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9 octobre 2022 7 09 /10 /octobre /2022 17:26
Les élections de Berlin 2021 sont invalides !
 
 
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5 octobre 2022 3 05 /10 /octobre /2022 18:24
Participer à une manifestation non déclarée n'est pas une infraction
Publié le : 30/09/2022

 L’article 111-3 du code pénal précise que :

Nul ne peut être puni pour un crime ou pour un délit dont les éléments ne sont pas définis par la loi, ou pour une contravention dont les éléments ne sont pas définis par le règlement.
Nul ne peut être puni d'une peine qui n'est pas prévue par la loi, si l'infraction est un crime ou un délit, ou par le règlement, si l'infraction est une contravention.

Plusieurs personnes étaient poursuivies pour avoir participé à une manifestation qui avait été interdite par arrêté préfectoral.

Par un arrêt en date du 14 juin 2022, la Cour de cassation rappelle qu’aucun texte ne prohibe la participation à une manifestation non déclarée :

Vu l'article 111-3 du Code pénal :

8. Selon ce texte, nul ne peut être puni pour une contravention dont les éléments ne sont pas définis par le règlement.

9. Pour déclarer le prévenu coupable de participation à une manifestation interdite, le juge énonce que la manifestation à laquelle a participé le prévenu n'était pas déclarée et était donc prohibée.

10. En prononçant ainsi, alors que ni l'article R. 644-1 du code pénal, ni aucune autre disposition légale ou réglementaire n'incrimine le seul fait de participer à une manifestation non déclarée, le tribunal a méconnu le texte susvisé et le principe ci-dessus rappelé.
Cour de cassation, 14 juin 2022, n° 00732


En effet, aucune autre disposition légale ou réglementaire n'incrimine le seul fait de participer à une manifestation non déclarée.


Cet article n'engage que son auteur.
 

Auteur
Capucine VARRON CHARRIER
Avocate Associée
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5 octobre 2022 3 05 /10 /octobre /2022 17:44

L'édito ouvre une des pages sur le système de coterie internationale qui dirige le monde : association entre certains groupes d’individus unis par un intérêt commun qui favorisent ceux qui font partie de leur compagnie et cabalent contre ceux qui n’en sont pas.

 

Voir la rubrique complotisme origine et développement

 

____________________________

 

Les Banques Nationales dans la majorité des cas étaient avant la dernière guerre privées, aujourd'hui la situation est mélangée, et le privé à priori n'a pas main mise sur la situation. Donc la situation n'est pas aussi simple que dans la vidéo, mais il y a maints et maints moyens de changer les formes.

 

Dans cette affaire ç'est l'intérêt l'usure qui à permis cela, l'usure existe depuis des milliers d'années, elle est cependant réprouvée par les trois religions juive, chrétienne et musulmane et ceci jusqu'à une période récente. Cependant le crédit est un moyen de dynamiser une économique, mais faut il que celui ne s'empare pas de l'économie toute entière, notamment par le biais de l'endettement et ç'est bien là que le bât blesse, nous voilà à un terme celui de l'endettement à outrance, ou nous sommes livrés pieds et poings liés à nos débiteurs, il reste cependant dans cette histoire à se poser la question : Cette situation n'est elle pas la suite d'une opération manigancée de mains de maîtres, en effet voyant qu'ayant affaire a des  des chefs d'état et un personnel politique facilement corruptible, cupide n'ayant pour horizon que le prochain mandat ; il a été facile d'opérer sur un terrain aussi meuble et détricoter tout le système, puis imposer ses vues sans trop de contestations.

 

Quand ce personnel politique fût suffisamment érodé, laminé dans l'opinion ne suffisait il pas de présenté avantageusement l'assassin économique qui allait enfin achever l'ouvrage, et livrer la nation dans l'escarcelle de ses débiteurs.

 

Voyons comment certains opèrent !

 

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La Banque de France (BDF) est la banque centrale de la France. Il s'agit d'une institution bicentenaire, de capital privé lors de sa création le sous le Consulat, puis devenue propriété de l'État français le 1 lors de sa nationalisation par Charles de Gaulle

 

Indépendante depuis 1994, la Banque de France devient membre de l’Eurosystème (ainsi que du Système européen de banques centrales) en 1999

 

La Banque d'Angleterre (en anglais : Bank of England) est la banque centrale du Royaume-Uni, située dans la Cité de Londres.

Société de droit privée durant deux siècles et demi, elle est nationalisée en 1946 puis devient en 1998, un organisme public indépendant du gouvernement, contrôlé uniquement par le Trésor. Sa principale mission est d'assurer la stabilité monétaire et financière du pays1.

Elle est connue sous le nom de « La vieille dame de Threadneedle Street » (The old lady of Threadneedle street)1.

 

 

 

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5 octobre 2022 3 05 /10 /octobre /2022 17:31

L'édito est dans l'éventail d'articles sur la Banque Rotschild, les assassins financiers, l'état semi totalitaire actuel ! (à retrouver dans la rubrique complotisme origine et développement) servant à dénoncer la coterie mondialiste :  association entre certains groupes d’individus unis par un intérêt commun qui favorisent ceux qui font partie de leur compagnie et cabalent contre ceux qui n’en sont pas.

 

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D'après vous la France n'est elle pas livrée à un ou des assassins économiques et financiers actuellement !

Les assassins financiers sont des professionnels grassement payés qui escroquent des milliards de dollars à divers pays du globe. Ils dirigent l’argent de la Banque mondiale, de l’Agence américaine du développement international (U.S. Agency for International Development – USAID) et d’autres organisations « humanitaires », vers les coffres de grandes compagnies et vers les poches de quelques familles richissimes qui contrôlent les ressources naturelles de la planète. Leurs armes principales : les rapports financiers frauduleux, les élections truquées, les pot-de-vin, l’extorsion, le sexe et le meurtre. Ils jouent un jeux vieux comme le monde, mais qui atteint des proportions terrifiantes en cette époque de mondialisation.
Je sais très bien de quoi je parle… car j’ai été moi-même un assassin financier. »John Perkins

Après plus de vingt années d’hésitation, entre menaces et dessous-de-tables influençant son silence, John Perkins s’est enfin repenti en 2004, dans son livre Les confession d’un assassin financier, pour son rôle criminel dans la manipulation des économies du monde pour le compte des États-Unis.

Naissance d’un assassin financier

À tout juste vingt-trois ans, et une modeste licence d’administration commerciale en poche, John Perkins fut profilé par la NSA (National Security Agency), grâce à son influent « oncle Frank » alors cadre supérieur dans l’agence de renseignement. Il passa notamment une journée d’épuisants interrogatoires sous détecteur de mensonge durant laquelle ses recruteurs explorèrent sa personnalité profonde. Ils s’intéressèrent particulièrement à sa rébellion envers son éducation puritaine, et ses frustrations causées par le manque de femmes et d’argent. Mais surtout, ils s’attardèrent sur sa farouche capacité à mentir aux autorités, comme ce jour où, encore étudiant, il couvrit un camarade s’étant rendu coupable d’une altercation à l’arme blanche.
Facile à séduire, bon communiquant, et capable de mentir avec aplomb, voilà que Perkins avait brillamment passé les examens d’entrée de l’agence de renseignements la plus importante du pays.
Aussitôt une formation d’espion lui fut proposée, mais cependant, Perkins préféra s’engager au sein des Peace Corps : une agence fédérale américaine qui envoyait des volontaires aux quatre coins du monde lors de longues missions afin de « fraterniser » avec les populations indigènes. À sa grande surprise l’oncle Frank l’encouragea dans sa démarche, lui confiant prophétiquement : « Il se peut très bien que tu finisses par travailler pour une compagnie privée plutôt que pour le gouvernement. »

Ainsi pendant plus de deux ans Perkins vécut avec les tribus Shuars, et travailla dans les Andes avec les descendants des Incas. Puis un jour, un homme d’affaire atterrit sur la piste de leur communauté, le vice président de Chas. T. Main Inc (MAIN) : Einar Greve. Cette firme de consultation internationale très discrète effectuait des études pour déterminer si la Banque mondiale devait prêter des milliards de dollars à l’Équateur, ou d’autres pays voisins, pour y construire des barrages hydroélectriques et d’autres infrastructures.

Perkins n’hésita pas à s’engager auprès d’Einar, et ce même après avoir lutté au quotidien avec les indigènes contre les pratiques destructrices des compagnies pétrolières et autres agences gouvernementales. Sa connaissance familière du terrain lui permit ainsi de fournir des rapports sur l’économie et la politique du pays.

Sans vraiment le savoir, John Perkins balbutiait sa future carrière d’assassin financier.
Dès son retour d’Amérique du Sud, en janvier 1971, il se vit offrir un poste d’économiste à MAIN

La corporatocratie

À la fin des années soixante, en pleine Guerre Froide et alors que le conflit vietnamien s’enlisait sous des nuées de napalm, les États-Unis imaginèrent de nouvelles stratégies, plus implicites mais tout aussi offensives, afin de réaliser leur rêve impérial. Ils soumirent divers pays clés, en encourageant leurs dirigeants à s’intégrer à un vaste réseau promouvant leurs propres intérêts commerciaux. Ce fut la seule façon de devancer le rival communiste sans impliquer Washington directement, condition sine qua none pour ne pas déclencher un holocauste nucléaire…

Ainsi la corporatocratie émergea, et offrit des perspectives jusque là inégalées.

Ce terme cher à John Perkins synthétise la relation symbiotique que développèrent alors gouvernements, compagnies multinationales et banques internationales.  Cette association favorisa ainsi la promotion d’entrepreneurs influents à des postes gouvernementaux. À l’image d’un Robert McNamara, dont la carrière le mena du poste de président de Ford Motor Company à celui de secrétaire à la Défense sous les présidences de Kennedy et de Johnson… pour enfin diriger la plus puissante institution financière de la planète : la Banque mondiale.

Mode d’emploi :

Tout d’abord, les agences de renseignements américaines, comme la NSA, dénichaient de potentiels assassins financiers, qu’engageaient par la suite des compagnies internationales. De la sorte, ces hommes n’étaient pas payés par le gouvernement, qui n’encourrait alors aucune responsabilité si le sale boulot de ses assassins était dévoilé au grand jour. La cupidité entrepreneuriale endosserait le délit.
Ensuite, ces « économistes » spéculaient sur les effets qu’auraient l’investissement de milliards de dollars dans des pays au fort potentiel énergétique et géopolitique comme la Colombie, l’Indonésie, le Panama, ou l’Équateur. Ces études gonflées tendaient à démontrer que la construction d’un complexe hydroélectrique, d’un réseau ferroviaire nationale, ou d’un aéroport, aurait pour conséquence une croissance économique bénéfique pour les décennies à venir. L’objectif étant le suivant : inciter par l’appât du gain et la promesse d’un soutien politique, les dirigeants des pays ciblés à accepter les prêts extravagants que leur avaient soigneusement préparé la Banque mondiale et le FMI. Mais ce n’était pas sans condition : seules des compagnies d’ingénieries et de construction américaines, comme MAIN, Halliburton ou Bechtel, pouvaient être engagés pour réaliser les projets. Ainsi, l‘argent prêté retournait quasi immédiatement nourrir l’économie américaine… ne restait plus aux pays récipiendaires qu’à rembourser la note : capital et intérêts !

Si un assassin financier avait bien fait son travail, le débiteur faillait immanquablement à ses engagements. Menés à la banqueroute, les États surendettés étaient maintenant redevables à jamais à leurs créanciers, assurant ainsi l’obtention de faveurs comme : l’implantation de bases militaires, des votes favorables aux Nations-unies, ou un accès privilégié au pétrole et autres ressources naturelles…
Dans le cas contraire, si l’alléchante « aide » internationale suggérée ne suffisait pas à corrompre certains gouvernants, une autre espèce encore plus sinistre entrait en scène : les chacals ! Quand ils sortent de leur tanière, des chefs d’État sont renversés ou meurent dans des « accidents » violents. Ce fut le cas des insoumis présidents socialistes du Panama et de l’Équateur, Omar Torrijos et Jaime Roldos, qui en 1981, disparaîtront à deux mois d’intervalle dans de mystérieux crashs d’avion et d’hélicoptère…
Et si par hasard les chacals échouaient à leur tour, comme en Afghanistan ou en Irak, les vieux réflexes hégémoniques ressurgissaient : de jeunes Américains étaient envoyés au combat, pour tuer et envahir.

Rachat ?

John Perkins exerça ses talents d’assassin financier pendant dix ans. Suite à son éclatante participation dans une sale affaire de « blanchiment d’argent Saoudien », il fut promut directeur de la planification économique régionale. Après quoi il dirigea d’importants projets en Afrique, Asie, Amérique Latine, Amérique du Nord et au Moyen-Orient.

À la grâce d’une rencontre avec une Colombienne, il prit conscience de son immense responsabilité dans l’exploitation des déshérités et du pillage de la planète. En proie à une vive culpabilité et à une profonde dépression, il finit par démissionner en 1980…

 

Source : Diktacratie.com

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5 octobre 2022 3 05 /10 /octobre /2022 17:28

L'édito est dans l'éventail d'articles sur la Banque Rotschild, les assassins financiers, l'état semi totalitaire actuel ! (à retrouver dans la rubrique complotisme origine et développement) servant à dénoncer la coterie mondialiste :  association entre certains groupes d’individus unis par un intérêt commun qui favorisent ceux qui font partie de leur compagnie et cabalent contre ceux qui n’en sont pas.

 

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D'après vous la France n'est elle pas livrée à un ou des assassins économiques et financiers actuellement !

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5 octobre 2022 3 05 /10 /octobre /2022 17:17

Aldo Stérone nous propose une vision que je partage en totalité, même si cela ne plaît pas !

 

Elle fait suite à l'éventail d'articles sur la Banque Rotschild, les assassins financiers, l'état semi totalitaire actuel ! (à retrouver dans la rubrique complotisme origine et développement) servant à dénoncer la coterie mondialiste :  association entre certains groupes d’individus unis par un intérêt commun qui favorisent ceux qui font partie de leur compagnie et cabalent contre ceux qui n’en sont pas.

 

D'après vous la France n'est elle pas livrée à un ou des assassins économiques et financiers !

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Themes de cette video :

– Crise financiere
– Credit Suisse (Futur Lehmann Brothers ?)
– Deutsche Bank
– Use / Pret / Dette
– Revolution
– Disparition du patrimoine national (vol d’objets et de meubles a l’Elysee)
– Destruction du pays par les alimentaires et la collusion avec les forces de l’argent / banques
– Interets financiers
– Courants ideologiques
– Biden / Kamala Harris sur l’ouragan en Floride / FEMA

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4 octobre 2022 2 04 /10 /octobre /2022 15:09

Enfin ! une explication claire, sur la conception des vaccins Covid le comment et le pourquoi ça ne fonctionne pas correctement, ils ont été fabriqués sans recul, et les problèmes consécutifs à cette précipitation arrivent et continueront à arriver.

 

En effet le vecteur de la protéine spike est bien un variant de graphène car la protéine est très fragile. Cependant le graphène doit être  enrobé d'une matière grasse pour dissimuler le vecteur face au macrophage de notre organisme (afin qu'elles ne le prennent pas pour un corps étranger et ne l'attaquent), mais dans le temps la matière grasse se dissout et les graphènes ont tendances à s'agglomérer et ceux ci ne disparaissent pas de l'organisme d'où que ceux ci puissent provoquer des amas et provoquer des problèmes vasculaires ou organiques ! ça a le mérite d'être clair mais ça démontre aussi une précipitation dans la conception et un grand amateurisme, voire plutôt une grande cupidité puisque le recul n'était pas nécessaire. Le Fric toujours le Fric !

 

Une explication claire également sur la divulgation de la composition, effectivement il y a la question du brevet.

 



Je pense pour ceux qui se sont fait vaccinés, ne désespérez pas, les vaccins selon les lots étaient différents, et s'ils ont agit en conséquence d'un essai sur patient, ils ont du faire une moitié en placebo.

 

Donc excusez, ç'est un peu la roulette Russe, cependant, pour éviter des conséquences plus ou moins désastreuses évitez les prochains.  Surtout s'ils sont conjugués avec d'autres. Mais ç'est mon opinion chacun est libre d'agir suivant sa conscience !

 

 

Contrairement aux Satanistes pour lequel le monde est matière et uniquement matière, il y a le monde de l'esprit, celui des êtres de Lumière, la matière est condamnée à disparaître elle existe en un cercle clos, l'autre voie c'est celle de l'infini !

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4 octobre 2022 2 04 /10 /octobre /2022 14:58

 

 

The Whores of Babylon | The Tale Of Bitter Truth

 

 

 

 

PAR TYLER DURDEN pour zerohedge
MARDI 04 OCTOBRE 2022 - 11:20

Écrit par Mathew Piepenburg via GoldSwitzerland.com,

De Main Street USA aux coins des villages et aux banques centrales d'Europe, du Japon et d'ailleurs, la politique forte de la Fed en matière d'USD se retourne contre nous. Demandez aux Britanniques…

Après avoir passé des années à créer l'inflation (QE1 à QE illimité, renflouements Repo, expansion massive de la masse monétaire et transfert de richesse historique d'un marché boursier gonflé et dirigé par la Fed), la Fed va nettoyer son propre gâchis d'inflation sur le dos de la classe ouvrière américaine et ses autres "alliés" mondiaux tout en blâmant l'inflation de l'IPC sur Poutine, Covid et le changement climatique.

 

Comment est-ce que  truqué échoue ?

Mais ce n'est que le début, et il ne s'agit pas seulement des États-Unis.

Concevoir une récession que Powell ne peut pas contrôler

En augmentant les taux dans ce que nous  savons tous être une récession ,  Powell, qui prétend de manière délirante être la renaissance de Volcker, veut résoudre l'inflation qu'il a contribué à créer en organisant une récession paralysante de la demande qu'il pense pouvoir contrôler, mais ne peut pas. et ne le fera pas.

Et ce sera la mère de toutes les récessions, car il y a une  crise historique  et  concomitante  de la dette (et donc de la monnaie) dans tous les coins du globe (300 000 $+) ainsi que dans tous les coins de la nation (90 000 $+), du  toxique marché des obligations d'entreprise  et les ménages surchargés à un marché de la dette publique grotesquement gonflé (plus de 30 000 000 $).

Gardez-le (horriblement) simple

Tout est horriblement simple, en fait.

Si la dette est partout le moteur de l'économie et des marchés, alors toute augmentation significative  du coût de cette dette  détruira chaque recoin de cette économie et de ces marchés, des entreprises zombies aux bons du Trésor américain à rendement négatif.

La position belliciste de Powell conduira à tout sauf à une "récession contenue", que la Fed ne sera pas moins efficace pour "contenir" qu'elle ne l'a été pour "contenir" sa  soi-disant "inflation transitoire".

La hausse des taux paralysera presque tous les actifs, à l'exception du dollar artificiellement gonflé jusqu'à ce que toutes les économies aient disparu, la plupart des citoyens dépendent de la charité et la plupart des marchés et des devises sont à genoux.

À ce stade, l'Oncle Sam fera défaut sur les IOU (bons du Trésor) dont personne ne voudra, ou la Fed se tournera vers plus d'argent en un clic de souris pour acheter/soutenir sa dépendance à la dette, à l'instar de l'exemple récent au Royaume-Uni.

Et comme les États-Unis sont trop arrogants pour échouer/défaut (TAF), le seul choix stupide qui reste à la Fed parmi une longue histoire de stupidité, sera un pivot QE stimulant l'or.

Lorsque?

Oui, un pivot inévitable

Alors, encore une fois, quand Powell pivotera-t-il?

Après que la douleur, la politique et les paniques aient atteint des niveaux que l'économie et les marchés américains et mondiaux n'ont pas vus depuis l'ère FDR, Powell jettera l'éponge et pivotera.

Dans l'intervalle, la classe moyenne américaine (ainsi que mondiale) peut remercier Greenspan, Bernanke, Yellen et Powell pour toute la douleur à venir, car c'est le résultat direct (et je dis bien  direct ) d'années d'argent gratuit ivre sans précédent et gonflé dette, dont la gueule de bois va être un B!c7% record…

Un marché du Trésor au bord de la falaise

Les investisseurs oublient que non seulement Hawkish Powell augmente les taux dans une bulle de la dette, mais qu'il resserre lentement le bilan de la Fed, ce qui signifie simplement déverser plus d'offre de bons du Trésor sur un marché des obligations souveraines sans demande.

Et ce flux d'approvisionnement signifie que les obligations chuteront encore plus et que, par conséquent, leurs rendements (et leurs taux d'intérêt) continueront d'augmenter, ajoutant ainsi une insulte massive à un marché du crédit/de la dette déjà mortellement blessé.

Je pense que lorsque l'UST commencera à s'effondrer  en masse , le fantasme de Powell d'être le prochain Volcker prendra fin et le pivot vers l'impression monétaire sera rapide et furieux, envoyant les métaux précieux à des niveaux record.

Mais jusque-là, accrochez-vous.

Le Master Dollar Plan de Powell   - Les ventouses étrangères

Pour l'instant, le plan de Powell est de laisser les taux, les rendements et donc le dollar augmenter, dans l'espoir que le billet vert sera le seul endroit où les investisseurs mondiaux (suceurs) pourront se cacher, et c'est là qu'ils commencent effectivement à se cacher.

 

Ce n'est qu'une question de temps, cependant, avant que les investisseurs étrangers, nostalgiques de l'époque de l'ancienne gloire américaine, ne réalisent que cette gloire est révolue et que la seule façon pour les UST d'avoir un « retour sans risque » est que la Fed imprime plus  d'argent dégradé  pour les acheter, ce qui n'est pas la pratique actuelle de Powell.

Essentiellement, les étrangers ne se cachent pas dans le « rendement sans risque », mais se noient dans le « rendement sans risque », car même les rendements de 3 à 4 % sur le Trésor américain à 10 ans donnent un rendement  négatif de  -5 % lorsqu'ils sont ajustés pour l'inflation, bien qu'elle soit sous-estimée de 50 %.

Vous vous souvenez quand j'ai dit que la Fed n'avait plus de bonnes options ? C'est ce que je voulais dire. Il s'agit soit de resserrer et de risquer un effondrement systémique, soit d'assouplir et de détruire la monnaie.

Choisissez votre poison.

De plus, et ironiquement, l'USD (c'est-à-dire la monnaie de réserve mondiale) est très illiquide, bien qu'il ait été cliqué pendant des années. Pour  cette rareté de l'USD  et l'immense pression qu'elle exerce sur les détenteurs de dette libellés en USD et les partenaires financiers souverains, nous pouvons remercier cet autre poison connu sous le nom de marché des dérivés de quatre milliards de dollars, dont j'ai déjà parlé.

 

 

 

Perdre confiance dans les reconnaissances de dette de l'Oncle Sam

À un moment donné, les Américains, ainsi que le reste du monde, se rendront compte que les États-Unis ne sont plus ce qu'ils étaient, et ses reconnaissances de dette non plus.

Pour la première fois depuis près d'un siècle, la foi en l'Oncle Sam atteindra un nadir et les métaux précieux leur apogée. Mais la foi, comme je l'ai également écrit, est un  indicateur financier difficile à mesurer .

Il ne s'agit pas d'une posture de « bogue en or », mais de calculs mathématiques et d'une réalité politique qui se heurtent aux leçons de l'histoire actuelle et passée.

Prenons l'exemple pathétique du Japon

Les hausses de taux de la Fed ont poussé Tokyo et son yen à genoux.

La Banque du Japon, contrairement aux contrôleurs de la monnaie de réserve mondiale (c'est-à-dire la Fed), ne peut absolument pas se permettre d'augmenter les taux et de payer ses JGB (c'est-à-dire les reconnaissances de dette) en même temps.

Résultat net?

La Banque du Japon imprime du yen comme des gangbusters et maintient délibérément l'inflation au-dessus des taux d'intérêt.

Pourtant, même dans ce cauchemar à rendement réel ouvertement négatif, le 10Y japonais ne s'est pas échangé pendant 2 jours.

Pendant ce temps, alors que le yen tombait à son plus bas niveau depuis 50 ans, le Japon a été contraint pour la première fois en près de trois décennies de soutenir sa monnaie en procédant à une intervention directe sur le FOREX, ce qui implique la vente d'un lot d'UST qu'il avait en réserve.

Cela explique pourquoi le TLT (US Treasury ETF) a perdu 3% le même jour. Pendant ce temps, les obligations de pacotille américaines (telles que mesurées par l'ETF LQD) sont tombées à des creux jamais vus depuis les creux du COVID.

 

Soit dit en passant, les obligations de pacotille sont généralement des indicateurs avancés de l'effondrement des marchés boursiers.

Juste dire…

Et puis il y a l'UE…

Le Japon, bien sûr, ne sera pas le dernier pays à atteindre des niveaux aussi désespérés, et au fur et à mesure que de plus en plus d'UST seront vendus / vendus, le coût de la dette aux États-Unis ne fera qu'augmenter, pas moins douloureux, indépendamment de ce que le magicien de Powell fait de DC/Oz.

Encore une fois, il suffit de demander à la Banque d'Angleterre et à son récent pivot qui a fait la une des journaux vers plus de QE. Pas de choc du tout là-bas…

Les étrangers possèdent plus de 18 milliards de dollars d'actifs en USD, y compris des obligations, des biens immobiliers et des dollars. Une fois que la vente en difficulté commence, elle passe très rapidement de lente à rapide, ce qui signifie que les niveaux de douleur pour les débiteurs américains de Main Street augmenteront tout aussi rapidement.

D'autres nations « amies » des États-Unis ressentent la même douleur de la part de la Fed belliciste de Powell et de la force du dollar américain.

L' Allemagne, par exemple, voit les rendements de ses  obligations à deux ans au-  dessus de 2 % pour la première fois depuis 2008, un taux par ailleurs autrefois anémique qu'elle ne peut littéralement pas se permettre.

Alors que les rendements dans l'UE augmentent en raison des politiques de son "allié" américain, l'UE commence à trembler et à trembler, car cela signifie que les taux d'intérêt de l'UE augmentent également.

Mais avec des pays endettés comme l'Italie qui vacillent vers les niveaux de Frankenstein, Powell pousse l'UE dans un piège de sécurité nationale (devise et dette) ainsi que dans une crise politique.

Encore une fois, que feront les pays de l'UE ?

Ils deviendront probablement japonais et commenceront à vendre des bons du Trésor américain et des dollars pour garder les lumières allumées de Paris au Portugal.

Même en Chine, les grandes entreprises vendent déjà des actifs en dollars américains et des biens immobiliers commerciaux (plus de 20 milliards de dollars depuis 2019) à un rythme de plus en plus alarmant.

La politique du dollar fort de Powell se retourne contre lui

En bref, la politique forte de Powell en matière d'USD, comme les sanctions de l'Occident contre Poutine, se retourne ouvertement contre lui alors que les «alliés» de l'Amérique plient sous les effets d'entraînement oppressifs et le poids d'un USD artificiellement fort - et tout cela alors que l'UE se dirige vers un hiver avec moins l'énergie de l'Est.

Là encore, la Fed a toujours au moins deux à trois pas de retard sur sa propre courbe d'apprentissage.

En tant  que  banque politique  plutôt  qu'indépendante , elle ne peut s'appuyer que sur des mots et des distorsions plutôt que sur les mathématiques et l'honnêteté lorsqu'elle s'adresse à un public qu'elle a mal servi depuis le jour de sa naissance officielle (et penchée sur Wall-Street) en décembre de 1913.

Ces modèles convergents de monnaie, de dette et d'énergie ressemblent à la carte météorologique d'une tempête parfaite.

En bref, les devises étrangères, étouffées sous le poids du dollar fort de Powell, continueront de s'effondrer alors que les marchés obligataires mondiaux continuent de se tarir et donc d'imploser.

À moins que la Fed ne revienne sur sa politique forte en matière d'USD (et pivote vers davantage de « magie » QE/clic de souris), les marchés mondiaux sont confrontés à un risque légitime d'effondrement systémique.

Mais encore une fois, plus d'argent au clic de souris signifie simplement une crise monétaire. Encore une fois : Choisissez votre poison.

Pour toutes ces raisons, je reste convaincu que les marchés mondiaux des devises et de la dette souveraine ne peuvent pas durer et ne dureront pas longtemps dans le cadre de la politique actuelle de Powell en matière de dollar américain.

À moins que la Fed ne se tourne vers un QE plus pathétique (et donc un dollar plus faible et dégradé), le risque systémique évoqué ci-dessus deviendra une implosion systémique.

Pour l'instant, la balle (ou le dollar) est dans le camp de Powell, et il a un service faible.

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4 octobre 2022 2 04 /10 /octobre /2022 14:50

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4 octobre 2022 2 04 /10 /octobre /2022 14:43
Zartoshte Bakhtiari, maire de Neuilly-sur-Marne: « Les prix de l’énergie sont un racket organisé avec la passivité de l’Etat! C’est la faillite de toutes les communes! »
 

 
 

Le maire de Neuilly-sur-Marne, Zartoshte Bakhtiari, est très remonté contre les prix de l’énergie « délirants » qui pèsent très lourdement sur sa commune.

Dans une vidéo, devenue virale sur les réseaux sociaux, il dénonce un racket organisé avec la passivité de l’Etat français: «Au 31 octobre, c’est à dire dans un mois, nos contrats d’énergie, électricité et Gaz prennent fin. Depuis un mois, nous recherchons de nouvelles offres auxquelles souscrire. On a passé un appel d’offre pour lequel aucun d’entreprise n’a répondu. Nous sommes donc obligés aujourd’hui d’acheter au prix du marché avec des tarifs totalement scandaleux et délirants ».

Dans cette courte vidéo, , Zartoshte Bakhtiari fait part de son indignation et de son inquiétude pour sa commune mais également pour des milliers de municipalité françaises qu’ils considère « être à genoux » : « On impose aux villes de passer de 15€/MW gaz à 240€/MW et de 65€/MW électricité à 2068€/MW dans l’indifférence du gouvernement ! C’est la faillite de toutes les communes ! »

Il demande aux citoyens de signer une pétition pour protester contre cette situation intenable ( lien ici ).

 

 
 
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