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9 mars 2023 4 09 /03 /mars /2023 19:17

Les licences ne sont accordées qu’à des fins scientifiques et médicinales.

Cocaine Drugs Lines And Heap On A Mirror With Note Stock Photo - Download Image Now - iStock

Deux entreprises de Colombie-Britannique spécialisées dans les drogues récréatives ont reçu l’autorisation fédérale de produire et de vendre légalement de la cocaïne, de l’héroïne et de la MDMA à des fins scientifiques et médicinales, selon un article de Semafor publié vendredi.

Santé Canada, l’agence fédérale qui supervise les programmes de lutte contre la drogue, a souligné que cette nouvelle autorisation n’était pas destinée au grand public.

Les deux entreprises sont Sunshine Earth Labs, une entreprise de fabrication de psychédéliques, et Adastra, une entreprise de cannabis.

La première a déclaré jeudi que Santé Canada avait approuvé la modification de sa licence de médicaments pour la distribution de MDMA, de cocaïne, de morphine, de diacétylmorphine (DAM/héroïne) et d’opium en septembre, et la seconde a annoncé le mois dernier qu’elle avait également reçu une exemption pour la psilocybine et la cocaïne en août.

Le PDG de Sunshine, Donovan Edwards, a déclaré que son entreprise s’efforcerait “d’établir des relations commerciales mondiales afin d’importer des produits médicaux d’origine éthique pour un approvisionnement plus sûr”.

Le PDG d’Adastra, Michael Forbes, a quant à lui déclaré que son entreprise évaluerait la façon dont la commercialisation de la cocaïne “s’inscrit dans notre modèle d’affaires à Adastra afin de nous positionner pour répondre à la demande d’un approvisionnement sûr en cocaïne”.

Dans une déclaration, Santé Canada a souligné les “paramètres très étroits de la licence (des entreprises)” et a ajouté qu’elles ne peuvent vendre qu’à ceux dont la cocaïne figure sur les licences, comme les médecins, les pharmaciens, les hôpitaux ou ceux qui bénéficient d’une exemption à des fins de recherche.

 

“Si les exigences strictes ne sont pas respectées, Santé Canada n’hésitera pas à prendre des mesures pouvant aller jusqu’à la révocation de la licence”, a expliqué l’agence.

Légaliser le trafic de drogue

Cette mesure a suscité l’opposition des membres du gouvernement de la Colombie-Britannique.

“La cocaïne n’est pas prescrite, elle n’est pas sûre et c’est une erreur”, a déclaré David Falcon, chef de l’opposition provinciale, selon Semafor. “Commercialiser la cocaïne en tant qu’opportunité commerciale revient à légaliser le trafic de cocaïne, point final.”

Outre le risque de dépendance, ces médicaments nouvellement approuvés sont assortis d’avertissements sanitaires.

En octobre 2022, une étude à grande échelle menée par des chercheurs de l’Université de Californie à San Francisco (UCSF) sur plus de 23 millions de personnes a révélé que certaines drogues couramment utilisées et consommées, telles que la marijuana, la méthamphétamine, la cocaïne et les opiacés, pouvaient avoir un effet néfaste jusqu’alors inconnu sur la santé cardiaque.

L’effet mentionné est le risque de développer une fibrillation auriculaire (FA), qui est un trouble du rythme cardiaque potentiellement mortel et “le type le plus courant d’arythmie cardiaque traitée”, selon les Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (Centers for Disease Control and Prevention).

Lire aussi : Légalisation : au Canada, de nombreux enfants s’empoisonnent au cannabis

Source : Interesting Engineering

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9 mars 2023 4 09 /03 /mars /2023 18:50
 

 

 
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9 mars 2023 4 09 /03 /mars /2023 18:40

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9 mars 2023 4 09 /03 /mars /2023 18:34

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9 mars 2023 4 09 /03 /mars /2023 18:21
Communiqué spécial : Greffe d’organes des non vaccinés
 
 
Le saviez-vous ?

Depuis quelques années, si vous ne vous y opposez pas de votre vivant, vous êtes de fait donneur d’organes à votre mort. Si vous ne le souhaitez pas, vous devez absolument faire une opposition formelle.

Avant de procéder à un prélèvement d’organes, les équipes médicales ont l’obligation de consulter le registre national des refus de dons d’organes. 

 

 

Aujourd’hui,   la plupart des CHU refuse des greffes d’organes aux non vaccinés Covid-19, ce qui est totalement inadmissible.

Lors du Live de BonSens, a été évoqué par Maitre Diane Protat le cas d’une femme [Madame X] retirée des listes d’attente de greffes de reins par le CHU de Dijon faute d’être vaccinée contre la COVID-19. Elle a saisit le Tribunal Administratif de Dijon, mais quelques jours avant l’audience, le CHU de DIJON a pris la décision de « changer ses pratiques » et l’a ré-intégrée (ainsi que d’autres patients dans la même situation) sur la liste d’attente des greffes en lui faisant signer un document indiquant qu’elle reconnaissait les dangers de ne pas être vaccinée lorsque l’on est en attente de greffe. 

” Du fait de la persistance dans le temps de l’épidémie, nous sommes amenés à changer notre pratique consistant à placer les patients en contre-indication temporaire médicale sur la liste d’atteinte nationale et à envisager la transplantation rénale, même en l’absence de vaccination; ceci afin de garantir le principe d’équité dans l’accès à la greffe.”

Mais de ce fait, le tribunal administratif de Dijon a radié l’affaire et aucune jurisprudence applicable  pour d’autres personnes et à d’autres CHU n’existe

Madame X se bat pour que les autres CHU changent leurs pratiques et que son affaire profite à tous les autres personnes dans sa situation, en continuant l’affaire sur le fond.

BonSens qui soutient cette personne, pose la question suivante et interpelle les autorités sanitaires. Que se passerait-il si tous les non vaccinés Covid-19 de France s’opposaient aux prélèvements de leurs organes suite à leur décès, c’est à dire s’ils se retiraient en masse de la liste des donneurs d’organes ?
L’association BonSens.org pense qu’il est urgent que tous les non vaccinés Covid-19 nécessitant une greffe puissent ré-intégrer au plus vite la liste des receveurs afin de garantir le principe d’équité dans l’accès à la greffe
Extrait de la lettre du CHU de Dijon reçue par Madame X 

 
Live de BonSens du 27 Février 2023

 
Source
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9 mars 2023 4 09 /03 /mars /2023 18:09
L’ETAU SE RESSERE POUR LE DR FAUCI : « Les preuves sont là, il a délibérément INCITE les scientifiques à nier une fuite de laboratoire à Wuhan…Il a bel est bien FINANCE cette recherche sur le gain de fonction en Chine ! Cela va lui coûter très cher…Vivement que tous les responsables dans le monde soient JUGES et paient !!! »
 

Le Dr Anthony Fauci – qui a délocalisé la recherche interdite sur le gain de fonction pour rendre les coronavirus de chauve-souris plus transmissibles à l’homme – a été accusé par des enquêteurs du Congrès d’avoir « incité » la fabrication d’un article par un groupe de scientifiques visant à réfuter le fait que le Covid- 19 provienne des fuites d’un laboratoire à Wuhan.

Le 1er février 2020, Fauci et son patron, le directeur des NIH, le Dr Francis Collins, et au moins onze autres scientifiques ont participé à une conférence téléphonique au cours de laquelle plusieurs d’entre eux ont averti que le COVID-19 pourrait avoir fui d’un laboratoire à Wuhan, en Chine – peut avoir été intentionnellement manipulé génétiquement.

Trois jours après l’appel, quatre participants à l’appel (le virologue de Scripps Research Kristian Andersen, le virologue de l’Université de Sydney Edward Holmes, le virologue de la Tulane School of Medicine Robert Garry, le virologue de l’Université d’Édimbourg Andrew Rambaut et le virologue de l’Université de Columbia Ian Lipkin) ont apparemment écarté leurs préoccupations principales, sur une fuite de laboratoire et ont rédigé « L’origine proximale du SRAS-CoV-2 », qu’ils ont envoyé à Fauci et Collins.

Le Dr Jeremy Farrar, l’actuel scientifique en chef de l’Organisation mondiale de la santé, était également fortement impliqué dans cette démarche.

Par ailleurs, le « Washington Examiner » a révélé la semaine dernière que deux auteurs de « Proximal Origin » qui ont initialement exprimé des inquiétudes concernant une fuite de laboratoire, puis ont changé de ton (Anderson et Garry), ont reçu des millions de subventions du NIH sous Fauci.

Maintenant, selon le « House Select Subcommittee » on the Coronavirus Pandemic, Fauci a « incité » la création du journal ;
« De nouvelles preuves publiées aujourd’hui par le sous-comité restreint suggèrent que le Dr Fauci a « incité » la rédaction d’une publication qui « réfuterait » la théorie des fuites de laboratoire, les auteurs de cet article ont faussé les preuves disponibles pour atteindre cet objectif, et le Dr Jeremy Farrar n’a pas été crédité malgré une implication importante. »

Alors, pour ceux qui suivent cette affaire qui va entraîner des conséquences à travers le monde entier…

Les États-Unis menaient des recherches risquées sur le gain de fonction sur le sol américain jusqu’en 2014, date à laquelle l’administration Obama l’a interdite. Quatre mois avant l’interdiction, le Dr Fauci l’a délocalisé à Wuhan, en Chine, par l’intermédiaire de l’association à but non lucratif de New York, « EcoHealth Alliance ».

Après que le Sars-CoV-2 ait éclaté dans la rue de l’Institut de virologie de Wuhan, Fauci s’est engagé dans une campagne massive pour nier la possibilité d’une fuite de laboratoire au sein même du laboratoire qu’il a financé, et a blâmé à la place une découverte d’espèces intermédiaires zoonotiques.

Et si vous souhaitez creuser encore plus profondément, c’est peut-être le résumé le meilleur et le plus complet de la chronologie de « l’origine proximale ».

Source: zerohedge

Les mensonges de Fauci dévoilés… Jim Jordan s’emporte contre la volte-face des scientifiques sur la fuite en laboratoire du covid

 

____________________________________________________

Un procès de 3 Billions de dollars au cas ou Pfizer perdrait !

 

Le rapport Kingston. LA VÉRITÉ GAGNE.

10 raisons d'inculper Pfizer au tribunal.

Publié à l'origine le 13 janvier 2023 : Vous ne pouvez PAS vous engager à commettre un crime , quel qu'il soit. Juste pour être clair, Pfizer ne peut PAS passer par l'ensemble du processus de demande de nouveau médicament initial (IND), Phase 1/2/3, demande de licence biologique (BLA), payer les frais d'utilisation des médicaments pharmaceutiques (PDUFA) de 3 millions de dollars, FDA- l'approbation, les exigences cliniques post-commercialisation, et fabriquer et commercialiser un produit approuvé par la FDA, puis prétendre qu'en vertu de leur contrat avec le DoD, ils ont été chargés d'effectuer les essais cliniques et de recevoir l'approbation de la FDA dans le cadre d'un psyop . C'est l'histoire la plus ridicule que j'ai entendue jusqu'à présent dans une tentative de défendre le bouclier immunitaire du vaccin EUA de Pfizer qui est complètement brisé.

La seule raison pour laquelle Pfizer s'en tire avec un meurtre est que Pfizer influence le récit que nous écoutons de la part de dirigeants et de plateformes médiatiques de confiance des deux côtés de l'île COVID-19 pour convaincre l'ensemble de la population des États-Unis que leur COVID injectable -19 armes biologiques de nanoparticules lipidiques d'ARNm sont ;

 
 
  1. des vaccins sûrs et efficaces,
  2. les vaccins ont mal tourné, ou
  3. des armes biologiques, mais Pfizer suit les ordres de l'armée américaine dans le cadre d'un contrat militaire et, en vertu de la loi EUA, Pfizer bénéficie d'une immunité légale, nous ne pouvons donc rien y faire.

Ce sont toutes de fausses déclarations.

«Le contrat Operation Warp Speed ​​​​(OWS) de Pfizer avec le DoD visait à développer un vaccin qui prévenait efficacement l'infection par le SRAS-CoV-2 (maladie COVID-19) et qui répondait aux normes réglementaires de sécurité et d'efficacité d'un FDA-EUA autorisé ou FDA- vaccin approuvé.

— Karen Kingston, 13 janvier 2023

La sous-pile de 3 billions de dollars sur la façon de détruire Pfizer devant le tribunal 3

En lisant le contrat DoD, il est clair que Pfizer est en charge des communications avec la FDA. Selon les documents de la FDA, Pfizer a exercé une influence extrême sur la FDA, forçant la FDA à ignorer les indicateurs de sécurité pendant les essais cliniques, renforçant ainsi la FDA pour autoriser frauduleusement puis approuver frauduleusement une arme biologique en tant que vaccin sûr et efficace.

 

Pfizer est évidemment le criminel dans cette affaire et peut être accusé au pénal maintenant.

 

Si j'étais conseiller dans une affaire pénale, voici quelques exemples de la manière dont j'éviscérerais bon nombre des réclamations frauduleuses (fraude extrinsèque) actuellement en cours. La fraude extrinsèque se produit lorsqu'un avocat ou un témoin expert dénature des faits matériels ou la loi de sorte que les victimes ne sont pas en mesure d'engager des poursuites civiles ou pénales efficaces.

 

Réclamations frauduleuses faites par des avocats et des experts

1. Le contrat DoD de Pfizer concernait un prototype, PAS un vaccin.

FAUX. Selon le contrat, les prototypes de vaccins faisaient partie d'une démonstration de fabrication, mais les «prototypes de vaccins» seraient classés comme vaccins autorisés pour une utilisation d'urgence (EUA) ou approuvés par la FDA après avoir reçu l'autorisation ou l'approbation de la FDA. Si les prototypes de vaccins n'avaient jamais reçu l'autorisation ou l'approbation de la FDA, ils seraient restés à fabriquer des prototypes et n'auraient jamais été distribués en tant que vaccins à la population civile américaine.

Le contrat Operation Warp Speed ​​​​de Pfizer avec le DoD était de produire 100 millions de doses d'un vaccin (prototype de vaccin) capable de fournir une protection contre le SRAS-CoV-2 et les coronavirus apparentés (variantes) sous réserve du succès technique, clinique et réglementaire de la FDA (lois et directives ).
La sous-pile de 3 billions de dollars sur la façon de détruire Pfizer devant le tribunal 4
Les vaccins à ARNm de Pfizer NE POURRAIENT PAS être mis à la disposition du public américain avant l'approbation réglementaire de la FDA conformément à l'article 564 de la loi FD&C pour un produit autorisé par l'EUA ou à l'article 351 de la loi PHS pour l'approbation par la FDA d'un produit biologique basé sur un essai clinique réussi. données.La sous-pile de 3 billions de dollars sur la façon de détruire Pfizer devant le tribunal 5
 
Si la FDA ne fournissait pas d'autorisation ou d'approbation, les doses de vaccins fabriquées par Pfizer ne seraient pas mises à la disposition des États-Unis ou du marché mondial.La sous-pile de 3 billions de dollars sur la façon de détruire Pfizer devant le tribunal 6

Cela signifie que les "prototypes de vaccins" seraient classés comme vaccins autorisés pour une utilisation d'urgence (EUA) après avoir reçu l'autorisation de la FDA, puis comme vaccins approuvés par la FDA après avoir reçu l'approbation de la FDA. Le terme prototype est un terme juridique confirmant la clause de réduction de processus dans le contrat, confirmant Pfizer comme l'inventeur original de la technologie vaccinale, qu'elle soit approuvée par la FDA ou autorisée par la FDA

 

2. BioNTech est le sponsor de l'essai clinique et le titulaire EUA/BLA, PAS Pfizer.

FAUX. Le contrat stipule que Pfizer et BioNTech travailleront conjointement sur les essais cliniques et la commercialisation du vaccin après approbation réglementaire (autorisation EUA ou approbation FDA/approbation BLA).

La sous-pile de 3 billions de dollars sur la façon de détruire Pfizer devant le tribunal 7
Bien qu'une partie du contrat stipule que BioNTech est le sponsor réglementaire et le titulaire de l'EUA/BLA, selon le contrat, Pfizer a été chargé d'agir en tant que sponsor de l'essai clinique et titulaire de l'EUA/BLA, et en fait, a agi dans ces rôles.La sous-pile de 3 billions de dollars sur la façon de détruire Pfizer devant le tribunal 8

Tout avocat ou expert contractuel digne de ce nom soulignerait que la section B. Clinique et réglementaire est annulée par la section A. Planification réglementaire qui désigne ;

Cet article a été initialement publié sur The Kingston Report par Karen Kingston.

La sous-pile de 3 billions de dollars sur la façon de détruire Pfizer devant le tribunal 8
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9 mars 2023 4 09 /03 /mars /2023 18:00

A voir en parallèle avec l'inculpation de Fauci et l'accumulation de preuve contre lui, puis la procédure contre Pfizer !

 

 

par Geopolintel

Quelques jours après l’annonce de la nomination de Sue Gray, enquêtrice du Partygate, au poste de chef de cabinet de Sir Keir Starmer, une question urgente a été posée au Parlement. À juste titre d’ailleurs. Lorsqu’il s’agit de juger la conduite d’un gouvernement conservateur, la fonction publique est aussi impartiale qu’un commandant taliban dans un groupe de lecture pour filles.

Mais était-ce vraiment la question la plus importante à laquelle il était le plus urgent de répondre ?

(L’affaire du Partygate est un scandale politique lié à des rassemblements festifs illégaux de Boris Johnson au 10 Downing Street ainsi que dans les ministères pendant les confinements de 2020 et en 2021.)

Depuis huit jours, le Telegraph publie les articles les plus accablants sur l’abus de pouvoir (et de « science ») de Matt Hancock et de sa cabale pendant la pandémie. Je ne sais pas ce qu’il en est pour vous, mais après avoir lu tant d’articles sur leur posture politique insignifiante et leur mépris total, en particulier pour les enfants et les personnes âgées, mon seau d’indignation est vide et j’en suis réduit à vomir de la bile.

Et quelle a été la réaction de la Chambre des communes face à ces horreurs ? Rien.

Heureusement, le Premier ministre a enfin fait savoir qu’il n’était pas content. Aujourd’hui (mardi), Downing Street a montré son mécontentement.

Le silence assourdissant de la majorité des hommes politiques et d’une partie des médias est une honte. J’espère qu’ils éprouvent au moins une once de honte pour leur incapacité à demander des comptes au pouvoir législatif au cours d’une confiscation sans précédent et effrayante de nos libertés civiles. L’opposition de Sa Majesté n’a pas seulement manqué à ce devoir solennel, mais, comme de nombreux radiodiffuseurs influents, elle a activement encouragé le gouvernement à imposer de nombreuses restrictions draconiennes non justifiées.

Les messages WhatsApp révélés dans les Lockdown Files du Telegraph ne manquent pas vraiment de piquant concernant nos représentants démocratiques. Chaque jour, amène une nouvelle surprise.

J’ai particulièrement apprécié l’échange WhatsApp qui a révélé l’enthousiasme de Matt Hancock pour offrir des lits du NHS aux français atteints du Covid, alors que le secrétaire d’État à la santé (un certain M. Hancock) disait aux Britanniques de ne pas bousculer leur service de santé de peur qu’il ne soit « débordé ».

Le deuxième confinement auquel nous étions tous soumis à l’époque n’a-t-il pas été appliqué, de manière assez agressive si je me souviens bien, pour éviter un « désastre médical et moral » si les hôpitaux venaient à manquer de place ?

Étions nous endormis pendant la conférence de presse au cours de laquelle Matt Hancock a révélé, comme il l’a fait dans une lettre adressée à son homologue français (Agnès Buzyn), que l’épidémie britannique se situait « principalement dans le nord de l’Angleterre » et qu’il y avait donc des lits inutilisées à Londres et dans le sud du pays ?

Matt Hancock a déclaré (dans les messages WhatsApp révélés dans les Lockdown Files) qu’il voulait « effrayer tout le monde » pour que nous nous comportions tous comme de braves petits enfants. Il était donc hors de question de donner de bonnes nouvelles – « Nos hôpitaux se débrouillent étonnamment bien avec les lits disponibles dans l’Est et le Sud » – car cela aurait affaibli le contrôle qu’il exerçait sur nous. Ce qui avait commencé comme une bonne intention pour assurer la sécurité des gens s’est transformé, sans aucune expertise, en « Comment pouvons-nous garder le pouvoir ? »

Même dans le Sud-Ouest, où le généreux et fantasque Hancock proposait de loger les patients français, le Premier ministre avait déclaré quelques semaines auparavant : « Il est désormais clair que les modélisations actuelles signifient que la capacité d’accueil des hôpitaux sera épuisée dans quelques semaines si nous n’agissons pas ».

Les estimations qu’ils ont données à Boris Johnson étaient erronées. Bien sûr qu’elles étaient fausses. (Selon ma source principale au sein du NHS England, les données relatives à la disponibilité des lits pour cette période « n’indiquaient aucune probabilité d’épuisement des capacités hospitalières ». Cela explique pourquoi le ministre de la Santé a pu discrètement envisager de faire une offre généreuse à la France (et même à l’Italie) alors que ses propres concitoyens avaient l’impression que leurs hôpitaux étaient pleins à craquer.

On devrait poser cette question au parlement :

« Merci, Monsieur le Président. Mon très honorable ami, le secrétaire d’État à la santé, peut-il faire une déclaration concernant sa proposition, révélée dans les messages WhatsApp publiés dans les Lockdown Files du Daily Telegraph, où il a été envisagée par son prédécesseur de mettre à disposition des francais atteint du covid, des lits du NHS ? »

À l’époque, les Britanniques n’étaient pas autorisés à accéder aux soins, des milliers et des milliers d’opérations étaient annulées et les patients non-Covid étaient mis à l’écart pour « soulager le NHS », mais apparemment M. Hancock a considéré qu’il était nécessaire de proposer nos unités médicales aux français. Qu’en pense le secrétaire d’État sur la capacité du NHS à ce moment-là, et du fait que la nation a été trompé ? « Il est regrettable, mais pas totalement impensable, que ce soient les restrictions de Matt Hancock et ses zélateurs du confinement qui ont failli achever les services de santé britaniques ». Le NHS s’est de toute façon effondré avec le confinement, affirme ma source. C’est l’ironie de l’histoire.

Des députés conservateurs comme Graham Brady et Charles Walker, Andrea Leadsom, Miriam Cates et Esther McVey, avaient anticipé cette dégradation des services de soins. Ils contestaient les évaluations alors que le pays était sur le point d’être plongé dans un deuxième confinement punitif, pour finalement passer pour des traîtres.
Comme l’ont révélé les Lockdown Files, Matt Hancock a élaboré une stratégie avec son assistant, Allan Nixon, pour « retirer de la liste » un centre pour personnes handicapées mentales de Bury, où le député James Daly était sur le point de voter contre le gouvernement.

C’est ce qu’a répondu le conseiller de Rishi Sunak. Lorsqu’on lui a demandé si ce n’était pas la façon dont Sunak souhaitait que ses ministres agissent, le porte-parole officiel du Premier ministre a répondu : « Bien sûr ». Il y a des règles et des lignes directrices qui s’appliquent.

Après autant d’horreur humaine, Hancock, envisage d’utiliser les enfants handicapés comme prétexte.

J’ai reçu par hasard un courriel de Rob, un père dont le fils est autiste.

Voici ce qu’il m’a écrit : « Le confinement a transformé un jeune homme heureux de 14 ans en dépressif total. La peur de savoir pourquoi tout le monde portait des masques, la rupture du quotidien (si importante pour les enfants SEN) et la fermeture des écoles, l’a complètement terrifié. Les répercussions sur notre famille ont été dévastatrices. Grâce à des médicaments antipsychiques, il s’en sort peu à peu, mais à partir du deuxième confinement, cela a détruit notre famille, sans parler de la perte de nos économies (nous travaillons à notre compte). »

La lecture des WhatsApp dans le Telegraph me met en colère. Le chagrin d’un enfant handicapé aggravé par des imbéciles imbus d’eux-mêmes est trop dur à supporter. Donner des psychotropes à son enfant engage une responsabilité, et ce n’est pas celle de Isabel Oakeshott. (journaliste politique et animatrice britannique)

Hancock peut être fier de lui. Un garçon de 14 ans est maintenant totalement détruit. (J’espère que tu es fier de toi, Matt.)

Les membres du Parlement vont-ils débattre de ce que nous soupçonnions, mais que nous savons maintenant avec certitude, avoir été fait délibérément au fils de Rob et à des milliers d’autres enfants vulnérables, dont certains ne sont plus parmi nous parce qu’ils ont été détruit au point de s’ôter la vie ?

Normalement, seule l’opposition peut poser ce genre de question cruciale. Aujourd’hui, les travaillistes peuvent tenter d’attaquer le gouvernement sur les révélations effroyables et choquantes des « Lockdown Files ». De même, ils peuvent se sentir honteux parce que, si seulement ils avaient uni leurs forces à celles des conservateurs qui s’étaient rebellés, ils auraient pu voter contre ces mesures disproportionnées et d’une grande cruauté.

C’est au président de la Chambre, Lindsay Hoyle, qu’il revient d’accorder ou non une UQ (Question Urgente). J’espère vraiment qu’il le fera. Aucune question ne pourrait être plus urgente.

Notre Premier ministre est un homme bon et un bon père pour ses filles. Il sait ce qui s’est passé et le mal qui a été fait. Dans la cabale du pouvoir qui a transformé le Royaume-Uni en un État totalitaire pendant deux années fiévreuses, Rishi Sunak était presque la seule voix à défendre la bonté, la décence et l’évidence. Quelques mots réfléchis de la part du Premier ministre seraient un baume bienvenu sur des blessures encore à vif.

Quant à Matt Hancock, il a perdu son fouet et ne peut malheureusement plus être sanctionné par le parti conservateur. Ce bellâtre glabre peut – et doit – être traîné devant une commission spéciale. Personnellement, j’aimerais le voir en prison pour le tort considérable qu’il a causé.

Existe-t-il des raisons de poursuivre l’ancien ministre pour mauvaise conduite dans l’exercice d’une fonction publique ? Matt Hancock s’est-il « volontairement mal conduit à un point tel qu’il a abusé de la confiance du public dans le titulaire de la fonction sans excuse ou justification raisonnable » ?

Je sais que certaines familles de pensionnaires de maisons de retraite préparent une action privée contre Hancock. Le service des poursuites de la Couronne doit alors décider s’il est dans l’intérêt public de poursuivre. Les dossiers de confinement devraient fournir des preuves révélatrices.

À l’approche du troisième anniversaire du confinementt, la campagne Rights for Residents a demandé à ses membres de publier une photo de leur proche dans des moments heureux, ainsi que les trois mots qui les décrivent le mieux. (Vous pouvez voir ces photos profondément émouvantes https://twitter.com/rightsforresid2.) Avant, ces personnes âgées étaient enfermées sans aucune lien avec un parent proche ou un ami.

Ils étaient condamnés à une mort vivante conçue par nos maîtres fous de Covid pour « sauver des vies ». Qu’est-ce qui aurait pu justifier un tel crime contre l’humanité ?

Voilà ce que j’appelle une question urgente.

source : Geopolintel

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9 mars 2023 4 09 /03 /mars /2023 17:46

Selon Yuval Noah Harari, la "crise du covid" a été un moment décisif en termes de surveillance et de données personnelles. Lors d'une table ronde au Forum de la démocratie d'Athènes 2020, Harari a été interrogé sur ses craintes et ses préoccupations concernant la surveillance numérique. Il a dit que les téléviseurs savent non seulement ce que nous regardons, mais peuvent également savoir ce que nous ressentons en le regardant.  

Le Forum sur la démocratie d'Athènes 2020 s'est tenu du 30 septembre au 2 octobre 2020, sous la forme d'un événement virtuel. Le Forum a été organisé pour la deuxième année par la Fondation Démocratie & Culture , en association avec le New York Times et sous le Patronage de SE la Présidente de la République Hellénique, Mme Katerina Sakellaropoulou.

Lorsque les gens repenseront à la "crise du covid", a déclaré Harari au panel du Forum, ce dont ils se souviendront, c'est que c'est à ce moment-là que tout est devenu numérique, que tout est devenu surveillé et "que nous avons accepté d'être surveillés tout le temps".

"C'est le moment où la surveillance a commencé à passer sous la peau… Je pense que le grand processus qui se déroule actuellement dans le monde est la capacité de pirater les humains pour comprendre profondément ce qui se passe en vous… Avoir la capacité de vraiment surveiller les gens sous la peau ce est le plus grand changeur de jeu de tous », at-il déclaré.

Plus loin dans la discussion, il a décrit les émotions telles que la colère comme un "phénomène biologique... un schéma biologique dans votre corps".

Avec ce genre de surveillance, de ce qui se passe sous la peau, "vous regardez le grand président, un grand dirigeant, faire un discours à la télévision", at-il dit, et "la télévision pourrait vous surveiller et savoir si vous êtes en colère ou pas, juste en analysant les signaux, les signaux biologiques, provenant de votre corps »,

«Alors maintenant, les gens nous regardent maintenant en ligne partout dans le monde – cette conversation maintenant – peut-être même en ce moment, les gens qui nous regardent sont surveillés et analysés.

"Ce n'est pas seulement que nous savons que vous regardez ça... nous savons aussi ce que vous ressentez."

 

 

Pour commencer à comprendre le pouvoir de la surveillance à travers nos téléviseurs ("TV") et comment cela se fait, il vaut la peine de lire un essai écrit en 2018 par Ananda Mitra et publié dans IntechOpen en 2019 .

Dans son essai, Mitra a soutenu que la télévision, à l'origine le canal pour offrir des récits passifs au public, se transforme en un outil qui peut surveiller le public et construire un récit dynamique du public, activé ainsi comme un outil de surveillance . 

Voici des extraits de l'essai de Mitra. Vous pouvez lire son essai complet « L'avenir de la télévision » ICI .

Vu par la télé

En février 2018, une analyse du célèbre magazine  Consumer Reports a annoncé que leurs tests avaient révélé que la "télévision intelligente" de plus en plus omniprésente était capable de "regarder" le téléspectateur et de conserver un enregistrement détaillé de ses habitudes de visionnage de la télévision et de son comportement. Alors que de plus en plus d'appareils intelligents trouvent une place dans la maison moyenne, il existe d'autres gadgets qui peuvent fonctionner en tandem avec les téléviseurs intelligents pour effectuer la tâche de "regarder".

Considérez, par exemple, l'appareil Alexa qui répond aux commandes vocales pour effectuer des tâches simples, y compris la connexion à un téléviseur intelligent pour contrôler le téléviseur intelligent. Tous ces appareils et fonctions reposent sur le fait que ces appareils « surveillent » toujours leur environnement – ​​​​en regardant avec des caméras intégrées, en écoutant avec des microphones intégrés et en capturant des données avec des capteurs intégrés. De vraies personnes occupant l'espace qui est sous la surveillance de ces appareils.

Il est utile d'examiner brièvement la manière dont le processus de surveillance a été examiné sur une période de temps. La pratique de la surveillance existe depuis l'époque où les gens prévoyaient « surveiller » les autres. Le besoin de surveiller a surtout été lié à la notion de sécurité où l'observateur s'est inquiété du fait que l'observateur constitue une menace pour les intérêts de l'observateur. Ces intérêts pourraient également être liés aux intérêts des personnes surveillées ; ainsi, le processus d'observation devient particulièrement important pour maintenir un sens de l'ordre au sein d'un système sociétal spécifique. En effet, cette perspective a été bien résumée par Mike Rogers,suite au rapport embarrassant de 2013 selon lequel l'Agence de sécurité nationale ("NSA") surveillait les conversations téléphoniques de dirigeants européens tels qu'Angela Merkel. M. Rogers aurait déclaré : « C'est une bonne chose. il protège les Français. Il protège les États-Unis. Cela assure la sécurité de nos alliés européens.

Le lien intime entre le maintien de l'ordre et la discipline devient la thèse centrale de l'examen académique du processus de surveillance lorsque des chercheurs comme Foucault commencent à lier la surveillance au pouvoir et à la discipline.

Parmi les différentes idées de surveillance qui ont émergé comme importantes, il y avait la notion de Panopticon qui prétendait que les puissants surveillent toujours tout et tout le temps. La société panoptique a été construite autour d'une définition stricte de la discipline, et à la fin des années 1800 et au début des années 1900, la métaphore était principalement utilisée pour décrire la manière dont les nations totalitaires et les despotes voudraient toujours tout surveiller pour maintenir le pouvoir et la discipline.

Dans certains cas, cependant, il y a un intérêt émergent à examiner comment les observateurs pourraient également inclure des entreprises et des institutions qui avaient un motif sans rapport avec la discipline et le pouvoir, mais plus pourraient permettre de comprendre le « marché » que l'institution serait intéressée à servir. Cela est particulièrement vrai pour le type de technologies interactives décrites dans cet essai. L'avènement des technologies décrit plus haut dans cet essai concerne cependant la surveillance des entreprises plutôt que le monde panoptique basé sur la discipline et le pouvoir qui intéresse les chercheurs antérieurs.

Le nouveau Panopticon créé par la télévision à la maison concerne moins la discipline et le pouvoir que la manière dont le « client » qui est regardé peut être analysé comme une marchandise qui peut être vendue à ceux qui sont destinés à vendre au regardé. Simultanément, la condition panoptique devient beaucoup plus bénigne et peut-être même réconfortante pour le regardé en offrant un cocon de confort dans lequel le regardé peut habiter, où le cocon est créé par le téléviseur lui-même. Ce processus est possible parce que le client interagit avec le téléviseur en offrant des informations au téléviseur et le vaste éventail d'intérêts que le téléviseur représente.Il existe en gros deux types d'informations que ce que l'on regarde offert au spectateur à travers la télévision moderne : les attitudes et le comportement.

L'information sur les attitudes, les intérêts, les croyances et les goûts est offerte par le discours spécifique que le visionné offre aux différents fournisseurs d'information qui diffusent du contenu à la télévision. 

Prenons, par exemple, le simple fait d'accéder à un service de vidéo numérique tel que YouTube accessible sur un smartphone puis projeté sur le téléviseur. Dans certains cas, le téléviseur lui-même offrirait la possibilité de se connecter directement à un service tel que YouTube. En effet, on estime que près de 80 % des téléviseurs dans les foyers américains seront connectés à Internet d'ici 2019 et que tout téléviseur connecté à Internet peut éventuellement accéder à YouTube sans avoir besoin d'aucun autre appareil auxiliaire.

Cette connexion fait de la télévision le conduit de la grande quantité de données disponibles sur YouTube ainsi que de nombreux autres segments de l'espace numérique contenant des données consultables. L'un des aspects clés accessibles de cette connexion est la capacité de la personne regardée à rechercher des types spécifiques de contenus par la télévision et affichés à l'écran. La personne inscrite des attitudes et des préférences dans la langue de la recherche.

Des entreprises comme Google utilisent depuis longtemps des informations similaires et sont ainsi en mesure de proposer des publicités personnalisées lorsqu'une personne travaille sur un ordinateur. Il existe des moyens de désactiver une telle personnalisation des messages marketing en ajustant des paramètres spécifiques sur une application fournie par une société. La question devient un peu différente à la télévision où le mais même de l'outil, la télévision, est de regarder des récits, et dans l'environnement de services tels que YouTube, le téléspectateur doit publier des informations d'intérêt pour ce personnalisé que la personne regarde ou intéresse. en train de regarder.Le processus d'utilisation de la télévision pour accéder à un contenu narratif est intimement lié au processus de révélation à la télévision des intérêts, des attitudes et des croyances du spectateur.

Cette information est également liée à la divulgation des modèles de comportement. Étant donné qu'une grande partie de la consommation de contenu se fait par l'intermédiaire de fournisseurs de contenu tels que YouTube, Hulu, Netflix et d'autres systèmes de diffusion de contenu sur Internet, il existe un enregistrement constant de ce qui a été regardé, quand il a été regardé, comment c'était payé, et dans certains cas des informations plus granulaires liées à l'observateur particulier dans une maison multi-personnes. Par exemple, Netflix offre la possibilité de créer plusieurs sous-comptes sous un compte principal pour chaque membre du ménage, et les données qui sont démontrées en fait quelle personne particulière utilisait réellement un contenu spécifique.Dans les foyers équipés de plusieurs téléviseurs,

Les données sur les attitudes et les comportements qu'offre une telle surveillance finissent par devenir un récit sur les personnes surveillées. C'est ce récit qui devient particulièrement important dans le nouveau système Panopticon produit par la télévision moderne.

Où cela nous mène-t-il, les surveillés ?

Si la télévision est autorisée à surveiller et qu'elle est connectée aux autres outils qui entourent la télévision, elle pourra éventuellement créer une histoire de vie de plus en plus complète de la personne qui utilise la télévision. Cette histoire de vie complète pourrait devenir la manière dont la télévision a intégré une réalité médiatisée pour la personne qui est regardée. Comme évoqué précédemment, cette réalité peut devenir progressivement myope et une chambre d'écho dans laquelle la personne résiderait tandis que le Panopticon TV crée l'espace médiatique confortable pour la personne.

De nombreuses entreprises telles qu'Amazon, Roku et Apple proposent des accessoires pouvant être connectés au téléviseur, et le programme serait diffusé via la connexion de l'accessoire à Internet. Ainsi, un "stick" Roku peut se connecter à Internet, et les programmes seront proposés par Roku en collaboration avec d'autres agrégateurs de contenu tels que Sling, YouTube et Hulu, pour n'en nommer que quelques-uns. Dans certains cas, un écosystème complet est produit par une entreprise comme Amazon qui propose l'accessoire pour la télévision, un système domestique de récupération d'informations à commande vocale tel qu'Alexa, et du contenu via le vaste magasin de contenu que possède Amazone.Au fur et à mesure que l'utilisateur migre vers ces options, l'utilisateur est également tenu de partager des informations via le conduit du téléviseur avec toutes ces différentes sociétés qui continuent à regarder l'observateur.

Conférence complémentaire :

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9 mars 2023 4 09 /03 /mars /2023 17:44
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9 mars 2023 4 09 /03 /mars /2023 17:43

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