Le Général Vincent DESPORTES est spécialiste de la réflexion stratégique, il a dirigé l’École de guerre, et est également docteur en histoire. Il est aujourd’hui professeur des universités associé à Sciences Po et enseigne la stratégie à HEC.
Depuis le début de la guerre en Ukraine, il propose une analyse à contre courant du conflit, qui lui a valu un traitement médiatique indigne de son expérience. Olivier Berruyer lui offre sur Élucid un espace libre d’expression, afin qu’il puisse nous partager ses analyses éclairantes, et sa vision des différentes stratégies à l’œuvre en Russie, en Europe, en Ukraine et dans l’OTAN.
L’actualité étant ce qu’elle est, voici trois nouveaux documents qui donnent un nouvel éclairage sur la situation actuelle.
1 – Une analyse (4 pages) très argumentée et donc pertinente, de Stratediplo qui traite de la légalité des referenda à venir en Ukraine.
Son titre : Referenda en Novorussie
2 – Mes réflexions personnelles sur la situation actuelle en Ukraine (3 pages) transmise hier à plusieurs officiers de haut rang (retraités) dans le cadre d’échanges d’informations et d’idées.
3 – Une vidéo qui nous vient des USA et qui nous donne la dernière analyse du colonel US Doug MacGregor sur la nouvelle situation.en Ukraine.
Vidéo en anglais mais qui peut être sous titrée en français avec un réglage.
Des tentatives généralisées de corruption dans le système de Santé acceptées ou pas.
1ère réunion du Conseil Scientifique officiel : Pdt Macron entre avec le patron de Gilead qui pose un tas de boîtes de Remdesivir sur la table et dit : « le traitement de le Covid ce sera ça! »
Quand les décisions ne sont pas imposées despotiquement
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La Santé en bande organisée - Dissimulations, menaces et barbouzeries : le monde du médicament et ses arrangements entre amis
Pressions, menaces, petits arrangements entre amis, méthodes de barbouzes : ce livre aux frontières du polar et de l’enquête journalistique éclaire les recoins obscurs de la gestion de la santé publique en France et dévoile les coulisses de l’affaire du Mediator.
Pendant onze ans, le Pr Christian Riché, alias « Monsieur Rungis », a été une source de la journaliste Anne Jouan. Expert à l’Agence française du médicament depuis sa création en 1993 suite au scandale du sang contaminé, il dévoile dans ce livre, de l’intérieur, le fonctionnement d’une institution censée assurer la sécurité sanitaire mais au sein de laquelle certains sont souvent plus préoccupés par leurs liens avec l’industrie pharmaceutique et leurs propres intérêts.
« Monsieur Rungis » – qui a aidé le Dr Irène Frachon dans son combat pour faire interdire le Mediator – détaille ainsi son audition musclée par l’Inspection générale des affaires sociales, pas vraiment intéressée par sa vérité. Il confie comment l’Agence a maltraité la lanceuse d’alerte. Mais explique aussi que tous les scandales n’ont pas leur héroïne et que de nombreuses histoires ne sont jamais arrivées jusqu’au grand public : la roulette russe avec un lot de produits sanguins contenant des fractions du virus du Sida ; la demande pour modifier un rapport afin de satisfaire un industriel ; le « On peut s’arranger » d’un laboratoire face aux graves effets secondaires d’un médicament. Ou encore la sollicitation d’experts pour retarder l’interdiction d’un herbicide toxique…
Tout est ici raconté.
Les inspecteurs de l'IGAS n'ont pas de grandes compétences scientifiques, ils ne se sont même pas déplacés à l'IHU !
DE NOUVELLES PREUVES DES DERIVES POLITICO MAFIEUSES DES AUTORITES DE SANTE
Von der Leyen remet un prix a Bourla mais elle en reçoit un de Bill Gates …Tout va très bien dans ce petit monde mais…
Progressivement la vérité fait son chemin . Il faut se tourner vers Pascal Praud et mieux vers les revues scientifiques. Vous apprendrez ainsi que le Lancet finit par admettre les thèses dites complotistes sur l’origine sino américaine du virus avec ses papas , Fauci et Baric
Ne l’appelez plus jamais COVID mais FAUXI 19 ce formidable poison offert par l’empire du Bien au reste du monde . A moins que ce ne soit l’empire du Milieu….Mais c ‘est un des deux ou les deux associés
Notre amie Heléne Bannoun a décrit le scénario bien huilé qui se poursuit depuis 20ans
Hier Von der Leyen a reçu le Prix Global Goalkeeper 2022 de Bill et Melinda Gates récompensant un leader qui a fait progresser la réalisation des objectifs au profit du progrès pour tous. Au sujet du Covid « Vous Bill, vous nous aviez prévenus dans une video en 2015 »!
Hier Von der Leyen a reçu le Prix Global Goalkeeper 2022 de Bill et Melinda Gates récompensant un leader qui a fait progresser la réalisation des objectifs au profit du progrès pour tous.
Au sujet du Covid « Vous Bill, vous nous aviez prévenus dans une video en 2015 » Édifiant ! pic.twitter.com/lqXB5TrlWs
le 19/09/22 : « l’OMS est aujourd’hui partagée entre le pouvoir de Pékin, le lobby pharmaceutique et celui des financements privés, notamment de la Fondation Bill Gates (…). j’estime que l’OMS se rend complice de cette dérive politico-mafieuse ».
@MagazineNexus pour m’avoir donné la parole dans ce numéro. On y parle de censure, de corruption, du fonctionnement des médias, de l’OMS, de l’UE, de Bill Gates, du « Conseil scientifique Covid-19 » et quelques autres sujets encore
1ère réunion du Conseil Scientifique officiel : Psdt Macron entre avec le patron de Gilead qui pose un tas de boîtes de Remdesivir sur la table et dit : « le traitement de le Covid ce sera ça! »
Martine Wonner nous raconte comment s'est déroulée la première réunion du conseil scientifique.
Incroyable ces révélations.
Écoutez bien ! pic.twitter.com/4aqmDLZqq7
La présentation du livre « santé en bande organisée » sur @CNEWS chez @PascalPraud qui affirme que les effets secondaires du Covid sont sousestimés. Il a plusieurs témoignages de médecins qui dise que tel personne a des effets secondaires mais qu’on ne veuille pas l’entendre !pic.twitter.com/Ty2KPtWDcP
l’hydroxychloroquine lorsqu’elle est administrée en phase précoce de la maladie (durant les 7 premiers jours), ne peut être remise en cause. « Elle fonctionne, les preuves sont accablantes
l’hydroxychloroquine lorsqu’elle est administrée en phase précoce de la maladie (durant les 7 premiers jours), ne peut être remise en cause. « Elle fonctionne, les preuves sont accablantes »
DE LA FABRICATION DU VIRUS DE LA COVID AU NOUVEAU MEGA VACCIN COVID GRIPPE VARIOLE UNE MEME LOGIQUE LE FRIC
Moderna 2022 : la société a annoncé lors d’un séminaire d’employés la semaine dernière qu’elle développait un méga-vaccin à ARNm qui combine le vaccin contre la grippe, le vaccin contre le covid et le vaccin contre la variole du singe. Une mise à jour logicielle globale pour votre système d’exploitation biologique.
L’idée vient de loin , du papa du covid:
Professeur Ralph Baric 2008 « Notre objectif est de développer une plateforme vaccinale utilisant des coronavirus… qui vaccinerait simultanément les enfants contre ces 3 pathogènes humains majeurs (VRS, Grippe & Rougeole) … »
Professor Ralph Baric 2008
"Our goal is to develop a vaccine platform using coronaviruses… that simultaneously vaccinated children against these 3 major human pathogens (RSV, Influenza & Measles)…" pic.twitter.com/2xwtpto56h
Le gouvernement chinois tout-puissant et l’État bureaucratique tentaculaire des États-Unis – qui ne rendent compte à pratiquement personne – sont responsables de la plus grave catastrophe de l’histoire moderne. En France JC Perez et Hélène Banoun ont fait un travail … Lire la suite CES MEDECINS FOUS QUI ONT FABRIQUE LA COVID
l’incident qui a fait 20 millions de morts, une création américaine ou sino américaine?
En France JC Perez et Hélène Banoun ont fait un travail superbe . Plus personne ne peut nier la fabrication de la covid (Voir le document de 29 pages en fin de publication)
En 2015-2017, des scientifiques et des spécialistes des politiques scientifiques se sont dits préoccupés par le fait que l’Institut de virologie de Wuhan (WIV) menait et envisageait des recherches qui posaient un risque inacceptable d’accident de laboratoire et de pandémie ( https://nature.com/articles/nature.2017.21487… ; https://nature.com/articles/nature.2015.18787… ),
En 2017-2018, WIV a construit un nouveau coronavirus chimérique de type SRAS qui était capable d’infecter et de se répliquer dans les cellules des voies respiratoires humaines et qui avait une croissance virale 10 000 fois supérieure et une létalité 4 fois supérieure chez des souris conçues pour afficher des récepteurs humains sur des cellules.
En 2018, dans une proposition de subvention du NIH, WIV et ses collaborateurs ont proposé de construire davantage de nouveaux coronavirus chimériques de type SRAS, en ciblant des chimères qui remplacent le gène de pointe naturel par de nouveaux gènes de pointe codant pour des pointes qui ont des affinités de liaison plus élevées avec les cellules humaines.
Toujours en 2018, dans une proposition de subvention DARPA, WIV et ses collaborateurs ont proposé de construire de nouveaux coronavirus « consensuels » de type SRAS de chauve-souris et d’insérer des séquences du site de clivage de la furine (FCS) à la frontière du gène de pointe S1-S2 du SRAS de chauve-souris- comme les coronavirus,
En 2017-2019, WIV a construit et caractérisé de nouveaux coronavirus de type SRAS au niveau de biosécurité 2, un niveau de biosécurité manifestement inadéquat pour travailler avec des agents pathogènes pandémiques potentiels améliorés et manifestement inadéquat pour contenir un virus ayant les propriétés de transmission du SRAS-CoV-2
En 2019, un nouveau coronavirus de type SRAS ayant un pic avec une affinité de liaison élevée pour les cellules humaines et ayant un FCS à la frontière du pic S1-S2 – un virus ayant les propriétés énoncées dans les propositions de subvention WIV NIH et DARPA 2018 –émerge à la porte de WIV.
SRAS-CoV-2 est le seul des plus de 100 coronavirus connus de type SRAS qui contient un FCS. C’est une caractéristique qui n’exclut pas une origine naturelle, mais qui s’explique plus facilement par une origine de laboratoire. D’autant plus que l’insertion du FCS avait été explicitement proposée en 2018.
En 2020-présent, WIV et ses bailleurs de fonds/collaborateurs d’EcoHealth Alliance ont retenu des informations, déformé des faits et entravé l’enquête…
« La Commission souligne que… des virus apparentés ont été collectés sur des chauves-souris et conçus par un laboratoire de l’Institut de virologie de Wuhan en collaboration avec des partenaires américains dans les années qui ont précédé l’épidémie. Ce simple fait met le laboratoire de Wuhan sous suspicion. »
« De plus, le SRAS-CoV-2 contient une caractéristique dangereuse appelée site de clivage de la furine qui ne se trouve dans aucun autre virus de ce type (les sarbecovirus). »
« L’année dernière, un document a fait surface montrant que des scientifiques de Wuhan et d’ailleurs envisageaient en 2018 d’insérer exactement un tel site de clivage de furine dans des sarbecovirus nouvellement découverts pour tester leur virulence dans des cellules humaines. »
« La Commission souligne… un point crucial qu’aucune enquête indépendante, transparente et scientifique n’a été menée concernant la bio-ingénierie des virus de type Sars qui était en cours avant l’épidémie de Covid-19… ‘ »
« ‘… Les cahiers de laboratoire, les bases de données, les enregistrements de courrier électronique et les échantillons d’institutions impliquées dans de telles recherches n’ont pas été mis à la disposition des chercheurs indépendants.’ »
Environ 20 millions de personnes sont mortes à cause de… virus nouveau pour… l’espèce humaine. .les cahiers et les bases de données de ce laboratoire n’ont jamais été mis à disposition »
La raison pour laquelle d’éminents scientifiques occidentaux [et administrateurs scientifiques] ont donné dans des e-mails privés en 2020 pour ne pas vouloir discuter d’une éventuelle origine du virus en laboratoire était qu’il pourrait nuire à « l’harmonie internationale ». Qu’est-il arrivé à la recherche de la vérité ? »
« La Commission Lancet… a conclu que » l’origine du virus reste inconnue « et que » des retombées naturelles et de laboratoire sont en jeu et nécessitent une enquête plus approfondie « »
MORALE
Les vax ne protègent ni de la contamination, ni de la transmission, ni des covids graves, ni des longs. Ils facilitent même la contamination en cas d’anticorps facilitants. La spike produite ou injectée est 1 poison. Vacciner les femmes enceintes et les enfants est un crime.C’est le secret de Polichinelle … les faux vax sont légions … des médecins militaires – respect – ont protégé leurs troupes, de nombreux toubibs n’ont plus confiance et se faux-vaccinent, eux et leurs familles …La honte doit seulement être pour ceux qui ont forcé à la vax (politiques corrompus, Diafoirus des plateaux en graves conflits d’intérêts, journaleux achetés) et ceux qui se font payer grassement (420 euros la matinée) pour vacciner coussins et plantes vertes.
Jean pierre G professeur d’immunologie
Le début de mon intervention à l'UER
Mécanismes biologiques des effets indésirables des vaccins Covid pic.twitter.com/6HUoVyM4x0
Après l'Agence européenne du médicament (EMA), c'est au tour de la Haute Autorité de santé (HAS) ce mardi 20 septembre, d'autoriser les vaccins nouvelles générations contre le Covid-19 adapt...
Au cours du mois de mars 2021, la présidente de la Commission a mené les négociations préliminaires ayant pour objet un contrat avec Pfizer/BioNTech. Il s'agit du seul contrat pour lequel l'éq...
La Cour des Comptes européenne a publié un rapport d'audit sur l'achat de vaccins par la Commission présidée par Ursula von der Leyen. La députée Virginie Joron, qui avait initialement demand...
Dans un certain milieu on ferme les yeux sur les pratiques plus ou moins courantes telles que les viols dans le milieu professionnel, ou bien les agressions envers les mineurs.
On préfère cultiver l'entre soi, que de remuer des torrents de boues, qui hélàs pourraient toucher tout un chacun.
Mais il y a des limites à ne pas franchir.
La connivence des élites ne justifie en rien les abominations perpétrées par certains. On ne peut également sous couvert artistique faire l'apologie de crime vis à vis des enfants.
Bill Gates philanthrope, la vidéo détricote l'homme qui manipule grâce à ses milliards l'industrie pharmaceutique.
L'affaire est assez bien résumée, et vous retrouverez sur ce site les informations nécessaires pour conforter votre opinion.
La seconde vidéo provient de la série Silicon Valley ou un directeur d'une multinationale informatique, Gavin Belson (dont les initiales correspondent bizarrement à celle de Bill) complétement tyrannique et mégalomane demande pour la nouvelle sortie de sa "box" qu'on lui présente une signature typique à imprimer sur son nouveau produit !
Elite pédophile très représentée au sein de la famille royale Anglaise ! Révélations à venir !
En second vous trouverez une vidéo sur les nombreuses affaires de pédophilies qui entachent la famille royale Anglaise, ce qui corrobore les propos de Gérard Fauré.
Celle-ci vient d'être censurée sur Youtube, aussi j'ai trouvé un autre lien !
Une autre vidéo qui démontre que l'on peut utiliser du sang d'enfants pour rajeunir, ce qui confirme bien la théorie de l'adrénochrome.
Suite des divulgations de Natacha Rey, la découverte de documents compromettants sur le couple Macron et plus particulièrement Mme qui ont été saisis chez Trump, et l'on reparle du coffre des Macrons que Benalla avait fait disparaître avec ses documents, ça fait beaucoup de coïncidences.
Mais une question demeure, s'il y a documents explosifs à l'encontre de Macron et que ceux ci soient connus aux USA, alors s'ils ne sont pas divulgués, ç'est qu'ils servent de moyens de pressions, d'où certainement la pléthore de cabinets de conseils Américains aux manettes de l'Etat et la liquidation de l'Etat Français a tous les niveaux !
N'oublions pas que dans l'affaire Epstein la CIA et le Mossad étaient les proxenetes, ce sont eux qui tiraient les ficelles et faisaient par leurs pratiques chanter les acteurs des petites fiesta organisées. C'est ainsi que dans certains pays on préfére "installer" des personnages avec de grosses casseroles car ils vous obéiront au doigt et à l'oeil.
Merci de faire un don à la chaîne Jeanez Marre https://www.paypal.com/cgi-bin/webscr?cmd=_donations&business=B9TDQ3PPD45RL&lc=CA&item_name=faire%20un%20don%2... Une mort qui profite à qui ? Cet ...
Il manque des portions aussi je vous propose d'aller sur le lien à la suite du texte merci !
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« Un revenu de base universel (UBI) est un système où un gouvernement verse à tous les individus un salaire fixe, quels que soient leurs moyens. Il garantit une certaine somme d'argent de l'État sans aucune obligation de travailler »
Dans cet article, écrit ThreadsIrish, je ne vais pas approfondir les raisons économiques car je ne suis pas assez qualifié pour discuter de ce point de vue. Cependant, je vais examiner les pays qui le mettent en œuvre et qui sont ceux qui, dans les coulisses, le poussent.
Alors que vous lisez la fin du fil de discussion de ThreadsIrish ci-dessous, ainsi que les points soulevés par ThreadIrish, il convient de rappeler l'expérience de John Calhoun sur l'univers 25 que nous avons précédemment écrite à propos de ICI , qui a montré que «l'utopie», où tous les besoins sont satisfaits sauf l'espace, un conduit à l'effondrement de la société et la mortalité massive de la population jusqu'à l'extinction.
Cinq mois plus tard, il était passé à 325 € avec The Irish Times l' a qualifié de "bond sismique" où quelque 2 000 artistes se verront garantir ce montant de salaire hebdomadaire.
En Irlande, il est présenté comme « de l'argent pour rien » et « sans poser de questions ». C'est exactement la même chose lorsque l'argent de congé était payé.
Quand dans l'histoire du temps y at-il déjà eu un "repas gratuit" (j'y reviendrai plus tard dans l'article).
Même l'un des économistes les plus connus d'Irlande qui écrit pour The Irish Times pense que c'est une bonne idée. Dans un article de 2017, David McWilliams a lancé l'idée sur son propre blog. C'était le même gars qui était un grand fan de l'argent de congé en 2020.
McWilliams était également un jeune leader mondial, mais maintenant obtenu son diplôme pour devenir membre du Forum économique mondial ("WEF").
Par coïncidence, son propre podcast du 2 mars 2021 s'intitulait "Building Back Better". Où avons-nous déjà rencontré cela ?
Juste de l'autre côté de la mer d'Irlande au Royaume-Uni, un document a été publié sur le site Web du Parlement britannique en juin 2022 intitulé « Les mérites potentiels d'un revenu de base universel ».
Ils prennent évidemment l'idée d'UBI très au sérieux et la font avancer rapidement. Les liens avec le parlement britannique et les anciens parlementaires britanniques ne s'arrêtent pas là. Ce fauteur de guerre en chef et ancien Premier ministre du Royaume-Uni, Tony Blair, est également impliqué, comme le montre ce tweet de Tascha Labs.
Blair est membre du WEF , a été financé par la Fondation Bill & Melinda Gates pour des dizaines de millions et pousse une identification numérique depuis des années.
C'est cet institut qui sera impliqué dans les « recommandations de politique publique pour le revenu de base universel ».
Nous pouvons maintenant voir comment UBI s'associe aux monnaies numériques de la banque centrale (« CBDC »). Les points sont tous reliés.
Apparemment, « les Britanniques ont fourni le revenu de base universel avec une marge de 20 points » selon un sondage du New Statesman réalisé en juillet 2022.
Le Pays de Galles a cependant une longueur d'avance dans les enjeux UBI. En février, The Guardian rapportait :
«Les jeunes quittant la prise en charge se verront offrir 1600 £ par mois pendant deux ans à partir du mois suivant leur 18e anniversaire. Cela équivaut à 19 200 £ par an.
Une somme non négligeable.
Le pays qui est le plus loin sur la piste avec UBI est le Canada. Le projet de loi S-233 est : « Loi visant à élaborer un cadre national pour un revenu de base garanti suffisant ».Il dit: "Chaque personne devrait avoir accès à un revenu de base suffisant."
Vous ne serez pas surpris d'apprendre que le Forum économique mondial est un grand fan d'UBI. Ils le poussent depuis 2016.
Dans une vidéo de 2021 au plus fort de la pandémie, ils en ont fait l'éloge.
Sous-titres de la vidéo :
Cette ville de Californie a testé le revenu de base universel et a trouvé un résultat surprenant. Stockton a donné à 125 personnes 500 $ par mois sans obligation de travailler et de les étudier pendant un an pour voir ce qui s'est passé.
Après 12 mois, le taux d'emploi à temps plein a bondi de 12 %, les participants travaillant plus, pas moins. Ils ont également déclaré se sentir moins anxieux et déprimés et passer plus de temps de qualité avec nos enfants.
Certains ont aidé les membres de la famille à payer les soins médicaux. D'autres ont le temps d'étudier. L'argent a amélioré leurs relations sociales leur permettant de payer des luxes comme des repas au restaurant.
Le projet espérait montrer que la pauvreté résulte d'un manque d'argent et non de caractère. Les chercheurs affirment que les paiements permettent aux gens de se fixer des objectifs, de faire des choix et de prendre des risques menant à des opportunités de carrière.
Le rapport couvre la période de novembre 2018 à février 2020. Un prochain montrera comment ils se sont comportés pendant la pandémie. Ce n'est pas la première expérience avec le revenu de base universel.
Depuis 2017, la Finlande payait 20 000 chômeurs 560 dollars par mois. Après deux ans, les bénéficiaires étaient plus heureux, en meilleure santé et plus confiants pendant la pandémie, de nombreux pays ont versé des paiements en espèces aux personnes les plus pauvres, notamment les États-Unis, l'Inde et l'Espagne.
Les détracteurs du revenu de base universel disent qu'il est trop désigné de le qualifié de façon permanente. Pensez-vous que le revenu de base universel est une bonne idée.
Donc, voilà. L'UBI est la panacée pour tout - le bonheur, le temps passé en famille, les soins médicaux, les repas au restaurant. Que peut-être demander de plus. Et apparemment, le procès en Finlande a été un énorme succès selon le WEF. Sauf que ce n'était pas le cas.
Selon Business Insider : « L'un des plus grands essais mondiaux sur le revenu de base, un programme de 2 ans en Finlande, a été un échec majeur. Les critiques ont affirmé que le test était erroné dès le départ.
C'est souvent le cas lorsque les résultats de piste ne vont pas comme vous le souhaitez.
UBI tout sonne bien et bon. Qu'est-ce qu'il n'y a pas à aimer dans un revenu de subsistance inconditionnel. Il est toujours présenté comme une éradication de la pauvreté ainsi qu'un filet de sécurité sociale.
On prétend que les gens pourraient dépenser plus, épargner plus et investir plus.
Sauf que ce n'est jamais inconditionnel. Ce que nous demandons demander, c'est "Cui Bono" ou qui en bénéficiera ? La réponse simple est "L'élite".
Il a également prononcé un discours d'ouverture à Harvard où il a déclaré : "Nous avons valu explorer des idées comme le revenu de base universel pour donner à chacun un coussin pour essayer de nouvelles choses."
Université de Harvard : Discours de lancement du fondateur de Facebook, Mark Zuckerberg, Harvard Commencement 2017,
25 mai 2017 (33 minutes)
Sauf qu'il ne sera pas utilisé pour de « nouvelles choses ».
Bien sûr, le WEF a soutenu Zuckerberg, membre du WEF, après son discours étudiant.
Zuckerberg n'est cependant pas le seul. En 2021, Elon Musk a déclaré que nous avions besoin de l'UBI car « à l'avenir, le travail physique sera un choix ».
Sam Altman qui a co-fondé OpenAI (intelligence artificielle) avec Musk est d'accord.
« Envisager un monde dans lequel lui et ses binômes AI-CEO deviennent si immensément puissants qu'ils mettent toutes les entreprises non-IA (employant des personnes) en faillite et tous les travailleurs américains au chômage. Si puissant qu'un pourcentage des revenus d'OpenAI (et de ses paires) pourrait financer l'UBI pour chaque citoyen américain.
D'autres entrepreneurs de très haut niveau qui ont approuvé UBI sont Pierre Omidyar (fondateur d'eBay), Andrew Ng, Bill Gross et Ray Kurzweil.
Ce que Bill Gross avait à dire sur le socialisme était particulièrement intéressant et préoccupant, qu'il faudrait « s'y habituer » avec UBI.
J'aurais dû justifier que Zuckerberg, Altman, Omidyar, Ng et Gross soient tous membres du WEF, tout comme certaines de leurs sociétés respectives, tout comme le partenaire commercial de Kurzweil à l'Université Singularity, Peter Diamandis.
Allez comprendre…
Un fil conducteur semble se dessiner chez tous les partisans de l'UBI. L'IA supprimera des emplois et les gens auront besoin d'UBI pour survivre. Si cela ressemble à l'agenda poussé par le WEF et la quatrième révolution industrielle, c'est parce que c'est le cas. C'est ce qu'ils disaient en 2017 : lisez ' Pourquoi nous pourrions tous avoir un revenu de base '
Pour ne jamais rater une occasion, le WEF a publié en avril 2020 un article 'L' UBI est la réponse aux inégalités révélées par le COVID-19 '. C'était seulement un mois après le début des fermetures. Encore une fois, ils semblaient savoir ce qui allait se passer.
Dans le même temps, ils ont publié un rapport intitulé « The Future of Jobs ». Ils ont affirmé que 85 millions d'emplois seront supprimés d'ici 2025, mais 97 millions seront créés.
UBI semble être la solution parfaite du point de vue du WEF. Ils préféreraient de loin que les gens soient assis à la maison, boivent de la bière, regardent Netflix (tout comme dans les blocages de Covid).
Si nous revenons sur les 2,5 dernières années, les petites entreprises et les entrepreneurs ont été ciblés pendant les fermetures de Covid. Beaucoup ont perdu leur emploi.
De plus, avec le conflit entre l'Ukraine et la Russie, nous voyons maintenant les coûts de l'énergie exploser. Naturellement, cela se répercutera sur les consommateurs, nous verrons donc également le prix des aliments augmenter.
Beaucoup de gens ont du mal à joindre les deux bouts et à mettre de la nourriture sur la table. C'est là qu'intervient UBI. Selon toute vraisemblance, de nombreuses personnes le réclameront et feront tout ce qu'il faut pour le recevoir.
C'est la dialectique hégélienne. Problème Réaction Solution.
Après les fermetures et le canular plandémique, les entreprises ont été et continueront d'être détruites par le canular climat/guerre. Ils ne veulent pas que les gens gagnent leur propre argent ou emploient d'autres personnes. Ils veulent que tout le monde dépende d'un revenu de base universel à la demande du gouvernement mondialiste.
Avec la hausse des prix de l'énergie et des prix des denrées alimentaires sur le point de grimper à des niveaux exorbitants, quel meilleur moment pour apporter le "repas gratuit" de l'UBI, sauf qu'il n'existe pas de " repas gratuit".
Alors, comment cela fonctionnerait-il en réalité. Au cours des 2 dernières années, nous avons vu des vaccins et des passeports vaccinaux utilisés pour accéder à des pubs, des restaurants, etc.
Si vous ne prenez pas votre vaccin et votre rappel, votre UBI pourrait être suspendu. Votre UBI sera lié à votre identifiant numérique qui, à son tour, sera connecté à votre pointage de crédit social. Votre pointage de crédit social vous permet de participer à la société.
Vos libertés civiles et vos droits seront liés à votre pointage de crédit social. Si vous critiquez le gouvernement, vous ne recevrez pas votre UBI qui se présentera sous la forme d'une monnaie numérique. Votre compte bancaire pourrait être fermé en appuyant sur un bouton.
Tout cela semble probablement très tiré par les cheveux, mais vous n'avez pas besoin de chercher bien loin pour voir que la fermeture de comptes bancaires et l'arrestation de personnes se sont déjà produites lorsque des camionneurs ont manifesté au Canada.
L'avenir ne semble pas rose à moins que les gens ne commencent à comprendre la situation dans son ensemble.
"A Universal Basic Income (UBI) is where a government pays all individuals a set salary regardless of their means. It guarantees a certain amount of money from the state without any requirement to ...
Nous avons précédemment signalé des données officielles en 2021 qui montrent une association temporelle entre les augmentations apparentes de la « surmortalité » parmi les différents groupes d'âge et le temps que chacun a été exposé aux « vaccins génétiques » COVID-19 ( ici et ici ).
Ces données étaient bien en vue dans le domaine public, étant basées sur les données officielles de près de 30 pays principalement européens diffusées sur le portail euroMOMO .
Aujourd'hui, un an plus tard, il est presque impossible de cacher le fait que dans de nombreux pays industrialisés qui sont passés à plein régime à des mesures de contrôle intenses, depuis les confinements , les masques , la surveillance génétique et les « vaccins génétiques », les gens meurent à des taux étonnamment élevés.
Les piqûres ou les rappels peuvent être un facteur, mais il en va de même pour un tas d'autres choses, comme le fait de ne pas obtenir de soins médicaux opportuns et appropriés, le stress psychosocial et la privation, ainsi qu'une gamme d'autres cofacteurs potentiels.
Les excès apparents actuels de décès par rapport à ceux auxquels on aurait pu s'attendre sont particulièrement inhabituels étant donné qu'ils se sont produits pendant l'été de l'hémisphère nord, lorsque les décès sont normalement au plus bas – et il est difficile d'attribuer la responsabilité à un virus invisible qui, à tous égards, a perdu la virulence sous sa forme actuelle.
Selon The Guardian , même le département britannique de la sécurité sanitaire affirme que les vagues de chaleur estivales n'ont expliqué qu'environ 7% de la surmortalité en juillet en Angleterre et au Pays de Galles.
Nous devons nous demander ce qui se passe réellement.
Les statistiques nous trompent-elles ou y a-t-il quelque chose de inquiétant qui n'est pas signalé ?
Dans ce dernier cas, combien d'efforts sont déployés pour essayer de découvrir les causes de ces décès – et combien sont, ou pourraient être, évitables ?
De la mortalité non ajustée à la surmortalité - la mesure imparfaite mais peut-être la meilleure dont nous disposons?
Chez Alliance for Health International, nous suivons les mortalités dans différents pays, en particulier les « surmortalités », depuis deux ans et demi (par exemple ici et ici ).
Pour ceux qui auraient besoin de le rappeler, « surmortalité » est un terme utilisé en épidémiologie et en santé publique qui fait référence au nombre de décès toutes causes confondues, au-delà de ce que l'on aurait pu s'attendre à voir sous « normal » (en l'occurrence le plus récent). conditions pré-pandémiques).
Les données directes sur la mortalité toutes causes confondues ne sont pas une bonne mesure en soi car elles ne tiennent pas compte de la taille de la population (qui est à son tour affectée par le taux de natalité, le taux de mortalité, l'immigration et l'émigration) ou la structure par âge dans un pays donné.
Les pays dont les structures d'âge sont les plus lourdes, comme de nombreux pays industrialisés, auront des taux de mortalité attendus beaucoup plus élevés que ceux peuplés principalement de groupes d'âge plus jeunes, tels que les pays dits «moins développés».
Si une crise, comme la COVID-19 , amène les femmes à donner naissance à moins d'enfants (en raison des conditions de la crise, des impacts sur la fécondité ou de toute autre cause), les données de mortalité non ajustées pour 100 000 habitants sembleront augmenter, mais cette augmentation apparente est un artefact statistique.
Des facteurs tels que l'âge, la taille de la population, l'origine ethnique et le statut socio-économique peuvent bien sûr être standardisés ou ajustés, mais vous n'obtenez toujours pas une vue d'ensemble de ce qui se passe à l'échelle de la population, nationale ou internationale, car vos ajustements vous ont forcé à en regardant des segments spécifiques de la population.
La surmortalité est largement reconnue comme l'un des marqueurs les plus importants des changements de mortalité liés à la crise.
En effet, il compare les mortalités pour une taille et une structure de population données dans la crise à celles qui seraient attendues dans le même pays, dérivées généralement de la moyenne des quelques dernières années sans crise (souvent 5).
Le fait que cette mesure ne soit pas affectée par des choses comme comment ou pourquoi les décès dus au COVID-19 sont enregistrés sur les certificats de décès, et qu'elle soit spécifique à la démographie particulière et à la structure par âge du pays en question, l'a amenée à devenir largement considérée comme un marqueur robuste - voire un étalon-or - pour évaluer l'impact de la crise du COVID-19.
Si seulement c'était si simple.
Différents pays communiquent leurs propres données à des fréquences différentes – ou pas du tout.
Différents groupes de chercheurs utilisent également différentes méthodes et paramètres statistiques pour dériver la surmortalité, ceux-ci n'étant souvent pas rapportés avec suffisamment de détails pour vraiment comprendre comment ils ont trouvé leurs chiffres.
Echouant ainsi dans l'important principe de rapport scientifique qui dit que d'autres scientifiques devraient être en mesure de reproduire les mêmes résultats avec les mêmes données.
Ce qui me dérange particulièrement, c'est que ceux qui signalent une surmortalité n'expliquent pas exactement où et comment ils ont obtenu leurs données de comparaison hors crise.
Comme l'indiquent à juste titre les scientifiques allemands Christof Kuhbandner et Matthias Reitzner dans leur récente étude préliminaire sur les décès excessifs en Allemagne entre 2020 et 2022 (voir ci-dessous) :
"Alors que le nombre de décès toutes causes confondues observés est un nombre fixe et clairement défini, l'estimation des décès habituellement attendus est relativement complexe et implique plusieurs choix de modèles et de paramètres mathématiques et qui peuvent conduire à de grandes différences dans les valeurs estimées."
Totalité des preuves
Ainsi, comme toutes les statistiques, les données sur la surmortalité peuvent encore induire en erreur.
Mais avant de jeter cette métrique dans le bac de recyclage le plus proche, rendons hommage à un autre principe scientifique - c'est-à-dire, surtout lorsque l'incertitude abonde (yip, c'est nous sur cette question, les amis), réservant toute conclusion jusqu'à ce que la totalité des preuves disponibles ait été évalué.
Cela signifie essentiellement ne pas sélectionner vos données, mais plutôt examiner toutes les données et analyses plausibles, les interpréter et ensuite seulement en tirer des conclusions.
C'est pourquoi j'ai laissé entendre plus tôt qu'il devient maintenant très difficile de cacher le fait qu'il se passe quelque chose de inquiétant avec la mortalité toutes causes confondues ou la surmortalité.
Nous savons maintenant, grâce à de multiples sources de données officielles de différents pays, que les décès liés au COVID-19 ne sont pas vraiment un problème à l'heure actuelle, comme le manque de virulence des souches d'Omicron en circulation (ce qui pourrait changer compte tenu de la pression de sélection qui est susceptible de s'ensuivre alors que davantage de personnes optent pour la "vaccination génétique" cet automne).
Gardez à l'esprit que même ces « décès liés au COVID-19 » (tels qu'ils sont suivis à l'échelle mondiale via Our World in Data, voir Fig. 1) ont souvent surestimé considérablement les décès, car le COVID-19 n'a dans la majorité des cas pas été identifié comme la principale cause de décès.
Au contraire, il n'était associé qu'aux décès, ayant été déterminé au moyen d'un test PCR défectueux dans, disons, un mois après le décès.
Oui, une personne tuée dans un accident de moto qui est décédée 27 jours après avoir reçu un test d'antigène COVID-19 faussement positif serait inscrite dans le dossier officiel comme un "décès COVID-19".
Figure 1. Décès confirmés par million d'habitants dans certains pays. Crédit : Notre monde en données
Plusieurs sources, toutes pointant vers une augmentation inattendue des décès en 2022
Voici cinq sources importantes qui incluent des données spécifiques à un pays, à une région et mondiales que la plupart des scientifiques réputés (une caractérisation de plus en plus délicate), je crois, considéreraient comme étant de haute qualité et approchant le seuil de « totalité des preuves » , que nous pensons brosser un tableau assez complet du paradoxe de la surmortalité auquel nous sommes actuellement confrontés.
1. Données sur la surmortalité pour l'Angleterre, de l'Office for Health Improvement and Disparities (Royaume-Uni)
La première chose à noter est l'augmentation relative de la surmortalité au cours des trois étés successifs (Fig. 2).
Figure 2. Surmortalité en Angleterre entre février 2020 et août 2022. Notations rouges ajoutées par l'auteur. Source : Bureau pour l'amélioration de la santé et les disparités . La méthodologie est donnée dans un lien dans le deuxième paragraphe de l'introduction dans le document ci-dessus.
Plus que cela, lorsque vous explorez les données de cette source du Bureau pour l'amélioration de la santé et les disparités, vous constatez que certains des excès les plus importants par rapport aux décès attendus se sont produits dans les deux groupes d'âge les plus jeunes, les 0 à 24 ans et les 25 à 49 ans.
De plus, il existe peu de différences dans les décès en fonction du niveau de privation, qui pourraient avoir été causés par une alimentation inadéquate ou de mauvaise qualité ou par des effets sur le mode de vie.
Les ethnies ont également eu une influence, les ethnies blanches et mixtes étant les plus touchées, tandis que les ethnies noires et asiatiques ont été les moins touchées.
Ce schéma, qu'il soit ou non une coïncidence, suit le schéma de l'adoption du "vaccin" COVID-19 - le gouvernement de Johnson poussant fort mais sans succès pour que les ethnies noires et asiatiques soient moins "hésitantes".
Il y avait également quelques différences dans la région, et il est intéressant de noter que la faible absorption du «vaccin» COVID-19 et la ville très polluée de Londres avaient la surmortalité la plus faible de toutes les régions.
En bref - avec une méthodologie différente, intéressante et transparente - voici quelques-unes des principales conclusions :
En 2020, il n'y avait pas de surmortalité significative apparente.
La surmortalité a commencé à augmenter à partir d'avril 2021 pour des raisons autres que la mortalité causée ou associée au COVID-19.
Presque tous ces décès en excès se sont produits dans les tranches d'âge comprises entre 15 et 79 ans - n'incluant donc pas les membres les plus âgés et les plus fragiles de la société qui se sont historiquement avérés les plus susceptibles de succomber à des infections respiratoires.
3. EuroMOMO — données régionales sur la surmortalité provenant principalement d'Europe
Les lecteurs et les sympathisants d'Alliance for Health International ont été amenés si souvent par nous sur le site Web euroMOMO .
C'est l'affaire - nous devons continuer à regarder car chaque fois que nous regardons, nous arrivons à voir un instantané dans le temps. Nous ne commençons à avoir une image plus complète de ce qui se passe que lorsque nous voyons tous les instantanés réunis dans notre "album de crise COVID".
La surmortalité dans le groupe d'âge le plus jeune dans les 28 pays/régions de l'euroMOMO se poursuit en 2022 et est profondément inquiétante car elle inclut les plus jeunes et les plus vulnérables de la société entre 0 et 14 ans.
Mais il y a une tendance notable aux excès qui se sont produits à un moment où Omicron a causé peu de mortalité, dans un certain nombre de pays.
Regardons ces données de deux manières via la section graphiques et cartes du site euroMOMO.
Tout d'abord, faites défiler jusqu'à la "Carte des scores z par pays" (les scores z étant la surmortalité spécifique utilisée par euroMOMO sur la base d'une méthode publiée), puis déplacez le curseur temporel pour voir les dernières semaines au cours de l'été de 2022.
"Houston...", ou devrais-je dire, "... Ursula von der Leyen , nous avons un problème, même si vous ne voulez pas en parler."
Ci-dessous (Fig. 3) est une capture d'écran d'un seul moment de la semaine 29 (troisième semaine de juillet) où vous pouvez voir des surmortalités élevées en Angleterre, en France, en Allemagne et en Italie, avec des excès très élevés en Espagne.
Comme indiqué précédemment, cela ne peut pas être simplement un effet de canicule.
Figure 3. Surmortalités (sous forme de z-scores) en Europe au cours de la semaine 29 (18-24 juillet) 2022. Crédit : EuroMOMO .
Deuxièmement, consultez les données sur l'âge sous la rubrique Surmortalité (Fig. 4). Vous verrez des excès marqués dans les groupes d'âge 0-14 et 15-44 ans en 2022, ceux qui ont été comparativement touchés par les premières vagues pandémiques en 2020.
Ceci est particulièrement inquiétant car l'effet n'est même pas dilué par les pays qui n'avaient pas de graves fardeaux de COVID-19 (par exemple une grande partie de la Scandinavie).
Figure 4. Décès excédentaires pour tous les groupes d'âge et les deux groupes d'âge les plus jeunes dans les cohortes complètes de l'euroMOMO (y compris les 28 régions/pays partenaires). Crédit : EuroMOMO .
Vous pouvez même le regarder d'une troisième manière, via les graphiques de pays en bas de la page, qui vous montreront les hausses que nous avons vues via la "Carte des z-scores par pays".
4. Notre monde en données — données nationales et mondiales sur la surmortalité
J'ai longtemps été perplexe face à la surmortalité - cette statistique très robuste se trouve à la fin de toutes les diverses statistiques que Our World in Data, soutenue par Johns Hopkins et la Fondation Gates, ont rassemblées dans le segment "explorateur de données" pour moins la rubrique "coronavirus" pour notre plus grand plaisir.
Je suis également intéressé par le fait que les pays par défaut ont récemment été trois pays dont les données officielles ne montrent pas de surmortalité significative à l'heure actuelle, à savoir la Russie, le Mexique et l'Afrique du Sud.
Et voilà, lorsque nous ajoutons quelques pays supplémentaires - certains dont nous avons parlé ci-dessus, nous constatons la même tendance à la hausse de la surmortalité (Fig. 5).
Figure 5. Surmortalité dans certains pays sur la base des données officielles analysées par Our World in Data. Crédit : Notre monde en données
5. L'algorithme d'apprentissage automatique The Economist pour les données nationales et mondiales sur la surmortalité
La dernière source de données que je vais aborder concerne les données sur la surmortalité extraites de l'algorithme d'apprentissage automatique à la pointe de la technologie développé par The Economist.
La méthodologie unique utilisée prend en compte plus de 100 variables, elle élimine celles qui n'ont pas beaucoup d'influence, elle estime les données de pays, de régions et de données démographiques similaires où les données manquent et semble s'efforcer de nous donner une image aussi complète que les données disponibles et les estimations scientifiques le permettent.
La première chose à remarquer à propos du tracker de The Economist est que les décès en excès pendant la période pandémique sont bien plus élevés que les décès officiels.
Le nombre officiel de morts est actuellement cité à 6,5 millions – les algorithmes de The Economist triplent environ ce chiffre, suggérant un nombre de morts plus probable et réel compris entre 16 et 27,2 millions .
Il semble probable que si ces estimations sont plus réalistes, beaucoup d'entre elles ne seront pas directement attribuables à un virus.
Les décès cumulés estimés dans le monde offrent une image pessimiste, de nombreuses régions du monde des États- Unis , la plupart de l'Amérique du Sud, la Russie, l'Europe de l'Est, l'Italie, la Grèce, l'Inde et l'Afrique du Sud connaissant tous beaucoup plus de décès que ce à quoi on aurait pu s'attendre dans l'absence de pandémie et les mesures déployées ostensiblement pour protéger la santé publique (Fig. 6).
Figure 6. Surmortalité cumulée mondiale évaluée de mars 2020 à aujourd'hui. Crédit : L'Économiste .
Cette perspective cumulative, bien sûr, ne nous montre pas ce qui se passe maintenant.
Ici (voir le rectangle mettant en évidence «l'été nordique 2022» sur la figure 7), nous pouvons voir le schéma de surmortalité discuté précédemment, dans la fourchette de surmortalité de 0 à 25%, pour de nombreux pays (pas tous), qu'ils soient du nord ou du sud hémisphère, en particulier ceux dont les ensembles de données sont plus complets (Fig. 7).
Figure 7. Outil de suivi de la surmortalité montrant des pays sélectionnés et un schéma presque entièrement cohérent de surmortalité (mis en évidence par des rectangles rouges ; notre ajout) affiché en orange clair ou foncé. Crédit : The Economist Suivi de la surmortalité COVID-19 .
Lorsque l'on compare les surmortalités de l'été nordique de 2022 avec celles de 2021 et 2020, nous voyons les schémas les plus attendus qui ont été largement associés à des vagues discrètes et quelque peu saisonnières d'infection par le SRAS-CoV-2 frappant les pays à des moments différents.
L'hémisphère sud semble être davantage affecté pendant son propre hiver, qui correspond à l'été de l'hémisphère nord.
Cette tendance semble s'être dissipée à l'été 2022, mais plutôt que de revenir aux mortalités pré-pandémiques de référence conformément à la récente perte de virulence du SRAS-CoV-2, une surmortalité significative est toujours constatée, quel que soit l'hémisphère.
Qu'est-ce qui tue des gens ?
"Ils" - y compris l'establishment scientifique et médical traditionnel, les gouvernements et une grande partie des médias - sont en grande partie muets lorsqu'ils essaient de démêler ce qui se passe.
Lorsqu'ils reconnaissent le paradoxe des surmortalités maintenant que la pandémie est considérée par la plupart comme largement terminée ou dans une accalmie temporaire avant un autre assaut cet automne dans l'hémisphère nord, la seule chose que vous trouvez cohérente est l'absence de toute mention du rôle possible de ces infernaux « vaccins génétiques ».
Cela ne devrait pas être une surprise étant donné l'extraordinaire suppression d'informations sur le discours scientifique autour de ces produits de modification génétique, comme l' ont rapporté Ety Elisha, Josh Guetzkow et leurs collègues dans la revue à comité de lecture HEC Forum qui a été informé par la libération forcée Des données de Pfizer qui révèlent à quel point les régulateurs savaient sur le manque d'efficacité et les dommages importants lorsqu'ils ont délivré une autorisation d'urgence en 2020.
Parmi ceux qui reconnaissent les surmortalités, le professeur Devi Sridhar, titulaire de la chaire de santé publique mondiale à l'Université d'Édimbourg, est typique dans son incapacité à considérer les «vaccins» comme un déterminant possible de l'augmentation actuelle des décès.
Dans un récent article du journal The Guardian , financé par Gates , le COVID-19 était toujours sous les feux de la rampe en tant que déterminant clé, malgré le peu de preuves à l'appui.
Selon les propres mots du professeur Sridhar :
« Il s'agit probablement d'un mélange de facteurs : le COVID nous rend plus malades et plus vulnérables à d'autres maladies (la recherche suggère qu'il peut contribuer à retarder les crises cardiaques, les accidents vasculaires cérébraux et la démence) ; une population vieillissante; un été extrêmement chaud; et un service de santé surchargé, ce qui signifie que des gens meurent faute de soins médicaux en temps opportun.
Quelle est la véritable combinaison de facteurs contributifs ?
Franchement? Nous ne savons pas ! Mais nous pourrions ajouter quelques points supplémentaires à la liste du professeur Sridhar qui pourraient valoir la peine d'être examinés, si des chercheurs sont intéressés (mais qui les financera ?) :
Suicide.
Solitude.
Dépression et anxiété.
Manque de but ou de sens dans la vie.
Régimes alimentaires inappropriés.
Mode de vie inapproprié.
Rupture des relations sociales.
Manque d'accès en temps opportun à des services de santé efficaces.
Absence de diagnostic précoce d'affections ou de maladies graves mettant la vie en danger.
Les méfaits à court, moyen et long terme des « vaccins génétiques ».
Augmentation des maladies auto-immunes déclenchées par les « vaccins génétiques ».
Augmentation de la prévalence des maladies infectieuses due à une immunité compromise due à l'isolement social et aux «vaccins génétiques».
Amélioration des maladies chroniques par un système immunitaire dérégulé et une inflammation systémique persistante, déclenchée par une exposition répétée aux «vaccins génétiques» COVID-19.
Traitement sous-optimal de la maladie COVID-19 (par exemple remdesivir).
Utilisation inappropriée des ventilateurs mécaniques.
Placement injustifié d'avis DNR ("ne pas réanimer") sur les résidents des foyers de soins.
Utilisation injustifiée de sédatifs puissants (par exemple le midazolam) connus pour contribuer aux décès dans les maisons de retraite.
Même ceci est une liste partielle, complémentaire à celle du professeur Sridhar.
Cependant, à la lumière de ce que nous savons maintenant des méfaits du «vaccin génétique» COVID-19, leur omission en tant que contributeurs potentiels à la surmortalité clairement évidente dans de nombreux pays est une grave – et probablement délibérée – surveillance scientifique.
Un oubli qui tue et blesse probablement des gens, inutilement.
La société a normalement des moyens de faire face aux oublis délibérés de cette nature, par le biais des tribunaux et du système pénal.
C'est peut-être encore à venir ?
S'il y a un sentiment que j'ai à propos de toute rétribution, c'est que dans les années à venir, cette omission et cette violation des droits de l'homme et de la vie humaine seront perçues pour ce qu'elles sont par la majorité, et pas seulement par une minorité croissante.
Macron et son gouvernement se sont payés un plan social à pas cher en suspendant le personnel soignant et les personnels de la sécurité civile (pompiers). Leur refus a été sanctionné pour la plupart par une baisse nette de revenus, car ils ne pouvaient exercer leur profession nulle part, voire un arrêt de revenu.
Ce qui dans un état de droit est absolument scandaleux.
Je tiens à souligner que l'acquiescement à ce type de comportement patronal (puisque l'Etat es patron dans ce cas de figure) ç'était la porte ouverte à la liquéfaction de la structure hospitalière ainsi que celle de la sécurité civile.
On dirait que Macron est là pour liquider les services publics Français afin de les revendre à bas prix à l'étranger quand la situation le permettra
Il faut faire bloc ç'est tout ! Après il sera trop tard pour venir pleurer ! Aussi faut il avoir des c.... au cul !
En 1997 Biden déclarait déjà que la seule chose qui pourrait provoquer une réponse russe "vigoureuse et hostile" serait que l'OTAN s'étende jusqu'aux Etats baltes.
En ne respectant pas les accords de Minsk, la réaction de Poutine était prévisible et prévue depuis longtemps...
Même si ce texte tout à fait important a été publié dans un site russe et traduit par Marianne, son auteur dont nous avons déjà publié un texte hier est une intellectuelle australienne qui ...