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15 février 2024 4 15 /02 /février /2024 11:08

C'est une attaque en règle contre les médias qui ne sont pas dans la ligne éditoriale Macroniste ; le Conseil d'Etat assez servile vis à vis de l'Exécutif instaure une règle par l'ARCOM de censure  vis à vis de CNEWS entre autres, mais cela va de paire avec une autre loi, celle  sur les dérives sectaires que le gouvernement essai de faire passer par maintes subterfuges au Sénat puis à l'Assemblée Nationale.

 

Nous voilà donc dans un virage important de la politique Française, un virage totalitaire, du moins les prémices d'un plan nettement plus large de soumission du peuple Français, donc dans un premier temps celui de ne pas l'informer pour pouvoir agir à sa guise en le manipulant par une information officielle  et pour ce cas de figure comme je le pressent une nouvelle plandémie, dont l'OMS aurait toute latitude puisque les Etats lui auront délégués le pouvoir de déclarer une pandémie mais aussi l'obligation vaccinale, qui par ce biais de censure deviendrait incontestable ; la loi sur les dérives sectaire permettrait entre autre d'incarcérer pour un an et 15 000 euros d'amende tout opposant à la décision !

 

Musèlement de la communication 2.0 made in Macronistant.

 

Henry

 

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Oh ! Grand Jupiter quand allez vous nous les lâcher !
 
 

 

 

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15 février 2024 4 15 /02 /février /2024 11:07

Ce que l'on apprend dans cette vidéo ç'est qu'en Angleterre également sévit une censure d'Etat sur le sujet ; alors que les procédures judiciaires  et les études démontrant la nocivité des vaccins se multiplient partout dans le monde Occidental !

 

Henry

 

 

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« Macha », malgré la censure dont elle fait l’objet, apporte son témoignage pour nous tous sur TPMP.

 
Commission royale d’enquête COVID – Pr Ian Brighthope

« Commission royale d’enquête COVID – Pr Ian Brighthope » Pr Ian Brighthope : « Cela n’aurait jamais dû être injecté à un seul être humain… Cela ne restera jamais dans le muscle, contrairement à ce que l’on nous avait promis. Ça se déplace dans tout le corps. Ça se propage dans le cerveau, le cœur, les vaisseaux sanguins, les testicules et les ovaires. C’est la raison pour laquelle nous voyons tant de personnes souffrir d’effets indésirables graves ». Source (Le Déclencheur)

Censure –«On est arrivé à un degré de dictature invraisemblable»–Didier Raoult

Didier Raoult : « La science, c’est la négociation entre le ministère et l’industrie pharmaceutique »

Rapport choquant du #CDC : le risque de maladie cardiaque auto-immune monte en flèche après la vaccination contre le COVID

 

Source

Une étude des Centers for Disease Control et de la Food and Drug Administration des États-Unis, rapportée par http://Expose-news.com , a reconnu que le risque de myocardite suite à la vaccination avec le « vaccin » à ARNm Covid monte en flèche, étant environ 133 fois plus élevé.

Cela signifie que la vaccination contre le COVID-19 augmente de 13 200 % le risque de myocardite, une maladie auto-immune qui provoque une inflammation du cœur.

L’étude, menée par des chercheurs des Centers for Disease Control (CDC) américains ainsi que de plusieurs universités et hôpitaux américains, a examiné les effets de la vaccination avec les produits Pfizer-BioNTech et Moderna.

Les auteurs de l’étude ont utilisé les données obtenues à partir du système de reporting VAERS du CDC, qui ont été recoupées pour garantir qu’elles répondaient à la définition de la myocardite du CDC. Ils ont également constaté que, compte tenu de la nature passive du système VAERS, le nombre d’incidents signalés pourrait sous-estimer l’ampleur du phénomène.

1 626 cas de myocardite ont été étudiés et les résultats ont montré que le produit Pfizer-BioNTech était associé à un risque plus élevé de 105,9 cas par million de doses après le deuxième vaccin dans le groupe des hommes âgés de 16 à 17 ans et de 70,7 cas par million de doses après le deuxième vaccin. la deuxième injection dans le groupe des hommes âgés de 12 à 15 ans. Le groupe d’âge des hommes de 18 à 24 ans présentait également des taux de myocardite significativement plus élevés pour les produits Pfizer et Moderna (52,4 et 56,3 cas par million, respectivement).

L’étude a révélé que le délai moyen d’apparition des symptômes était de deux jours et que 82 % des cas étaient des hommes, ce qui concorde avec les études précédentes. Environ 96 % des personnes touchées ont été hospitalisées, la plupart étant traitées avec des anti-inflammatoires non stéroïdiens ; les symptômes chez 87% des personnes hospitalisées ont disparu au moment de leur sortie.

Au moment de l’analyse des données, deux rapports faisant état de décès de personnes de moins de 30 ans potentiellement atteintes de myocardite faisaient toujours l’objet d’une enquête et n’étaient pas inclus dans le décompte des cas.

Parmi les symptômes signalés figuraient : des douleurs, pressions ou inconforts thoraciques (89 %), un essoufflement (30 %), des résultats ECG anormaux (72 %) et des résultats anormaux d’IRM cardiaque (72 %).

Compte tenu de la pléthore d’études confirmant le lien entre la vaccination contre le Covid et la myocardite, le CDC a commencé une surveillance active des adolescents et des jeunes adultes pour suivre leurs progrès en matière de blessures post-vaccinales. Cependant, les données sur les résultats à long terme ne sont pas encore disponibles.

Pendant ce temps, l’American Heart Association et l’American College of Cardiology recommandent aux personnes atteintes de myocardite d’éviter les sports de compétition pendant trois à six mois et de reprendre un exercice vigoureux seulement après avoir obtenu des résultats normaux d’électrocardiogramme et d’autres tests.

 
 

 

Les syndicats de la police italienne tirent la sonnette d’alarme face à l’augmentation du nombre de décès de policiers après la vaccination contre le COVID-19

Dr. William Makis MD

 

Les syndicats de la police italienne tirent la sonnette d’alarme face à l’augmentation du nombre de décès d’officiers après la vaccination contre le COVID-19 .

par Aussie17

Faits saillants—- Déclaration d’Antonio Porto, secrétaire général du Syndicat italien de la police : « Ici, nous avons des jeunes collègues, 29, 34, 40 ans. Mais des gens qui allaient bien. Le mois dernier, du 15 décembre à aujourd’hui, J’ai eu connaissance de sept policiers qui sont morts subitement. L’année dernière, nous en sommes presque à 50. Si ce n’est plus. » Déclaration d’Aldo Di Giacomo, secrétaire général du Syndicat de la police pénitentiaire « Au cours des 13 derniers mois, nous avons eu 41 policiers pénitentiaires qui sont morts subitement. Avec une augmentation de 200% par rapport aux années précédentes . Mais ces données sur ces morts subites nous inquiéter, et pas peu. »

Comme l’explique Antonio Porto, pour entrer dans la police, il faut passer des examens médicaux spécifiques et rigoureux. La présence de morts subites parmi les policiers est donc encore plus alarmante et nécessite des enquêtes. Pour rejoindre la police, vous devez avoir une santé et une constitution physique solides. C’est une condition de base pour entrer dans la police. Ainsi, si quelqu’un rejoint le groupe, cela signifie qu’il est en bonne santé et qu’il ne devrait pas mourir au bout de deux ans. Nous avons notre chère Rafaela De Luca, entrée et décédée après trois ans de service. Alors, qu’est-ce qui a causé ce décès ?

Source (en anglais) : Makismd.substack.com

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15 février 2024 4 15 /02 /février /2024 10:29

Toutes les informations sur la crise agricole en lien "Agriculture" dans  "catégories" à droite sur le site !

Agriculture  : "C’est tout le système qu’il faut changer. Les politiques veulent nous tuer"
 
 

L'agriculture Française il y à a peine 60 ans ! (Dans certaines régions)

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15 février 2024 4 15 /02 /février /2024 10:20

 

 

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La tragique auto-destruction d’un Israël enragé
 

 

Les énergies de la résistance perceront à travers la “révolution” propre à l’Occident et la “guerre civile” qui se prépare.

Israël est coincé, comme cela devient évident pour de nombreux Israéliens. Un correspondant israélien (anciennement secrétaire de cabinet) en illustre la nature :

La signification de la défaillance du 7 octobre n’est pas seulement la perte de vies humaines … mais surtout la transformation potentielle de la façon dont Israël est perçu … comme n’étant plus à craindre par les acteurs du Moyen-Orient.

 

 

Les dirigeants israéliens doivent comprendre que nous ne pouvons plus nous contenter d’un “sentiment de victoire” au sein du public israélien… Il n’est pas certain que la victoire à Gaza suffise à restaurer la peur d’Israël aux niveaux que nous avions vis-à-vis de nos ennemis. Une victoire qui se résumerait à la libération des captifs et à des mesures de confiance visant à établir un État palestinien ne suffirait pas à consolider l’image d’Israël à cet égard.

Si le bourbier de Gaza … amène les dirigeants [israéliens] à réaliser qu’ils ne sont pas en mesure de présenter une victoire claire sur ce front, une victoire qui conduirait à un changement stratégique dans la région, ils doivent envisager de changer de front et de réaffirmer la dissuasion israélienne en éliminant la menace stratégique au Liban … La victoire contre l’une des organisations terroristes les plus riches et les plus puissantes du monde – le Hezbollah – peut rétablir la dissuasion dans la région en général… Israël doit éliminer la menace du nord et démanteler la structure de pouvoir que le Hezbollah a construite au Liban, quelle que soit la situation dans le sud.

Mais sans victoire dans le sud, un succès significatif dans le nord devient d’autant plus important.

La citation ci-dessus va directement au cœur du problème. C’est-à-dire : comment sauver le sionisme ? Tout le reste du “bla-bla” émanant des dirigeants mondiaux n’est que du bluff. Non seulement Gaza ne donne PAS aux Israéliens un sentiment de victoire, mais au contraire, elle fait largement proliférer une violente colère face à une défaite surprise et “honteuse” .

Certains membres du cabinet de guerre (notamment Eisenkot) suggèrent qu’Israël regarde la vérité en face : il devrait capituler face au Hamas, donner une chance à un cessez-le-feu, libérer les Palestiniens incarcérés et sauver les otages détenus à Gaza.

Je pense qu’il est nécessaire de dire clairement qu’il est impossible de ramener les otages en vie dans un avenir proche sans un accord [de cessez-le-feu], et que quiconque raconte des mensonges à l’opinion publique ne fait que raconter des mensonges.

Mais ce n’est pas le sentiment qui prédomine parmi les Israéliens. La dernière enquête sur l’indice de paix reflète la morosité ambiante : 94 % des Juifs pensent qu’Israël a utilisé la bonne puissance de feu à Gaza (ou “pas assez” (43 %)). Les trois quarts des Israéliens pensent que le nombre de Palestiniens blessés depuis octobre est justifié pour atteindre ses objectifs ; deux tiers des répondants juifs affirment que le nombre de victimes est tout à fait justifié (21 % seulement disent qu’il est “quelque peu” justifié).

Le véritable prix à payer par Israël n’est cependant pas simplement la libération de prisonniers palestiniens (même si cela créerait en soi un tollé populaire), mais plutôt la crainte qu’un acquiescement aux demandes du Hamas ne sonne le glas du paradigme de sécurité israélien.

Ce paradigme consiste en un “contrat” quasi-religieux selon lequel les Juifs jouiront de la sécurité partout et en tout lieu sur la terre d’Israël – grâce à la matrice élaborée de la précarité radicale du territoire et des droits imposés aux non-Juifs (c’est-à-dire aux Palestiniens), par opposition à la pleine force de la protection et de la souveraineté pour les Juifs. C’est le paradigme universel qui sous-tend la sécurité juive.

Jusqu’au 7 octobre. Les événements de ce jour-là ont démontré que les Israéliens juifs ne sont plus en sécurité à l’intérieur d’Israël – et que le cadre sioniste, en ce qui concerne la sécurité, doit être repensé – ou, par la force des choses, abandonné. Cette prise de conscience a donné lieu à une sentiment collectif d’insécurité. Comme le note Moshe Zimmermann, professeur émérite d’histoire à l’Université hébraïque :

La solution sioniste n’est pas une solution. Nous arrivons à une situation dans laquelle le peuple juif qui vit à Sion vit dans un état d’insécurité totale… nous devons tenir compte du fait qu’Israël entraîne une réduction de la sécurité des Juifs de la diaspora, au lieu de l’inverse. La solution sioniste est donc très déficiente et nous devons examiner les causes de cette déficience.

La notion de deux États évoquée aujourd’hui par des personnes extérieures ne peut être une “solution” aux tensions actuelles – et elle est fausse. Et, écrit Alon Pinkas, commentateur israélien de premier plan, la Maison Blanche et Netanyahou le savent. Elle est fausse parce que le zeitgeist israélien et la psyché actuelle des peurs et de la demande de vengeance l’excluent ; parce que les colons-zélotes ne seront pas éliminés sans des rivières de sang ; et parce que, pour la plupart des Israéliens, deux États menacent de sonner le glas du sionisme puisque le groupe non juif insistera sur la parité des droits : c’est-à-dire qu’il n’y aura plus de droits spéciaux pour un groupe de population (les Juifs) par rapport à un autre (les non-Juifs – c’est-à-dire les Palestiniens).

L’Arabie saoudite est liée par l’Initiative de paix arabe de 2002 dirigée par l’Arabie saoudite (un État palestinien comme condition préalable à la normalisation) et parce que l’Autorité palestinienne ne peut pas facilement être “reconstruite” en tant que bras sécuritaire d’Israël “Vichy” pour tourmenter ses compatriotes palestiniens.

Alors, pourquoi tous ces semblants de “solutions” , sans lien avec les réalités politiques ?

Ce débat convient à la fois à Biden et à Netanyahou. L’équipe Biden est en mode endiguement. La Maison-Blanche espère, par ce biais, “calmer” les flammes de la fièvre guerrière soulevée par l’assaut de Gaza, et ainsi faire glisser imperceptiblement la situation vers le “calme” régional que l’administration juge “approprié” pour une année électorale.

À cette fin, les discussions sur la normalisation saoudienne et les deux États sont des “pacificateurs” (même s’ils sont bidons) qui permettent à Biden de donner l’impression de “gérer” le conflit et d’éviter qu’il ne s’aggrave. Quant à Netanyahou, il peut montrer à quel point il est un “guerrier” robuste et courageux en tenant tête aux États-Unis et en disant “non” à tout État palestinien quel qu’il soit.

Pourtant, la réalité est qu’Israël est enfermé dans un carcan qui se resserre progressivement. La situation se rapproche de plus en plus de la tragédie, mais celle-ci n’est pas le fruit d’une simple malchance. Elle se produit parce qu’elle devait se produire, en raison de la nature des participants, parce que les acteurs impliqués la font se produire. Et ils n’ont pas d’autre choix que de faire en sorte que cela se produise parce que, eh bien… c’est leur nature.

C’est le cas ici – l’ancien poète lauréat britannique, Ted Hughes, a écrit sur le violent conflit religieux dans l’Angleterre élisabéthaine causé par la suppression du vieux catholicisme par les puritains calvinistes, dans lequel la “déesse des croyances païennes antérieures” – les énergies humaines naturelles de ces derniers toujours florissantes – a finalement fait irruption sous une forme féroce et enragée pour détruire le héros puritain.

Remplacez la suppression puritaine par un dieu Jéhovah enragé qui abhorre l’imagination et la civilisation islamiques anciennes (pour sa trahison présumée et sa haine mortelle à l’égard d’Israël) pour donner un contexte à la “vérité” de Shakespeare.

Le leitmotiv de Ted Hughes est l’histoire de l’Angleterre comme signe du fardeau de la culpabilité protestante. Shakespeare, écrit-il, était hanté par le sentiment qu’il n’y a pas si longtemps, l’Angleterre était un pays catholique qui “s’est endurci dans le protestantisme” . Dans son poème Le viol de Lucrèce, l’âme du roi romain est “défigurée” par le viol de Lucrèce qu’il a perpétré. En fin de compte, par cet acte, le roi perd tout et est banni. La pure Lucrèce se suicide.

Voici ce qu’il faut retenir : Ted Hughes a écrit à propos des mythes concurrents de l’époque de Shakespeare que Tarquin (le roi romain) représente “le puritain adorateur de Jéhovah” , dont le mythe de la création lui dit que c’est le Dieu transcendant et omnipotent qui est aux commandes, et non “l’autre” divinité. Dans son zèle, le roi romain entreprend de la détruire (elle représente “l’autre”). Mais ces forces puritaines protéiformes et changeantes s’avèrent finalement autodestructrices.

Biden a (pour ainsi dire) embrassé l’impulsion hébraïque d’annihiler la violente “altérité” qui jaillit de Gaza, mais il se doute qu’en agissant ainsi, il a franchi une “ligne morale invisible” . Il est complice des crimes qui ont frappé Gaza par la suite. Il doit assumer une part de culpabilité. Pourtant, il doit persister. Il n’a pas le choix. Il doit laisser Gaza (et peut-être aussi le Liban) se produire – parce que c’est la nature de Biden.

Le Hamas et le Hezbollah ne peuvent pas reculer, car ces énergies collectives réprimées ont été libérées. Il est trop tard pour arrêter l’élan révolutionnaire. Un élan qui s’étend à la Cisjordanie, au Yémen, à l’Irak et au-delà. Les ports d’Israël sont désormais encerclés et assiégés par des missiles.

En revanche, Netanyahou, craignant la débâcle croissante à Gaza, s’est incarné dans le modèle classique du “héros” . D’une part, ce terme peut être défini au sens étroit comme le genre de mythe qui célèbre l’ascension d’un héros masculin qui s’engage dans une quête, affrontant des obstacles terrifiants en chemin, et qui prouve son courage au combat, pour finalement rentrer chez lui sous les acclamations.

D’autre part, dans le récit d’Homère, les héros au statut le plus élevé sont les plus vulnérables à la honte. Tout écart ou revers peut menacer l’identité entière d’un chef, ainsi que sa position aux yeux de ses pairs. Ceux qui jouissent du statut le plus élevé peuvent être les plus touchés par la perte de leur statut. Hector résiste aux appels de ses amis et de sa famille à ne pas partir à la guerre, et préfère aller à la mort. Sa solitude et son éloignement de ses proches ajoutent du pathos au déchirement des moments qui précèdent immédiatement sa mort, lorsqu’il réalise soudain que les dieux l’ont trompé et l’ont conduit à sa perte.

Est-ce que ce sera aussi le destin de Netanyahou ? Les “dieux” le mènent-ils à la tragédie ? Ils l’ont certainement enfermé dans un carcan. La défaite à Gaza le rend vulnérable à la ruine, et pour Israël, aucune victoire claire à Gaza ne conduira à un changement stratégique dans la région. Netanyahou est incité à envisager de changer de front pour réaffirmer la dissuasion israélienne en éliminant la menace stratégique au Liban. Dans cette situation, Israël ne peut se contenter de rien de moins que la victoire, a-t-on insisté auprès de Netanyahou.

Nir Barkat, ancien maire de Jérusalem et favori pour succéder à Netanyahou à la tête du Likoud, a déclaré qu’Israël pouvait se permettre de continuer à se battre et d’ouvrir un nouveau front avec le Liban, malgré le coût du conflit qui s’élève à un milliard de shekels (200 millions de livres sterling) par jour.

Barakat a déclaré qu’aussi “importante que soit la crise” ,

c’est aussi une très grande opportunité : l’Iran est une cible légitime pour Israël. Ils ne s’en tireront pas à si bon compte. La tête du serpent, c’est Téhéran… Israël se dirige vers une guerre totale contre le Hezbollah dans le sud du Liban, après avoir évacué le nord du pays :

Quoi qu’il en coûte…Il s’agit d’une guerre de religion.

La phase 2 de ce conflit touche donc à sa fin et la phase 3 s’ouvre. L’intensité de la guerre au sens large va monter en flèche, très probablement à la suite d’un changement de statut dans le rôle du Hezbollah : ce changement sera-t-il déclenché par une intervention israélienne ou sera-t-il anticipé par le Hezbollah qui fera le premier pas ? Biden autorisera-t-il les États-Unis à soutenir Israël ? Probablement oui, car il est dans sa nature de soutenir Israël. Mais jusqu’où ira-t-il ?

Les palliatifs politiques (les prétendues “solutions” politiques) céderont la place à une discussion plus dure sur la manière de faire respecter un cessez-le-feu. Cette phase passera probablement d’une ONU immobilisée aux structures plus informelles des BRICS, la Russie et la Chine jouant un rôle direct plus important. L’Europe sera affligée par le schisme (et les États-Unis aussi, bien que dans une moindre mesure).

Cette phase suivante se poursuivra probablement sans résolution, au cours du processus par lequel toutes les parties testeront leurs forces respectives les unes par rapport aux autres. C’est à ce moment-là que la cohésion sociale d’Israël sera mise à rude épreuve. Sera-t-elle durable ? Les fondements du sionisme seront-ils reconfigurés et le sionisme sera-t-il contraint d’abandonner ses racines jabotinskyennes ?

Ce sera également le moment où la superintendance juive sur la matrice politique occidentale des États-Unis et de l’Europe s’efforcera de réconcilier les mythes concurrents alors que leurs pôles d’énergie conflictuels détruisent “l’ordre social” et que l’un ou l’autre des principaux acteurs du conflit traverse une forme de tragédie inévitable.

Les révolutions et les guerres culturelles ne sont pas des événements limités dans le temps ; elles débordent sur l’“avant” événement (c’est-à-dire le conflit à venir), ainsi que sur l’“après” .

Toutefois, si la proposition de Ted Hughes selon laquelle l’équation “tragique” de Shakespeare est une équation dans laquelle des récits archétypaux concurrents – dont les énergies se déchaînent de manière explosive – aboutissent à une tragédie violente est correcte, alors nous devrions nous attendre à ce que le jeu (actuel) impliquant l’affrontement entre le mythe de la création hébraïque et l’expansion culturelle de la civilisation islamique ait également un impact considérable à l’intérieur de l’Amérique et de l’Europe – bien au-delà des particularités du conflit qui se déroule au Moyen-Orient.

Il deviendra le pivot de la nouvelle ère.

En effet, les mythes fondamentaux associés à la répression jéhovienne puritaine, d’une part, et à la libération des énergies de résistance, d’autre part, traversent l’existence humaine comme une double hélice. Elles débordent déjà dans les sensibilités religieuses dormantes, mais toujours présentes, de l’Occident. Elles transperceront la “révolution” propre à l’Occident et la “guerre civile” qui s’y prépare.

Alastair Crooke

Traduit par Zineb, relu par Wayan, pour le Saker francophone

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15 février 2024 4 15 /02 /février /2024 10:13
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15 février 2024 4 15 /02 /février /2024 10:07
L'homme de main de Macron encore pris la main dans le sac ! (casseroles en lien)

 

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La police confirme les liens qu’entretient Alexandre Benalla avec des oligarques russes
 
 
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15 février 2024 4 15 /02 /février /2024 10:05
L’armée n’arrive plus à recruter de soldats

C’est un reportage de France Info que vous pouvez écouter (source ici) et qui est assez édifiant sur l’état de l’armée française, sur notre capacité à recruter des soldats et de manière générale sur notre possibilité même d’aller faire la guerre, au moment même où nos dirigeants montrent des muscles que nous sommes loin, bien loin d’avoir.

 

Faire la guerre.

C’est une activité hélas vieille comme le monde. Toute personne douée du sens de survie sait que la guerre est un ultime recours et que lorsque l’on s’y lance, c’est le plus motivé qui l’emporte, que la guerre est un combat à mort, elle est existentielle.

Faire la guerre.

Cela nécessite une grosse motivation, le sens du sacrifice, l’effort, l’engagement total.

Il n’y a pas de place pour les menteurs, les pétochards ou les « cocheurs » de cases Excel en chaussures de ville aux bouts pointus qui donneraient l’assaut aux positions russes en trottinettes électriques la charge étant menée par Anne Hidalgo (je vous laisse imaginer la scène dans les plaines ukrainiennes).

Voilà, peu ou prou l’état de notre armée… et de notre population.

N’imaginez pas un seul instant que je sois dans la critique de nos militaires, valeureux, qui sont sacrifiés, bien souvent bien loin de chez eux, pour des guerres que nous perdons depuis 70 ans systématiquement.

Vous comprenez l’idée générale j’espère.

Une armée. Faire la guerre.

D’accord mais pour quoi faire ?

Disons nous les choses telles quelles doivent l’être.

Un « non » pays n’a qu’une « non » armée. 

J’aimais mon pays, mais qu’est devenu mon pays ? Vais-je mourir pour ce qu’il en reste et ce que l’on nous en promet ?

J’aimais l’Europe mais vais-je me sacrifier pour sauver Kiev contre la Russie, la Russie qu’aucune armée à travers l’histoire, de Napoléon à Hitler n’a su vaincre ?

Vais-je me sacrifier pour Bruxelles ?

Pour l’Otan ou Joe Biden le mort vivant ?

Pour Macron, qui est tellement pétochard qu’il a renoncé à visiter Kiev le jour de la Saint-Valentin… remarquez il pouvait pas, il fallait qu’il invite son amoureuse Brigitte au Mac-Do je suppose.

Pour quoi vais-je me sacrifier ?

Pour quelle idée ? Pour quelle vision qui me dépasse et qui me transcende ?

En fait, de vous à moi, pour qui dois-je mourir ?

Si c’est pour Macron c’est à mourir… de rire ! Mais en semblant, pas pour de vrai.

Une crise des vocations…

« Alors qu’Emmanuel Macron prône le réarmement de la société française, des milliers de soldats manquent à l’appel, notamment dans l’armée de Terre. Pour la première fois en dix ans, en 2023, il a manqué environ 2 500 soldats au plus gros recruteur français. C’est le chef d’état-major lui-même qui a tiré la sonnette d’alarme, en automne dernier.

L’armée de Terre par exemple – en gros 120 000 personnes – doit recruter chaque année entre 15 000 et 16 000 soldats. L’an dernier a été compliqué, reconnaît le général Bruno Louisfer, sous-directeur du pôle recrutement jeunesse de l’armée de Terre : « On a eu un premier semestre très difficile à l’instar de beaucoup de recruteurs, qu’ils soient du privé ou du public. Et puis un deuxième semestre beaucoup plus satisfaisant. Mais le retard pris au premier semestre ne nous a pas permis d’atteindre nos objectifs en 2023. »

1ère mauvaise nouvelle pour l’armée française.

Elle manque de soldats parce que personne n’a envie d’aller se faire tuer pour rien ou pour pas grand-chose.

Mourir, c’est déjà pas marrant.

Mourir pour rien c’est carrément con.

Mourir parce que les armées sont transformées en « milices » privées veillant avant tout aux intérêts de quelques grandes multinationales c’est encore pire et nous touchons le fond.

Le militaire devient mercenaire… le salaire de la peur en moins.

Absurde.

Quand il n’y a pas de sens à l’engagement, il n’y a plus d’engagement !

C’est la même chose avec le consentement à l’impôt ! Les citoyens finissent par aller se faire taxer ailleurs. Alors les Etats, forcent les gens à payer les impôts quand il n’y a plus assez de volontaires.

A l’armée cela s’appelle la conscription et le service obligatoire. Ne vous leurrez pas, l’Etat finira par y être contraint si nos politiques souhaitent poursuivre sur la voie funeste du sentier de la guerre et ne veulent pas aller fumer le calumet de la paix.

Deuxième mauvaise nouvelle pour l’armée française

« Autre problème : des jeunes veulent s’engager mais n’ont pas toujours, au départ, les critères physiques requis, à cause de la sédentarité ou du manque de sport. C’est le constat du capitaine Milena, cheffe de section à l’École Nationale des sous-officiers à Saint-Maixent L’École, dans les Deux-Sèvres. « Ce sont des niveaux très faibles. Que ce soit sur des choses très basiques comme des pompes, de la course à pied et après même la natation ou le grimper de corde. Là ou on pourrait se dire que des jeunes qui ont le projet de s’engager dans l’armée se prépareraient physiquement, au moins sur la course à pied et les pompes, on a quelques désillusions », juge-t-il. »

Et oui… non seulement on manque de recrues, mais les recrues qui arrivent sont nulles.

En mathématiques on le savait déjà, en français pas mieux, mais maintenant les jeunes ne savent plus courir.

C’est une évidence que découvre l’armée, et elle n’est pas au bout de ses peines et c’est parti pour durer car chez les plus jeunes c’est déjà l’effondrement physique.

Dans mon petit club de foot dans mon petit coin de Normandie, nous avions des dizaines de gamins chaque week-end pour pousser la balle. Nous en avons chaque année de moins en moins. Pire. A partir de 13 ans, dans notre petite ville de 10 000 habitants, nous avons même du mal à former une équipe de 11 gosses à partir de 12/13 ans. Faut dire qu’il fait froid, qu’il pleut et que c’est fatigant. Le canapé c’est mieux et les consoles aussi…

Nous préparons des générations de larves qui ne vont pas faire trembler le Kremlin si vous voyez ce que je veux dire. A partir de la 6ème les gosses reçoivent le « smartphone » cadeau empoisonné de leurs parents, et nous les perdons. C’est la chute rapide. Ils se mettent à frotter l’écran avachis dans un canapé à « swipper » les vidéos débiles de Tik-Tok toute la journée, avec la bénédiction du politburo chinois qui se marre du tour de con qu’il joue à notre jeunesse et à l’affaiblissement qu’il provoque volontairement. Car c’est une guerre et nous la perdons.

3ème mauvaise nouvelle pour l’armée… 

« Dans la Marine, l’objectif a été atteint l’an passé mais l’équilibre reste fragile d’après le capitaine de Corvette François Sechet, responsable RH pour l’Île-de-France, le Centre-Val de Loire et les Outremers. « Ce serait mentir que de dire que c’est très facile de recruter 4 200 jeunes par an. C’est un combat de tous les instants, parce que les jeunes que l’on recrute nous, notamment dans la Marine, ce sont des jeunes qu’on va chercher à partir du niveau bac. Ça nécessite de se remettre en question régulièrement, d’être vraiment à l’écoute de la jeunesse française, de leur présenter comment ils peuvent trouver un vrai épanouissement chez nous », explique le capitaine de Corvette.

Les militaires se fixent toujours cet objectif : 6 000 postes doivent être créés d’ici à 2030. Pour y parvenir, l’armée investit plus d’argent dans les méthodes de recrutement, avec notamment une présence massive sur les réseaux sociaux ou le recours à des influenceurs pour promouvoir les métiers et le matériel de guerre. « C’est aussi une façon de montrer à notre public qu’on est accessibles. Ce n’est pas parce qu’on est en treillis qu’on est inaccessibles, explique le général Bruno Louisfert. Les jeunes que nous avons sont des jeunes de leur époque. Donc ils vivent avec TikTok, Instagram, dans nos rangs. Ça permet de donner l’idée aux jeunes de se dire : ‘ah mais je ne pensais pas à ça, je croyais que ce n’était pas fait pour moi, il faudrait quand même que je me renseigne.’ Après il faut aussi démystifier les choses, tout le monde n’a pas vocation à être commando parachutiste, il y a beaucoup d’autres métiers dans l’armée de Terre. »

Voici que l’armée cède à l’époque et à l’ambiance.

Elle développe sa « marque employeur » (je me marre), parle carrière et épanouissement (je me bidonne), et tout le tralala des cabinets de conseils remplis de consultants pétochards et « cocheurs » de cases Excel en chaussures de ville au bout pointus qui viennent bosser au ministère de la défense… en trottinettes électriques évidemment.

On ne rentre pas dans l’armée parce que l’on a vu un clip sur Tik Tok !

On rentre dans l’armée pour protéger son pays, sa famille et sa maison.

On rentre dans l’armée en sachant que l’on risque de mourir.

Cela ne veut pas dire qu’il n’y a pas quelques petites astuces pour améliorer le recrutement, mais certainement en communiquant sur l’épanouissement en treillis hahahahahaha…. franchement.

Pourquoi accepte-t-on de mourir ?

Soit parce que l’on y est forcé par un camarade commissaire politique qui va vous tirer dans le dos, soit parce que, le patriotisme, l’amour de son pays, de sa terre, de son peuple et de sa culture mérite votre sacrifice suprême, celui de votre vie.

Tout le reste c’est des âneries de boîtes de conseils, et au premier coup de canon les « soldats » partiront en courant la queue entre le jambe.

Aimer son pays est du fascisme depuis maintenant 40 ans. Forcément, c’est dur de recruter pour l’armée !

Il y a bien une 3ème raison pour laquelle on peut accepter de mourir. Le pognon !

En Irak un mercenaire touchait 12 000 dollars pas mois. Loin de la solde du bidasse de base chez nous. Forcément, côté candidats, il y a plus de volontaires.

Si l’on veut une armée payée au prix d’une solde de soldat, alors il faut une nation à défendre, une patrie, une doctrine, un peuple, une vision, une souveraineté.

Si l’on veut détruire les nations, le patriotisme et le nationalisme pour faire émerger les Etats-Unis d’Europe, alors la crise des vocations dans l’armée française sera durable et profonde et de plus en plus grave, c’est aussi prévisible que normal.

L’armée doit comprendre qu’elle n’existe déjà plus, parce qu’elle est l’armée d’une nation qui est en train de disparaître.

Pour survivre l’armée devra soit participer au fait de refaire nation, nationalisme et patriotisme, soit, accepter de devenir une entreprise privée de mercenaires et de miliciens au service non pas d’un pays, d’une nation et d’une population appelée peuple, mais d’un client capable de payer.

Je ne suis pas certain qu’à l’état major le problème ait été posé ainsi, et pourtant c’est bien cela le vrai sujet de fond, c’est bien à cela qu’il faut apporter une réponse « marketing », ceux qui parlent « d’épanouissement » n’ont strictement rien compris, ou plus vraisemblablement, ne veulent surtout pas comprendre, ils sont donc condamnés à apporter les mauvaises réponses.

Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.

Préparez-vous !

Charles SANNAT

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15 février 2024 4 15 /02 /février /2024 09:58

Ce qui caractérise les élites mondiales ç'est leur mégalomanie, ils se croient tellement au-dessus de leurs peuples qu'ils en commettent des bévues monumentales. Nous le voyons avec Macron qui fait passer ou veut faire passer des lois de plus en plus attentatoires aux libertés, mais qui dans le même temps s'arroge des pouvoirs sans limite et décide sans mesure par exemple du devenir de notre puissance de frappe nucléaire, même si celui ci est de son ressort. Vous verrez Trudeau qui lui a fait bloquer les comptes bancaires des manifestants lors de la loi d'urgence etc...

Ils sont gonflés à mort, soit par des stupéfiants, et ils deviennent eux mêmes stupéfiants, ou on les a conditionnés de telle manière qu'ils soient devenus ce qu'ils sont ; ç'est à dire des êtres malfaisants sans foi, ni loi, sans Dieu, mais avec un maître unique l'argent.

Henry

 

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Le journaliste indépendant Tucker Carlson a averti que les membres du Forum économique mondial (FEM) sont « très dangereux » parce qu’ils « se prennent pour Dieu. »

Lors du Sommet des gouvernements mondiaux (WGS) qui s’est tenu à Dubaï, Tucker Carlson a mis en cause les élites mondialistes.

 

Sans le citer nommément, Carlson a fait référence à des commentaires antérieurs faits lors de l’événement par le fondateur et président du FEM, Klaus Schwab.

Comme Slay News l’a précédemment rapporté, Schwab a également pris la parole lors du FEM et a dévoilé les projets du FEM en matière d' »humanocratie »

Schwab a décrit une « fusion » inquiétante entre les êtres humains et la technologie de l’intelligence artificielle (IA) qui, selon lui, fait partie de l’agenda du FEM pour un « nouveau monde » qui « assurera la transition de l’humanité vers une nouvelle ère. »

Selon Schwab, les plans du FEM pour le « nouveau monde » impliquent une « fusion entre nos dimensions physiques, numériques et biologiques. »

Schwab a déclaré qu’une fois le projet mis en œuvre à l’échelle mondiale, une « nouvelle ère » d' »humanocratie » s’ouvrirait.

 

REGARDEZ :

 

Carlson a fustigé l’agenda transhumaniste du FEM.

Faisant référence aux commentaires de Schwab, Tucker a ensuite fustigé ceux qui croient qu’ils sont Dieu et « peuvent créer un être humain meilleur grâce à la technologie ».

Lors d’une discussion au sommet, où Carlson a parlé de son interview virale avec le président russe Vladimir Poutine, l’ancien présentateur de Fox News a déclaré que l’humilité est un signe de sagesse.

Il a averti que les transhumanistes tels que Schwab et ses alliés du FEM, qui pensent qu' »ils sont Dieu », sont « très dangereux » et « feront tuer beaucoup de gens. »

« La sagesse naît de la reconnaissance du fait que l’on n’est pas Dieu », a-t-il déclaré.

« Aux États-Unis, nous avons eu une période où nous avons eu ce débat sur la question de savoir si certaines religions étaient bonnes et d’autres mauvaises.

« Je vais vous dire ce que j’en pense, et ce n’est pas une opinion tranchée. C’est un point de vue sincère », a ajouté Carlson.

« Je ne divise pas le monde entre musulmans, juifs, chrétiens ou bouddhistes.

« Je divise le monde entre ceux qui croient qu’ils sont Dieu et ceux qui savent qu’ils ne le sont pas », a poursuivi Carlson sous les applaudissements de la foule.

« Et les seules personnes en qui j’ai confiance font partie de la seconde catégorie, car c’est le début de la sagesse. »

« Lorsque vous savez que vous n’êtes pas Dieu, que vous ne pouvez pas apporter tous les changements que vous souhaitez, que vous ne pouvez pas prévoir l’avenir, que vous n’êtes pas omnipotent, vous êtes beaucoup plus à même de prendre de bonnes décisions. »

« Des décisions sages et humaines », a-t-il souligné.

« En revanche, lorsque vous pensez avoir le pouvoir de façonner le monde et les autres, comme nous l’avons entendu ce matin à travers le biohacking, a-t-il déclaré en faisant référence aux déclarations de Schwab.

« Lorsque vous pensez pouvoir créer un être humain meilleur grâce à la technologie, vous êtes très dangereux parce que vous ne comprenez pas vos propres limites, et vous ferez tuer beaucoup de gens », a-t-il déclaré.

REGARDEZ :

 

Au cours de l’événement, Schwab a prononcé un discours dédié dans lequel il a exposé les projets du FEM aux dirigeants du monde entier.

Le chef du FEM a fait cette annonce lors d’un discours sur le thème du transhumanisme intitulé « Les civilisations de demain : Construites pour échouer ou pour s’élever ? »

Schwab a vanté les mérites d’une nouvelle « ère intelligente », portée par ce qu’il a décrit à plusieurs reprises comme une « quatrième révolution industrielle ».

Il y a une centaine d’années, nous sommes passés de la société agricole à la société industrielle, mais aujourd’hui, nous parlons d’une transition vers ce que j’appellerais « l’ère de l’intelligence » », a déclaré Schwab.

Il a ajouté que « l’humanité bénéficiera de beaucoup plus d’opportunités et de possibilités » grâce à cette fusion avec la technologie.

« Nous ne voulons pas utiliser la quatrième révolution industrielle pour en faire une bureaucratie froide ; nous ne voulons pas entrer dans une technocratie ; nous voulons entrer dans ce que j’appellerais une « humanocratie » ».

REGARDEZ :

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
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15 février 2024 4 15 /02 /février /2024 09:43
ATTENTION : réunion d'urgence des 40 représentants du secteur bancaire européen alors que le BCE prévient d'un risque inattendu sur le secteur !
On sait qu'il y a un effondrement des banques régionales aux USA, ou la crainte également d'une propagation systémique est évoquée.
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Sommet avec 40 des représentants les plus influents du secteur bancaire européen
 
 
ALERTE – La Crise sans fin des banques régionales américaines

 

La crise bancaire du printemps 2023 fut, avant tout et surtout, marquée par la faillite de trois banques régionales américaines. Ces types de banques, d’autant plus vulnérables aux conditions de marché et n’étant pas systémiques, connaissent encore aujourd’hui des difficultés financières susceptibles de mener à de nouvelles faillites. Le pouvoir gigantesque et singulier donné par les pouvoirs publics américains aux plus grands établissements bancaires et financiers ne peut qu’aggraver cette situation.Les temps à venir risquent d’être troubles pour les banques régionales américaines. Après des faillites en cascade au début de l’année 2023, et la réduction de la note de crédit de plusieurs banques par diverses agences de notation, leurs bénéfices n’ont cessé de se dégrader. Leurs résultats du dernier trimestre 2023 en témoignent. Ainsi notamment de KeyBank qui a connu une baisse de 90% sur un an, de Citizens Financial Group avec une baisse de 70%, et de PNC Financial Services, de plus de 40%. Nombreuses d’entre-elles chutent en bourse. Par exemple, la banque régionale américaine New York Community Bank, qui avait racheté Signature Bank lors de sa faillite au printemps dernier, a vu son titre perdre 40% après la publication de ses résultats. Ces banques, qualifiées de « régionales » par leur poids financier, dont la valeur des actifs est comprise entre 10 et 100 milliards de dollars, sont particulièrement dépendantes de la conjoncture.

La chute de leurs bénéfices est, en premier lieu, la conséquence de l’augmentation des taux d’intérêts par la Réserve fédérale américaine. Ces hausses entraînent, depuis deux ans déjà, une dépréciation des obligations qu’elles détiennent dans leur bilan (notamment des obligations d’états qui demeurent très liquides), et de lourdes pertes qui génèrent des fuites des dépôts au profit des plus grandes banques. Ces mouvements de capitaux sont exacerbés par l’absence de garantie des dépôts situés chez ces banques régionales, mais aussi par les rendements proposés qui restent globalement plus faibles que chez d’autres établissements. De plus, la numérisation des moyens de paiement et l’émergence des systèmes de paiement instantané intensifient ce phénomène, comme l’a montré le cas de la Silicon Valley Bank. Sa faillite a eu lieu en seulement dix heures, après 42 milliards de dollars de retraits de ses déposants, conduisant à des fuites de liquidités vers des banques disposant d’une garantie de soutien quoi qu’il en coûte par le gouvernement américain, telles que JP Morgan ou Bank of America (dont les profits ont atteint, d’ailleurs, des records sur le dernier trimestre 2023).

Pour contrecarrer cette situation, dans un contexte bancaire concurrentiel et une demande accrue des ménages pour des rendements élevés face à l’inflation, les banques régionales sont contraintes d’augmenter les intérêts qu’elles proposent. Cette hausse a un prix, très coûteux, qui impacte leurs bénéfices. D’autant que la composition de leurs revenus, davantage tirés par les dépôts de leurs clients que les banques systémiques, les obligent à accroître continuellement les rendements proposés.

Leur forte exposition à l’immobilier commercial (environ quatre à cinq fois plus importante que les plus grandes banques) aggrave cette situation puisque le secteur est en proie à de grandes difficultés. Aux États-Unis, les prix de l’immobilier commercial ont chuté de 11% depuis mars 2022, soit la baisse la plus importante jamais connue pendant un cycle de resserrement monétaire. Et tout porte à croire que cette situation perdura puisque, d’un côté, le travail à distance séduit de plus en plus de salariés (laissant des bureaux inoccupés), et d’autre part, car 1.200 milliards de dollars de dettes immobilières commerciales arriveront à échéance d’ici 2026 aux États-Unis alors que les taux d’intérêts devraient rester élevés pour plusieurs années et que le taux de défaillance ne cesse d’augmenter.

Dans le même temps, la situation économique américaine, marquée par une croissance économique qui ralentit malgré tout avec une hausse de 3.3% sur le dernier trimestre 2023, affecte aussi lourdement les résultats des banques régionales. La hausse de plus de 30% des faillites aux États-Unis entre 2022 et 2023 et la multiplication des défauts de paiement les incitent à épargner davantage qu’auparavant. Et l’apparition de nouvelles réglementations accentue ce phénomène, puisque la FDIC (organisme qui gère le fonds de garantie des dépôts dans le pays) demande aux banques d’augmenter leurs réserves afin de payer des frais visant à indemniser les déposants non assurés. Ces nouvelles réglementations, liées à la modification du modèle de perte de crédit, prennent désormais en compte le contexte bouleversant des taux d’intérêts élevés et les incertitudes futures basées sur des prévisions. Pour éviter le même scénario qu’en mars 2023, jugé avec recul comme l’une des pires crises bancaires de l’histoire moderne américaine, avec en termes d’actifs, trois faillites puis importantes que les vingt-cinq qui ont eu lieu en 2007-2008, les organismes de surveillance américains cherchent à prendre les précautions nécessaires. Mais ces mesures font toutefois fi des mouvements longs qui ont rendu ces banques, aujourd’hui comme hier, plus que jamais vulnérables.

La dévitalisation des banques régionales est avant tout liée aux politiques monétaires qui se sont succédé ces dernières décennies, favorisant toujours le plus riche (peu importe son activité et utilité), tant d’un point des ménages, que des entreprises, banques en premier lieu. Les baisses successives de taux d’intérêts et les liquidités abondantes ont accentué la conséquence principale du système-dette : la concentration des richesses. Par extension, le pouvoir s’est concentré dans les mains d’une minorité d’acteurs, permettant à ces derniers de prendre toujours plus de risque au détriment des autres. Cette inégalité structurelle n’a cessé de permettre aux plus grandes banques de racheter dans des montants symboliques des banques de moindre taille et très fragiles, comme l’a montré le rachat de First Republic Bank par JP Morgan, et de la Silicon Valley Bank par First Citizens Bank. Depuis 2008, le nombre de banques a ainsi diminué d’environ 40% aux États-Unis, et de plus de 80% depuis 1980.

La monnaie n’étant autre chose que de la confiance qui se concentre, et s’échange, elle se déplace dès lors vers les plus grandes banques (qui seraient d’ailleurs les premières à utiliser le dollar numérique de banque centrale lors de son instauration dans les années à venir)

Dans ce contexte, le risque de faillite s’accroît pour de nombreuses banques régionales. La chute de leurs bénéfices lors du dernier trimestre 2023 laisse craindre, à tout moment, l’irruption d’un épisode semblable voir plus tragique que celui de mars dernier. D’autant que si la demande de prêt diminue davantage sous l’effet de la hausse des taux d’intérêts, leurs bénéfices baisseront en conséquence. La dégradation de l’activité économique et la menace d’une récession aux États-Unis au cours de l’année à venir incitent, de plus, les banques à sélectionner et à restreindre leurs clients pour éviter de subir des défauts de paiement en cascade qui les fragiliseraient davantage. Malgré d’éventuelles baisses de taux par la Fed, les pressions auxquelles elles font aujourd’hui face ne vont pas disparaître mais, au contraire, s’accentuer dans un environnement global incertain.

Face à cette situation, les autorités publiques auraient tout intérêt, pour assurer la stabilité et la durabilité nécessaires, à décentraliser le système bancaire. Dans un premier temps, ils devraient accorder plus de pouvoir aux banques régionales, mais aussi aux plus petites banques, dont l’apport total pour l’économie réelle est majeur puisqu’elles distribuent, au total, près de 40% des prêts dans le pays. Cela doit non seulement passer par un soutien financier, mais aussi par la création et la multiplication de nouvelles banques intermédiaires ainsi que des caisses d’épargne, dans tous les états américains. Parallèlement, cette transition doit s’accompagner de mesures politiques visant à contraindre les plus grandes banques à financer des activités réellement utiles et productives, et à pénaliser les investissements destructifs. Enfin et surtout, cette décentralisation ne pourra perdurer que par un changement profond de la politique monétaire, libérée progressivement du système-dette et des maux qu’il génère, et par un retour à une création monétaire limitée qui stimule continuellement les échanges.

Si rien n’est fait en ce sens, alors le statu quo continuera à concentrer naturellement les richesses et le pouvoir dans les mains d’une minorité de banques, qui ne finira par distribuer des crédits qu’aux gagnants de ce même système. En 2023, par exemple, la banque systémique Goldman Sachs n’a cessé de renoncer à prêter aux consommateurs dits « ordinaires » pour augmenter les prêts (+12% sur un an) à ses clients privés qui détiennent en moyenne 60 millions de dollars auprès de la banque. Ainsi, les inégalités ne cesseront de s’accentuer jusqu’à mener, comme l’histoire l’a toujours montré, à des désordres des plus tragiques.

Source: or.fr

 

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Les banques canadiennes tombent
 
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15 février 2024 4 15 /02 /février /2024 08:02
L’étrange piratage de 33 millions de numéros de sécurité sociale
 
 
On commence par les faits, résumés par France 3 Régions :

Les pirates ont attaqué deux sociétés chargées du tiers-payant, Viamedis et Almerys. Ce sont elles qui font le lien entre la sécurité sociale et les mutuelles. Ces entreprises ont informé la Commission nationale informatique et liberté (Cnil) d’une attaque informatique fin janvier. Les données de plus de 33 millions de personnes sont compromises : des informations comme l’état civil, la date de naissance, le numéro de sécurité sociale, le nom de l’assureur santé et les garanties du contrat.
Mais les données les plus sensibles telles que les informations bancaires, médicales, les remboursements santé, les coordonnées postales, les numéros de téléphone et les courriels « ne seraient pas concernées par la violation », selon la Cnil.

 

Vu le degré d’honnêteté et d’efficacité de la CNIL, qui est à l’image du médiateur de l’énergie ou des banques radicalement inutile, on peut commencer à se faire du souci. Si vous avez un numéro de sécu et une mutuelle, alors il est probable que vos données sont « dans la nature ». La question, c’est quel genre de nature... Et ce ne sont pas les médias mainstream qui vous le diront !

Ce genre de piratage n’est pas anodin, et il n’est pas sûr qu’il provienne des Russes ou des Chinois, nos deux grands ennemis selon Biden, Leyen et Macron. Notre petit doigt nous dit, en vertu du cui bono, que ce genre de données, votre historique de soins, de pathologies, votre carte sanitaire en un mot, intéresse prodigieusement le Big Pharma – mais aussi le Big Tech (les GAFAM) –, qui investit énormément dans le secteur de la santé.

C’est le marché non seulement du siècle, mais de l’avenir. Car aujourd’hui, on l’a vu avec le sida dans les années 80, le H1N1 dans les années 2010 et le covid dans les années 2020 (une pandémie bidon tous les 10 ans maintenant), on fabrique de nouvelles maladies pour agrandir le marché. Le capitalisme, dont le profit est victime de l’entropie, a besoin de nouveaux marchés, et dans le domaine de la santé, y a pas mieux qu’une petite maladie inventée, mentale ou physique, virale ou autre.

Alors, pour savoir de quoi les gens souffrent, par exemple les Français, il suffit de payer une bonne petite équipe de hackers qui vont fournir un fichier gigantesque qui vaudra des milliards, des dizaines ou des centaines de milliards d’euros. On accuse le Big Parma, mais il faut des complicités, soit dans l’administration de la Sécu ou des sociétés de tiers-payant, soit au ministère. Depuis quatre ans, on a vu à quel point le politique était lié au Big Parma, on imagine alors une coprod, un braquage en interne...
Bien sûr, tout ceci n’est que supputations, mais on ne voit pas à qui d’autre peut profiter ce vol. Un petit génie de la Camorra ? Allons...

Dans la même veine, il y a 16 ans très exactement, le 25 février 2008, le groupe Lagardère rachetait le site soi-disant féminin Doctissimo pour 138 millions d’euros. Mais ce n’était pas le côté féminin qui intéressait Lagardère, c’était le superfichier de dizaines de millions de Français qui avaient laissé leur trace, c’est-à-dire leurs questions, leurs angoisses et leur CV de « malades », sur le site.

Et c’est pas fini : Doctissimo était la création de Laurent Alexandre, le transhumaniste fou, et de Claude Malhuret, l’ancien ministre des Droits de l’homme (on ne rit pas) qui a injurié les résistants à la tyrannie sanitaire, les antipass et les antivax, pendant 3 ans.
Malhuret est aujourd’hui sénateur, on le revoit en janvier 2022 défendre le menteur pathologique Olivier Véran, alors en poste à la Santé. La Santé du Big Pharma, entendons-nous.

La violence et la bêtise des propos de Malhuret sont à mettre en face des révélations actuelles sur l’inefficacité – voire la dangerosité – des pseudo-vaccins, ce que les antivax clamaient depuis 2021 et qui est aujourd’hui prouvé.

Cet ex-gauchiste devenu ultralibéral, proche de BHL, a été pendant 11 ans le directeur du développement éthique de Korian, la chaîne d’Ehpad qui a défrayé la chronique avec le scandale de la maltraitance sur des personnes âgées. Et ça donne des leçons...

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