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9 juillet 2024 2 09 /07 /juillet /2024 18:51
Les USA enregistrent tous les hommes de 18 à 26 ans pour la concription militaire
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26 juin 2024 3 26 /06 /juin /2024 20:59
L’Ukraine tente de se procurer de l’uranium au Niger via une société française pour produire ses propres armes nucléaires
 

 

Dans un monde qui vacille dangereusement au bord du désastre, le dernier rebondissement de la saga ukrainienne menace de nous précipiter dans l'abîme. L'Ukraine aurait acquis secrètement de l'uranium au Niger, une révélation incendiaire qui met à nu le pari risqué de l'Occident.

L'Ukraine ne se présente plus comme un simple pion, mais comme un proxy kamikaze dans un grand jeu nihiliste orchestré par les États-Unis et ses vassaux de l'UE et de l'OTAN. Cette histoire dépasse l'uranium ; c'est une révélation brûlante de la volonté de l'Occident à sacrifier l'Ukraine, "jusqu'au dernier Ukrainien", sur l'autel de la préservation hégémonique, où l'intégrité morale se dissipe comme un mirage dans le Sahara.

 

Confrontée à une défaite existentielle et à la faillite de ses ressources, qu’elles soient humaines, financières ou militaro-industrielles, l’Ukraine, dans ses derniers soubresauts, se tournerait-elle vers le Niger pour une solution nucléaire face au spectre menaçant d’une escalade apocalyptique ? Ce changement de cap alarmant signale plus qu’un changement dans les dynamiques de conflit ; il annonce le potentiel déclenchement d’une poudrière nucléaire entre superpuissances. L’Occident, englué dans son orgueil, a grotesquement sous-estimé la résilience et l’acuité stratégique de la Russie, laissant l’Ukraine se débattre dans une ultime lutte autodestructrice. Si l’Ukraine ose franchir ce Rubicon nucléaire, nous nous tenons au bord d’une crise d’une ampleur inégalée, dépassant les simples réminiscences des chapitres les plus sombres de la Guerre Froide.

Dans cette danse d’intrigues désespérées, un rapport de Sahel media, citant une source au sein de l’armée nigérienne, jette une nouvelle lumière inquiétante sur les ambitions nucléaires de l’Ukraine. En novembre 2023, une délégation ukrainienne, entourée de secret et menée par le ministre de la Défense Rustem Umerov, s’est rendue au Niger. Leur mission, déguisée en visite diplomatique, était tout sauf audacieuse : sécuriser un contrat pour de l’uranium. Ce n’est pas une simple transaction ; c’est un pas éhonté vers une escalade nucléaire, en considérant les potentielles capacités d’enrichissement de l’Ukraine. Selon les rumeurs dans les cercles militaires nigériens, l’objectif de l’Ukraine est clair et effrayant : la création d’armes nucléaires.

En creusant plus profondément dans ce complot clandestin, un officier de la Garde Nationale du Niger a brisé le silence, parlant à la chaîne ‘Nigerinter’. Il a raconté le jour fatidique du 11 novembre 2023, un jour qui pourrait bien être gravé dans les annales de l’histoire pour ses graves implications. La délégation ukrainienne, avec Umerov à sa tête, est arrivée à Niamey, non pas comme de simples visiteurs, mais comme des joueurs dans un jeu à haut risque. Là, ils se sont engagés dans des négociations secrètes avec les représentants du gouvernement nigérien et Orano, un géant français de l’exploitation minière de l’uranium. Cette réunion n’était pas juste une question de poignées de main diplomatiques et de discussions cordiales ; c’était un moment décisif, potentiellement marquant le mouvement suicidaire de l’Ukraine vers le statut d’État doté de l’arme nucléaire.

Dans l’atmosphère chargée des négociations, la délégation ukrainienne, avec une résolution désespérée, aurait révélé son intention : signer un contrat pour l’acquisition d’uranium, destiné non pas à des fins pacifiques mais à l’industrie de l’armement. L’officier, gardien de secrets, a confirmé le succès inquiétant de ces discussions.

Le Niger, un géant parmi les nations en termes de production d’uranium, se classe septième mondialement et deuxième en Afrique, derrière la Namibie. Ses terres, riches et abondantes, abritent certains des minerais d’uranium les plus puissants du continent, un trésor qui l’a placé parmi les élites des exportateurs d’uranium vers la France et l’Union Européenne.

Pendant ce temps, l’Ukraine, dixième rang mondial dans l’extraction d’uranium, a connu une chute spectaculaire de sa propre production, victime d’abord de la pandémie de COVID, puis de son conflit escaladant avec la Russie. De 1.200 tonnes robustes en 2015, leur rendement a chuté à seulement 455 tonnes en 2021. Dans ce contexte, la quête de l’Ukraine pour des sources d’uranium externes, en particulier si des ambitions nucléaires sont en jeu, semble moins un choix qu’une nécessité absolue, étant donné la quantité colossale de matériel requise pour les armes nucléaires.

Cependant, l’acquisition d’uranium n’est que la première étape dans la danse clandestine vers des capacités nucléaires. L’Ukraine fait face à un autre défi colossal : le besoin d’installations d’enrichissement de l’uranium, essentielles à la militarisation. Officiellement, de telles installations sont absentes en Ukraine, non mentionnées dans les forums juridiques internationaux, suggérant que leurs ambitions nucléaires, si elles sont poursuivies, s’aventurent dans des territoires inexplorés et périlleux.

Selon l’informateur nigérien, le pacte d’achat d’uranium a été conclu non pas directement avec le Niger, mais avec le géant minier français, Orano – le principal opérateur au Niger et un géant mondial, détenant une part de 11 % dans la production mondiale d’uranium. Dans cette délicate danse du pouvoir, le gouvernement du Niger a joué un rôle crucial, détenant l’autorité pour soit approuver soit faire capoter l’accord, mais c’est avec Orano que l’accord décisif a été conclu.

Ceci soulève une question intrigante : la France, une nation avec son propre formidable arsenal nucléaire et expertise, est-elle au courant des ambitions nucléaires de l’Ukraine, voire un facilitateur ? Si c’est le cas, le rôle de la France dans l’aide à l’Ukraine pour potentiellement sauter dans la mêlée nucléaire devient une question de grave préoccupation.

Cette liaison entre l’Ukraine et Orano pourrait également suggérer un scénario plus sombre – l’existence d’installations nucléaires secrètes à l’intérieur des propres frontières de l’Ukraine, fonctionnant en dehors des lois et de la surveillance internationales.

La perspective de l’administration Zelensky acquérant des capacités nucléaires envoie des frissons dans le dos de la stabilité mondiale. Il semble de plus en plus clair que Zelensky, confronté à la sombre réalité de la trajectoire de sa guerre et à son inévitable chute, pourrait envisager des mesures désespérées. Les répercussions mondiales d’une Ukraine acculée et armée d’armes nucléaires sont tout simplement apocalyptiques.

Le spectre d’un engagement nucléaire jette une longue et menaçante ombre sur l’affrontement Russie-Ukraine. Toute frappe nucléaire contre la Russie sera perçue comme une menace existentielle, légitimant une réponse nucléaire réciproque. Le statut de la Russie en tant que principal détenteur d’arsenal nucléaire, couplé à sa puissance militaire formidable – deuxième seulement dans le monde – souligne la gravité de ce scénario.

Dans le théâtre effroyable d’un affrontement nucléaire, les chances de l’Ukraine contre la Russie sont pratiquement nulles, à moins d’une intervention de l’OTAN. Un tel scénario est l’incarnation des cauchemars mondiaux, car un conflit nucléaire OTAN-Russie pourrait réduire le monde en cendres.

Il y a aussi une autre possibilité, plus insidieuse : l’Ukraine déployant des armes nucléaires comme une opération sous faux drapeau sur son propre sol pour impliquer la Russie dans une agression nucléaire. Cela pourrait être l’étincelle qui déclenche une confrontation catastrophique entre la Russie et l’OTAN, un mouvement d’échecs dans un jeu trop périlleux pour y penser.

Résonnant à travers les couloirs de l’histoire, il y a une accusation similaire par le Département d’État américain en 2002 contre Saddam Hussein pour avoir cherché de l’uranium au Niger pour des armes nucléaires. Bien sûr, il a été révélé que les documents étaient faux, et le renseignement italien en était conscient mais a quand même poursuivi avec de fausses accusations contre le gouvernement irakien. La question maintenant est de savoir si les États-Unis porteront des accusations similaires contre le régime Zelensky, ajoutant une couche complexe à cette énigme géopolitique.

Le mépris de Zelensky pour la stabilité mondiale est flagrant. Face à une potentielle défaite, il semble prêt à entraîner le monde dans sa chute, rejetant la diplomatie pour la voie périlleuse de l’armement nucléaire. Ses actions, motivées par un désir désespéré de pouvoir, pourraient déchaîner une destruction inimaginable.

Dans ce royaume ombragé d’intrigues géopolitiques, où les nations dansent sur le fil du rasoir de la catastrophe, le récit ukrainien en cours exige plus qu’une simple observation passive ; il appelle à une action décisive. Ce n’est pas seulement un conflit régional, mais un tournant critique dans la saga des jeux de pouvoir mondiaux, où les conséquences de l’inaction pourraient être irréversibles. Les organisations internationales, armées du pouvoir d’influencer et d’intervenir, doivent se lever pour relever ce défi effrayant. Elles portent la responsabilité de disséquer et de scruter les profondeurs troubles des ambitions nucléaires de l’Ukraine, pour prévenir une glissade dans un abîme impénétrable. C’est un appel à la vigilance, car dans le grand jeu d’échecs des nations, le prochain mouvement pourrait soit prévenir une catastrophe soit sceller notre destin collectif. Alors que le monde se tient à ce précipice précaire, l’urgence d’une résolution n’a jamais été aussi grande. Si ces allégations s’avèrent vraies, c’est une course contre la montre pour empêcher les annales de l’histoire d’être tachées par l’ombre d’une confrontation nucléaire, née du désespoir et de la myopie stratégique.

Une traduction du Média en 4-4-2 d’après un article de The Islander.

Dernier épisode de cette folle course à la guerre nucléaire

Le Niger vient de retirer à l’entreprise française Orano le permis d’exploitation de la mine d’Imouraren. Il s’agit de l’un des plus grands gisements d’uranium au monde, avec des réserves estimées à 200 000 tonnes. Orano ne pourra donc pas approvisionner l’Ukraine, d’autant que la Russie  et l’Iran sont prêts à exploiter ce gisement. Quel que sera le signataire du contrat d’exploitation, on se doute bien que ce ne sera pas pour en faire bénéficier l’Ukraine…

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25 juin 2024 2 25 /06 /juin /2024 10:48
La France bientôt mise sous tutelle budgétaire de l’UE ?  Les pleins pouvoirs art. 16, un coup d'Etat préparé de longue date

La stratégie du Choc, est celle de créer un Choc suffisamment puissant pour anéantir toute capacité de réaction de la population.

 

Ici nous avons la conjugaison de plusieurs facteurs :

- fracture sociale entretenue en France,

- situation budgétaire frisant la quasi faillite,

- vol de données de sécurité pour les JO,

- dissolution de l'Assemblée Nationale dans un contexte évènementiel explosif,

- volonté de l'OTAN d'obtenir un conflit contre la Russie,

- reprise en main de l'OTAN de la guerre en Ukraine,

- offensive contre la Crimée,

- instabilité aux USA,

- retrait du droit de véto des pays membres de l'UE,

- rétablissement de la conscription militaire dans de nombreux pays européens

 

 

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Et si Macron s’arrogeait les pleins pouvoirs après le 7 juillet, grâce à l’article 16 ?
Europe : il n’y a désormais plus d’obstacle au saut fédéral
 
Thierry Meyssan et le super-Etat européen
 

 

Nous sommes très mal barrés au sens strict et nos gouvernants nous mènent droit à la tyrannie après ces pseudo-élections européennes. 

Dans un excellent et récent texte Thierry Meyssan rappelle froidement :

« Le professeur de droit Walter Hallstein conçut le « Nouvel ordre européen » que le chancelier Adolf Hitler tenta de réaliser. Son idée était de fédérer les différents États européens autour d’une Allemagne élargie à tous les territoires de peuples germanophones.

Par la force du nombre, Berlin aurait alors gouverné l’Europe. Walter Hallstein n’était probablement pas nazi, mais il fut choisi pour négocier ce projet avec le duce Benito Mussolini. En 1958, il devint le premier président de la Commission européenne, preuve que les États-Unis et le Royaume-Uni avaient adopté, pour leur compte, le « Nouvel ordre européen », une fois l’Allemagne écrasée. C’est pourquoi, au début de cet article, je notais la ressemblance des intentions du président Macron pour les Jeux Olympiques de Paris 2024 avec celles du chancelier Adolf Hitler pour les Jeux de Berlin 1936. Dans les deux cas, il s’agit d’une manipulation de masse au service d’un impossible rêve impérial. »

 

On relira ici mon texte sur De Gaulle et la doctrine Hallstein : comme on sait, après la guerre les nazis ont choisi le parapluie américain pour s’imposer et poursuivre leur unification européenne et leur croisade antirusse. 

Meyssan ajoute que cette Europe atlantiste-totalitaire est politiquement composée de la gauche et du centre-droit (souvenez-vous de la liste Weil et de la liste socialiste en 1979…) :

« Alors que l’Union européenne s’apprête à se transformer en un État unique, son évolution politique prend un pas autoritaire. »

On rassure Meyssan cette fois : l’Europe est depuis longtemps fasciste et techno-totalitaire sous sa verbosité démocratique. C’est une bureaucratie…

Il y aura un débat. Certains partis seront plus égaux que d’autres :

« Cinq d’entre eux débattront en eurovision de leur projet pour présider la Commission européenne. Il s’agit de :

• Walter Baier, Gauche européenne ;
• Sandro Gozi, Renouveler l’Europe maintenant ;
• Ursula von der Leyen, Parti populaire européen ;
• Terry Reintke, Verts européens ;
• Nicolas Schmit, Parti socialiste européen. »

Malgré son avilissement et sa soumission la droite identitaire n’aura pas voix au chapitre :

« Le groupe « Identité et démocratie » n’a pas été invité à ce show. Car les cinq groupes précédents ont une conception particulière de la démocratie. Ils considèrent qu’Identité et démocratie ne joue pas le même jeu qu’eux et donc, refusent de débattre avec lui. »

Il y aura un débat, mais en anglais ! Or :

« Mais aucun État n’a demandé que l’anglais soit une des langues de l’Union. Malte, par exemple, qui a fait de l’anglais l’une de ses deux langues officielles, a préféré que ce soit le maltais qui soit utilisé à Bruxelles. Pourtant, l’anglais est devenu, de facto, la 24° langue de l’Union et la seule commune à tous. Cela n’a évidemment aucun rapport avec le fait que l’UE soit, non pas un projet européen, mais un projet anglo-saxon. »

De toute manière les jeux sont faits : ce sera le banquier d’affaires Goldman-Sachs, le plus dangereux de tous, qui sera imposé pour mener le naïf troupeau à l’abattoir :

« Au demeurant, cet étrange débat importe peu puisque chacun sait que le président de la Commission sera probablement choisi en dehors de ce cénacle : ce devrait être le banquier Mario Draghi. Ce n’est pas impossible puisqu’en 2019, Ursula von der Leyen n’a pas participé à ce débat et est pourtant devenue présidente de la Commission. »

Meyssan insiste : 

« Comprenez bien : certes Mario Draghi a 76 ans, mais c’est l’ancien gouverneur de la Banque centrale européenne. Dans cette fonction, il a tout fait pour que l’euro devienne irréversible. Il est parvenu, « Whatever it takes » (en anglais dans le texte), à le sauver de la crise de la dette souveraine des années 2010. Il n’a résolu aucun problème et a aggravé le gouffre qui sépare les économies des États-membres. D’un point de vue des États-membres, c’est donc un incapable, mais pas de celui des banquiers d’affaire ; une caste qui a toujours été la sienne (il fut le numéro 2 de Goldman Sachs pour l’Europe). »

On a bien avancé sur le libre-échange (dont l’unique mot d’ordre est depuis toujours : tout doit disparaître) :

« Au cours des dernières semaines, l’UE n’a pas avancé d’un iota face aux accords de libre-échange qu’elle a signé en violation de ses règles internes. À ses yeux, il suffit d’attendre pour que le problème disparaisse : d’ici quelques années, les secteurs agricoles touchés auront disparu. »

La Commission est toute-puissante dans tous les domaines (elle va créer son armée, et gare aux russes et aux contestataires) :
« La Commission n’a pas eu de difficulté à s’emparer des questions d’armement. Elle l’avait déjà fait pour les médicaments durant l’épidémie de Covid. Notez bien que la généralisation de ces médicaments n’a pas fait la preuve de son utilité face à la Covid-19. Là n’est pas le problème. Il ne s’agissait pas d’une épidémie dévastatrice, mais d’un prétexte à un exercice de mobilisation dans lequel chaque puissance a montré ce qu’elle pouvait obtenir. De ce point de vue, la Commission a prouvé qu’elle pouvait s’emparer d’un thème qui n’était pas de son ressort et qu’elle pouvait même conclure des contrats gigantesques au nom de ses membres sans leur dévoiler le secret de ses négociations. »

Tout devra disparaître, même nos ambassades :

« Lorsque l’UE sera devenue un État unique, la Commission devrait faire preuve de la même habileté et plus encore, puisque son action ne sera plus entravée par les 27 États-membres. Ils auront disparu. Après cette fusion, le banquier Mario Draghi devrait réaliser des « économies d’échelle ». Par exemple : il est inutile de gaspiller en ambassades pour chaque État-membre, un seul réseau suffit pour l’État-unique. Tant qu’à faire, les privilèges des uns seront mis au service de tous. Par exemple, le siège permanent des Français au Conseil de sécurité des Nations unies reviendra à l’Union. Ou encore, la Bombe atomique française sera remise à la Défense de l’Union. Les États neutres, tel que l’Autriche, auront de toute manière disparus. »

On a mis au pas le seul contestataire, le petit président slovaque (et on a revendiqué l’attentat) :

« Le véritable obstacle à la création d’un État-unique ne peut venir que des États-membres refusant de disparaître. Il réside dans le Conseil des chefs d’États et de gouvernements…Il y a quelques jours, le problème a été réglé : le 15 mai 2024 un individu a tiré cinq coups de feu à bout portant sur lui. Robert Fico a immédiatement été évacué (photo). Il a déjà été opéré deux fois et ses jours ne sont plus en danger. Le débat qu’il animait au sein du Conseil est interrompu. Il ne devrait pas reprendre. »

Meyssan conclue glacialement :

« L’Histoire de l’UE est déjà écrite. Ce qui est merveilleux avec ce projet, c’est qu’au fur et à mesure qu’il s’accomplit, on découvre pourquoi Bruxelles a imposé des règles et des faits qui n’avaient aucun sens lorsqu’ils ont été arrêtés, mais en prennent un désormais. »

Meyssan omet incidemment  l’horreur numérique (euro, contrôle social, vaccins constants et obligatoires sinon…) qui nous attend : voyez l’arrogance insensée du fils Barrot (oh, ces centristes cathos giscardiens…) pour vous faire une idée.

Je rappelle un texte de Trotski que j’avais étudié il y a quelques années. Il se passe de commentaires :

« L’histoire favorise le capital américain: pour chaque brigandage, elle lui sert un mot d’ordre d’émancipation. En Europe, les États-Unis demandent l’application de la politique des “portes ouvertes”… Mais, par suite des conditions spéciales où se trouvent les États-Unis, leur politique revêt une apparence de pacifisme, parfois même de facteur d’émancipation. »

Et on était en 1924… Regardez ce que Trotski ajoute :

« Pendant ce temps, l’Amérique édifie son plan et se prépare à mettre tout le monde à la portion congrue… La social-démocratie est chargée de préparer cette nouvelle situation, c’est-à-dire d’aider politiquement le capital américain à rationner l’Europe. Que fait en ce moment la social-démocratie allemande et française, que font les socialistes de toute l’Europe ? Ils s’éduquent et s’efforcent d’éduquer les masses ouvrières dans la religion de l’américanisme; autrement dit, ils font de l’américanisme, du rôle du capital américain en Europe, une nouvelle religion politique. »

On parlait de gauche ? De social-démocratie ? De banques américaines (Davos, c’est elles…) ? 

« En d’autres termes, la social-démocratie européenne devient actuellement l’agence politique du capital américain. Est-ce là un fait inattendu? Non, car la social-démocratie, qui était l’agence de la bourgeoisie, devait fatalement, dans sa dégénérescence politique, devenir l’agence de la bourgeoisie la plus forte, la plus puissante, de la bourgeoisie de toutes les bourgeoisies, c’est-à-dire de la bourgeoisie américaine. »

Et Trotski enfonce le clou :

« Le capital américain commande maintenant aux diplomates. Il se prépare à commander également aux banques et aux trusts européens, à toute la bourgeoisie européenne. »

Et l’interminable guerre euro-américaine contre la Russie permettra de renforcer l’Etat totalitaire européen. 

Je laisserai Tolkien tempêter (lettre du 9 décembre 1943) :

May the curse of Babel strike all their tongues !

 

Sources principales

https://www.voltairenet.org/article220791.html

https://www.voltairenet.org/article220899.html

Des perspectives du développement mondial (Rapport fait par Trotsky, le 28 juillet 1924, à l’assemblée des vétérinaires de Moscou)

https://www.dedefensa.org/article/de-gaulle-face-a-la-doctrine-hallstein

https://www.dedefensa.org/article/trotskiet-la-balkanisation-de-leurope

https://www.dedefensa.org/article/lue-veut-sa-guerre-pour-verrouiller-sa-dictature

Tolkien, le dernier gardien

Du rêve européen au cauchemar mondialiste

Source

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25 juin 2024 2 25 /06 /juin /2024 10:35
l'OTAN prévoit de lancer une attaque sous faux drapeau sur une ville européenne
 
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25 juin 2024 2 25 /06 /juin /2024 10:23

00:00:00 Introduction

00:03:45 Le rôle de la France et la voie gaullienne

00:10:00 Les relations France-États-Unis

00:17:03 Les perspectives sur les États-Unis

00:24:34 La domination américaine contestée

00:26:41 L'Europe doit s'émanciper

00:28:07 Le processus électoral et le chaos politique

00:36:39 La perte d'indépendance française

00:47:51 La perception française des États-Unis

00:49:17 L'impact de la philosophie de Nietzsche

00:51:08 La société américaine et le consumérisme

00:53:12 Les relations franco-américaines vécues

00:57:25 La stratégie américaine en Europe

01:04:14 Le messianisme américain et la mission universelle de la France

01:10:56 Vocation vs Messianisme

01:11:35 L'Allemagne et le Nord Stream 2

01:15:00 Influence américaine et avenir

01:18:09 La France, la religion et la culture

01:35:20 Conflits géopolitiques

01:35:43 L'argent et la guerre

01:36:19 Impact culturel américain

01:37:01 La verticalité du pouvoir en France

01:39:00 Conclusion

Bernard Monot: « Les USA, l’OTAN & leurs larbins supplétifs: Von der Leyen ,Scholz, Macron veulent entraîner l’Europe dans la 3ème Guerre mondiale y compris par un faux drapeau russe, pour cacher le naufrage financier occidental ! »

 

 

L'OTAN, la politique hégémonique des USA sur l'Europe et la France mènent à la guerre

The New-York Times: "Les responsables américains s’attendent à ce que les premières attaques sur le sol russe utilisant des armes US commencent d’ici qq jours."
Les USA,l'OTAN & leurs larbins supplétifs:
@vonderleyen,Scholz, Macron veulent entraîner l'Europe dans la… pic.twitter.com/bQlihM6TEi

— Bernard Monot (@Bernard_Monot) June 2, 2024

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17 juin 2024 1 17 /06 /juin /2024 17:20

Macron n'est que le produit dégénéré d'une société libérale le résultat exacerbé d'une éducation et une formation asservie aux diktats d'un mondialisme d'une élite démagogue et inutile.

La France semble sous une emprise comparable à celle des Services Secrets Américains, diffusion du chaos,  déstructuration de la société, corruption, manipulation, asservissement, soudoiement, pressions, destruction des services d'Etat, les rendant incapables de fonctionner normalement, mise sous tension de l'exécutif afin de le tenir dans sa main, tout en favorisant l'expansion des mafias, puisque les services d'ordre sont trop occupés a gérer la contestation, plus le chaos est grand plus les affaires sont bonnes, vente des biens nationaux, des entreprises de pointes à moindre prix, bref un pillage organisé en sous main, une prédation systématique.

Ce type d'agissement est décrit ci-dessous, comme celui de la période Batista à Cuba qui a mené à la Révolution.

Donc la France est aux mains d'une petite mafia qui défie les lois, et s'approprie tous les registres, mais cela n'est pas une attitude isolée elle est celle de l'élite Américaine en plein déclin.

Le terrain était propice, comme avant celui de 1958, mais aussi sous les 3ème et 4ème République, un terreau de Parlementaires et de Partis sans envergure aussi cupides que vénaux. Encore une fois la France est retombée dans un régime partisan ou l'on cultive la cooptation, la soumission et l'asservissement aux intérêts particuliers, mais non ceux de la France.

Alors regardez bien, écoutez bien ce qui suit cela en dit assez long sur la situation qui est une situation fabriquée, calculée, vous devrez voir la vidéo sur la "Démocratie" qui en dit long sur notre acceptation tacite à une hiérarchie verticale devenue complétement inutile.

Henry

Macron un Attila sur la France
Macron un Attila sur la France
Macron un Attila sur la France

Lundi 10 juin, au lendemain de la dissolution, Emmanuel Macron se rend à Oradour-sur-Glane (Haute-Vienne) pour y célébrer le 80e anniversaire des massacres de civils par les SS les 9 et 10 juin 1944.

Un grand Patron  à Macron : « Ça va, pas trop dures, ces journées ? », selon le journal Le Monde.

et Macron de répondre : « Mais pas du tout ! Je prépare ça depuis des semaines, et je suis ravi. Je leur ai balancé ma grenade dégoupillée dans les jambes. Maintenant on va voir comment ils s’en sortent… »

 

 

Illégitimité ou vice de procédure concernant les dates des Législatives, mais il s'en fout !

Du point de vue de l'étranger comment est vu Macron ! L'analyse Russe est tout a fait correcte puis celle d'un professeur de politique européenne à l'université de Cambridge au vitriol !

Réactions Françaises sur la duperie des élections

Le Système Macron

Le coup d'Etat mondialiste a suprématie Américaine par le Deep State!

De Gaulle nous avait prévenu :

Macron un Attila sur la France

« Les Américains font croire que ne pas être d’accord avec eux, si vouloir rompre l’alliance atlantique et mettre en danger la liberté de l’Occident. Cuba leur est montée à la cervelle. En Amérique du Sud, en Europe, en Asie, tout le monde en colonne par deux derrière l’Oncle Sam, sinon gare à vous ! (Rire.) Ce serait contraire à la solidarité et à la morale ! Voyons, Peyrefitte, c’est de la rigolade !

 

« Le grand problème, maintenant que l’affaire d’Algérie est réglée, c’est l’impérialisme américain. Le problème est en nous, parmi nos couches dirigeantes, parmi celles des pays voisins. Il est dans les têtes. »

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17 juin 2024 1 17 /06 /juin /2024 16:54

Une dépopulation pour pouvoir installer une société transhumaniste ou les machines remplaceraient les hommes au travail et ou les hommes seraient en nombre limité.

 

On comprends pourquoi l'Ukraine sert de champ d'expérimentation, ç'est une extermination, un génocide organisé de la population Ukrainienne non seulement a fonction de préservation des intérêts hégémoniques Américains, mais également un champ d'expérimentation pour l'instauration d'un pays sous contrôle social a des fins  transhumanistes et une cybernétisation de la société.

 

On peut se poser la question si un dépeuplement par la guerre en Europe est aussi une de leur "solution finale".

 

Henry

 

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13 juin 2024 4 13 /06 /juin /2024 09:44

La majorité issue des élections législatives risque très très gros, en effet :

 

Macron par stratégie va laisser une cohabitation s'opérer suite son une incurie totale financière, une gabegie sans précédent.

Il va laisser a cette majorité un terrain miné, miné par la dette, le recul de la note des agences de notation, un déficit abyssal, une économie en miette, un recul de la France au niveau international, une possibilité de Krach boursier, (actions, et obligations) une crise monétaire, un médiocrisation du service public etc...

Mais en plus la probabilité durant les Jeux Olympiques d'un attentat sous faux drapeau, engageant l'Europe dans un conflit ouvert avec la Russie.

Puis également  ceci : après deux mandats Macron ne peut se représenter, mais en démissionnant dans un an date pour date après les élections législatives parce qu'il n'aura pu "supporter" une cohabitation, ou le gouvernement aura été incapable de résoudre la situation qu'il aura volontairement laissé. Il pourra se représenter (car dans ce cas il n'aura pas été au bout de son deuxième mandat).

Il va s'en dire que la période d'un an entre les législatives et sa démission devra être super pourrie, pour qu'il puisse revenir comme sauveur.

 

Du pervers narcissique de haut vol avec l'aide de cabinet de conseil pour une dégringolade type tobogan de la France et des Français.

 

Donc je ne me réjouirais pas trop à l'idée d'une gouvernance future à moins bien sûr que cela soit convenu par avance dans l'ombre moyennant contre parties.

 

Henry

The New-York Times: "Les responsables américains s’attendent à ce que les premières attaques sur le sol russe utilisant des armes US commencent d’ici qq jours."
Les USA,l'OTAN & leurs larbins supplétifs:
@vonderleyen,Scholz, Macron veulent entraîner l'Europe dans la… pic.twitter.com/bQlihM6TEi

— Bernard Monot (@Bernard_Monot) June 2, 2024

 

 

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13 juin 2024 4 13 /06 /juin /2024 08:53

Le complexe militaro-industriel nous tue tous
 

 

 

Il faut se libérer du monstre qui détruit notre planète et notre avenir

Nous devons parler de ce que font les bombes en temps de guerre. Les bombes déchiquettent la chair. Les bombes brisent les os. Les bombes démembrent. Les bombes font trembler le cerveau, les poumons et d’autres organes si violemment qu’ils saignent, se rompent et cessent de fonctionner. Les bombes blessent. Les bombes tuent. Les bombes détruisent.

 

Les bombes rendent également certaines personnes riches.

 

Lorsqu’une bombe explose, quelqu’un en profite. Et lorsque quelqu’un profite, les bombes font davantage de victimes invisibles. Chaque dollar dépensé pour une bombe est un dollar qui n’est pas dépensé pour sauver une vie d’une mort évitable, un dollar qui n’est pas dépensé pour guérir le cancer, un dollar qui n’est pas dépensé pour éduquer les enfants. C’est pourquoi, il y a si longtemps, le général cinq étoiles à la retraite et président Dwight D. Eisenhower a qualifié à juste titre de « vol » les dépenses consacrées aux bombes et à tout ce qui est militaire.

L’auteur de ce vol est peut-être la force destructrice la plus méconnue au monde. Il est à l’origine de nombreux problèmes majeurs aux États-Unis et dans le monde d’aujourd’hui. Eisenhower a mis en garde les Américains contre cette force dans son discours d’adieu de 1961, en l’appelant pour la première fois « le complexe militaro-industriel » (CMI).

Il faut d’abord savoir que, grâce à la capacité du CMI à détourner le budget fédéral, les dépenses militaires annuelles totales sont bien plus importantes que la plupart des gens ne le pensent : environ 1 500 000 000 000 $ (1500 milliards de dollars). Contrairement à ce que le CMI nous fait croire, ce chiffre incompréhensible est monstrueusement disproportionné par rapport aux quelques menaces militaires qui pèsent sur les États-Unis. 1500 milliards de dollars, c’est à peu près le double de ce que le Congrès dépense annuellement pour tous les objectifs non militaires combinés.

Il n’est pas exagéré de qualifier ce transfert massif de richesses de « vol », puisqu’il est prélevé sur des besoins urgents tels que la lutte contre la faim et la pauvreté, la gratuité de l’université et de la maternelle, la mise en place d’un système de santé universel et la construction d’une infrastructure d’énergie verte pour nous protéger du changement climatique. Pratiquement tous les grands problèmes auxquels s’intéressent les ressources fédérales pourraient être améliorés ou résolus avec des fractions de l’argent réclamé par le CMI. L’argent est là.

L’essentiel de l’argent des contribuables est accaparé par un groupe relativement restreint d’entreprises qui profitent de la guerre, sous la houlette des cinq plus grandes sociétés qui tirent profit de l’industrie de la guerre : Lockheed Martin, Northrop Grumman, Raytheon (RTX), Boeing et General Dynamics. Au fur et à mesure que ces entreprises engrangent des bénéfices, le CMI sème une destruction incompréhensible à l’échelle mondiale, maintenant les États-Unis enfermés dans des guerres sans fin qui, depuis 2001, ont tué environ 4,5 millions de personnes, en ont blessé des dizaines de millions d’autres et en ont déplacé au moins 38 millions, selon le projet « Costs of War » de l’université de Brown.

La domination cachée du CMI sur nos vies doit cesser, ce qui signifie que nous devons le démanteler. Cela peut sembler totalement irréaliste, voire fantaisiste. Mais ce n’est pas le cas. Et d’ailleurs, nous parlons du démantèlement du CMI, pas de l’armée elle-même. (La plupart des militaires font d’ailleurs partie des victimes du CMI).

Si le profit fait depuis longtemps partie de la guerre, la CMI est un phénomène relativement récent, postérieur à la Seconde Guerre mondiale, qui s’est formé grâce à une série de choix effectués au fil du temps. Comme d’autres processus, comme d’autres choix, ils peuvent être inversés et le CMI peut être démantelée.

La question est bien sûr de savoir comment.

L’émergence d’un monstre

Pour savoir ce qu’il faudrait faire pour démanteler le CMI, il faut d’abord comprendre comment il est né et à quoi il ressemble aujourd’hui. Compte tenu de sa taille et de sa complexité surprenantes, nous avons créé, avec une équipe de collègues, une série de graphiques pour aider à visualiser le CMI et les dommages qu’il inflige, que nous partageons publiquement pour la première fois.

La CMI est née après la Seconde Guerre mondiale, comme l’a expliqué Eisenhower, de la « conjonction d’un immense établissement militaire » – le Pentagone, les forces armées, les agences de renseignement et autres – « et d’une vaste industrie de l’armement ». Ces deux forces, l’armée et l’industrie, se sont unies au Congrès pour former un « triangle de fer » impie ou, selon certains spécialistes, ce qu’Eisenhower appelait initialement et plus précisément le complexe militaro-industriel-congressionnel. Jusqu’à ce jour, ces trois-là sont restés au cœur du CMI, enfermés dans un cycle auto-entretenu de corruption légalisée (qui comporte également beaucoup trop d’illégalités).

Le système de base fonctionne comme suit : Premièrement, le Congrès prélève chaque année des sommes exorbitantes sur les contribuables pour les donner au Pentagone. Deuxièmement, le Pentagone, sur ordre du Congrès, remet d’énormes quantités de cet argent aux fabricants d’armes et à d’autres entreprises par le biais de contrats très lucratifs, leur permettant de réaliser des dizaines de milliards de dollars de bénéfices. Troisièmement, ces entrepreneurs utilisent ensuite une partie des bénéfices pour faire pression sur le Congrès afin d’obtenir d’autres contrats du Pentagone, que le Congrès est généralement ravi de fournir, perpétuant ainsi un cycle apparemment sans fin.

Mais le CMI est plus compliqué et plus insidieux que cela. Dans ce qui est en fait un système de corruption légalisée, les dons de campagne contribuent régulièrement à augmenter les budgets du Pentagone et à garantir l’attribution de contrats encore plus lucratifs, qui profitent souvent à un petit nombre de contractants dans une circonscription du Congrès ou dans un État. Ces entrepreneurs défendent leur cause avec l’aide d’une armée virtuelle de plus de 900 lobbyistes basés à Washington. Nombre d’entre eux sont d’anciens fonctionnaires du Pentagone, d’anciens membres du Congrès ou d’anciens membres du personnel du Congrès, embauchés par le biais d’une « porte tournante » qui tire parti de leur capacité à faire du lobbying auprès d’anciens collègues. Ces entrepreneurs font également des dons à des groupes de réflexion et à des centres universitaires désireux de soutenir l’augmentation des dépenses du Pentagone, les programmes d’armement et une politique étrangère hyper-militarisée. La publicité est un autre moyen de promouvoir les programmes d’armement auprès des élus.

Ces fabricants d’armes répartissent également leur production entre le plus grand nombre possible de circonscriptions du Congrès, ce qui permet aux sénateurs et aux représentants de revendiquer la création d’emplois. Les emplois du CMI, à leur tour, créent souvent des cycles de dépendance dans les communautés à faibles revenus qui ont peu d’autres moteurs économiques, achetant ainsi le soutien des populations locales.

De leur côté, les contractants se livrent régulièrement à une surenchère légale des prix, surfacturant aux contribuables toutes sortes d’armes et d’équipements. Dans d’autres cas, la fraude des contractants vole littéralement l’argent des contribuables. Le Pentagone est la seule agence gouvernementale à n’avoir jamais fait l’objet d’un audit – ce qui signifie qu’elle ne peut littéralement pas suivre l’évolution de son argent et de ses actifs – et pourtant elle reçoit plus du Congrès que toutes les autres agences gouvernementales réunies.

En tant que système, le CMI garantit que les dépenses du Pentagone et la politique militaire sont dictées par la recherche de profits toujours plus élevés par les entrepreneurs et par les désirs de réélection des membres du Congrès, et non par une quelconque évaluation de la meilleure façon de défendre le pays. L’armée qui en résulte est, sans surprise, de piètre qualité, surtout si l’on tient compte de l’argent dépensé. Les Américains devraient prier pour qu’elle n’ait jamais à défendre les États-Unis.

Aucune autre industrie – pas même Big Pharma ou Big Oil – ne peut rivaliser avec le pouvoir du CMI pour façonner la politique nationale et dominer les dépenses. En fait, les dépenses militaires sont aujourd’hui plus importantes (en tenant compte de l’inflation) qu’au plus fort des guerres du Viêt Nam, d’Afghanistan ou d’Irak, ou, en fait, qu’à n’importe quel moment depuis la Seconde Guerre mondiale, malgré l’absence de menace justifiant de près ou de loin de telles dépenses. Nombreux sont ceux qui réalisent aujourd’hui que le principal bénéficiaire de plus de 22 ans de guerres américaines sans fin au cours de ce siècle a été la partie industrielle du CMI, qui a engrangé des centaines de milliards de dollars depuis 2001. “Qui a gagné en Afghanistan ? les entreprises d’armements privées“, titrait le Wall Street Journal en 2021.

Guerres sans fin, morts sans fin, destruction sans fin

Dans ce titre, « Afghanistan » aurait pu être remplacé par Corée, Viêt Nam ou Irak, entre autres guerres américaines apparemment sans fin depuis la Seconde Guerre mondiale. Le fait que le CMI ait profité de ces guerres n’est pas une coïncidence. Elle a contribué à entraîner le pays dans des conflits avec des pays tels que la Corée, le Viêt Nam, le Cambodge et le Laos, le Salvador, le Guatemala, le Panama et la Grenade, l’Afghanistan, la Libye, la Somalie et bien d’autres encore.

Ces guerres ont fait des dizaines de millions de morts et de blessés. Le nombre estimé de morts des guerres post-11 septembre en Afghanistan, en Irak, au Pakistan, en Syrie et au Yémen est étrangement similaire à celui des guerres au Viêt Nam, au Laos et au Cambodge : 4,5 millions.

Les chiffres sont si importants qu’ils peuvent devenir insupportables. Le poète irlandais Pádraig Ó Tuama nous aide à nous concentrer :

une vie
une vie
une vie
une vie
une vie
parce que chaque fois
est la première fois
que cette vie
a été prise.
Le bilan environnemental

Les dommages causés par la CMI s’étendent à des dégâts environnementaux souvent irréparables, notamment l’empoisonnement des écosystèmes, la perte dévastatrice de biodiversité et l’empreinte carbone de l’armée américaine, qui est plus importante que celle de n’importe quelle autre organisation sur terre. En temps de guerre ou lors des entraînements quotidiens, le CMI a littéralement alimenté le réchauffement de la planète et le changement climatique en brûlant des carburants pour faire fonctionner les bases, faire fonctionner les véhicules et produire des armes.

Les coûts humains et environnementaux du CMI sont particulièrement invisibles en dehors de la zone continentale des États-Unis. Dans les territoires américains et autres « zones grises » politiques, les investissements dans les infrastructures et les technologies militaires reposent en partie sur la citoyenneté de seconde zone des communautés autochtones, qui dépendent souvent de l’armée pour leur subsistance.

Des guerres sans fin à l’intérieur du pays

Si le CMI a alimenté les guerres à l’étranger, elle a également alimenté la militarisation à l’intérieur du pays. Pourquoi, par exemple, les forces de police nationales sont-elles devenues si militarisées ? Au moins une partie de la réponse : depuis 1990, le Congrès autorise le Pentagone à transférer ses armes et équipements « excédentaires » (y compris les chars et les drones) aux forces de l’ordre locales. Ces transferts permettent au Pentagone et à ses sous-traitants de demander au Congrès d’acheter du matériel de remplacement, ce qui alimente encore plus le CMI.

À la recherche de nouveaux profits sur de nouveaux marchés, les sous-traitants vendent de plus en plus leurs produits militaires directement aux équipes d’intervention spéciales et aux autres forces de police, aux patrouilles frontalières et aux systèmes pénitentiaires. Les hommes politiques et les entreprises ont investi des milliards de dollars dans la militarisation des frontières et l’incarcération de masse, contribuant ainsi à l’essor des lucratifs « complexe industriel frontalier » et « complexe industriel carcéral », respectivement. La militarisation intérieure a porté un préjudice disproportionné aux communautés noires, latinos et indigènes.

Une menace existentielle

Certains défendront le complexe militaro-industriel en insistant sur le fait que nous avons besoin de ses emplois ; d’autres en affirmant qu’il maintient les Ukrainiens en vie et protège le reste de l’Europe de la Russie de Vladimir Poutine ; d’autres encore en mettant en garde contre la Chine. Chacun de ces arguments illustre à quel point le pouvoir du CMI repose sur la fabrication systématique de peurs, de menaces et de crises qui contribuent à enrichir les marchands d’armes et autres membres du CMI en les incitant à augmenter toujours plus les dépenses militaires et les guerres (malgré un bilan presque ininterrompu d’échecs catastrophiques dans presque tous les conflits américains depuis la Seconde Guerre mondiale).

L’argument selon lequel les niveaux actuels de dépenses militaires doivent être maintenus pour « l’emploi » devrait prêter à rire. L’armée ne doit pas être un programme d’emploi. Si le pays a besoin de programmes pour l’emploi, les dépenses militaires se sont révélées peu créatrices d’emplois et peu propices à la croissance économique. Les recherches montrent qu’elles créent beaucoup moins d’emplois que des investissements comparables dans les soins de santé, l’éducation ou les infrastructures.

L’armement américain a aidé l’Ukraine à se défendre, mais les fabricants d’armes sont loin d’être des altruistes. S’ils se souciaient vraiment des Ukrainiens, ils auraient renoncé à tout profit, ce qui aurait permis de consacrer plus d’argent à l’aide humanitaire dans ce pays. Au lieu de cela, ils ont utilisé cette guerre, tout comme la guerre génocidaire d’Israël contre Gaza et les tensions croissantes dans le Pacifique, pour gonfler cyniquement leurs profits et leurs cours boursiers de manière spectaculaire.

Si l’on écarte les discours alarmistes, il devrait être clair que l’armée russe a démontré sa faiblesse, son incapacité à conquérir de manière décisive des territoires près de ses propres frontières, sans parler de marcher sur l’Europe. En fait, les armées russe et chinoise ne représentent aucune menace militaire conventionnelle pour les États-Unis. Le budget annuel de l’armée russe est inférieur ou égal au dixième de celui de l’armée américaine. Le budget militaire de la Chine est d’un tiers à la moitié de celui des États-Unis. Les disparités sont bien plus importantes si l’on combine le budget militaire des États-Unis avec ceux de leurs alliés de l’OTAN et d’Asie.

Malgré cela, les membres du CMI encouragent de plus en plus les confrontations directes avec la Russie et la Chine, aidés en cela par la guerre de Poutine et les propres provocations de la Chine. Dans l’« Indo-Pacifique » (comme l’appellent les militaires), le CMI continue de gagner de l’argent alors que le Pentagone construit des bases et des forces autour de la Chine en Australie, à Guam, dans les États fédérés de Micronésie, au Japon, dans les Îles Marshall, dans les Îles Mariannes du Nord, à Palau, en Papouasie-Nouvelle-Guinée et aux Philippines.

De telles mesures et un renforcement similaire en Europe ne font qu’encourager la Chine et la Russie à renforcer leurs propres armées. (Imaginez la réaction des politiciens américains si la Chine ou la Russie construisaient une seule base militaire à proximité des frontières de ce pays). Si tout cela est de plus en plus rentable pour le CMI, cela accroît le risque d’un conflit militaire qui pourrait dégénérer en une guerre nucléaire entre les États-Unis et la Chine, la Russie ou les deux, qui pourrait mettre fin à l’espèce.

L’urgence du démantèlement

L’urgence du démantèlement du complexe militaro-industriel n’est plus à démontrer. L’avenir de l’espèce et de la planète en dépend.

La manière la plus évidente d’affaiblir le CMI serait de le priver de sa source de vie, l’argent de nos impôts. Peu de gens ont remarqué qu’après avoir quitté ses fonctions, l’ancien chef du Pentagone de l’ère Trump, Christopher Miller, a appelé à réduire de moitié le budget du Pentagone. Oui, de moitié.

Même une réduction de 30 % – comme cela s’est produit trop brièvement après la fin de la guerre froide en 1991 – permettrait de dégager des centaines de milliards de dollars par an. Imaginez comment de telles sommes permettraient de construire des vies plus sûres, plus saines et plus sécurisées dans ce pays, y compris une transition économique juste pour tout le personnel militaire et les sous-traitants qui perdent leur emploi. Et n’oubliez pas que ce budget militaire resterait nettement supérieur à celui de la Chine, de la Russie, de l’Iran et de la Corée du Nord réunis.

Bien entendu, il est difficile de songer à réduire le budget du Pentagone, car le CMI s’est emparé des deux partis politiques, ce qui garantit pratiquement l’augmentation constante des dépenses militaires. Ce qui nous ramène à la question de savoir comment démanteler le CMI en tant que système.

En bref, nous travaillons sur les réponses. Avec le groupe d’experts qui a participé à la réalisation des graphiques de cet article, nous explorons, entre autres, les campagnes de désinvestissement et les poursuites judiciaires, l’interdiction des profits de guerre, la réglementation ou la nationalisation des fabricants d’armes et la conversion de certaines parties de l’armée en une force non armée de secours en cas de catastrophe, de santé publique et d’infrastructure.

Bien que beaucoup trop d’entre nous continuent de croire que le démantèlement du CMI est irréaliste, compte tenu des menaces auxquelles nous sommes confrontés, il est temps de réfléchir avec le plus d’audace possible à la manière de réduire son pouvoir, de résister à l’idée inventée que la guerre est inévitable, et de construire le monde que nous voulons voir. Tout comme les mouvements passés ont réduit le pouvoir de Big Tobacco et des barons du rail, tout comme certains s’attaquent aujourd’hui à Big Pharma, Big Tech et au complexe carcéro-industriel, nous devons nous attaquer au CMI pour construire un monde axé sur l’enrichissement des vies humaines (dans tous les sens du terme) plutôt qu’un monde axé sur les bombes et autres armements qui apportent la richesse à une poignée de privilégiés qui tirent profit de la mort.

David Vine et Theresa Arriola

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31 mai 2024 5 31 /05 /mai /2024 10:01
"Ne pensez pas que la France était résistante"
 
La guerre devient une opportunité pour Macron : d'une part la possibilité de reste au pouvoir ; en effet une déclaration de guerre rend impossible la destitution du Président, mais il y a le recours à l'article 16 qui permet à ce dernier d'obtenir les pleins pouvoirs :

 

Que disent les Constitutionnalistes :

 

Le recours à l’article 16 de la Constitution, qui confie les pleins pouvoirs au président de la République pour faire face à une situation de crise. L’article dispose que «lorsque les institutions de la République, l’indépendance de la nation, l’intégrité de son territoire ou l’exécution de ses engagements internationaux sont menacées d’une manière grave et immédiate et que le fonctionnement régulier des pouvoirs publics constitutionnels est interrompu, le Président de la République prend les mesures exigées par ces circonstances, après consultation officielle du Premier ministre, des présidents des assemblées ainsi que du Conseil constitutionnel.» Par extension, pointe Didier Maus, «on pourrait imaginer que le Président prolonge son mandat au nom des mesures indispensables à la sécurité nationale», toujours en modifiant l’article 6. Ce qui supposerait quand même de faire évoluer la jurisprudence du Conseil sur le sujet, puisqu’il découle d’une décision de 1992 que le Président de la République ne peut pas engager ou poursuivre une révision de la Constitution lorsqu’il exerce ses pouvoirs exceptionnels en application de l’article 16.

Quoi qu’il en soit, dans le cas présent, l’article 16 reste «inapplicable car il implique que la France soit directement concernée», poursuit le constitutionnaliste. A l’heure actuelle, donc, et malgré sa gravité et ses implications (géo) politiques, «la crise ukrainienne n’est pas une circonstance de nature à vicier l’élection présidentielle». Un avis partagé par Bastien Thomas, qui estime qu’«un conflit russo-ukrainien n’affectant pas le fonctionnement régulier des pouvoirs publics français, ni l’intégrité du territoire national, ne justifie pas de reporter l’élection». (toujours par le Constitutionnaliste)

Mais qu'en est il si la Russie déclare la guerre à la France (puisque Poutine a prévenu qu'une agression intermédiaire Française en constituait le cas), donc on revient en cas de conflit direct à la solution de l'application de l'article 16 des pleins pouvoirs *(voir la réponse de Medvedev qui confirme ce que j'avance à la suite)

La Constitution décodée rappelle que ce scrutin est «un acte démocratique fondamental qui sert à désigner notamment le chef des armées qu’est le président de la République». Ce qui lui fait dire qu’«il est nécessaire que cet instant démocratique puisse se dérouler au moment où il est prévu, afin de conférer à ce Président [celui nouvellement élu ou reconduit, ndlr] toute la légitimité dont il a besoin pour intervenir dans cette crise européenne majeure.»

source

 

Mais également la possibilité de subtilisation de l'épargne Française sous prétexte d'économie de Guerre pour éponger ou effacer les dettes des mandats Macron avec le danger de nous mettre dans la guerre effectivement.

Les comptes publics de la France, tout comprendre en une image !

 

Cela permet également d'instaurer un régime autoritaire puisque les pleins pouvoirs peuvent anéantir toute contestation (exit l'affaire Mme., les affaires financières, magouilles, tripatouillages etc... que trimbale le parti Renaissance, (avec son corollaire la Renaissance des Borgias)

 

Vous voyez que des avantages pour lui et ses compagnons mais que des désavantages pour nous tous.

 

Henry.

 

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Reuters :  le 6/6 Macron annoncerait l’entrée en guerre de la France contre la Russie la semaine prochaine
 
* REPONSE DE MEDVEDEV au sujet de frappes sur le sol Russe
Guerre d'Ukraine : L’annonce explosive serait imminente, des "centaines d’instructeurs français" bientôt déployés
 

Lundi, le commandant en chef des forces armées ukrainiennes Oleksandr Syrsky avait annoncé avoir signé les documents nécessaires à la venue d’instructeurs militaires français en Ukraine pour former des soldats avant de tempérer ses propos.

 

 

Paris pourrait annoncer l’envoi de personnel militaire en Ukraine pour former des soldats à l’occasion de la visite du président Volodymyr Zelensky en France la semaine prochaine, malgré les inquiétudes de certains alliés et les critiques de la Russie, ont indiqué trois sources diplomatiques.

La France espère par ailleurs créer et diriger une coalition pour former les soldats ukrainiens, ont précisé les diplomates, même si certains de ses partenaires de l’Union européenne (UE) craignent que cela n’entraîne un conflit direct avec la Russie.

Selon les sources, la France enverrait dans un premier temps un nombre limité de personnels pour évaluer les modalités d’une mission avant d’envoyer plusieurs centaines d’instructeurs.

"Préparatifs très avancés"

La formation serait axée sur le déminage, la maintenance des équipements opérationnels et l’expertise technique nécessaire à l’emploi des avions de combat qui seront fournis par l’Occident, ont indiqué les diplomates. Paris financerait, armerait et entraînerait également une brigade motorisée ukrainienne.

"Les préparatifs sont très avancés et on pourrait s’attendre à quelque chose la semaine prochaine", a déclaré une des sources. Volodymyr Zelensky est attendu en France le 6 juin dans le cadre des commémorations du D-Day, qui marquent le 80e anniversaire du débarquement allié en Normandie.

Il s’entretiendra avec le président français Emmanuel Macron à Paris le lendemain. Lundi, le commandant en chef des forces armées ukrainiennes Oleksandr Syrsky avait annoncé avoir signé les documents nécessaires à la venue d’instructeurs militaires français en Ukraine pour former des soldats.

Le ministère ukrainien de la Défense a cependant nuancé cette déclaration par la suite, indiquant que Kyiv avait "exprimé son intérêt pour la perspective de recevoir des instructeurs étrangers en Ukraine". Le président russe Vladimir Poutine a prévenu mardi que la présence de l’armée française régulière en Ukraine représenterait une nouvelle étape vers un conflit mondial.

"Créer une coalition"

La France a formé environ 10.000 soldats ukrainiens depuis l’invasion russe en février 2022, mais toujours au sein de l’UE. La mission en question se déroulerait sans l’assentiment de l’Otan ou de l’UE, selon les diplomates, certains partenaires de la France refusant de participer à une mission qu’ils jugent trop risquée.

Interrogé de nouveau sur le sujet lors de son déplacement en Allemagne, Emmanuel Macron avait déclaré qu’il n’avait "pas pour habitude de commenter des rumeurs", ajoutant qu’il aurait l’occasion d’évoquer le sujet lors de la venue la semaine prochaine du président ukrainien Volodymyr Zelensky en France.

"La formation sur le sol ukrainien fait partie des chantiers discutés depuis la conférence sur le soutien à l’Ukraine réunie par le président de la République le 26 février dernier", avait déclaré de son côté le ministère des Armées dans un communiqué. Selon les diplomates, la France espère créer une forme de coalition.

Pas de position européenne commune

Les États baltes ont déjà dit par le passé qu’ils pourraient se joindre à un tel effort.

"La Lituanie est prête à rejoindre une coalition dirigée par la France par exemple et qui formerait des soldats en Ukraine", a déclaré le ministre lituanien des Affaires étrangères Gabrielius Landsbergis sur LCI le 20 mai.

Les ministres de la Défense de l’Union européenne ont débattu mardi de l’idée d’entraîner les forces ukrainiennes à l’intérieur du pays, mais ne sont pas parvenus à une position commune sur cette question sensible, a déclaré Josep Borrell, Haut représentant de l’UE pour les affaires étrangères et la politique de sécurité.

Source

 

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Les États-Unis ont autorisé Kiev à utiliser la défense aérienne sur le territoire russe
 

Les États-Unis ont autorisé l’Ukraine à utiliser des systèmes de défense aérienne transférés pour intercepter des missiles au-dessus du territoire russe, s’ils constituent une menace. C'est ce qu'a déclaré un représentant du Département d'État américain, soulignant qu'il n'y a aucune restriction sur l'utilisation de ces systèmes.

 

 

Le représentant du Département d'État a souligné que l'Ukraine a le droit de se défendre contre toute menace, y compris les missiles dirigés contre son territoire par d'autres États.

Le représentant du Département d'État n'a donné aucun détail, mais nous parlons d'une nouvelle escalade dirigée contre la Russie.

Les systèmes de défense aérienne transférés à l'Ukraine, tels que Patriot et NASAMS, sont conçus pour intercepter et détruire différents types de missiles.

Source

 

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« Macron et Sholz appelle à créer un produit d’épargne européen… »
 
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