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5 mai 2023 5 05 /05 /mai /2023 18:49

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5 mai 2023 5 05 /05 /mai /2023 18:44

KI-Pionier Geoffrey Hinton: Angst vor den Geistern, die er rief | heise ...

 

Le « parrain de l’IA » a démissionné de son poste chez Google, où il travaillait depuis plus d’une décennie. Il a rejoint un chœur croissant de critiques qui mettent en garde contre le risque existentiel que les systèmes d’intelligence artificielle posent aux humains.

Lundi, l’informaticien de Google, Geoffrey Hinton a tweeté ceci :

« Au NYT aujourd’hui, Cade Metz laisse entendre que j’ai quitté Google pour pouvoir critiquer Google. En fait, je suis parti pour pouvoir parler des dangers de l’IA sans tenir compte de l’impact que cela peut avoir sur Google. Google a agi de manière très responsable. »

Dans une interview avec le « New York Times », Hinton a déclaré que ce n’est qu’après avoir quitté Google qu’il a pu parler ouvertement des dangers de l’IA.

Il croyait toujours que les systèmes étaient inférieurs au cerveau humain à certains égards, mais il pensait qu’ils éclipsaient l’intelligence humaine chez d’autres.

« Peut-être que ce qui se passe dans ces systèmes », a-t-il dit, « est en fait bien meilleur que ce qui se passe dans le cerveau ».

Selon lui, à mesure que les entreprises améliorent leurs systèmes d’IA, elles deviennent de plus en plus dangereuses. « Regardez comment c’était il y a cinq ans et comment c’est maintenant », a-t-il déclaré à propos de la technologie de l’IA. « Prenez la différence et propagez-la au-devant de la scène. C’est absolument effrayant. »

Jusqu’à l’année dernière, a-t-il dit, Google a agi en tant que « bon intendant » de la technologie, en veillant à ne pas publier quelque chose qui pourrait causer du tort. Mais maintenant que Microsoft a enrichi son moteur de recherche Bing d’un chatbot – défiant le cœur de métier de Google – Google se précipite pour déployer le même type de technologie. Les géants de la technologie sont enfermés dans une compétition qui pourrait être impossible à arrêter, a déclaré le Dr Hinton. -NYT
L’une de ses préoccupations les plus immédiates est qu’Internet sera inondé de fausses vidéos, photos et nouvelles, et que la personne moyenne « ne pourra plus savoir ce qui est vrai du faux ».

Hinton craint que l’automatisation ne perturbe le marché du travail. Les chatbots, comme le ChatGPT d’OpenAI, peuvent déjà remplacer les assistants personnels, les traducteurs et les autres qui gèrent les tâches de routine.

« Cela enlève le travail pénible « , a-t-il dit, ajoutant également ceci : « Cela pourrait en enlever plus que cela. »

Une note de recherche récente de « Goldman Sachs » a prédit que l’IA pourrait entraîner quelque 300 millions de licenciements parmi les travailleurs non subalternes hautement rémunérés aux États-Unis et en Europe. Comme l’a dit l’économiste en chef de Goldman, Jan Hatzius :

« En utilisant des données sur les tâches professionnelles aux États-Unis et en Europe, nous constatons qu’environ les deux tiers des emplois actuels sont exposés à un certain degré d’automatisation de l’IA, et que l’IA générative pourrait remplacer jusqu’à un quart du travail actuel. Extrapoler nos estimations suggère à l’échelle mondiale que l’IA générative pourrait exposer l’équivalent de 300 millions d’emplois à temps plein à l’automatisation », car jusqu’à « deux tiers des professions pourraient être partiellement automatisées par l’IA ».

Et lundi, le PDG d’IBM, Arvind Krishna, a déclaré que l’IA pourrait remplacer 30 % de ses emplois de back-office au cours des cinq prochaines années.
Revenons à Hinton, où il a continué à avertir que l’IA finira par éclipser l’intelligence humaine :

« L’idée que ce genre de choses pourrait en fait devenir plus intelligent que les gens – quelques personnes le croyaient.

 » Mais la plupart des gens pensaient que c’était loin. Et moi, je pensais que c’était loin aussi. Je pensais que c’était dans 30 à 50 ans, voire plus. Évidemment, je ne pense plus que ce soit le cas.  »

Il a déclaré qu’il n’avait pas signé la lettre en mars lorsque plus de 1 000 leaders technologiques, dont Elon Musk, Steve Wozniak et le pionnier de l’IA Yoshua Bengio, ont appelé à un moratoire de six mois sur le développement de nouveaux outils d’IA plus puissants que GPT-4. C’est parce qu’il ne voulait pas critiquer ouvertement les grandes technologies lorsqu’il travaillait pour Google.

En 2018, Hinton et deux autres collègues ont reçu le prix Turing, ou « le prix Nobel de l’informatique », pour leurs travaux sur les réseaux de neurones. Google a acquis sa société en 2018 pour 44 millions de dollars, qui a développé des technologies puissantes qui ont conduit à la création de « chatbots ».

Dans une interview séparée, Hinton a déclaré à « BBC News » : « Je suis arrivé à la conclusion que le type d’intelligence que nous développons est très différent de l’intelligence que nous avons. »

« La grande différence est qu’avec les systèmes numériques, vous avez de nombreuses copies du même jeu de poids, du même modèle du monde.

« Toutes ces copies peuvent apprendre séparément mais partager leurs connaissances instantanément. C’est donc comme si vous aviez 10 000 personnes et chaque fois qu’une personne apprenait quelque chose, tout le monde le savait automatiquement. Et c’est ainsi que ces « chatbots » peuvent en savoir bien plus que n’importe qui. »

L’un des risques les plus importants qu’il perçoit est que les dirigeants autoritaires puissent utiliser la technologie de l’IA pour « manipuler » les masses.

Les inquiétudes de Hinton arrivent peut-être un peu tard, car la technologie est déjà utilisée. Des préoccupations similaires ont été exprimées par des ingénieurs et des scientifiques dans le passé, en relation avec l’énergie nucléaire et la biochimie. Il est inévitable que le monde finisse par faire face à une crise provoquée par l’IA.

Source: zerohedge

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5 mai 2023 5 05 /05 /mai /2023 18:42

Pour la 1ère fois depuis des décennies, le Trésor US est sur le point de lancer un rachat de la dette publique américaine en 2024. Cela coïncide avec une tendance mondiale croissante où de plus en plus de pays cherchent à commercer dans leurs devises locales et à accumuler des réserves d’or…

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5 mai 2023 5 05 /05 /mai /2023 18:19

Ce sont les outres mer qui se sont le plus battus pour la réintégration des soignants, aussi faut il leur rendre hommage.

Merci à eux

Henry

Abrogation de l’obligation vaccinale, sans compensation financière !
 

 

Ce jeudi 4 mai, l’Assemblée nationale a adopté la proposition de loi visant à abroger l’obligation vaccinale contre le covid-19 dans les secteurs médicaux. Les amendements concernant la compensation financière des soignants suspendus ont toutefois été rejetés. Cette proposition de loi doit maintenant être transmise au Sénat.

 

 

Le ministre de la Santé, François Braun, a récemment annoncé que les soignants non-vaccinés seraient prochainement réintégrés dans leur fonction. La parution d’un décret en ce sens est prévue pour le 14 mai. Le groupe communiste a néanmoins souhaité déposer une proposition de loi visant à abroger l'obligation vaccinale du personnel soignant et assimilé. 

L’abrogation votée par la majorité de l’Assemblée nationale  

L’article 1 de cette proposition porte sur l’abrogation pure et simple de la loi du 5 août 2021. Le rapporteur du texte, Jean-Victor Castor (Groupe communiste), a rappelé en début de vote l’utilité de passer par un tel mécanisme : « c’est bien le Parlement qui contrôle l’action du gouvernement, et pas l’inverse ». Le but de cet article est de ne pas revenir à l’obligation vaccinale par la seule volonté de l’exécutif. Ce à quoi le ministre de la Santé, François Braun, a répondu : « Ne nous privons pas d’une protection contre une nouvelle pandémie qui ne manquera pas d’arriver ».  

Dans les faits, il s’est trouvé peu de députés pour voter contre l’abrogation. Les parlementaires Jean-Fançois Rousset (Renaissance), Philippe Vigier (MoDem) et Frédéric Valletoux (Horizons) ont pris la parole pour exprimer leur opposition.  

Leur argumentaire a cherché à retourner contre lui les propos tenus par Fabien Roussel, député communiste, invité de 8h30 franceinfo le matin même. Selon Jean-François Rousset, Fabien Roussel aurait affirmé que si le gouvernement apportait un certain nombre de garanties aux soignants suspendus par décret, la proposition de loi déposée par son groupe pourrait être retirée. Le député Renaissance attendait donc du groupe communiste qu’il retire le texte, puisque le gouvernement apportait selon lui de telles garanties (sans préciser lesquelles).  

Pour Philippe Vigier (MoDem), le prochain décret du gouvernement allait très certainement apporter une protection suffisante au personnel suspendu. La preuve, ce dernier bénéficierait  « d’une visite médicale pour mieux les accueillir dans les services ». « A aucun moment dans la Proposition de loi vous n’avez posé les conditions de réintégration de ces personnels, notamment sur leur état de santé », a précisé le député.  

L’abrogation de la loi du 5 août 2021 a finalement été adoptée, mais apparemment, pour bon nombre de parlementaires, la question de la compensation financière des soignants suspendus n’est pas un sujet.

On ne va pas « payer les amendes de ceux qui brûlent les feux rouges » 

Le groupe RN a déposé deux amendements  afin « d’examiner la possibilité d’une indemnisation du préjudice causé à ces professionnels, les solutions envisageables pour compenser l’impact de cette période ainsi que la validation de certains trimestres de retraite ». Ces propositions traitaient aussi de l’indemnisation des étudiants  empêchés de poursuivre leur cursus dans le secteur médical.  

Les deux amendements ont reçu un avis favorable du rapporteur Jean-Victor Castor, ce qui a suscité l’indignation du ministre de la Santé : « l’image d’un député communiste qui émet un avis favorable en faveur du RN m’interpelle ».  

« Quel message adressé aux français avec cet amendement ? Je ne crois pas qu'il revienne à la solidarité nationale de prendre en charge des compensations à l’égard de professionnels qui se sont délibérément soustraits à une obligation légale et déontologique. Je ne doute pas que demain vous proposerez de payer les amendes de ceux qui brûlent les feux rouges ! », s’est-il offusqué.  

Le député Bruno Milliene (MoDem) s’est quant à lui scandalisé du fait que La France Insoumise « accorde aux RN le statut de députés en votant un de leurs amendements ».  

La question de la compensation financière du personnel soignant (et assimilés) suspendu a été rejetée par une majorité de députés. L’ensemble du texte a néanmoins été adopté, à 157 voix pour.

Adopté en première lecture par l’Assemblée nationale, il doit maintenant prendre le chemin du Sénat.

France-Soir était sur place et a recueilli le témoignage de députés, de soignants et collectifs de soignants.  

Source

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5 mai 2023 5 05 /05 /mai /2023 18:08
La banque américaine PacWest s’effondre
 

 

Aux Etats-Unis c’est la Bérézina bancaire et la chute en bourse de la banque PacWest relance les spéculations de craintes sur les banques régionales américaines.

 

Le cours de la banque californienne chutait lourdement jeudi et c’est un euphémisme, « et elle n’exclut pas une vente », tout comme désormais Western Alliance. La canadienne TD Bank a rompu ses fiançailles avec First Horizon, elle aussi fragilisée par la déroute boursière.

Pour vous rendre compte de l’ampleur de la catastrophe pour cet établissement il suffit de regarder le graphique ci-dessous, la valeur de l’action a été presque divisée par 10 en à peine un mois!

Cela sent le sapin, et la faillite à plein nez, peut-être même dès ce week-end.

 

 

Pour ceux qui ne sont pas abonnés et veulent savoir comment gérer au mieux le risque bancaire, n’oubliez pas ce dossier spécial Stratégies sur la garantie de dépôts et son fonctionnement précis et toutes les subtilités à maitriser. Disponible dans vos espaces lecteurs, ou en vous abonnant directement ici.

Charles SANNAT

 

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ALERTE – Les cours boursiers des banques régionales continent à s’effondrer aux Etats-Unis. Les ventes à découvert massives des spéculateurs attirent l’attention des autorités

 

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PANIQUE BANCAIRE AUX USA : « Les banques « PacWest » et « Western Alliance » sont sur le point de faire FAILLITE…Sont-elles les prochaines sur la longue liste des EFFONDREMENTS financiers à venir ? Les prêts bancaires deviennent de plus en plus RARES !!! »

 

 

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Au bord du gouffre ! La Banque américiane PacWest a chuté de 58 % hier, post-market, après une chute de 28 % mardi. Western Alliance suit le même chemin. L’ouverture des marchés ce jeudi va peut-être signer l’arrêt de mort de ces deux banques… A qui le tour ? Comerica ?

 

 

Philippe Herlin: Faillites en série des banques régionales aux USA : «il s’agit peut-être d’une opération orchestrée pour donner encore plus de poids aux méga-banques en vue de l’instauration d’une MNBC -Monnaie numérique de banque centrale-»

 

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Le FMI prévient, les CBDC (monnaies digitales) arrivent et vont transformer radicalement le système financier.

 

Pour Kristalina Georgieva la patronne du FMI « les CBDCs arrivent et vont complètement transformer le système financier » et ce n’est pas dit que nous appréciions la plaisanterie tant les CBCD sont une monnaie de contrôle et de surveillance des masses et de toutes les transactions.

Voilà ce qu’elle a dit.

« L’avenir est arrivé », a déclaré Mme Georgieva. « Même aux États-Unis, où la CBDC n’a pas suscité un grand intérêt pendant un certain temps, il y a maintenant un engagement.

« Nous avons vécu ces dernières années une série d’événements impensables : la pandémie, la guerre en Ukraine, la hausse rapide des taux d’intérêt après de très nombreuses années de baisse »

« Il nous incombe à tous d’anticiper les chocs et d’être prêts à agir lorsqu’ils se produisent, car ils ne manqueront pas d’arriver. »

Mme Georgieva a déclaré que, quelle que soit la forme qu’elles prendront, il ne fait aucun doute pour elle que les CBDC sont l’avenir et que le FMI a « rapidement augmenté » le nombre d’employés qui travaillent sur les CBDC et d’autres formes de monnaie numérique en conséquence.

« Nous savons que c’est vers cela que nous nous dirigeons », a-t-elle déclaré. « Il n’y aura pas de retour en arrière. Avant la pandémie, nous disions que l’avenir était numérique, et avec la pandémie, l’avenir est arrivé. »

« Je peux vous dire que nous assisterons à une transformation très importante grâce aux CBDC »

Et je peux vous dire qu’entre un euro digitalisé et dématérialisé que vous utilisez actuellement avec vos paiements sans contact, et une cryptomonnaie officielle et d’Etat il n’y a pour nous, utilisateurs, aucun gain de praticité, aucune utilité.

L’intérêt du Bictoin et des autres cryptomonnaies c’est d’être en dehors des Etats et des monnaies officielles justement.

Une crypto d’Etat n’apporte rien. Strictement rien.

Si, une chose.

Le contrôle et la surveillance.

Cela est donc utile aux Etats, pas aux populations.

Les CBDC sont des monnaies du contrôle et de la surveillance.

Charles SANNAT

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5 mai 2023 5 05 /05 /mai /2023 18:06
 

L’Inde et la Russie étudient l’intégration potentielle de leurs systèmes de paiement comme solution pour contourner les sanctions occidentales. L’Argentine et le Brésil envisagent d’établir des lignes de crédit commercial qui contourneraient l’utilisation du dollar américain. Les changements arrivent rapidement…

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3 mai 2023 3 03 /05 /mai /2023 18:35
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3 mai 2023 3 03 /05 /mai /2023 18:31
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3 mai 2023 3 03 /05 /mai /2023 17:58

Des compteurs sur vos puits, c’est fini l’eau gratuite… A quand le compteur d’air que l’on respire ?

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3 mai 2023 3 03 /05 /mai /2023 17:26

Décidément un gouvernement d'affairistes, mais sur un  fond de système de corruption généralisé tel qu'on pouvait le dénoncer pour ce qui concernait les pays Africains jadis ! C'est la dilapidation de l'argent public pour des fins privées !

 

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Une onde de choc dans l’administration française

Dans un contexte national déjà tendu par de vives contestations contre la réforme des retraites, le président Emmanuel Macron se trouve confronté à un nouveau scandale. Cette fois-ci, l’Agence de Garantie des Salaires (AGS), est au centre d’un possible détournement financier colossal, estimé à plus de 15 milliards d’euros. La source de ces informations alarmantes provient du journal Le Monde qui a révélé le 03 mai dernier une plainte déposée par l’association Anticor.

Anticor secoue l’AGS

Anticor, une association reconnue pour son combat contre la corruption, s’invite de manière fracassante dans cette crise financière qui ébranle l’AGS. Selon leurs investigations, des sommes pharaoniques auraient mystérieusement disparu au cours des dernières années, portant préjudice à de nombreuses entreprises françaises et à des milliers de salariés à travers le pays.

Un système de détournement d’argent à grande échelle

Selon Le Monde, Anticor a choisi de se porter partie civile dans l’affaire, en révélant qu’un possible système de détournement d’argent à grande échelle pourrait être à l’origine de ces pertes financières. Ce système impliquerait notamment des mandataires judiciaires liés à l’AGS, rémunérés en honoraires pour distribuer les fonds de l’agence aux salariés. Bien que l’argent en question soit privé, Anticor estime que l’infraction de détournement de biens publics pourrait s’appliquer dans ce cas, puisque l’AGS et ses mandataires sont en charge d’une mission de service public.

Un préjudice pour les salariés

L’un des éléments clés du dossier Anticor concerne le préjudice subi par les salariés des entreprises en faillite. Ces derniers n’auraient pas été rémunérés par certains mandataires, malgré les avances de fonds de l’AGS. Selon l’association, l’absence de contrôle aurait permis à certains mandataires de détourner ces sommes, s’élevant à plus de 700 millions d’euros sur les vingt dernières années.

Le cas de Mory Ducros, une entreprise de messagerie dont la liquidation judiciaire a fait grand bruit en février 2014, est cité par Anticor. Une partie de ses 2 882 salariés licenciés n’auraient pas été payés, malgré les fonds alloués par l’AGS.

Une enquête judiciaire ouverte

Le parquet de Paris a ouvert une information judiciaire pour faire la lumière sur ces malversations présumées au sein de l’AGS. L’enquête devra déterminer l’ampleur exacte du détournement et identifier les responsables impliqués dans ce système frauduleux. Si ces allégations s’avèrent vraies, cette affaire pourrait avoir des répercussions considérables sur la crédibilité de l’agence et de ses partenaires.

Un contexte difficile pour le gouvernement

Ce scandale intervient à un moment particulièrement délicat pour le président Emmanuel Macron et son gouvernement. Alors que la France traverse des manifestations massives contre la réforme des retraites, cette affaire vient ajouter une nouvelle couche de mécontentement populaire et met en lumière les dysfonctionnements au sein de l’administration française. Le gouvernement devra prendre des mesures énergiques pour rétablir la confiance et assurer la transparence dans la gestion des fonds publics.

 

Source

 

 

https://twitter.com/EnModeMacaron/status/1653427461932167168?t=DxaLK-Ph9Nhtg69QmvQPsQ&s=19

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