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9 juillet 2023 7 09 /07 /juillet /2023 18:16

Voyez les liens dans le texte svp !

 

________________________________

 

Cher lecteur,

Où étiez-vous le 9 Mars 2022 ?

Lorsque le président Biden a envoyé le signal à tous les Gouvernements mondiaux que le moment était venu de débuter une nouvelle ère de contrôle total de tous les citoyens occidentaux…

…Grâce au remplacement des monnaies liquides par des monnaies numériques espionnes.

Ces logiciels espions devraient permettre aux gouvernements la mise en place d’une nouvelle ère de surveillance légale de tous les citoyens.

Américains bien sûr…

Mais aussi d’Europe… Et donc de France.

Avec à la clé la Surveillance totale de tous vos comptes bancaires et le suivi de tous vos achats.

Bien avant cela, le 14 juillet 2021, Christine Lagarde, présidente de la BCE, avait déjà ordonné le lancement d’un tout nouveau projet d’euro numérique.

Sous couvert d’une phase d’étude, ils préparent la mise en place discrète d’une monnaie espionne qui pourrait remplacer à terme l’euro tel que nous le connaissons.

Cette phase d’étude devrait se terminer d’ici le 14 juillet 2023…

Selon que vous suiviez ou non la volonté du gouvernement, ils pourraient faire en sorte que votre argent soit confisqué ou perde toute sa valeur.

Car chaque “monnaie numérique” sera programmée par le gouvernement…

Et deviendra donc immédiatement une monnaie traçable et contrôlée en temps réel.

Ce même Gouvernement pourra tout aussi bien les déprogrammer à volonté…

Pour punir toute contribution, tout achat, ou même tout commentaire sur les réseaux sociaux qui n’irait pas dans leur sens.

Vous publiez un article pour mettre en évidence des preuves de corruption au sein du Parlement Européen ?

Votre argent pourrait être déprogrammé.

Vous achetez trop d’essence et donc votre “empreinte carbone” dépasse le “quota citoyen accepté” ?

Votre argent pourrait être déprogrammé.

Vous critiquez un homme politique sur Facebook, Twitter ou Instagram ?

Votre argent pourrait être déprogrammé.

Qu’est-ce que cela signifie pour vous ?

Vous pourriez perdre l’accès à l’épargne que vous avez construite pendant de longues années et vous n’auriez plus accès à ce qui fait de vous un citoyen libre.

Et ce n’est pas quelque chose qui va arriver dans quelques années…

NON !

Ça commence maintenant.

Il reste donc très peu de temps pour se préparer.

Suivez ce lien pour savoir comment vous pouvez sauvegarder votre argent et votre liberté.

Jim Rickards.

Ancien Conseiller du Pentagone, de la CIA et de la Maison Blanche.

 

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Pour les pouvoirs totalitaires, c’est un rêve devenu réalité.

Un rêve qui donnerait les pleins pouvoirs aux autorités gouvernementales pour exercer selon leur volonté : 

> Un suivi à la trace de tous les citoyens,

> qui conduira à un contrôle TOTAL de vos comptes bancaires et de vos achats…

> Et la capacité de faire taire toutes les voix dissidentes pour de bon.

En tant qu’ancien conseiller du Pentagone et de la CIA, j’ai fait des recherches approfondies et je pense pouvoir confirmer maintenant que :

Vos économies et vos libertés sont en danger imminent.

Prenez les mesures suivantes avant qu’il ne soit trop tard.

Jim Rickards.

Ancien Conseiller du Pentagone, de la CIA et de la Maison Blanche.

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9 juillet 2023 7 09 /07 /juillet /2023 18:11

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9 juillet 2023 7 09 /07 /juillet /2023 17:51
Alerte !

Par Virginie de Araujo-Recchia, avocate, sur son compte Telegram le 1er Juillet 2023 :

Pendant que la rue est en feu, les textes passent sans encombre au Parlement. Les parlementaires et médias se garderont bien de vous alerter et le pouvoir exécutif a le champ libre.

Article 23 du projet de loi de programmation militaire pour les années 2024 à 2030 et portant diverses dispositions intéressant la défense :

En cas de menace pesant sur les activités essentielles à la vie de la Nation, la protection de la population, l’intégrité du territoire, la permanence des institutions de la République ou (cas nouveau) de nature à justifier la mise en œuvre des engagements internationaux de l’Etat en matière de défense, qu’elle soit actuelle ou si elle n’est pas immédiate, seulement prévisible, l’article L. 2212-1 nouveau du code de la défense permettra  (s’il est définitivement adopté) au Président de la République, via un décret en conseil des ministres, d’ordonner la réquisition de toute personne, physique ou morale, et de tous les biens et les services nécessaires pour parer à cette menace ou d’habiliter l’autorité administrative ou militaire à procéder à ces mesures.

Lorsqu’il n’est pas fait application de l’article L2212-1, en cas d’urgence, si la sauvegarde des intérêts de la défense nationale le justifie, le Premier ministre peut ordonner, par décret, la réquisition de toute personne, physique ou morale, de tout bien ou de tout service (article L.2212-2).

Le fait de refuser de déférer à la demande de recensement des personnes, biens et services ou à la convocation à des essais ou à des exercices ou encore de refuser le blocage des biens sera pénalement sanctionné par un an d’emprisonnement et 15 000 euros d’amende, suite à l’adoption de l’amendement du Gouvernement par le Sénat (article L.2211-5, 1° nouveau et 2° du code de la défense).

Le fait de ne pas déférer aux réquisitions prévues aux articles L.2212-1 et L.2212-2 est puni de cinq ans d’emprisonnement et d’une amende de 500 000 euros (article L.2212-9 du code de la défense).
Le projet de loi est toujours en cours de discussion.

Projet de loi relatif à la programmation militaire pour les années 2024 à 2030 et portant diverses dispositions intéressant la défense

La Commission mixte paritaire* relative au projet de programmation militaire pour les années 2024-2030 en séance le 10 juillet 2023

Horaire : 10 h 30
Lieu : Assemblée nationale

Composition de la CMP :

Membres titulaires :

  • Sénateurs : M. Christian Cambon, M. Pascal Allizard, M. Cédric Perrin, M. Olivier Cigolotti, M. Rachid Temal, M. Jean-Marc Todeschini, M. Ludovic Haye
  • Députés : M. Thomas Gassilloud, M. Jean-Michel Jacques, Mme Anne Genetet, M. Laurent Jacobelli, M. Bastien Lachaud, M. Jean-Louis Thiériot, Mme Sabine Thillaye

Membres suppléants :

  • Sénateurs : M. Philippe Paul, M. Dominique de Legge, M. François-Noël Buffet, M. Michel Canévet, M. Yannick Vaugrenard, M. André Guiol, M. Pierre Laurent
  • Députés : Mme Corinne Vignon, M. Frank Giletti, M. Aurélien Saintoul, Mme Isabelle Santiago, Mme Cyrielle Chatelain, N., M. Christophe Naegelen
  • Après l’examen à l’Assemblée nationale et au Sénat, la prochaine étape parlementaire est la commission mixte paritaire (en procédure accélérée comme c’est le cas ici). La « CMP » réunit sept députés et sept sénateurs lorsqu’un texte a été voté dans des termes différents par les deux chambres du Parlement, afin que les représentants des députés et les sénateurs se mettent d’accord sur une version commune. Si aucun accord n’est conclu, la CMP est dite « non conclusive », et il revient à l’Assemblée nationale d’amender et de voter la version finale du texte.

https://www.senat.fr/travaux-parlementaires/structures-temporaires/commissions-mixtes-paritaires/actualite/projet-de-loi-relatif-a-la-programmation-militaire-pour-les-annees-2024-a-2030-et-portant-diverses-dispositions-interessant-la-defense-1260.html

 

_________________________________

VERS UN COUP D ETAT MASQUE

Par Olivier Frot  diplomé de Saint-Cyr et docteur en droit.

 

 

Les mois d’été ou la période entre Noël et le jour de l’an sont des moments propices au relâchement pour la majeure partie de la population, les polémiques et oppositions disparaissent soudainement comme neige qui fond au soleil. Il faut donc se méfier des lois votées dans ces moments qui sont opportuns pour les gouvernements pour faire voter discrètement des projets.

L’embrasement des banlieues qui fait peur aux citoyens et politiques présente les caractéristiques idéales pour faire passer des textes à caractère liberticide. Sous couvert d’une demande accrue de sécurité de peur d’un embrasement généralisé, certains textes liberticides peuvent facilement être votés en toute discrétion. Que cache la nouvelle loi de programmation militaire ?

 

Une procédure inhabituelle

La nouvelle loi de programmation militaire (LPM) 2024-2030 actuellement en discussion comporte des dispositions surprenantes et inquiétantes en matière de réquisitions, profondément attentatoires aux libertés publiques laissées à la discrétion de l’exécutif, dispositions qui commencent à faire réagir ici et là.

La LPM est un exercice qui revient tous les cinq ans depuis la fin des années 1990 qui a vu la suspension du service national militaire et l’instauration de l’armée professionnelle. Les lois de programmation, prévues à l’article 34 de la Constitution de 1958, « déterminent les objectifs de l’action de l’État ». Contrairement aux lois ordinaires ou aux lois organiques, les lois de programmation n’ont normalement pas d’effet autre qu’indicatif. La LPM n’est donc pas prévue par la Constitution pour être une loi impérative, elle n’a pas vocation à inscrire dans le marbre des dispositions pérennes. Essentiellement un outil de prévision budgétaire, la LPM, dans ses constats et prévisions, entend donner une visibilité à moyen terme pour permettre la préparation et le vote des lois de finances annuelles et par suite, conférer aux armées les moyens nécessaires pour remplir leur mission.

Le propre des LPM est au demeurant d’être rarement respectées dans les faits, toujours au détriment des armées.

L’actuel Projet de loi relatif à la programmation militaire pour les années 2024 à 2030 et portant diverses dispositions intéressant la défense, comporte en application de la seconde partie de son titre, des cavaliers législatifs modifiant de manière profonde et pérenne le Code de la défense en s’attaquant de front aux libertés publiques.

Cette facilité procédurale de modifier des dispositions législatives permanentes à l’occasion d’un texte non prévu pour cela, est apparue depuis les trois LPM précédentes (LPM 2009-2014, LPM 2015-2019 et 2018-2025). Mais jusqu’à présent, ces dispositions permanentes ne concernaient que des situations techniques ou statutaires directement liées aux armées, pouvant modifier certains articles du Code de la défense, en particulier en matière de gestion RH des armées ou même pour habiliter le gouvernement à prendre des ordonnances (LPM 2015-2019) dans certains domaines très spécifiques et ne concernant pas les libertés publiques.

La situation actuelle est donc inédite. Le texte est passé en première lecture à l’Assemblée Nationale début juin, en procédure accélérée, donc avec un minimum de débats et voté sans difficulté par le Sénat après l’ajout d’amendements. De retour à l’assemblée, un prochain vote final permettra l’adoption du texte après un passage en commission, pour une promulgation prévue au cours du mois de juillet. Il est facile de se douter que ce vote aura lieu de nuit avec un hémicycle clairsemé comme c’est souvent le cas, surtout pour ce type de texte jugé technique et n’intéressant personne hormis quelques parlementaires membres de la commission de la défense. Et voilà comment, si rien n’est fait, une atteinte fondamentale de plus à la propriété privée et à la liberté individuelle sera perpétrée. Une de plus, on devrait commencer à s’y habituer, depuis la crise Covid.

Le gouvernement actuel est coutumier de ces détournements de procédure, la réforme des retraites ayant été passée par une loi de finances rectificative de la sécurité sociale. Or, il peut compter sur la mansuétude d’un Conseil Constitutionnel qui lui semble totalement acquis et ne joue plus, depuis longtemps, son rôle de contre-pouvoir, notamment en matière de libertés publiques.

Un pouvoir "hors norme" confié à l’exécutif sans contrôle ni autorisation du Parlement

L’article 23 du projet de la LPM propose une nouvelle rédaction de l’article L .2212-1 du Code de la défense, autorisant les réquisitions.

Dans sa rédaction actuelle, ce Code est assez restrictif et prévoit la possible réquisition des prestations nécessaires pour assurer les besoins de la défense. Il en fixe les conditions par un renvoi dans article L.2212-1, aux dispositions des articles L.1111-2 et L. 2141-3 du même Code. Ces dispositions concernent « les menaces et les risques susceptibles d’affecter la vie de la Nation, notamment en ce qui concerne la protection de la population, l’intégrité du territoire et la permanence des institutions de la République, et de déterminer les réponses que les pouvoirs publics peuvent y apporter » . Nous n’en connaissons pas d’exemples récents et ce procédé de réquisition, en théorie connu dans les armées, aurait pu être appliqué dans de rares cas, inconnus de l’auteur de ces lignes. Parmi ces réponses, l’article L.2141 auquel il est aussi renvoyé, prévoit la mobilisation générale et la mise en garde, qui « consiste en certaines mesures propres à assurer la liberté d'action du Gouvernement, à diminuer la vulnérabilité des populations ou des équipements principaux et à garantir la sécurité des opérations de mobilisation ou de mise en œuvre des forces armées et formations rattachées ».

La rédaction du nouvel article L.2212-1 du Code de la défense dans l’actuel projet de loi, est intégralement réécrite, ce qui est inhabituel car l’usage du législateur est de remplacer des termes ou des morceaux de phrases. Le premier alinéa est ainsi rédigé : « En cas de menace, actuelle ou prévisible, pesant sur les activités essentielles à la vie de la Nation, à la protection de la population, à l’intégrité du territoire ou à la permanence des institutions de la République ou de nature à justifier la mise en œuvre des engagements internationaux de l’État en matière de défense, la réquisition de toute personne, physique ou morale, et de tous les biens et les services nécessaires pour y parer peut être décidée par décret en Conseil des ministres. Ce décret précise les territoires concernés et, le cas échéant, l’autorité administrative ou militaire habilitée à procéder à ces mesures ».

À la lecture rapide de ces dispositions, on n’y trouverait pas grand-chose à redire, pensant que finalement il appartient à l’État, en cas de péril imminent, d’avoir recours à tous les moyens possibles pour assurer la défense de la Nation. Mais il convient d’examiner les raisons qui ont conduit le législateur (en réalité, l’administration gouvernementale qui a rédigé ce projet) à revoir complètement une rédaction existante qui semblait pourtant remplir l’objectif recherché. On notera tout d’abord que les renvois à d’autres articles, présents dans la rédaction actuelle dudit Code, ont été supprimés : l’article lui-même exprime la motivation autorisant la réquisition. Une lecture attentive de ces nouvelles dispositions ouvre ainsi des perspectives inquiétantes.

Les perspectives possibles d’application de la loi

La motivation autorisant la réquisition apparaît floue, très large et permet au gouvernement (au président ?) d’y mettre ce qu’il veut : la menace peut être actuelle ou simplement prévisible (comment définir qu’une menace soit prévisible ? On a vu les écarts monstrueux entre les prévisions informatiques de l’Imperial College en matière de Covid et la réalité constatée) et relever de divers domaines énumérés dans l’article, notamment les engagements internationaux de la France. Le processus est enclenché par un décret en Conseil des ministres qui, faut-il le rappeler, est présidé par le président de la République.

Prenons quatre exemples. Tout d’abord, sur un plan strictement militaire, l’actuel conflit ukrainien et l’implication croissante de l’UE et de l’OTAN sont de nature à conduire la France dans un engrenage fatal. La réquisition des personnes physiques pourrait permettre au président, sur un simple décret, de réquisitionner par exemple, des personnes pour les envoyer combattre, selon des critères physiques et psychiques décidés par le gouvernement. Dans la pratique, les armées ne disposent plus des capacités de gérer une mobilisation et les personnels réquisitionnés n’ont plus de formation militaire depuis la fin du service, mais on constate souvent que nos dirigeants vivent davantage dans le monde de la théorie que dans la réalité.

Autre exemple : on pourrait imaginer une « urgence climatique », menace considérée comme prévisible faisant par ailleurs l’objet d’engagements internationaux de la France, pour réquisitionner (= confisquer, dans la pratique) des logements énergivores classés G ou encore des véhicules personnels Crit’air 4, car leur situation compromettrait gravement la vie de la Nation : il suffira de l’affirmer avec le relais médiatique habituel. Un simple décret permettra ensuite de spolier les gens concernés.

Une urgence pandémique, compte tenu des accords en cours avec l’OMS pourrait avoir les mêmes effets, surtout si l’on considère que le gouvernement a classé les vaccins anti-Covid parmi les biens à double usage, faisant l’objet d’un contrôle pour l’exportation. Or, les biens à double usage concernent directement la défense nationale. Donc ce texte, s’il est adopté, pourra être appliqué lors de la prochaine pandémie déclarée par l’OMS. Comme la réquisition s’applique aux personnes physiques, on peut imaginer qu’en cas de pandémie du type Covid-19, il soit possible de déplacer les personnes refusant une vaccination imposée par le gouvernement, dans des camps d’internement. Cela s’est vu en Australie.

Dernier exemple : on a vu comment le gouvernement (et l’UE) ont confisqué les avoirs russes ou fait fermer une entreprise comme RT France, dans des conditions de légalité qu’il reviendrait d’étudier. Il sera donc encore plus facile et rapide de le faire, sans présager du détestable signal envoyé aux investisseurs étrangers. 

Ces exemples peuvent sembler caricaturaux ou excessifs mais ce texte le permettra, à la discrétion du président de la République. Or, la gestion de la crise Covid nous a habitués à des tels excès, avec ses plages dynamiques surveillées par des policiers surarmés ou les auto attestations de sortie. On peut maintenant s’attendre à tout, même à l’improbable.

Un amendement déposé par le gouvernement, adopté au Sénat, prévoit enfin que les personnes concernées s’opposant à la réquisition seraient passibles d’un délit puni d’un emprisonnement d’un an et d’une amende de 15 000 euros (article L. 2211-5 du projet de loi).

Le rôle du Parlement se limite au strict minimum, la place de l’exécutif, déjà considérable par la Constitution de la Ve République, s’accroît chaque jour. En matière d’emploi des forces armées, il convient de rappeler que l’article 35 de la Constitution de 1958 impose un vote du Parlement après quatre mois d’opération extérieure : cela fait plus d’un an que des troupes françaises sont déployées en Roumanie et dans les pays baltes (y en a-t-il en Ukraine aussi ?), sans qu’aucun vote ne soit intervenu. Manifestement cela ne dérange ni l’opposition NUPES ni le RN. Aux élections présidentielles en 2017 et en 2022 il fallait faire barrage… barrage à quoi ? Aujourd’hui la France, « démocratie défaillante » selon The Economist, en proie au chaos, ressemble de plus en plus à une démocrature où un exécutif tout-puissant veut toujours plus de pouvoir discrétionnaire et de contrôle sur les simples citoyens mais n’est même pas capable d’assurer la sécurité des biens et des personnes, les événements de ces derniers jours l’ont bien prouvé.

Il serait urgent que ladite opposition se réveille et entrave le coup d’État permanent de la République macronienne.

Olivier Frot est diplomé de Saint-Cyr et docteur en droit.

Source

 

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Actuellement, on envoie du matériel en Ukraine, avec ce texte de loi, on passerait à l'étape supérieure. Quand on est soucieux des libertés publiques, il faut être vigilant." 🎙️@StanislasBerton

➡️La nouvelle loi sur la programmation militaire

📺https://t.co/cR3szfQqzm pic.twitter.com/QJ9o80wuUF

— Sud Radio (@SudRadio) July 4, 2023

 

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Quelle est la légitimité du gouvernement pour nous emmener dans des engrenages aussi graves ! On parle de réquisitionnement de biens et de personnes !

🎙️@StanislasBerton

➡️La nouvelle loi sur la programmation militaire

📺https://t.co/cR3szfQqzm pic.twitter.com/lrHF85tR0M

— Sud Radio (@SudRadio) July 4, 2023

 

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La dérive autoritaire de Macron s'accélère : un texte de loi permettra au gouvernement «la réquisition de toute personne, physique ou morale, et de tous les biens», sous peine d'un an d’emprisonnement, en cas de «menace», même pas de guerre!https://t.co/uCTpZkmrda

— Philippe Herlin (@philippeherlin) July 4, 2023

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9 juillet 2023 7 09 /07 /juillet /2023 17:20
Le virus Covid19 est donc bien une arme biologique, comme l’admet maintenant le Times ? Que vont faire les terroristes du « fact-check »

Document trouvé sur un VK. Le Times semble se réveiller près de trois ans après PG. (Espérons que les deux vendues de News Guards et leurs commanditaires auront l’occasion de le lire !)


Comment prévenir la prochaine pandémie ? Punir ceux qui ont entretenu la première !

Un article fascinant paru dans le Times confirme que presque tout ce que nous avons dit sur l’origine du Sars-CoV-2, le virus responsable du COVID-19, est vrai, écrit le publiciste Igor Chudov.

Dans un premier temps, l’Institut de Wuhan a rendu ses conclusions publiques et a affirmé que les risques associés à ces expériences dangereuses étaient justifiés parce que « les travaux pourraient aider la science à mettre au point des vaccins », écrit le Times.

Un enquêteur spécial américain a déclaré au Times que la raison pour laquelle l’expérience initiale avait été cachée « était le secret militaire lié à la recherche par l’armée de capacités à double usage dans le domaine des armes biologiques virologiques et des vaccins ». Les enquêteurs américains ont également révélé qu’ils avaient reçu des preuves indiquant que l’institut travaillait sur un vaccin depuis avant la pandémie.

« Les tests effectués par les chercheurs ont également montré que les vaccins et autres traitements mis au point pour lutter contre le Sras n’étaient pas efficaces contre le nouveau virus », écrit le Times. Toute cette « histoire » de sécurité et d’efficacité n’était qu’un mensonge.

Le Times affirme que l’expérience a également été réalisée grâce à des fonds fournis par les Instituts nationaux américains de la santé (NIH) par l’intermédiaire de l’EcoHealth Alliance et de Peter Daszak, un admirateur d’Anthony Fauci, comme l’ont également prétendu des « conspirationnistes ».

https://dailycaller.com/2021/07/30/redacted-email-pet..

L’article du Times (lien gratuit) est bien documenté et s’appuie sur des entretiens avec des scientifiques, des officiers de renseignement et des enquêteurs de premier plan, révèle Igor Chudov :

https://archive.is/2023.06.10-172049/https://www.thet..

« Le Sunday Times a analysé des centaines de documents, y compris des rapports précédemment confidentiels, des notes internes, des articles scientifiques et des courriers électroniques qui ont été obtenus par des sources ou par des militants de la liberté d’information au cours des trois années qui se sont écoulées depuis le début de la pandémie. Nous avons également interrogé des enquêteurs du département d’État américain – notamment des experts de la Chine, des nouvelles menaces de pandémie et de la guerre biologique – qui ont mené la première enquête américaine d’envergure sur les origines de l’épidémie de Covid-19.

Le Covid-19 était un produit de la recherche sur les armes biologiques et les vaccins :

Selon les trois enquêteurs, l’une des raisons pour lesquelles aucune information n’a été publiée sur ces travaux est que le projet obscur de virus minier de l’Institut de Wuhan a été financé par l’armée chinoise.

Les enquêteurs du département d’État ont écrit dans leur rapport « Bien qu’il se présente comme une institution civile, les États-Unis ont déterminé que l’Institut de virologie de Wuhan a collaboré avec l’armée chinoise dans le cadre de publications et de projets secrets. L’Institut de virologie de Wuhan s’est engagé dans des recherches classifiées, y compris des expériences sur des animaux de laboratoire, pour le compte de l’armée chinoise depuis au moins 2017. »

À mon avis, la raison pour laquelle Mojiang a été dissimulé est le secret militaire lié à la recherche par l’armée de capacités à double usage dans le domaine des armes biologiques virologiques et des vaccins.

Un vaccin pour changer le monde

Les enquêteurs pensent que l’armée chinoise souhaitait mettre au point un vaccin contre les virus afin de pouvoir les utiliser comme armes biologiques potentielles. Si un pays pouvait inoculer sa population contre son propre virus secret, il pourrait disposer d’une arme capable de modifier l’équilibre du pouvoir mondial », ajoute le Times.

Le Dr Zhou Yusen, 54 ans, l’un des concepteurs chinois du vaccin, est décédé en mai 2020, selon certaines sources, après une chute du toit de l’Institut de Wuhan.

« Notez qu’il y a quelque temps, j’ai également expliqué que le Sars-Cov-2 est une arme biologique dans l’article Pour prévenir la prochaine pandémie, punissez ceux qui l’ont déclenchée » – les co-conspirateurs chinois Anthony Fauci et Bill Gates entre autres, conclut l’auteur cité.

https://twitter.com/CalliFanciulla/status/16679213815..

https://igorchudov.substack.com/p/to-prevent-the-next..

 

 

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Le célèbre scientifique Dr Denis Rancourt, PhD, affirme que les vaccins contre la COVID ont tué 13 millions de personnes à travers le monde.

 

 

 

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Le lien effrayant entre le vaccin Pfizer et le cancer – Ce que vous devez absolument savoir!

 

Rapport « secret » de Pfizer sur le vaccin Covid. Au-delà de l’homicide involontaire. Les preuves sont accablantes. Le vaccin devrait être immédiatement retiré dans le monde entier

Par le Pr Michel Chossudovsky

 

L’interview vidéo suivante avec le professeur Michel Chossudovsky concerne le rapport confidentiel de Pfizer publié dans le cadre d’une procédure d’accès à l’information (FOI).

Le rapport est une bombe. Le vaccin a été lancé à la mi-décembre 2020. Fin février 2021, « Pfizer avait déjà reçu plus de 1 200 déclarations de décès prétendument causés par le vaccin et des dizaines de milliers d’événements indésirables signalés , dont 23 cas d’avortements spontanés sur 270 grossesses et plus de 2 000 rapports de troubles cardiaques.

Ce rapport confidentiel de Pfizer fournit des données sur les décès et les événements indésirables enregistrés par Pfizer depuis le début du projet de vaccin en décembre 2020 jusqu’à fin février 2021, soit une très courte période (au plus deux mois et demi).

Les données de mi-décembre 2020 à fin février 2021 confirment sans équivoque « l’homicide involontaire ». Sur la base des preuves, Pfizer avait la responsabilité d’annuler et de retirer immédiatement le « vaccin ».

La commercialisation mondiale par Pfizer du vaccin Covid-19 au-delà du 28 février 2021 n’est plus un « acte d’homicide involontaire ».

Le meurtre par opposition à l’homicide involontaire implique une « intention criminelle ».

Le vaccin Covid 19 de Pfizer constitue un acte criminel. D’un point de vue juridique, il s’agit d’un « acte de meurtre » appliqué dans le monde entier à une population cible de 8 milliards de personnes.

Ce qui est contenu dans le rapport « confidentiel » de Pfizer est une preuve détaillée des impacts du « vaccin » sur la mortalité et la morbidité. Ces données qui émanent de la « gueule du cheval » peuvent maintenant être utilisées pour affronter ainsi que formuler des procédures judiciaires contre Big Pharma, les gouvernements, l’OMS et les médias.

Vidéo : Entretien avec Caroline Mailloux , Lux Media : Le professeur Michel Chossudovsky sur le rapport « secret » de Pfizer propose une stratégie et une procédure légale pour affronter les grandes sociétés pharmaceutiques en vue de retirer le vaccin Covid-19 dans le monde

 

 

Parmi tous les acteurs majeurs de Big Pharma, Pfizer a un casier judiciaire aux États-Unis   (2009 DoD Judgment)

Vidéo : Pfizer a un casier judiciaire. Est-ce pertinent ?

Par le ministère américain de la justice ,

Pour une analyse plus détaillée et complète (Livre sorti en août 2022)

La crise mondiale du coronavirus, coup d’État mondial contre l’humanité

Détruire la société civile, créer une dépression économique

Par Michel Chossudovsky

ISBN : 978-0-9879389-3-0, année : 2022, type de produit : fichier PDF, pages : 164 (15 chapitres)

Des traductions en plusieurs langues sont envisagées .

Afin d’atteindre des millions de personnes dans le monde dont la vie a été affectée par la crise corona, nous avons décidé au cours des prochaines semaines de distribuer l’eBook GRATUITEMENT .

***

Prix ​​: 11,50 $. COPIE GRATUITE Cliquez ici pour télécharger .

Pouvons-nous faire confiance à un conglomérat de vaccins Big Pharma qui a plaidé coupable à des accusations criminelles portées par le ministère américain de la Justice (DoJ), y compris « marketing frauduleux » et « violation criminelle de la Food, Drug and Cosmetic Act » ?

Les autorités sanitaires nationales affirment que le « vaccin » Covid-19 sauvera des vies. C’est un mensonge.

Il y a une tendance mondiale à la hausse des décès et des blessures liés aux vaccins. Les chiffres officiels (3 avril 2022) indiquent environ :

69 053 décès liés à l’injection de Covid-19 et 10 997 085 blessés pour l’UE, les États-Unis et le Royaume-Uni combinés pour une population de 830 millions de personnes

Basé sur les cas signalés. Seule une petite fraction des victimes ou des familles des personnes décédées passera par le fastidieux processus de notification des décès et des événements indésirables liés au vaccin aux autorités sanitaires nationales. Sur la base de données historiques (Electronic Support for Public Health–Vaccine Adverse Event Reporting System (ESP:VAERS, p. 6)  :

« Les événements indésirables liés aux médicaments et aux vaccins sont courants, mais sous-déclarés. … moins de 0,3 % de tous les événements indésirables liés aux médicaments et 1 à 13 % des événements graves sont signalés à la Food and Drug Administration (FDA). De même, moins de 1 % des événements indésirables liés aux vaccins sont signalés. (nous soulignons)

Ce rapport confidentiel de Pfizer publié dans le cadre d’une procédure d’accès à l’information (FOI) fournit des données sur les décès et les événements indésirables enregistrés par Pfizer depuis le début du projet de vaccin en décembre 2020 jusqu’à fin février 2021, soit une très courte période ( à la plupart des deux mois et demi).


Pour plus de détails sur le rapport, voir

 

Bombshell Document Dump sur les données de vaccins Pfizer

Par le Pr Michel Chossudovsky , le 29 avril 2022


Le vaccin Pfizer BioNTech a été lancé aux États-Unis le 14 décembre après l’octroi d’une autorisation d’utilisation d’urgence le 11 décembre 2020.  

Ironie du sort, les données révélées dans ce «rapport d’initié» réfutent le récit officiel du vaccin colporté par les gouvernements et l’OMS. Il confirme également l’analyse de nombreux médecins et scientifiques qui ont révélé les conséquences dévastatrices du « vaccin » à ARNm.

Ce qui est contenu dans le rapport « confidentiel » de Pfizer est une preuve détaillée des impacts du « vaccin » sur la mortalité et la morbidité. Ces données qui émanent de la « gueule du cheval » peuvent maintenant être utilisées pour affronter ainsi que formuler des procédures judiciaires contre Big Pharma, les gouvernements, l’OMS et les médias.

Devant un tribunal, les preuves contenues dans ce rapport confidentiel de Big Pharma ( associées aux données sur les décès et les événements indésirables compilées par les autorités nationales de l’UE, du Royaume-Uni et des États-Unis ) sont irréfutables : parce que ce sont leurs données et leurs estimations et pas les nôtres.

N’oubliez pas qu’il s’agit de données basées sur des cas signalés et enregistrés, qui constituent un petit pourcentage du nombre réel de décès et d’événements indésirables liés au vaccin.

Il s’agit de facto d’ un Mea Culpa de la part de Pfizer. #Oui c’est un vaccin tueur

Pfizer était parfaitement conscient que le vaccin à ARNm qu’il commercialise dans le monde entraînerait une vague de mortalité et de morbidité. Cela équivaut à un crime contre l’humanité de la part de Big Pharma.

Pfizer savait dès le départ qu’il s’agissait d’un vaccin tueur.

C’est aussi un mea culpa et une trahison de la part des gouvernements nationaux corrompus du monde entier qui sont menacés et soudoyés par Big Pharma.

Aucune tentative n’a été faite par les gouvernements pour demander le retrait du vaccin tueur.

On dit aux gens que le vaccin est destiné à sauver des vies.

Cliquez ici pour lire le rapport Pfizer.   

Voir également les détails dans les annexes.

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La source originale de cet article est Lux Media et Global Research

Copyright © Prof Michel Chossudovsky , Lux Media et Global Research, 2023

Source : Global Research

 

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Vaccins ARNm, dévoiement de la science, Covid… : « J’ai le devoir d’informer mes concitoyens », Jean-Paul Bourdineaud, toxicologue

 

 

Jean-Paul Bourdineaud veut informer les citoyens afin de les prémunir contre les dérives de la science.

F. Froger / Z9, pour France-Soir

L’ENTRETIEN ESSENTIEL – Jean-Paul Bourdineaud est toxicologue. Professeur de biochimie et de microbiologie à l’Université de Bordeaux, il est aussi l’auteur de l’ouvrage « La Science Outragée »publié aux éditions Marco Pietteur, en janvier 2023. Ce livre aborde notamment les questions relatives à la gestion du Covid, la faillite du journalisme scientifique, les conflits d’intérêts ou encore les effets secondaires vaccinaux.

Voir la vidéo ICI

À propos de ces deux dernières questions, dans le cadre de cet entretien, Jean-Paul Bourdineaud constate que les citoyens sont « très inquiets du devenir du vaccin (anti-Covid-19, ndlr) dans leur corps ». Et que ceux-ci ne peuvent « plus faire confiance au corps médical ». Pourquoi ? Parce que « la grande majorité des épidémiologistes ont des conflits d’intérêts et sont à la solde des industriels ».

Il apparaît alors une vraie « perte de confiance en la science qui ne fait que s’aggraver », symbole de la rupture « d’un contrat social » qui faisait jadis rimer « progrès » avec « bien-être ». Aujourd’hui on assiste au « dévoiement de la science », selon le professeur qui donne des exemples de cette dérive et conclut que « la science n’est pas forcément associée au progrès ».

Informer sans conflit d’intérêts

Des « gens vaccinés reviennent sur leur sentiment premier », après leur vaccin anti-Covid-19. Selon Jean-Paul Bourdineaud, ce vaccin, « beuglé par les fabricants » comme efficace à 95%, est loin d’être aussi performant.

« Avec les chiffres officiels de la DREES (Direction de la Recherche, des Études, de l’Évaluation et des Statistiques, ndlr), du 31 mai 2021 à juin 2022, l’efficacité vaccinale n’est que de 35 à 40% ».

Un taux d’efficacité qui n’aurait même pas dû autoriser une mise sur le marché… Pourtant, « la mère des batailles » a ainsi été gagnée en communication par les industriels, qui ont bénéficié « d’un champ libre » complet et du discrédit de tout autre traitement possible, dont l’hydroxychloroquine.

Le toxicologue revient sur les méthodes scientifiques et cliniques, dont celles issues de l' »Evidence Based-Medicine » (EBM) et de la « randomisation », qui ont dénigré les études prophylactiques et observationnelles. Ces dernières sont pourtant « autant valides et apportent du sérieux scientifique ».

Pour éviter d’être fourvoyés par ces tours de passe-passe méthodologiques, la réponse est simple pour le professeur, qui rappelle n’avoir aucun conflit d’intérêts : « Il faut que les gens comprennent comment la science fonctionne. »

« La Science Outragée », par le Professeur Jean-Paul Bourdineaud, publié aux éditions Marco Pietteur (préface de Laurent Mucchielli), janvier 2023.  Cet ouvrage est accessible en prenant contact à la-science-outragee@orange.fr. 

Bourdineaud

Pr Bourdineaux est aussi un membre du « CRIIGEN atterrés ». Ces derniers se sont affranchis du Comité original et veulent poursuivre le projet d’offrir au public une information de qualité, dénuée de conflits d’intérêts sur le génie génétique.  Une cagnotte de soutien a été mise en place. Il est possible de les soutenir 

Source : France Soir

 

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26 juin 2023 1 26 /06 /juin /2023 18:55

Quand la bêtise gouverne, l’intelligence est un délit... | Citation de ...

 

Lorsque la bêtise gifle l'intelligence, l'intelligence a le droit de se ...

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26 juin 2023 1 26 /06 /juin /2023 18:48

Account Suspended | Désobéissance civile, Citations politiques, Estime ...

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26 juin 2023 1 26 /06 /juin /2023 18:47

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26 juin 2023 1 26 /06 /juin /2023 18:34
Un dirigeant de BlackRock admet face caméra : « Nous contrôlons le monde. Le dépeuplement est bon pour les affaires »

 

Le dirigeant de BlackRock, Serge Varlay, a été filmé en train d'admettre que la société d'investissement mondialiste "contrôle le monde" et travaille activement à "dépeupler la planète" dans le cadre de son programme.

Le nouveau média de James O’Keefe, O’Keefe Media Group (OMG), a filmé Varlay faisant des déclarations surprenantes sur la société d’investissement dans des images d’infiltration.

Le dirigeant de BlackRock a expliqué au journaliste infiltré comment l’entreprise met les politiciens dans sa poche, en disant: « Les sénateurs… sont f *** ing cheap – vous avez 10 000, vous pouvez acheter un sénateur. »

«Vous pouvez prendre cette grosse tonne d’argent et acheter des gens, je travaille pour une entreprise appelée BlackRock… Ce n’est pas qui est le président, c’est qui contrôle le portefeuille du président. Vous pourriez acheter vos candidats. Premièrement, il y a les sénateurs, ces gars-là sont putain de bon marché. Vous avez 10 000 $, vous pouvez acheter un sénateur, je vous donne 500 000 tout de suite. Peu importe qui gagne, ils sont dans ma poche. »

À un moment donné, le recruteur a admis que BlackRock profitait de la guerre en Ukraine : « L’Ukraine est bonne pour les affaires, vous le savez, n’est-ce pas ? La Russie fait exploser les silos à grains de l’Ukraine et le prix du blé va devenir fou. L’économie ukrainienne est le marché du blé. Le prix du pain augmente, c’est fantastique si vous faites du commerce. La volatilité crée des opportunités de profit… »

 

 

 

Source

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Corruption Blackrock et co.

 

 

« Nous soudoyons les politiciens. Un sénateur c’est pas cher. Vous pouvez les acheter pour 10k$ » #WakeUp ��

Un employé de BlackRock avoue à un journaliste infiltré comment ils soudoient des politiciens, profitent de guerres comme en Ukraine et dirigent le monde alors que la population ne sait même pas qu’ils existent. Il explique pourquoi BlackRock reste à l’écart : lorsque personne ne pense à eux, il est plus facile de gérer leurs opérations.

Cette incroyable séquence d’infiltration d’un journaliste de O’Keefe Media Group confirme ce qui a été révélé dans le documentaire « MONOPOLY – Who Owns the World? » (A qui appartient le monde) : #BlackRock et #Vanguard sont deux institutions qui possèdent presque tout dans le monde, et utilisent leurs fonds astronomiques pour contrôler les gouvernements, les soins de santé, les médias, l’éducation…

C’est l’une des courtes vidéos les plus puissantes, avec un énorme potentiel pour ouvrir les yeux des gens.
Pour visionner la vidéo en France, utiliser un VPN
https://stopworldcontrol.com/recruiter/

 

 

 

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BlackRock, le plus grand gestionnaire d’actifs au monde, est une fois de plus sous les projecteurs, mais cette fois-ci pour de bien mauvaises raisons. Un recruteur de la firme, Serge Varlay, a été pris au piège par l’équipe d’infiltration de James O’Keefe lors de réunions secrètement enregistrées, révélant ainsi des informations accablantes.

 

 

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26 juin 2023 1 26 /06 /juin /2023 18:29

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26 juin 2023 1 26 /06 /juin /2023 18:18

La bêtise est infiniment plus fascinante que l'intelligence. L ...

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