines cruciales.
À titre d’exemple, le 3 janvier dernier, Santé publique France comptabilisait 564 personnes hospitalisées avec un diagnostic Covid-19 dans le département des Alpes-Maritimes (dont 69 en réanimation), quand dans la réalité "seulement" 233 patients au total (dont 55 en service de réanimation) étaient ce jour-là hospitalisés dans l’un ou l’autre des établissements (privés ou publics). Comment comprendre cette différence d’un facteur 2.5 entre ces deux sources?
Phénomène plus préoccupant, on observe de vraies divergences dans l’évolution des courbes, pendant des périodes déterminantes. Ainsi, alors que celles traduisant la progression des hospitalisations pour formes graves dans les Alpes-Maritimes, produites par les acteurs de terrain, font état d’une relative stabilité, voire d’une décroissance, à compter du 10 novembre et pendant plusieurs semaines, la courbe publiée par Santé publique France décrit une croissance constante de ces hospitalisations.
Depuis la levée du confinement, et les instaurations successives du couvre-feu à 20 h puis 18 h, les deux courbes sont quasi parallèles, en progression.
DES PATIENTS EN SOINS DE SUITE QUI CONTINUENT D’ÊTRE COMPTABILISÉS....
Pas de distinguo avec les patients PCR+ hospitalisés pour d'autres motifs Lorsqu'un patient est hospitalisé pour un motif quelconque (insuffisance cardiaque, décompensation diabétique...), dans...
La crédibilité des autorités concernées et des virologues ou autoproclamés tels descend encore d’un cran et fait un autre pas vers le fond.
D’après le BMJ, l’efficacité réelle des vaccins en circulation ne serait pas autour de 95% mais autour de 19 à 29%. L’une des voix les plus influentes au niveau mondial pour le New York Times, le professeur Peter Doshi, travaillant pour l’université du Maryland dans le domaine de la recherche sur les services sanitaires pharmaceutiques balance un missile terre-air. Après être entré en possession des données publiées par Pfizer et Moderna, Doshi a noté des écarts qui changent considérablement le cadre dessiné jusque-là, et aussi les dynamiques mises en place par l’ensemble de la communauté scientifique mondiale.
« Il y a 5 semaines », écrit Doshi dans le BMJ, (et nous l’avions relaté ici) j’avais posé des questions à propos des résultats des expérimentations sur les vaccins Covid-19 de Pfizer et Moderna. Tout ce qui était dans le domaine public étaient les protocoles d’étude et certains Communiqués de presse. » Aujourd’hui, deux revues publient 400 pages de données qui avaient été présentées par la FDA avant l’Autorisation en urgence de Mise sur le Marché donnée par l’agence aux vaccins ARN de chacune des sociétés. Doshi résume les choses ainsi : « Certains détails additionnels sont rassurants, mais d’autres pas. »
« Les données auraient été en quelque sorte déformées vu que l’analyse a été faite en partie sur des cas ‘’suspectés de Covid-19’’ et des cas avec le Covid-19 et symptomatiques mais non confirmés » Les données sur les malades sont très incertaines. En simplifiant, cela amène à une efficacité du vaccin bien inférieure à celle mise en avant jusqu’à maintenant. « Une réduction du risque relatif de 19 % », bien en-dessous du seuil d’efficacité des 50 % nécessaires pour l’autorisation fixée par les autorités de règlementation. » Avec cette efficacité, l’autorisation d’urgence pouvait être refusée. Et Doshi ajoute : « même après la suppression des cas avérés dans les 7 jours depuis la vaccination (409 pour le vaccin Pfizer versus 287 pour le placebo) qui devrait inclure la plupart des symptômes dus à la réactogénicité du vaccin à court terme, l’efficacité du vaccin reste basse : 29% ».
Pour les participants à l’expérimentation, la confusion entre faux positifs et faux négatifs parmi les tampons utilisés dans les tests effectués, raconte Doshi, fait que la seule donnée fiable pour comprendre l’évolution de la maladie soient les taux d’hospitalisation, les cas de mise en thérapie intensive et les morts : « Cela semble justifié, et c’est le seul moyen d’évaluer la capacité réelle des vaccins à éliminer la pandémie »
Les données de fond restent manquantes.
« Il y a clairement la nécessité de données pour répondre à ces questions », raconte le professeur, « mais le rapport de 92 pages de Pfizer ne mentionne pas les 3410 cas « de suspectés de Covid-19 ». Pas plus que leur publication dans le New England Journal of Medecine. Pas plus que tous les rapports sur le vaccin de Moderna. La seule source qui semble l’avoir signalé est la nouvelle version de la FDA pour le vaccin Pfizer.
Ensuite, dans les études, on trouve des données peu compréhensibles et l’on ne voit pas bien l’incidence des autres médicaments sur l’évolution de la maladie des patients, les résultats sur les anticorps restent obscurs, de la même façon que les informations sur les symptômes des patients au cours de la 1ère semaine après la vaccination et la façon dont ces données n’ont pas été examinées par des organismes réellement indépendants.
« Nous avons besoin des données brutes », dit Doshi, pour « affronter les nombreuses questions ouvertes sur ces études », qui « demandent l’accès aux données brutes de l’étude ». Mais aucune entreprise ne semble avoir partagé les données avec des sociétés tierces jusqu’à maintenant. »
« Pfizer affirme qu’elle rend les données disponibles sur demande et qu’elles sont sujettes à révisions » et « Moderna affirme que ses données pourraient être disponibles sur demande, une fois l’étude complétée, » écrit Doshi sur le BMJ. Cela se traduit par une période comprise entre la moitié et la fin de l’année 2022, puisque le contrôle est prévu pour deux ans. Même discours pour le vaccin Oxford/AstraZeneca qui publiera ses données à la conclusion de l’étude, sans parler des vaccins Sputnik V pour lequel il ne serait pas prévu de partager les données des participants.
La credibilità delle autorità coinvolte e dei virologi o sedicenti tali fa un altro passo verso il fondo. Secondo il British Medical Journal l'efficacia reale dei vaccini in circolazione non sarebbe
par Jean-Dominique Michel. Dans l’acte où nous nous trouvons de cette triste tragicomédie collective, les zautorités et les médias se gargarisent de notre « unique planche de salut vaccinale ». Dans ce rétrécissement de la pensée caractéristique des uns et des autres, on nous explique que l’efficacité du vaccin est de 95%, qu’il n’a pas d’effets secondaires graves, que les nor
Dans l'acte où nous nous trouvons de cette triste tragicomédie collective, les zautorités et les médias se gargarisent de notre " unique planche de salut vaccinale ". Dans ce rétrécissement d...
Une vaccination massive des personnes âgées et à risque devait être lancée lundi, aujourd'hui, des centaines d'élus locaux dont Martine Aubry, éléphant socialiste, se plaignent légitimement d'absence de livraisons et d'un bazar sans nom dans la logistique. Alors que plus de 2,500 millions de français attendent un rendez-vous, il semblerait qu'une décision discrète a ordonné le retrait
Moderna reconnaît avoir reçu un rapport du Département de la Santé publique de Californie (CDPH) selon lequel plusieurs personnes d'un centre de vaccination à San Diego ont été traitées pour d'éventuelles réactions allergiques après la vaccination d'un lot de vaccin COVID-19 de Moderna. La Société coopère pleinement avec le CDPH pour enquêter sur ces événements indésirables signalés. Conformément à la déclaration du CDPH, à ce stade, Moderna n'est pas au courant de groupes comparables d'événements indésirables provenant d'autres centres de vaccination qui peuvent avoir administré des vaccins à partir du même lot ou d'autres lots Moderna.
Moderna a confirmé qu'un total de 1 272 200 doses avait été produit dans le lot numéro 041L20A, avec près d'un million de doses (964 900) déjà distribuées à environ 1 700 sites de vaccination dans 37 États. Selon le CDPH, cela comprend plus de 330 000 doses de ce lot distribuées à 287 fournisseurs à travers l'état de Californie. Au total, 307 300 doses restent en stock et n'ont pas encore été distribuées.
Bien que Moderna ait déclaré ne pas savoir combien de doses avaient pu se retrouver dans des bras de personnes, il a signalé que le lot avait été expédié entre le 4 janvier et le 8 janvier et s'attend donc à ce qu'une partie importante des doses distribuées ait déjà été utilisée. . Cette enquête est toujours en cours et Moderna travaille en étroite collaboration avec la FDA et le CDC pour comprendre les cas cliniques et si la large pause dans l'utilisation du lot est justifiée.
Des cas similaires liés au vaccin Pfizer-BioNTech ont été référés au CDC et à la FDA pour examen. Selon d'autres rapports, le comité consultatif sur les vaccins nommé par le gouvernement de Hong Kong cherche plus de données auprès des gouvernements norvégien et allemand sur les décès signalés de personnes âgées après leur réception.
Moderna acknowledges receiving a report from the California Department of Public Health (CDPH) that several individuals at one vaccination center in San Diego were treated for possible allergic ...
Les scientifiques ont conclu que les vaccins peuvent aggraver la maladie COVID-19 via une amélioration dépendante des anticorps (EAD) et que les risques sont tenus secrets dans les protocoles d'essais cliniques et les formulaires de consentement.
Les résultats de l'étude ont été publiés dans l'International Journal of Clinical Practuce.
L'étude a conclu que les personnes vaccinées contre le COVID-19 courent un risque plus élevé de contracter des maladies plus graves que celles qui ne sont pas vaccinées. L'étude conclut en outre que ce fait est gardé secret dans les protocoles d'essais cliniques et les formulaires de consentement.
Les vaccins COVID-19 conçus pour déclencher des anticorps neutralisants peuvent sensibiliser les receveurs à une maladie plus grave que s'ils n'étaient pas vaccinés.
Les vaccins contre le SRAS, le MERS et le RSV n'ont jamais été approuvés, et les données générées dans le développement et les tests de ces vaccins suggèrent une grave préoccupation mécaniste: que les vaccins conçus empiriquement en utilisant l'approche traditionnelle (consistant en le pic viral de coronavirus non modifié ou peu modifié à susciter des anticorps neutralisants), qu'ils soient composés de protéines, de vecteurs viraux, d'ADN ou d'ARN et quelle que soit la méthode d'administration, peuvent aggraver la maladie COVID-19 via une amélioration dépendante des anticorps (EAD).
Ce risque est suffisamment obscurci dans les protocoles d'essais cliniques et les formulaires de consentement pour les essais de vaccins COVID-19 en cours pour qu'une compréhension adéquate de ce risque par les patients ne se produise probablement pas, ce qui empêche le consentement véritablement éclairé des sujets de ces essais.
Les scientifiques recommandent que ces risques d'EIM soient divulgués aux personnes vaccinées.
Results of a study published in the International Journal of Clinical Practuce found that there is enough literature available to determine that COVID-19 vaccines increases the risk of more severe ...
Moderna arrête la vaccination contre le COVID-19 en Californie après de graves réactions allergiques. Enquête lancée
Les responsables de la santé californiens recommandent aux fournisseurs de suspendre l'administration d'un lot spécifique du vaccin Moderna COVID-19 en raison de réactions allergiques possibles qui sont sous enquête.
L'épidémiologiste de l'État de Californie, le Dr Erica S. Pan, a publié dimanche soir une déclaration concernant le lot «041L20A».
«Un nombre plus élevé que d'habitude de réactions allergiques possibles a été signalé avec un lot spécifique de vaccin Moderna administré dans une clinique de vaccination communautaire. Moins de 10 personnes ont nécessité des soins médicaux sur une période de 24 heures », a déclaré le Dr Pan.
Selon la déclaration,
«Par extrême prudence et reconnaissant également l’offre extrêmement limitée de vaccins, nous recommandons aux fournisseurs d’utiliser d’autres stocks de vaccins disponibles et de suspendre l’administration des vaccins de Moderna Lot 041L20A jusqu’à l’enquête menée par le CDC, la FDA, Moderna et le l'état est complet. Nous fournirons une mise à jour à mesure que nous en apprendrons davantage. »
Moderna has stopped COVID-19 vaccination in California after a batch of the vaccine caused severe allergic reactions. The matter is now under investigation by authorities. California health ...
Un document du CDC Britannique indique que sur 112 807 personnes vaccinées pour le Covid19 3 150 individus de ce groupe étaient «incapables d'accomplir des activités quotidiennes normales, incapables de travailler, nécessitant les soins d'un médecin ou d'un professionnel de la santé». En bref, 2,79% des personnes qui ont reçu le vaccin COVID ARN ont eu des réactions graves et / ou débilitantes dans les jours suivant la vaccination.
A document published by the CDC on anaphylaxis following an injection of the RNA COVID-19 vaccine that shows by December 18, a total of 112,807 people received the RNA vaccine. 3,150 of that group ...
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Trump déclassifie un document sensible sur la stratégie visant à “défendre, dominer et refuser” l’expansion militaire Chinoise dans l’Indo-Pacifique
Compte tenu de tout ce qui se passe dans un cycle de nouvelles dominé par le chaos au Capitole la semaine dernière et la mise en accusation de Pelosi, il y a eu peu de préavis concernant la déclassification peut-être inattendue par l’administration Trump d’un document de sécurité nationale très sensible qui expose la stratégie de la Maison Blanche pour contrer la Chine.
Ce document a été rendu public mardi en fin de journée et fait déjà la une des journaux au Japon, en Australie et dans d’autres publications régionales, même si les principaux médias américains sont relativement silencieux. Auparavant classé SECRET et non destiné à être diffusé aux ressortissants étrangers, il détaille la stratégie de l’administration Trump pour la région indo-pacifique, notamment pour défendre, dominer et refuser l’expansion militaire chinoise.
En publiant le texte intégral, moins quelques caviardages minimes, le document a été rendu public trente ans plus tôt (selon les procédures standard de déclassification et d’enregistrement public). Le conseiller à la sécurité nationale Robert O’Brien a déclaré, dans une déclaration annonçant sa publication, qu’il fournit “une orientation stratégique globale” pour les forces américaines dans la région et “démontre, avec transparence, les engagements stratégiques de l’Amérique envers l’Indo-Pacifique et nos alliés et partenaires”.
Le document de dix pages identifie ce qui suit comme un défi majeur pour la sécurité nationale : “Comment maintenir la primauté stratégique des États-Unis dans la région indo-pacifique et promouvoir un ordre économique libéral tout en empêchant la Chine d’établir de nouvelles sphères d’influence non libérales“.
Un moyen central pour y parvenir est de “concevoir et mettre en œuvre une stratégie de défense capable de, mais sans s’y limiter” :
refuser à la Chine une domination aérienne et maritime durable à l’intérieur du “premier chaînon insulaire” dans un conflit ;
défendre les nations de la première chaîne insulaire, y compris Taïwan ; et
dominer tous les domaines en dehors de la première chaîne d’îles.
Il s’agit là d’une des actions stratégiques les plus brutales énoncées dans le document qui ne manquera pas de provoquer la colère des dirigeants militaires de Pékin et de l’APL.
Voici ce que Rabobank avait à dire sur la nouvelle stratégie de Trump :
Dire que cela ne sera pas bien accueilli par la Chine, ou que la Chine ne sera pas heureuse que l’Australie et le Japon aient contribué à cette stratégie, est un euphémisme.
Bien sûr, nous avons maintenant l’administration Biden : y aura-t-il une inversion de la séparation des rôles ? Considérez le cas suivant d’Axios, qui montre certainement à quel point les deux étaient proches jusqu’à présent : “Le comité d’investiture du président élu Joe Biden remboursera un don de l’ancienne sénatrice Barbara Boxer après que le démocrate californien se soit fait enregistrer comme agent étranger pour une société de surveillance chinoise accusée d’être complice de l’internement massif de musulmans ouïghours dans le pays”.
Concernant les principaux partenaires régionaux des États-Unis, le document appelle les États-Unis à “accélérer la montée en puissance de l’Inde et sa capacité à servir de fournisseur net de sécurité”, à mettre en œuvre “un cadre de sécurité quadrilatéral avec l’Inde, le Japon, l’Australie et les États-Unis” et à approfondir encore “la coopération trilatérale avec le Japon et l’Australie”.
Tout en insistant pour que les États-Unis conservent leur “prééminence diplomatique, économique et militaire” dans la région, il appelle les États-Unis à “aligner leur stratégie indo-pacifique sur celles de l’Australie, de l’Inde et du Japon” ainsi qu’à “renforcer l’Association des nations de l’Asie du Sud-Est” pour contrer l’influence chinoise.
Elle suscite des réactions mitigées parmi les observateurs de la Chine et les analystes géopolitiques. Un critique qui cite les bons et les mauvais côtés des alliés régionaux de l’Amérique – en particulier l’Australie – est Rory Medcalf, le directeur du National Security College de l’Australian National University :
“Cela signifie un soutien constant aux alliés et aux partenaires, plutôt que la poursuite d’une quelconque primauté générale des États-Unis”, a-t-il déclaré.
Certains ont cependant déclaré qu’ils ne voyaient pas grand chose de nouveau dans ce document ou dans la manière dont il pourrait rassurer les alliés américains. Les sceptiques ont déclaré que la décision de déclassifier maintenant est un effort évident pour la continuité de la politique au milieu des préoccupations que l’administration Biden pourrait ne pas encore s’engager à contester la candidature de la Chine à la domination aussi fortement que Trump.
“Ce serait une chose s’il existait une théorie secrète du champ unifié qui expliquerait le caprice de la politique asiatique de Trump, mais ce n’est qu’un tas de mots à la mode banals et bureaucratiques”, a déclaré Van Jackson, maître de conférences en relations internationales à l’université Victoria de Wellington. “L’interprétation généreuse est que l’administration essaie de lier les mains de Biden en le publiant maintenant, mais cela semble être une mauvaise stratégie car il n’y a rien dans ce document qui pourrait contraindre Biden”.
Mais Medcalf a déclaré que le cadre déclassifié aurait une valeur durable en tant que début d’un plan pangouvernemental pour gérer la rivalité stratégique des États-Unis avec la Chine.
Medcalf a également noté que “ce n’est certainement pas une mauvaise chose de sauver les quelques réalisations d’une époque autrement sombre de la politique étrangère américaine, tout en posant quelques jalons pour la nouvelle administration“, selon le Japan Times.
En attendant, Joe Biden a déjà promis que son administration “se montrerait ferme” envers la Chine, probablement aussi en renforçant les alliances régionales, comme le souligne le document. Trump a jusqu’à présent essayé d’imposer la nouvelle administration à la Chine. La publication de ce document stratégique constitue sans aucun doute une nouvelle étape importante dans l’accroissement de la pression sur l’équipe de politique étrangère de Biden et sur Pékin.
Trump va déclassifier des tonnes de documents sur l’Obamagate et le Russiagate dans les prochains jours
Le président Trump a déclassifié et autorisé la publication de “plus d’un pied de hauteur de documents” liés à la surveillance et à l’espionnage de l’administration Obama commis contre la campagne présidentielle de Trump en 2016, dans le cadre d’une campagne plus large visant à discréditer et à miner le président américain entrant.
Selon le journaliste et initié du Trump, John Solomon, les documents seront publiés dès vendredi, mais pas plus tard que lundi.
“Il a tenu ses promesses d’une manière importante. Plus d’une pile de documents de 30 cm de haut qu’il a autorisé à être diffusée par le FBI et le DOJ. Ce sont les choses que le FBI a essayé de cacher au public pendant 4 ans. Ils ont des révélations étonnantes, de grande envergure”, a déclaré Solomon à Fox News, “Lou Dobbs Tonight”.
Selon le site web de Solomon, Just The News, le communiqué de presse soutiendra les affirmations selon lesquelles l’ensemble du récit sur le Russiagate a été créé et a fait l’objet d’une fuite vers les médias pour dissimuler les inquiétudes concernant le scandale des e-mails d’Hillary Clinton.