Nous sommes revenus aux pires moments du Covid avec une pensée unique matraquée contre toute analyse rigoureuse
Les journalistes devraient ressusciter la psychose du covid, il y a plus de morts qu’en avril 2020 mais ils ne le font pas et pour cause, on les interrogerait sur les causes
Alors ils fabriquent une autre psychose: la menace russe
Non la Russie n’envahira pas l’Europe 4fois plus peuplée et avec des budgets militaires quatre fois plus importants . Elle veut la paix et récupérer les Russes de Crimée
Oui Poutine a attaqué l’Ukraine en 2022 mais l’occident est largement responsable avec le coup d’état du Maidan, la suppression de la langue russe, le bombardement du Donbass, le non respect des accords de Minsk
Non Zélensky n’est pas un démocrate, il a supprimé toute opposition , il est impliqué dans les pires corruptions
Vous trouverez ci dessous les références à des articles de presse d’avant 2022…
Pour le reste je partage ce qu’écrit Arthur Leroux:
On assiste à un concours d’indignation où chacun tente de prouver sa vertu, sans jamais prendre le temps d’analyser les enjeux. Et gare à ceux qui osent penser autrement ! Toute voix discordante est aussitôt réduite au silence, affublée d’étiquettes comme « poutiniste » ou « complotiste ».
Ces slogans simplistes servent avant tout à couper court au débat et à protéger un pseudo-consensus moralisateur. Plus besoin de discuter des faits ni d’examiner les causes : il suffit d’une étiquette pour clore la conversation. Cette manœuvre malhonnête révèle une lâcheté intellectuelle face à la complexité du monde.
Les médias, loin d’apaiser cette dérive, en sont les principaux responsables. Leur discours uniforme et déformant trahit une absence flagrante de liberté dans le traitement de l’information et réduit des sujets complexes à des récits simplistes.
Au lieu d’encourager l’analyse et le débat, cette bien-pensance toxique impose une pensée unique, empêchant toute réflexion sérieuse. La moraline prospère sur l’illusion d’un consensus vertueux, tout en rejetant le débat contradictoire et l’esprit critique.
Exemple avec Elon Musk. À chaque déclaration, c’est la curée : des milliers de posts l’accusent de tous les maux sans jamais interroger le fond de ses positions, notamment sur la liberté d’expression. On préfère le caricaturer plutôt que d’affronter les vraies questions : qui décide de ce qui peut être dit ou non ? Pourquoi la censure serait-elle plus vertueuse que le débat ouvert ?
Cette indignation automatique masque mal l’hypocrisie d’une société qui se prétend tolérante tout en éliminant toute opinion divergente. Le cas de l’Ukraine l’illustre encore mieux. Depuis le début du conflit, les discours moralisateurs pullulent, célébrant le courage des Ukrainiens tout en refusant d’interroger les origines du conflit et les responsabilités partagées.
Cette vision manichéenne, dépourvue de tout esprit critique, contribue à prolonger le bain de sang, sacrifiant des centaines de milliers de jeunes Ukrainiens sur l’autel d’une morale hypocrite. Ce décalage entre les principes affichés et les conséquences réelles révèle l’amoralité profonde de cette posture moralisatrice.
Ainsi, notre société devient peu à peu incapable de sortir des récits simplistes et de confronter ses certitudes à la réalité. Exercer son discernement et entraîner son esprit critique devient plus urgent que jamais face à cette avalanche de moraline.


Monique Plaza
@MoniquePlaza3
Tucker Carlson
L’une des choses les plus frappantes de la conférence de presse de Zelensky d’hier a été la réaction de Lindsey Graham. Les deux sont de vieux amis, mais Graham l’a désavoué dans l’heure qui a suivi.
Il ne s’agissait pas d’une simple déloyauté transactionnelle. Il s’agissait d’un bouc émissaire. Lindsey Graham sait ce qui va se passer.
Au cours des trois dernières années, avec le soutien tacite de ses mécènes occidentaux, le gouvernement ukrainien a commis un nombre remarquable de crimes graves. Les Ukrainiens ont vendu d’énormes quantités d’armes américaines sur le marché noir international à vingt centimes le dollar. Ces armes sont maintenant entre les mains de groupes armés du monde entier, dont le Hamas, les cartels de la drogue mexicains et les forces qui contrôlent aujourd’hui la Syrie.
Dieu sait ce que les Ukrainiens ont fait des agents pathogènes contenus dans les laboratoires biologiques américains de leur pays. Même les agences de renseignement américaines n’en sont pas sûres.
Les Ukrainiens ont également assassiné un certain nombre de personnes dans divers pays lors d’assassinats politiques et ont tenté d’en assassiner d’autres, notamment des journalistes américains et un chef d’État européen. Tout cela est vrai, et va être révélé à un moment donné. Il vaut mieux commencer à rejeter la faute sur Zelensky dès maintenant.
