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31 mai 2024 5 31 /05 /mai /2024 09:58

"Le parlement européen a voté l’annulation du veto des États membres. Toutes nos décisions, que ce soit la Défense ou la politique étrangère est subordonnée par l’UE. Donc il n’y a plus de France. Il faut faire un référendum sinon il s’agirait d’un coup d’Etat»

 

Arnaud Montebourg

 

Macron le sait et il en profite !
 
 
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5 mai 2024 7 05 /05 /mai /2024 11:44

Malgré la Guerre et les discours bellicistes les affaires continuent !

Documents sur investigation de Mme. Sylvie Charles Citoyenne

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4 avril 2024 4 04 /04 /avril /2024 09:04

Comme le précisaient deux de mes articles du 25 mars il est probable que la France soit impliquée dans l'attentat de Moscou ; il faut bien s'attendre a du grand n'importe quoi avec celui qui nous dirige et dans le même temps, il demande a re dialoguer avec Poutine, je ne suis même pas surpris !

 

Henry

 

 

 

 

_____________________________________

 

C’est la première fois qu’un ministre russe menace frontalement le gouvernement français. Sergueï Choïgou, le ministre de la Défense vient d’appeler Sébastien Lecournu pour lui dire en russe espérer que « les services secrets français » n’étaient pas impliqués dans l’attentat revendiqué par Daesh

https://apar.tv/societe/la-russie-menace-la-france-en-esperant-que-les-services-secrets-francais-ne-sont-pas-derriere-lattentat-de-moscou/

Et que si c’était le cas et que la France continuait d’envoyer des hommes, de l’argent et des armes, « cela créera des problèmes pour la France elle-même »

https://apar.tv/societe/la-russie-menace-la-france-en-esperant-que-les-services-secrets-francais-ne-sont-pas-derriere-lattentat-de-moscou/

Ensuite, il a raccroché. Lecournu est sorti de cet entretien dissocié. Il avait la gorge nouée et les mains moites. Il n’est pas né pour faire la guerre contre l’armée russe. Il arrive à peine à nouer sa cravate le matin et fait une crise quand son chauffeur arrive en retard. Alors gérer une troisième guerre mondiale contre les Russes, ce n’était pas sa destinée. Macron l’a laissé seul aujourd’hui. Seul en ligne avec le Tout-Puissant ministre de la Défense russe. Et pour la première fois de sa vie, il a vraiment compris ce qu’était la peur. La vraie.

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29 mars 2024 5 29 /03 /mars /2024 20:15

La France prépare l’envoi d’un contingent en Ukraine, a accusé le directeur du SVR, Sergueï Narychkine, dans une note intitulée «Macron pousse les Français « au massacre »».

«Selon les données reçues par les services russes de renseignement extérieur, un contingent est déjà en préparation pour être envoyé en Ukraine», a fait savoir Sergueï Narychkine, le directeur des services extérieurs russes (SVR), ce 19 mars. «Au stade initial, cela représentera environ 2 000 personnes», a-t-il ajouté.

«Les dirigeants actuels du pays ne se soucient pas de la mort des Français ordinaires ni des inquiétudes des généraux», a poursuivi l’officiel russe. Ce contingent «deviendra une cible légitime prioritaire pour les attaques des forces armées russes» et «subira le sort de tous les Français qui sont arrivés sur le territoire du monde russe avec l’épée», a-t-il menacé.

Sergueï Narychkine a estimé que Paris était particulièrement préoccupé par le nombre croissant de Français tués en Ukraine, ce nombre ayant déjà, selon lui, «dépassé un seuil psychologiquement significatif».

Depuis le 16 janvier et l’annonce d’Emmanuel Macron de la livraison de 40 missiles Scalp supplémentaires à Kiev, Moscou dénonce l’implication croissante de Paris en l’Ukraine. L’armée russe a revendiqué avoir éliminé 60 combattants étrangers dans une frappe de précision à Kharkov le 17 janvier, dont un «noyau était constitué de mercenaires français». Le Quai d’Orsay a de son côté nié la présence de tels combattants.

«La divulgation de données aussi sensibles peut inciter les citoyens [français] à protester, en particulier dans le contexte de manifestations antigouvernementales massives des agriculteurs à travers le pays», a ajouté le directeur du SVR. Et celui-ci de poursuivre : «Paris cache cependant soigneusement non seulement le nombre de pertes, mais aussi le fait même de l’implication de l’armée française en Ukraine», sans préciser s’il s’agit là d’unités non conventionnelles. Selon le SVR, les autorités françaises seraient confrontées au problème de l’enterrement des morts et au versement d’indemnisations à leurs familles.

«Un recours systématique à la désinformation de masse», selon la Défense française

Le ministère français des armées a répondu sur X que ces informations relevaient «d’un recours systématique à la désinformation de masse largement employée par la Russie» et appelé à «la plus grande vigilance afin d’éviter toute instrumentalisation par ce type de manœuvre».

En France encore, Florian Philippot, président du parti Les Patriotes, a jugé la possibilité de voir 2000 soldats en partance pour l’Ukraine «monstrueuse». «Les militaires français doivent refuser de suivre cet ordre qui risque de déclencher le troisième guerre mondiale et un carnage pour notre pays», a-t-il ajouté, avant d’indiquer dans un second message ne pas croire aux démentis français.

Rien ne va plus entre Paris et Moscou, mais «tout n’est pas perdu», selon Poutine

Le 26 février, le président français a refusé d’exclure la possibilité d’envoyer des troupes occidentales en Ukraine. Des propos désavoués par l’écrasante majorité des dirigeants européens, notamment par Berlin et Washington. Le 7 mars, Emmanuel Macron a déclaré que la France n’avait «ni limites ni lignes rouges» sur la question de l’aide à Kiev. Selon des révélations du Monde, celui-ci étudierait la possibilité d’un envoi de troupes depuis le mois de juin. «De toute façon, dans l’année qui vient, je vais devoir envoyer des mecs à Odessa» : tels seraient les mots qu’aurait aussi «lâché, d’un air dégagé» Emmanuel Macron le 21 février dernier, jour de la panthéonisation du couple de résistants d’origine arménienne Missak et Mélinée Manouchian, toujours selon Le Monde.

Vladimir Poutine, en retour, a indiqué le 13 mars que la Russie n’aurait pas de «lignes rouges» contre ceux qui n’en ont pas contre elle. Par ailleurs questionné le soir de sa réélection le 17 mars, encore une fois sur les déclarations d’un envoi éventuel de troupes occidentales en Ukraine, le président russe a souligné qu’une telle option pouvait mener à «un pas d’une troisième guerre mondiale», avant de faire remarquer que son homologue français avait déjà apporté des «correctifs», le contingent pouvant ne mener que des missions «secondaires». Et celui-ci de conclure : «La France pourrait jouer un rôle dans la paix, tout n’est pas perdu.»

Source : Morzhed-Hoch

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29 mars 2024 5 29 /03 /mars /2024 20:01
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29 mars 2024 5 29 /03 /mars /2024 19:57
Atlantisme et trahison – Un officier supérieur retraité de la marine nationale s’indigne de la totale vassalisation atlantique de notre pays

Voici ce qu’écrit Claude Gaucherand, amiral 2 S en retraite, à l’égard de la vassalisation totale de notre pays en matière de politique militaire.

 

 

 

TRIBUNE
ATLANTISME ET TRAHISON

Le 30 novembre 2022 une déclaration conjointe d’intention était signée à Washington entre M. Sébastien Lecornu, Ministre des armées de la République Française et M. Lloyd Austin, Secrétaire à la Défense des Etats-Unis d’Amérique.

Cette déclaration que l’on peut consulter sur internet dans son intégralité, en français et en anglais, appelle quelques remarques préalables tant sur la forme que sur le fond.

Pour ce qui concerne la forme, il est à noter plusieurs erreurs d’orthographe et de ponctuation proprement inadmissibles dans un texte d’une telle portée.

Sur le fond, il semble que le sujet traité, proprement politique s’agissant des relations de coopération en matière de Défense, sujet d’ampleur beaucoup plus large qu’une simple coopération entre nos armées respectives, relève pour le moins du Premier Ministre sinon du Président de la République. Touchant à nos rapports avec l’OTAN, la Communauté Européenne, l’Ukraine, la dissuasion nucléaire et le cyberespace, on ne peut qu’être surpris que l’engagement de la France soit ainsi délégué à un simple Ministre des Armées.

Toujours sur le fond, une lecture attentive des cinq feuillets de la déclaration permet de conclure à l’abandon de la souveraineté de notre nation par la signature de monsieur le Ministre des armées, révélateur d’une indéniable servilité d’une France vassalisée et consentante, presque fière de l’être d’un maître aussi puissant, flattée d’en retenir l’attention. Abandon de sa souveraineté portant non seulement sur ses armées mais sur sa défense et sa diplomatie pour dire le moins, remise entre les mains de l’Union Européenne et de l’OTAN dont chacun sait que ces deux entités politiques et militaires, créations des Etats Unis, sont de fait placées sous l’autorité de la Maison Blanche et du Pentagone.

A titre d’illustration, voici un extrait, avec ses fautes de syntaxe, de ladite déclaration en précisant ce que l’on doit entendre par coopération sur tous les théâtres, c’est-à-dire la mise sous le commandement américain des éléments de force que la France engage, chose déjà vécue avec le porte-avions Charles de Gaulle, de quoi faire se retourner le Général dans sa tombe :

Nous réaffirmons notre soutien indéfectible à I’amélioration de notre coopération sur tous les
théâtres ou nos forces armées sont engagées dans des opérations conjointes, en particulier en
Europe, au Moyen-Orient, en Afrique, dans les Caraïbes, dans la région lndo-pacifique et le
domaine maritime. Nous devons renforcer notre interopérabilité et consolider notre culture
stratégique et opérationnelle commune par un échange régulier de personnels visant a rendre
plus efficaces nos opérations conjointes.

(…………..).
Nous entendons poursuivre le développement de l’interopérabilité déjà engagée entre chacune
des composantes de nos Armées tant dans ses dimensions opérationnelle que technique, afin
de pouvoir mener des opérations conjointes interarmées, y compris dans des conflits de haute
intensité.

(………)
Sur le fondement de notre coopération historique, nous nous engageons à renforcer le partenariat stratégique OTAN / Union européenne.

Il est bien connu que lorsque l’on est invité à diner avec le Diable, il faut se munir d’une cuillère
à long manche. Mais peut-être que M. Lecornu ne le savait pas.
Sans aucun doute il aurait dû relire ce texte où Georges-Marc Benhamou relate une prise de
position du président François Mitterrand en 1994 au sujet des relations entre la France et les
États-Unis :

« La France ne le sait pas, mais nous sommes en guerre avec l’Amérique. Oui, ils sont très durs
les Américains, ils sont voraces, ils veulent un pouvoir sans partage sur le monde. C’est une
guerre inconnue, une guerre permanente, une guerre vitale, une guerre économique, sans
mort apparemment et pourtant une guerre à mort. »

Sans omettre cette autre déclaration d’un orfèvre en la matière quand, au printemps 2000,
M. Robert McNamara, secrétaire d’Etat américain à la défense de 1961 à 1968, a estimé :

« Les Etats-Unis eux-mêmes, par leur tendance croissante à agir de manière unilatérale et sans
respect pour les préoccupations des autres, sont devenus un Etat-voyou ».

Qui peut affirmer que François Mitterrand a été un grand Président ? Toutefois personne ne
peut nier sa lucidité quand, toujours selon M. Benhamou, il a déclaré :

« Je suis le dernier des grands présidents. Après moi, il n’y aura plus que des financiers et des
comptables. »

Ceci explique sans doute l’absence de vision historique de nos dirigeants concernant les
relations de la France avec le monde en général et avec les Etats-Unis en particulier. Mais
n’est-ce pas pour ce motif même qu’ils ont été sélectionnés pour accéder au pouvoir après
avoir été adoubés du titre envié de Young Leader voire de celui de World Young Leader par le
maître de Davos ?

Toutefois cela n’explique pas qu’une telle déclaration n’ait fait l’objet ni d’un débat à
l’Assemblée Nationale ni d’une question écrite ou orale de l’opposition ni d’une réaction de la
commission de la Défense et des forces armées, ni d’article dans les journaux de référence à
l’exception notable du Figaro du 1ier décembre, au lendemain de sa publication.

L’actualité se complaisait alors dans les déboires conjugaux d’un député de l’opposition qui
ont occupé tant le parlement que les médias. On attache de l’importance à ce que l’on peut.
On monte en épingle le dérisoire pour mieux cacher l’essentiel. Alors, est-ce important la
souveraineté de la France ? Pas vraiment. Circulez, il n’y a rien à voir ! Mais comment s’en
étonner quand notre intervention dans le grave conflit entre la Russie et l’Ukraine ne fait
l’objet d’aucune saisie du Parlement !

Ceci se passe au moment où les Atlantistes qui tiennent le haut du pavé, vouent publiquement
aux gémonies sur les plateaux de télévisions, eux-mêmes inféodés à la grande finance, et dans
les journaux à grand tirage appartenant aux mêmes, ceux qui ne partagent pas leur point de
vue de bons serviteurs de l’Empire euratlantique, capitale Washington, sous-préfecture Paris.
Allant jusqu’à leur dénier la qualité de patriotes… Eux, à propos de qui la question se pose
pourtant de savoir si l’on peut être atlantiste sans trahir sa nation.

Charles De Gaulle ne disait-il pas qu’une nation n’a pas d’amis, elle n’a que des intérêts ?

Qui donc ose affirmer sans trahir la vérité que les Etats Unis d’Amérique ont les mêmes
intérêts que la France quand l’actualité démontre chaque jour le contraire à condition de bien
vouloir s’informer et réfléchir et constater leur volonté de nous asservir dans tous les
domaines, économique, culturel, militaire, ceux de la recherche, de la langue, du mode de vie.

Alors, atlantisme ou trahison ? Vous avez dit collaboration ? Cela rappelle de bien mauvais
souvenirs.

Il est grand temps de décoloniser les esprits de nos « élites ».

Claude GAUCHERAND Contre-Amiral (2S)

Ore, le 29 janvier 2023

Sources : Initiative communiste. le Courrier des Stratèges

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28 mars 2024 4 28 /03 /mars /2024 19:39
Avertissement des anciens des services secrets Américains  “Old Deep State”: Macron conduit à une guerre nucléaire

Les anciens du Renseignement Américain passent au crible l'objectif stratégique de Macron et ils en déduisent un illogisme total, un manque de lucidité, une inconscience totale !

 

_____________________________________________

 

Ce sont des anciens des services secrets. Ils ont participé à la politique d’hégémonie américaine mais ils détestent l’idéologie des néoconservateurs. C’est pourquoi je les appelle, ironiquement, le ‘Vieil Etat Profond”. Ils sont réunis dans le groupe Veteran Intelligence Professionals for Sanity. (Ancien du Renseignement Chevronnés pour le Bon Sens). Il faut les écouter attentivement! Ils ont écrit à Biden pour l’avertir: Emmanuel Macron ne prend pas les Russes au sérieux. Il ne croit pas que les Russes frapperont des troupes françaises au sol. Par inconscience, il pourrait entraîner, au bout d’une chaîne de réactions, les Etats-Unis dans un affrontement nucléaire avec la Russie. Retenons en particulier cette phrase: “Un (…) facteur inquiétant est que les Russes sont susceptibles de croire que la folie de Macron a l’approbation tacite de certains responsables américains et occidentaux, qui semblent désespérés de trouver un moyen de modifier la trajectoire de la guerre en Ukraine – d’autant plus que les élections approchent”. 

Ce texte est paru sur InformationClearingHouse.blog. C’est la rédaction du Courrier des Stratèges qui est responsable des intertitres et des passages soulignés. 

Mémo des Anciens du Renseignement Chevronnés pour le Bon Sens : La France sur la voie de la guerre nucléaire

La France pourrait conduire le peuple américain sur la voie d’un conflit nucléaire qui n’est décidément pas dans l’intérêt du peuple américain – ni de l’humanité.

NOTE D’ALERTE POUR : Le Président

DE : les Anciens du Renseignement Chevronnés pour le Bon Sens (Veteran Intelligence Professionals for Sanity)

OBJET : Nous sommes au bord de la guerre nucléaire

Monsieur le Président :

La France se préparerait à envoyer en Ukraine, dans un avenir pas si lointain, une force de quelque 2 000 hommes – à peu près une brigade renforcée composée d’un bataillon blindé et de deux bataillons mécanisés, avec des troupes de soutien logistique, d’ingénierie et d’artillerie. 

Le plan d’Emmanuel Macron ne fait aucun sens, militairement parlant

Cette force est purement symbolique, dans la mesure où elle n’aurait aucune chance de survie dans un conflit moderne de haute intensité de la portée et de l’ampleur de ce qui se passe aujourd’hui en Ukraine. Elle ne serait pas déployée directement dans une zone de conflit, mais servirait soit (1) de “barbelés” pour arrêter l’avancée de la Russie, soit (2) de force de remplacement déployée dans une zone non active pour libérer les soldats ukrainiens pour le combat. La brigade française serait complétée par des unités plus petites provenant des États baltes.

Cela reviendrait à introduire des troupes de combat d’un pays de l’OTAN sur un théâtre de guerre, ce qui en ferait des “cibles légitimes” au regard du droit de la guerre. 

Macron est naïf de croire que la Russie n’attaquera pas les troupes françaises

Ces unités n’auraient apparemment pas de mandat de l’OTAN. Pour la Russie, cependant, il pourrait s’agir d’une distinction sans différence. La France semble parier – naïvement – que son appartenance à l’OTAN empêcherait la Russie d’attaquer les troupes françaises. Au contraire, il est très probable que la Russie attaque tout contingent français/balte en Ukraine et détruise/dégrade rapidement sa viabilité au combat.

Dans ce cas, le président français Macron pourrait calculer qu’après des attaques russes contre les troupes des membres de l’OTAN – mandat de l’OTAN ou non – il pourrait invoquer l’article 5 de la Charte de l’OTAN et obtenir l’intervention de l’alliance de l’OTAN. Une telle intervention prendrait probablement la forme d’avions opérant à partir de pays de l’OTAN – et inclurait peut-être des missions d’interdiction contre des cibles tactiques à l’intérieur de la Russie.
 
Par inconscience Macron nous entraîne vers la guerre nucléaire


Au bord de la guerre nucléaire ?

D’un point de vue doctrinal et légal, la Russie réagirait en lançant des frappes de représailles contre des cibles situées dans les pays de l’OTAN. Si l’OTAN attaque ensuite des cibles stratégiques à l’intérieur de la Russie, la doctrine nucléaire russe prend alors le dessus et les centres de décision de l’OTAN seraient frappés avec des armes nucléaires.

Nous ne pensons pas que la Russie lancera une attaque nucléaire contre les États-Unis, mais nous laissons plutôt les États-Unis décider s’ils veulent risquer la destruction en se préparant à lancer une attaque nucléaire contre la Russie. Cela dit, les forces stratégiques russes se sont améliorées au point que, dans certains domaines – les missiles hypersoniques, par exemple – leur capacité dépasse celle des États-Unis et de l’OTAN.

En d’autres termes, la tentation russe de frapper en premier pourrait être un peu plus forte que lors des crises passées, et nous sommes un peu moins convaincus que la Russie voudrait “passer en second”. 

Les Etats-Unis doivent éviter toute ambiguïté avec la Russie sur le sujet Macron

Ce qu’il faut faire

L’Europe doit comprendre que la France la conduit sur la voie d’une autodestruction inévitable.

Le peuple américain doit comprendre que l’Europe le conduit au bord de l’anéantissement nucléaire.

Étant donné que les dirigeants russes peuvent soupçonner que M. Macron travaille main dans la main avec Washington, les États-Unis doivent faire connaître leur position publiquement et sans ambiguïté.

Et si la France et les pays baltes insistent pour envoyer des troupes en Ukraine, il faut également préciser qu’une telle action n’est pas mandatée par l’OTAN, que l’article 5 ne sera pas déclenché par des représailles russes et que l’arsenal nucléaire américain, y compris les armes nucléaires qui font partie de la force de dissuasion de l’OTAN, ne sera pas utilisé à la suite d’une action militaire russe contre les troupes françaises ou baltes.

En l’absence d’une telle clarté, la France conduirait le peuple américain sur la voie d’un conflit nucléaire qui n’est décidément pas dans l’intérêt du peuple américain – ou de l’humanité elle-même.

POUR LE GROUPE DE PILOTAGE,

DES PROFESSIONNELS DU RENSEIGNEMENT CHEVRONNÉS POUR LE BON SENS


William Binney, ancien directeur technique, analyse géopolitique et militaire mondiale, NSA ; cofondateur du SIGINT Automation Research Center (retraité)

Richard Black, ancien sénateur de l’État de Virginie ; colonel, États-Unis (retraité) ; ancien chef de la division du droit pénal, juge-avocat général (associé VIPS)

Marshall Carter-Tripp, agent du service extérieur (retraité) et ancien directeur de bureau au Bureau du renseignement et de la recherche du département d’État

Bogdan Dzakovic, ancien chef d’équipe des Federal Air Marshals et de la Red Team, FAA Security, (ret.) (VIPS associés)

Graham E. Fuller, vice-président du Conseil national du renseignement (retraité)

Philip Giraldi, C.I.A., responsable des opérations (retraité)

Matthew Hoh, ancien capitaine de l’USMC, Irak et officier du service extérieur, Afghanistan (VIPS associé)

James George Jatras, ancien diplomate américain et ancien conseiller en politique étrangère auprès de la direction du Sénat (VIPS associé)

Larry C. Johnson, ancien agent de la C.I.A. et du département d’État chargé de la lutte contre le terrorisme

John Kiriakou, ancien agent de la C.I.A. chargé de la lutte contre le terrorisme et ancien enquêteur principal de la commission des affaires étrangères du Sénat

Karen Kwiatkowski, ancienne lieutenant-colonel de l’armée de l’air américaine (à la retraite), au bureau du secrétaire à la défense chargé de surveiller la fabrication des mensonges sur l’Irak, 2001-2003.

Douglas Macgregor, colonel, USA (ret.) (VIPS associé)

Ray McGovern, ancien officier d’infanterie et de renseignement de l’armée américaine et analyste de la C.I.A. ; conseiller présidentiel de la C.I.A. (retraité)

Elizabeth Murray, ancienne responsable adjointe du renseignement national pour le Proche-Orient, Conseil national du renseignement et analyste politique de la C.I.A. (à la retraite)

Todd E. Pierce, MAJ, juge-avocat de l’armée américaine (retraité)

Pedro Israel Orta, ancien officier de la C.I.A. et de la communauté du renseignement (inspecteur général)

Scott Ritter, ancien MAJ, USMC ; ancien inspecteur en désarmement de l’ONU, Irak

Coleen Rowley, agent spécial du FBI et ancienne conseillère juridique de la division de Minneapolis (à la retraite)

Lawrence Wilkerson, colonel des États-Unis (retraité), professeur invité distingué, College of William and Mary (VIPS associé)

Sarah G. Wilton, CDR, USNR, (ret.) ; Defense Intelligence Agency (ret.)
Kirk Wiebe, ancien analyste principal, SIGINT Automation Research Center, NSA

Robert Wing, ancien agent du service extérieur (VIPS associé)

Ann Wright, colonel de réserve de l’armée américaine à la retraite et ancienne diplomate américaine qui a démissionné en 2003 pour s’opposer à la guerre en Irak.
 
Avertissement des anciens des services secrets Américains  “Old Deep State”: Macron conduit à une guerre nucléaire
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25 mars 2024 1 25 /03 /mars /2024 11:22
Extraits d’articles de presse relatifs à l’attentat contre l’hôtel de ville de Crocus
 

 

 

Attaque terroriste à Crocus : plus de 60 morts, plus de 100 blessés

MOSCOU, 23 mars /TASS/. /Des personnes non identifiées ont mené une attaque terroriste à la mairie de Crocus à Krasnogorsk, dans la région de Moscou. Selon les derniers chiffres, plus de 60 personnes ont été tuées et 100 autres ont été blessées.

 

Note du Saker Francophone

Malheureusement depuis la publication de ce texte, le bilan s’est considérablement alourdi avec plus de 120 morts.

 

Des hommes armés tuent plus de 60 personnes lors d’un attentat près de Moscou, État islamique revendique l’attentat

MOSCOU, 22 mars (Reuters) – Des hommes en tenue de camouflage ont ouvert le feu à l’arme automatique sur des spectateurs lors d’un concert près de Moscou vendredi, faisant au moins 60 morts et 145 blessés dans une attaque revendiquée par les militants d’État islamique. Dans l’attaque la plus meurtrière en Russie depuis le siège de l’école de Beslan en 2004, des hommes armés ont arrosé les civils de balles juste avant que le groupe de rock de l’ère soviétique “Picnic” ne se produise devant une salle comble au Crocus City Hall, une salle de 6200 places située juste à l’ouest de la capitale.

État islamique, le groupe militant qui a déjà cherché à contrôler des pans entiers de l’Irak et de la Syrie, a revendiqué la responsabilité de l’attaque, a déclaré l’agence Amaq du groupe sur Telegram.

Les États-Unis disposent de renseignements confirmant qu’État islamique a revendiqué la responsabilité de la fusillade, a déclaré un responsable américain vendredi. Ce responsable a indiqué que Washington avait prévenu Moscou ces dernières semaines de la possibilité d’une attaque.

Nous avons prévenu les Russes de manière appropriée“, a déclaré le responsable, sous couvert d’anonymat, sans fournir d’autres détails.

La Russie n’a pas encore indiqué qui, selon elle, est responsable.

DD Geopolitics @DD_Geopolitics – 2:55 UTC – 23 mars 2024

Il y a un mois (jour pour jour !) au Center for Strategic and International Studies, Victoria “Fuck the EU” Nuland promettait que l’aide à l’Ukraine lui permettrait “d’accélérer la guerre asymétrique qui est la plus efficace” et que Poutine est “sûr d’être confronté à de mauvaises surprises“.

Mme Nuland a quitté son poste de secrétaire d’État adjointe dix jours avant la diffusion de cette vidéo. Des civils moscovites ont été tués aujourd’hui dans un acte de terrorisme (guerre asymétrique).

Vidéo intégrée

Daniel Dumbrill @DanielDumbrill – 8:08 UTC – 16 février 2023

Maintenant que les patchs ISIS apparaissant sur les photos/vidéos des Forces armées ukrainiennes sont à la mode, c’est le bon moment pour moi de retweeter ce fil de discussion de l’année dernière. C’était cousu de fils blancs.

Daniel Dumbrill @DanielDumbrill – 10:08 UTC – 12 oct. 2022

Al-Qaïda et d’autres groupes salafistes djihadistes seraient en train d’entrer en Ukraine pour combattre directement la Russie. Par coïncidence, la semaine dernière, un recruteur d’ISIS capturé par les Talibans a déclaré qu’il recevait des fonds via l’Ukraine. Les talibans n’ont diffusé cette vidéo qu’au niveau national. Sous-titrée par un ami :

Vidéo intégrée

Kim Dotcom @KimDotcom – 21:01 UTC – Mar 22, 2024

Les sanctions n’ont pas fonctionné. Les milliards en armes n’ont pas fonctionné. Le soutien indéfectible n’a pas fonctionné. La contre-offensive n’a pas fonctionné. La propagande ininterrompue n’a pas fonctionné.

Le terrorisme est tout ce qui leur reste. Cela ne marchera pas non plus. Cela montre à quel point ils sont mauvais et désespérés.

Kim Dotcom @KimDotcom – 21:42 UTC – Mar 22, 2024

La CIA est-elle à l’origine de l’attentat terroriste près de Moscou ?

Oui 74,7

Non, 25,3 %.

89 899 votes – il reste 14 heures

Koba @Roberto05246129 6:22 UTC . 23 mars 2024

Les identités de quatre des six terroristes présumés ayant perpétré la fusillade à l’hôtel de ville de Crocus sont désormais connues.

1) Nasridinov Makhmadrasul 37 ans

2) Ismonov Rivozhidin 51 ans

3) Safolzoda Shokhinjonn 21 ans

4) Nazarov Rustam 29 ans.

Ils sont tous citoyens du Tadjikistan.

Craig Murray @CraigMurrayOrg – 23:25 UTC – 22 mars 2024

Cela fait des années que j’explique que les États-Unis et Israël sont derrière ISIS.

Vous le voyez maintenant ?

Moon of Alabama

 
 
__________________________________
La CIA actionne son bras armé Daech en Russie pour provoquer le chaos mondial
Daech attentat Moscou
Daech et Al-Qaïda sont les bras armés de la CIA. D. R.

Par Kamel M. – Question à deux sous : qu’est-ce qui pousserait un groupe armé qui se dit sunnite à commettre un attentat sanglant contre un pays qui, dans le contexte du génocide à Gaza, défend bec et ongles les musulmans massacrés par Israël avec la bénédiction des Etats-Unis ? Pourquoi ce groupe armé islamiste ne s’en est-il pas pris à l’entité sioniste ? Réponse évidente : Daech est un appendice de la CIA. En Russie, l’heure est au deuil, à l’enterrement des plus de 130 victimes, au traitement des dizaines de blessés et, surtout, à l’interrogatoire des assaillants par tous les moyens, y compris par la torture, comme s’autorisent les services secrets américains à Guantanamo pour, ainsi que se justifiait l’ancien secrétaire d’Etat à la Défense Donald Rumsfeld, «prévenir d’autres attentats et sauver des vies».

Les premiers à pâtir de cette dangereuse provocation des Américains et de leurs vassaux européens, ce sont les Ukrainiens qui verront l’armée russe passer à la vitesse supérieure en Ukraine, où celle-ci s’est contentée, jusqu’ici, de grignoter des territoires sans pour autant recourir à la grosse artillerie – proportionnellement à la redoutable puissance de feu russe. L’opération militaire lancée par Moscou dans ce pays limitrophe dirigé par le pantin de Washington, Volodymyr Zelensky, est passée à la phase de guerre totale depuis que l’administration Biden et les dirigeants français, allemand, britannique et italien ont décidé de s’impliquer directement dans le conflit armé, en fournissant des équipements militaires, de l’argent à coup de milliards et des mercenaires au régime de Kiev.

L’attentat de Moscou intervient quelques jours à peine après la réélection du président Vladimir Poutine. Preuve que l’attentat de Moscou était minutieusement préparé de longue date par les officines occidentales. Nous révélions dans un précédent article, en nous référant à des sources médiatiques crédibles, que la CIA a récemment exfiltré des éléments armés de Daech de Syrie vers l’Irak, où ils ont été disséminés dans des lieux secrets situés au plus près des bases militaires américaines. Ce déplacement a-t-il un lien avec l’action meurtrière qui vient d’avoir lieu dans la capitale russe ? Aucune hypothèse n’est à exclure.

L’attentat intervient également au lendemain de la mise en garde ferme du vice-président du Parlement russe, la Douma, Piotr Tolstoï, qui a averti sans ambages le président français, qui répète à tue-tête vouloir envoyer des troupes en Ukraine, que l’armée russe «tuera tous les soldats français» au cas où le farfelu pensionnaire de l’Elysée mettrait sa menace à exécution. Si le Kremlin exclut tout recours à l’arme nucléaire dans cette dangereuse évolution dans l’antagonisme qui met aux prises la Russie et l’Occident hégémonique, il n’en reste pas moins que le monde est désormais au bord d’un conflit généralisé, qui aura pour probable incidence le lâchage du régime de Kiev par les Etats-Unis et leurs inféodés européens, par peur que Poutine n’appuie sur le bouton fatal.

La réaction russe prendra clairement la forme d’une vengeance, en fomentant des attentats similaires dans les pays qui seront identifiés par les services de renseignement russes comme ayant une responsabilité directe dans l’action terroriste perpétrée en plein cœur de Moscou. Des attentats qui seront greffés à des actions ciblées contre des responsables politiques de haut rang. Le FSB sait faire.

Joe Biden, Emmanuel Macron, Olaf Scholz et Richi Sunak viennent d’entraîner leurs peuples – divertis avec les cancers de la couronne britannique – dans une aventure hasardeuse dont ils ne se sortiront pas indemnes, à cause de leur incompréhensible entêtement à affronter l’ogre russe, engageant des milliards d’euros et de dollars des contribuables américains et européens écrasés par une crise économique sans précédent – la France, la Grande-Bretagne et l’Allemagne sont à fort peu de distance de la faillite.

Seules des révolutions internes qui devront renverser les régimes occidentaux en place semblent pouvoir sauver l’humanité d’une nouvelle guerre d’envergure mondiale qui point à l’horizon.

K. M. pour Algeriepatriotique

 

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25 mars 2024 1 25 /03 /mars /2024 11:14

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25 mars 2024 1 25 /03 /mars /2024 11:00
Envers qui Emmanuel Macron est-il débiteur ?
L'ascension de Macron est du au milliardaire Henry et Marie Josée Kravis, au Bidelberg , l'OTAN et peu être la CIA

On présente souvent le président Macron comme un Rothschild Boy. C’est exact, mais c’est accessoire. Thierry Meyssan montre qu’il doit sa campagne électorale principalement à Henry Kravis, le patron d’une des plus grandes sociétés financières globales, et à l’Otan ; une lourde dette qui pèse aujourd’hui sur la solution de la crise des Gilets jaunes.

 

 

Emmanuel Macron ne se destinait pas à la politique. Jeune homme, il espérait devenir philosophe, puis haut-fonctionnaire, puis banquier d’affaire. Pour arriver à ses fins, il fréquenta les bonnes fées de l’Oncle Sam : la French-American Foundation et le German Marshall Fund of the United States.

C’est dans ce cadre, qu’il a rencontré Henry et Marie-Josée Kravis, dans leur résidence de Park Avenue, à New York. Les Kravis, soutiens indéfectibles du Parti républicain US, comptent parmi les grandes fortunes mondiales qui font la politique hors du champ des caméras. Leur société, KKR, est avec Blackstone et le Carlyle Group, l’un des principaux fonds d’investissement dans le monde.

« La curiosité d’Emmanuel pour la can do attitude, cette capacité à se dire que si l’on veut on peut, était fascinante. Mais il a une volonté de savoir, de comprendre ce qui marche sans pour autant l’imiter ou le copier qui le fait rester très français », déclare aujourd’hui Marie-Josée Drouin (Madame Kravis).

Muni de la double recommandation des Kravis et de Jean-Pierre Jouyet, il intègre le cercle fermé de l’équipe de campagne de François Hollande. Dans un e-mail adressé à la secrétaire d’État US, Hillary Clinton, le directeur de la planification politique Jake Sullivan, décrit les quatre principaux membres de l’équipe de campagne du candidat socialiste, dont l’inconnu Emmanuel Macron. Il précise qu’il devrait devenir le Directeur général du Trésor (« the top civil servant at the Finance Ministry »).

Cependant lorsque François Hollande est élu, Emmanuel Macron devient l’adjoint du secrétaire général de l’Élysée, une fonction plus politique. Il semble qu’il ambitionnait de succéder à Jean-Pierre Jouyet comme directeur de la Caisse des dépôts et consignations, poste qui échut en mai 2014 au secrétaire général de l’Élysée. Il est invité, quelques jours plus tard, au Club de Bilderberg sur proposition des époux Kravis. Il y fera une violente intervention dans un anglais parfait contre son patron, François Hollande. De retour à Paris, il démissionne de son cabinet.

Les époux Kravis sont parmi les principaux piliers du Bilderberg, dont Marie-Josée Drouin-Kravis est administratrice. Contrairement à une idée répandue, le Bilderberg n’est pas un lieu de décision. Ses archives attestent qu’il a été créé par la CIA et le MI6, puis est devenu un organe d’influence de l’Otan qui en assure directement la sécurité. L’intervention de Macron ayant été bien reçue, il devient un des hommes de l’Otan en France.

Ayant quitté la politique, il ne souhaite plus y revenir. Il explique à maintes reprises à son entourage qu’il entend devenir professeur d’université. Avec l’aide de l’essayiste Alain Minc (adoubé en 2008 au Bilderberg), il obtient un poste à l’université de Berlin et un autre à la London School of Economics, mais ne parvient pas à être embauché à Harvard.

Pourtant, en août 2014 —trois mois après avoir « quitté la politique »—, il est nommé par François Hollande sur proposition de Jean-Pierre Jouyet (adoubé en 2009 au Bilderberg), ministre de l’Économie, de l’Industrie et du Numérique.

Dans un livre paru en 2018, François Hollande assure que ce choix était son idée. C’est possible, mais cela suppose qu’il n’a pas été informé de l’intervention de Macron au Bilderberg. Or, une de ses ministres et amie, Fleur Pellerin y avait également été invitée.

En décembre 2014, Henry Kravis créé sa propre agence de Renseignement, le KKR Global Institute. Il nomme à sa tête l’ancien directeur de la CIA, le général David Petraeus. Celui-ci va poursuivre avec les moyens privés de Kravis (le fonds de placement KKR) —et sans en référer au Congrès— l’opération « Timber Sycamore » que le président Barack Obama avait initiée. C’est le plus important trafic d’armes de l’Histoire impliquant au moins 17 États et représentant plusieurs dizaines de milliers de tonnes d’armes pour plusieurs milliards de dollars. À ce titre, Kravis et Petraeus sont les principaux fournisseurs de Daesh.

Le président du Bilderberg, le Français Henri de Castries, invite le député-maire du Havre, Édouard Philippe à la réunion annuelle, qui se tient cette fois en juin 2015 en Autriche. Il sera à nouveau invité, en Allemagne cette fois, en mai 2016. Lors de la campagne présidentielle en France, Henri de Castries et Édouard Philippe seront des soutiens de François Fillon. Ils le laisseront tomber dès que Jean-Pierre Jouyet  aura fourni au Canard enchaîné les documents financiers réunis par l’Inspection des finances sur les emplois douteux de Madame Fillon. Ils se rallieront alors à Emmanuel Macron.

En avril 2016, Emmanuel Macron fonde sa formation politique, En Marche !, dont le marketing est calqué sur Kadima !, le parti prétendument ni-droite ni-gauche d’Ariel Sharon. Son programme, quant à lui, décline les notes de l’OCDE et celles de l’Institut Montaigne, dont Henri de Castries est le président. C’est d’ailleurs dans les locaux de l’Institut qu’il est créé. Mais Castries fait croire à Fillon qu’il ne soutient pas Macron et que c’est pure coïncidence. Il continuera d’ailleurs à lui faire croire durant des mois qu’il est prêt à devenir son Premier ministre.

Initialement, le financement d’En Marche ! n’est pas contrôlé. C’est une simple association qui peut recevoir des dons de l’étranger. Le nom des donateurs n’est pas transmis au fisc. L’archi-milliardaire Henry Kravis est de ceux-là.

Durant sa campagne, Emmanuel Macron rencontre régulièrement l’ancien président du FMI, Dominique Strauss-Kahn (« DSK »). Ces séances de travail seront niées jusqu’à ce qu’elles soient révélées par Le Parisien, bien plus tard, le temps que son image de pervers sexuel se soit atténuée. DSK (adoubé par le Bilderberg en 2000) apporte à la fois le soutien de la haute-fonction publique et celui du patronat français ; l’alliance sociologique qui avait porté à bout de bras le régime collaborationniste de Philippe Pétain et qui s’est reformée dans les années 80 autour de la Fondation Saint-Simon.

En juin 2018, le ministre de l’Éducation nationale et de la Jeunesse, Jean-Michel Blanquer est invité sur proposition d’Henri de Castries à la réunion annuelle du Bilderberg, qui se tient cette fois en Italie. Ce juriste, spécialiste de droit constitutionnel, a toujours lié la science politique et la pédagogie. Il a été l’un des trois directeurs centraux du ministère de l’Éducation, puis directeur de la prestigieuse École supérieure des sciences économiques et commerciales (ESSEC). Il connaissait depuis longtemps Castries qu’il a fréquenté au sein de l’Institut Montaigne.

Lorsque la crise des Gilets jaunes débute en France, il est rapidement évident que le problème est profond et ne pourra pas être résolu sans remettre en cause la globalisation financière, ce que le président Macron ne peut pas faire. Durant sa campagne électorale, il avait surpris ses donateurs lors d’un dîner à New York en faisant le procès de financiarisation de l’économie. C’était de la rhétorique électorale. Il avait été repris par les Kravis : la financiarisation, c’est ce qui autorise les « achats à effet de levier » (leveraged buy-out) qui leur ont permis de devenir ce qu’ils sont.

Il convient donc que face aux Gilets jaunes, le président Macron sacrifie son Premier ministre en victime expiatoire lors des prochaines élections (les européennes de mai 2019 qui seront à coup sûr perdues). Mais, outre qu’il lui faut tenir cinq mois encore, par qui le remplacer ? Lorsque l’on doit le financement de sa campagne électorale et le choix de son Premier ministre à l’Otan, il n’est pas pensable de le remplacer sans en référer à l’Alliance. Le candidat idéal à cette fonction serait donc Jean-Michel Blanquer.

Source
 
C'est vraiment l'homme des US et de la finance internationale. Il a fallu qu'il ait de grands soutiens pour rencontrer les Kravis. Certainement un descendant caché des Roth. Actuellement, il a fait renforcer sa garde personnelle et a tenu un Conseil de Guerre. Pourquoi ? D'après Jacques Baud, qui s'est montré prudent sur Tocsin, la France et l'Uk pourraient être impliqués dans l'attentat à Moscou...
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