Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Contact : Administrateur@Henrydarthenay.com

  • : Vouillé un peu d'Histoire
  • : Histoire, politique historique comparée, économie, finance, généalogie, techniques Moyen âge,
  • Contact

vous êtes 1784 000 visiteurs 300 000 pages lus et je vous en remercie vues , merci de votre visite

contact :henry.arthenay@hotmail.fr
 
Facebook :
 

Youtube 

 
Crowdbunker 

 
 

Recherche

réf.

16 janvier 2024 2 16 /01 /janvier /2024 11:00

 

(toutes les infos proviennent d'Allemagne, Pays bas, Pologne et Roumanie... via le réseau mondial des internautes bénévoles)

eux ne sont pas payés pour vous dire la vérité, alors que d'autres sont payés pour vous mentir ou omettre de vous informer !

 

_______________________________________________

 

 

______________________________________________

 

 

_____________________________________________________

 

 
 
_______________________________________________
 
 
 
 
 
 
Au tour des Polonais...
 
Agriculture  : "C’est tout le système qu’il faut changer. Les politiques veulent nous tuer"
 
 
Protestations des agriculteurs : pour Elon Musk, les grands médias ont sciemment exclu le sujet de leurs reportages
 

 

La semaine d’action nationale dans le cadre des protestations des agriculteurs, qui a débuté le lundi 8 janvier en Allemagne, attire l’attention au-delà des frontières nationales. Les pays qui ont eux-mêmes connu des manifestations paysannes de grande ampleur au cours des derniers mois en ont suivi l’évolution avec beaucoup d’intérêt. Mais la protestation n’est pas non plus passée inaperçue auprès du CEO de X, Elon Musk.

 

« L’histoire est en train de s’écrire »

Aux Pays-Bas, la journaliste Eva Vlaardingerbroek, qui s’était déjà fait connaître du public dans le contexte des protestations paysannes locales, exprime son admiration pour ces actions.

Sur X, elle parle d’une « révolte d’Allemands normaux qui travaillent dur, qui en ont assez et qui exigent – à juste titre – des changements ».

Elle publie à cet effet des images d’un blocage sur l’A2 et déclare que « l’histoire est en train de s’écrire ».

Même au Nigeria, des comptes X ont pris part aux protestations des paysans.

Le soutien vient également de France. La députée européenne du Rassemblement national, Patricia Chagnon-Clevers, a exprimé sur X son soutien aux manifestations des agriculteurs. Elle a rappelé que des actions similaires avaient également lieu en République tchèque, en Hongrie ou en Belgique.

Des utilisateurs de X d’autres pays européens ont également mis en ligne leurs propres images des manifestations. Parmi les autres publications consacrées à la semaine d’action, on peut citer « Russian Market ».

Un reportage en direct est même venu du compte d’un conseiller économique du Nigeria. Un partenaire sur place a apparemment fait un reportage directement depuis l’autoroute pour lui.

Thousand of Germany farmers are on the streets demanding a new government. High taxes and soaring energy prices are running them out of business. #berlin #FarmersProtest pic.twitter.com/qQ2t4sbFPY

— Benjamin Mayor. (@BENM2024) January 8, 2024

Elon Musk : les rédactions des médias veulent-elles minimiser le sujet ?

Vu la forte attention portée par la communauté X aux protestations des agriculteurs allemands, le sujet n’a pas pu échapper à Elon Musk, lui-même. Ce dernier s’est toutefois montré déçu du fait qu’il n’en soit apparemment pas question, du moins dans les principaux médias. Il suppose qu’il pourrait s’agir d’une consigne rédactionnelle dans les grands médias.

En effet, les manifestations en Allemagne n’ont pas encore fait l’objet d’un reportage sur CNN ni sur « Fox News ». Toutefois, « ABC News » a publié lundi un long article à ce sujet. Les actions ont également été mentionnées dans l’édition européenne de « Bloomberg ».

Des médias comme le « Guardian » entretiennent le récit de « l’infiltration de la droite »

Les médias traditionnels en Europe, comme le Guardian, ont souligné, dans le contexte des manifestations, la crainte d’une prétendue « infiltration » par des groupes d’extrême droite ou violents.

Il est intéressant de noter qu’en Allemagne, outre l’AfD, les groupes « Freie Sachsen » et « III. Weg », ouvertement néonazis, ont appelé à participer à des manifestations. Dans ce contexte, il est toutefois aussi rapporté que le président de l’Union des agriculteurs, Joachim Rukwied, s’était distancié de ces groupes.

Le ministre fédéral de l’Économie Robert Habeck (Verts) a également pris la parole. Il a mis en garde contre une récupération des protestations des agriculteurs par des groupes extrémistes qui propagent des « fantasmes de putsch » et affichent « des symboles ouvertement nationalistes ». Robert Habeck a été cité comme suit : « Il est clair que quelque chose a dérapé ces dernières années, ce qui limite les protestations démocratiques légitimes et la liberté d’expression ».

Positions libertaires pour et contre les protestations paysannes

La plupart des messages sur X se rapportant aux protestations des agriculteurs soutenaient ces derniers. Un utilisateur nommé « Sir Arnold Robinson » a écrit : « On peut toujours compter sur un marché pour faire ce qu’il faut après avoir essayé tout le reste – même en Allemagne ».

En revanche, le compte « Pagayaland, a fake place if you don’t already know (Pagayaland, un faux site si vous ne le connaissez pas déjà) » s’est montré critique à l’égard des manifestations d’agriculteurs. Il doute que l’objectif des paysans soit de mettre fin à de nouvelles réglementations. Au lieu de cela, le maintien des subventions serait au premier plan : « En sciences politiques, nous avions l’habitude de dire à ce sujet ‘réduction de la dépendance aux subventions de l’État’ – à moins que quelque chose n’ait changé récemment dans le fonctionnement de l’argent ».

Source

Partager cet article
Repost0
15 janvier 2024 1 15 /01 /janvier /2024 20:43
Gabegie ou corruption, pour 4 milliards d'euros de doses de vaccin covid jettées

Diane de Gabegie

 

 

___________________________________________________

 

 

 

 

Partager cet article
Repost0
15 janvier 2024 1 15 /01 /janvier /2024 20:10

Fauci vient d'avouer devant le Congrès Américain la fraude et la falsification, les théories du complot étaient donc vraies ! Nous avions donc bien raison !

 

Rebondissement, après une séance de 14 heures devant le Congrès américain, #Fauci a admis:

✅que la fuite du Covid du laboratoire de Wuhan n'était « pas une théorie du complot » - alors qu'il avait été un des plus fervents artisans d'une origine animale du virus…

✅ que la « règle des 2 mètres » de distance sociale imposée n’était basée sur aucune donnée scientifique et avait été inventée.

✅ qu'il avait demandé d'imposer des mandats de vaccination dans les écoles et les universités

 

Le Dr Fauci est accusé d’avoir écrasé les opinions dissidentes qui s’opposaient au confinement généralisé ou défendaient l'hypothèse d'une fuite de laboratoire, lors de l'épidémie de Covid-19.

pic.twitter.com/NfECJIUOin

— Epoch Times France (@EpochTimesFR) January 12, 2024

 

 

_________________________________________

 

 

 
 

 

 

 

Le Professeur Raoult déchaîné : les effets graves du vaccin covid, la pénurie organisée des antibiotiques

 

_______________________________________________

 

___________________________________________

 

 

Partager cet article
Repost0
15 janvier 2024 1 15 /01 /janvier /2024 19:48

SECURITE EN MER ROUGE : La France et l’Italie ne placeront pas leurs frégates sous commandement américain

 

Pour les États-Unis, il ne fait aucun doute que Téhéran fait plus que soutenir politiquement les attaques lancées depuis le Yémen par les rebelles Houthis contre le trafic maritime en mer Rouge, dans le contexte de l’opération menée par Israël contre le Hamas dans la bande de Gaza.

L’Iran a été « très impliqué dans la planification » des dernières attaques des Houthis contre des navires commerciaux en mer Rouge, a en effet déclaré Adrienne Watson, une porte-parole du Conseil de sécurité nationale de la Maison Blanche.

« Nous n’avons aucune raison de croire que l’Iran essaie de dissuader » les rebelles yéménites de « poursuivre leurs actions irresponsables », d’autant plus que son « soutien aux Houthis est solide et se traduit en livraisons d’équipements militaires sophistiqués, en aide en matière de renseignement, en aide financière et en formation », a-t-elle ensuite développé. Et d’insister : Téhéran a « rendu possible » ces attaques tout en « déléguant les décisions opérationnelles aux Houthis ».

Quoi qu’il en soit, ces atteintes à la sécurité maritime en mer Rouge, par où transitent 20’000 navires commerciaux par an, ont motivé le lancement de l’opération « Gardien de la prospérité » [Prosperity Guardian] par les États-Unis.

Placée sous le commandement de la Combined Task Force 153 [CTF 153], elle même subordonnée aux Forces maritimes combinées [Combined Maritime Forces, CMF], cette nouvelle opération navale suscite bien des interrogations.

En effet, ses règles d’engagement n’ont pas encore été précisées et le nombre des contributeurs ainsi que les modalités de leur engagement demeurent flous. Ainsi, au moment d’annoncer son lancement, le 18 décembre, le chef du Pentagone, Lloyd Austin, avait indiqué que dix pays, dont la France, y prendraient part. Puis, plus tard, la Maison Blanche précisa que dix autres – notamment arabes – s’y étaient associés mais de manière anonyme car ne voulant pas être vus en train de défendre des navires liés à des intérêts israéliens.

Cela étant, parmi les pays membres de cette coalition navale, certains feront de la figuration, faute de moyens navals et aériens pouvant être déployés en mer Rouge, leur participation devant se limiter à l’envoi d’officiers d’état-major [tel est par exemple le cas de la Norvège et des Pays-Bas]. Le Royaume-Uni a annoncé que le « destroyer » HMS Diamond rejoindrait l’opération « Prosperity Guardian », à laquelle participera également une frégate grecque.

Seulement, figurant pourtant parmi les dix pays nommément cités par le Pentagone, la France et l’Italie ne placeront pas leurs moyens navals sous commandement américain.

Via un communiqué, le ministère des Armées a ainsi indiqué que la frégate multimissions [FREMM] Languedoc, actuellement déployée en mer Rouge, resterait sous « commandement national ».

« La Marine nationale déploie en permanence des capacités dans cette zone, dans un cadre européen avec les missions Agénor et Atalante ou par le soutien à des coalitions navales comme la Combined Task Force 153, initiée par les États-Unis pour la sécurité maritime en Mer rouge. Cette opération permet la coordination des moyens des différentes nations partenaires, qui dans le cas de la France restent sous commandement national et garantissent notre liberté d’action », a-t-il précisé. Cela vaut donc pour les navires mais aussi pour les avions de patrouille ou de surveillance maritime.

« La France salue toute initiative visant à renforcer la liberté de circulation en Mer rouge dans le contexte des attaques récentes menées par les Houthis, comme celle de la coalition ‘Gardien de la prospérité’ annoncée par les États-Unis », a poursuivi le ministère des Armées. Et d’en appeler à la « coordination la plus large possible entre les partenaires de la région et les différentes nations soucieuses de préserver la liberté de circulation maritime dans la zone ».

Quant à l’Italie, elle a annoncé l’envoi par la Marina Militare de la FREMM « Virginio Fasan » en mer Rouge… pour « protéger ses intérêts nationaux, en réponse aux demandes spécifiques des armateurs italiens ». En clair, sa mission relèvera de l’opération « Mediterraneo Sicuro » et non de celle lancée par les États-Unis.

Enfin, l’Espagne a exclu de prendre part à « Prosperity Guardian », son ministère de la Défense ayant affirmé que ses force navales, déjà présentes dans la région dans le cadre de la mission européenne « Atalanta », ne participeront qu’aux opérations dirigées par l’Otan ou l’Union européenne.

Laurent LAGNEAU
Opex360 – Zone militaire
23/12/2023

Source photo : Google Map

Source : ASAF

Partager cet article
Repost0
15 janvier 2024 1 15 /01 /janvier /2024 19:36

#Froid | La #voiture électrique perd entre 30% et 50% de son autonomie lorsque le thermomètre descend en dessous de 0°C

«Lorsque la température extérieure est inférieure à 0°C, les batteries peuvent perdre entre 10 et 30% de leur autonomie. [...] Sur les trajets courts,…
pic.twitter.com/fRWSU29Oie

— Epoch Times France (@EpochTimesFR) January 11, 2024

 

__________________________________________________________

 

Et l'Allemagne qui a dit adieu aux voitures électriques... Pourtant, nos dirigeants qui savent tout ont dit que c'était l'avenir, non ? La compagnie de ferrys norvégiens interdit le transport de voitures électriques pic.twitter.com/UfFRqrhZ8W

— ⚜ Eric Archambault ⚜ (@EricArchambaul7) January 13, 2024

Le loueur Hertz se débarasse de ses véhicules électriques (Tesla)
 

 

Ce n’est pas rien, quand un poids lourd de la location de voitures au niveau mondial décide de se débarrasser de 20.000 voitures électriques (Tesla) pour faire place à des voitures thermiques !

En effet on assiste à un virage « surprenant ». Hertz et Sixt, deux mastodontes du secteur de la location, font marche arrière avec les voitures électriques (Tesla)…

 

Enfin cela peut vous surprendre.

Moi non.

La voiture électrique est un modèle économique qui tourne mal depuis le départ et ça ne roule pas du tout bien !

Le modèle économique des loueurs de voitures est « simple ». Ils achètent en gros des quantités énormes de voitures négociées au meilleur prix et avec des rabais très conséquents. Ils les louent quelques mois, puis les revendent avant qu’elles ne perdent trop de valeur. En gros le rabais de l’achat obtenu est même supérieur à la décote la 1ère année que subissent ces véhicules. Ils gagnent donc des sous sur les locations et à la revente !

A condition que la valeur d’occasion ne baisse pas, que la demande soit forte et que les frais d’entretien ou de réparation soient faibles.

Le marché de l’occasion pour l’électrique est aussi anémique que complexe et… les frais de réparation explosent au moindre choc.

« Le PDG, Stephen Scherr, avait même déclaré que les VE coûtaient à Hertz « presque le double » en réparation par rapport à un véhicule thermique standard. Une information étonnante, qui contredit les différents rapports sur le sujet. »

L’électrification de nos usages sera loin d’être un long fleuve tranquille.

Charles SANNAT

Il s'agit uniquement des Tesla !

Partager cet article
Repost0
15 janvier 2024 1 15 /01 /janvier /2024 19:27
La Secte
 
La 54e réunion annuelle du Forum économique mondial (FEM)  du 15 au 19 janvier 2024 à Davos-Klosters, en Suisse.
 
"Mme Merkel, Tony Blair, ils ont tous été, même le président Poutine, ils ont tous été un jour des « Young Global Leaders » !"

« Le FEM a pour mission [...] de mettre en œuvre l'agenda du NOM à l'échelle mondiale avec l'aide des multinationales. [...] Toute l'élite des multinationales est concentrée au FEM - y compris les entreprises pharmaceutiques centrales, qui jouent un rôle clé essentiel pendant le Covid. »
En quelques décennies, le FEM a réussi à devenir l'un des principaux pivots politiques et économiques de l'actualité mondiale.

Comment un professeur allemand inconnu a-t-il pu se propulser à des hauteurs aussi inimaginables avec sa Fondation suisse ?

Y aurait-il eu de forces influentes qui le soutenaient en arrière-plan ?

Qui sont ceux qui tirent les ficelles du FEM ?

Kla.TV dévoile sans ménagement les véritables plans du FEM ainsi que l'ensemble de ses dirigeants.

Découvrez également les personnes de votre pays qui mettent en œuvre l'agenda du FEM et qui ont été formées de manière stratégique par le FEM.

La 54e réunion annuelle du Forum économique mondial (FEM), du 15 au 19 janvier 2024 à Davos-Klosters, en Suisse. Selon ses propres indications, il est consacré aux nouvelles technologies, ainsi qu'à leur impact sur la prise de décision et le partenariat global. Le FEM considère les réunions annuelles comme la principale plate-forme pour faire progresser le partenariat public-privé (PPP) au plus haut niveau. Plus de 100 gouvernements, toutes les grandes organisations internationales, les 1 000 principales multinationales, les principales institutions universitaires et autres, ainsi que les médias mondiaux y participeront.

Beaucoup de monde croit que le FEM et ses initiatives peuvent être considérés comme la force motrice de la globalisation. La globalisation est devenue un fait de société. La globalisation vient de « global » - « qui concerne le monde entier » - et signifie littéralement « devenir mondialisé ».

Selon le « Bundeszentrale für politische Bildung (Centre fédéral pour l'éducation politique) » (bpb), des formes complexes de gouvernance mondiale se sont développées au cours des dernières décennies, appelées « Global Governance » par les spécialistes. « Global Governance » est traduit dans le public par « gouvernance mondiale », mais peut également être traduit littéralement par « gouvernement mondial ». Et c'est justement là que les esprits se divisent. Les uns, comme le « Centre fédéral pour l'éducation politique», insistent sur le fait que le terme ne désigne pas un gouvernement mondial central et qu'il n'en existe pas. D'autres en revanche voient derrière le FEM et ses initiatives comme le « Great Reset » (explication : en français « Grande Réinitialisation ») une conspiration mondiale. Une « élite mondiale dans la politique et l'économie aspirerait à une dictature mondialisée ». Ce point de vue d'une possible conspiration mondiale est diffamé et taxé de théorie de conspiration par presque tous les médias établis et alignés, qui le répètent comme un mantra.

Mais où se situent les limites entre la globalisation, la gouvernance mondiale et un gouvernement mondial centralisé ? Y a-t-il des limites ou la globalisation en cours ne sert-elle pas tout simplement de terreau à un gouvernement mondial centralisé ?

KLA.TV répond à ces questions et vise à jeter un coup d'œil derrière le FEM et le Great Reset :

Qui sont ceux qui tirent les ficelles et y a-t-il quand même une conspiration mondiale ?

 
Origines et création du FEM
 
En 1971, l'économiste allemand Klaus Schwab a créé la fondation d'utilité publique « European Management Conference » (en français « Conférence européenne de management »). En 1987, elle a été rebaptisée « World Economic Forum », en abrégé en français FEM (« Forum économique mondial »). En quelques décennies, le FEM a réussi à devenir l'un des principaux pivots politiques et économiques de l'actualité mondiale.

Dans son livre « World Economic Forum - La puissance mondiale en arrière-plan », le journaliste et expert financier allemand Ernst Wolff se demande comment un professeur allemand inconnu a pu se propulser à des hauteurs aussi inimaginables avec sa fondation suisse. Y aurait-il eu des forces influentes qui le soutenaient en arrière-plan ?

Le fondateur de Kla.TV, Ivo Sasek, a dit à ce sujet :

"Il me semble néanmoins que le Forum économique mondial a été poussé sur le devant de la scène par des puissances d'arrière-plan encore plus influentes. Le fondateur du Forum économique mondial, Klaus Schwab, en fournit d'ailleurs lui-même un indice fort. Son ascension rapide au rang de "leader mondial du secteur privé" si je peux dire, témoigne si clairement d'un pouvoir caché en arrière-plan que je ne peux m'empêcher de percevoir l'ensemble du FEM comme une secte privée de l'économie mondiale, et plus précisément, une secte qui a été installée avec succès dans la politique mondiale."

 
Arrière-plans de Klaus Schwab

Klaus Schwab est membre du très influent groupe Bilderberg, qui a une orientation mondiale. Il a participé à de nombreuses réunions de Bilderberg et a même fait partie du comité directeur de Bilderberg.
 
Les hommes derrière Klaus Schwab

Entre 1966 et 1967, Schwab a effectué une année académique à la Harvard Business School aux États-Unis. Citation d'Ernst Wolff : « C'est là qu'il a fait la connaissance de quelques personnalités qui allaient avoir une grande influence sur la suite de sa vie. Selon les propres déclarations de Schwab, son professeur Henry Kissinger compte parmi les personnalités qui ont le plus influencé sa pensée au cours de sa vie. » Kissinger, décédé le 30 novembre 2023, était un politologue américain, stratège mondial avoué et directeur du groupe de réflexion « Council on Foreign Relations », en bref CFR. (Plus d'informations sur Henry Kissinger www.kla.tv/26153)

Unlimited Hangout, une plateforme américaine de journalisme d'investigation non censuré et indépendant, a résumé la situation de la manière suivante : « Le Forum économique mondial n'était pas simplement une création européenne de Klaus Schwab. Cela résulte d'un programme de Harvard financé par la CIA et dirigé par Henry Kissinger - et par John Kenneth Galbraith et Herman Kahn. Schwab avait une équipe politique d'élite américaine qui travaillait dans l'ombre et l'aidait à créer l'organisation mondialiste basée en Europe (qui deviendra le FEM). [...] »

Des années plus tard, lors du « European Management Symposium » de 1980 à Davos - l'ancêtre du FEM - Kissinger a prononcé le discours d'ouverture et a déclaré : « Pour la première fois dans l'histoire, la politique étrangère est vraiment globale. »

John Kenneth Galbraith et Herman Kahn, les deux autres professeurs de Harvard, étaient à peine moins importants que Kissinger : Galbraith s'est rendu en Europe avec Kahn pour aider Schwab à convaincre l'élite européenne de soutenir le projet. - C'est ce qu'a rapporté « Unlimited Hangout ». Selon un article du « New York Times » de 1997, Schwab est revenu avec l'idée que les Européens paieraient probablement une bonne somme d'argent pour apprendre les méthodes de gestion enseignées à la Harvard Business School.

John Kenneth Galbraith (1908-2006) était un conseiller présidentiel canado-américain et l'un des économistes les plus influents du 20e siècle. Galbraith était membre du Council on Foreign Relations (CFR).

Herman Kahn (1922-1983) était un physicien américain et un membre fondateur du Hudson Institute. Il était également membre du CFR.

 
Les premières réunions à Davos
 
La première réunion organisée par Schwab a eu lieu en 1971 sous le nom de European Management Symposium. L'orateur principal de la réunion était Otto von Habsburg. Kenneth Galbraith et Herman Kahn faisaient également partie des orateurs.

Les premières réunions ont eu lieu sous le patronage de la Commission européenne et des fédérations industrielles européennes. Lors du troisième European Management Symposium en 1973, le prince Bernhard des Pays-Bas était le parrain honoraire. Le prince Bernhard des Pays-Bas a organisé la première conférence Bilderberg en 1954 à l'hôtel de Bilderberg près d'Arnhem, dont il était alors propriétaire. - A l'époque, la conférence était encore secrète. Le prince Bernhard a été le premier président du comité directeur du Groupe Bilderberg, et ce jusqu'en 1976.

En 1975, le « European Management Forum » a publié sa première brochure institutionnelle. Citation : « Le European Management Forum est une fondation indépendante, autofinancée, à but non lucratif, axée sur les besoins stratégiques des principaux décideurs de l'économie européenne. » Après seulement cinq ans, le Forum s'était imposé au plus haut niveau économique et gouvernemental.

Jusqu'en 1983, le European Management Symposium était, comme l'a dit Klaus Schwab dans son discours d'ouverture, « la plus importante réunion annuelle de décideurs de l'économie mondiale ».

 
Financement du FEM
 
Le FEM a été créé en 1971 en tant que Fondation d'utilité publique et a son siège principal à Genève, en Suisse. Selon Ernst Wolff [livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum - Die Weltmacht im Hintergrund (La puissance mondiale en arrière-plan) », 2022, p. 9], outre le FEM, ce sont surtout les « Open Society Foundations » du milliardaire américain George Soros et la Fondation Bill et Melinda Gates qui ont profité de la législation moderne des Fondations. Ce dernier a en effet été créé avant tout pour faciliter l'évasion fiscale des personnes fortunées. Il permet en outre d'exercer une influence directe sur la politique, l'économie et la société. Et ce, en contournant les structures parlementaires.

Selon le portail « Infosperber », le président du FEM Klaus Schwab perçoit à lui seul un salaire annuel d'environ un million de francs. La réserve d'argent du FEM serait remplie de plusieurs centaines de millions de francs. Parallèlement, le FEM ne paie pas d'impôts fédéraux.

Le FEM est principalement financé par ses 1 000 entreprises membres. Il s'agit typiquement de multinationalesmondiales dont le chiffre d'affaires annuel est supérieur à cinq milliards de dollars. Selon le quotidien suisse « Südostschweiz » (au 22.01.2019), la cotisation annuelle s'élève à 60 000 francs. Chacune de ces multinationales peut envoyer un représentant à Davos. Une invitation supplémentaire coûte 25 000 franc suisse, plus la TVA.
Partenaires stratégiques
 
Le FEM ne compte évidemment pas que de simples membres. Il y a 120 partenaires stratégiques. La cotisation annuelle minimale commence à environ 600 000 francs. La liste des groupes qui servent de « partenaires stratégiques » au FEM se lit comme un alphabet de la globalisation : d'Allianz à Bank of America et Credit Suisse (UBS à partir du 12 juin 2023), de Facebook à Huawei et KPMG (explication : KPMG est l'un des quatre cabinets d'audit les plus importants au monde avec un chiffre d'affaires annuel de 32,1 milliards de dollars) à Microsoft, Unilever et Volkswagen.

Les autres grands noms sont Airbus, Alibaba, Amazon, American Express, Apple, Bill and Melinda Gates Foundation, BlackRock, Coca Cola, Goldman Sachs, Google, IBM, IKEA, JPMorgan Chase, Mastercard, Morgan Stanley, Nestlé, New York Times, Open Society Foundations, PayPal, SAP, Siemens, TikTok, Time, UBS, Zurich Insurance Group, etc. Les entreprises pharmaceutiques telles que Novartis, AstraZeneca, Johnson & Johnson, Moderna, Pfizer sont bien entendu également de la partie. La liste complète de tous les partenaires du FEM peut être consultée sur le site Internet du FEM : https://www.weforum.org/partners/#search

Le FEM emploie environ 850 personnes dans le monde et a réalisé un chiffre d'affaires de 383 millions de francs pour l'année financière allant de juillet 2021 à juin 2022. Les critiques portent sur le manque de transparence des rapports financiers du FEM. Les bénéfices apparemment considérables seraient réinvestis. La richesse réelle du forum ne serait pas claire.

 
Structure de direction du FEM
 
Le président du forum est le fondateur et directeur général, le professeur Klaus Schwab. Il est dirigé par un curatorium (explication : comité de surveillance ou conseil d'administration). Selon ses propres termes, il s'agit de « personnes exceptionnelles qui agissent en tant que gardiens de sa mission et de ses valeurs et qui supervisent le travail du Forum pour promouvoir une véritable citoyenneté mondiale ».

Le président du Forum est depuis 2017 l'homme politique norvégien Børge Brende. Il a été ministre de l'Environnement de son pays (de 2001 à 2004), puis ministre de l'Economie et du Commerce (jusqu'en 2005) et ministre des Affaires étrangères jusqu'en 2017. Brende fait partie du groupe Bilderberg et de son comité de pilotage. (Explication : organe de décision suprême)

 
Membres du curatorium du FEM

Le choix des membres ne doit guère être un hasard, comme le montre leur réseau. Les membres du curatorium sont entre autres :

Ajay Banga - manager indo-américain. Président de la Banque mondiale depuis 2023. Membre du CFR et de la Commission trilatérale, un groupe de réflexion influent de conseil politique fondé par Zbigniew Brzeziński et David Rockefeller.

Marc Benioff - entrepreneur américain. Président et directeur général de Salesforce, une société de logiciels cotée en bourse. Fortune personnelle estimée à environ 8,1 milliards de dollars en 2022. Membre du CFR.

Thomas Buberl - manager allemand et président du conseil d'administration du groupe d'assurance AXA. Participant aux réunions Bilderberg 2017, 2019 et 2022.

Laurence D. Fink - entrepreneur américain. Fondateur, PDG de la plus grande société de gestion d'actifs au monde, BlackRock. Les actifs sous gestion du groupe s'élevaient à 8,70 billions de dollars américains fin 2020. Fink est également membre de la Commission trilatérale et du conseil d'administration du CFR.

Orit Gadiesh - manager américano-israélienne et présidente de Bain & Company, l'un des plus grands cabinets de conseil au monde. Participante aux réunions Bilderberg de 1997 et 1998. Également membre du CFR.

Kristalina Georgieva - femme politique et économiste bulgare. Directrice générale du Fonds monétaire international (FMI). Participante à la réunion Bilderberg 2016.

André Hoffmann - Entrepreneur suisse. Depuis 2006, vice-président du conseil d'administration de Roche Holding AG (Suisse), l'une des plus grandes entreprises pharmaceutiques du monde. Membre du « Club of Rome » et participant à la conférence Bilderberg 2019.

Joe Kaeser - manager allemand. Président du conseil d'administration de Siemens de 2013 à 2021. A gagné 9,27 millions d'euros en tant que PDG de Siemens 2020. Membre de la Commission trilatérale en Europe. A participé à la conférence Bilderberg en 2015 et 2016.

Christine Lagarde - juriste française. Présidente de la Banque centrale européenne (BCE) depuis 2019. Membre du groupe Bilderberg et participante aux réunions Bilderberg de 2009, 2013, 2014, 2016 et 2017.

David M. Rubenstein - entrepreneur américain. Co-fondateur et co-président du Carlyle Group, l'une des plus grandes sociétés d'investissement privées au monde. Fortune personnelle estimée à 3,2 milliards de dollars américains en 2019. Membre de la Commission trilatérale. Participant à la réunion Bilderberg 2017. En outre, actuellement président du conseil d'administration du CFR.

Al Gore - homme politique et écologiste américain. N'a pas participé à une réunion du Bilderberg, mais joue un rôle de pionnier décisif dans l'agenda climatique. Son film « Une vérité dérangeante » (2006) a fait le tour du monde et a été diffusé dans les écoles. En 2007, un tribunal de Londres a décrété que les élèves devaient être informés des erreurs de contenu. Par exemple, que la fonte des glaciers de l'Antarctique occidental et du Groenland ne provoquerait pas « dans un avenir proche », comme l'affirme le film de Gore, une hausse dramatique du niveau des mers. Le père de deux écoliers qui a porté plainte a qualifié le film de « lavage de cerveau » qui n'a rien à faire dans les écoles.

 
À propos des réseaux du CFR, du groupe Bilderberg et de la Commission trilatérale
 
La participation à une réunion de Bilderberg est un fil rouge pour les membres du Curatorium du FEM (explication : comité de surveillance ou conseil d'administration). Il vaut donc la peine de jeter ici un coup d'œil sur les réseaux du CFR, du groupe Bilderberg et de la Commission trilatérale. L'émission suivante de Kla.TV donne des informations : « Groupe Bilderberg - le gouvernement secret de l'ombre ? » (www.kla.tv/26318)

Le plan stratégique pour la création du club Bilderberg a été élaboré au sein du CFR Council on Foreign Relations (en français : Conseil des relations étrangères). Le CFR est un groupe de réflexion privé américain, fondé en 1921 - qui tire les ficelles comme une sorte de gouvernement de l'ombre aux États-Unis. Henry Kissinger se souvient de la naissance du club Bilderberg :

« Nous nous sommes rencontrés il y a 60 ans dans le cadre d'un groupe d'étude au Council on Foreign Relations. Peu de temps après, il [David Rockefeller] a encouragé un groupe de discussion qui est devenu plus tard ce que l'on connaît aujourd'hui sous le nom de groupe Bilderberg. »

David Rockefeller a été directeur du Council on Foreign Relations jusqu'en 1985 et ensuite, jusqu'à sa mort, président honoraire de celui-ci.

Henry Kissinger (né en1923) a participé à la naissance du club Bilderberg. Il a toujours joui d'une position forte lors des conférences Bilderberg. Kissinger a été l'un des plus proches alliés de David Rockefeller jusqu'à sa mort. Il est membre de longue date du CFR et a fait partie de son conseil d'administration de 1977 à 1981. À l'occasion de son centième anniversaire, Kla.TV a diffusé le documentaire « 100 ans de Henry Kissinger - stratège mondial et criminel de guerre ? » (www.kla.tv/26153).

Le groupe Bilderberg a été fondé à l'initiative de David Rockefeller (1915-2017). David Rockefeller était le président et l'actionnaire principal de la Chase Manhattan (devenue depuis JPMorgan Chase), autrefois la plus grande banque américaine au monde. Sous sa direction, la Chase Manhattan Bank est devenue un pilier central du système financier international. Toute sa vie, Rockefeller a poursuivi le projet d'un gouvernement mondial dirigé par la haute finance.

Il a écrit dans ses mémoires : « Certains pensent même que nous faisons partie d'une cabale secrète travaillant contre les meilleurs intérêts des États-Unis, qualifiant ma famille et moi d'« internationalistes » et de conspirateurs qui ont uni leurs forces avec d'autres à travers le monde pour créer une plus forte structure économique – un monde unique, si vous voulez. Si telles sont les allégations, je plaide coupable et j'en suis fier. »

Pour atteindre cet objectif, David Rockefeller a lancé plusieurs organisations ou « think tanks » (groupes de réflexion) dont la « pensée préalable » influence la politique internationale :

Outre le groupe Bilderberg, il a ainsi fondé la Commission trilatérale avec Henry Kissinger et le stratège mondial Zbigniew Brzezinski.

La Commission trilatérale remonte à la réunion de Bilderberg de 1972, au cours de laquelle David Rockefeller a proposé sa création. De nombreux membres de Bilderberg ont également rejoint la Trilatérale.

 
Conclusion intermédiaire
 
Jusqu'ici, il apparaît que les origines du FEM remontent à des stratèges mondiaux comme David Rockefeller et Henry Kissinger. Afin d'œuvrer à leur objectif de gouvernement mondial centralisé, ils créent des groupes de réflexion pour influencer la politique internationale. Ils ont commencé par le CFR, puis ont donné naissance au groupe Bilderberg et, plus tard, à la Commission trilatérale. Le FEM doit être considéré comme une nouvelle pièce du puzzle dans cette série, afin de réaliser leurs objectifs de gouvernement mondial.
 
Avec quels objectifs le FEM a-t-il été initié ?

Le FEM peut être considéré comme une forme moderne de groupe de réflexion permettant de contourner les structures parlementaires et d'exercer une influence sur la politique internationale.

L'expert financier Ernst Wolff écrit à ce sujet dans son livre, [livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum - Die Weltmacht im Hintergrund (La puissance mondiale en arrière-plan) », 2022, p. 9], citation : « Le FEM joue un rôle particulier à cet égard, car son exemple illustre parfaitement la manière dont le parlementarisme a été progressivement vidé de sa substance au cours des dernières décennies et condamné à l'inefficacité. En outre, son histoire montre que la marche du monde est de plus en plus déterminée par des forces qui ne sont élues par personne et qui sont souvent à peine connues du public. »

 
Mission du FEM
 
Écoutez à ce sujet une déclaration du fondateur de Kla.TV, Ivo Sasek :

"Le FEM a pour mission de mettre en œuvre l'agenda du NOM à l'échelle mondiale avec l'aide des multinationales. Toute l'élite des multinationales est concentrée au FEM, y compris les principales entreprises pharmaceutiques, qui jouent un rôle clé essentiel pendant le Covid."

(...) et bien que le FEM ne soit pas une institution publique, il domine néanmoins clairement l'ensemble de la politique mondiale, et ce de manière considérable."

 
Initiatives du FEM pour réaliser ses objectifs ou son agenda

Les initiatives stratégiques décisives des temps modernes ont toujours été introduites via la plateforme du FEM. Parmi elles, le Club de Rome en lien avec la dictature du climat, l'alliance pour la vaccination GAVI en lien avec la dictature de la vaccination, l'exercice de pandémie « EVENT 201 » d'octobre 2019 - c'est-à-dire la dictature du Covid, le Great Reset, le transhumanisme, etc.

Dans ce qui suit, nous allons maintenant nous pencher sur la pertinence de chaque initiative :

 
Année 1968 – Club de Rome – Dictature climatique

Déjà lors de la réunion Bilderberg de 1964 (du 22 au 24 mars en Virginie, USA), David Rockefeller, Max Kohnstamm et Aurelio Peccei s'étaient rencontrés pour chercher les meilleurs moyens de réduire la population. Le point de départ était l'initiation et l'utilisation des crises mondiales. [V&CV14/2023] Enfin, le « Club de Rome » a été fondé en 1968 par David Rockefeller et Aurelio Peccei après une réunion du Bilderberg (26-28 avril 1968 au Canada). Tous deux figurent sur les listes des participants aux réunions de Bilderberg de 1964 et 1968. Aurelio Peccei (1908-1984) était un industriel italien. Il a été directeur de Fiat et président du conseil d'administration d'Olivetti et d'Italcon.

Selon Ernst Wolff [livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum - Die Weltmacht im Hintergrund (La puissance mondiale en arrière-plan) », 2022, p. 28], Peccei a été l'orateur le plus écouté de la réunion du FEM de 1973. Dans son discours, il a résumé les thèmes clés du livre « Les limites de la croissance ». Il s'agit à l'origine d'un rapport du « Club de Rome » sur la situation de l'humanité, publié en 1972.

Dans son discours, Peccei a abordé la surpopulation mondiale comme le plus grand problème de l'humanité et en a déduit l'exigence d'une réduction de la population mondiale.

Dans une interview, Klaus Schwab fait la déclaration suivante : « I worked on climate change since 1973. Just to tell you, because I was the person, who gave the Club or Rome, the first big platform !»[enregistré en français] : « Je travaille sur le changement climatique depuis 1973. Juste pour vous dire que c'est moi qui ai donné au Club de Rome sa première grande plate-forme ! »

 
Année 2000 – GAVI, la dictature de la vaccination 
 
[Explication : GAVI = abréviation de l'anglais « Global Alliance for Vaccines and Immunisation » (en français « Alliance globale pour les vaccins et l'immunisation »)]. [https://www.gavi.org/]

L'Alliance a été fondée le 29 janvier 2000 au Forum économique mondial de Davos. Objectif : faire face à la stagnation, voire au recul, des taux de vaccination dans les pays les plus pauvres du monde depuis la fin des années 1990 déjà. Ernst Wolff écrit dans son livre [Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum - Die Weltmacht im Hintergrund (La puissance mondiale en arrière-plan) », 2022, p. 79] que la création de GAVI « a été de loin l'événement le plus important de la première réunion du nouveau millénaire ». Citation de Wolff :

« Les initiateurs de la création de l'Alliance étaient l'OMS, l'UNICEF, la Banque mondiale et la Fondation Bill et Melinda Gates (ainsi que la Fondation Rockefeller [p. 81]). La Fondation Bill et Melinda Gates a fourni à l'Alliance un financement initial de 750 millions de dollars. »

Selon un communiqué de presse de GAVI du 23 janvier 2020, des politiciens de pays industrialisés de premier plan ont apporté leur soutien à l'Alliance pour la vaccination GAVI. Ceci dans le cadre des festivités du 20e anniversaire au Forum économique mondial. La chancelière allemande Angela Merkel a ainsi annoncé une promesse de soutien à hauteur de 600 millions d'euros pour les années 2021 à 2025.

Dans une interview donnée à Kla.TV en juin 2022, Wolff définit un autre grand objectif de GAVI : [https://www.kla.tv/WEF/22827]

"Ce qui devient encore plus intéressant, c'est qu'en 2017, ce GAVI a créé avec Microsoft et quelques autres multinationales l'ID2020, c'est l'Alliance pour l'identité numérique, c'est l'alliance pour la promotion de l'identité numérique. Et c'est le rêve de tous les groupes numériques de donner à chaque personne dans le monde sa propre identité numérique. Et derrière tout cela, il y a aussi GAVI et Microsoft, donc Bill Gates et la fondation Bill et Melinda Gates. Ce qui est très intéressant, si l'on regarde - donc GAVI est une organisation médicale - on devrait supposer que le chef de cette GAVI est probablement un médecin. Mais loin de là, le chef de GAVI n'est autre que José Manuel Barroso, l'ancien chef de la Commission européenne, mais aussi un camarade de classe de Bill Gates et d'Angela Merkel dans la l’école Young Global Leaders du FEM. Et accessoirement, cet homme est également conseiller de Goldman Sachs depuis 2016. L'actionnaire principal de Goldman Sachs n'est autre que BlackRock, donc là encore, la boucle est bouclée."

 
Année 2005 – Young Global Leaders 
(« Jeunes leaders mondiaux »)

Selon le site internet du FEM, Klaus Schwab a créé le forum « Young Global Leaders » (abrégé en YGL) en 2004. Il est issu de la communauté des « Global Leaders of Tomorrow », qui a existé de 1993 à 2003. Citation : « Parmi les plus de 1 400 membres et diplômés de 120 pays, on trouve des personnalités innovantes du monde économique et social, des entrepreneurs, des pionniers de la technologie, des pédagogues, des activistes, des artistes, des journalistes et bien d'autres ». L'objectif étant de « créer un avenir meilleur et plus durable » et de le façonner.

Selon leurs propres indications, les membres entretiennent « L'initiative 2030 ». Celle-ci a pour objectif un plan d'action visant à réaliser la vision d'un monde idéal en 2030.

Ernst Wolff écrit à ce sujet dans son livre « Forum Economique Mondial - Le pouvoir mondial en arrière-plan»[Livre de poche, Ernst Wolff, „World Economic Forum – Die WeltmachtimHintergrund“, 2022, P. 64-65] ce qui suit : « Pour la première fois, l'élite a commencé à sélectionner de manière ciblée sa propre relève, à l'instruire systématiquement pour la préparer à ses tâches et à la mettre en réseau. Quelques noms de la première promotion, qui se lisent comme un Who's Who de l'élite politique et corporative des années suivantes, montrent à quel point le projet a été un succès sensationnel. On y trouve notamment Angela Merkel, Nicolas Sarkozy, Tony Blair, Gordon Brown, José Manuel Barroso et Bill Gates. Comme l'ont montré les 30 années qui ont suivi, les fondements d'un réseau étroitement lié de politiciens, de dirigeants économiques et de professionnels des médias, qui allaient avoir une influence décisive sur la marche du monde, ont ainsi été posés. »

[Livre de poche, Ernst Wolff, „World Economic Forum – Die WeltmachtimHintergrund“, 2022, Page 265] « Le président russe Vladimir Poutine n'apparaît pas dans les listes des participants aux Young Global Leaders ou aux Global Leaders for Tomorrow. Mais Klaus Schwab lui-même l'a mentionné dans deux interviews en tant que Young Global Leader ».

(Déclaration originelle de Klaus Schwab au FEM 2019):« Mme Merkel, Tony Blair, même le président Poutine, ils ont tous été un jour des « Young Global Leaders » ! Avec eux, le chancelier Kurz et la première ministre de Nouvelle-Zélande, ce sont les trois plus jeunes dirigeants de gouvernements qui sont ici ! »

Wolff a souligné une autre caractéristique dans une interview accordée à Kla.TV en juin 2022 : [https://www.kla.tv/WEF/22827]

"Ce qui est intéressant, c'est qu'ils ont adopté une ligne de conduite particulièrement dure lors de la crise du Covid. Donc, chez nous en Allemagne, c'était le ministre de la Santé Jens Spahn, en Autriche, c'était l'ex-chancelier Kurz, en France, c'était Monsieur Macron, au Canada, c'était Justin Trudeau et en Nouvelle-Zélande, c'était Jacinda Ardern. Ils ont tous présenté une démarche tout à fait extrême, et ce sont tous des Young Global Leaders du FEM.“

Découvrez les personnes de votre pays mettant en œuvre l'agenda du FEM et qui ont été formées de manière stratégique par le FEM. Vous trouverez le document avec la liste des 3 800 « Young Global Leaders » de 1993 à 2023 sous l'émission. Année 2007 – Réunion annuelle des nouveaux champions.

En 2007, le FEM a introduit la « réunion annuelle des nouveaux champions », qui se déroule chaque année en Chine et qui est également appelée « Davos d'été ». Il s'agit de représentants d'« entreprises mondiales en croissance ». Des entreprises phares de pays émergents à croissance rapide tels que la Chine et l'Inde, mais aussi des entreprises à démarrage rapide de pays industrialisés.
Année 2011 – Global Shapers 
(« Façonneurs mondiaux »)
 
En 2011, le FEM a créé le réseau mondial « Global Shapers » pour les personnes âgées de 20 à 30 ans avec un grand potentiel pour de futurs rôles de leaders dans la société. La « Global Shapers Community » se compose de hubs locaux (c’est-à-dire de centres) auto-organisés dans les grandes villes du monde entier.

[Déclaration originelle d’Ernst Wolff lors de l’interview avec Kla.TV: https://www.kla.tv/WEF/22827 « Le FEM va désormais plus loin ; il a maintenant lancé un nouveau programme qui fonctionne depuis environ 10 ans. Ce sont les Young Global Shapers. Il y en a aujourd’hui 10 000 dans le monde. Ce sont de jeunes entrepreneurs en startup qui ne peuvent avoir qu’entre 20 et 30 ans.»

Le programme du FEM des « Global Shapers » doit être considéré comme un instrument supplémentaire pour mettre en place l'agenda de gouvernance mondiale globale des hommes de l'ombre du FEM.
 
 Année 2016 – Transhumanisme
 
Lors de la rencontre annuelle du FEM 2016, on a discuté des nouvelles technologies, de l'« édition génétique » à l'intelligence artificielle et à l'impression 3D. « Édition de gènes » - en anglais « genome-editing » - est un terme générique désignant les techniques de biologie moléculaire permettant de modifier l'ADN de manière ciblée, y compris le patrimoine génétique des plantes, des animaux et des êtres humains.

Selon le site web du FEM, les questions suivantes ont été posées :

« Comment ces technologies vont-elles changer la vie de la prochaine génération ? »

« Comment ces technologies vont-elles changer le monde des affaires, les gouvernements et la société ? »

« Comment l'homme et la technologie peuvent-ils collaborer pour obtenir de meilleurs résultats ? »

A ce sujet, l'expert financier Ernst Wolff : [Livre de poche, Ernst Wolff, „World Economic Forum – Die WeltmachtimHintergrund“, 2022, Page 117] « Le livre de Schwab « La Quatrième Révolution Industrielle » a été publié à l'occasion de la réunion annuelle de 2016 et a ensuite été traduit en 30 langues. Son message fondamental était que la fusion des technologies des mondes physique, numérique et biologique créerait des possibilités entièrement nouvelles. [...] En effet, malgré ses mises en garde contre les risques de l'évolution, Schwab a ouvertement professé le transhumanisme dans de nombreuses interviews et a qualifié la fusion des corps humains avec la sphère numérique de progrès évolutif. »

Dans une vidéo de 2016, Klaus Schwab expliquait ce qu'il entendait par « Quatrième Révolution Industrielle » : [https://www.youtube.com/watch?v=7xUk1F7dyvI] La Quatrième Révolution Industrielle | En bref (par le FEM) https://youtu.be/raOS5dxQ9uI?si=evFgKv6gYO5La7g7

« La révolution industrielle aura un impact complet sur nos vies. Elle ne changera pas seulement la façon dont nous communiquons [...], mais aussi notre propre identité. »

« Ce sera comme un tsunami, pas seulement une révolution numérique- bien sûr qu’elle est numérique, physique, c'est la nanotechnologie , mais elle est aussi biologique. »

Ray Kurzweil, inventeur américain et directeur du développement technique (Director of Engineering) chez Google LLC, a décrit les plans de l'humanisme comme suit :https://www.kla.tv/18254

Fusionner l'homme et la machine : notre avenir doré ? 04.03.2021 | www.kla.tv/18254

« Cette fusion de l’homme et de la machine, avec l’explosion soudaine de l’intelligence des machines, conduira à un monde où il n’y aura plus de distinction entre la vie biologique et la vie mécanique, ni entre la réalité physique et la réalité virtuelle. »

À ce stade, il est important de s'arrêter un court instant et de réfléchir à ce que cela signifie, ou aux conséquences qui en découlent : la porte est ainsi grande ouverte à toutes les manipulations, au contrôle et à la gestion de l'humanité par des programmeurs anonymes. Plus rien ne s'opposerait à une « dictature mondiale unique » centralisée !

 
Année 2019 – Agenda 2030
 
Le 13 juin 2019, Klaus Schwab, directeur du Forum économique mondial, et António Guterres, secrétaire général de l'ONU, ont signé un partenariat entre leurs deux organisations. Le but de ce partenariat est d'accélérer la réalisation des 17 objectifs de développement durable. Il s'agit d'objectifs politiques des Nations unies (ONU) qui sont entrés en vigueur le 1er janvier 2016. Le titre officiel en français est « Transformer notre monde : l'Agenda 2030 pour le développement durable », en bref : « Agenda 2030 ». En principe, cela signifie que le pouvoir de façonner l'avenir mondial a été remis aux grandes multinationales et à leurs propriétaires. L'accord stipule également que « la Quatrième Révolution Industrielle » du Forum économique mondial est une composante importante pour mettre en œuvre l'Agenda 2030.

Călin Georgescu est roumain et ancien membre de haut niveau des Nations unies. Dans l'émission Kla.TV du 11 mars 2023, il a révélé ce qui se cache derrière l'agenda de l'ONU. Voici un résumé de l’introduction de l’émission kla.TV : [https://www.kla.tv/25376]

Nous sommes TOUS concernés : Un haut fonctionnaire de l'ONU révèle les sombres secrets de l'ONU 11.03.2023 | www.kla.tv/25376

"Les Nations unies, en collaboration avec le Forum économique mondial (FEM) et bien d'autres, sont en train de mettre en place l'Agenda 2030 à l'échelle mondiale. Il s'agit de la plus grande transformation jamais envisagée, planifiée massivement pour tous les pays et tous les peuples, et qui vise à modifier chaque aspect de la société humaine : finances, agriculture, alimentation, voyages, économie, sexualité, éducation, etc. L'objectif ultime de l'Agenda 2030 est d'établir un gouvernement mondial unique avec des dirigeants non élus. Les Nations unies, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et le Forum économique mondial sont au cœur de ce projet de gouvernement mondial. Au-dessus d'eux se trouvent des groupes d'intérêts financiers qui agissent totalement dans l'ombre, afin que personne ne leur demande jamais de rendre des comptes pour leurs crimes contre l'humanité."

Année 2019 – Événement 201 – Dictature de Covid Selon le site web de l'« Université Johns Hopkins », le « Johns Hopkins Center for Health Security » (Centre Johns Hopkins pour la sécurité sanitaire), en collaboration avec le Forum économique mondial (FEM) et la Fondation Bill et Melinda Gates, a organisé le 18 octobre 2019 à New York l'« Event 201 ».

Il s'agissait d'un cas fictif de pandémie grave à l'échelle mondiale déclenchée par un nouveau coronavirus appelé nCov-19. L'exercice de pandémie portait sur des situations dans lesquelles des partenariats public-privé sont nécessaires pour faire face à de telles pandémies. Dix semaines plus tard, la Chine a annoncé à l'OMS les premiers cas de Covid-19.

Année 2020 – Great Reset – Dictature numérique The Great Reset, c’est-à-dire la Grande Réinitialisation désigne l'initiative du Forum économique mondial visant à remodeler l'économie et la société mondiales à la suite de la pandémie de COVID-19.

Ernst Wolff a résumé dans son livre de quoi il s'agit [Livre de poche, Ernst Wolff, „World Economic Forum – Die WeltmachtimHintergrund“, 2022, Page 133] : « Quatre mois après la déclaration de la pandémie mondiale (le 9 juillet 2020), Klaus Schwab a présenté son ouvrage « COVID-19 La Grande Réinitialisation », co-rédigé avec l'auteur Thierry Malleret. [...] En même temps que son livre, Schwab a présenté l’initiative Le Grande Réinitialisation avec laquelle le FEM, en coopération avec ses partenaires, veut s'attaquer à la construction du monde post-COVID-19. Ce qui est remarquable, c'est que dans le cadre de cette initiative, la crise du Covid n'est considérée que comme un phénomène passager. [...] Il est essentiellement question de deux autres thèmes : Le changement climatique et la quatrième révolution industrielle. »

[Livre de poche, Ernst Wolff, „World Economic Forum – Die WeltmachtimHintergrund“, 2022, pages 144-145] « L'introduction de la monnaie numérique de banque centrale est la pièce maîtresse du Great Reset. Il est actuellement préparé en arrière-plan dans le monde entier et soutenu par le FEM. [...]

Concrètement, le projet se présente ainsi : Chaque citoyen et chaque entreprise ne disposerait plus que d'un seul compte auprès de la banque centrale. Cela permettrait à l'Etat de fixer de manière centralisée la quantité d'argent, de diriger et de contrôler les flux monétaires et de fixer les taux d'intérêt en fonction des besoins. [...] Les citoyens comprendront très vite que l'État pourrait non seulement suivre chaque transaction, mais aussi leur imposer au passage des taux d'intérêt individuels, des taux d'imposition individuels, ou encore des pénalités, lier l'argent à [...] un système de crédit social sur le modèle chinois ou les couper complètement de tous flux financiers. »

Une vidéo du Forum économique mondial (FEM) datant de 2016 montre où pourrait mener l'introduction de monnaies numériques de banque centrale, jusqu'à la coupure de tous flux financiers. Cela est paru sous le nom de « 8 prédictions pour le monde en 2030 ». « Tu ne posséderas rien et tu seras heureux » est une phrase de la vidéo. Elle est tirée d'un essai de la politicienne danoise Ida Auken.

La vidéo a été supprimée du site web du FEM, car elle a suscité trop de protestations. Elle peut toutefois être consultée sur la page Facebook du FEM. Le 10 novembre 2016, le FEM a défini dans un article du magazine « Forbes » comment il fallait comprendre la phrase « Tu ne posséderas rien et tu seras heureux ». Citation : « Bienvenue en 2030. Bienvenue dans ma ville - ou devrais-je dire « dans notre ville ». Je ne possède rien. Je ne possède pas de voiture. Je ne possède pas de maison. Je ne possède pas d'appareils ni de vêtements. Cela peut vous sembler étrange, mais c'est parfaitement logique pour nous dans cette ville. Tout ce que vous considériez comme un produit est maintenant devenu un service. Nous avons accès aux transports, au logement, à la nourriture et à tout ce dont nous avons besoin dans notre vie quotidienne. L'un après l'autre, toutes ces choses sont devenues gratuites, si bien que cela n'avait aucun sens pour nous de « posséder » beaucoup. »

La non-possession est promue comme une aubaine. Écoutez à ce sujet le fondateur de Kla-TV, Ivo Sasek (Émission Kla.TV du 18.06.2021) : [https://www.kla.tv/WEF/19027]

"De l'extérieur, le FEM se présente (on ne peut pas être plus effronté) avec diverses vidéos qui font ou devraient faire miroiter à la population mondiale le renversement de l'ancien ordre mondial. Après des critiques sévères, ils ont rapidement supprimé certaines de ces vidéos. En effet, ils y ont carrément glorifié l'appauvrissement des peuples, imaginez un peu, la dépossession totale de tous nos biens présentée comme un événement enthousiasmant, vous comprenez, la privation de nos droits comme désirable, présentée de manière moderne." Ivo Sasek a également une solution pragmatique tout prête, comme il l'a exposé le 16 mars 2023 : https://www.kla.tv/PrincipeSourisLaboratoire/25587]

Le nouveau principe de la souris de laboratoire 30.03.2023 | www.kla.tv/25587

« En tant que population mondiale, disons une fois haut et fort « oui » au Great Reset de Klaus Schwab et de ses instigateurs : Mais en tant que démocratie mondiale, nous prenons d'abord la décision de tester ce Great Reset sur tous ses inventeurs et propagandistes pendant au moins 20 ans : c’est-à-dire sur Klaus Schwab et tous ses collègues du FEM.»

 
Autres acteurs du FEM pour réaliser ses objectifs ou son agenda

Outre les acteurs mondiaux et les grandes multinationales déjà mentionnés, il faut encore citer deux autres acteurs décisifs.

Il est important de garder à l'esprit que ces acteurs et d'autres n'agissent pas de manière autonome, mais qu'ils ont été créés par ces mêmes acteurs mondiaux.

 
Chine

De 1978 à 1997, la Chine a été dirigée de facto par Deng Xiaoping. Lorsqu'en décembre 1978, celui-ci a amorcé l'abandon de l'économie planifiée centralisée et le passage au capitalisme, Klaus Schwab a réagi promptement. Schwab a immédiatement invité Deng Xiaoping au prochain symposium de Davos en 1979. Ernst Wolff a écrit dans son livre : [Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum - Die WeltmachtimHintergrund », 2022, p. 96] « 2009 a été la 30e année de participation d'une délégation chinoise à la rencontre de Davos. Entre-temps, presque tous les chefs d'État et de parti chinois avaient rendu visite au FEM. Le bureau du FEM à Pékin a travaillé en étroite collaboration avec la Commission nationale chinoise pour le développement et la recherche, avec le ministère chinois des Affaires étrangères et avec un certain nombre de grandes entreprises chinoises. ».

[Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum - Die WeltmachtimHintergrund », 2022, p. 139] « Lors de la réunion virtuelle de janvier 2021, organisée sous le slogan « Great Reset » [...] le président chinois Xi Jinping a prononcé un message vidéo. » [Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum - Die WeltmachtimHintergrund », 2022, p.139] « Si on regarde la liste des participants qui rejoindront les rangs des Young Global Leaders entre 2020 et 2022, on constate que la Chine a fourni le plus gros contingent après les États-Unis et que le nombre de candidats issus du secteur financier est supérieur à la moyenne. Ce n'est pas un hasard, car selon la volonté du FEM, ces deux pays sont appelés à jouer un rôle décisif dans le cadre du Great Reset dans un avenir proche ».

[Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum - Die Weltmacht im Hintergrund », 2022, p. 143-145] « Si la Chine joue depuis des décennies un rôle décisif pour le FEM [...], c'est parce que, malgré le passage d'une économie planifiée à une économie de marché, la Chine a conservé les structures centralisées de l'époque du maoïsme. C'est pourquoi le gouvernement chinois peut agir de manière beaucoup plus autoritaire que ses adversaires qui agissent dans des conditions parlementaires. On le voit notamment dans le cadre de la crise Covid, pendant laquelle le régime de Pékin a fait preuve d'une dureté de fer en décrétant les confinements les plus longs et les plus sévères au monde. Mais cela se voit aussi par rapport à un autre projet qui se prépare actuellement en coulisses dans le monde entier et qui est soutenu par le FEM : l'introduction de monnaies numériques de banque centrale, la pièce maîtresse du Great Reset ».

Dans l'émission Kla.TV sur la Chine, ce système de domination nous menace tous ! - le rôle de la Chine a été résumé comme suit :

Avec son système de crédit social, la Chine est un pionnier et un modèle pour le Great Reset souhaité par Klaus Schwab et le Forum économique mondial (FEM). Ce système est un système de surveillance de masse à l'aide de l'intelligence artificielle et donc le perfectionnement du système de domination forcée mis en place par Mao. Le comportement et la fiabilité de chaque individu, mais aussi des entreprises et des organisations, y sont constamment surveillés et évalués. En récompensant le bon comportement dans l'intérêt des gouvernants et en punissant tout écart de conduite, il impose à chacun de fonctionner à 100% dans l'intérêt des dirigeants. Le premier système de crédit social en Europe a depuis déjà été introduit à Bologne (en Italie) et la Commission européenne prépare également l'introduction de ce système de contrôle et d'éducation.

Comme l'a démontré l'émission de Kla.TV « Chine - ce système de domination nous menace tous ! », la Chine a été financée et construite par la société secrète Skull&Bones, Lord Rothschild et plus tard la Fondation Rockefeller. Skull&Bones était à l'origine une association d'étudiants de l'université de Yale et forme le cercle interne du Council on Foreign Relations (CFR). Au début du 20e siècle, elle a fondé en Chine une série d'écoles et d'hôpitaux connus sous le nom de « Yale-in-China ». Selon les résultats de la recherche de l'ExpressZeitung suisse (numéro 50 d'octobre 2022), c'est « Yale-in-China » qui a ouvert la voie du pouvoir aux marxistes ainsi qu'au dictateur chinois Mao Tse-tung (1893-1976). Dès 1986, l'historien britannique Antony C. Sutton écrivait : « Vers l'an 2000, la Chine communiste sera une « superpuissance » construite avec la technologie et l'expertise américaines. »

De même, le scientifique renommé Sutton montre comment la Russie a été infiltrée par la Croix-Rouge américaine au début du 19e siècle. Celle-ci aurait également été accaparée par les forces de la haute finance. Ainsi, la révolution d'octobre 1917 - qui mit fin au tsarisme et marqua l'avènement du communisme - fut soigneusement orchestrée par l'élite financière, et notamment par les Rothschild, et soutenue par des moyens financiers colossaux. Sutton montre comment les cercles de banquiers autour de la banque centrale américaine ont mis en place presque toute l'industrie lourde de l'URSS.

 
Russie
 
En 1986, l'Union soviétique a participé pour la première fois à une rencontre du FEM à Davos sous la direction de Mikhaïl Gorbatchev, arrivé au pouvoir l'année précédente. A l'époque, cette rencontre s'appelait encore « European Management Forum » jusqu'en 1987.

Depuis les années 90, Klaus Schwab entretient une longue amitié avec le président russe Vladimir Poutine. Selon le magazine « Politico », Poutine et son prédécesseur à la présidence, Dmitri Medvedev, ont prononcé cinq discours au FEM entre 2007 et 2021. Schwab a littéralement déclaré : « Le FEM a établi une excellente relation avec la Fédération de Russie. Aussi bien avec le monde des affaires qu'avec le gouvernement ». En tant que « partenaires stratégiques », les entreprises russes ont, selon un initié, versé environ 600 000 francs par an au FEM et ont pu, en contrepartie, participer à l'élaboration du programme.

En 2018, le FEM a créé un « centre de cybersécurité » en collaboration avec la société russe de sécurité informatique BI.ZONE. BI.ZONE est une filiale de la plus grande institution financière de Russie, la Sberbank. C'est sous la direction de cette dernière que s'est déroulé l'exercice annuel en ligne « Cyber Polygon » afin de s'entraîner aux cyber-attaques et à la défense contre celles-ci.

Pour le FEM de mai 2022, les Russes sanctionnés ont été désinvités dans le cadre de la guerre en Ukraine. Pour la première fois depuis l'ère Gorbatchev, il n'y a pas eu de participation russe au FEM. En outre, les deux banques russes Sberbank et VTB ainsi que le groupe énergétique russe Gazprom ont été supprimés de la liste des « partenaires stratégiques ».

Néanmoins, il faut bien constater que la Russie met en œuvre le même agenda mondial que celui promu par le FEM et les élites mondialistes :

● La Russie a toujours été en première ligne dans la lutte contre la prétendue pandémie de COVID, appelant la population à se faire vacciner au côté des autres pays.

● La Russie joue un rôle de premier plan dans l'introduction de la monnaie numérique de la banque centrale, ou CBDC. En 2024, le rouble numérique devrait être introduit dans tout le pays. La CBDC peut être considérée comme un élément constitutif du contrôle total et de la surveillance totale.

● Avec la Chine, la Russie est le grand partisan de la mise en place d'un nouveau système financier et monétaire mondial sous le contrôle du FMI.

● La Russie occupe une place de premier plan en tant qu'État de surveillance. Moscou et Saint-Pétersbourg font partie des dix villes les plus surveillées en dehors de la Chine.

En 2017 et 2018, les autorités moscovites ont introduit un système de caméras de rue soutenu par un logiciel de reconnaissance faciale. Lors de la crise de Covid en 2020, les autorités ont été en mesure de repérer et de punir les personnes qui quittaient leur domicile en violation des règles de confinement.

● La Russie joue un rôle de premier plan dans la mise en œuvre de l'Agenda 2030 de l'ONU et du Great Reset. Comme publié sur le site web du « Bureau exécutif du président russe », la Russie fait avancer la mise en œuvre de l'Agenda 2030 de l'ONU. C'est ce qui ressort d'une déclaration commune avec la République populaire de Chine sur le développement durable mondial. Elle a été rédigée le 4 février 2022 à l'occasion de la visite du président russe Vladimir Poutine à Pékin. Le même jour, il a participé à la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques d'hiver. La déclaration commune mentionne nommément : « la lutte contre la pauvreté, la sécurité alimentaire, les vaccins et la lutte contre les épidémies, le financement du développement, le changement climatique, le développement à long terme, y compris le développement vert, l'industrialisation, l'économie numérique et la connectivité des infrastructures. »

Tout comme la Chine ou les acteurs mondiaux mentionnés ou les initiatives du FEM qui s'avèrent être des instruments dans la mise en place d'une dictature mondiale centralisée, il convient d'observer si cela concerne également la Russie.

 
Le FEM en résumé

Voici un rappel et un résumé des points les plus importants :

● Le FEM n'est pas simplement une fondation suisse créée et mise en place par un Klaus Schwab indépendant.

● Pendant son séjour à la Harvard Business School en 1966/1967, Schwab subit l'influence de son professeur Henry Kissinger.

● Le « European Management Symposium » - l'ancêtre du FEM - est né d'un programme de Harvard financé par la CIA et dirigé par Henry Kissinger, et a été mis sur pied en Suisse avec le soutien de John Kenneth Galbraith et Herman Kahn. Tous les trois sont membres du groupe de réflexion du Council on Foreign Relations (CFR).

● Toutes les personnes liées à la création ou à la structure de gouvernance supérieure du FEM sont soit membres du groupe Bilderberg ou du Conseil des relations étrangères (CFR) ou de la Commission trilatérale, soit simultanément de plusieurs.

● Tous ces relais passent par les mêmes hommes en arrière et leurs successeurs, que ce soit David Rockefeller, Henry Kissinger, Laurence Douglas, « Larry » Fink ou David Rubenstein et quelques autres acteurs mondiaux fortunés.

● Lors de sa création en 1971, le FEM a reçu pour mission de mettre en œuvre l'agenda d'un Nouvel Ordre Mondial (NOM) à l'échelle mondiale avec l'aide des grandes entreprises mondiales. Entre-temps, toute l'élite des grandes entreprises mondiales s'y est regroupée.

● Le Forum économique mondial (FEM) a été installé comme l'un des points de contact les plus importants de la politique mondiale par ces mêmes dirigeants mondiaux. Grâce au FEM, différentes initiatives ont été lancées, qui servent d'outils pour faire avancer la globalisation. Ce qui prépare le terrain pour une future dictature mondiale centralisée.

● Parmi ces initiatives, certaines des plus importantes sont le Club de Rome en lien avec la dictature du climat, l'alliance pour la vaccination GAVI en lien avec la dictature de la vaccination, l'exercice de pandémie « EVENT 201 » d'octobre 2019, c'est-à-dire la dictature de Covid, le Great Reset, le transhumanisme, etc. Mais des acteurs comme la Chine et la Russie servent également d'instruments à l'agenda du FEM et le font avancer en première ligne.

● Le « Great Reset » proclamé par le fondateur du FEM a pour objectif de faire entrer l'ensemble des citoyens de la Terre dans une nouvelle ère, numérique et guidée par l'intelligence artificielle. « Great Reset » signifie quelque chose comme : Un monde dans lequel personne ne possède plus rien, où chacun est entièrement surveillé, mais aussi entièrement dépendant et donc dirigeable.

● Le programme du transhumanisme (la fusion des corps humains avec la sphère numérique) ouvre les portes à la manipulation, au contrôle et à la gestion de l'humanité. La voie est libre pour une dictature mondiale centralisée !

Voilà pour les points principaux. Compte tenu du fait que les fils du FEM sont reliés aux mêmes réseaux et aux mêmes personnes, et que les objectifs des initiatives du FEM, tels qu'ils sont décrits ici, servent sans équivoque un agenda mondial, on peut très bien parler d'une véritable conspiration mondiale.

Il ne s'agit pas d'une conspiration mondiale de quelques grands acteurs comme le gouvernement américain, la Russie ou la Chine, mais d'un petit nombre de dirigeants mondiaux. Ceux-ci ont en commun d'être profondément impliqués dans la société secrète de la franc-maçonnerie. Ainsi, l'une des super loges les plus puissantes et donnant le ton au niveau mondial, « THREE EYES », a été fondée par David Rockefeller, Henry Kissinger et Zbigniew Brzeziński.

Grâce à des révélations comme celles du franc-maçon italien de haut niveau Gioele Magaldi, on sait que l'ancien dirigeant du Parti chinois Deng Xiaoping (1904-1997) a été initié à la franc-maçonnerie et est devenu membre de la super loge « THREE EYES ». Cela a eu pour conséquence que, selon Gioele Magaldi, tous les présidents du parti, dont l'actuel président de la République chinoise Xi Jinping, sont depuis 1980 membres des super loges, dans lesquelles sont organisés les francs-maçons de haut grade.

Il est également connu que les acteurs russes les plus importants étaient ou sont encore membres de super loges. Par exemple Joseph Staline (1878-1953), Vladimir Ilitch Lénine (1870-1924), Léon Trotski (1879-1940), Mikhaïl Gorbatchev (1931-2022), Boris Eltsine (1931-2007) ainsi que le président russe Vladimir Poutine.

Tout cela a été révélé dans l'émission de Kla.TV « Danger mondial : Franc-maçonnerie de haut grade ». [https://www.kla.tv/23995 ]

 La conclusion de cette émission : 
 
Il semble n'y avoir qu'un seul chemin pour venir à bout à temps de cette conspiration mondiale vieille de plusieurs siècles : La communauté mondiale trompée et pillée doit écrire les noms de tous ses pillards afin que ceux-ci puissent être jugés et privés de leur pouvoir lors d'un tribunal mondial décrété par le peuple – un Nuremberg 2.0 en quelque sorte. Avant que ces conspirateurs mondiaux ne puissent prochainement dépouiller les peuples de leurs derniers biens et de leurs dernières libertés, les peuples doivent confondre ces sournois prédateurs au sujet de leur banditisme, de sorte que tous les biens et terres qu’ils ont volés (en effet une grande partie de la surface du monde leur appartient déjà) et que tous leurs capitaux puissent être confisqués.

Comme une aurore, les plans cachés et les tireurs de ficelles du FEM apparaissent. Faites partie de ce lever du jour ! Aidez-nous à diffuser ces révélations dans le monde entier et à mettre un terme au FEM et à ceux qui le dirigent !
 
Partager cet article
Repost0
15 janvier 2024 1 15 /01 /janvier /2024 19:17

Outre l'#UE,depuis 2017 la  est otage d'une secte #ForumEconomicMondial @wef dirigée par un gourou mondialiste #KlausSchwab dont Macron & #Attal sont des pions serviles #YoungGlobalLeader chargés d'appliquer l'#WEF2030Agenda & le #GreatReset @afpfr
▶️https://t.co/5MiI0Etngs pic.twitter.com/IRKTJx6Tvt

— Bernard Monot (@Bernard_Monot) January 10, 2024

 

_____________________________

 

L'art de la flagornerie par Christophe Barbier journaliste sur BFM TV - digne de l'époque soviétique !

 

CITATION – « C’est quoi le sens étymologique de Gabriel dans la Bible ? C’est la force de Dieu. C’est le bras armé de Dieu, notamment pour protéger contre les anges rebelles. Il est missionné pour protéger Dieu, c’est-à-dire Macron, lors des prochaines européennes », Christophe… pic.twitter.com/xZgoT9yNQ1

— Brèves de presse (@Brevesdepresse) January 11, 2024

L'Université d'Assas fait savoir que Gabriel Attal n'a jamais obtenu sa licence en droit

INFO ou INTOX ?

 

Partager cet article
Repost0
15 janvier 2024 1 15 /01 /janvier /2024 19:10

Partager cet article
Repost0
13 janvier 2024 6 13 /01 /janvier /2024 20:55

C’est ce que prouvent des notes de la DCRI auxquelles ont eu accès Le Monde. Des notes qui n’ont jamais été déclassifiées et adressées à la justice.

Elles montrent d’abord que le renseignement français savait tout du profil du tueur de Toulouse dès 2012 et qu’ils ont laissé faire. L’ancien patron du renseignement intérieur toulousain, Christian Ballé-Andui, avait alerté sur sa probable implication dans les attentats, mais personne ne l’a écouté. Pourtant, ses conseils auraient sans doute évité la tuerie de l’école juive Ozar Hatorah. Dès juin 2011, Christian Ballé-Andui demande que soit « judiciarisé le dossier Merah », mais la DCRI s’y refuse. Merah est également pisté par les services depuis 2006, mais sa surveillance s’arrête inexplicablement fin 2011. 

Pourquoi ?

Parce que Merah était un informateur de la DCRI, bénéficiant d’une « liberté de mouvement en échange d’informations précieuses », en lien « avec un correspondant DCRI ». Ce que confirme Yves Bonnet, ancien patron de la DST : « Merah avait manifestement des relations avec la DCRI comme on l’a appris à travers les déclarations de Bernard Squarcini lui-même [le chef de la DCRI]. C’est-à-dire qu’il avait un correspondant au Renseignement intérieur. Alors appelez ça “correspondant”, appelez ça “officier traitant”… […] Or avoir un correspondant ce n’est pas anodin. »

Ce qui lui aurait permis notamment d’être introduit en Israël par la DGSE via la Jordanie, avec la bénédiction de son directeur Erard Corbin de Mangoux proche de Sarkozy. Il serait ensuite revenu en Jordanie d’où il se serait envolé pour l’Afghanistan. But de l’opération : « prouver au réseau djihadiste sa capacité à passer à travers la frontière avec un passeport européen », selon Daniele Raineri du quotidien Il Foglio.

Les services israéliens ont confirmé à Reuters que Merah s’était rendu trois jours en 2010 en Cisjordanie à partir de la Jordanie, confirmant une info donnée par Bernard Squarcini. De ce fait, Éric Denecé, directeur du Centre français de recherche sur le renseignement, souligne : si Merah « était suivi par la DCRI, ses déplacements étaient forcément connus des services de renseignements français ». Comment se fait-il d’ailleurs qu’une carte d’un membre du GSPR (Groupement du président de la République) ait pu être retrouvée dans la voiture de Merah ?

Le Monde révèle même que Merah se serait filmé, peu avant sa mort lors de l’assaut, en révélant qu’un de ses amis, Zouheir, qu’il pensait être un djihadiste, était en réalité un agent du renseignement qui le manipulait. « Tu m’as envoyé en Irak, au Pakistan et en Syrie pour aider les musulmans. Et tu te révèles finalement un criminel et un capitaine des services français. J’aurais jamais cru ça. Va en enfer espèce de traître ! Je ne te pardonnerai jamais. Vous allez me tuer sans aucune raison. C’est vous qui m’avez entraîné dans cette situation. » (quotidien arabophone Echourouk et AFP).

Ce que confirme l’avocate française Isabelle Coutant-Peyre, qui assiste l’avocate algérienne de la famille Merah. D’où « la liquidation » de Mérah, pour ne pas révéler le fiasco et la manipulation des services français. Sachant que la DGSE a acheté le silence du père Merah, détenteur des vidéos, pour 30.000€ parce qu’il portait plainte contre la hiérarchie policière pour « meurtre aggravé » de son fils (Times of Israël).

Ce que dénonçait aussi Marc Granié, CRS pendant 35 ans, ancien Béret rouge chargé de la protection des hautes personnalités à l’Elysée, dans une vidéo

youtu.be/RzcULQHT2h0?si… :  « Il faut savoir que les américains avait intercepté Merah dans le pays où il s’entrainait pour le djihad, qu’après cette interpellation, les autorités US ont contacté la France qui a répondu : « Laissez-le ». Merah était un agent qui travaillait pour la France et qui par la suite fut assassiné. »

Sources👇 

https://www.slate.fr/story/52297/mohamed-merah-informateur

https://www.lemonde.fr/societe/article/2012/06/12/merah-aurait-decouvert-qu-il-etait-manipule-par-les-services-du-renseignements_1717261_3224.html

https://www.google.com/search?q=merah+l%27age%27t+retourn%C3%A9&client=ms-android-sonymobile&sxsrf=ALiCzsYzbABHHO4tN2mUQ2YFRLh94xGHHA%3A1659382744252&ei=2CvoYuXsDo6FlwToyL3gCQ&oq=merah+l%27age%27t+retourn%C3%A9&gs_lcp=ChNtb2JpbGUtZ3dzLXdpei1zZXJwEAMyCAgAEKIEELADSgQIQRgBUABYAGCREGgAcAB4AIAB9gOIAfYDkgEDNS0xmAEAyAEBwAEB&sclient=mobile-gws-wiz-serp

Claude Bardon, ancien directeur des Renseignements généraux et responsable de l’arrestation des membres du groupe Action Directe dans les années 80, déclare le jour où Merah a été tué :

« Merah est typiquement le type de personne que nous aurions essayé de recruter. Il avait des ennuis avec la justice, nous lui aurions effacé son ardoise. Il aimait sortir avec ses potes mais était sans emploi, nous lui aurions donné de l’argent de poche. Et si ça n’avait pas marché, nous l’aurions surveillé de très près. »

L’avocate algérienne de la famille Merah, Zahia Mokhtari, a affirmé détenir la preuve – sous forme de deux cassettes vidéo – de la liquidation de Merah par la police française, dans le but d’étouffer sa collaboration avec les renseignements français :

« Nous détenons deux vidéos identiques de 20 minutes chacune dans lesquelles Mohamed Merah dit aux policiers « pourquoi vous me tuez? (…) je suis innocent, vous m’avez trahi ! » a déclaré Mokhtari, qui affirme également que « Des personnes au coeur de l’événement, et qui voulaient que la vérité éclate, m’ont remis ces vidéos. (…) Merah (Mohamed) a été manipulé et utilisé dans ces opérations par les services français et a ensuite été liquidé pour que la vérité ne voie pas le jour ».

Si l’on tient compte des commentaires du chef de la DCRI, Bernard Squarcini, Merah était bien un informateur. Squarcini a déclaré qu’au cours du siège :

« Il a souhaité parler avec le policier de la direction régionale du renseignement intérieur (DRRI) de Toulouse qui l’avait rencontré en novembre 2011. » [Le 13 octobre 2011, Merah appelle le fonctionnaire] « car il n’est pas en France à ce moment-là, il est au Pakistan ». « Dès que je rentre, je vous contacte », a-t-il dit. Le 3 novembre, il rappelle de l’hôpital Purpan, à Toulouse, ou il est hospitalisé pour une hépatite. « Dès que je sors, je viens vous voir », assure-t-il. Il fait preuv assure-t-il. Il fait preuve d’une excellente coopération, d’éducation, et de courtoisie.

En effet, ce n’est pas anodin d’avoir un correspondant aux renseignements, en particulier dans le cas de Merah, qui semble avoir été utilisé par les renseignements pour entrer en contact avec de soi-disants « militants islamistes » en Afghanistan et au Pakistan, afin de rapporter des informations sur leurs activités. Étant donné que le gouvernement français prend la menace du « terrorisme islamique » tellement au sérieux, on aurait pu supposer qu’il aurait surveillé et contrôlé étroitement les allées et venues de l’un de ses informateurs, après l’avoir envoyé tout droit chez les terroristes islamistes pour y subir un entraînement et, en essence, se faire passer pour un « djihadiste ». Logiquement, le risque qu’un indic’ « tourne mal » et ne finisse par trahir les autorités françaises aurait dû figurer en premier sur leur liste de problèmes potentiels et les inciter à le tenir à l’œil, non ? »

À lire👇

http://www.brujitafr.fr/article-le-11-septembre-de-sarkozy-l-americain-mohamed-merah-ou-l-informateur-liquide-102982404.html

Partager cet article
Repost0
13 janvier 2024 6 13 /01 /janvier /2024 20:50
500 navires français sont interdits de pêche de fin janvier à fin février, alors que les autres pays peuvent pêcher !
Le Conseil d’État a revu un arrêté du gouvernement visant à limiter pendant un mois la pêche dans le golfe de Gascogne, afin de réduire les captures accidentelles de dauphins. | THIERRY CREUX / OUEST-FRANCE

 

Le Conseil d’État a retoqué les dérogations prévues par le texte visant à limiter les captures accidentelles de cétacés – notamment les dauphins – dans le golfe de Gascogne. Les pêcheurs concernés par l’interdiction seront bien plus nombreux que prévu.

 

À la quasi-veille de Noël, la décision a provoqué la sidération des pêcheurs. Vendredi 22 décembre 2023 au soir, le Conseil d’État a annoncé suspendre des dérogations figurant dans un arrêté du gouvernement, visant à limiter pendant un mois la pêche dans le golfe de Gascogne, afin de réduire les captures accidentelles de dauphins.

Ce texte, publié en octobre par le secrétariat d’État à la mer, exemptait les navires de plus de 8 mètres travaillant en senne pélagique et danoise, ou ceux équipés de dispositif d’effarouchement dédiés aux cétacés.

 

Que signifie la décision du Conseil d’État ?

Du 22 janvier au 20 février 2024, ce sont finalement « cinq cents navires français », selon le Comité national des pêches, qui ne pourront pas travailler en raison de la décision du Conseil d’État. Un tiers de la flottille des Pays de la Loire serait concerné, mais également des navires bretons et aquitains, assure José Jouneau, président du Corepem, le comité régional des pêches et des élevages marins des Pays de la Loire, interrogé par Ouest-France.

Qui s’attend, en pleine campagne de la sole, à un impact « de 30 à 40 % sur le chiffre d’affaires » de certaines entreprises, déjà inquiètes des quotas de pêche récemment délivrés. La filière est en contact avec le secrétariat d’État à la mer mais ne sait pas si elle pourra être aidée. Elle s’inquiète aussi des conséquences en aval pour les criées et le mareyage.

Pourquoi les ONG avaient-elles dénoncé cet arrêté ?

« Cela fait cinq ans qu’on travaille sur des solutions pour éviter les captures de dauphins, nous étions dans les clous de ce que le gouvernement avait demandé », affirme José Jouneau. Les ONG écologistes avaient attaqué l’arrêté, l’estimant insuffisant. Le Conseil d’État a jugé que les dérogations étaient trop importantes « pour que la fermeture de la pêche ait un effet suffisant sur les captures accidentelles pour avoir une chance de réduire dès 2024, la mortalité des petits cétacés à un niveau soutenable ».

Source

Partager cet article
Repost0

Pages