Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Contact : Administrateur@Henrydarthenay.com

  • : Vouillé un peu d'Histoire
  • : Histoire, politique historique comparée, économie, finance, généalogie, techniques Moyen âge,
  • Contact

vous êtes 1784 000 visiteurs 300 000 pages lus et je vous en remercie vues , merci de votre visite

contact :henry.arthenay@hotmail.fr
 
Facebook :
 

Youtube 

 
Crowdbunker 

 
 

Recherche

réf.

9 mars 2023 4 09 /03 /mars /2023 18:00

A voir en parallèle avec l'inculpation de Fauci et l'accumulation de preuve contre lui, puis la procédure contre Pfizer !

 

 

par Geopolintel

Quelques jours après l’annonce de la nomination de Sue Gray, enquêtrice du Partygate, au poste de chef de cabinet de Sir Keir Starmer, une question urgente a été posée au Parlement. À juste titre d’ailleurs. Lorsqu’il s’agit de juger la conduite d’un gouvernement conservateur, la fonction publique est aussi impartiale qu’un commandant taliban dans un groupe de lecture pour filles.

Mais était-ce vraiment la question la plus importante à laquelle il était le plus urgent de répondre ?

(L’affaire du Partygate est un scandale politique lié à des rassemblements festifs illégaux de Boris Johnson au 10 Downing Street ainsi que dans les ministères pendant les confinements de 2020 et en 2021.)

Depuis huit jours, le Telegraph publie les articles les plus accablants sur l’abus de pouvoir (et de « science ») de Matt Hancock et de sa cabale pendant la pandémie. Je ne sais pas ce qu’il en est pour vous, mais après avoir lu tant d’articles sur leur posture politique insignifiante et leur mépris total, en particulier pour les enfants et les personnes âgées, mon seau d’indignation est vide et j’en suis réduit à vomir de la bile.

Et quelle a été la réaction de la Chambre des communes face à ces horreurs ? Rien.

Heureusement, le Premier ministre a enfin fait savoir qu’il n’était pas content. Aujourd’hui (mardi), Downing Street a montré son mécontentement.

Le silence assourdissant de la majorité des hommes politiques et d’une partie des médias est une honte. J’espère qu’ils éprouvent au moins une once de honte pour leur incapacité à demander des comptes au pouvoir législatif au cours d’une confiscation sans précédent et effrayante de nos libertés civiles. L’opposition de Sa Majesté n’a pas seulement manqué à ce devoir solennel, mais, comme de nombreux radiodiffuseurs influents, elle a activement encouragé le gouvernement à imposer de nombreuses restrictions draconiennes non justifiées.

Les messages WhatsApp révélés dans les Lockdown Files du Telegraph ne manquent pas vraiment de piquant concernant nos représentants démocratiques. Chaque jour, amène une nouvelle surprise.

J’ai particulièrement apprécié l’échange WhatsApp qui a révélé l’enthousiasme de Matt Hancock pour offrir des lits du NHS aux français atteints du Covid, alors que le secrétaire d’État à la santé (un certain M. Hancock) disait aux Britanniques de ne pas bousculer leur service de santé de peur qu’il ne soit « débordé ».

Le deuxième confinement auquel nous étions tous soumis à l’époque n’a-t-il pas été appliqué, de manière assez agressive si je me souviens bien, pour éviter un « désastre médical et moral » si les hôpitaux venaient à manquer de place ?

Étions nous endormis pendant la conférence de presse au cours de laquelle Matt Hancock a révélé, comme il l’a fait dans une lettre adressée à son homologue français (Agnès Buzyn), que l’épidémie britannique se situait « principalement dans le nord de l’Angleterre » et qu’il y avait donc des lits inutilisées à Londres et dans le sud du pays ?

Matt Hancock a déclaré (dans les messages WhatsApp révélés dans les Lockdown Files) qu’il voulait « effrayer tout le monde » pour que nous nous comportions tous comme de braves petits enfants. Il était donc hors de question de donner de bonnes nouvelles – « Nos hôpitaux se débrouillent étonnamment bien avec les lits disponibles dans l’Est et le Sud » – car cela aurait affaibli le contrôle qu’il exerçait sur nous. Ce qui avait commencé comme une bonne intention pour assurer la sécurité des gens s’est transformé, sans aucune expertise, en « Comment pouvons-nous garder le pouvoir ? »

Même dans le Sud-Ouest, où le généreux et fantasque Hancock proposait de loger les patients français, le Premier ministre avait déclaré quelques semaines auparavant : « Il est désormais clair que les modélisations actuelles signifient que la capacité d’accueil des hôpitaux sera épuisée dans quelques semaines si nous n’agissons pas ».

Les estimations qu’ils ont données à Boris Johnson étaient erronées. Bien sûr qu’elles étaient fausses. (Selon ma source principale au sein du NHS England, les données relatives à la disponibilité des lits pour cette période « n’indiquaient aucune probabilité d’épuisement des capacités hospitalières ». Cela explique pourquoi le ministre de la Santé a pu discrètement envisager de faire une offre généreuse à la France (et même à l’Italie) alors que ses propres concitoyens avaient l’impression que leurs hôpitaux étaient pleins à craquer.

On devrait poser cette question au parlement :

« Merci, Monsieur le Président. Mon très honorable ami, le secrétaire d’État à la santé, peut-il faire une déclaration concernant sa proposition, révélée dans les messages WhatsApp publiés dans les Lockdown Files du Daily Telegraph, où il a été envisagée par son prédécesseur de mettre à disposition des francais atteint du covid, des lits du NHS ? »

À l’époque, les Britanniques n’étaient pas autorisés à accéder aux soins, des milliers et des milliers d’opérations étaient annulées et les patients non-Covid étaient mis à l’écart pour « soulager le NHS », mais apparemment M. Hancock a considéré qu’il était nécessaire de proposer nos unités médicales aux français. Qu’en pense le secrétaire d’État sur la capacité du NHS à ce moment-là, et du fait que la nation a été trompé ? « Il est regrettable, mais pas totalement impensable, que ce soient les restrictions de Matt Hancock et ses zélateurs du confinement qui ont failli achever les services de santé britaniques ». Le NHS s’est de toute façon effondré avec le confinement, affirme ma source. C’est l’ironie de l’histoire.

Des députés conservateurs comme Graham Brady et Charles Walker, Andrea Leadsom, Miriam Cates et Esther McVey, avaient anticipé cette dégradation des services de soins. Ils contestaient les évaluations alors que le pays était sur le point d’être plongé dans un deuxième confinement punitif, pour finalement passer pour des traîtres.
Comme l’ont révélé les Lockdown Files, Matt Hancock a élaboré une stratégie avec son assistant, Allan Nixon, pour « retirer de la liste » un centre pour personnes handicapées mentales de Bury, où le député James Daly était sur le point de voter contre le gouvernement.

C’est ce qu’a répondu le conseiller de Rishi Sunak. Lorsqu’on lui a demandé si ce n’était pas la façon dont Sunak souhaitait que ses ministres agissent, le porte-parole officiel du Premier ministre a répondu : « Bien sûr ». Il y a des règles et des lignes directrices qui s’appliquent.

Après autant d’horreur humaine, Hancock, envisage d’utiliser les enfants handicapés comme prétexte.

J’ai reçu par hasard un courriel de Rob, un père dont le fils est autiste.

Voici ce qu’il m’a écrit : « Le confinement a transformé un jeune homme heureux de 14 ans en dépressif total. La peur de savoir pourquoi tout le monde portait des masques, la rupture du quotidien (si importante pour les enfants SEN) et la fermeture des écoles, l’a complètement terrifié. Les répercussions sur notre famille ont été dévastatrices. Grâce à des médicaments antipsychiques, il s’en sort peu à peu, mais à partir du deuxième confinement, cela a détruit notre famille, sans parler de la perte de nos économies (nous travaillons à notre compte). »

La lecture des WhatsApp dans le Telegraph me met en colère. Le chagrin d’un enfant handicapé aggravé par des imbéciles imbus d’eux-mêmes est trop dur à supporter. Donner des psychotropes à son enfant engage une responsabilité, et ce n’est pas celle de Isabel Oakeshott. (journaliste politique et animatrice britannique)

Hancock peut être fier de lui. Un garçon de 14 ans est maintenant totalement détruit. (J’espère que tu es fier de toi, Matt.)

Les membres du Parlement vont-ils débattre de ce que nous soupçonnions, mais que nous savons maintenant avec certitude, avoir été fait délibérément au fils de Rob et à des milliers d’autres enfants vulnérables, dont certains ne sont plus parmi nous parce qu’ils ont été détruit au point de s’ôter la vie ?

Normalement, seule l’opposition peut poser ce genre de question cruciale. Aujourd’hui, les travaillistes peuvent tenter d’attaquer le gouvernement sur les révélations effroyables et choquantes des « Lockdown Files ». De même, ils peuvent se sentir honteux parce que, si seulement ils avaient uni leurs forces à celles des conservateurs qui s’étaient rebellés, ils auraient pu voter contre ces mesures disproportionnées et d’une grande cruauté.

C’est au président de la Chambre, Lindsay Hoyle, qu’il revient d’accorder ou non une UQ (Question Urgente). J’espère vraiment qu’il le fera. Aucune question ne pourrait être plus urgente.

Notre Premier ministre est un homme bon et un bon père pour ses filles. Il sait ce qui s’est passé et le mal qui a été fait. Dans la cabale du pouvoir qui a transformé le Royaume-Uni en un État totalitaire pendant deux années fiévreuses, Rishi Sunak était presque la seule voix à défendre la bonté, la décence et l’évidence. Quelques mots réfléchis de la part du Premier ministre seraient un baume bienvenu sur des blessures encore à vif.

Quant à Matt Hancock, il a perdu son fouet et ne peut malheureusement plus être sanctionné par le parti conservateur. Ce bellâtre glabre peut – et doit – être traîné devant une commission spéciale. Personnellement, j’aimerais le voir en prison pour le tort considérable qu’il a causé.

Existe-t-il des raisons de poursuivre l’ancien ministre pour mauvaise conduite dans l’exercice d’une fonction publique ? Matt Hancock s’est-il « volontairement mal conduit à un point tel qu’il a abusé de la confiance du public dans le titulaire de la fonction sans excuse ou justification raisonnable » ?

Je sais que certaines familles de pensionnaires de maisons de retraite préparent une action privée contre Hancock. Le service des poursuites de la Couronne doit alors décider s’il est dans l’intérêt public de poursuivre. Les dossiers de confinement devraient fournir des preuves révélatrices.

À l’approche du troisième anniversaire du confinementt, la campagne Rights for Residents a demandé à ses membres de publier une photo de leur proche dans des moments heureux, ainsi que les trois mots qui les décrivent le mieux. (Vous pouvez voir ces photos profondément émouvantes https://twitter.com/rightsforresid2.) Avant, ces personnes âgées étaient enfermées sans aucune lien avec un parent proche ou un ami.

Ils étaient condamnés à une mort vivante conçue par nos maîtres fous de Covid pour « sauver des vies ». Qu’est-ce qui aurait pu justifier un tel crime contre l’humanité ?

Voilà ce que j’appelle une question urgente.

source : Geopolintel

Partager cet article
Repost0
9 mars 2023 4 09 /03 /mars /2023 17:46

Selon Yuval Noah Harari, la "crise du covid" a été un moment décisif en termes de surveillance et de données personnelles. Lors d'une table ronde au Forum de la démocratie d'Athènes 2020, Harari a été interrogé sur ses craintes et ses préoccupations concernant la surveillance numérique. Il a dit que les téléviseurs savent non seulement ce que nous regardons, mais peuvent également savoir ce que nous ressentons en le regardant.  

Le Forum sur la démocratie d'Athènes 2020 s'est tenu du 30 septembre au 2 octobre 2020, sous la forme d'un événement virtuel. Le Forum a été organisé pour la deuxième année par la Fondation Démocratie & Culture , en association avec le New York Times et sous le Patronage de SE la Présidente de la République Hellénique, Mme Katerina Sakellaropoulou.

Lorsque les gens repenseront à la "crise du covid", a déclaré Harari au panel du Forum, ce dont ils se souviendront, c'est que c'est à ce moment-là que tout est devenu numérique, que tout est devenu surveillé et "que nous avons accepté d'être surveillés tout le temps".

"C'est le moment où la surveillance a commencé à passer sous la peau… Je pense que le grand processus qui se déroule actuellement dans le monde est la capacité de pirater les humains pour comprendre profondément ce qui se passe en vous… Avoir la capacité de vraiment surveiller les gens sous la peau ce est le plus grand changeur de jeu de tous », at-il déclaré.

Plus loin dans la discussion, il a décrit les émotions telles que la colère comme un "phénomène biologique... un schéma biologique dans votre corps".

Avec ce genre de surveillance, de ce qui se passe sous la peau, "vous regardez le grand président, un grand dirigeant, faire un discours à la télévision", at-il dit, et "la télévision pourrait vous surveiller et savoir si vous êtes en colère ou pas, juste en analysant les signaux, les signaux biologiques, provenant de votre corps »,

«Alors maintenant, les gens nous regardent maintenant en ligne partout dans le monde – cette conversation maintenant – peut-être même en ce moment, les gens qui nous regardent sont surveillés et analysés.

"Ce n'est pas seulement que nous savons que vous regardez ça... nous savons aussi ce que vous ressentez."

 

 

Pour commencer à comprendre le pouvoir de la surveillance à travers nos téléviseurs ("TV") et comment cela se fait, il vaut la peine de lire un essai écrit en 2018 par Ananda Mitra et publié dans IntechOpen en 2019 .

Dans son essai, Mitra a soutenu que la télévision, à l'origine le canal pour offrir des récits passifs au public, se transforme en un outil qui peut surveiller le public et construire un récit dynamique du public, activé ainsi comme un outil de surveillance . 

Voici des extraits de l'essai de Mitra. Vous pouvez lire son essai complet « L'avenir de la télévision » ICI .

Vu par la télé

En février 2018, une analyse du célèbre magazine  Consumer Reports a annoncé que leurs tests avaient révélé que la "télévision intelligente" de plus en plus omniprésente était capable de "regarder" le téléspectateur et de conserver un enregistrement détaillé de ses habitudes de visionnage de la télévision et de son comportement. Alors que de plus en plus d'appareils intelligents trouvent une place dans la maison moyenne, il existe d'autres gadgets qui peuvent fonctionner en tandem avec les téléviseurs intelligents pour effectuer la tâche de "regarder".

Considérez, par exemple, l'appareil Alexa qui répond aux commandes vocales pour effectuer des tâches simples, y compris la connexion à un téléviseur intelligent pour contrôler le téléviseur intelligent. Tous ces appareils et fonctions reposent sur le fait que ces appareils « surveillent » toujours leur environnement – ​​​​en regardant avec des caméras intégrées, en écoutant avec des microphones intégrés et en capturant des données avec des capteurs intégrés. De vraies personnes occupant l'espace qui est sous la surveillance de ces appareils.

Il est utile d'examiner brièvement la manière dont le processus de surveillance a été examiné sur une période de temps. La pratique de la surveillance existe depuis l'époque où les gens prévoyaient « surveiller » les autres. Le besoin de surveiller a surtout été lié à la notion de sécurité où l'observateur s'est inquiété du fait que l'observateur constitue une menace pour les intérêts de l'observateur. Ces intérêts pourraient également être liés aux intérêts des personnes surveillées ; ainsi, le processus d'observation devient particulièrement important pour maintenir un sens de l'ordre au sein d'un système sociétal spécifique. En effet, cette perspective a été bien résumée par Mike Rogers,suite au rapport embarrassant de 2013 selon lequel l'Agence de sécurité nationale ("NSA") surveillait les conversations téléphoniques de dirigeants européens tels qu'Angela Merkel. M. Rogers aurait déclaré : « C'est une bonne chose. il protège les Français. Il protège les États-Unis. Cela assure la sécurité de nos alliés européens.

Le lien intime entre le maintien de l'ordre et la discipline devient la thèse centrale de l'examen académique du processus de surveillance lorsque des chercheurs comme Foucault commencent à lier la surveillance au pouvoir et à la discipline.

Parmi les différentes idées de surveillance qui ont émergé comme importantes, il y avait la notion de Panopticon qui prétendait que les puissants surveillent toujours tout et tout le temps. La société panoptique a été construite autour d'une définition stricte de la discipline, et à la fin des années 1800 et au début des années 1900, la métaphore était principalement utilisée pour décrire la manière dont les nations totalitaires et les despotes voudraient toujours tout surveiller pour maintenir le pouvoir et la discipline.

Dans certains cas, cependant, il y a un intérêt émergent à examiner comment les observateurs pourraient également inclure des entreprises et des institutions qui avaient un motif sans rapport avec la discipline et le pouvoir, mais plus pourraient permettre de comprendre le « marché » que l'institution serait intéressée à servir. Cela est particulièrement vrai pour le type de technologies interactives décrites dans cet essai. L'avènement des technologies décrit plus haut dans cet essai concerne cependant la surveillance des entreprises plutôt que le monde panoptique basé sur la discipline et le pouvoir qui intéresse les chercheurs antérieurs.

Le nouveau Panopticon créé par la télévision à la maison concerne moins la discipline et le pouvoir que la manière dont le « client » qui est regardé peut être analysé comme une marchandise qui peut être vendue à ceux qui sont destinés à vendre au regardé. Simultanément, la condition panoptique devient beaucoup plus bénigne et peut-être même réconfortante pour le regardé en offrant un cocon de confort dans lequel le regardé peut habiter, où le cocon est créé par le téléviseur lui-même. Ce processus est possible parce que le client interagit avec le téléviseur en offrant des informations au téléviseur et le vaste éventail d'intérêts que le téléviseur représente.Il existe en gros deux types d'informations que ce que l'on regarde offert au spectateur à travers la télévision moderne : les attitudes et le comportement.

L'information sur les attitudes, les intérêts, les croyances et les goûts est offerte par le discours spécifique que le visionné offre aux différents fournisseurs d'information qui diffusent du contenu à la télévision. 

Prenons, par exemple, le simple fait d'accéder à un service de vidéo numérique tel que YouTube accessible sur un smartphone puis projeté sur le téléviseur. Dans certains cas, le téléviseur lui-même offrirait la possibilité de se connecter directement à un service tel que YouTube. En effet, on estime que près de 80 % des téléviseurs dans les foyers américains seront connectés à Internet d'ici 2019 et que tout téléviseur connecté à Internet peut éventuellement accéder à YouTube sans avoir besoin d'aucun autre appareil auxiliaire.

Cette connexion fait de la télévision le conduit de la grande quantité de données disponibles sur YouTube ainsi que de nombreux autres segments de l'espace numérique contenant des données consultables. L'un des aspects clés accessibles de cette connexion est la capacité de la personne regardée à rechercher des types spécifiques de contenus par la télévision et affichés à l'écran. La personne inscrite des attitudes et des préférences dans la langue de la recherche.

Des entreprises comme Google utilisent depuis longtemps des informations similaires et sont ainsi en mesure de proposer des publicités personnalisées lorsqu'une personne travaille sur un ordinateur. Il existe des moyens de désactiver une telle personnalisation des messages marketing en ajustant des paramètres spécifiques sur une application fournie par une société. La question devient un peu différente à la télévision où le mais même de l'outil, la télévision, est de regarder des récits, et dans l'environnement de services tels que YouTube, le téléspectateur doit publier des informations d'intérêt pour ce personnalisé que la personne regarde ou intéresse. en train de regarder.Le processus d'utilisation de la télévision pour accéder à un contenu narratif est intimement lié au processus de révélation à la télévision des intérêts, des attitudes et des croyances du spectateur.

Cette information est également liée à la divulgation des modèles de comportement. Étant donné qu'une grande partie de la consommation de contenu se fait par l'intermédiaire de fournisseurs de contenu tels que YouTube, Hulu, Netflix et d'autres systèmes de diffusion de contenu sur Internet, il existe un enregistrement constant de ce qui a été regardé, quand il a été regardé, comment c'était payé, et dans certains cas des informations plus granulaires liées à l'observateur particulier dans une maison multi-personnes. Par exemple, Netflix offre la possibilité de créer plusieurs sous-comptes sous un compte principal pour chaque membre du ménage, et les données qui sont démontrées en fait quelle personne particulière utilisait réellement un contenu spécifique.Dans les foyers équipés de plusieurs téléviseurs,

Les données sur les attitudes et les comportements qu'offre une telle surveillance finissent par devenir un récit sur les personnes surveillées. C'est ce récit qui devient particulièrement important dans le nouveau système Panopticon produit par la télévision moderne.

Où cela nous mène-t-il, les surveillés ?

Si la télévision est autorisée à surveiller et qu'elle est connectée aux autres outils qui entourent la télévision, elle pourra éventuellement créer une histoire de vie de plus en plus complète de la personne qui utilise la télévision. Cette histoire de vie complète pourrait devenir la manière dont la télévision a intégré une réalité médiatisée pour la personne qui est regardée. Comme évoqué précédemment, cette réalité peut devenir progressivement myope et une chambre d'écho dans laquelle la personne résiderait tandis que le Panopticon TV crée l'espace médiatique confortable pour la personne.

De nombreuses entreprises telles qu'Amazon, Roku et Apple proposent des accessoires pouvant être connectés au téléviseur, et le programme serait diffusé via la connexion de l'accessoire à Internet. Ainsi, un "stick" Roku peut se connecter à Internet, et les programmes seront proposés par Roku en collaboration avec d'autres agrégateurs de contenu tels que Sling, YouTube et Hulu, pour n'en nommer que quelques-uns. Dans certains cas, un écosystème complet est produit par une entreprise comme Amazon qui propose l'accessoire pour la télévision, un système domestique de récupération d'informations à commande vocale tel qu'Alexa, et du contenu via le vaste magasin de contenu que possède Amazone.Au fur et à mesure que l'utilisateur migre vers ces options, l'utilisateur est également tenu de partager des informations via le conduit du téléviseur avec toutes ces différentes sociétés qui continuent à regarder l'observateur.

Conférence complémentaire :

Source

Partager cet article
Repost0
9 mars 2023 4 09 /03 /mars /2023 17:44
Partager cet article
Repost0
9 mars 2023 4 09 /03 /mars /2023 17:43

Partager cet article
Repost0
9 mars 2023 4 09 /03 /mars /2023 17:42

Partager cet article
Repost0
9 mars 2023 4 09 /03 /mars /2023 17:39

Partager cet article
Repost0
9 mars 2023 4 09 /03 /mars /2023 17:33

Partager cet article
Repost0
9 mars 2023 4 09 /03 /mars /2023 17:17

L'Energie est au centre de ce débat très intéressant, on passera des pyramides  du plateau de Gizeh, à l'énergie cosmique, puis à Tesla, du contrôle de l'énergie par des groupes financiers puis l'utilisation de l'énergie libre.

Qui contrôle l'énergie contrôle le monde, si vous voulez être libre il faut demander l'Energie Libre, il ne faut pas se tromper de combat, ce monde est fait pour vous distraire des objectifs essentiels l'Energie en est un, un des principaux. 

Le contexte nous permet de voir quelle est l'importance de l'énergie dans notre société, mais il nous permet de voir également quels sont les acteurs de ce secteur, l'Etat profite par les taxes de ce système et n'a aucun intérêt à tuer la poule aux oeufs d'or.

Nous sommes actuellement dans une crise augmentée par des effets de leviers de manipulations du marché de l'énergie et ceci agit par succession sur toute la chaîne de production, l'Etat qui devrait limiter ou contrôler ,n'agit plus en temps que modérateur mais profiteur de la situation.

A vous de voir !

Henry

Partager cet article
Repost0
3 mars 2023 5 03 /03 /mars /2023 19:59

Macron et ses prédécesseurs grands dilapidateurs du bien National

__________________________________________

« On a perdu en 15 ans : Arcelor, Pechiney, Alstom, Technip, Lafarge, Alcatel, Essilor. »
 
Partager cet article
Repost0
3 mars 2023 5 03 /03 /mars /2023 19:30

Vaccinator a encore frappé : après les 11 vaccins obligatoires pour les enfants en 2017, mais les enfants ne contestent pas et les parents l'ont ils fait dans la majorité des cas, il a récidivé avec la vaccination Covid a répétition à grands renforts de larmoiements et de citoyenneté, aujourd'hui il va séduire les adolescents pour les convaincre de se faire vacciner contre le papillomavirus.

Je reconnais qu'en effet les cancers induits par les papillomavirus sont inquiétants, mais le gardasil ne l'est pas moins ; là aussi ç'est un vaccin à larges suspicions, dont le parcours qui n'est pas récent est déjà émaillés de multiples procédures juridiques pour effets secondaires notoires.

Si vous désirez vous faire vacciner sur ce réfléchissez y a deux fois !

Henry

____________________________________________________

 

GARDASIL : témoignage de Karine 25 ans
 

 

Charlie hebdo vaccine Macron - Courrier picard

 

Gardasil: l’étonnante précipitation du VRP Macron pour vacciner les enfants
 

 

 

Le 8 décembre 2022, le président de la République s’inquiétait de la faible couverture vaccinale des adolescents contre les infections à papillomavirus humains (HPV). Il déclarait à ce sujet vouloir “aller vite” et “faire dès l’école un énorme travail d’information”, sans exclure la possibilité de rendre obligatoire le vaccin Gardasil.

En visite dans un collège de Charente, ce mardi 1er mars, Emmanuel Macron appelle à une campagne de vaccination ”généralisée” des élèves de 5ème (11-13 ans). Un empressement qui interroge, alors qu’une class action (ndlr : action judiciaire collective) est initiée aux États-Unis : ses plaignants accusent le laboratoire Merck d’avoir exagéré les bénéfices du Gardasil et masqué des effets secondaires avérés. 

 

À quatre jours de la Journée mondiale de la sensibilisation autour des maladies induites par le papillomavirus humain, Emmanuel Macron enfile son costume de médecin.  

Procès en cours outre-Atlantique 

“À partir de la rentrée prochaine, pour tous les 5èmes, on va généraliser la vaccination” contre les HPV, a-t-il indiqué lors d’une rencontre avec des élèves dans un collège de Jarnac (Charente). Selon le président de la République, “cela permet d’éviter beaucoup de cancers. Beaucoup de pays l’ont fait”. 

Beaucoup de pays l’ont fait mais certains commencent sérieusement à en revenir. Les États-Unis assistent depuis le mois dernier à l’ouverture d’un procès contre le laboratoire pharmaceutique Merck (MSD). 

Suite à l’enregistrement d’une action judiciaire collective en octobre 2022, les plaignants veulent obtenir réparation quant à des effets secondaires graves, et parfois même mortels, attribués au vaccin Gardasil 9, le même pourtant fréquemment préconisé par le Président français. 

Selon eux, ces effets adverses auraient été minorés par le fabricant. Quant aux bénéfices réels du vaccin en matière de protection face aux divers cancers faisant suite à une IST (infection sexuellement transmissible), ils auraient été exagérés. 

Une efficacité qui peine à être démontrée scientifiquement 

Les HPV sont l’IST la plus fréquente. Au cours de leur vie, près de 80% des personnes sont confrontées à ce virus. Pour autant, dans environ 90% des cas, selon la Haute autorité de Santé (HAS), sa disparition est effective en moins de 24 mois, sans conséquence pour la santé.  

Certes, si l’infection persiste, l’évolution d’une lésion précancéreuse (dysplasie) vers un cancer du col de l’utérus reste possible. Mais avec 0,7% des infections dégénérant en cancer, ce risque est rare et se produit après un délai moyen de 30 ans.  

Ainsi, le vaccin ne bénéficie que d’une “fenêtre de tir” particulièrement réduite pour démontrer son efficacité. Et la présence avérée d’effets secondaires pourrait très rapidement faire pencher la balance bénéfice-risque du mauvais côté.  

Ce n’est pas la première fois que l’efficacité du vaccin fait polémique après une présentation particulièrement flatteuse de la part de responsables politiques ou de sociétés savantes. 

Plan de communication 

En 2019, plusieurs d’entre elles avaient lancé l’appel des 50, une campagne de communication qui proposait “un dépistage et une vaccination universelle contre le papillomavirus”.  

Cet appel dressait un tableau dramatique du risque encouru par la jeunesse et préconisait “d’augmenter la couverture vaccinale des populations déjà ciblées en rétablissant activement la vérité scientifique et donc la confiance vis-à-vis de ces vaccins actifs et très bien tolérés”. 

Un avis qui n’est pas partagé aujourd’hui par les plaignants américains en procès contre Merck. Après avoir étudié 48 dossiers de victimes, le juge a constaté une homogénéité des problèmes de santé, aussi bien chez les hommes que chez femmes. 

En réponse à l’appel des 50, une quinzaine de professionnels de la santé avaient riposté à l’époque. Ils avaient rappelé de concert l’état de la science, la déontologie médicale et le principe de précaution face à cette vaccination.  

Cité dans un article de Paris Match du 30 avril 2019, signé par la journaliste Vanessa Boy-Landry, le pharmacien hospitalier Amine Umlil affirmait alors :  

“La communication de l’appel des 50 n’était ni objective, ni non trompeuse. Elle ne présentait pas le risque en perspective du bénéfice attendu et ne faisait pas état des éventuelles incertitudes, comme l’exigent le Code de la santé publique et les règles de communication rappelées en 2018 par l’Agence du médicament.” 

Corde sensible 

Des médecins avaient aussi vigoureusement contesté la vision naïve d’un vaccin présenté comme une “solution miracle”. Selon eux, l’appel des 50 n’était qu’une “opération de lobbying” qui demeurait “dans la pensée magique d’un produit révolutionnaire qui ne l’est pas”.  

Dans un autre article publié par Paris Match, le 11 janvier 2019, Vanessa Boy-Landry interrogeait Catherine Riva, une autre journaliste, fondatrice du collectif Re-check. Celle-ci déclarait :  

“Les meilleures données disponibles indiquent que la vaccination n'aura pas l'effet attendu. Les résultats des essais cliniques révèlent qu'il n'y a pas de différence d'efficacité statistiquement significative entre les filles vaccinées non porteuses des HPV ciblés par le vaccin et celles du groupe placebo. Les filles vaccinées ne font plus de lésions précancéreuses associées aux HPV 16 et 18, mais elles en font toujours autant!” 

Emmanuel Macron jouait pourtant le 8 décembre dernier, lors d’une conférence de presse à Fontaine-le-Comte, sur la corde sensible. Il décrivait l’urgence à vacciner les adolescents : “Pour un jeune, si ses parents disent de ne pas se faire vacciner, ça peut être trop tard”. Et alertait sur la faible couverture vaccinale : “On est en retard là-dessus.” 

Des propos à mettre en relation avec une autre analyse de Catherine Riva : 

“Brandir la couverture vaccinale comme un objectif sacré (…), c'est grotesque, intenable d'un point de vue scientifique, et choquant : ces vaccins sont administrés à une population jeune, a priori en parfaite santé, pour empêcher la survenue d'une maladie qu'on prévient par ailleurs déjà avec le frottis de dépistage. Dans ces conditions, la question de savoir si ces produits sont sûrs est tout à fait cruciale et il n'y a rien d'obscurantiste à la poser”. 

Les premiers jugements dans l’affaire du Gardasil outre-Atlantique devaient initialement être rendus en septembre 2023. Soit comme le disait Emmanuel Macron, “à la prochaine rentrée des classes”, date à partir de laquelle le chef d’État souhaite voir appliquée “la généralisation de la vaccination”.  

Source

 

L'appel de Merck à abaisser l'âge du vaccin Gardasil contre le VPH n'est "qu'un autre stratagème marketing", déclare un critique

Les chercheurs de Merck ont ​​​​publié lundi une étude suggérant que des preuves montrent que le passage de la vaccination systématique contre le VPH aux âges de 9 à 10 ans peut améliorer les taux de couverture vaccinale au début et au milieu de l'adolescence, mais les critiques ont appelé le fabricant de vaccins à se concentrer sur les profits, pas sur la santé.

 

Affaires en justice et effets secondaires du Gardasil aux USA

Partager cet article
Repost0

Pages