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3 mai 2023 3 03 /05 /mai /2023 18:35
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3 mai 2023 3 03 /05 /mai /2023 18:31
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3 mai 2023 3 03 /05 /mai /2023 17:58

Des compteurs sur vos puits, c’est fini l’eau gratuite… A quand le compteur d’air que l’on respire ?

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3 mai 2023 3 03 /05 /mai /2023 17:26

Décidément un gouvernement d'affairistes, mais sur un  fond de système de corruption généralisé tel qu'on pouvait le dénoncer pour ce qui concernait les pays Africains jadis ! C'est la dilapidation de l'argent public pour des fins privées !

 

____________________________________________

 

Une onde de choc dans l’administration française

Dans un contexte national déjà tendu par de vives contestations contre la réforme des retraites, le président Emmanuel Macron se trouve confronté à un nouveau scandale. Cette fois-ci, l’Agence de Garantie des Salaires (AGS), est au centre d’un possible détournement financier colossal, estimé à plus de 15 milliards d’euros. La source de ces informations alarmantes provient du journal Le Monde qui a révélé le 03 mai dernier une plainte déposée par l’association Anticor.

Anticor secoue l’AGS

Anticor, une association reconnue pour son combat contre la corruption, s’invite de manière fracassante dans cette crise financière qui ébranle l’AGS. Selon leurs investigations, des sommes pharaoniques auraient mystérieusement disparu au cours des dernières années, portant préjudice à de nombreuses entreprises françaises et à des milliers de salariés à travers le pays.

Un système de détournement d’argent à grande échelle

Selon Le Monde, Anticor a choisi de se porter partie civile dans l’affaire, en révélant qu’un possible système de détournement d’argent à grande échelle pourrait être à l’origine de ces pertes financières. Ce système impliquerait notamment des mandataires judiciaires liés à l’AGS, rémunérés en honoraires pour distribuer les fonds de l’agence aux salariés. Bien que l’argent en question soit privé, Anticor estime que l’infraction de détournement de biens publics pourrait s’appliquer dans ce cas, puisque l’AGS et ses mandataires sont en charge d’une mission de service public.

Un préjudice pour les salariés

L’un des éléments clés du dossier Anticor concerne le préjudice subi par les salariés des entreprises en faillite. Ces derniers n’auraient pas été rémunérés par certains mandataires, malgré les avances de fonds de l’AGS. Selon l’association, l’absence de contrôle aurait permis à certains mandataires de détourner ces sommes, s’élevant à plus de 700 millions d’euros sur les vingt dernières années.

Le cas de Mory Ducros, une entreprise de messagerie dont la liquidation judiciaire a fait grand bruit en février 2014, est cité par Anticor. Une partie de ses 2 882 salariés licenciés n’auraient pas été payés, malgré les fonds alloués par l’AGS.

Une enquête judiciaire ouverte

Le parquet de Paris a ouvert une information judiciaire pour faire la lumière sur ces malversations présumées au sein de l’AGS. L’enquête devra déterminer l’ampleur exacte du détournement et identifier les responsables impliqués dans ce système frauduleux. Si ces allégations s’avèrent vraies, cette affaire pourrait avoir des répercussions considérables sur la crédibilité de l’agence et de ses partenaires.

Un contexte difficile pour le gouvernement

Ce scandale intervient à un moment particulièrement délicat pour le président Emmanuel Macron et son gouvernement. Alors que la France traverse des manifestations massives contre la réforme des retraites, cette affaire vient ajouter une nouvelle couche de mécontentement populaire et met en lumière les dysfonctionnements au sein de l’administration française. Le gouvernement devra prendre des mesures énergiques pour rétablir la confiance et assurer la transparence dans la gestion des fonds publics.

 

Source

 

 

https://twitter.com/EnModeMacaron/status/1653427461932167168?t=DxaLK-Ph9Nhtg69QmvQPsQ&s=19

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2 mai 2023 2 02 /05 /mai /2023 18:32

A  voir absolument une rétrospective des 3 années Covid, des mesures surréalistes auxquelles nous avons été soumis et surtout le lavage de cerveaux que nous avons subit.

Donc à partir de maintenant soyez très prudents sur leurs communications, et sur leurs intentions qui au final ne sont qu'un but d'enrichissement personnel 

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2 mai 2023 2 02 /05 /mai /2023 18:29

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2 mai 2023 2 02 /05 /mai /2023 18:26

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2 mai 2023 2 02 /05 /mai /2023 18:19
Le plus gros scandale de l'Union Européenne, 724 milliards détournés en plus des contrats opaques et relations financières plus que douteuses entre les décisionnaires de l'obtention des vaccins Covid (Pfizer -Bourlat et Von der Leyen ainsi que les membres collatéraux (décisionnaires de la Commission et subalternes), en prolongation on peut penser aux Chefs d'Etats de l'Union.  
 
 

L’Union Européenne, à nouveau, secouée par un gravissime scandale qui risque de nuire davantage à son image. En effet, en pleine guerre en Ukraine et au moment où l’inflation reste l’un des principaux soucis des citoyens européens, l’on apprend que des soupçons de fraude entourent les fonds Covid alloués aux Etats membres.

C’est en tout cas la révélation faite, ce 28 avril, par le média Politico. A en croire cette source, l’Office Européen de Lutte Antifraude (OLAF, en anglais) est en train d’enquêter sérieusement sur les fonds alloués aux Etats membres et qui s’élèvent à 724 milliards d’euros.

Dans son article daté du 28 avril, Politico dit s’être entretenu avec le chargé de presse d’OLAF lequel fait une révélation de taille. « OLAF est en train de mener une enquête sur les fonds Covid accordés aux Etats membres. Pour l’instant, il y a un certain nombre d’enquêtes liées à des allégations d’irrégularités (…) », a-t-il fait savoir, tout en refusant de dévoiler les noms des pays concernés.

Si pour le moment, l’Office Européen de Lutte Anti-fraude refuse catégoriquement de communiquer sur les Etats concernés, une enquête ouverte l’année dernière par le Parquet européen épinglait déjà quatre pays que sont : l’Italie, la Roumanie, le Portugal et la Croatie.

Pour rappel, ce n’est pas la première fois que l’Union Européenne est citée dans des scandales de ce genre. En décembre 2022, Ursula Von der Leyen, présidente de la Commission Européenne, était citée dans un grave scandale portant sur 60 000 euros et impliquant l’homme politique grec, Dimitris Avramopuoulos, ex commissaire européen.

En effet, d’après plusieurs médias italiens, ce dernier a reçu la somme de 60 000 euros dans le cadre de ses activités au sein de l’ONG Fight Impunty qui est au cœur du scandale de corruption qui secoue Bruxelles depuis plusieurs jours. Une information, relayée par les médias LaStampa.it et Quotidiano.net et confirmée par Dimitris Avramopuoulos lui-même.

D’après le média La Stampa, Avramopuoulos a reçu cette somme pour participer à deux événements. Le principal intéressé ne dément pas. Mais, dans sa déclaration, il mouille Von Der Leyen, actuelle présidente de la Commission Européenne, afffirmant que c’est elle qui a tout approuvé. « J’avais obtenu l’aval de Von Der Leyen », confie-t-il.

Et Avramopououlos de préciser ses rémunérations au sein de l’ONG: « entre février 2021 et février 2022, j’ai reçu une redevance dûment déclarée d’environ 60 000 euros. Le paiement mensuel était de 5 000 euros, qui était imposé en Grèce. Mon revenu net mensuel chez Fight Impunity était de 3 750 euros », détaille-t-il.

L’autre scandale autour de cette affaire est que la Commission Européenne a émis une autorisation écrite pour que Avramopououlos participe à ces événements au nom de Fight Impunity, une ONG qui, pourtant, n’est pas inscrite dans le registre de transparence de l’UE. C’est en tout cas la révélation faite par le média italien, IlFattoQuotidiano.it.

Parlant des 60 000 euros de Avramapououlos, la même source confirme l’information du journal Stampa en ces termes : « Von der Leyen l’avait en effet autorisé à obtenir une rémunération pour mener ‘des campagnes de sensibilisation, telles que la publication d’articles, la participation à des conférences, le lancement d’événements, l’octroi d’interviews’. Mais comme mentionné, son travail s’est limité à deux conférences et un article en un an, le tout pour 60 000 euros ».

Réagissant à la publication de cette information compromettante, Avramopououlos dénonce une campagne orchestrée depuis l’Italie contre lui. « C’est un complot de la part de certains milieux (italiens, ndlr) qui a pour but de ternir l’image de ma candidature en tant que représentant spécial de l’UE au Golfe persique. A Bruxelles, tout le monde sait que je suis favori à ce poste », se défend-t-il.

 

Source

Ursula Von der Leyen – McKinsey et Pfizer

 

Par Peter Koenig Recherche mondiale, 18 avril 2023

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*** 

À première vue, vous vous demandez peut-être ce qu’Ursula Von der Leyen , McKinsey et Pfizer ont en commun ?  La réponse est : la corruption. La plus grande corruption. Madame Von der Leyen, présidente non élue de la Commission européenne (CE) a plusieurs scandales de corruption sur le cou. 

Il a été récemment révélé que le fils de Madame von der Leyen, David, avait effectué un « stage d’été » chez McKinsey, le géant américain du conseil en gestion. Bien que les dossiers des responsabilités de David chez McKinsey soient délibérément fragiles, il semble que son emploi était bien plus qu’un «stagiaire d’été». Il avait des équipes de conseil sous sa responsabilité et a travaillé pour McKinsey pendant plus de 3 ans.

Est-ce une coïncidence s’il a quitté McKinsey en 2019, juste avant que sa mère ne soit nommée – et non élue – présidente de la Commission européenne (CE) ?

Nous savons qu’il n’y a pas de coïncidences.

David ouvrait-il peut-être la voie à l’accès facile du futur président de la CE – sa mère – aux rangs supérieurs de McKinsey ?

Plus à ce sujet plus tard.

*

Commençons par un scandale déjà assez connu des sources bien informées : les négociations directes d’Ursula Von der Leyen avec Pfizer pour l’achat de 900 millions de doses de Pfizer vaxx, avec l’option de 900 millions supplémentaires, soit un total de 1,8 milliard de doses. Répétez, au cas où vous pensez avoir mal lu : 1,8 milliard du gène d’ARNm décrié de Pfizer modifiant les doses de vaxx – oui, pour une population d’environ 450 millions. Cela reviendrait à 4 doses par personne de l’Union européenne (UE).

Ces « négociations » se sont poursuivies en 2021 lorsque des échanges de textes ont été découverts entre von der Leyen et le PDG de Pfizer, Albert Bourla . La pression exercée sur la CE pour qu’elle publie les textes a tout simplement été ignorée.

Cela s’est produit avant la signature du contrat de 1,8 milliard de doses. Il s’agit clairement d’une infraction aux règles de concurrence de l’UE, c’est-à-dire aux appels d’offres. Les contrats ont été signés en mai 2021. Totalement contraire aux règles de l’UE sur les appels d’offres internationaux. En dehors de cela, comment 4 doses par citoyen de l’UE étaient-elles justifiées ?

Quel est le prix total de ce forfait insensé ?

Ursula von der Leyen : « Mme. 4,5 milliards de doses »

Dans les développements récents, Van Der Leyen est impliqué dans la négociation d’un autre gros contrat avec Pfizer : 

« Le prix de chaque dose de vaccin a été négocié directement avec la présidente de la Commission européenne,  Ursula von Der Leyen, qui est connue pour être corrompue. 

L’objectif plus large du PDG de Pfizer, le Dr Bourla, est de négocier un  contrat de 4,5 milliards de doses de vaccins pour une population de   450 millions d’ habitants dans l’UE , soit 10 doses par personne. Ce sont des doses supplémentaires à celles déjà achetées par l’UE (plus de 800 millions)

L’étroite « collaboration » de Madame Von der Leyen avec Pfizer n’est peut-être que la pointe de l’iceberg.

Son mari Heiko est le directeur médical d’ Orgenesis , une société de biotechnologie américaine spécialisée dans les thérapies géniques telles que les vaccins Pfizer et Moderna.

Ursula fait partie du conseil scientifique d’Orgenesis depuis 2019. Pfizer et Orgenesis entretiennent une relation très étroite depuis qu’Orgenesis a participé activement au développement du vaccin Pfizer. Heiko von der Leyen a une longue relation avec Pfizer. Voir ceci pour plus de détails. 

*

Retour aux vaxx . Qu’adviendra-t-il des milliards de jabs superflus, inutiles et dangereux ?

La façon dont la corruption Pharma-EU semble se dérouler, il ne serait pas surprenant que les vaxx soient réétiquetés dans un autre but. Comment quelqu’un saurait-il? 

Opération mondiale Vaxx « Big Money »: le gouvernement américain donne son feu vert au septième tir COVID, dans l’UE, 10 tirs Vaxx supplémentaires sont envisagés

Après tout, au cours des trois dernières années, avec la mise en œuvre de la Grande Réinitialisation du WEF et de l’Agenda 2030 des Nations Unies – qui sont fondamentalement identiques, car l’ONU est au lit avec le WEF – il est devenu évident que la vaccination n’a rien à voir avec la santé, en préservant la santé des gens, mais plutôt avec un génocide à grande échelle.

L’un des objectifs clés du Reset / Agenda 2030 est une réduction massive de la population. Ce que nous pouvons voir jusqu’à présent, après à peine plus de deux ans de soi-disant vaccination, la plupart des injections forcées, des centaines de milliers, voire des millions de morts et de personnes mutilées à vie, ainsi que des fausses couches en augmentation rapide, ainsi que l’infertilité des femmes et des hommes.

Et ce n’est que le début. L’essentiel du crime pourrait se jouer dans les 5 à 10 prochaines années, lorsque personne ne sera en mesure de prouver que la cause est les piqûres de covid. Tels sont les mots d’avertissement de Michael Yeadon , ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer. Voir ceci .

Le Parquet européen enquêtait-il sur l’affaire pénale de von der Leyen ? Personne ne sait. Imaginez que personne ne sait et que personne ne demande !

Politico rapporte qu’en avril 2021, von der Leyen a déclaré au New York Times qu’elle avait échangé des SMS avec le PDG de Pfizer pendant un mois à l’approche de la signature par l’UE de son contrat avec le géant pharmaceutique américain. 

Dans l’accord, la Commission s’est engagée à acheter 900 millions de vaccins Pfizer-BioNTech au nom des membres de l’UE, avec une option d’achat de 900 millions supplémentaires. Ce ou ces contrats doivent valoir des centaines de millions, voire des milliards de dollars. Le chiffre n’a jamais été officiellement divulgué et les organes de surveillance de l’UE ferment les yeux sur le scandale.

C’est en soi une honte épouvantable.

Plus tard, le Médiateur de l’UE a révélé que la Commission n’avait jamais explicitement demandé à l’équipe de von der Leyen de rechercher les textes, car elle ne les considérait pas comme des « documents » méritant d’être conservés. Dans un rapport sur ses conclusions, le médiateur a simplement qualifié l’approche de « mauvaise administration ».

De son côté, la Commission européenne a rétorqué qu’elle ne pouvait pas fournir les textes car « les documents éphémères et éphémères ne sont pas conservés ».   Voir ceci .

Fin de l’histoire pour le moment. Mais de peur que vous ayez tendance à l’oublier, l’Union européenne, en particulier la CE non élue, est l’une des institutions les plus corrompues au monde. Et, jusqu’à présent, il semble s’en tirer.

*

Revenons à McKinsey. Le cabinet de conseil McKinsey est lui-même plein de scandales. Le travail de l’entreprise pour les gouvernements autoritaires et le Pentagone soulève des questions sur les conflits d’intérêts.

Lorsqu’au début du 21e siècle  , l’effondrement de la bulle dot.com a détruit de nombreuses entreprises et, avec elles, le potentiel du conseil en gestion, McKinsey a été confronté à un dilemme. Ils devaient trouver des moyens d’élargir leur bassin de clients. Ainsi, McKinsey a commencé à concourir pour des contrats gouvernementaux non seulement aux États-Unis, mais dans le monde entier.

Le New York Times rapporte que la décision de McKinsey de s’aventurer dans le secteur public au pays et à l’étranger a créé un modèle d’entreprise en proie à des conflits d’intérêts

Un exemple domestique américain est bien connu. McKinsey conseillait la Federal Drug Administration (FDA), tout en conseillant également le géant pharmaceutique Purdue Pharma. Sur le plan international, le travail de McKinsey semble parfois tout aussi étendu avec des conflits d’intérêts potentiels, courtisant des clients étatiques aussi divers que le Pentagone, la Chine et l’Arabie saoudite. 

Alors que McKinsey a accepté des centaines de millions de dollars de contrats de défense américains, il a également conseillé un cadre d’entreprises et de gouvernements étrangers. Le propre site Web de McKinsey se vante de ces relations : « Nous entretenons des relations de longue date avec des ministères et des départements de la défense dans le monde entier.

Dans une autre affaire désormais bien connue, le cabinet de conseil mondial McKinsey fait face à des accusations criminelles de corruption en Afrique du Sud. L’affaire est centrée sur le rôle de McKinsey dans le plus grand scandale post-apartheid du pays, connu sous le nom de scandale de capture d’État sous l’ancien président Jacob Zuma . Il s’agissait d’un détournement de fonds publics à grande échelle, tel que rapporté en février 2023, voir ceci .

Cela dit tout. La clé réside dans les relations gouvernementales internationales de haut niveau. Cela ne sera peut-être jamais prouvé, mais une profonde suspicion prévaut, que le fils de Heiko et Ursula von der Leyen, David, a peut-être joué un rôle dans la préparation de la voie pour que McKinsey rachète les gouvernements du monde entier pour accompagner l’énorme et meurtrier covid fraude vaxx.

Voir ceci pour plus de détails .

La question que les Européens, pas les gouvernements corrompus, mais nous, le peuple, devons nous poser, combien de temps continuons-nous à tolérer la présidence de la CE d’Ursula von der Leyen ?

Bien sûr, Ursula von der Leyen est la chérie de Klaus Schwab , PDG du WEF. À la demande de ses financiers corrompus, il l’a mise dans cette position. Elle est non seulement boursière de l’académie Young Global Leaders (YGL) du WEF, mais elle est également membre du conseil d’administration du WEF.

Cette protection est peut-être en train de décliner, car la position du WEF dans le monde s’éloigne tranquillement. Il suffit de penser à la catastrophe du WEF de janvier 2023 à Davos. Voir ceci .

Banque centrale européenne

Ou, une question encore meilleure, combien de temps les Européens tolèrent-ils l’actuelle organisation ultra-corrompue de la CE/UE ? Il est grand temps de démolir l’UE pour revenir aux États-nations et aux monnaies locales. Ce serait un formidable élan pour l’économie européenne et le bien-être des citoyens européens.

Plus nous, le peuple, attendrons, plus il deviendra difficile de sortir de la matrice de la prison financière.

Voir ceci de Christine LaGarde , présidente de la Banque centrale européenne (BCE). Elle promet la prison, si vous dépensez mille euros en espèces. 

Ironiquement, Christine LaGarde qui dirige la BCE au nom de puissants intérêts financiers a un casier judiciaire.

Capture d’écran : The Independent, décembre 2016  

Cliquez ici pour regarder la vidéo

Combien de temps avant qu’on se réveille ?

*

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Peter Koenig  est analyste géopolitique et ancien économiste principal à la Banque mondiale et à l’Organisation mondiale de la santé (OMS), où il a travaillé pendant plus de 30 ans à travers le monde. Il enseigne dans des universités aux États-Unis, en Europe et en Amérique du Sud. Il écrit régulièrement pour des revues en ligne et est l’auteur de  Implosion – An Economic Thriller about War, Environmental Destruction and Corporate Greed; et   co-auteur du livre de Cynthia McKinney « When China Sneezes:  From the Coronavirus Lockdown to the Global Politico-Economic Crisis » ( Clarity Press – 1er novembre 2020).

Peter est chercheur associé au Centre de recherche sur la mondialisation (CRG). Il est également chercheur principal non résident de l’Institut Chongyang de l’Université Renmin de Pékin. 

Image en vedette : présidente de la CE von der Leyen, 2023. (Source : Facebook) La source originale de cet article est Global ResearchCopyright ©

Peter Koenig , Recherche mondiale, 2023

Source : Global Research

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2 mai 2023 2 02 /05 /mai /2023 18:13
 

Au bout d’âpres négociations ayant duré plusieurs mois, Pfizer propose à l’Union Européenne de payer moitié prix chaque doses annulée. Une proposition formellement rejetée par des Etats de l’Est, lesquels se plaignent depuis plusieurs mois de s’être retrouvés avec un surplus de doses dont ils ne veulent plus. D’ailleurs, début mars 2023, la Bulgarie avait annoncé avec détruit 2,8 millions de doses

Pfizer met à exécution sa menace. En mars dernier, Lecourrier-du-soir.com, en se basant sur une information exclusive du média Financial Times, relayait les avertissements de Pfizer adressés à l’Union Européenne sur un sujet qui divise : le surplus de doses de vaccins dont l’UE ne veut plus.

Ainsi, après la grosse colère d’Etats membres tels que la Bulgarie ou la Pologne, le laboratoire américain, mis sous pression,  avait décidé de changer les termes des contrats, mais à une seule et uniquement condition : l’Union Européenne paie pour les doses déjà fabriquées même si elle n’en a plus besoin.

« Le laboratoire américain a accepté de prolonger son contrat de 2023 à 2026, d’après deux personnes proches du dossier. Mais, il insiste pour obtenir le paiement des doses commandées dans le contrat et qui ne seront jamais fabriquées », nous apprenait The Financial Times. 

Ce fut en mars dernier. Et deux mois plus tard, la sentence est tombée. En effet, d’après l’agence de presse Reuters qui cite le Financial Times, Pfizer est revenu à la charge, proposant à l’UE de payer moitié prix chaque dose de vaccin annulée, soit 10 dollars la dose pour environ 70 millions de doses annulées, ce qui devrait avoisiner les 700 millions de dollars.

La nouvelle proposition sera-t-elle acceptée par l’Union Européenne? Là est la question. En tout cas, il y a un an, 10 pays de l’Europe de l’Est, confrontés à un excédent de doses dont ils ne veulent plus, avaient exigé de l’UE qu’elle résilie les contrats de vaccins signés avec les laboratoires.

C’est du moins ce qu’avait révélé média Politico.eu. En effet, d’après cette source, un groupe de 10 pays d’Europe de l’Est ont adressé une lettre à la Commission Européenne se plaignant d’un approvisionnement excessif de vaccins contre le Covid. En colère, ces pays exigent de l’EU une renégociation des contrats avec les labos.

Les 10 pays ont mis sur la table un certain nombre de doléances, dont le fait de pouvoir résilier les contrats signés avec les labos quand ils (ces pays) n’en ont plus besoin et la possibilité de pouvoir réduire le nombre de doses commandées.

Dans la lettre dont une partie a été lue par Politico.eu, les 10 pays en question se plaignent de s’être retrouvés avec une grande quantité de vaccins sous la main et ne comprennent pas que les négociations entre l’UE et les laboratoires pharmaceutiques (à ce sujet) n’aient pas porté leurs fruits. Ils se sont également plaints que les vaccins leur soient livrés peu avant leur date d’expiration.

D’après les informations obtenues par Politico, la lettre a été adressée à Stella Kyriakides, commissaire européen à la santé et à la politique des consommateurs. A en croire la source, l’initiative est menée par la Pologne et a été soutenue par 9 autres pays de l’Est que sont : la Bulgarie, la Croatie, l’Estonie, la Hongrie, La Lettonie, la Lituanie, la Roumanie, la Slovaquie et la Slovénie.

 

Source 

 

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Racket : Pfizer et BioNTech proposent à l’UE de payer moitié prix chaque dose de vaccin annulée qui seront pourtant jetées !

Il nous ont fait acheter des milliards de doses avec des négociations totalement illégales réalisées par Ursula von Der Leyen, des milliards de doses totalement inutiles et maintenant ils veulent que les commandes annulées soient payées 50 % du prix, soit 10 € la dose. Très cher payé pour des doses qui seront jetées à la poubelle car plus personne ne veut se faire vacciner aujourd’hui en France. Pourtant, le budget de la Sécu est catastrophique et l’état du système de santé français est dramatique ; malgré ça Big Pharma ose demander de l’argent pour des produits qui ne seront pas utilisés et qui seront jetés. Comment est-il possible de racketter aussi facilement les Trésors publics des pays européens alors que l’entreprise Pfizer a été condamnée à de très nombreuses reprises par la justice pour des faits très graves ?



(Reuters) – Pfizer (NYSE:PFE) et BioNTech ont fait une nouvelle proposition à l’Union européenne, face au surnombre de doses de vaccin contre le coronavirus, notamment que les pays membres paient la moitié du prix, soit environ 10 euros, pour chacune des quelque 70 millions de doses annulées, rapporte le Financial Times dimanche.

Les termes révisés du contrat permettraient à l’Union européenne de se fournir en vaccins plus récents et adaptés à des variants futurs du COVID-19, ajoute le journal britannique, citant des sources proches des négociations.

En janvier, Reuters avait fait état de discussions entre l’UE et les deux laboratoires sur une réduction pouvant aller jusqu’à 500 millions du nombre de doses de vaccin que Bruxelles s’était engagé à acheter cette année.

L’Europe espère relancer à la place les investissements et améliorer l’accès à des médicaments abordables, les budgets de santé des pays ayant été mis à rude épreuve lors de la pandémie de coronavirus.

Pfizer a refusé de commenter l’article du FT mais indiqué que les discussions se déroulaient « en bonne intelligence de la part de toutes les parties ». Son partenaire BioNTech et l’Agence européenne des médicaments n’ont pas répondu aux demandes de commentaires adressées par Reuters.

 

Source

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2 mai 2023 2 02 /05 /mai /2023 18:10

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