Vouillé un peu d'Histoire

Alors que la France commence à vivre à l'heure des gangs Mexicains, que la consommation de drogues a doublé en un an, le Parlement qui devrait montrer l'exemple ou moment d'une politique plus répressives sombre dans les excès.

Vous verrez en lien en bas, les articles sous intitulés "cocaïne" et "drogues", les affaires se sont multipliées notamment dans le milieu politique.

On permet de contrôler les bus pour consommation d'alcool ou de stupéfiant parce que les conducteurs ont  charge de transport, mais quand est il pour ceux qui dirigent un état.

Henry

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Interview de Bertrand Scholler par TV Brochu sur youtube;

C'est assez long, mais ça vaut le coup d'avoir un regard différent sur l'affaire, ici Bertrand Scholler s'intéresse au symbolisme, il s'y connaît puisqu'il est galeriste, expert en oeuvres d'art, entre autre, on connaît également l'attachement de Macron aux symboles.

Il aborde le sujet également des médias d'opposition et se pose les bonnes questions. Comment récupérer l'info. a profit et au profit de groupes.

Ce qui est important, ç'est la façon d'observer l'ensemble par un autre prisme, avec plus de distance et de sagacité. Lorsqu'on pratique l'Histoire et qu'il y a des vides sur un personnage ou une affaire ç'est qu'il y a manipulation, ou volonté de dissimuler des épisodes. Ici on est sur un montage  prémédité, avec de rares erreurs. Une mécanique ténébreuse aux vapeurs chlorhydriques.

Je vous poste en liens les sujets abordés :

- les médias dissidents pas toujours très honnêtes,

- le fameux tapis "Soleil noir" (autrefois à l'Elysée) de Claude Lévêque, artiste poursuivi pour viols sur mineurs,

- la symbolique du "Soleil noir",

- incendie de Notre Dame de Paris,

- La malédiction (en anglais - The Omen -) un fils se nomme Damien,

- mort mystérieuse de Marie France Pisier au moment de l'affaire de pédophilie Duhamel

Bon visionnage !

Henry

Cette fois ç'est Michèle Marchand dites Mimi Marchand qui est citée dans l'affaire Brigitte, je vous laisse le soin de visionner la vidéo et de regarder les liens, cette dernière aurait été chargée de communication de la première dame, puis révoquée suite à la parution d'un livre concernant Michèle. On la retrouve dans plusieurs affaires sensibles que je vous laisse découvrir sur le site wikipédia.  Elle ressort dans les affaires Benalla, Ziad Takieddine (Sarkozy Lybie), extorsion de fonds, falsification de documents, trafic de drogue mais aussi l'affaire Palmade.

Pour la suite vous verrez les liens ajoutés.

Merci !

Bon visionnage

Henry

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Candace Owens : "Le monde prendra conscience de ce qui se passe en France. Je vais m'en assurer. Épisode 2 lundi." pic.twitter.com/0nljT5r4ai

—  Eric Archambault  (@EricArchambaul7) February 3, 2025

En Pologne on reprend l'affaire Brigitte.
Le titre est "Candace Owens offensive. Est-ce que la 1ère dame Française est un mec ? Kammel sur l'affaire autours de Brigitte Macron"https://t.co/r04why0zLt

— MIKE BOROWSKI (@BOROWSKIMIKE) February 3, 2025

Emission en sous-titres

Intervention d'Alexandra (patiente de Mme. Macron Nogues - mère de Macron) transexuel, elle parle de l'état psychologique consécutif possible suite a un changement de sexe  ! C'est très courageux de sa part et on ne peut que l'en remercier.

Nathalie Rheims Rothschild... Conversation avec le Diable

extraits :

Une Société où l'on sexualise les enfants dès le plus jeune âge ou on laisse carte blanche aux ''ados'' pour changer de genre (aux frais du contribuable)...avec un résultat qui ne fera jamais d'eux un genre déterminé...Jamais les français dans leur ensemble n'ont fait une telle requête, n'ont voter pour un tel programme, pour ce type de société...Nathalie Rheims Rothschild qui nous expliquait en présence de Patrick Cohen et son équipe de désinformateurs qu'il y avait un problème d'inceste dans sa famille avec une grande honnêteté...

Une famille vaste ultra ultra puissante d'intouchables qui peuvent faire en interne ce qu'ils veulent sans poursuite au pénal même avec de telles déclarations '' Vice is nice but incest is best...'' tout en influant sur la société avec leurs agents comme Macron ??? (Voir l'affiche du Planning Familial, Soros ??? Rothschild Fondation ??? etc...)

Car il n'y a pas que Soros évidemment....(Discours Sophie audugé sur Cnews , les LGBTQ+ Millardaires et le biomédical...) Voir arbre généalogique... Ces Milliardaires trillardaires selon certains économistes (La Guerre des Monnaies...) qui touchent à notre création monétaire, qui influent sur l'économique, le sociétal (?), les moeurs (?) avec leurs lois, leurs propagandes...(?)

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Vous voyez sur cette vidéo que durant les dîners mondains on n'hésite pas a discuter de sujets scabreux avec une grande liberté de ton, comment, comment ne peuvent ils pas être au courant, au courant de tout plus ou moins, puisque cela alimente en permanence les discussions - qui couche avec qui - et comment etc... Comment ne serait ce qu'un seul instant le gotha, les élites, les journalistes ne peuvent ils pas être au courant !

C'est une connivence de circonstance, on ne va pas contre ses intérêts, ses amis, ses connaissances quelles soient professionnelles ou privées. En définitive on reste dans l'entre soi, on le cultive et l'on se fiche éperdument de la population trop inculte pour comprendre car si l'on ils en sont là.

Entre égocentrisme forcené, cynisme, ambition, lâcheté, perversité, là ou tout est permis, ou il n'y a pas de règles, les nimbes en quelques sortes de l'impunité.

Mais pour la population ç'est une autre histoire !

La guerre en Ukraine a développée toutes sortes de trafics, du trafic d'êtres humains adultes à celui d'enfants via des associations d'adoption en Pologne par exemple, à celui de trafic d'organes, mais aussi trafic d'armes, et blanchiment d'argent. On peut se poser des questions sur ce qui concerne la bande de Gaza. On voit que ç'est une procédure ancienne puisque le trafic d'organes existait déjà durant la guerre du Kosovo.

Le trafic d'enfants est celui qui rapporte le plus pour les mafias, la drogue notamment la cocaïne est son corollaire. Les enfants sont enlevés en nourrice à l'hôpital, ou plus tard quand ils ont perdus leur famille, ils servent d'objets sexuels par la prostitution, de sujets de laboratoires, ou bien d'objets sacrificiels pour des rituels d'initiation par des viols collectifs ou par leur propre mort.

La croissance exponentielle de ce trafic va de paire avec celui de la cocaïne, mais aussi avec les méthodes de MK ultra, de reconditionnement.

Ce danger prend de l'ampleur en même temps que la croissance des bandes organisées qui se transforment en Mafias.

Donc il ne faut pas s'étonner du fait,

Mais qu'en est il pour la répression !

Henry

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VIDEO EN BAS DE L’ARTICLE

Elle a fini par être retrouvée au bout de six jours, à 500 kilomètres de chez elle, dans un état second. Lilou, 16 ans, a disparu le 23 octobre 2024 de Metz, alors qu’elle devait aller faire une course au pressing dans le cadre d’un stage. Après une énorme mobilisation de sa mère sur les réseaux sociaux, l’adolescente a réapparu le 29 octobre dans un train en gare de Voiron (Isère). “Saine et sauve” comme le veut la formule. Mais la mise en examen pour proxénétisme aggravé d’un homme, quelques jours plus tard, laisse imaginer ce qu’il s’est passé.

Ce mardi après-midi-là, Lilou, 16 ans, marche une demi-heure, hagarde, avant de comprendre où elle se trouve. “Gare de Grenoble”. Elle monte dans le premier train, sans billet et sans connaître sa destination. Elle espère se faire arrêter par des contrôleurs qui la conduiront à la police. Le train entame son voyage, Lilou est dans un état second, encore en partie sous l’effet de la drogue. Une dame, intriguée, vient la voir. Et la reconnaît. Car le visage de Lilou est partout sur les réseaux sociaux depuis six jours, depuis que sa mère a lancé un appel à témoins après la disparition de sa fille. La passagère appelle la mère de l’adolescente, reste avec elle, puis descend en gare de Voiron pour aller chercher des policiers.

Les mains attachées, sous l’emprise de la drogue

Et aux enquêteurs, Lilou a beaucoup de choses à dire, mélange d’images précises, de souvenirs flous et de trous noirs. L’adolescente explique s’être fait enlever par deux automobilistes à qui elle a demandé son chemin alors qu’elle s’était perdue en périphérie de Metz après s’être trompée de bus. Un homme l’attrape, ferme la porte. “J’étais tétanisée, je ne savais pas quoi faire“. Puis la jeune fille est droguée, “des bonbonnes de protoxyde d’azote” détaille-t-elle. Le voyage dure cinq heures, l’équipage arrive dans un appartement de location de courte durée. Lilou reste enfermée pendant que les deux hommes vont acheter “de la lingerie, du maquillage, des habits“. Ils lui coupent les cheveux, les teignent en noir, puis font des photos pour mettre une annonce en ligne. “Ensuite, il y avait des appels, ils répondaient par message, donnaient les tarifs, et ensuite les gens venaient.“

Les gens, ce sont des clients de tous âges. Difficile d’imaginer qu’ils ne comprennent pas que Lilou n’est pas consentante : “Non seulement j’étais paralysée à cause de la consommation de protoxyde d’azote, d’alcool. Mais j’avais aussi les mains attachées et je ne pouvais rien faire, pas les repousser“. Et pas un client ne semble gêné : “Personne ne me demande si ça va, n’essaye de me détacher, ne me demande mon âge. Ils faisaient ce qu’ils avaient à faire, dit-elle pudiquement, et ils partaient“.

Mais au bout de quelques jours, les proxénètes voient sur les réseaux sociaux le visage de Lilou, et leur description. Car la mère de la jeune fille est en train de remuer ciel et terre. Ils la jettent dehors en sous-vêtements avec un sac, la menacent de représailles si elle parle et lui disent de partir. Quelques heures plus tard, Lilou retrouvera sa mère.

L’enquête parallèle

Quand Pauline arrive au commissariat de Metz pour signaler la disparition de sa fille le 23 octobre, elle sait que quelque chose de grave est en cours : “Je le sentais dans mon ventre“. Mais les policiers lui conseillent de signer une déclaration de fugue. En rentrant chez elle, la mère de famille décide de mener elle-même son enquête. Elle prend l’ordinateur de Lilou, et fouille ses comptes Snpachat, Tiktok : “On a tout piraté!“. Elle envoie des messages aux contacts des comptes de sa fille, puis aux contacts de ses contacts. Elle tente de localiser le téléphone et repère où sont les caméras de vidéosurveillance sur une ébauche de trajet que Lilou aurait emprunté. “Chez moi, c’était rempli de papiers avec des itinéraires et des chronométrages“. Pauline obtient vite un premier témoignage qui lui donne la description d’un homme et d’une voiture. Elle publie les résultats de ses recherches sur Facebook. “Ce qui est exceptionnel dans ce dossier, c’est la mobilisation de la mère de Lilou par les réseaux sociaux et l’emballement médiatique qui a suivi“, souligne une source judiciaire. Car selon le témoignage de l’adolescente, c’est bien la très forte présence des messages de recherche sur les réseaux sociaux qui a déterminé sa libération.

Parmi les anonymes qui ont contacté Pauline, il y a Patricia. Chez elle, l’histoire de Lilou résonne particulièrement fort. Parce que sa fille de 15 ans, originaire de la même région, est elle aussi tombée dans un réseau de prostitution quelques semaines plus tôt. Parce que Patricia a elle aussi mené sa propre enquête pour l’en sortir. Audrey (le prénom a été changé) pensait partir quelques jours avec une vague connaissance pour aller prendre du bon temps à Paris. Mais une fois sur place, c’est la douche froide. Son “amie” est en fait une rabatteuse. Et Audrey se retrouve elle aussi droguée, prise en photo pour des annonces, et prostituée par un petit réseau.

Un proxénète qui gère son réseau depuis sa cellule de prison

Ce réseau est dirigé, selon le récit d’Audrey, par un homme qui est actuellement en prison, condamné à six ans pour proxénétisme. Il donne ses consignes depuis sa cellule par téléphone, en visio ; et menace la jeune fille de représailles, et de violences contre sa famille, si elle ne s’exécute pas. L’adolescente est surveillée par un jeune homme et par la rabatteuse. Durant les deux à trois semaines de prostitution, elle est trimballée d’un Airbnb à un autre en région parisienne.

Le nom de la rabatteuse apparaît d’un coup dans certains commentaires sous les messages liés à la disparition de Lilou. “Ça a fait tilt, je me suis dit qu’elle avait recommencé, et que la fille de cette dame allait passer là où était passée ma fille“. Patricia contacte Pauline, et la soutient dans les jours qui suivent, même si la piste de cette rabatteuse semble s’être éteinte dans le dossier de Lilou. Car la mère d’Audrey s’est elle aussi sentie bien seule durant la disparition de sa fille, incomprise par les policiers.

Des photos envoyées aux hôtels, et une rabatteuse pistée sur Snapchat

Alors pendant des jours et des nuits, elle a arpenté les réseaux sociaux, à la recherche de toutes les pistes possibles. Elle demande à son opérateur de téléphonie de lui fournir la liste des appels de la ligne de portable de sa fille, passe des coups de fil, et comprend qu’elle est à Paris. Elle appelle tous les hôtels qu’elle peut, leur envoie la photo d’Audrey pour savoir si elle est passée par là. Patricia finit par retrouver la trace de la rabatteuse, et, aidée de ses enfants, la contacte, tente de la piéger. Puis la menace. Audrey est finalement “déposée” dans un poste de police. L’adolescente explique qu’elle a été prostituée de force par le jeune homme qui l’a amenée. “Les policiers se sont mis à rire” soupire-t-elle. Sa mère saute dans une voiture et vient la chercher.

Aujourd’hui, comme Lilou, Audrey a beaucoup de mal à dormir, hantée par ses souvenirs. Elle non plus n’est toujours pas retournée à l’école. Elle a déposé plainte mais son dossier est pour l’instant au point mort. Dans l’affaire de Lilou, un homme de 24 ans – condamné en 2020 pour des faits de vol et recel de vol – est en détention provisoire, mis en examen pour proxénétisme aggravé. Des clients pourraient être prochainement poursuivis pénalement selon le parquet de Grenoble (où l’enquête est dirigée).

Depuis 2015, le nombre d’enquête menées par l’OCRTEH (Office central de lutte contre la traite des êtres humains) pour prostitution de mineurs a été multiplié par dix. Mais le nouveau visage de cette prostitution, qui s’organise en ligne, de façon plus invisible, avec des victimes déplacées très fréquemment d’une location courte durée à une autre, rend les investigations difficiles.

Le Zoom de France Inter

Plus de 10000 mineures sont exploitées dans des réseaux de prostitution en France, des chiffres 10 fois supérieurs à ceux de 2015. Une victime et des mères témoignent.

Plus de 10000 mineures sont exploitées dans des réseaux de prostitution en France, des chiffres 10 fois supérieurs à ceux de 2015. Une victime et des mères témoignent. pic.twitter.com/33FE93CGI2

— Jean Robert (@Jean_Robert_29) February 4, 2025

Par MIRIAM KUEPPER pour le Dailymail

Une escorte de luxe a révélé ce qui se passe à huis clos à Davos pendant le Forum économique mondial, y compris ce que les riches pensent qu'il arrivera réellement au monde dans un avenir proche.  

Salomé Balthus, 40 ans, est une escorte haut de gamme et auteure de Berlin qui s'est rendue à Davos, en Suisse, pour rencontrer des clients lors du rassemblement annuel de l'élite mondiale. 

Salomé a révélé à MailOnline ce qu'elle a appris sur l'élite mondiale - et pour beaucoup, c'est qu'ils sont pessimistes quant au sort du monde... alors ils ont décidé d'en profiter tant que ça dure.

Convaincus qu'une apocalypse climatique est à nos portes, ils dépensent sans vergogne leur immense fortune en escortes onéreuses en Suisse... vers lesquelles ils se rendent dans leurs jets privés non respectueux de l'environnement.

« Le problème majeur, c'est le changement climatique. Tout le monde sait qu'il ne peut plus être évité », a-t-elle déclaré, ajoutant que les « super riches » pouvaient généralement être divisés en deux groupes sur ce sujet.

« Un groupe pense que cela affecte seulement les pauvres, la « race non blanche », tandis que les autres craignent que la situation puisse empirer, mais cela ne sert à rien d'essayer de faire quoi que ce soit à ce sujet, alors ils se contentent de s'amuser », a-t-elle déclaré à MailOnline.

« Une moitié est désespérée et l'autre moitié, plus bête, se réjouit des morts massives à venir. Ce n'est pas seulement le cas à Davos, bien sûr, mais c'est surtout là-bas [pendant le Forum économique mondial]. »

TENDANCE

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Salomé a expliqué que certaines des personnes ultra-riches appartenant au premier groupe disaient que ceux des pays du tiers monde « pourraient tous mourir, mais nous, dans le Nord, nous allons bien ».

Elle a déclaré : « Ils disent que dans une démocratie, il faut vendre la situation, mentir aux gens et leur dire « nous ne savions pas mieux et nous ne pensions pas que cela irait aussi mal », sans admettre qu'ils le savent.

« Il y a ensuite l’autre groupe qui pense que ce ne sera peut-être pas si facile, que cela nous affectera peut-être aussi à cause de réactions en chaîne imprévisibles.

« Mais ils disent qu'ils ne peuvent rien faire contre les autres, alors ils vivent en suivant le mantra « après nous, le déluge ». 

« Ils disent qu'ils vont profiter encore de quelques belles années sur terre et savent qu'il n'y a pas d'avenir. Ils sont très cyniques et, d'une certaine manière, profondément tristes. »

Salomé a déclaré que des sujets comme celui-ci sont abordés dans un bar, un sauna ou le hall d'un hôtel, surtout si les gens ont déjà bu quelques verres.

"De temps en temps, je taquine ce sujet et ils font des commentaires, après quoi je peux en tirer mon propre sens. Bien sûr, cela ne fonctionne que si la personne est ivre tard le soir et parle à quelqu'un au bar, c'est alors ce qui se passe. 

« Ils en sont extrêmement fiers [et donc en parlent] ou alors ils me voient juste comme un objet et ne pensent pas au fait que je pense aussi quand ils sont avec moi. »

« Le public doit savoir que les ennemis des pauvres et des classes inférieures ne sont pas les migrants mais les super riches », a ajouté Salomé. 

« Taxer les riches, etc., c'est une blague à huis clos [...] Il y a un type au bar qui crie « Taxer les riches » à chaque nouveau verre. Ils se sentent intouchables. » 

Salomé a déclaré que les réunions avec les clients portent souvent sur « la passion de l'érotisme et la passion du pouvoir, bien que cette dernière soit tellement plus importante qu'elle peut même effacer la première ».

« Ce ne sont pas les super puissants qui font ce genre de choses [embaucher une escorte] – ils sont heureux quand ils ont un peu de temps pour leur famille – non, ce sont plutôt les travailleurs subalternes qui sont excités, peut-être même là pour la première fois », a révélé Salomé.

Diplômée en philosophie et en littérature allemande, elle a déclaré qu'elle n'aimait pas les fêtes où elle attendrait que quelqu'un vienne la chercher. 

« C'est plus exclusif que ça », a-t-elle déclaré, ajoutant qu'elle sélectionne soigneusement ses clients qui semblent l'apprécier non seulement pour sa beauté et sa discrétion, mais aussi pour son intelligence.

Selon le site Internet de l'agence d'escorte féministe de Salomé à Berlin, Hetaera, un week-end coûte aux clients 5 000 £, tandis qu'un tête-à-tête de deux heures commence à environ 850 £.

Salomé a déclaré : « Avec les gens que je rencontre [au WEF], je m'entends sur des conditions particulières dont je ne peux pas parler et je ne rencontre que des gens que j'aime d'une manière ou d'une autre. 

« Il y a évidemment aussi des gens très intelligents là-bas et tout ce que je peux dire, c'est qu'ils ont probablement besoin de beaucoup d'alcool en ce moment [à la lumière de l'état actuel du monde] ». 

En Suisse, la prostitution est légale. Les travailleuses du sexe sont tenues de payer des impôts, de s'enregistrer auprès des autorités locales et de se soumettre à des examens de santé réguliers. Et le business est en plein essor. 

La ligne officielle concernant les escortes dans de nombreux pays, et pas seulement en Suisse, est qu'elles sont rémunérées pour leur temps et qu'elles décident elles-mêmes ce qu'elles en font. 

Cette approche de laisser-faire a été reconnue comme ayant permis de réduire la violence contre les travailleuses du sexe et la traite des êtres humains, mais, bien entendu, celles et ceux qui travaillent dans l’industrie du sexe occupent toutes les couches sociales et économiques. 

À Davos, les escortes recherchées sont élégamment habillées en costume d'affaires, afin de ne pas se démarquer, et sont souvent bien éduquées et parlent couramment au moins deux langues. 

La raison en est la clientèle tout aussi aisée à laquelle ils s'adressent : la majorité des quelque 3 000 délégués arrivés à Davos pour le forum annuel lundi sont des hommes riches du monde des affaires et de la politique. 

Selon une escorte du nom de Tiffany, « la discrétion est la compétence numéro un pour une escorte, surtout une escorte haut de gamme ».

« Je porte des vêtements normaux - un costume violet et un manteau noir - pour donner l'impression que je fais réellement partie de la scène de la conférence », avait-elle déclaré auparavant à MailOnline.