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6 novembre 2022 7 06 /11 /novembre /2022 19:05

Comment ! Celui qui est porté aux nues par les médias officiel, le grand stratégos, le chef suprême des armées peut il laisser crever de faim ses contingents en Roumanie.

Alors que l'Assemblée s'agite autour d'une phrase ! d'un mot, quand est il de la conscience Nationale pour ceux qui combattent pour le pays ! Quand est il du Ministre des Armées ! Quand est il du Gouvernement ! Quand est il du Chef d'Etat et des Armées !

Comme le reste ils s'en fichent ! Préoccupés par leurs petites querelles d'égo ou de verbiage là ou l'urgence et la nécessité devraient faire loi !

La priorité de ces gens là est l'effet d'annonce, l'apparence, la vérité tronquée et le mensonge permanent !

 

Devrons nous envoyer des colis pour les troupes Françaises afin que nos soldats puissent être nourris convenablement !

Une armée de misère avant que la nation elle même ne soit affligée par celle ci !

Henry

_______________________________________________________

Napoleons Übergang über die Beresina by Athanas Ivanovich Scheloumoff ...

 

Alors que des journalistes français pointent du doigt les conditions de vie des soldats russes en Ukraine, il semblerait que des militaires français ne sont pas dans une meilleure condition. Des députés de la France Insoumise ont l’intention de soumettre au parlement la question des conditions de vie indignes des militaires français dans une base militaire en Roumanie, qui se plaignent du froid et de l’insalubrité. Une déclaration allant dans ce sens a été publiée par le député Bastien Lachaud sur son site. "Quel message dissuasif est envoyé à la Russie lorsque nos soldats ont froid et le ventre vide?", lit-on dans la déclaration signée par M. Lachaud et le député Aurélien Saintoul.

Les députés rapportent "des logements insalubres, des toilettes et douches en piteux état au nombre plus qu’insuffisant". "Des repas indignes [sont] préparés et servis dans des conditions sanitaires déplorables", constant les deux députés, se référant à des photographies et des témoignages. Selon eux, cette situation témoigne d’"un sérieux problème en matière de logistique et de soutien". "L’Assemblée nationale doit s’emparer du sujet. Nous en saisirons le président de la commission de la défense ", concluent les députés. Aupravant, le ministre français de la Défense Sébastien Lecornu a passé en revue la base de Cincu, où il a rencontré son homologue roumain Angel Tilvar. Selon le quotidien Le Monde, un milliard d’euros pourrait être alloué pour la seule opération Aigle d’ici à la fin de l’année, dont 15 millions pour l’installation de militaires dans la base de Cincu.

Un autre problème auquel a dû faire face Paris à l’occasion de l’aménagement de cette nouvelle base consiste en absence d’homogénéité dans les règles de franchissement des frontières européennes pour les équipements militaires, a écrit le journal. Les chars Leclerc se sont ainsi vu opposer un refus catégorique de transit par voie routière de la part de l’Allemagne. Par conséquent, c’est par le train que les Leclerc devraient bientôt quitter la France, autour du 10 novembre. "Un trajet plus long que par la route, et qui devrait prendre, là encore, plusieurs jours, faute de facilités de transit", a conclu le quotidien.

 
Selon le ministère français des Armées, la mission Aigle prévoit la mise en place d’une unité de terre, renforcée par des unités de génie et de défense aérienne. Le président français Emmanuel Macron a décidé de renforcer la présence militaire sur le flanc est de l’Otan. La France prévoit en outre de déployer des avions de combat Rafale en Lituanie et une compagnie d’infanterie en Estonie.
 
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6 novembre 2022 7 06 /11 /novembre /2022 18:58
 
 
Pourquoi allouer des fonds d'indemnisation si le vaccin est inoffensif et de plus pourquoi est il multiplié par dix en un an !
 
 
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6 novembre 2022 7 06 /11 /novembre /2022 18:49

L'Europe est inondée d'armes en provenance d'Ukraine, ces mêmes armes provenant des stocks Européens et Américains afin de soutenir l'effort de guerre Ukrainien ; alors que l'Europe arrive à court d'armes elle même, sans compter deux canons césar (vendus aux Russes par les Ukrainiens) ce qui leur permettra de faire de la rétro ingénérie.

 

Les armes des trafics viennent alimenter les réseaux criminels européens de tout genre.

 

Bravo ! De mieux en mieux 

 

Henry

 

Trafic d'armes international : 45 interpellations

 

Christer Ahlgren, superintendant de l’Officine nationale d’investigation (NBI) finlandaise, a osé rompre avec le tabou de l'État vestale ukrainien. Dans le cadre d'une interview au média digital YLE le 30 octobre, il a déclaré que des armes fournies par la Finlande à l’Ukraine, ce dès la première semaine suivant l’intervention russe, sont revenues en contrebande en Finlande : "Il se peut que les armes envoyées en Ukraine soient revenues en Finlande et aient fini dans les milieux de la clandestinité criminelle, y compris dans les mains de bandes connues du crime organisé". Et de préciser : "Des routes ont été établies entre l’Ukraine et la Finlande pour la contrebande d’armes".

Selon les informations préliminaires qu'il affirme avoir reçus, ces groupes criminels auraient capturé "des armes militaires, telles que des fusils d’assauts pensés pour les forces ukrainiennes".  Mais cela ne concernerait pas que la Finlande. "Des armes envoyées par plusieurs pays à l’Ukraine, ont été trouvées en Suède, au Danemark et aux Pays-Bas", toujours selon Ahlgren.

"Les routes et les contacts pour le trafic illégal d’armes de l’Ukraine vers la Finlande, sont déjà en place", affirmait sans l’ombre d’un doute Ahlgren. "Trois des plus grands gangs de motards du monde, parties prenantes d’organisations internationales plus vastes, sont actifs en Finlande. L’un d’eux est Bandidos MC, lequel dispose d’une unité dans la plupart des grandes villes d’Ukraine", détaillait le patron de la police finlandaise aux confrères de YLE.

"L’Ukraine a reçu un large volume d’armes, et cela est bon, mais nous devrons composer avec ces armes durant des décennies et en payer le prix ici". Comme pour enfoncer le clou, il regrette que "les décideurs [aient] oublié que la guerre en Ukraine a créé plus de travail pour les forces de police, mais cela ne s'est pas traduit par une augmentation de la dotation en personnel et en fonds. Aujourd’hui, les contrôles de sécurité sont obligatoires auprès du personnel d’aéroport, mais les mêmes contrôles ne sont pas demandés pour les travailleurs portuaires, accordant aux criminels une porte dérobée dans les ports finnois."

Le ministère de l’Intérieur ukrainien n’a pas tardé à apporter un démenti. "Les propagandistes du Kremlin provoquent la création de mythes et de fictions dangereuses sur les procès qui ont cours en Ukraine." Dans la même veine, Kiev accuse le média YLE d’avoir publié une information "quelque peu inventée", le "quelque peu" restant à l’appréciation de chacun. Et de publier des informations que "le policier en réalité n’a pas dites". In fine, "de salir l’État ukrainien aux yeux de ses alliés, selon la volonté de Poutine".

Face à une telle accusation, le média finlandais n’a pas résisté. Dès jeudi, il faisait amende honorable, citant cette fois Markus Välimäki, directeur Adjoint du NBI. À titre de "clarification", celui-ci déclarait : "la police finlandaise n’a pas de preuve que des armes fournies dans le cadre de l’aide militaire à l’Ukraine soient revenues en contrebande dans le pays".

La catharsis de Christer Ahlgren n’aura pas tenu longtemps face au sempiternel michetonnage ukrainien. Mais ce n’est pas la première fissure dans le consensus géopolitique du rien-n’est-trop beau-pour-l’Ukraine. Face à l'impossibilité technique de tracer le flux des fonds financiers et des armes envoyées à Kiev, quelques voix se sont d'ores et déjà fait entendre. Entre autres, celle du secrétaire général d’Interpol, Jurgen Stock, lors d’une conférence au siège de l’Association de la presse anglo-américaine, le 1er juin (déclarations dont FranceSoir s’était fait écho) : "Je n’ai pas de doute sur le fait que la vente d’armes illégales va augmenter […] Non seulement dans la région voisine de la zone de conflit, mais, nous le savons par expérience, ces armes peuvent être trafiquées vers d’autres continents. Nous avons vu cela dans la région des Balkans. Nous avons vu cela sur de nombreux théâtres en Afrique, et bien sûr de nombreuses organisations criminelles essayent d’exploiter la situation chaotique, la disponibilité d’armes, y compris d’armement militaires".

Aux États-Unis, des voix commencent à exiger des comptes sur l’usage des aides à l’Ukraine, et pas seulement dans les rangs des républicains. Chez les démocrates aussi. Mardi dernier, Pramila Jayapal, chef de file du groupe parlementaire progressiste de l’État de Washington, a demandé au président Joe Biden "de reconsidérer sa stratégie avec la Russie, en renforçant l’aide militaire et économique à l’Ukraine au travers d’une diplomatie proactive, redoublant les efforts pour trouver un cadre réaliste de cessez-le-feu". Du côté des républicains, si au début ils ne voulaient pas se montrer en reste sur leur soutien à l’Ukraine, les messages sont aujourd’hui beaucoup plus contrastés. Le représentant Kevin McCarthy a fait savoir que si les républicains gagnent les élections de « mid-terms » et reprennent le contrôle du Congrès, ils s’opposeront à des aides additionnelles à l’Ukraine.

Au-delà de la question des prises de positions, à savoir si ces aides sont pertinentes ou non, selon la lecture géopolitique, historique et de droit public du conflit entre deux nations ethniquement homogènes, la question qui divise les eaux, par laquelle les États de droit consolidés auraient dû commencer, est celle de la transparence et de l’obligation de rendre des comptes. Le terme anglais accountability, voire deep accountability, est d’ailleurs devenu un axe de la campagne des républicains.

L’obligation de rendre des comptes devrait aussi être exigée à l’Union européenne et aux nations qui la composent. Le policier finlandais a été obligé de revenir sur ses déclarations. Mais les faits ont la dent dure. Et ils sont précédés par une longue trajectoire en matière de corruption et de trafic d’armes de la part de l’Ukraine.

Les techniciens de l’UE exigent, cette semaine, au gouvernement de Pedro Sanchez en Espagne, de rendre des comptes sur la répartition des fonds Next Generation, avant de débourser la troisième tranche. Ces fonds ont été pensés pour pallier les conséquences des mesures prises en réponse à la déclaration de pandémie de 2020. Cette même méticulosité, exigée à un des États fondateurs de l’UE, est totalement absente lorsqu’il s’agit de demander à l’Ukraine de justifier l’usage des fonds alloués, lesquels sont sans commune mesure avec ce que reçoivent les États du sud de l’Europe. Le plus ironique étant que mercredi, Volodymyr Zelensky a mendié une nouvelle aide financière à l’Espagne au cours de la visite de José Manuel Albares, ministre des Affaires étrangères espagnol, à Kiev. Et il va probablement l’obtenir. 

Comme nous l’écrivions dans une édition antérieure, les fonctionnaires de la Cour européenne d’auditeurs, sont aux abonnés absents dès qu’il s’agit de l’Ukraine ce, depuis 2016. Il faut rappeler que les aides militaires et financières vers ce pays n'ont pas attendu février 2022.

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5 novembre 2022 6 05 /11 /novembre /2022 19:48

- on Twitter: "RT @BFMTV: 💬 "Je vais m'en faire livrer une ici, une ...

 

 

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5 novembre 2022 6 05 /11 /novembre /2022 19:37
La République en Marche visée par une plainte pour "dérives sectaires"
 
VDAR BonSens AIMSIB vs LREM

Le samedi 2 avril dernier, Me Virginie de Araujo-Recchia a porté plainte contre l'association La République en Marche pour le compte des associations citoyennes BonSens.org (dont Xavier Azalbert, directeur de la publication de FranceSoir, est administrateur) et AIMSIB (L’Association Internationale pour une Médecine Scientifique Indépendante et Bienveillante). Les plaignants accusent le parti politique d'Emmanuel Macron de "dérives sectaires", impliquant des faits "d'abus frauduleux de l'état d'ignorance et de la situation de faiblesse", ainsi que de "complicité d'empoisonnement et de génocide".

Pour avancer cela, les associations et l'avocate s'appuient essentiellement sur les deux dernières années de gestion de crise, notamment sur les mesures liberticides, le contrôle de l'information et "l'hypnose collective".

 

Presque ironiquement, cette plainte intervient seulement quelques jours après que Me de Araujo-Recchia soit sortie de garde à vue, le 24 mars dernier. Elle avait été interpellée par la DGSI dans le cadre d’une enquête liée à Rémy Daillet, et a finalement été libérée sans que "rien ne lui soit reproché". Pendant son interrogatoire — dont elle nous a confié le contenu quelques jours plus tard — des questions telles que "Qu'est-ce que le terme complotiste ?", "Qu'est-ce que le nouvel ordre mondial ?" ou encore "Que pensez-vous de la franc-maçonnerie ?" laissaient comprendre que c'était à elle que l'on reprochait une forme de dérive.

Notons qu'en janvier 2022, elle portait déjà plainte, avec son confrère Jean-Pierre Joseph, contre les parlementaires ayant voté la loi du 5 août (reconduction du passe sanitaire et obligation vaccinale).

Deux mois et une interpellation plus tard, elle revient à la charge avec cette plainte contre La République en Marche (voir PDF en bas de l'article). BonSens, l'AIMSIB et Me Virginie de Araujo-Recchia partagent dans un communiqué la réflexion qui les a conduites à ce résultat :

Les associations BonSens.org et Association internationale pour une médecine scientifique indépendante et bienveillante (AIMSIB) s’associent une nouvelle fois dans le cadre d’une plainte visant l’association LaREM pour dérives sectaires impliquant des faits d’abus frauduleux de l’état d’ignorance et de la situation de faiblesse, de complicité d’empoisonnement et de tentative d’empoisonnement, de complicité de génocide.

En effet, le mandat de cinq ans accordé à LaREM a été ponctué de contestations et de manifestations massives. Des manifestations de gilets jaunes aux manifestations hebdomadaires ces derniers mois, réclamant la fin de la propagande « Covid-19 », le rétablissement de l’ordre public et la suppression des mesures attentatoires aux libertés publiques et aux droits fondamentaux proposées par les leaders LaREM et adoptées par la majorité LaREM à l’Assemblée nationale.

Durant ces deux dernières années, aucun des appels à la raison provenant d’experts mondiaux, de juristes, de victimes n’a pu infléchir l’idéologie mortifère des membres de LaREM. Bien au contraire, des consignes ont été données afin que les plateformes et médias grand public censurent et étouffent le plus grand scandale sanitaire de tous les temps.

Les Français qui se sont interrogés et qui ont osé remettre en cause les dogmes et l’idéologie des membres de LaREM se sont vu incriminés, discriminés, ont fait l’objet de propos haineux, ont été censurés, ont perdu leur emploi, leur salaire, leurs liens familiaux, leurs liens sociaux, au mépris total du principe supérieur du respect de la dignité humaine.

Ainsi, ceux qui n’adhèrent pas au narratif sont « impurs »  et mis au ban de la société.

Les signes de reconnaissance des adeptes : le passe sanitaire, le QR code, le passe vaccinal, l’application téléphonique dédiée au traçage du Covid-19 (Certificate of vaccination Identification), le test RT-PCR en remplacement du diagnostic médical, la triple ou quadruple dose d’injection de substance génique expérimentale assurément sans danger nous assure-t-on malgré l’absence d’études le démontrant, le masque talisman en toutes circonstances, en somme toute une panoplie mise à disposition par l’hyper-classe transhumaniste, eugéniste, favorable au contrôle social.

Or tous ces outils censés purifier ou protéger sont de l’ordre de la croyance et n’ont absolument aucune assise scientifique.

Puis, nous avons assisté à une campagne publicitaire sans précédent de la part des membres LaREM de produits pharmaceutiques, pour lesquels nous n’avons aucun recul et qui s’avèrent présenter des risques extrêmement graves en matière de santé publique, il s’agit littéralement d’un appel au suicide collectif.

Nous assistons chaque jour depuis janvier 2020, à l’instauration de la peur, de la terreur et de la culpabilisation au sein de la population désormais traumatisée et sous hypnose collective.

Certains extraits de l’ouvrage intitulé « Le débat interdit - Langage, COVID et totalitarisme », d’Ariane BILHERAN et Vincent PAVAN, publié le 24 mars 2022, repris dans le cadre de cette plainte, en font la pleine démonstration :

« Les méthodes utilisées sont des méthodes sectaires : terreur, séquestration, exclusion, maltraitance, conflit de loyauté (obligeant les individus à faire des choix impossibles), suggestion hypnotique, censure, persécutions. (…)

La logique sacrificielle est en permanence invoquée, que ce soit pour l’exiger ou la dénier : « sacrifier les vacances du printemps pour un été radieux », « sacrifions-nous les jeunes sur l’autel du Covid-19 », « l’OMS appelle à ne pas sacrifier la santé sur l’autel du redressement économique », « le Préfet appelle à sacrifier le mois de mars », « avril sacrifié, mai libéré ? », « sauver Noël mais sacrifier le réveillon du Nouvel an ? », « le monde de la culture craint d’être sacrifié », « respecter les gestes barrières sans sacrifier ses mains ». N’est-ce pas l’esprit de sacrifice qui est également évoqué par le pouvoir au sujet de la Légion étrangère : « Rien n’est obtenu, si rien n’est sacrifié » ? Pourquoi exige-t-on en permanence du peuple un consentement à des sacrifices ?

Le guide du bon citoyen est précisé : c’est celui qui doit se sacrifier. En clair, l’individu n’existe dans ce discours que pour être sacrifié : il doit faire preuve de « bons comportements face au virus », on exige de lui l’obéissance – « se faire tester aux premiers symptômes ». L’acceptation de toutes ces contraintes est considérée comme du civisme, alors qu’est exigée une foi aveugle dans la parole du président. Il faut partir du principe que ce que dit le pouvoir est VRAI. Il faut partir du principe que nous devons lui faire confiance, « s’isoler au premier symptôme ». Ensuite, le message est clair : la punition pour être positif (sans nécessairement être malade), c’est l’exclusion sociale – sortir du groupe. Donc insécurité, déséquilibre et irresponsabilité priment dans ce discours, où l’axe du bien est présenté comme la doxa du pouvoir. On comprend que la protection, c’est la répression ! La protection passe par la répression émanant des décrets. L’individu est de nouveau absorbé dans la fusion avec le chef : « nous avons tous consenti » ; l’opposition et l’opinion plurielle n’existent plus, tout le monde est censé avoir « consenti ».

On peut comprendre effectivement la stigmatisation des événements religieux par une sorte d’effet concurrentiel à la nouvelle religion mondiale de la pandémie, le « covidisme », avec ses rituels.

Une secte exige l'adhésion à une foi de type religieux. On ne demande pas à l'individu d'analyser, mais de croire aveuglément. La persécution et la censure, ainsi que l'intimidation, se sont abattues sur ceux qui voulaient analyser, et non croire.

Une secte ou un culte promet toujours le retour d'un paradis perdu. C'est la même chose avec le système totalitaire. Une secte propose des objets fétiches, ici le Saint Graal était l'injection, censée nous libérer du mal.

La dérive totalitaire est de nature sectaire et prophétique. "La scientificité de la propagande totalitaire se caractérise par l'accent qu'elle met presque exclusivement sur la prophétie scientifique, par opposition à la référence plus traditionnelle au passé", a déclaré Hannah Arendt.

La certitude délirante collective, de type paranoïaque, s’est fondée sur des premiers principes erronés, puis une construction du discours orchestré sur la foi, sans acceptation du moindre doute. Cette foi s’est organisée, dès l’origine, sur trois sophismes, non dévoilés mais présents dans le fond idéologique des discours et des décisions politiques, et que nous exposerons ainsi :

1° L’épidémie justifie une dictature.
2° Seul un vaccin peut faire barrage à l’épidémie.
3° Un vaccin est le seul moyen qui sauvera l’humanité du grand danger qui la menace. (…)

Les citoyens acquièrent peu à peu l’habitude de devoir être autorisés pour leurs moindres faits et gestes, conditionnement néfaste s’il en est, couplé à leur infantilisation : ils sont jugés irresponsables, mésestimés ou insultés par le pouvoir, ce qui montre une classe politique cynique et particulièrement coupée des réalités.

Il s’agit désormais non de science, et encore moins de médecine, mais d’un discours aux accents religieux, avec ses litanies, et son comptage mortifère quotidien, réduisant la complexité du réel à un seul prisme de lecture. La construction d’une nouvelle langue, avec ses mots et ses expressions nouveaux, totalement déconnectée de la réalité de l’expérience, relève davantage de la croyance sectaire et religieuse – donc de la foi dans la messe dite par les médias et le politique – que de la science.
»

Par conséquent, en propageant le chaos, LaREM trouble l’ordre public et seule la justice est désormais en mesure de mettre un terme à ses dérives sectaires.

En France, en effet, ce n'est pas la secte en elle-même qui entraîne des poursuites judiciaires, mais plutôt les dérives sectaires relevant de la notion d'ordre public.

En droit administratif français, l'ordre public est l'état social idéal caractérisé par « le bon ordre, la sécurité, la salubrité et la tranquillité publiques », la moralité publique et la dignité de la personne humaine.

Le droit criminel français concède à chacun le droit de nourrir les convictions religieuses, philosophiques ou morales de son choix, toutefois, il n’admet pas que, dans leur extériorisation, elles viennent heurter les exigences de l’ordre public.

Les impératifs de moralité et de santé publiques notamment ne sont pas des concepts abstraits qu’on pourrait croire uniquement tournés vers la satisfaction des besoins de la société.

Leur fonction primordiale est d’ordre humain : ils ont pour finalité d’assurer le respect des droits de l’individu à la vie, à la protection de son intégrité physique et de sa santé, à l’équilibre psychique, au plein développement de ses capacités corporelles et intellectuelles. Bref, à la dignité de la personne. Des atteintes graves peuvent être portées à ces valeurs par l’effet d’agissements ou d’attitudes dictés par des croyances ou convictions exacerbées.

Si l’impérieuse neutralité invite dans un État laïc et démocratique à ne pas stigmatiser l’extravagance de certaines pratiques religieuses, philosophiques ou morales, elle ne peut conduire à en tolérer les dérives. Aussi, lorsque l’ordre public paraît menacé, le droit criminel traduit aussitôt son hostilité par la mise en œuvre de multiples incriminations, relevant généralement du droit pénal « commun » (Loi n° 2001-504 du 12 juin 2001 tendant à renforcer la prévention et la répression des mouvements sectaires portant atteinte aux droits de l’homme et aux libertés fondamentales, dite loi About-Picard).

Un faisceau d’indices permet de caractériser l’existence d’un risque de dérive sectaire :

 

- la déstabilisation mentale,
- le caractère exorbitant des exigences financières,
- la rupture avec l’environnement d’origine,
- l’existence d’atteintes à l’intégrité physique,
- l’embrigadement des enfants,
- le discours antisocial,
- les troubles à l’ordre public
- l’importance des démêlés judiciaires,
- l’éventuel détournement des circuits économiques traditionnels,
- les tentatives d’infiltration des pouvoirs publics.

Il s'agit d'un dévoiement de la liberté de pensée, d’opinion ou de religion qui porte atteinte aux droits fondamentaux, à la sécurité ou à l’intégrité des personnes, à l’ordre public, aux lois ou aux règlements.

Elle se caractérise par la mise en œuvre, par un groupe organisé ou par un individu isolé, quelle que soit sa nature ou son activité, de pressions ou de techniques ayant pour but de créer, de maintenir ou d’exploiter chez une personne un état de sujétion psychologique ou physique, la privant d’une partie de son libre arbitre, avec des conséquences dommageables pour cette personne, son entourage ou pour la société.

Il importe peu que telle dérive soit commise par un mouvement sectaire, un nouveau mouvement religieux, une religion du Livre ou par un charlatan de la santé. Dès lors qu’un certain nombre de critères sont réunis, dont le premier est la mise sous sujétion, l’action répressive de l’État a vocation à être mise en œuvre (site Miviludes).

L’action du juge, gardien des libertés, va dans le sens de la protection contre toute sujétion physique ou psychologique.

Les associations plaignantes estiment donc qu’il revient désormais au juge de se pencher sur les actions de l’association LaREM et d’évaluer leurs conséquences sur l’ordre public.

Source

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5 novembre 2022 6 05 /11 /novembre /2022 19:18
Le gouvernement va mettre en place des Assises des dérives sectaires et du complotisme pour organiser un plan d’action
 

 

 

Comment lutter contre le complotiste non-vacciné ? La secrétaire d’État Sonia Backès annonce que le gouvernement va organiser des « Assises des dérives sectaires et du complotisme ». Le mélange des genres entre secte et complot fera bien l’affaire, amalgamer les raëliens, les terroristes et ceux qui sont contre la vaccination covid obligatoire ou contestent les études sur la transmission du virus grâce au vaccin, cela permet de faire taire toute contestation.

 

 

Les propos de Sonia Backès — dont la mère est devenue scientologue — sont extrêmement inquiétants et risquent de plonger la société française dans la méfiance. Chacun pourra dénoncer son voisin pour tel ou tel propos. « Je crois que d’abord il y a l’idée du signalement. Les enfants, les mineurs, il faut que l’on arrive à les sortir, il y a besoin d’avoir un signalement… », a déclaré la secrétaire d’État chargée de la Citoyenneté.

Pour le docteur en sciences économiques, Rachid Achachi, nous allons droit « Vers la psychiatrisation de l’esprit critique et de la pensée dissidente… »

Le gouvernement semble déterminé à se donner des moyens supplémentaires pour incarner cette dérive sectaire qu’il dénonce. « Ce que l’on va faire concrètement, ce sont des assises sur les dérives sectaires et du complotisme. L’idée c’est de mettre un plan d’action concret afin de savoir ce que l’on doit faire, si on voit son collègue de travail, son voisin touché par ça. A qui on doit le signaler ? Comment on doit agir vis à vis de lui ou de l’État ? Est-ce qu’il faut faire un numéro Vert ? Est-ce qu’il faut faire évoluer la loi ? L’idée c’est de prendre à bras le corps ce sujet. »

 

 

La secrétaire d’État Sonia Backès ne mâche pas ces mots concernant les complotistes qu’elle identifie aux membres des sectes : « Nous allons faire changer de dimension la réponse apportée par l’État à ces charlatans qui, depuis trop longtemps, abusent de la faiblesse de certains de nos concitoyens. »

En 2021, 70 % des saisines reçues par la Miviludes (Mission interministérielle chargée de lutter contre les risques de dérive sectaire) concernaient la santé. La période de la crise sanitaire a été marquée par un rejet croissant de la médecine conventionnelle. La Miviludes donne une définition de la dérive sectaire qui rappelle aux Français une mauvaise période : « Elle se caractérise par la mise en œuvre, par un groupe organisé ou par un individu isolé, quelle que soit sa nature ou son activité, de pressions ou de techniques ayant pour but de créer, de maintenir ou d’exploiter chez une personne un état de sujétion psychologique ou physique, la privant d’une partie de son libre arbitre, avec des conséquences dommageables pour cette personne, son entourage ou pour la société. »

 

Cela correspond exactement à la manipulation mentale par les médias et le ministère de la Santé lors de la période covid avec, en plus, les restrictions, la menace de perdre son travail en cas de refus de la vaccination et la relégation des non-vaccinés à une catégorie de sous-citoyens ne pouvant jouir des mêmes droits que les vaccinés…

 

Quand le gouvernement dit vouloir s’attaquer à ses propres citoyens qu’elle considère comme complotistes puisqu’ils ne ne pensent pas comme la secrétaire d’État chargée de la Citoyenneté, nous ne sommes pas face à une secte mais face à une dictature qui ne dit pas son nom. Sonia Backès met en place les mêmes méthodes que celles de sa mère qui est dans la secte de la scientologie.

Source

Application répressive du FORUM ECONOMIQUE MONDIAL 

VERS LA DICTATURE DU NOUVEL ORDRE MONDIAL

 

Débat et nouvelles

RETOUR DE LA DENONCIATION ANONYME

Signalez votre voisin ou votre belle mère à la Miviludes, RENOUEZ AVEC LA TRADITION PETAINISTE !
 

 

 

 

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5 novembre 2022 6 05 /11 /novembre /2022 19:12
Les aveux à peine croyables du conseiller de Zelensky sur la guerre avec la Russie
Auteur(s)
Jean Neige, pour FranceSoir
 
Volodomyr Zelensky, Président de l'Ukraine
Volodomyr Zelensky, président de l'Ukraine.
Sergei Supinsky / AFP
 

TRIBUNE - Dans une interview donnée en 2019, Olekseï Arestovitch, futur conseiller du président Zelensky, expliquait pourquoi il fallait une guerre avec la Russie, comment et quand elle allait se dérouler.

On se pince pour être sûr que l'on ne rêve pas. Comment est-il possible pour un dirigeant ukrainien de vouloir une guerre ouverte avec un pays aussi puissant que la Russie, quitte à ce que l’Ukraine soit dévastée ? C’est pourtant ce que préconisait Arestovitch, dans une interview donnée le 18 février 2019, quelques mois avant que Zelensky ne soit élu.

L’interview complète est consultable ici.

 « Le prix à payer pour rejoindre l’OTAN est un grand conflit avec la Russie »

Selon Arestovitch, l’Ukraine était un pays trop grand, trop exposé, avec trop de voisins ayant des revendications sur son territoire, pour pouvoir choisir le chemin de la neutralité. Il fallait donc choisir entre la Russie et l’OTAN. Comme l’Ukraine avait déjà essayé la Russie, il fallait maintenant tenter l’OTAN. Toujours selon lui, si l’Ukraine ne rentrait pas dans l’OTAN, elle serait sous contrôle russe d'ici à 10 à 12 ans. Car le futur conseiller était certain que la Russie voulait réintégrer les pays de l’ex-URSS dans sa sphère d’influence.

Cependant, il était parfaitement conscient qu’une Ukraine dans l’OTAN était inacceptable pour la Russie et qu’elle préférerait faire la guerre à l’Ukraine plutôt que de laisser son voisin adhérer à l’alliance militaire de l’ouest perçue comme une menace. Il en était sûr à 99%.

C’est exactement ce qui s’est passé.

Quand l’intervieweuse demande à Arestovitch ce qui est mieux pour l’Ukraine, ce dernier répond sans hésiter « la guerre ».

De nombreux commentateurs sur Youtube admirent le talent de prédiction du futur conseiller. Mais il s’agit moins de prédictions, que de décrire un plan d’action. Pour lui, cette guerre allait commencer entre 2020 et 2022. Et, pour que ce plan se déroule comme prévu, il appelait à voter Zelensky.

Arestovich était aussi convaincu que l’OTAN n’accepterait pas l’Ukraine en son sein avant qu’une guerre russo-ukrainienne n’ait lieu, une guerre dont il fallait que l’Ukraine sorte vainqueur, même si elle devait être dévastée pour cela. En d’autres termes, il fallait que l’Ukraine soit prête à un sacrifice énorme, pour s’assurer ensuite d’être complètement détachée de la Russie.

Il précise encore que « dans ce conflit, nous serons activement soutenus par l’Occident – avec des armes, des équipements, de l’assistance, des nouvelles sanctions contre la Russie, et même possiblement l’introduction d’un contingent de l’OTAN, une zone d’exclusion aérienne, etc. Nous ne perdrons pas, et c’est bien ».  Presque tout ce qu’il dit s’est réalisé. La certitude et la confiance qu’il affiche laissent penser qu’il a déjà reçu des assurances de la part des Occidentaux pour tout ce qu’il avance. La prochaine étape est-elle l’entrée en guerre officielle de l’OTAN, par exemple, avec la 101ᵉ division aéroportée américaine, déjà déployée en Roumanie, en plus des contingents français et autres ?

La relecture du passé récent

À la lumière de cet entretien, on peut revoir tout ce qui s’est passé depuis, jusqu’à aujourd’hui, sous un jour nouveau. On a maintenant la quasi-confirmation que tout a donc été fait par l’Ukraine pour provoquer la guerre avec la Russie.

En octobre 2019, le président Zelensky annonçait alors fièrement que l’Ukraine était prête pour reprendre le Donbass par la force. S’ils avaient voulu provoquer la Russie, c’est par là qu’il fallait commencer.

Laisser la Russie attaquer la première était la meilleure stratégie pour pouvoir ensuite endosser le rôle de la victime et quémander le soutien de la terre entière contre l’agression de l’ogre russe. Il est d’ailleurs notable que, dans leur communication, les anglo-saxons insistent sur le fait que l’agression russe était absolument « non provoquée ». Comme le dira un internaute, s’ils insistent si lourdement là-dessus, c’est parce que l’agression fut au contraire provoquée.

Gageons que la tentative de réanimer les accords de Minsk, avec la réunion du format Normandie le 9 décembre 2019 à Paris, aura retardé quelque peu l’affrontement voulu. Les Ukrainiens se prêteront à l’exercice imposé, en apparence, mais comme d’habitude ne respecteront aucun des engagements pris, si ce n’est l’échange de prisonniers.

Dès l’intronisation de Biden, fin janvier 2021, les provocations contre les intérêts russes reprenaient de plus belle, avec les persécutions judiciaires lancées contre Victor Medvetchuk, le leader de l’opposition favorable aux Accords de Minsk et à une politique de bon voisinage avec la Russie. La fermeture des chaines de TV d’opposition, dès le 2 février, allaient dans le même sens, comme le décret signé le 24 mars autorisant la reprise de la Crimée par la force. En moins de deux mois, Zelensky avait tenté le maximum pour provoquer la Russie. Mais cette dernière n’attaquait toujours pas.

Par la suite, les États-Unis et l’Ukraine n’ont cessé de parler d’adhésion de l’Ukraine à l’OTAN.  Le 1ᵉʳ septembre 2021, les États-Unis et l’Ukraine ont fait une déclaration commune de partenariat stratégique qui insistait lourdement sur la dimension sécuritaire. Ce travail débouchait le 10 novembre sur la mise à jour d’une charte commune signée initialement en 2008. Du point de vue russe, la pression montait. Plus le temps passait, plus le soutien américain à l’Ukraine augmentait. À quand les bombardiers stratégiques et les missiles américains déployés sur le territoire de l’Ukraine ?

Dans la même période, à l’automne, les Russes ont alors sondé une dernière fois la volonté des Français et des Allemands pour faire pression sur les Ukrainiens, agissant de telle sorte que ces derniers négocient enfin avec les séparatistes dans le cadre des Accords de Minsk. Face au refus franco-allemand, les Russes excédés ont fini par publier le 18 novembre les échanges diplomatiques avec Paris et Berlin. Parallèlement, ils ont commencé à amasser des troupes aux frontières de l’Ukraine, pour faire pression. Des réunions ont eu lieu en janvier et février 2022, mais elles se sont heurtées aux mêmes obstacles. Ni Paris ni Berlin n’ont voulu exercer de pressions sur Kiev, comme à l’accoutumée. C’est là que les Russes ont définitivement pu conclure que les Accords de Minsk étaient morts, faute de volonté politique des trois autres signataires.

On sait maintenant que lorsque Zelensky feignait de ne pas croire à l’invasion, en février 2022, il mentait. Il fallait juste éviter un exode des combattants potentiels dont on avait déjà prévu la mobilisation.

Là où Arestovitch fait preuve de grande intelligence tactique dans son interview de 2019, c’est dans la description de tous les objectifs militaires et les modes opératoires qui seront mis en œuvre par la Russie. Tout y passe. De la tentative du siège de Kiev à la destruction des infrastructures. On comprend d’autant mieux pourquoi les Russes n’ont pas eu la partie facile, puisque les Ukrainiens, et leurs alliés anglo-saxons, avaient prévu leurs moindres mouvements.

Savoir comment l’Ukraine a en quelque sorte savamment planifié et provoqué l’agression de la Russie – avec le soutien de l’allié américain (Cf. - Le rapport de la Rand Corporation pour déstabiliser la Russie) – est une raison de plus pour de cesser toute aide militaire à ce pays déraisonnable qui a volontairement joué avec le feu. Si seulement nous étions encore les maîtres souverains de notre politique étrangère…

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5 novembre 2022 6 05 /11 /novembre /2022 19:07

Intéressant, notamment la partie qui concerne les effets secondaires.

Il y aurait beaucoup de choses à dire

Soutien total à Mme Wonner. Une femme courageuse et résistante à l’encontre de la doxa covidiste et de la manipulation de masse

La vidéo suivante est intitulé « Est-ce possible ? » Je crois que nous pouvons tous affirmer « Oui c’est possible et même CERTAIN ! »

Si le mensonge prend l’ascenseur, la Vérité prend l’escalier mais fini toujours par arriver…

Tout ce que vous ne voyez pas dans les Merdias (Source Odysee )

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5 novembre 2022 6 05 /11 /novembre /2022 18:56

 

 

L'agence Fitch abaisse la perspective de la note de la France à «négative»
 

 

Le Gendre ? C'est Q.I. celui-là ? - cafardages
 
ce qui veut dire
 
De la bêtise incurable des élites : quelques exemples... - Riposte ...

 

L'agence de notation Fitch a confirmé le 5 novembre la perspective «négative» de la note de la France, disant notamment s'inquiéter de la «fragmentation politique» du pays et des difficultés qu'elle implique afin de mener la politique budgétaire.

 

 

L'agence de notation Fitch a abaissé la perspective de la note de la France à «négative», justifiant entre autres cette décision, dans un communiqué publié le 4 novembre, par «l'évolution des prix de l'énergie ainsi que des perspectives macroéconomiques affaiblies pour l'Europe qui renforcent les risques concernant la trajectoire budgétaire».

Fitch maintient par ailleurs sa note pour la dette souveraine française à AA, qui place le pays parmi les émetteurs de dette de haute qualité mais la perspective négative indique une possible dégradation à venir de cette note, qui basculerait alors en A, donc susceptible d'être affectée par l'évolution de la situation économique. 

L'agence de notation estime que le déficit public devrait atteindre 5,2% cette année et anticipe une légère amélioration, à 4,9% pour 2023, assez proche de la prévision du gouvernement, qui le fixe à 5%.

A moyen terme, Fitch s'attend par ailleurs à un niveau d'endettement qui restera relativement stable, avec une légère hausse en 2023 puis une faible baisse en 2024, à un niveau élevé, autour de 112% du PIB.

En outre, l'agence s'inquiète de la «fragmentation politique» et des difficultés qu'elle implique afin de mener la politique budgétaire, comme l'a mis en avant les discussions sur le budget 2023 au Parlement, que le gouvernement a finalement abrégé en faisant usage de l'article 49.3. «Cela souligne un environnement plus difficile pour mener une politique économique [...] avec un contexte moins favorable pour des réformes dans des secteurs comme les retraites», souligne Fitch dans son communiqué.

Plus largement, l'agence s'attend à un ralentissement économique en 2023, avec une prévision de croissance à 1,1% (contre 2,1% envisagé en août), l'agence s'attend à une reprise dès 2024 à 1,9% et à un recul de l'inflation, à 3,4% dès la fin de cette année et proche de 2% pour 2024.

Source

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5 novembre 2022 6 05 /11 /novembre /2022 18:34

Affaire de la plus haute importance l'engagement de l'Europe aux côté des USA pour le contrôle de Taïwan.

 

Regardez et écoutez avec attention le diplomate Chinois en France !

 

BIOLOGIQUES IMPLANTES ET FINANCES PAR LES USA EN UKRAINE ? Le Conseil de Sécurité des Nations Unies a voté contre l’enquête demandée par la Russie…Les Américains, les Britanniques et les français ont été les premiers à voter CONTRE !!!

Qui est le célèbre Oncle Sam

Je voulais vous proposer aujourd’hui la lecture d’un article très important pour l’avenir géopolitique et économique du monde.

 

En effet, vous allez découvrir que les Américains, nos si « fidèles » alliés, verraient bien les Européens, prendre des sanctions à l’égard de la Chine. Des sanctions similaires à ce que nous avons imposé à la Russie et inspirées des leçons que nous pouvons tirer à ce stade.

 

 

C’est un article de l’agence de presse Bloomberg (source ici en anglais), la référence des agences de presse financières et économiques outre-Atlantique et je vous donne à tous la traduction ici, pour les abonnés à la lettre STRATEGIES, vous pouvez aller télécharger le FLASH Stratégies où je commente les implications à court terme d’une telle politique et les risques qu’elle fait évidemment peser sur le fonctionnement de l’économie mondiale.

 

Pour information, la TTC ou CTT c’est la Trade and Technology Council, le conseil du commerce et des technologies qui est le lieu de discussion entre les Etats-Unis et l’Union Européenne.

 

Les États-Unis suggèrent à l’UE d’envisager d’utiliser les limites d’exportation pour cibler la Chine.

 

Les responsables suggèrent de tirer les leçons des limites commerciales imposées par la Russie.
Les discussions se poursuivent en vue d’une réunion de haut niveau en décembre.

 

Les États-Unis ont évoqué avec leurs alliés européens l’idée de tirer les leçons du régime de contrôle des exportations qu’ils utilisent pour punir la Russie afin de cibler la Chine, selon des personnes au fait de la question.

 

Ces conversations ont eu lieu alors que les responsables de l’Union européenne et des États-Unis négocient l’ordre du jour de leur prochain forum commercial de haut niveau, qui se tiendra début décembre. Les alliés ont coopéré pour restreindre les exportations vers Moscou depuis que le président Vladimir Poutine a envahi l’Ukraine, et l’administration Biden envisage d’utiliser une partie du même partage d’informations et de la coordination de l’application pour renforcer ses propres restrictions bilatérales sur les exportations vers la Chine, ont déclaré les personnes, qui ont requis l’anonymat pour aborder des sujets sensibles.

 

Jusqu’à présent, ont ajouté les personnes, l’UE n’est pas encline à envisager de suivre la même approche avec la Chine qu’avec la Russie, car les circonstances sont différentes, mais l’une des personnes a déclaré qu’il serait possible d’examiner les biens qui pourraient être utilisés par Pékin pour renforcer sa capacité militaire. Il n’est pas certain que le sujet soit abordé lorsque la représentante américaine au commerce, Katherine Tai, rencontrera les ministres du commerce de l’UE, qui sont à Prague pour une réunion informelle lundi.

 

« Les États-Unis n’envisagent pas d’étendre à la Chine les contrôles des exportations russes et n’en ont pas parlé aux Européens », a déclaré Saloni Sharma, porte-parole du Conseil national de sécurité des États-Unis, en réponse à des questions.

 

Les contrôles à l’exportation ont été l’un des outils les plus efficaces pour paralyser l’arsenal russe et sont considérés comme potentiellement utiles pour ralentir la Chine dans la course technologique mondiale. Au début du mois, l’administration Biden a interdit aux entreprises américaines de vendre aux entreprises chinoises certaines puces utilisées pour les superordinateurs et l’intelligence artificielle.

 

Le ministre chinois des affaires étrangères, Wang Yi, a critiqué les restrictions américaines à l’exportation lors d’un appel avec le secrétaire d’État américain, Antony Blinken, soulignant les tensions entre les deux pays avant une éventuelle rencontre en tête-à-tête de leurs dirigeants. « La partie américaine devrait cesser d’endiguer et de réprimer la Chine et ne pas créer de nouveaux obstacles aux relations bilatérales », a déclaré M. Wang, selon un communiqué du ministère des affaires étrangères à Pékin.

 

De hauts responsables européens et américains doivent se rencontrer le 5 décembre près de Washington pour convenir d’une liste de projets économiques lors de la troisième réunion du Conseil « Commerce et technologie ». La Commission européenne, l’organe exécutif de l’UE, envisage six priorités, dont le développement conjoint de projets d’infrastructures numériques, une feuille de route sur l’intelligence artificielle ou la recharge de véhicules électriques en mégawatts, ont indiqué ces personnes.

 

Les États-Unis s’attendent à un accord à court terme avec leurs alliés sur la limitation des puces électroniques chinoises

 

Certains États membres se sont méfiés des efforts déployés par les États-Unis pour transformer le forum en un organe anti-chinois et ont préféré se concentrer sur un agenda bilatéral positif.

 

Mais les pays européens sont de plus en plus préoccupés par ce qu’ils considèrent comme la position conflictuelle du gouvernement chinois, en particulier après le récent congrès du parti qui a cimenté le leadership du président Xi Jinping. Certains États membres, dont l’Allemagne, ont suggéré que l’Union européenne revoie son approche à l’égard de la Chine, car Pékin devient moins un partenaire ou un concurrent qu’un rival.

 

Les dirigeants de l’UE ont tenu une discussion stratégique sur la Chine ce mois-ci, au cours de laquelle il y a eu un consensus sur la nécessité de réduire les dépendances critiques vis-à-vis de Pékin, a résumé un haut diplomate européen.

 

Certaines capitales européennes sont favorables à l’utilisation de la TTC pour renforcer la coordination avec les États-Unis afin de développer des outils efficaces de défense commerciale et d’anti-coercition contre les économies non marchandes, y compris la Chine, a déclaré un deuxième haut fonctionnaire européen.

 

Les États-Unis envisagent d’étendre l’interdiction des technologies chinoises à l’informatique quantique et à l’IA

 

Miriam Garcia Ferrer, porte-parole de la Commission, a déclaré que les contacts avec l’administration américaine étaient en cours, l’UE analysant les implications des dernières mesures restrictives américaines à l’égard de la Chine.

 

L’année dernière, les États-Unis et l’Union européenne ont adopté une déclaration commune à l’issue d’une réunion de la CTT, selon laquelle « une approche multilatérale des contrôles à l’exportation est la plus efficace pour protéger la sécurité internationale et soutenir des règles du jeu équitables au niveau mondial », et les restrictions ne doivent pas perturber indûment les chaînes d’approvisionnement stratégiques.

 

Les Pays-Bas ont exprimé leurs inquiétudes quant à l’impact des contrôles américains à l’exportation, en particulier dans le domaine des semi-conducteurs. Le pays abrite ASML Holding NV, un fabricant néerlandais de matériel de fabrication de semi-conducteurs.

 

Les négociations en vue de la prochaine réunion de la TTC ont été entravées par la loi américaine sur la réduction de l’inflation récemment adoptée, qui prévoit des subventions pour soutenir les technologies vertes aux États-Unis et est considérée comme discriminatoire par l’UE et d’autres pays. Les responsables des deux parties doivent se rencontrer cette semaine pour répondre aux préoccupations européennes, et le bras exécutif de l’UE espère résoudre ces irritants avant la réunion de haut niveau qui aura lieu début décembre.

 

Selon M. Tai, les États-Unis et l’Union européenne ont surmonté d’autres différends commerciaux sous l’administration Biden, notamment en ce qui concerne les subventions aux fabricants d’avions civils et le commerce de l’aluminium.

 

« Je pense que nous avons toutes les raisons d’être confiants quant à notre capacité à mener ces conversations sur les préoccupations de l’UE concernant la loi sur la réduction de l’inflation », a-t-elle déclaré lors d’une interview au bureau de Bloomberg à Washington vendredi. « Pour ce qui est de notre travail avec l’UE, il s’agit d’un point important et supplémentaire que nous devons aborder maintenant. Mais, à mon avis, il n’est pas en train de nous éclipser. »

 

Une grande majorité des États membres a exprimé de sérieuses inquiétudes au sujet de la loi américaine lors d’une réunion des ambassadeurs de l’UE la semaine dernière, ont indiqué ces personnes, notant que la loi pourrait nuire à la transition écologique du bloc et à sa compétitivité en général. La France a déclaré qu’elle pourrait perdre 8 milliards d’euros (8 milliards de dollars) d’investissements verts, selon les personnes interrogées.

 

Des pays comme l’Allemagne et la France estiment que la meilleure solution serait d’obtenir le même traitement que celui accordé au Mexique et au Canada dans le cadre de l’IRA et que l’Union européenne devrait utiliser tous les outils disponibles à cette fin.

 

Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.

 

Préparez-vous !

 

Charles SANNAT

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