Rien de neuf sous le soleil que je n'ai déjà publié, ç'est juste que l'information passe par un média officiel en Autriche
Un saint homme enfin présenté comme tel, ayant toutes les qualités requises pour diriger l'Ukraine, menteur, voleur, maître chanteur, manipulateur et criminel. Priez pour lui ! les Ukrainiens en auront bien besoin ! Amen !
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Comptes offshore et examen des médias : la biographie révèle les relations secrètes de Zelenskyy
Des détails explosifs et des révélations dont le président ukrainien Volodymyr Zelenky n'a pas du tout besoin pour le moment. Une biographie d'initiés par deux journalistes brosse un tableau clair des comptes offshore, "Wagnergate" et de la guerre dans laquelle se trouvait l'Ukraine avant l'invasion russe.
"Les oligarques font partie de l'histoire", a tweeté Zelenskyy le 2 juillet 2021 après avoir lancé son registre des oligarques. Ceux qui s'y tiennent doivent déclarer leurs revenus, tout comme les fonctionnaires du gouvernement. Les oligarques enregistrés ne sont pas autorisés à financer des partis politiques ou à participer à des privatisations majeures de biens publics.
Le magnat des médias Rinat Akhmetov a entre-temps transféré les licences de ses stations à l'État. La guerre de Zelenky contre les oligarques est un coup dur pour la diversité des médias dans le pays. Petro Porochenko annonce également qu'il a vendu ses trois chaînes de télévision Kanal 5, Kanal et Espresso. "La principale raison de l'introduction de cette" loi sur les oligarques "est de prendre le contrôle des médias", déclare Porochenko avec colère.
Le film sur les Pandor Papers devrait être arrêté
Le film "Offshore 95" devrait être présenté en première à Kyiv le 3 octobre 2021. Le documentaire est basé sur les controversés Pandora Papers. Onze millions de documents divulgués par des fournisseurs de services financiers révèlent les comptes offshore de centaines de responsables gouvernementaux à travers le monde. Volodymyr Zelenskyy joue un rôle important dans les 2,9 téraoctets d'informations confidentielles.
Mais la première est annulée à la dernière minute. Le théâtre est en cours de rénovation et l'éclairage ne fonctionne pas, a-t-il indiqué dans un message aux journalistes invités. Les services secrets ukrainiens auraient joué un rôle dans cette affaire. L'annulation de la première a provoqué un scandale majeur en quelques heures. L'indignation était si grande que le film a été projeté le même jour.
La première du documentaire "Offshore 95" devrait être empêchée
"Est-ce que Zelenskyj s'est soustrait aux impôts ?"
Le fait que Zelenskyy ait des comptes offshore n'était pas nouveau à l'époque. En 2019, il a déjà été révélé que Zelenskyj est actif à Chypre. Les recherches de Slidstvo.info ont révélé que le comédien de l'époque, avec les frères Shefir et un autre employé du Studio Kwartal 95, possède également des sociétés dans les îles Vierges britanniques et au Belize. Au cœur de cette structure d'entreprise compliquée se trouve Maltex Multicapital Corp., jusque-là inconnue, constituée dans les îles Vierges.
Il aurait reçu un total de 40 millions de dollars depuis 2012 de sociétés appartenant à Ihor Kolomoiskyi. La société semble également posséder des appartements dans le centre de Londres d'une valeur de 7,5 millions de dollars. Peu avant l'élection présidentielle, Zelenskyy a cédé ses parts dans Maltex Multicapital Corp. sur Serhi Shefir. Le but de ces offshores n'est pas clair. « Est-ce que Zelensky a échappé aux impôts ? Ou Studio Kwartal 95 était-il impliqué dans le blanchiment d'argent criminel pour la banque privée de Kolomoyskyi », demandent les journalistes d'investigation Steven Derix et Marina Shelkunova dans leur livre Zelenskyy. The Current Biography », dont la sortie est prévue le 6 août. Les extraits de cet article sont tirés de cette biographie d'initié.
Steven Derix et Marina Shelkonova écrivent la puissante histoire de la vie de Volodymyr Zelensky, un acteur qui a joué le rôle de président puis est devenu à contrecœur président de guerre.
"Wagnergate"
Le livre traite également de "Wagnergate". En juillet 2020, trente-trois mercenaires - trente-deux Russes et un Biélorusse - ont été arrêtés dans une station thermale près de la capitale biélorusse de Minsk. Il s'agirait d'une action visant à piéger et à arrêter des dizaines de membres du groupe de mercenaires russes Wagner qui combattaient dans le Donbass. On espérait que les témoignages des hommes éclaireraient le rôle de la Russie dans le conflit. Et que certains pourraient avoir plus à dire sur la chute du MH17.
Les services secrets avaient mis en place des sociétés écrans pour recruter des gens de Wagner pour un travail de « service de garde » très bien rémunéré au Venezuela. Le plan était que les mercenaires voyagent par voie terrestre de la Russie à Minsk et de là prennent un vol pour Istanbul, d'où ils auraient continué leur voyage vers le Venezuela. Dans l'espace aérien ukrainien, l'avion de Turkish Airlines aurait alors été contraint d'atterrir à Kyiv, où les mercenaires devaient être arrêtés. Le plan était si imprudent qu'il était voué à l'échec. Cependant, la cause immédiate de l'échec était le président Zelensky lui-même.Un jour avant le départ prévu des mercenaires de Minsk, le président ukrainien a décidé de reporter l'opération. Le résultat: Trente-trois mercenaires wagnériens attendaient leur vol dans un parc de vacances et y ont été démasqués en raison de leur "comportement atypique pour les touristes russes". Des témoins avaient rapporté à la police biélorusse qu'il y avait des hommes bien entraînés en tenue militaire qui ne buvaient pas une goutte d'alcool et restaient dans leur chambre même pendant la soirée disco. C'est ainsi qu'il a été arrêté en juillet 2020.
Des mercenaires russes du groupe Wagner devaient être attirés dans un piège – l'opération a été révélée
Le texte précédent est basé sur un extrait du livre de Steven Derix et Marina Shelkunova : « Zelenskyj. La biographie actuelle » sera publiée par Edel Books le 6 août.
Pour la première fois la presse de gauche aux États-UnisÉtats-Unis qui soutient Biden, fait référence à la corruption en Ukraine.
Cet article se hasarde à des hypothèses audacieuses, mais l’idée de départ selon laquelle les fissures qui apparaissent sont à prendre en considération, cette idée mérite que l’on s’y attarde.
Martin JAY
Strategic Culture 4 août 2022
Biden pense-t-il que le meilleur moyen de détourner les critiques des médias américains est de sortir de la guerre en Ukraine et d’envisager une deuxième phase plus tard ?
Vous ne l’avez peut-être pas remarqué. Pour la première fois par la presse de gauche aux États-Unis qui soutient Biden, a fait référence à la corruption. Elle existe et est un vrai problème dans l’administration du président Zelensky en Ukraine.
L’article, rédigé par le principal correspondant des affaires étrangères du Washington Post et journaliste primé Thomas L Friedman, visait vraiment à laisser entendre que les relations entre le camp de Biden et celui de Zelensky n’étaient guère solides. Peut-être ne l’ont-t-elles jamais été. Mais pour le moment, le récit qui est introduit dans le système – via Friedman – c’est que les relations ne sont pas tout à fait ce qu’elles sont perçues par la plupart des médias occidentaux.
Le moment est intéressant car j’ai longtemps soutenu que les États-Unis cherchaient un moyen de se distancier de Zelensky et pourraient bien envisager comment l’éliminer (même par un assassinat qui pourrait être imputé aux Russes). Le camp Biden prépare-t-il le terrain pour un tel mouvement avec cet article ?
Friedman a décrit la décision de Zelensky de licencier la procureure générale Irina Venediktova et le chef du Service de sécurité de l’État (SBU), Ivan Bakanov, à la mi-juillet, comme une » affaire amusante en cours à Kiev « , ajoutant qu’il n’avait encore vu aucun reportage dans un média américain qui « explique de manière convaincante » les raisons du plus grand remaniement du gouvernement de Kiev depuis le début de la guerre.
« C’est comme si nous ne voulions pas regarder de trop près et voir ce qui se passe sous le capot à Kiev par peur de la corruption ou des bouffonneries que nous pourrions y voir, alors que nous y avons tant investi », écrit-il.
Est-ce un indice de changement ? Biden avertit-il Zelensky de nettoyer son arrière-cour et de limiter la revente d’armes américaines au marché noir des armes, ce qui signifie souvent vendre à des groupes terroristes en Syrie – ou autre.
Ou est-il en train de dire au reste des médias que c’est le thème que nous aimerions que vous développiez? Commencer par le Washington Post et utiliser quelqu’un comme Friedman serait un mouvement médiatique habile pour créer une dynamique sur ce thème donné de la corruption qui devient incontrôlable.
Mais ce serait également un moyen subtil d’envoyer un message à Zelensky lui-même.
Nous le saurons bientôt dans les prochaines semaines.
Il est tout à fait possible que le camp de Biden ait su que l’armée ukrainienne vendait d’énormes quantités de militaires envoyés en Ukraine et en était assez satisfait, cela permet à la Maison Blanche de prendre prend la main sur les événements quotidiens de la guerre. Cela alimente les milliers de mèmes satiriques sur les réseaux sociaux qui dépeignent Zelensky comme une sorte d’esclave sexuel, avec des sous-vêtements en PVC.
Mais voici cinq pistes qui expliquent la corruption et les armes revendues
Blanchiment d’argent. Biden envoie le matériel et Zelensky en vend la moitié au marché de l’armement. L’argent est conservé par Zelensky au nom de Biden. Zelensky est simplement un directeur de banque pour Biden dont la famille a de toute façon de nombreuses affaires troubles dans le pays. (Il ne faut pas oublier que Joe Biden était gouverneur du Delaware, Etat paradis fiscal Usa)
Biden est conscient que les armes sont vendues et que Zelensky conserve les bénéfices en échange du maintien d’un certain nombre d’accords commerciaux que la famille Biden a là-bas.
L’armée ukrainienne vend l’équipement et garde elle-même les bénéfices et Zelensky n’en fait pas partie, bien qu’il y donne son approbation tacite.
L’argent de la revente d’armes ainsi que l’argent des contribuables américains sont détenus sur un compte « banque sale », contrôlé par Zelensky, que la famille Biden conserve à ses propres fins.
Le camp Biden utilise ces bénéfices pour armer et financer ses propres groupes terroristes au Moyen-Orient ou dans d’autres points chauds du monde. Cet argent sale peut être utile à Biden exactement de la même manière que Reagan a utilisé 30 millions de dollars des Iraniens dans les années 80, utilisés en partie pour financer les « Contras » au Nicaragua.
Biden a-t-il pensé que le moyen de détourner l’opprobre des médias américains est de sortir de la guerre en Ukraine et d’envisager une deuxième phase plus tard ?
Il pourrait rapidement réduire les niveaux de fournitures militaires et d’argent en invoquant des préoccupations concernant la responsabilité de Zelensky tout en dirigeant les médias vers la nouvelle « menace » de la Chine, qui, bien sûr, a été entièrement fabriquée par lui et Pelosi.
Est-ce le scénario gagnant-gagnant où il peut continuer à pousser des dizaines de milliards d’argent des contribuables américains vers le complexe militaro-industriel tout en essayant en même temps de faire croire au public américain qu’une confrontation militaire avec la Chine est en cours et que lui seul sauve l’Amérique ?
Cela devrait l’amener en meilleure position à mi-mandat et peut-être que les électeurs ne remarqueront pas les 5 dollars pour le gallon d’essence et l’Amérique en route vers la récession la plus profonde depuis 1929, n’est-ce pas ?
Regardez de très près comment les journalistes américains se retournent maintenant lentement contre Zelensky et commencent à regarder son gouvernement et ses actions à travers des spécifications plus claires et non teintées de rose. EN PRIME
Cet article se hasarde à des hypothèses audacieuses, mais l'idée de départ selon laquelle les fissures qui apparaissent sont à prendre en considération, cette idée mérite que l'on s'y attar...
Nanoréseau intégré au corps humain. Extraordinaire dossier réalisé par un scientifique.
Avertissement. Le dossier transmis ici est exceptionnellement documenté et précis. Je le reprends pour enrichir la réflexion et l’hypothèse de travail autour de la transhumanisation des peuples. Toutefois, aussi longtemps que nos autorités sanitaires refuseront de faire procéder à des analyses indépendantes du contenu de fioles contenant les produits à injecter, nous serons incapables d’affirmer si, et dans quelle mesure, la liste des éléments indésirables listés dans ce document ont pollué la production industrielle des injections réalisées depuis une année.
Un scientifique de premier plan a transmis au Net des planches détaillées de ce que pourraient être les divers éléments non identifiables découverts dans les fioles de produits à injecter et/ou dans les échantillons sanguins étudiés. Un autre scientifique tout aussi fiable m’a transmis son travail.
Bien que n’ayant pas l’identité de l’auteur, je ne peux qu’apprécier la précision avec laquelle les différents éléments que nous mettons au jour depuis des mois (pour ne pas dire des années) sont agencés et intégrés dans sa présentation.
Vous constaterez la référence aux dots quantiques d’oxyde de graphène dont nous parlions récemment.
2. Nanocapteurs (circuits de nanotubes, nanofeuillets de graphène)
3. Nanocontrôleurs (circuits de nanorouteurs QCA)
4. Nanointerface (circuits QCA nanoCODEC)
5. => Communication avec l’extérieur =>
La présence de points quantiques d’oxyde de graphène.
L’interface humain-machine avec transmission de données
Nanocapteurs et nanorouters
Avec ce document, nous entrons donc de plain pied dans le processus d’intégration homme-machine. Nous voyons sur cette planche d’ensemble que le résultat correspond à la convergence NBIC. L’auteur de ces planches sait avec précision de quoi il en retourne. De fait, très peu de scientifiques ont une vision d’ensemble de ce que peut être le transhumanisme.
Revue de presse : A cause de l’Union Européenne, la France vend son électricité à ses concurrents 42 euros le MWh, mais elle achète son électricité 397 euros le MWh !https://t.co/JJQQf5UCqI via @carolionne89 pic.twitter.com/LqKqyNkBpO
"La révolution a commencé": 75 000 Britanniques vont cesser de payer leurs factures d'électricité au milieu d'une tempête d'inflation
La résistance grandit alors que plus de 75 000 personnes irritées au Royaume-Uni se sont engagées à ne pas payer leur facture d'électricité cet automne lorsque les prix grimperont à nouveau.
"75 000 personnes se sont engagées à faire grève le 1er octobre ! Si le gouvernement et les compagnies d'énergie refusent d'agir, les gens ordinaires le feront ! Ensemble, nous pouvons imposer un prix équitable et une énergie abordable pour tous", a tweeté " Don't Pay UK ", un anonyme. groupe à la tête de l'effort pour que plus d'un million de Britanniques boycottent leur facture d'électricité d'ici le 1er octobre.
🔥 75 000 personnes se sont engagées à faire grève le 1er octobre !
Si le gouvernement et les compagnies d'énergie refusent d'agir, les gens ordinaires le feront !
La grève survient alors qu'une tempête inflationniste des prix élevés de l'énergie a anéanti les revenus des ménages. Les Britanniques sont les plus misérables depuis trois décennies, l'inflation devant atteindre 13 %. Et tandis que le gouverneur de la Banque d'Angleterre (BoE), Andrew Bailey, a le plus relevé les taux d'intérêt en 27 ans pour maîtriser l'inflation, les risques de récession augmentent.
Le 1er octobre, le ménage moyen paiera près de 300 £ par mois pour l'électricité, a averti la BoE. Associez la flambée des coûts de l'électricité à une croissance négative des salaires réels, et il devient évident que les ménages sont sous pression. Cela exclut la flambée des prix du logement, de la nourriture et de l'essence à la pompe - cette tendance n'est pas durable et pourrait entraîner des instabilités sociales .
Le journal britannique Glasgow Live a déclaré que la grève était similaire à "l'action de la fin des années 1980 et des années 1990 pour lutter contre la taxe de vote introduite par le Premier ministre Margaret Thatcher. En signe de protestation, 17 millions de personnes ont refusé de payer".
Le journaliste financier et animateur britannique Martin Lewis a déclaré ceci à propos de la grève :
"Je pense que je peux le catégoriser plus précisément maintenant, le grand mouvement que je vois est une augmentation de la croissance du nombre de personnes appelant à un non-paiement des factures d'énergie, un non-paiement de masse. En fait, une grève des consommateurs sur les factures d'énergie et se débarrasser de la légitimité de payer cela.
"Nous nous rapprochons d'un moment de poll tax sur les factures d'énergie à venir en octobre et nous avons besoin que le gouvernement maîtrise cela, car une fois qu'il commencera à devenir socialement acceptable de ne pas payer les factures d'énergie, les gens cesseront de payer les factures d'énergie et vous êtes ne va pas couper tout le monde."
Pendant ce temps, le directeur général d'Ofgem (régulateur de l'énergie au Royaume-Uni), Jonathan Brearley, a déclaré samedi à BBC Radio 4's Today que les gens ne devraient pas se joindre à la grève pour deux raisons.
"Tout d'abord, cela augmentera les coûts pour tout le monde. Et deuxièmement, si vous rencontrez des difficultés pour payer votre facture, la meilleure chose à faire est de contacter votre compagnie d'énergie."
Il a ajouté: "Je n'encouragerais personne à suspendre le paiement de sa facture, car cela ne fait que nuire davantage aux choses et cela les affectera personnellement."
La semaine dernière, le gouvernement britannique a critiqué le mouvement, le qualifiant de "hautement irresponsable".
"Il s'agit de messages hautement irresponsables, qui ne feront finalement que faire grimper les prix pour tous les autres et affecteront les cotes de crédit personnelles", a déclaré un porte-parole du gouvernement cité par The Independent.
Don't Pay UK pense que 6,3 millions de ménages britanniques seront poussés dans la pauvreté de la facture d'électricité cet hiver, et que des millions d'autres ressentiront le stress d'une inflation incontrôlable.
Les gens sur Twitter ont répondu au moment en disant : "la Révolution a commencé " et "un peu de troubles civils se dirigent vers nos rues et à juste titre".
Peut-être que l'implication du mouvement sera un excellent indicateur du mécontentement croissant parmi les Britanniques qui pourrait entraîner des troubles civils cet hiver alors que des millions de personnes auront du mal à garder les lumières allumées, le four chaud et à mettre de la nourriture sur la table.
Nous assistons à des revirements très importants dans la politique vaccinale sur le Covid sur ces deux ans, notamment par les dirigeants même des Instances conseillères au niveau de l'Etat. En effet ç'est au plan européen que l'affaire se joue notamment au niveau des tribunaux Italiens et Espagnol.
Il est de plus difficile de dissimuler les effets secondaires des vaccins sur une large part de la population ; et quand le doute s'installe !
La voie de la Justice est donc prise et cela va démontrer le haut niveau de corruption, notamment au plan Européen avec Mme. Von der Leyen Cela ne serait pas fait sans l'aval des chefs d'Etats mais aussi l'assentiment d'une large part du représentatif de ces derniers, sans éluder bien sûr les corps professionnels concernés.
Donc le navire coule sur fonds de crise financière et économique, résultant d'une avidité sans fin des acteurs de ces milieux.
L'histoire de la vaccination Covid, puis les nouvelles, la crise énergétique due à la guerre en Ukraine ne sont que des subterfuges pour créer des ressources financières pour un modèle en fin de course, car ç'est le cas ; ne vous leurrez pas.
Tout cela va se savoir, car tout cela est lié par les intérêts, les financements des financeurs aux financés en passant par les intermédiaires et les multiples bénéficiaires, et gare au retour de bâton qui sera foudroyant !
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Ce médecin australien raconte les pressions qu’il a subies et demande pardon pour ne pas avoir signalé les effets indésirables des injections : « Je donnais plus d’importance à mon travail, à ma famille, à ma sécurité et à mes finances qu’à mes patients »
Ce médecin australien raconte les pressions qu'il a subies et demande pardon pour ne pas avoir signalé les effets indésirables des injections : "Je donnais plus d'importance à mon travail, à ma famille, à ma sécurité et à mes finances qu'à mes patients" pic.twitter.com/lRxI5GzyM0
EXCLUSIF ! Après Delfraissy, Alain Fischer retourne aussi sa veste ! Le conseil d’orientation de la stratégie vaxxinale « arrête son travail », annonce Alain Fischer à La Dépêche !
Le vent a tourné et c'est la débandade parmi les médecins de cour ! Après J-F Delfraissy, c'est Alain Fischer qui part et qui change de discours. Tout d'un coup, il ne "recommande" plus la vaccination que pour les personnes âgées https://t.co/YvxoALDSJk
Jean-François Delfraissy, président du Conseil scientifique [1], devenu complotiste, serait-il inquiet ?
« @codePS17 « Le bal des morts de trouille !! Ah ça voulait piquer tout le monde de gré ou de force et maintenant ils ont le trouillomètre à zéro de peur de se retrouver derrière les barreaux pour très longtemps »
« IL FAUT ARRÊTER DE DIRE ET RACONTER TOUT ET N’IMPORTE QUOI » dit JF. Delfraissyrésumant l’action du Conseil scientifique
« UN ÉCHEC TOTAL, IL FAUT LE DIRE, en termes de mortalité, de morbidité et d’accès aux droits humains. Zéro covid n’était pas la solution. Ce sont les médias qui poussent à cela. Il faut à un moment donné redevenir raisonnables, les Français l’ont compris ».
« LE DOUBLE AVEU DU Pr DELFRAISSY : Soulageant sa conscience, il dénonce en fait la DOUBLE SOUMISSION révélée par la covid-19, celle des États occidentaux à Big Pharma, celle de la classe dirigeante à la toute-puissance des médias, qui imposent leurs vues par intimidation et censure. »
ET sur la variole du singe
@MaxDelvallee : DELFRAISSY sur la variole du singe : « Elle est beaucoup mise en avant parce que les médias ne veulent pas rater le début d’une éventuelle nouvelle crise (…). Je ne crois pas à la gravité et à l’existence d’une pandémie de ce type. (…) C’est une maladie peu sévère dans 99 % des cas. »
LE PARCOURS DÉPLORABLE DE JF. DELFRAISSY ET DU CONSEIL DIT SCIENTIFIQUE
Dès mars 2020 nous avons dénoncé les mesures prétendument sanitaires (confinement et autres privations de liberté), comme inefficaces car contraires à la vérité scientifique [2][3][4][5], les tests PCR chez les asymptomatiques comme une arnaque sans intérêt médical uniquement destinée à faire croire à des poussées de l’épidémie [6] et l’objectif officiel du zéro covid comme un mirage de la propagande marchande provax.
Depuis la mise sur le marché des pseudo-vaccins et la propagande forcenée que martèlent les médias pour nous les imposer, nous répétons que les injections anti-covid ne sont pas des vaccins mais des médicaments, qu’elles sont totalement expérimentales et issues d’une technique jusqu’alors jamais utilisée en infectiologie, qu’elles ne protègent ni de la maladie, ni des transmissions, ni des formes graves, ni de la mort.
Ces constatations scientifiques des faits publiés par l’OMS ont été constamment traitées de fake news par de pseudo- journalistes peu scrupuleux qui nous qualifient de complotistes [7] en suggérant même que nous serions d’extrême droite, voire antisémites pour nous diffamer. Malheureusement pour ces mercenaires de la désinformation, la vérité est têtue et ce que nous proclamons depuis près de deux ans et demi est progressivement confirmé et reconnu même par les anciens avocats des mesures sanitaires dès qu’ils quittent le monde imaginaire des simulations biaisées pour examiner le monde réel…
Un très bel exemple d’un retour très tardif au monde réel est celui de JF Delfraissy [8].
Confinement déclaré indispensable puis reconnu dévastateur
Début 2020 Jean-François Delfraissy avait prétendu que le confinement était indispensable malgré ses doutes qu’il a récemment confié au Parisien : « Mais qu’est-ce qu’on a fait ? [9] », avant de se rassurer rapidement : « Plusieurs autres membres du Conseil scientifique doutaient, eux aussi, et on s’est remonté le moral, se répétant qu’on n’avait pas d’autre choix. ». Attitude vraiment incroyable d’un prétendu scientifique censé analyser la balance avantage/risques d’une mesure avant de la conseiller.
Un an plus tard, malgré le bilan catastrophique avéré du premier confinement [10], il récidivait avec Denis Malvy et Karine Lacombe, plaidant pour une nouvelle astreinte à résidence de la population « e confinement apparaît vraiment irrémédiable. » !
Mais l’inefficacité sanitaire et les conséquences dramatiques des confinements ont depuis été largement démontrées par tous les scientifiques indépendants des gouvernements et des organismes qui les ont imposés [11][12][13][14][15].
En février 2021 dans une lettre au Lancet [16], J. Delfraissy reconnaissait enfin, avec 5 autres membres du Conseil scientifique, que le confinement avait été nocif et qu’il fallait changer de politique : « il est temps d’abandonner les approches fondées sur la peur, fondées sur un confinement généralisé apparemment aléatoire ».« L’impact de l’enfermement général sur des économies entières a été dévastateur, le pire à venir étant le taux de chômage et la dette nationale. » « Les conséquences sociales et sanitaires (y compris la santé mentale) sont également colossales, en particulier pour les jeunes générations, bien qu’elles soient à faible risque en termes de morbidité et de mortalité par infection par le SRAS-CoV-2. »
Alors pourquoi a-t-il conseillé le premier confinement et persisté ensuite dans l’erreur plusieurs fois ?
Le scandale des passes inefficaces et discriminatoires
Le Conseil scientifique et son président ont présenté les passes comme des mesures permettant de retrouver les libertés sans risque alors qu’ils ne constituaient que des chantages aux libertés pour forcer à l’injection les gens qui n’en avaient aucun besoin.
Lors de son audition au Sénat, à la question : « Est-ce que le passe protège réellement ? La réponse de J. Delfraissy a été : « non ».
Ce que confirme l’explosion des contaminations après leur instauration :
Alors pourquoi ont-ils menti aux Français en prétendant le contraire ?
@dreslincourt 31 juil.
Dans le Parisien, le Pr Delfraissy reconnaît un traitement « inhumain » de nos anciens en Ehpad pendant le covid, et une mainmise des labos sur les stratégies vaccinales ! Quand nous informions les Français de ces choses, la presse nous qualifiait de « complotistes » ! Des excuses ?
Le mirage du “Zéro Covid” reconnu un « échec total. »
Pendant près de deux ans le Conseil scientifique a fait croire que les mesures sanitaires et la vaccination allaient éradiquer le virus selon la stratégie du zéro covid inventée par les Chinois. Ils nous ont promis qu’on obtiendrait l’immunité collective après la vaccination de 60 % des Français, puis de 70 %, puis de 90 %. Mais tous les pays (sauf la Chine) qui nous avaient précédés dans cette stratégie ont reconnu qu’il s’agissait d’un mirage impossible à atteindre dans le monde réel.
Mais après deux ans d’atteintes majeures à nos libertés fondamentales cautionnées par son comité prétendument scientifique J. Delfraissy avoue : « Le “Zéro Covid” est un échec total… Il faut vivre avec le virus ! » [17]
Cette stratégie n’a jamais permis d’éradiquer une épidémie avec réservoir animalier connu comme l’est le covid. Alors pourquoi l’a-t-il conseillée sinon pour vendre des prétendus vaccins ?
Les « vaccins sûrs et efficaces » devenus des « vax médicaments inefficaces »
Le Comité scientifique et son président ont validé tous les mensonges de Pfizer comme celui d’appeler vaccin un médicament expérimental ne contenant aucun antigène et celui « d’une efficacité de 95 % » pour inciter la population à se faire injecter. Plus tard, alors que l’échec contre la diffusion virale devenait évident, ils ont persisté. « Les vaccins sont efficaces contre le variant delta, si l’on a eu deux injections. Il faut se faire vacciner » et quelques mois plus tard ils ont persévéré en prétendant « le vaccin est toujours efficace contre le covid-19 (…) s’il a été administré trois fois ».
Encore plus choquantes ont été les déclarations de Delfraissy à Sciences-Po Lille conseillant la vaccination des plus jeunes qui ne risquent rien du covid et celle poussant à la vaccination des femmes enceintes, hérésie scientifique jusqu’ici toujours contre-indiquée.
Alors pourquoi ne s’excuse-t-il pas d’avoir menti pendant au moins dix-huit mois et des complications et des morts que ces médicaments expérimentaux ont causé ?
Le Pr. Delfraissy a été en pointe dans la propagande alarmiste et les décisions portant atteinte à nos libertés fondamentales en leur donnant un alibi scientifique mensonger. Il a bafoué et décrédibilisé la science en trompant les Français pour qu’ils supportent l’inacceptable.
Espère-t-il par ces aveux se faire pardonner ?
Faute avouée est à demi pardonnée dit-on. Mais JF Delfraissy n’a avoué que la moitié de ses fautes. En particulier il n’a dénoncé ni l’inefficacité ni la toxicité des masques ni l’absence de toute justification scientifique des obligations vaccinales imposées aux soignants et pompiers ni l’ignominie des mesures sociales qui ont été imposées aux vaccino- prudents. Espérons qu’il complétera bientôt sa confession.
@Phil_7338
« Il sera jugé. Je ne lui pardonnerai jamais, port du #masque obligatoire pour nos enfants petits enfants quasiment H24. Ni les #Confinement #CouvreFeu 21h 19h 18h…ni les #Attestations débiles ni les 1km,10km…#dérogations #tests gratuits, payants, 72h…24h #coronacircus »
Et à propos des mails échangés avec Fauci pour supprimer le traitement précoce HCQ, belle réussite pourtant Pr Delfraissy ! Ces aveux sont pitoyables après avoir conseillé les inconcevables lock-down, masques, couvre-feux, suspensions et injections. »
@verity_france Covid-19 : Jean-François Delfraissy a des « regrets » dans la gestion de la pandémie qui n’est « pas terminée »/ si c’est un honnête homme il dira tout devant un juge pour expliquer les pressions, et détailler l’instrumentalisation dont il a fait l’objet
« SCIENCE SANS CONSCIENCE N’EST QUE RUINE DE L’ÂME » (Pantagruel, RABELAIS)
Il reconnaît enfin que ce sont les compagnies pharmaceutiques qui ont tout pouvoir sur les décisions prétendument scientifiques en rapport à ces pseudo-vaccins. Mais pourquoi ne l’a-t-il pas dénoncé plus tôt et démissionné du Conseil scientifique comme l’a fait très rapidement le Pr D. Raoult ?
Le ministre proclame son désir de transparence. Pour nous en convaincre, il faudrait qu’il fasse lever le secret défense ubuesque qui pèse sur les 300 réunions et les 80 avis ou notes rédigés en deux ans et quatre mois par ce Comité scientifique pour que chacun puisse en faire l’analyse.
À défaut, l’opposition parlementaire devrait l’exiger car qui peut croire que la divulgation de ces documents jusqu’à présent classés secret défense [18] puisse renforcer la virulence du Sars-CoV-2 ?
Au passage, il pourrait rappeler qui nomme le collège des experts de la HAS soi-disant indépendante et qui maintient la suspension des soignants et pompiers non vaccinés ? les mêmes politiques trop proches de Big Pharma.
Quelques commentaires sur Twitter
@EdBernardelli « Il est plus facile de tromper les gens que de leur faire admettre qu’ils ont été trompés » M. Twain En ce 1er août, le passe et l’état d’urgence sont arrêtés. Stop aux manipulations ! Le combat continue pour réintégrer les soignants suspendus et éveiller les consciences !
@UnionPierre 31 O7 22
Des soignants Covid peuvent travailler alors que des soignants en bonne santé ne le peuvent pas, c’est tellement absurde! Nous demandons la réintégration immédiate avec des excuses! Soutenez notre collectif, suivez-nous #JusticePourLesSuspendus #SoignantsSuspendus
@Sarah41659531 30 juil.
Le 1er août tous les Français pourront reprendre une vie normale sans PASSE à l’intérieur des frontières SAUF les soignants suspendus qui resteront » punis » (expression de @PatrickPelloux) et sans revenus pour se nourrir et nourrir leurs familles. » Pays des droits de l’homme »
@LucileFievet
26 juil. Important et assez urgent Très Sérieux Pour les soignants et agents toujours suspendus au 1er août 2022
Selon l’avis de juristes, il est possible de considérer que l’obligation vaccinale prend fin au 31 juillet 2022, avec la fin de l’état d’urgence.
Piste à explorer d’urgence !
La démocratie nécessite une information impartiale relayant les faits et des commentaires honnêtes. Durant ces deux ans et demi, elle ne l’a pas jamais été. Le rôle particulièrement nocif des propagandistes de la désinformation, proclamés « fact-checkers », doit être souligné et on espère que les violations permanentes de l’éthique journalistique dont ils ont fait preuve en ne donnant jamais la parole aux personnes qu’ils accusaient ternira à jamais leur CV.
Nous avons gagné une grosse bataille avec la suppression du passe par le vote de l’assemblée (E. Macron avait prévu la prolongation de la loi d’urgence jusqu’en 2023), mais le combat doit se poursuivre par la suppression de l’obligation vaccinale des soignants et pompiers dans les faits, la suppression des tentatives de détournement de la loi votée par des arrêtes autorisant que l’Assistance Publique de Paris, des cliniques, pharmacies ou autres imposent le port du masque ou un passe alors qu’il est maintenant non seulement démontré par les faits établis, mais aussi reconnu par la quasi-totalité de leurs anciens avocats que ces mesures n’ont eu aucun effet démontré contre l’infection…
RÉAGISSONS PAR DES PLAINTES SUCCESSIVES À CES DÉTOURNEMENTS
@Steiner61421320 Il est temps de remplacer les vigiles à l’entrée des hôpitaux par des soignants et en priorité les soignants suspendus (en les dédommageant) ! #JusticePourLesSuspendus #PassSanitaire
@DIVIZIO1
6h
Ça commence : ce matin déjà des vigiles ont réclamé le passe à l’entrée d’une clinique ! Ça c’est cependant très bien passé en ce qu’alertés, ils ont appelé la direction qui leur a confirmé ne pas avoir à contrôler. Mais du coup : ils servent à quoi ? Ils sont payés pour quoi ?
Gérard Delépine
[1] Conseil qui disparaît ce 31 juillet 22 en même temps que la loi d’urgence.
[8] Jean-François Delfraissy, né le 19 mai 1948 à Paris, est un médecin et professeur de médecine français, spécialisé dans l’immunologie.
Il est nommé président du Comité consultatif national d’éthique en 2016. Il prend en 2020 la présidence du Conseil scientifique covid-19, institué par le ministre Olivier Véran pour conseiller le gouvernement dans la lutte contre la pandémie de covid-19.
[15] Bendavid E, Oh C, Bhattacharya J, Ioannidis JPA. Assessing mandatory stay-at-home and business closure effects on the spread of COVID-19. Eur J Clin Invest. 2021 Apr;51(4):e13484. doi: 10.1111/eci.13484. Epub 2021 Feb 1. PMID: 33400268; PMCID: PMC7883103. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33400268/
[16] Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin Jean-François Delfraissy Denis Malvy Immune evasion means we need a new COVID-19 social contract The Lancet :2021 February 18,
[18] Le secret défense a été créé pour protéger les informations militaires ou diplomatiques nécessaires à la sécurité militaire du pays. On ne comprend pas en quoi cela s’est appliqué à un virus, pas plus que le nouveau « commando » que veut mettre en place le ministre Braun.
Delfraissy avoue enfin : " Ce n'est pas le bon vaccin ! Il ne protège pas contre l'infection et la contagion " C'est officiel : vous vous êtes fait emplumés en beauté, le temps est au reviremen...
Fabrice Di Vizio dézingue Jean-François Delfraissy après ses soi-disant «regrets» dans Le Parisien : «Vous êtes responsable de tragédies innombrables et affreuses!» (Vidéo complète)https://t.co/AgQ6pGF0y3
Dans une lettre adressée au prochain Premier ministre et lue par Lecourrier-du-soir.com, cent (100) médecins et scientifiques britanniques demandent au prochain gouvernement de mettre une pause à la vaccination des enfants le temps qu’une étude approfondie et indépendante soit entreprise sur la sécurité des vaccins. Dans la lettre, les 100 médecins et scientifiques émettent de sérieux doutes quant à la sécurité et la nécessite de vacciner les enfants.
La vaccination des enfants est-elle devenue le nouveau front dans la guerre qui oppose les Etats aux médecins? En tout cas, si dans beaucoup de pays au monde, notamment aux Etats-Unis, les autorités sanitaires appellent à vacciner les enfants contre le Covid, dans d’autres parties du monde, cette mesure est vue d’un mauvais œil.
C’est notamment le cas de la Grande-Bretagne où 100 influents médecins et scientifiques ont co-signé une lettre exigeant du prochain Premier ministre qu’il ou qu’elle mette une pause urgente au déploiement du vaccin Covid-19 pour les enfants en bonne santé le temps qu’une étude approfondie et indépendante de la sécurité de ce vaccin soit entreprise.
Dans la tribune lue par Lecourrier-du-soir.com, les 100 médecins affichent leur doute quant à la fiabilité de ce vaccin administré aux enfants. “Nous, agents sanitaires et scientifiques, nous faisons d’énormes soucis concernant la sécurité et la nécessité de ce vaccin administré aux enfants (…). Nous vous demandons de mettre en pause le déploiement de ce vaccin pour les enfants en bonne santé le temps qu’une étude approfondie et indépendante de la sécurité soit entreprise”, peut-on lire.
Dans la lettre, les médecins enfoncent le gouvernement. “Nous vous demandons fermement de renoncer au déploiement de ce vaccin (chez les enfants, ndlr) pour les raisons suivantes. Le Covid a toujours été une maladie très bénigne chez les enfants, provoquant 1 risque de décès sur 2 000 000”, notent-ils.
Pour étayer leurs arguments, les 100 médecins et scientifiques britanniques soulignent la disparition rapide de l’immunité conférée par le vaccin ainsi que l’absence de données fiables autour du vaccin Covid. Plus loin, les médecins crachent le morceau : “en gros, la balance Bénéfice/Risque, utilisée pour déployer le vaccin mRNA chez les plus âgés et les plus vulnérables, est totalement inappropriée et inapplicable chez les enfants en 2022.”
Pour lire la lettre dans sa version originale, cliquez ici : ChildrensUnion.org
Thomas Mertens (G), le "monsieur vaccin" de l'Allemagne, et Karl Lauterbach (D), ministre de la Santé.
AFP
Le ministre de la Santé allemand Karl Lauterbach vient de recommander une quatrième dose de vaccin contre le Sars-CoV-2, pour les moins de 60. Un avis que ne partage pas Thomas Mertens, chef de la Commission permanente des vaccinations (la Stiko). Ce n’est pas la première fois que Karl Lauterbach doit faire face aux désaccords de Thomas Mertens, désormais connu pour son franc-parler.
La situation épidémiologique en Allemagne
L’Allemagne, comme l’ensemble des pays européens, fait face à une nouvelle vague de coronavirus. Cette fois, ce sont les sous-variants d’Omicron, les BA4 et BA5 qui sont à l’origine de la nouvelle épidémie. Si le variant n’est pas très létal, il est très contagieux. Selon l'Institut Robert Koch (RKI), l'incidence ne cesse de croître et les experts estiment depuis un certain temps qu'il existe un nombre élevé de cas non recensés par le RKI, notamment parce que toutes les personnes infectées ne font pas un test PCR. Seuls les tests PCR positifs sont comptabilisés dans les statistiques. De plus, des déclarations tardives ou des problèmes de transmission peuvent entraîner une distorsion de certaines valeurs quotidiennes.
La quatrième dose de la discorde
Les autorités sanitaires allemandes ont-elles une stratégie claire en matière de politique vaccinale contre le Sars-CoV-2 ? La quatrième dose de rappel pourrait bien être celle de la discorde entre l’exécutif et une partie de la communauté scientifique. En effet, dans ce contexte de reprise épidémique, le ministre de la Santé, Karl Lauterbach, s’est prononcé en faveur d'une quatrième vaccination pour les moins de 60 ans. Selon lui, ce nouveau rappel permettrait de réduire le risque d’infection et de covid long pendant quelques mois. Néanmoins, il estime que la décision doit se faire en concertation avec le médecin de famille compétent, comme le rapporte le Spiegel.
« Si une personne veut profiter de l'été et ne pas prendre le risque de tomber malade, je recommanderais alors la vaccination aux plus jeunes, en accord avec le médecin de famille. On a alors tout simplement une tout autre sécurité », a-t-il déclaré.
À la suite de ces déclarations, Thomas Mertens, président de la Commission permanente des vaccinations (la Stiko), n'a pas tardé à réagir pour faire connaître ses désaccords avec le ministre. Il a justifié sa position en expliquant ne pas disposer de données qui justifient une quatrième dose pour les personnes plus jeunes.
« Je pense qu'il est mauvais de faire des recommandations médicales selon la devise "beaucoup aide beaucoup" (Viel hilft viel) » a-t-il déclaré.
Jusqu’à présent, la Stiko recommande le second rappel uniquement pour les personnes de 70 ans et plus et les personnes qui présentent des comorbidités.
Au niveau européen, le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC) et l'Agence européenne des médicaments (EMA) ont fait connaître leur position ; elles ont estimé qu’il était judicieux de permettre à toutes les personnes de 60 ans et plus, ainsi qu’aux personnes ayant été malades ou ayant des comorbidités, de recevoir un nouveau vaccin de rappel contre le Sars-CoV-2.
Après les recommandations des agences européennes, Karl Lauterbach a laissé entendre que la Commission permanente des vaccinations se rangerait à l’avis des agences européennes. « Je suis presque certain que la Stiko fera de même » avait-il déclaré tout en certifiant qu’après cette quatrième dose, il serait encore possible de prendre un vaccin spécifiquement adapté à Omicron.
Interrogé sur la mission de la Stiko, le ministre de la Santé a critiqué le travail général de cet organisme. À la question de savoir si la Commission avait besoin d’un nouveau chef, il n’a pas répondu directement, mais a appelé à réfléchir à la manière de dynamiser le travail de la Stiko. Il est vrai que ce n’est pas la première fois que Karl Lauterbach et Thomas Mertens ont des vues divergentes en matière de politique vaccinale. À l’automne dernier, à propos de la vaccination des enfants avec le vaccin pédiatrique de Pfizer/ Biontech, le plus grand expert de la vaccination en l’Allemagne avait ébranlé la confiance dans la stratégie vaccinale du gouvernement en déclarant qu’il ne ferait pas vacciner son enfant.
En attente de nouveaux vaccins
Les laboratoires Pfizer et Moderna ont annoncé il y a peu la mise sur le marché de nouveaux vaccins contre les nouveaux variants. Des vaccins qui sont déjà sur le continent américain et qui devraient arriver en Europe à l'automne. Il s'agit de vaccins bivalents. Les deux contiennent la séquence ARN de la protéine Spike de la souche sauvage de Wuhan, à laquelle ont été ajouté la séquence ARN du variant BA.1 pour le vaccin élaboré par Moderna et la séquence ARN du variant BA.4 et BA.5 pour celui de Pfizer.
Le choix du vaccin sera déterminé par le variant qui dominera à l'automne, a assuré le porte-parole du gouvernement, qui prépare déjà une population de plus en plus réticente à recevoir les nouvelles thérapies, malgré un certain degré d'incertitude sur les paramètres de l'épidémie.
Décès consécutifs aux vaccins: des médecins néo-zélandais sonnent l'alerte
Depuis le début de la campagne de vaccination en Nouvelle-Zélande, le nombre de décès et d’effets indésirables consécutifs aux injections ne cesse de croître. Face à cette situation, un collectif de médecins nommé New Zeland Doctors Speaking Out with Science (NZDSOS) s’est constitué pour demander l’ouverture d’une enquête par la police. Ils ont fait paraître une lettre dans laquelle ils expliquent leurs positions ainsi que leurs attentes. Voici les principales allégations qu'ils portent contre le mandat vaccinal et la pharmacovigilance de leur pays.
Un système de pharmacovigilance peu fiable
Selon ces médecins, le système de pharmacovigilance de la Nouvelle-Zélande est peu efficace. Dans ce pays comme dans beaucoup d’autres, les médecins n’ont pas l’obligation de signaler les effets secondaires. Or, avant le début du déploiement des vaccins en Nouvelle-Zélande, les systèmes de pharmacovigilance des pays qui avaient beaucoup vacciné, montraient déjà des signaux très alarmants chez certaines personnes ayant reçu les injections.
La situation en Nouvelle-Zélande ne s'est pas avérée différente de celle des pays qui ont appliqué une politique vaccinale analogue, et devant les effets indésirables suspectés d'être en lien avec la vaccination, de plus en plus de professionnels de santé exigent une enquête appropriée, comme c’est le cas pour tout médicament ne faisant pas l’objet d’étude de sécurité.
Au début du mandat vaccinal, le Dr Helen Petousis-Harris, spécialiste de la vaccination, a prévenu que des mécanismes de surveillance précis et établis étaient essentiels, étant donné l'absence sans précédent de tests sur les animaux ou d'essais cliniques prolongés pour ce traitement expérimental et précipité contre le Covid-19.
" Il est vital que des systèmes solides de pharmacovigilance et de surveillance active soient en place", avait-elle déclaré.
Comme ce qu’elle a demandé n’a pas été instauré, une base de données citoyenne s’est créée, pour compenser le manque de pharmacovigilance. Quelque 500 décès consécutifs aux injections y ont été enregistrés par des groupes de bénévoles, qui ont tous reçu une formation dans le domaine des soins de santé, des sciences et de l’informatique. Des professionnels de l’épidémiologie et des bases de données ont également apporté un soutien dans l’analyse des cas déclarés. La grande majorité de la base de données des personnes décédées a été constituée à partir de la notification des parents, d’amis ou de professionnels de santé.
L’autorisation provisoire en question
Dans leur lettre, les médecins rappellent que le vaccin Comirnaty de Pfizer n'a été et n'est toujours diffusé que sous le couvert de l'autorisation provisoire du ministre de la Santé. À l'origine, l'autorisation provisoire d’un médicament ou d’un vaccin permettait de l’utiliser « de manière restreinte pour le traitement d'un nombre limité de patients ». Cela était dû aux nombreuses inconnues du produit encore en phase d'essai clinique.
Lorsque les mesures des autorités ont fait l’objet d’une contestation devant la Haute Cour en mai 2021, le gouvernement a été jugé en violation de ses propres lois. Pour répondre à cette nouvelle situation, il a rapidement modifié la loi en supprimant la réserve relative à l'utilisation de médicaments ayant fait l'objet d'un consentement provisoire. Désormais, un médicament provisoire n'a plus besoin d'être utilisé sur une « base restreinte » ou « pour un nombre limité de patients » et tout le monde peut l'obtenir.
Les signaux évidents ignorés
Dans tout essai de clinique « normal », les chercheurs sont extrêmement attentifs à tout signe éventuel de problème, et l'essai est immédiatement arrêté si des problèmes sont détectés par le comité indépendant de surveillance de la sécurité (ISMB). Dans le passé, ces mesures de précautions ont toujours été appliquées dans les programmes de vaccination précipités. Lors de l’épidémie de grippe porcine de 2008, le vaccin déployé contre l’épidémie a été retiré après avoir provoqué moins de 50 décès dans le monde et plusieurs centaines de cas de lésions neurologiques chez les enfants.
Depuis le début du mandat vaccinal contre le Sars-CoV-2, la thérapie génique de Pfizer a fait l'objet de cent soixante rapports de décès enregistrés à la CARM, le système de rapport « officiel », en Nouvelle-Zélande. Cependant, de l’avis de ces médecins, ce système de pharmacovigilance est passif, lent et totalement inadapté.
Ces médecins dénoncent également l’attitude de l’organisme de réglementation des médicaments, Medsafe, qui a déclaré que 48 de ces décès sont « insuffisamment documentés » et 99 autres décès sont « peu susceptibles d'avoir été causés par le vaccin ». Seuls trois de ces décès signalés ont été officiellement liés au vaccin, dont deux concernaient des jeunes gens qui étaient très peu susceptibles d'avoir été gravement affectés par l'infection de Covid-19.
Pour cette association de médecins, un grand nombre de gouvernements et d'autorités de santé publique dans le monde poursuivent leurs efforts de vacciner toute la population, ignorant les signaux évidents de leurs propres systèmes de notification passifs, alors même que la publication ordonnée par la justice des documents confidentiels de Pfizer relatifs à la post-commercialisation révèle que le géant pharmaceutique était au courant de 1 223 décès (voir page 7) et de plus de 40 000 cas d'effets indésirables au cours des trois premiers mois d'utilisation.
En outre, les données de Pfizer publiées ultérieurement ont confirmé qu'elles prévoyaient le phénomène ADE (Antibody Dependant Enhancement traduit par facilitation de l’infection par les anticorps), entraînant une aggravation de la maladie de Covid-19 chez les personnes vaccinées, ainsi que des risques pour des femmes enceintes, notamment des fausses couches et des enfants morts nés. Une recherche récente publiée dans la revue Nature suggère que le phénomène ADE est bien réel.
Les données de Medsafe, qui publie des rapports de sécurité mensuels sur le déploiement du vaccin, soulèvent beaucoup de suspicions depuis que l’agence a déclaré qu’elle ne pouvait saisir que 5 % des décès et des effets secondaires. Le collectif – mais les soupçons vont bien au-delà – est certain que le nombre de victimes de la vaccination est très élevé et qu’il n’est pas communiqué au public, qui continue à accepter un produit plus dangereux que la maladie qu’il est censé prévenir, en particulier chez les jeunes, pour qui le rapport bénéfice/risque ne joue pas en faveur de la vaccination.
Dans ce pays de cinq millions d’habitants, la convergence entre les périodes de vaccination et la hausse de la mortalité interrogent les statisticiens et les entrepreneurs de pompes funèbres. En établissant une comparaison entre les années 2020 et 2021, le statisticien Grant Nixon a noté une augmentation de 2 000 décès supplémentaires, avec une moyenne de six par jours, dont les vagues suivent presque exactement les taux de vaccination hebdomadaire des plus de 65 ans.
Face à cette situation inquiétante, les médecins ont écrit une lettre à la police, dans laquelle ils rappellent à Andrew Coster (qui dirige cette institution) que certains faits rapportés par des juristes alléguant des problèmes avec les vaccins ont volontairement été ignorés. Les mêmes manquements se sont produits lorsque les médecins lui ont rapporté des fautes imputables, selon eux, à l'organisme de règlementation Medsafe, n’hésitant pas à souligner l’aspect criminel de cette négligence.
Loin d’abandonner leur mission et malgré l'absence de réponse suite aux premiers courriers, les médecins ont renouvelé leur démarche. Ils espèrent que cette fois, la police se décidera à intervenir pour ouvrir une enquête sur les morts suspectes. Pour appuyer leur requête, ils ont joint certains rapports des personnes décédées.
Cette lettre officielle rappelle également à la police sa principale mission, à savoir « défendre le bien public en distinguant le bien du mal, le mensonge de la vérité, en cessant de s’abriter derrière des institutions gouvernementales contrôlées, défaillantes ou corrompues ». En somme, toutes les qualités indispensables à cette institution pour assurer la sécurité des personnes.
Vous croyiez dans votre grande ingénuité et votre grande naïveté avoir a faire a des gens de qualités mais vous n'avez au-dessus de vous que la lie de l'humanité qui se vautre dans le luxe, les vices, le mépris, la magouille et le crime le tout à vos dépens !
Alors n'espérez rien de ceux là qui vous mentent et vous volent sans vergogne ! Prenez votre destin en mains !
Christine Deviers-Joncour : « Les citoyens se croyant protégés par leurs gouvernants réalisent aujourd’hui que ce sont leurs pires ennemis ! »
Son nom ne vous est pas inconnu, cette femme a défrayé la chronique de toute la presse française dans les années fin 90- début 2000.
Connue sous le sobriquet de « la putain de la République », Christine Deviers-Joncour réapparaît dans la lumière par le biais de l’écriture.
A l’occasion de la sortie de son dernier roman In silico, Christine, comme elle aime se faire appeler, nous a accordé un entretien sincère et émouvant laissant transparaître une femme forte, pleine de conviction et assoiffée de liberté. Une bouffée d’oxygène loin des médisances du passé !
« J’entendais leur mépris pour le peuple et leur fameux projet concernant une dépopulation à venir pour soi-disant « sauver la planète » car, disaient-ils, le peuple pollue et pour la plupart, les citoyens sont des « inutiles ». »
Le Média en 4-4-2 : Bonjour Christine et merci d’avoir accepté l’invitation du Média en 4-4-2. Vous venez de publier votre dernier roman, In Silico, la cité des abysses, dont l’intrigue se déroule dans un monde de science-fiction pas si loin de la réalité…Votre héroïne, Elem, habite au 65e étage dans un 40 mètres carrés. Elle utilise sa carte de crédit et un lecteur d’empreintes pour y accéder. Dans son appartement, se trouve sur un mur « un orifice pour assurer sa protection et sa sécurité. » Il lui faut sa « carte magique » pour se doucher, utiliser sa cafetière.Cette carte fait également office de carte Vitale et lui est indispensable pour avoir « un toit, de l’eau et du confort ». Et pour couronner le tout, Elem a une puce implantée à son poignet pour avoir accès à son lieu de travail… On se croirait en plein 1984 de George Orwell ! Est-ce que, comme lui à son époque, vous voyez notre société plonger vers ce monde du tout-contrôle ?
Christine Deviers-Joncour : Merci pour votre invitation. J’ai écrit ce livre en 2012. Et à cette époque je n’imaginais pas une seconde que nous allions vivre une période aussi sombre. Juste une précision : le terme in silico est un terme utilisé en informatique et bio-informatique. Je crois que c’est là mon vrai premier roman. Aucune référence à mon expérience personnelle passée, contrairement aux autres livres. Et c’est sans doute là que je me suis sentie le plus libre. Mais forte de mon expérience, de ce que j’ai vécu pendant quelques années si proche du pouvoir, il y avait des choses que je brûlais d’évoquer. Sous la forme de fiction ce fut plus facile et même assez grisant. Il est vrai qu’à une période de ma vie où j’ai dû côtoyer le pouvoir d’un peu trop près, j’assistais souvent à des discussions qui ne laissaient aucun doute sur leurs intentions. J’entendais leur mépris pour le peuple et leur fameux projet concernant une dépopulation à venir pour soi-disant « sauver la planète », car, disaient-ils, le peuple pollue et, pour la plupart, les citoyens sont des « inutiles ». Je ne pouvais imaginer à l’époque que cela deviendrait réalité. Mais je sentais bien que l’avenir s’assombrissait. Je n’avais pas lu 1984 de George Orwell à l’époque. J’ai depuis comblé cette lacune. Mais pour répondre à votre question : oui, il décrit ce monde du tout-contrôle dans sa fiction et en ce qui nous concerne ce n’est malheureusement plus de la fiction, mais une terrible réalité dans laquelle nous sommes en train de sombrer, si nous ne nous ne réagissons pas. Et il y a urgence !
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« Cette poignée de psychopathes inhumains, avides de pouvoir et derichesse s’effondrera tôt ou tard ! »
Le Média en 4-4-2 : Face à cette urgence, comment réagir ? Comment faire prendre conscience à nos concitoyens de cet immense danger ? Car, comme décrit dans votre roman, le pouvoir opère depuis très longtemps une manipulation de la masse, qui n’en est pas consciente.
Christine Deviers-Joncour : Oui, cette manipulation de masse a été sciemment mise en place depuis très longtemps. Au lieu de Grand Reset, je préfère Grand Réveil ! Peu à peu les gens s’informent et comprennent que nous sommes sur un volcan. Nous n’avons plus besoin de livres d’Histoire. L’Histoire est un flux qui nous nourrit de vérités, de faussetés que nous trions comme d’antiques chercheurs d’or que les évènements rongent car, par tous les canaux, surtout par ceux d’une propagande excessive, ridicule, les réalités viennent à nous, jour après jour, comme autant de coups deboutoir, comme autant de vagues qui finissent par faire du sable des falaises les plus dures. Nous vivonscomme les anciens dieux qui observaient les Grecs et les Troyens et intervenaient dans leurs combats. Nous aussi nous observons et nous intervenons. Le Net est un rugissement de révélations et de colères. Et il est difficile de gouverner en le négligeant. Cette poignée de psychopathes inhumains, avides de pouvoir et derichesse s’effondrera tôt ou tard ! Patience…. On dit que In silico est prophétique ! Alors lisez jusqu’au bout et vous verrez la fin de ce cauchemar dans la Cité des Abysses! C’est la fin que je nous souhaite !
Le Média en 4-4-2 : Effectivement, c’est un roman plein d’espoir et nous n’allons pas dévoiler la fin inattendue de cette histoire. Mais vous qui avez été l’observatrice, l’objet voire la confidente de certains de ces psychopathes, ne pensez-vous pas que pour certains d’entre eux leur part d’humanité est tellement enfouie que c’est là la faille. Et qu’au lieu de s’en éloigner, il suffirait de rallumer cette flamme, comme pour Wendel!
Christine Deviers-Joncour : L’amour peut engendrer des miracles ! Rare, mais possible… (rires) ! Pour gagner l’estime et se battre dans l’arène, l’homme s’est détourné de sa vraie nature, de son essence profonde. En retrouvant cette essence, ses vraies richesses intérieures lui seraient révélées. Réconcilié avec lui-même, il y gagnerait une communication plus simple et plus humaine. Que chacun agisse en accord avec sa nature profonde, avec son âme et tout en restant soi-même, chacun danserait ainsi avec l’autre dans la créativité et dans un magnifique mouvement d’évolution. Malheureusement pour eux, ces gens de pouvoir sont infirmes, sans empathie, sans humanité et la frontière est fragile avec la criminalité. Cela devient flagrant ces dernières années Covid. Les citoyens se croyant protégés par leurs gouvernants réalisent aujourd’hui que ce sont leurs pires ennemis !
Le Média en 4-4-2 : Puisque nous évoquons la relation entre vos deux personnages principaux, pouvez-vous nous parler du choix de leursprénoms? Elem, prénom turc qui signifie Dieu, et Wendel, prénom allemand qui signifie « errer »…
Christine Deviers-Joncour : En ce qui concerne Elem, ce nom est tiré du dictionnaire elfique de Tolkien qui signifie : fine, délicate, élégante. Quant à Wendel, j’ai inventé ce prénom et je vous remercie de me donner son origine. Sans dévoiler qui est notre héros, « errer » lui convient parfaitement, mais je ne peux en dire davantage. Le lecteur comprendra ! Néanmoins, les prénoms n’avaient pas pour but de définir leurs caractères propres et leurs parcours. Mais en ce qui concerne Wendel, je suis très touchée par cette référence…
« Le peuple devient du bétail manipulé, sans bientôt plus aucun libre arbitre »
Le Média en 4-4-2 : Comme quoi, si le hasard existe, il fait bien les choses ! A la seconde lecture de votre roman, et en gardant en tête qui en est l’auteur, on se demande où est la frontière entre la fiction et la réalité, notamment en ce qui concerne le contrôle total de la population. On se doute que vous ne pouvez pas révéler tout ce que vous avez entendu en étant « si proche du pouvoir »… Avez-vous écrit une fiction pour être en quelque sorte « plus libre » ?
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Christine Deviers-Joncour : Probablement oui, on peut ainsi dire des vérités sans interdit, ni barrière ! Dans l’histoire, deux lieux se chevauchent : d’une part, une ville futuriste, inhumaine et expérimentale très cruelle pour les citoyens, non loin de ce que nous vivons depuis quelque temps, et de l’autre, le pays des rêves pour survivre pour inventer une autre vie possible dans une sorte de réel imaginaire. Effectivement, tout au long de l’histoire, on peut se demander où est le réel et où est l’imaginaire ? La plus parfaite illusion d’un monde vaut la réalité, mais à la condition d’en ignorer la nature. Voyez ce que nous sommes en train de vivre au quotidien : les libertés sont grignotées chaque jour davantage, notre constitution bafouée, les élections truquées, les interdictions en rafale. Le peuple devient du bétail manipulé, sans bientôt plus aucun libre arbitre. Covid et injections meurtrières, dépopulation, chômage et tout ce qui en découle ! Les angoisses et la tristesse, la peur du lendemain et d’un futur sombre, la peur pour nos enfants. Que nous reste-t-il ? Rêver ? Oui sans doute. Là on ne peut ni nous le prendre, ni le taxer, ni nous l’interdire ! Et c’est gratuit ! Chimère, utopie ? Gérard de Nerval disait : « Le rêve est une seconde vie …» Pourquoi pas ? Que risquons-nous ? Et souvent les rêves deviennent réalité. Dans tous les cas, c’est là quelque chose d’insondable qui imprègne toutes choses de sublime. Et quelquefois ce qui est de l’ordre du sublime devient visible.
« J’ai aujourd’hui gagné ma liberté et je suis fière du combat que j’ai mené »
Le Média en 4-4-2 : On sent dans vos réponses beaucoup de sagesse et de spiritualité, une Christine totalement éloignée de la Christine de la presse à scandale, « La putain de la République ». Pouvez-vous nous raconter l’histoire cachée de ce titre? Et comment passe-t-on de cette image publique peu flatteuse et lourde à porter à celle d’un écrivain plein de possibilités, libre si j’ose dire?
Christine Deviers-Joncour : Ce nom peu flatteur me fut donné par la juge Eva Joly des mois avant de me connaître ! A travers moi, elle voulait s’attaquer à Roland Dumas, alors président du Conseil Constitutionnel, quatrième homme d’État. Grand bourgeois, grand érudit, et collectionneur, il n’avait pas que des amis au sein du parti socialiste. Et de plus, on ne lui avait pas pardonné, du temps où il était au Quai-d’Orsay, sa politique pro-palestinienne, pro-russe, etc. Il savait tout cela et m’en parlait à l’époque.Et puis, ce fut le scandale de « l’affaire des frégates de Taïwan », baptisée JUDICIEUSEMENT :« Affaire Dumas-Deviers-Joncour ».Quatre milliards de francs de l’époque détournés sur un contrat d’État et une vingtaine de morts, malheureux témoins des détournements. Je fus le fusible désigné pour protéger cette corruption. Mais je n’ai pas baissé les bras et j’ai bataillé. J’ai appelé ça, ma « drôle de guerre à moi ».L’ennemi était de taille : politiques, presse, journalistes, juges, avocats véreux et la Justice … qui n’en avait que le nom!Je fus la toute première en 2001 à oser dénoncer la corruption politique en France ! Prison, contrat sur ma vie, menaces.L’argent qui me fut reproché n’était pas pour moi…Je l’ai rendu en intégralité à la Justice.Je suis la dernière survivante de cette affaire que le juge Van Ruymbeke désigna comme le plus gros scandale de la 5e république en rétrocommissions et nombre de morts, malheureux témoins.Sachez que dans ces affaires, à ce niveau-là, il faut toujours des fusibles… je fus l’un d’eux.Ce malheureux titre dont on m’a affublée aurait dû être :« Putain de République » ! Trop compliqué et dangereux, je n’ai pas pu à l’époque pour de multiples raisons !Mais le peuple commence enfin à ouvrir les yeux sur la corruption et les mensonges et manigances de leurs « élites » et ce, à tous les niveaux. Il était temps ! La vraie Christine est celle qui écrit. Et ce depuis toujours. Cela m’a aidée aussi à me défendre dans cette horrible période grâce à de nombreux essais. Libre ? Ô combien ! Quand vous avez passé cinq années dans Paris affublée d’un gilet pare-balles et sur un vélo en sens interdit pour me protéger… J’ai aujourd’hui gagné ma liberté et je suis fière du combat que j’ai mené. Libre oui ! Loin de tout… ce qui permet de les observer à la loupe bâtir d’improbables cathédrales sur des socles de poussière. Ils sont pathétiques. Alors j’ai continué à écrire et illustrer aussi… Et c’est dans l’écriture que j’ai trouvé mon second souffle, car écrire est une façon de hurler en silence et de chasser les démons.
Le Média en 4-4-2 : Et à quel prix! Une liberté que vous avez arrachée du plus profond de vos tripes. Et en même temps, des décennies plus tard, lorsque vous évoquez Roland Dumas, on sent un profond respect, une admiration étouffée. Pour autant, il n’était pas un enfant de chœur, avocat reconnu, franc-maçon, membre du Grand Orient de France, sans compter son passé politique et il a été le bras droit de François Mitterrand. Êtes vous objective lorsqu’il s’agit de Roland Dumas ?
Christine Deviers-Joncour : Je garde de cet homme le meilleur : une immense et insatiable culture, l’esthète, le talentueux chanteur d’opéra ténor méconnu, le tribun hors norme, le passionné de musique et d’art, polyglotte, six langues et se mettait au persan, capable de parler par exemple l’allemand avec l’accent berlinois ou l’accent autrichien à Vienne. Intarissable sur l’Histoire de l’art ou de la littérature.Un des derniers meilleurs ministres des Affaires étrangères, et de loin ! Quand on voit ceux qui défilent sous les lambris du Quai-d’Orsay ces dernières années. Grandeur et décadence.Un personnage à multiples facettes. Pendant dix années j’ai côtoyé cet homme et tenté sans cesse de me mettre à niveau, consciente de mes lacunes.Il m’a appris et communiqué cet appétit de connaissance… dans tous les domaines. Et cela est précieux et je l’en remercie.Je fus aussi touchée par sa sensibilité extrême, mais troublée aussi par son implacable dureté.Un jour, il m’avoua que je fus la seule femme auprès de qui il n’avait ressenti ni ennui ni lassitude… Ce fut pour moi un magnifique compliment.Multiples facettes oui, ange et démon. Franc-maçon oui… comme tous ceux qui font carrière, ne soyons pas naïfs !Et puis comme tout homme de pouvoir quand ils se sentent en danger, ils n’hésitent pas à pratiquer la politique de la terre brûlée pour se protéger.Il déclara sans vergogne qu’il ne me connaissait pas ou à peine. Brutal, injuste et douloureux.Il a 100 ans cette année. Laissons-le en paix. Dieu reconnaîtra les siens..
« Imaginez, juste un instant, les Russes installant des bases militaires aux frontières des États-Unis ! »
Le Média en 4-4-2 : En plus de l’écriture, vous vous engagez dans le milieu caritatif notamment auprès de Novopole, une association qui apporte son aide aux Russophones de la région du Donbass. Vous n’avez donc pas découvert il y a quelques mois les atrocités menées par le régime ukrainien dans cette région… Comment percevez-vous cette opération menée par Vladimir Poutine, notamment au niveau géopolitique ?
Christine Deviers-Joncour : En 2014 je fus mise en contact avec des gens qui se mobilisaient pour apporter une aide au peuple russophone de l’Est de l’Ukraine, le Donbass en particulier, pilonné sans cesse par les ukro-nazis de Kiev. Touchée et émue par ce peuple en souffrance, je me suis approchée de tous ces gens de bonne volonté. N’ayant pas de moyens financiers, j’ai exécuté plusieurs illustrations sur ce drame qui furent mises aux enchères à Genève par une association ; les ventes ont permis de récolter un peu d’argent pour les aider. Vous pouvez les voir sur mon site internet. À cette époque, nous espérions en priant pour que la Russie vienne leur porter secours et stopper ce carnage aux portes de l’Europe. Les accords de Minsk n’étant pas respectés, nous étions très inquiets devant ces bombardements permanents, ces pilonnages et ces enfants massacrés et surtout ce silence radio assourdissant de tous les médias occidentaux ! Mais il a fallu du temps pour que cette aide tant espérée arrive enfin. En prévision de sanctions des États-Unis et de l’Union européenne inévitables, la Russie a dû s’y préparer durant ces huit années. Le 21 février 2022, trois jours avant l’invasion de l’Ukraine par la Russie, le président de la fédération de Russie, Vladimir Poutine, déclarait lors d’une allocution télévisée : « L’Ukraine, ce n’est pas seulement notre voisin mais c’est également une partie de notre histoire, de notre espace culturel ». Avant d’ajouter que « l’Ukraine contemporaine a été entièrement et complètement créée par la Russie, plus exactement par la Russie communiste, bolchévique ». Imaginez, juste un instant, les Russes installant des bases militaires aux frontières des États-Unis ! Il y aurait fort à débattre mais je ne suis pas experte en géopolitique et ce n’est pas le propos ici !
« J’ai lourdement payé pour avoir vu de très près ! »
Le Média en 4-4-2 : En retraçant l’ensemble de votre parcours, avez-vous des regrets, des remords ? Auriez-vous fait des choses différemment ?
Christine Deviers-Joncour : Des regrets, oui, bien sûr. Qui n’en n’a pas… Des remords ? oui, d’avoir fait de mauvais choix : ainsi ma vie a été conduite pour l’amour de mes deux fils qui ont eu chacun des pères peu responsables et défaillants et qui eux aussi en ont souffert. J’ai dû alors prendre la relève. J’ai dû assumer les rôles de père et de mère. Je me suis donc battue. Seule. Donc mes regrets sont là : les mauvais choix quant à mes deux époux et pères de mes fils. Pour autant, j’ai eu une vie chaotique mais je ne regrette rien. Je me suis frottée à la vraie vie, aux combats, aux difficultés et j’ai réalisé depuis longtemps dans quel monde nous vivions avec ses injustices et ses dérives. Je suis témoin de ce que sont vraiment nos gouvernants et du système qu’ils ont instauré. J’ai lourdement payé pour avoir vu de très près ! À refaire ? oui sans aucun doute. Pour le meilleur et pour le pire. Je ne suis pas ressortie de ce cauchemar indemne, c’est un fait, les cicatrices trop profondes ne se refermeront pas. Mais j’ai acquis une force qui me permet de regarder ce monde dans lequel nous vivons avec une grande lucidité et sans surprise, ni panique. Alors j’écris… Que mon expérience puisse aider les gens à ouvrir les yeux.
En fait, nous vivons deux apocalypses : tout d’abord celle de la fin d’un monde qui se détruit tout seul par ses excès, le fameux « hubris » qui est la faute fatale qui culbute les hommes qui s’y abandonnent, les empires qui s’étendent trop et deviennent ingérables. L’apocalypse où tombent les masques ! Et enfin l’apocalypse du renouveau que tous les enfants de ce siècle, qui part si mal, ont envie de créer ! « Les affaires, sont les affaires…», disent certains. L’harmonie universelle leur est supérieure. Le choix est fait !
« Les peuples doivent impérativement continuer à se lever, réagir pour mettre fin à ce délire, à cet assassinat planétaire perpétré par une poignée de nuisibles, complètement fous et dégénérés »
Le Média en 4-4-2 : Merci Christine pour le temps que vous nous avez consacré ! Merci pour cet émouvant et captivant entretien. Nous vous laissons le mot de la fin pour que vous puissiez par exemple nous dire ce qu’on peut vous souhaiter pour la suite.
Christine Deviers-Joncour : Mon souhait ? que les peuples retrouvent enfin un monde apaisé et la sérénité ! Que nos enfants soient protégés de ces satanistes qui opèrent et complotent depuis trop longtemps… Que justice soit faite contre ces criminels ! Quant à moi, que je puisse à travers l’écriture continuer ce combat avec tant d’autres qui se battent aussi. L’ordre mondial actuel ne peut plus se perpétuer de la sorte ! Il est un problème crucial pour l’humanité, un problème qui doit être impérativement et au plus vite résolu. Les peuples doivent impérativement continuer à se lever, réagir pour mettre fin à ce délire, à cet assassinat planétaire perpétré par une poignée de nuisibles, complètement fous et dégénérés.
Christine Deviers-Joncour : les vices purulents des milieux corrompus de nos « républiques »
Je n'ai aucune prétention, non seulement à l'infaillibilité, et moins encore à la parfaite et pure intégrité morale. Ajoutons que parfois j'hésite à publier certaines nouvelles qui pourraient décourager des lecteurs jeunes et encore « innocents » (plus ou moins) et les pousser à l'ignominie de s'abandonner, pour n'être pas considérés comme bêtes et niais, aux vices et au crimes. J'ai été éducateur, et professeur, respectueux des adolescents qui m'étaient confiés.
C'est pourquoi je crois devoir publier cette lettre de madame Christine Deviers-Joncour. Non que je considère madame Deviers-Joncour comme une sainte. Qu'elle ne fut pas toujours dans le milieu (politique) où elle fut immergée. Je veux croire qu'elle-même ne se considère pas comme une sainte, sauf à être la pire des hypocrites. D'ailleurs les saints authentiques ne furent pas tous des « jésus en bocaux » pour reprendre une expression créole de chez nous. Et ce qui fait la force intellectuelle et morale de certains de ceux-ci c'est d'être devenus tout à fait clairvoyants sur les vices, dont ils furent dans leur passés prisonniers.
Il faut pour nos populations, pas seulement dans nôtre occident bien malade actuellement, y compris dans nos aires antillaises, c'est d'être éduqués chrétiennement et de ce fait rendus lucides et volontaires.
La lettre de Deviers-Joncours montre, me semble-t-il qu'elle avait reçu cette éducation.
Je tenais à ces précisions pour faire comprendre qu'il n'y a nulle jubilation de ma part dans cette publication, seulement une volonté de réaction.
Les imbéciles ne traitent-ils pas vôtre Scrutateur de … « réactionnaire ».
Elle fut la maîtresse de Roland Dumas, de longues années ministre des affaires étrangères de François Mitterrand. En son temps, elle sortit un livre de révélations intitulé « La putain de la République ». Son nom a beaucoup circulé dans des histoires de corruption impliquant les plus hauts personnages de l’État. Autant dire qu’elle a vu de ses yeux l’envers du décor et la face obscure du monde politique.
Voici ce qu’elle dit:
«J’entendais leurs délires, loin d’imaginer qu’ils iraient jusqu’au bout de leur folie. Je les ai vus, à l’époque, se goberger, s’empiffrer sur le dos de la bête. Je les ai vus, les yeux plus gros que le ventre, piller et se goinfrer. Se donner des lettres de noblesse factices que leur position et leur pouvoir leur conféraient. Je les ai vus bomber le torse et de leur petite hauteur, mépriser le peuple en donnant au château de Versailles des fêtes royales pour célébrer dignement l’arrivée au pouvoir du nouveau « monarque ». Les cortèges de voitures officielles comme autant de carrosses et les garden-parties de ces nouveaux parvenus bientôt emperruqués.
J’ai vu les épouses et leur marmaille jouant à Marie-Antoinette sans vergogne sous les lambris, dont le passe-temps se limitait à organiser des dîners fins entre amis et visiter le Mobilier national comme on va chez Ikea. Gratuit ici. Surtout quand on omettait de restituer pièces d’art et meubles d’époque.
Je les ai vus et j’ai payé très cher pour avoir été témoin, n’étant pas du sérail…
J’ai vu les caisses noires des ministères exonérées d’impôts, les frais d’intendance éhontés enfler toute honte bue, chauffeurs et gardes du corps à vie et retraites cumulées replètes, rétro-commissions sur des marchés d’état, des avions équipés comme des palaces volants, des jets sur le tarmac prêts à décoller au moindre caprice ou quand tsunamis, tremblements de terre et autres catastrophes permettaient d’appeler les hordes de photographes, après être passé en vitesse chez le coiffeur et le couturier branché, pour se faire immortaliser au pied d’un jet avec un sac de riz sur le dos.
J’ai vu des soutes en provenance d’Afrique garnies de billets de banque et des coffres de voitures transformés en caverne d’Ali Baba pour distribution d’argent à grande échelle, des contrats d’État passés aux mains des filous, des comptes bien cachés dans des pays aux lagons bleus, (…)
J’ai vu des enfants éventrés, des femmes violées, lapidées, torturées. J’ai vu un avion avec une croix rouge sur son flanc porter secours à des populations africaines affamées en leur tirant dessus, et j’ai même vu certains crocodiles bouffer de malheureux témoins encombrants et d’autres tomber des fenêtres, arrêts cardiaques et cancers fulgurants.
Toute cette honte, tous ces crimes pour encore plus de Pouvoir et Richesses.
Un monde aux mains de la Finance Internationale, Bilderberg, Nouvel Ordre Mondial criminel, FMI, GAFAM etc, pour maintenir, verrouiller le système, protéger une élite et asservir les peuples en les abrutissant et en les dépravant en inversant les valeurs !
Nous leur donnons une once de pouvoir et ils perdent tout sens commun. Et plus on monte dans la hiérarchie, plus ils s’en donnent à cœur joie, perdent le sens des réalités et franchissent allègrement et sans états d’âme l’inacceptable. Et au plus haut niveau de la pyramide ils n’ont plus rien d’humain. Ce sont des monstres. (…) Le pouvoir, aphrodisiaque suprême, les déshumaniserait-il à ce point ? Et le fric, moteur essentiel à toutes ces dérives… Comment osent-ils se poser en donneurs de leçons, parler de probité, d’intégrité, de franchise, quand se multiplient leurs égarements et que les affaires de corruption et autres méfaits les éclaboussent ? (…) Nous sommes devenus un immense peuple de moutons à tondre, tandis que la démocratie n’existe plus depuis longtemps, et tout dépend maintenant du pouvoir de résistance et de révolte des peuples.
La mise en esclavage des populations est passée à la vitesse supérieure avec cette « plandémie covid » en créant la PEUR ! Et les grands argentiers de la planète et leurs marionnettes nous font clairement comprendre que seuls comptent leurs profits, que le bien-être des citoyens n’a aucune espèce d’importance. Leurs pandémies et leurs vaccins mortifères finiront le sale boulot pour une dépopulation mondiale annoncée : Le projet ne date pas d’hier, croyez-moi ! Nous sommes tous sacrifiés sur l’autel des profits. Depuis ces dernières décennies tout fut mis en œuvre fissa pour nous anéantir. Et la télévision et les médias aux ordres ont participé à cet abrutissement de masse qui nous a conduits à l’impuissance en nous lavant le cerveau.
Je veux pourtant rester optimiste. Nous sommes à un tournant majeur, un changement de civilisation.
Il est urgent que tous les citoyens se réveillent et reprennent en main leur pays, leur souveraineté et éliminent cette vermine financière afin de réinjecter dans les caisses des états pour le bien collectif, les incroyables fortunes détournées par une poignée de mafiosi sans foi ni loi et dangereux.
Il faut bien prendre conscience que, quels que soient votre bord politique ou votre conception de la vie, si vous ne faites pas partie de leur élite, vous serez broyés.
Une nouvelle fois le directeur général de l’OMS aux antécédents lourds [1][2][3] veut imposer sa décision en accord avec Bill Gates et contre le vote de ses propres collègues sur le risque de la variole du singe et censure les voix contraires. Il veut rejouer le covid-19. Serons-nous encore complices ?
Le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom, a demandé aux entreprises de médias sociaux du monde entier de lutter contre toute « désinformation » concernant le monkeypox.
En d’autres termes il veut censurer quiconque n’est pas d’accord avec sa folie du monkeypox.
« Comme nous l’avons vu avec le COVID-19, la mésinformation et la désinformation peuvent se propager rapidement en ligne. Nous appelons donc toutes les plateformes de médias sociaux, les entreprises technologiques et les organes de presse à travailler avec nous pour prévenir et contrer les informations nuisibles », a déclaré Adhanom le 26 juillet 2022.
@jgalt485 27 juil.
Il y a quatre jours le chef de l’OMS a déclaré la variole du singe « urgence sanitaire internationale », annulant une décision de la majorité de membres du panel qui avaient voté contre une telle déclaration.
Ces méthodes sont habituelles pour le directeur général de l’OMS vendu à Bill Gates et sa volonté de vacciner le monde entier.
Terrible aveu (non exprimé au début des essais covid) :
Les labos qui ont produit le vaccin anti-monkeypox considèrentque la vaccination des populations constituera un test clinique en grandeur réelle.
@jgalt485 27 juil. L’INFODÉMIE !
C’est la même étape que l’OMS a franchie en 2020 et 2021 lorsque l’OMS a affirmé que toutes les informations allant à l’encontre du récit faisaient partie d’une « infodémie » plus large.
« Peu de temps après que le monde a commencé à s’habituer aux termes coronavirus et COVID-19, l’OMS a inventé un autre mot : » infodémie « — une surabondance d’informations et la propagation rapide de nouvelles, d’images et de vidéos trompeuses ou fabriquées. Comme le virus est très contagieux et se développe de façon exponentielle. Cela complique également les efforts de réponse à la pandémie de COVID-19 », lit-on dans un article de 2020 intitulé « Immuniser le public contre la désinformation ».
Au cours de la pandémie, l’OMS a commencé à s’associer à des pays pour lutter contre « l’infodémie », ce qui, le plus souvent, signifiait censurer les personnes en ligne qui avaient de véritables inquiétudes ou essayaient de faire proliférer la vérité sur les effets indésirables à la suite de piqûres d’ARNm.
De telles réactions indésirables sont maintenant connues pour être un fait, et les responsables de la santé du monde entier ont commencé à avertir les gens de risques comme la myocardite post-vaccinale, que l’OMS a toujours écartée comme une théorie du complot ».
Et dans la ligne française d’obéissance aveugle aux diktats du couple OMS-Gates le nouveau ministre de la Santé se précipite pour ouvrir environ 100 centres de vax anti-monkeypox et déjà plus de 6 000 personnes ont reçu cette nouvelle drogue expérimentale ! [4][5][6]
Les exploits de l’OMS en Afrique sont célèbres [7] mais ont rendu les Africains méfiant alors l’OMS et Bill Gates, ça continue, tentent de poursuivre leurs expériences sur les Européens…
NOUVELLE TENTATIVE DE L’OMS EN JUILLET 2022 DE FAIRE ACCEPTER UN AGENDA MONDIAL QUI FERAIT DU DIRECTEUR DE L’OMS LE ROI DU MONDE
Au service des mondialistes de Davos
Présentation de l’avant-projet de l’OMS présenté actuellement à Genève
(du 18 au 22 juillet) destiné à renforcer l’influence de l’OMS.
Tout le monde est concerné !
PDF de la transcription de la vidéo mise en page et 2 extraits de l’avant-projet de l’OMS, avec tous les liens !
Sous-titrage en français de la vidéo originale qui se trouve ici :
Un twittos fait remarquer justement :
« Leur stratégie est forte, ils attaquent au même moment sur plusieurs points éloignés de nos modèles de société, que si nous ne faisons pas les liens, on pourrait penser qu’il n’y a pas de relation dans la finalité de leurs monde, ils brisent mentalement plusieurs piliers… »
Et curieusement le patron du conseil secret d’EM tente de reculer en douceur.
#Delfraissy « Le pouvoir sur le vaccin a été pris par les industriels » pour le prochain vaccin. Les #Big Pharma ont décidé une combinaison virus initial + Omicron « Je pense que sur le plan scientifique ce n’est pas une bonne chose »
«Delfraissy le prochain vaccin en octobre 2022 ne sera pas suffisant ! »
Jean-François Delfraissy, se laisse aller à quelques confidences. Les « Big Pharma ont pris le pouvoir » . On sent que le médecin veut se refaire une virginité, il tourne doucement sa veste…
MÊME SI LE COUP D’ÉTAT MONDIAL DE L’OMS NE SEMBLE PAS TRÈS BIEN PARTI, RESTONS EN ALERTE ROUGE
Les mondialistes internationaux ont décidé de rédiger un traité leur donnant essentiellement un pouvoir de loi martiale discrétionnaire partout.
Mais la résistance se développe. L’Équateur avait le premier refusé. L’archevêque Vigano, donneur d’alerte récurrent contre la mafia tentaculaire du « Nouvel Ordre Mondial », a dénoncé ce traité, haute trahison de la part des politiciens qui l’entérineraient.[8][9][10] De nombreux sites ont alerté sur cette tentative de prise de pouvoir mondiale par l’OMS. Nous avions relayé l’appel de R Kennedy et « stop the treaty »[11]. Sans surprise, le Président français soutenait l’OMS et Gates.[12]
Dans un premier temps, nombre de pays avaient fait refuser le texte d’origine en l’état (notamment avec les amendements présentés par le Président américain).[13] Nombre de pays (47) manifestement refusent catégoriquement cette proposition mafieuse [14]: Brésil, plusieurs nations africaines, la Russie, la Chine, l’Afrique du Sud, l’Iran, la Malaisie…
Le futur empereur mondial n’a pas apprécié.[15] Mais manifestement le gotha des milliardaires et des vedettes d’Hollywood semblent prendre de la distance.[16]
FINANCEMENT DE L’OMS
Ceci explique cela. Les fondations donatrices (comme celle de Bill Gates) flèchent leurs dons qui doivent être utilisés selon leur volonté.
(Voir liens en bas de l'article sur le financement de Bill Gates)
Dans la foulée de sa volonté de dominer le monde, Tedros a essayé de modifier le financement de l’OMS. Un peu plus d’indépendance vis-à-vis de Gates ou Schwab lui conviendrait probablement. Très près des Chinois, on sait ou on subodore que ces mondialistes eugénistes sont d’accord pour dominer la plèbe, mais se mangeraient bien entre eux…
L’Assemblée mondiale de la santé a adopté un texte prévoyant de faire passer la partie du budget financée par les États membres de 16 % à 50 % d’ici à 2028, afin de renforcer le leadership de l’organisation onusienne.
« Il s’agit d’un tournant historique », a déclaré Tedros Ghebreyesus, directeur général de l’OMS. Le 24 mai 22, lors de l’Assemblée mondiale de la santé, les États membres de l’agence onusienne basée à Genève ont adopté une réforme du financement de l’organisation très attendue.
La partie du budget financée par les États membres devrait passer de 16 % à 50 % d’ici à 2028, ce qui devrait permettre à l’OMS de regagner une partie de son indépendance.
Depuis le mandat, entre 1998 et 2003, de Gro Harlem Brundtland à la tête de l’OMS, les fonds privés ont pris une place de plus en plus importante et déterminante dans le financement de l’agence.
Contributions volontaires
Résultat, seulement 16 % de l’exercice biennal 2022-2023 sont abondés par les contributions obligatoires des États membres, fixées d’année en année en fonction des ressources de chacun.
La réforme va permettre d’élever le niveau de ces contributions de 956,9 millions à 2,2 milliards de dollars d’ici à 2028. Le budget total actuel est de 6,1 milliards de dollars.
L’essentiel du budget (84 %) provient des contributions dites « volontaires ».Ces dernières peuvent venir d’États décidant de fournir plus d’argent que leurs contributions obligatoires ne les y obligent.
Le Royaume-Uni, notamment, fournissait 135 millions de contributions volontaires lors de l’exercice 2020-2021, en plus de sa contribution obligatoire de 49 millions, dépassant ainsi la participation chinoise. Ce supplément de cotisations permet de renforcer le jeu des influences au sein de l’organisation.
Parmi ces contributions volontaires, l’écrasante majorité (88 %) est issue de fonds privés strictement affectés à des programmes ou lieux géographiques spécifiques ; ils doivent également être dépensés dans un délai précis.
En 2020-2021, les programmes spéciaux, dont celui d’éradication de la poliomyélite financé par la Fondation Gates, totalisaient 757,6 millions de dollars, soit 13 % du budget total.
« Le recours excessif aux contributions volontaires (privées ou publiques) se traduit par une incapacité à fixer des priorités en fonction des priorités mondiales de santé publique, notait en janvier 2021 un article du South Centre,une organisation intergouvernementale de pays en développement basée à Genève.
Les États membres tentent de fixer des priorités, mais les fonds sont destinés à des questions spécifiques, sélectionnées par un petit nombre de donateurs qui jouent un rôle décisif dans la décision de l’organisation. »
Il s’agit donc bien de reconquérir un leadership affaibli par le poids des États à forte capacité d’investissement et par les intérêts privés des fondations qui abondent les comptes de l’OMS.
75 ONG, organisations philanthropiques et experts dans le domaine de la santé mondiale, dont Gavi, le Global Health Council ou encore Save the Children, ont publié une lettre appelant les États membres à saisir cette « occasion historique de renforcer et d’investir dans le rôle de l’OMS en tant que principale organisation intergouvernementale de la santé qui se consacre à la promotion de la santé et du bien-être de tous dans le monde ».
Augmenter les contributions obligatoires marque donc un grand pas dans l’histoire de l’OMS, mais encore faut-il les payer. Au 31 décembre 2020, près de 300 millions de dollars n’avaient pas été versés au compte de l’OMS, selon un rapport publié le 5 janvier. Les résolutions de l’OMS n’étant pas contraignantes, des experts se demandent comment l’organisation pourra obliger les États membres à augmenter leurs cotisations d’année en année.
Lettre ouverte sur le nouveau traité pandémique international de l’OMS
À la population; Aux gouvernements, Présidents et Ministres de la santé, Parlements, Conseil de l’Europe, Commission Européenne; Aux médias; Aux organisations de la santé, telles que Swissmedic, OFSP, Fédération Suisse des Patients; À l’OMS, par l’Assemblée mondiale de la santé, Dr Tedros Adhanom Ghebreysus, Dr Soumya Swaminathan; Aux Nations Unies, par Antonio Guterres, Liu Zhenmin, Elliott Harris, Maria-Francesca Spatolisano.
Nous, médecins, soignants, professionnels de la santé, citoyens, déclarons notre désaccord face au nouveau traité pandémique international proposé par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), qui n’est autre qu’une mainmise sur les gouvernements et la population.
Cet accord mondial sur les futures pandémies octroierait à l’OMS des pouvoirs lui permettant de se substituer aux pouvoirs exécutifs des états membres, ceux-ci devenant de simples organes d’exécution.
Ce traité inutile constitue une menace pour la souveraineté des pays et les droits humains fondamentaux.
Il convient de relever que le Règlement Sanitaire International (RSI) fortement imprégné du respect des droits humains, adopté en 2005 par 196 pays, dont la Suisse, et entré en force en 2007 a justement pour objectif de répondre aux urgences pandémiques. Cependant ce dernier n’a pas été appliqué durant la crise covid, tout comme le plan pandémique établi par la Confédération Helvétique.
La définition d’une pandémie, selon l’OMS, a évolué ces dernières années, ainsi, jusqu’en 2009, elle était définie comme un événement caractérisé par une évolution grave de la maladie et une mortalité extrême. C’était donc la morbidité et la létalité qui conditionnaient une pandémie.
« Une pandémie survient lorsqu’un nouveau virus apparaît pour lequel la population humaine n’a aucune immunité, résultant aussi en de nombreuses épidémies simultanées dans le monde, avec d’énormes nombres de décès et de malades. »
En mai 2009, la définition a été révisée de manière à ne plus dépendre de la gravité de la maladie ni de la mortalité, mais uniquement d’une propagation mondiale de « cas de la maladie ». La dernière définition suppose des vagues récurrentes et différentes phases. Ainsi, chaque vague annuelle de grippe peut être déclarée « pandémique ».
Avec ce traité l’OMS pourrait alors déclarer opportunément des pandémies, (déclaration qui active de surcroît, les contrats avec les fabricants de vaccins), imposer des mesures déshumanisantes telles que des confinements, des traitements coûteux, dangereux et/ou inefficaces, des programmes de vaccination obligatoire, des régimes de test, imposer des interventions médicales, dicter toutes les pratiques de santé publique contre la volonté de la population et ce, même contre l’avis des gouvernements, qui par la validation du traité en ont accepté la valeur contraignante.
Force est de constater que l’OMS ne doit pas être autorisée à contrôler l’agenda mondial de la santé, ni à imposer des mesures allant à l’encontre des droits fondamentaux, tels que les confinements qu’elle a recommandés durant le chapitre covid-19, la suppression des traitements préventifs/précoces et l’encouragement à l’utilisation de produits expérimentaux en population large, ainsi que toutes les autres mesures qui ne se sont avérées ni sûres ni efficaces.
Les activités de l’OMS ne sont malheureusement pas effectuées en toute transparence et ceci est aggravé par l’existence des « comités d’urgence » secrets d’experts.
Pour rappel, l’OMS présente des conflits d’intérêts importants. Bien que bénéficiant de financements publics des États membres (impôts de la population…), elle reçoit également des fonds substantiels d’intérêts privés qui utilisent leurs contributions pour influencer et tirer profit des décisions et des mandats de l’OMS.
Ce nouveau traité pandémique menace gravement la souveraineté des États membres et les droits humains fondamentaux, c’est pourquoi nous, médecins, soignants, professionnels de la santé, citoyens, nous opposons avec force à la mise en œuvre d’un tel accord mondial.
British Medical Journal : WHO processes on dealing with a pandemic need to be overhauled and made more transparent – 31.05.2011 https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/21628376/
British Medical Journal : Conflicts of interest and pandemic flu WHO must act now to restore its credibility, and Europe should legislate – 03.06.2010 https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/20525680/
EN CONCLUSION, NE LAISSONS PAS L’OMS NI DAVOS DIRIGER NOTRE MONDE
L’OMS et son directeur général voudraient être le bras armé des mondialistes de Davos, Schwab, Fauci, Gates et leurs affidés dont notre président, pour imposer sous des allures humanistes et désintéressées les terribles choix des eugénistes qui ont mis en musique le scénario covid. Ce dernier n’a pas réussi à 100 % et les dirigeants du monde voudraient compléter la mise au pas des peuples par de nouveaux films de peur, d’horreur et de moyens pervers comme des injections imposées via le crédit social.
Parallèlement Tedros tente-t-il comme Delfraissy de prendre ses distances avec Davos et Cie, devant l’échec manifeste des injections géniques expérimentales anti-covid et la rumeur de colère qui monte de partout dans le monde devant tant de drames et de morts liés à l’injection. Mais pourquoi vouloir recommencer avec le vaccin anti-variole du singe, le nouveau monkeypox ? Pris entre deux feux ? C’est la saison !
Ils ont oublié que nous sommes des milliards, mais même s’ils sont très riches, ils ne sont seulement que quelques milliers.
Soit l’ONU redevient une instance internationale indépendante et refuse l’entrisme de quelques pays occidentaux, soit il faut supprimer cette organisation et surtout ne pas être dupe de ses décisions exceptionnellement médicales et allant quasiment toujours dans le sens d’une dictature supranationale niant les peuples. Ce que de nombreux pays africains, asiatiques et américains du sud ont largement compris.
Informons, résistons pour sauver l’avenir de nos enfants.
Dr Nicole Delépine
Notes :
[1] En réponse à @jgalt485
« Tedros, ancien ministre de la Santé dans l’ancien Empire totalitaire de Libye, promu à l’OMS en passant devant 2 autres candidats européens sur les injonctions de la Chine qui entretenait d’excellentes relations avec l’empire libyen en son temps ».
[2] Senta Depuydt : quand le directeur de l’OMS appelait à « embrasser des Chinois dans la rue » – Profession Gendarme (profession-gendarme.com) la journaliste est allée enquêter sur Tedros Ghebreyesus. Le personnage est particulièrement sulfureux. « Il a commencé sa carrière politique dans un groupe terroriste marxiste, le Front de libération du peuple du Tigray dans les années 1970 », découvre-t-elle. « Un groupe qui a fait des attaques à main armée, des enlèvements… », rapporte-t-elle. Un groupe qui aura pris le pouvoir en 1991 et « qui domine toujours depuis ». De plus, le directeur de l’OMS est « le premier à ne pas être médecin ». Il était surtout « le ministre de la Santé de 2005 à 2012 en Éthiopie ».
[3] Tedros Adhanom Ghebreyesus : l’OMS est-elle dirigée par un terroriste ? — Childrens’ Health Defense Europe (childrenshealthdefense.eu) « En quelques semaines, le sort de la planète entière semble avoir été placé sous le commandement de l’Organisation mondiale de la santé et de son leader, Tedros Gherbreyesus. Mais au cours des derniers jours, sa gestion de la crise des coronavirus et ses relations avec la Chine ont mis le président de l’organisation sous le feu des projecteurs, beaucoup appelant à sa démission. Alors, qui est cet homme qui a soi-disant notre destin entre ses mains ? »
[5] Official Title: An Open-Label Prospective Cohort Study of IMVAMUNE® Smallpox Vaccine in Adult Healthcare Personnel at Risk for Monkeypox in the Democratic Republic of the Congo
Actual Study Start Date : February 23, 2017
Estimated Primary Completion Date : August 2022
Estimated Study Completion Date : August 2022
IMVAMUNE
Two doses of attenuated live virus smallpox vaccine (IMVAMUNE liquid formulation or lyophilized formulation) administered on days 0 and 28 via subcutaneous injection (deltoid) (1 x 108 Tissue Culture Infectious Dose 50 [TCID50] per 0.5 ml) Other Names: Modified Vaccinia Ankara (MVA) MVA-BN
JYNNEOS
IMVANEX
[7] @RomanAude l’épidémie de polio survenue en Inde en 2007 2008 révèle selon les propres données de l’OMS que 77 % des gens touchés avaient reçu + de 7 doses de vaccin oral soi-disant le +efficace et 18 % avaient reçu 4 doses ou + ce qui porte le nbre de gens touchés pourtant archi vax à 95 %.
Pédiatre, cancérologue, ancienne chef de service de cancérologie pédiatrique à l’hôpital R Poincaré Garches APHP France Site http://www.docteurnicoledelepine.fr et site ametist.org pour la défense des enfants atteints de cancer
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Média 100% indépendant. En France, 10 milliardaires contrôlent notre information. Impossible de passer une journée sans lire, entendre ou regarder un de leur porte-voix . Face à la concentrati...
Meryl Nass, MD, is an internal medicine physician and activist with expertise in anthrax and bioterrorism; her interest is in prevention, investigation, amelioration, and safe and effective medical response. Her expertise and experience includes treating patients with Gulf War syndrome and adverse effects from the anthrax vaccine. She has raised cogent critiques about the deficient response to the recent Ebola outbreak; unfounded panic about a so-called measles epidemic; global vaccine safety issues; medical ethics; and corruption in the medical industrial military complex.
Dr. Nass tries to provide a balanced medical approach to such issues; she analyzes medical crises by digging into the hidden underlying facts and details, often finding the media reportage to be skewed, by following biased corporate and government agency lenses whose perspective serves a financial and / or political agenda. Dr. Nass fills in the crucial undisclosed details and provides a deeper, nuanced analysis. She has provided testimony to seven Congressional committees and her work has been mentioned in 25 books.
See Dr. Nass’ video interviews with Dr. Joseph Mercola about anthrax and anthrax vaccine on YouTube;
Her YouTube interview with Gary Null, PhD on vaccine safety and corruption;
An interview with James Corbett on the anthrax letters
Anthrax and Bioterrorism
In 1992, Dr. Nass identified the world’s largest anthrax outbreak as an act of biological warfare. It occurred during the Rhodesian Civil War, between 1978 and 1980; it affected only black Rhodesians, and stopped spreading with the end of the war. This was the first scientific investigation of any epidemic that demonstrated the epidemic could not be due to natural causes. Read more here . Her work was cited by the Royal Society and in the book Plague Wars (and BBC documentary Panorama) by Tom Mangold and Jeff Goldberg.
She created a new methodology for investigating and distinguishing between natural epidemics and biological warfare events. 1992, 1992, 1996
In 2001, she wrote articles and was interviewed by all major US media regarding the anthrax letters, ways to manage anthrax spore contamination, and how to better investigate the anthrax letters case. Consulted for World Bank affiliate The Interamerican Development Bank about responding to bioterrorism.
She testified before the Government Reform Committee on the medical response to bioterrorism a month after the anthrax letters event.
She consulted for the Director of National Intelligence in 2008 regarding the prevention of domestic bioterrorism.
Anthrax Letters
In February 2002, Dr. Nass first wrote about how to investigate the anthrax letters case.
She blogged about the problems with the FBI’s case against army scientist Bruce Ivins who committed suicide, whereupon the FBI named him as their primary suspect in August 2008. Dr. Nass covered this case closely, and was interviewed by The New York Times, The Washington Post and other major media about the investigation. See: here, here and here.
Anthrax Vaccine
Nass testified before the House Committee on Government Reform, Subcommittee on National Security, Veterans Affairs and International Relations
She is cited in the House Government Reform Committee Report on anthrax vaccine, titled Unproven Force Protection.
She wrote about the vaccine and spoke at conferences and to military audiences about the vaccine’s lack of demonstrated effectiveness and poor safety record. Read more here and here.
Gulf War Syndrome
On July 26, 2007, Dr. Nass testified before the House VA Health Subcommittee. And on September 25, 2007, she testified before the Senate Veterans Affairs Committees on Gulf War Syndrome
Read Dr. Nass’ views on Medical Corruption, here; On the Anthrax Vaccine Safety and Policy here, here, here, here, and here And her clinical views about the Ebola outbreak here
Delfraissy avoue enfin : « Ce n’est pas le bon vaccin ! Il ne protège pas contre l’infection et la contagion »
C'est officiel : vous vous êtes fait emplumés en beauté, le temps est au revirement, ça sent le gaz ; bientôt des procès mais aussi des petits meurtres entre amis corrompus ! Du grand spectacle nous attends !
Oui mais ces vaccins s'ils ne servaient à rien étaient ils dangereux, et ç'est bien là que le bât blesse !
On s'en inquiète déjà dans le Sud de l'Europe, qui sur un autre plan, celui énergétique cette fois refuse les diktats de L'Europe de Mme. Von der Leyen, grande amie de M. Bourlat PDG de PFIZER !
Avant le clap de fin du Conseil scientifique fin juillet, son président Jean-François Delfraissy, se laisse aller à quelques confidences et pas des moindres. En effet il dit avoir été instrumentalisé : « On a pu être instrumentalisés par nous-mêmes, par vous, les médias, qui avez porté l’idée d’un troisième pouvoir médical, et par le politique lui-même. » On sent que le médecin veut se refaire une virginité et renvoyer la responsabilité au gouvernement, après avoir collaboré pendant ces deux dernières années.
Mais le plus incroyable vient de ce débat organisé par La Veille Acteurs de santé dans son émission Les Contrepoints de la Santé (voir vidéo ci-dessous) où le Pr Delfraissy nous explique le plus tranquillement du monde, qu’en fin de compte, « Les vaccins actuels ont une efficacité confirmé sur la protection de formes graves [NDLR, chez les personnes avec des comorbidités], par contre ils protègent peu contre l’infection et la contagion. C’est assez contradictoire dans une certaine mesure, je l’admets, y compris pour les médecins et évidemment pour les citoyens. Je crois qu’il vaut mieux le reconnaître, simplement. On n’a pas le bon vaccin. »
Et que nous annonce le président du Conseil scientifique ? Que l’on aura de nouveaux vaccins au mois d’octobre 2022. « Alors, on va avoir de nouveaux vaccins qui ont comme objectif plutôt non pas la contagiosité mais d’être actifs contre des variants qui seraient plus transmissibles et en particulier contre la série des “Omicron” [NDLR : qui sont inoffensifs pour 99,9% de la population]. Donc on aura des nouveaux vaccins au mois d’octobre. On a les premiers résultats qui existent à la fois chez Moderna et Pfizer et qui montrent que ces vaccins qui sont des combinaisons du virus initial plus de la souche Omicron et du Variant BA.1. Le premier montre qu’il y a une protection qui est accrue contre les Omicron en général et contre contre BA.5, c’est-à-dire le variant actuel. Maintenant, est-ce que ces vaccins sont suffisants ? Non, ces vaccins ne protégeront pas bien contre l’infection et contre la transmission. »
Conclusion : Delfraissy se refait une santé sur le dos de ses patrons, admet qu’en fin de compte que le vaccin injecté à des millions de Français n’est pas le bon, qu’il ne protège pas contre la transmission et la contagion. Malgré ces nouvelles alarmantes, il nous annonce en guest-star, l’arrivée d’un vaccin qui ne protègera pas de l’infection ou de la transmission et fabriqué par l’un des plus gros repris de justice de la planète, le champion Pfizer qui cumule 75 condamnations et 10 milliards $ d’amendes. Vous êtes en de bonnes mains ! Donc ne vous inquiétez pas, faites-vous vacciner, ayez confiance, les prochains fonctionneront, promis !
À sa décharge le prudent M. Delfraissy a évité, selon ses termes, de « se mouiller ». En effet, il n’a évoqué que très rapidement ce qui lui semble pourtant des vaccins efficaces : « Il faut autre chose. Il faut un nouveau mécanisme d’action vaccinale et en particulier des vaccins à visée muqueuse. » Pourquoi ne pas avoir insisté sur ces vaccins faciles à administrer (par le nez) ? Est-ce parce qu’ils ne seront commercialisés qu’en 2023 ou bien parce qu’ils sont français ?
Delfraissy : « Le “Zéro Covid” est un échec total. Ce sont les médias qui poussent à ça. Il faut vivre avec le virus ! »
Après nous avoir dit la vérité sur le vaccin — « Ce n’est pas le bon vaccin ! Il ne protège pas contre l’infection et la contagion» —, Jean-François Delfraissy assure (voir vidéo ci-dessous) que la stratégie du « Zéro covid » était une erreur. « C‘est un échec total, mais total, il faut le dire ! Il faut arrêter de laisser dire tout et n’importe quoi. C’est un échec total en terme de mortalité, morbidité, d’accès aux droits humains… il faut arrêter, il faut redevenir raisonnable… »
Si le président du Conseil scientifique, pendant ces deux dernières années, savait que c’était une voie sans issue, pourquoi n’a-t-il rien dit ? À cette question, le médecin Delfraissy a trouvé son coupable : « Ce sont les médias qui poussent à ça. Moi je m’oppose formellement à ça pour dire que le “Zéro covid” ce n’était pas la solution ; que d’emblée, il fallait dire il y a dix-huit mois : on va vivre avec le variant […] c’était une solution qui était réaliste dans nos pays européens. Sur les grandes directions, ne nous trompons pas quand même. Il faut arrêter un moment donné. »
Voilà. Les Français seront ravis d’apprendre — par la bouche du président du Conseil scientifique covid-19 qui tire sa révérence le 31 juillet — qu’ils se sont fait vacciner pour rien, confiner pour rien, menacer de perdre leur travail pour rien. Que cela a duré dix-huit mois et qu’il fallait simplement vivre avec. C’est, dans les grandes lignes, le discours des complotistes de la première heure, dont Le Média en 4-4-2.
BFMTV a des Ordres pour censurer les Infos, ne pas parler des Crimes des Ukrainiens et par contre on doit charger les Russes de tous les maux !
N'oublions pas que le Directeur général de BFM TV est Marc Olivier Fogiel ; un proche à Zupiter
INCROYABLE !! Adrien Bocquet : « Je suis passé sur BFMTV, on m’a dit : On a une ligne directrice, on ne peut pas parler de l’Ukraine qui commet des atrocités (dont on a les images).
[Source : lecourrier-du-soir.com]
Dans une lettre adressée au prochain Premier ministre et lue par Lecourrier-du-soir.com, cent (100) médecins et scientifiques britanniques demandent au prochain gouvernement de mettre une pause à la vaccination des enfants le temps qu’une étude approfondie et indépendante soit entreprise sur la sécurité des vaccins. Dans la lettre, les 100 médecins et scientifiques émettent de sérieux doutes quant à la sécurité et la nécessite de vacciner les enfants.
La vaccination des enfants est-elle devenue le nouveau front dans la guerre qui oppose les Etats aux médecins? En tout cas, si dans beaucoup de pays au monde, notamment aux Etats-Unis, les autorités sanitaires appellent à vacciner les enfants contre le Covid, dans d’autres parties du monde, cette mesure est vue d’un mauvais œil.
C’est notamment le cas de la Grande-Bretagne où 100 influents médecins et scientifiques ont co-signé une lettre exigeant du prochain Premier ministre qu’il ou qu’elle mette une pause urgente au déploiement du vaccin Covid-19 pour les enfants en bonne santé le temps qu’une étude approfondie et indépendante de la sécurité de ce vaccin soit entreprise.
Lien: https://www.gofundme.com/f/faire-un-don-jeminformetvcom
Dans la tribune lue par Lecourrier-du-soir.com, les 100 médecins affichent leur doute quant à la fiabilité de ce vaccin administré aux enfants. “Nous, agents sanitaires et scientifiques, nous faisons d’énormes soucis concernant la sécurité et la nécessité de ce vaccin administré aux enfants (…). Nous vous demandons de mettre en pause le déploiement de ce vaccin pour les enfants en bonne santé le temps qu’une étude approfondie et indépendante de la sécurité soit entreprise”, peut-on lire.
Dans la lettre, les médecins enfoncent le gouvernement. “Nous vous demandons fermement de renoncer au déploiement de ce vaccin (chez les enfants, ndlr) pour les raisons suivantes. Le Covid a toujours été une maladie très bénigne chez les enfants, provoquant 1 risque de décès sur 2 000 000”, notent-ils.
Pour étayer leurs arguments, les 100 médecins et scientifiques britanniques soulignent la disparition rapide de l’immunité conférée par le vaccin ainsi que l’absence de données fiables autour du vaccin Covid. Plus loin, les médecins crachent le morceau : “en gros, la balance Bénéfice/Risque, utilisée pour déployer le vaccin mRNA chez les plus âgés et les plus vulnérables, est totalement inappropriée et inapplicable chez les enfants en 2022.”
Pour lire la lettre dans sa version originale, cliquez ici : ChildrensUnion.org
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