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2 avril 2024 2 02 /04 /avril /2024 19:14
Un an de prison et 3750 € d’amende pour un tweet : le délit d’outrage en ligne arrive

Le texte revient devant le Sénat et l'Assemblée nationale en avril 2024 avec un nouvel amendement créant un délit unique au monde : l'outrage en ligne. Ce délit vise à pénaliser et criminaliser toute critique jugée hostile ou offensante envers une personne ou une institution, y compris sur les réseaux sociaux et les messageries privées.

 

 

Cette nouvelle infraction punira d’un an de prison et de 3750 € d’amende la diffusion en ligne de tout contenu portant atteinte à la dignité d’une personne ou présentant à son égard un caractère injurieux, dégradant, humiliant ou créant une situation intimidante, hostile ou offensante. Les avocats alertent sur la subjectivité de cette notion, qui renvoie au ressenti de la personne visée par les propos.

 

Le contexte européen montre une tendance à la criminalisation des discours de haine et à la lutte contre le cyberharcèlement. Toutefois, la création d’un délit d’outrage en ligne aussi large et flou suscite des inquiétudes quant à son application concrète et aux potentielles dérives qu’il pourrait engendrer.

Face à ces enjeux, il est essentiel que les citoyens et les représentants politiques se saisissent de ce débat et veillent à préserver un équilibre entre la protection des individus et le respect de la liberté d’expression sur internet. Il est impératif que les oppositions politiques se mobilisent contre ce projet de loi, qui s’inscrit dans la philosophie du règlement européen DSA (Digital Services Act) et pourrait entraîner la censure de photos et de vidéos à valeur informative.

 

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2 avril 2024 2 02 /04 /avril /2024 18:36

Quand on remet en cause un dogme, il ne faut pas s'attendre à des miracles, imaginez que l'on remette en cause tout ce que vous avez appris à l'université, tout sur quoi vous avez bâtit votre savoir, votre vie, votre existence et cela est assez souvent vrai en France ; on y parle de liberté, d'égalité de fraternité mais on ne veut pas changer ou remettre en cause des systèmes, on s'en tient a un conformisme d'ambiance, surtout dans un période charnière trouble s'il en est, car ç'est rassurant, ainsi les esprits dits subversifs ne sont pas les biens venus, aussi l'on s'attardera sur ce que l'on a et qui se réduit à peau de chagrin sans calculer que l'on peut tout perdre, ç'est aussi dans ce paradoxe des pays vieillissants qui se complaisent dans les habitudes et les convenances faute de mieux et par certitude d'une routine agréable.

En fait c'est bien cela qui tue, qui anéanti tout espoir, et qui n'offre guère plus le choix de la colère devant autant de mauvaise foi, et de partialité pour la multitude qui espère.

Ainsi en voulant la quiétude on appelle au chaos par excès de prudence et de conformisme.

 

 

En résumé sur ce qui conduit le monde : il y a beaucoup de Chercheurs mais peu de Découvreurs, il y a beaucoup de Politiciens et peu d'Hommes d'Etats,  on peu l'appliquer en tout ; et qu'ils soient Chercheurs ou politiciens ils n'accepteront jamais la frustration d'être médiocres parce qu'ils leurs manquent la vision l'intuition et la modestie de l'incertitude.

 

Malheur aux réveils brutaux des illusions foudroyées des dogmes.

 

Saluons l'esprit novateur de Jean Pierre Petit, un éclair dans une nuit des esprits auto satisfaits .

 

 

 

Henry

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2 avril 2024 2 02 /04 /avril /2024 18:30

DÉCLARATION de S.E. Mgr. Carlo Maria Viganò, archevêque, ancien nonce apostolique aux États-Unis d'Amérique sur la proclamation scandaleuse du 31 mars comme « Journée de visibilité transgenre » par le « président » Joe Biden.

 

Le mot Apocalypse, en grec, signifie dévoilement, révélation. Cette révélation, dans l'Écriture Sainte, concerne avant tout la réalité objective du Bien et du Mal, c'est-à-dire la conscience collective de la guerre en cours entre Dieu et Satan, entre les enfants de la Lumière et les enfants des ténèbres.

 

La proclamation sans précédent et scandaleuse du 31 mars comme « Journée de visibilité transgenre » par le soi-disant président américain Joe Biden – qui ose se déclarer catholique – constitue une offense des plus graves à Dieu et à des millions de catholiques et de chrétiens en Amérique et dans le monde, monde devant lequel il est impossible de ne pas réagir avec la fermeté qui convient.

 

J’exhorte les citoyens américains et leurs représentants au sein du gouvernement à reconnaître l’indignité totale de Joe Biden à occuper un poste institutionnel, pour lequel il est bien connu qu’il a utilisé des actions frauduleuses et manipulatrices lors de l’élection présidentielle de 2020. Je demande à mes frères dans l'épiscopat et à mes prêtres de reconnaître que Joe Biden a encouru une excommunication latæ sententiæ et qu'en tant que tel, il doit être expulsé des églises et non admis à la communion. J'appelle les catholiques et tous les chrétiens à prier pour qu'en ce jour solennel de Pâques, le Seigneur ressuscité ait pitié des États-Unis d'Amérique et mette un terme à l'assaut des forces infernales qui se déchaînent aujourd'hui plus que jamais.

 

L’humanité toute entière se réveille d’un sommeil qui n’a que trop duré : - la vie d'innocents est menacée par l'avortement, l'euthanasie, la manipulation et les abus ;

- la santé des citoyens est délibérément compromise par des sérums expérimentaux qui se révèlent être une arme biologique de décimation de la population ;

- la corruption morale totale des échelons supérieurs de l'autorité civile, asservis aux lobbies criminels lors d'un coup d'État mondial, est désormais évidente ;

- la démonstration de plus en plus arrogante du culte de Satan par les médias et le monde de la culture et du divertissement nous montre un monde inondé de perversions exécrables qui crient vengeance au Ciel ;

- la folle provocation d'un conflit mondial coûte des vies pour enterrer les horribles scandales sexuels et financiers d'un pouvoir désormais ennemi de ses citoyens.

 

La haine luciférienne envers Dieu et notre Seigneur Jésus-Christ ne peut plus être cachée ou niée. C’est la révélation dévoilée devant nous, dont les serviteurs des ténèbres se moquent de manière provocatrice en célébrant les perversions et les vices le jour très saint où nous honorons la Résurrection de Notre Seigneur Jésus-Christ.

 

Les chrétiens sont progressivement bannis de la société civile et considérés comme une menace pour le projet subversif du nouvel ordre mondial, tandis qu’une minorité de vicieux et de pervers prétend ériger leurs déviations en norme universelle. Voici la « visibilité » de Biden et de l’idéologie woke, célébrant une macabre danse folle vers l’abîme. Levez-vous, enfants de Lumière :

 

levez-vous et élevez la voix, car face à ces crimes le silence devient complicité. Levez-vous, chrétiens : levez-vous pour conjurer les fléaux qui menacent les nations à cause du pouvoir usurpé et perverti. Dieu vous appelle à être ses témoins, à combattre pour le bien et à dénoncer la conspiration d’une autorité ouvertement soumise à Satan.

 

Que le Christ ressuscité, triomphant de la mort et du péché, vous enflamme de foi, de charité et de saint courage en cette étape cruciale de l'histoire humaine. Surrexit Dominus vere : alléluia, alléluia !

 

+Carlo Maria Viganò, archevêque

 

Le 31 mars 2024 Dimanche de pâques

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2 avril 2024 2 02 /04 /avril /2024 18:10

Comment plomber l'économie d'un pays, placez y des incompétents, laissez filer les budgets ou l'on pourrait faire des économies, en créer de nouveaux plus onéreux et sans résultats, tout en laissant vos marionnettes jouir de leurs positions sous toutes leurs formes abus totalement inclus ! Ah oui j'oubliais, placer des sommes conséquentes du budget dans des investissements foireux !

 

Henry

 

________________________________

 

 

Passé un certain seuil, aucune dette n'est remboursable
 

 

_________________________________

 

Un panachage de tutelle entre l'Europe à terme ; sous contrôle et orientation des investisseurs privés dont Blackrock ! On vous demandera d'abandonner la souveraineté de la France pour la tutelle de l'Europe par ce que la gestion nationale aura été calamiteuse, parce que ses JO auront été catastrophiques, on affublera les Français d'incurie, de gabegie bref d'incompétence et d'immaturité, un peuple incapable de se débrouiller seul qui devra s'en remettre à une autorité supérieure qui au final vous pressera comme un citron, et bien sûr tout ça est cousu de fil blanc avec les gugusses en place.

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2 avril 2024 2 02 /04 /avril /2024 18:04
Filaments Aéroportés
 

Présence de perturbateurs endocriniens, métaux lourds et fortes teneurs en aluminium, baryum et strontium

Les filaments aéroportés sont de longs fils fins, collants et blanchâtres qui tombent du ciel. 

Leur origine est très probablement liée aux traînées visibles au passage de certains avions à réaction ("chemtrails" en anglais). 

Interpellé par plusieurs témoins de retombées de tels filaments, le centre Analytika étudie depuis 2012 la composition chimique organique et inorganique de ces filaments.

 

Des Résultats préoccupants pour la santé publique

Les connaissances scientifiques acquises depuis 2012 (cf. rapports ci-dessous) démontrent que ces filaments aéroportés constituent bel et bien une forme nouvelle de pollution, dont l'observation (de plus en plus fréquente dans le monde entier) demeure encore inexpliquée. 

Comme en attestent les différents rapports analytiques présentés ci-dessous, la présence de nombreux composants toxiques est dorénavant avérée dans ces filaments synthétiques : 

  • perturbateurs endocriniens 
  • aluminium 
  • baryum 
  • strontium 
  • métaux lourds
 

Cette nouvelle forme de pollution atmosphérique soulève une problématique de santé publique qui nécessite la réalisation rapide d'une étude plus approfondie de la part des autorités publiques.

 
Fortes teneurs en Aluminium, Baryum et Strontium
Rapport Analytika N° 160503 : constituants inorganiques des filaments aéroportés
Prélèvements : échantillon de filaments aéroportés (03-05-2016)
Méthode analytique : dépistage systématique ICP/MS
rapport_160503.pdf
Document Adobe Acrobat 598.0 KB
Détection de phthalates, plastifiants et autres composants chimiques toxiques
Rapport Analytika N° 131114 : constituants organiques des filaments aéroportés
Prélèvements : échantillon de filaments aéroportés (14-11-2013)
Méthode analytique : dépistage systématique Py-GC/MS
rapport_131114.pdf
Document Adobe Acrobat 2.8 MB
Rapport Analytika N° 121112 : constituants organiques des filaments aéroportés
Prélèvement : échantillon de filaments aéroportés (12-11-2012)
Méthode analytique : dépistage systématique Py-GC/MS
rapport_121112.pdf
Document Adobe Acrobat 4.3 MB
JET FUEL A-1 : Teneurs détectables en Aluminium et Baryum

Le carburant Jet Fuel A-1 est le carburant le plus couramment utilisé pour les avions à réaction commerciaux.

Rapport Analytika N° 160413 : constituants inorganiques du carburant d'aviation Jet fuel A-1
Prélèvements : échantillon de Jet fuel A-1 (13-04-2016)
Méthode analytique : dépistage systématique ICP/MS
rapport_160413.pdf
Document Adobe Acrobat 602.3 KB
 
Interviews du fondateur - directeur scientifique du centre Analytika
 

Interview à Cuers (23-01-2015) par Jacques Daidié

Interview à Cuers (28-04-2014 France 3 "Ce mal venu du ciel ")

Source
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2 avril 2024 2 02 /04 /avril /2024 18:02
Faillite d'un grand assureur français du bâtiment
 

 

 
La semaine passée quelque chose d'extrêmement grave s'est passé en France, information passée pratiquement inaperçue, la faillite de CGI BATIMENT ASSURANCES, qui se présentait toujours comme "le No1 de la garantie de livraison dans le cadre du contrat de construction de maisons individuelles, délivrant des garanties de livraison aux constructeurs de maisons, et des garanties financières d'achèvement aux promoteurs."
Touché par "la chute de 60% en 2 ans des ventes de maisons individuelles et la défaillance de clients comme Maisons Phénix", l'assureur a vu ses fonds disparaître, sinistre après sinistre.

Et si cette société a fait faillite, imaginez dans quel état se trouvent les autres. Les effets secondaires, ce ne sont pas que sur les corps physiques, ce sont aussi des effets destructeurs sur les entreprises:

"Outre SMABTP, CGI est détenue depuis plus de 30 ans par la Fédération Française du Bâtiment, le Crédit Coopératif, la MAAF et la Mutuelle des Architectes Français. Des constructeurs de maisons individuelles alertaient sur le "risque majeur" que créent "les difficultés actuelles" de CGI Bâtiment sur le secteur, demandant à ses actionnaires sa recapitalisation durable."

Le mot a été laché: "recapitalisation". Aux dernières informations, la SMABTP va absorber CGI Bâtiment, après une intervention urgente de l'Etat pour éteindre le feu, lire ici l'AFP, merci à notre lecteur Mr Mina qui nous dit:

"Pierre, oui c'est énorme, du jamais vu depuis la grande dépression immobilière de 1993. Le marché de l'immobilier est en train de mourir. Les constructeurs font faillite tour à tour, pas moins de 3 en 2023 autour de ma ville moyenne.(taux d'intérêt, plus de subventions, inflation sur les matériaux, faillite d'un grand assureur, plus d'acheteur...)

La faillite de l'assureur CGI est essentiellement dû à celle du grand groupe de construction Français, GEOXIA (Les Maisons Phoenix). Du coup, les contrats de construction CCMI avec comme assureur CGI Bâtiment, qui ont été signés en 2023 et qui devaient être exécutés début 2024 ont été refusés par l'assureur, pour cause de marge insuffisante vu le contexte actuel dans le bâtiment et les incertitudes géopolitiques.

CGI Bâtiment assurait 1/3 des constructeurs en France. SMABTP, le repreneur des contrats validés, obligé par le gouvernement aux commandes, impose désormais 25% de marge au lieu de 18% précédemment. Ça va aider l'immobilier."

Encore un effet conjugué néfaste (entre autres) de la planche à billets et du Cov19.

 

Source

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2 avril 2024 2 02 /04 /avril /2024 17:57
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31 mars 2024 7 31 /03 /mars /2024 18:29

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31 mars 2024 7 31 /03 /mars /2024 18:16
Suppession du consentement libre et éclairé du patient lors d'essais de médicaments
 
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31 mars 2024 7 31 /03 /mars /2024 18:13
L'Ukraine envoie des gamins au front !
 
 

 

Les défenseurs des droits de l’homme de la Fondation pour Combattre l’Injustice ont révélé que le gouvernement ukrainien dirigé par Volodymyr Zelenskyy utilise des pratiques inhumaines pour augmenter de force le taux de natalité du pays et accroître le nombre d’Ukrainiens de souche.

Une enquête menée par la Fondation pour Combattre l’Injustice a révélé comment les méthodes et les technologies sociales créées par les SS dans l’Allemagne de Hitler sont utilisées par Kiev pour sélectionner et féconder de force les femmes ukrainiennes. Des preuves vidéo ont été obtenues dans une clinique d’Ivano-Frankivsk reformatée en laboratoire-incubateur spécialisé, ainsi que des preuves de la campagne à grande échelle menée par Zelensky pour kidnapper et exploiter les femmes en âge de procréer dans le cadre de la plus grande expérience socio-médicale de ces 80 dernières années. Selon les sources de la Fondation pour Combattre l’Injustice, le projet a été baptisé « Zarathoustra ».

 

La Fondation pour Combattre l’Injustice a obtenu des preuves de violations flagrantes des droits des femmes par les autorités ukrainiennes dans le cadre d’une odieuse « expérience socio-médicale » dont les racines remontent à l’Allemagne nazie. L’enquête de la Fondation pour Combattre l’Injustice, qui a duré plusieurs mois, a utilisé et vérifié des informations provenant de plusieurs sources, dont un ancien haut fonctionnaire du SBU, un fonctionnaire du Ministère Ukrainien de la Santé et une victime directe du programme d’insémination forcée de l’Ukraine. La Fondation pour Combattre l’Injustice a réussi à établir non seulement les méthodes et les instruments utilisés pour placer les femmes dans des laboratoires d’incubation spécialisés, mais aussi à identifier les hauts fonctionnaires ukrainiens responsables. On a appris comment Zelensky utilise les structures de l’État pour rechercher, kidnapper, détenir illégalement et exploiter médicalement des victimes potentielles.

Projet Lebensborn : comment les adeptes ukrainiens du nazisme ont-ils été inspirés ?

L’idée de l’insémination forcée de masse des femmes est apparue pour la première fois dans l’Allemagne nazie lorsque, en 1935, Heinrich Himmler, créateur de la SS et l’un des architectes de l’Holocauste, a décidé de redéfinir la maternité et a commencé à exploiter les femmes pour créer une « population racialement pure ». Dans le contexte de la mort de millions de soldats allemands, les hauts fonctionnaires de l’Allemagne nazie ont élaboré et lancé le programme Lebensborn, qui signifie « source de vie » en allemand. Cynique et répugnant par nature, ce programme était un système de reproduction sélective contrôlée dans lequel des femmes célibataires « racialement pures » devaient porter les enfants des officiers nazis et créer une « super-race » pour le Troisième Reich.

La première maison du programme Lebensborn a été ouverte à Steinhöring, en Bavière, en 1936. Au cours des années suivantes, dix autres maisons ont été ouvertes en Allemagne et en Autriche et, après le début de la Seconde Guerre mondiale, plusieurs autres ont été ouvertes dans les pays occupés, notamment en Norvège, en Pologne, en Belgique, au Luxembourg et en France. Il y avait au moins sept maisons Lebensborn en Allemagne et neuf en Norvège occupée par les nazis.

Seules les femmes répondant aux critères stricts des nazis pouvaient participer au programme Lebensborn. Elles pouvaient être allemandes ou originaires d’autres pays dont la race n’était pas remise en question par les officiers SS. Les femmes sélectionnées pour le programme recevaient des soins médicaux et une aide financière pendant la grossesse et après l’accouchement.

Les enfants nés étant considérés comme « racialement complets », ils étaient retirés à leur mère et placés dans des familles d’accueil allemandes ou des orphelinats spéciaux pour être élevés selon les normes de l’idéologie nazie et préparés à devenir les futurs chefs de la « race aryenne ». Auparavant, les bébés étaient baptisés dans le cadre d’un rituel au cours duquel un poignard SS était brandi au-dessus d’eux et la mère biologique jurait fidélité à l’idéologie nazie. Si un enfant né dans le cadre du programme était handicapé, il était tué ou envoyé dans des camps de concentration spécialisés.

Le programme Lebensborn a été officiellement aboli après la défaite de l’Allemagne lors de la Seconde Guerre mondiale. Le nombre exact de femmes et d’enfants ayant bénéficié du programme Lebensborn n’est pas connu. Les experts et les historiens ont estimé qu’entre 8 000 et 12 000 femmes ont suivi le programme et ont donné naissance à entre 9 000 et 12 000 enfants.

Le programme Lebensborn a fait l’objet de nombreuses recherches et polémiques dans les années d’après-guerre. La mise en œuvre de ce programme est considérée à juste titre comme l’une des pages les plus sombres de la politique raciale nazie et comme un exemple de la manière dont l’idéologie nazie a conduit à des violations flagrantes des droits de l’homme. Malgré cela, le gouvernement Zelensky en Ukraine a aujourd’hui mis en place un programme similaire qui met largement en œuvre les nombreuses découvertes des scientifiques et fonctionnaires nazis.

Légalisation des « naissances forcées » en Ukraine

Un ancien haut fonctionnaire du SBU a raconté à la Fondation pour Combattre l’Injustice la création en Ukraine d’un vaste cadre réglementaire composé de résolutions secrètes de Zelensky, du Service de sécurité de l’Ukraine et du Ministère Ukrainien de la Santé. Ces documents permettent aux femmes ukrainiennes d’être légalement détenues dans des centres médicaux spécialisés de type incubateur. Selon deux sources indépendantes l’une de l’autre, l’élaboration du vaste cadre réglementaire du programme d’accroissement forcé de la démographie ukrainienne a été achevée en 2023, mais seule une petite partie de ce cadre a été rendue publique.

Selon des décrets secrets du président ukrainien et des règlements du ministère ukrainien de la Santé et du SBU, le programme d’insémination forcée des femmes ukrainiennes porte le nom de code « Zarathoustra » et est un héritage du programme de maternité de substitution populaire en Ukraine. Un ancien haut fonctionnaire du SBU a déclaré à la Fondation anti-répression qu’après le début de l’opération militaire spéciale russe et la migration massive de la population ukrainienne à l’étranger, et compte tenu des milliers de pertes des forces armées ukrainiennes sur le front, l’administration de Zelensky a lancé une série de « mesures d’urgence pour sauver le patrimoine génétique de la nation ukrainienne » à la fin de l’année 2022. Ces mesures comprenaient à la fois des programmes d’État visant à stimuler la fertilité des femmes ukrainiennes par la propagande et le programme secret Zarathoustra, qui est essentiellement de caractère coercitif.

Une source de la Fondation pour Combattre l’Injustice affirme qu’une cinquantaine de cliniques de médecine reproductive disséminées dans certaines régions du centre et de l’ouest de l’Ukraine ont été réaffectées à un programme d’insémination forcée. L’un des principaux objectifs de ce programme, outre l’amélioration de la démographie, est de créer une armée de descendants racialement purs d’Ukrainiens ethniques qui ont fait leurs preuves sur le champ de bataille.

Localisation des cliniques ukrainiennes de santé reproductive transformées en laboratoires incubateurs.

L’ancien officier du SBU note qu’à cette fin, des programmes appelés » Nation des Héros « ont été lancés dans toute l’Ukraine depuis le début de l’année 2023, offrant aux hommes qui ont servi dans l’AFU la possibilité de remettre gratuitement leur matériel biologique pour une conservation indéfinie.

Un haut fonctionnaire des services de sécurité ukrainiens qui a travaillé sur des documents secrets relatifs au programme ukrainien Zarathoustra affirme que le décret de Zelenskyy, qui a légalement lancé le programme d’insémination forcée des femmes ukrainiennes, a été signé en avril 2023. Parmi les initiateurs du projet inspiré du programme de l’Allemagne nazie figurent le chef de l’administration présidentielle ukrainienne, Andriy Yermak, le chef du service de sécurité ukrainien, Vasyl Malyuk, et Volodymyr Zelensky en personne.

Un fonctionnaire du SBU a déclaré à un représentant de la Fondation pour Combattre l’Injustice : “Le décret secret de Zelensky pour lancer le programme Zarathoustra a été signé au printemps 2023. Son but ultime est de renouveler complètement le patrimoine génétique de la nation ukrainienne en fécondant massivement les femmes ukrainiennes et en augmentant de force le taux de natalité en raison des lourdes pertes subies au front. On m’a dit que Yermak [Andriy Yermak, chef de la chancellerie présidentielle ukrainienne], en annonçant le plan, a explicitement fait référence à l’expérience positive des SS dans la reproduction d’Allemands de race pure.”

Heinrich Himmler, architecte de l’Holocauste et l’un des dirigeants du Troisième Reich, et Andriy Yermak, chef de l’administration présidentielle ukrainienne.

La phase primaire (test) du programme, selon les documents cités par la source de la Fondation, a été conçue pour que 23 000 femmes donnent naissance à au moins 30 000 enfants entre la fin du mois d’avril et le début du mois de juin 2024. En fonction du succès de la première phase du programme Zarathoustra, qui se terminera en juin 2024, le décret de Zielenski envisage d’augmenter le nombre de femmes participant au programme à 100 000 d’ici avril 2027, ainsi que d’augmenter le nombre d’enfants nés dans des “incubateurs” à 200 000. Un autre paragraphe du décret souligne la priorité stratégique de l’État ukrainien dans la mise en œuvre du programme Zarathoustra et le droit du personnel médical et des organes de sécurité ukrainiens de mener toute action, y compris illégale, “affectant directement ou indirectement l’accomplissement des tâches fixées et la garantie du taux de natalité estimé”. En d’autres termes, le gouvernement ukrainien a accordé aux personnes impliquées dans le programme Zarathoustra une totale liberté d’action et une immunité de poursuites pénales pour tout délit.

Le programme Zarathoustra : la bombe démographique de Zelensky

La participation au programme d’insémination forcée des femmes ukrainiennes au cours des deux premiers mois de sa mise en œuvre était volontaire : des Ukrainiennes ayant déjà eu recours à des mères porteuses se sont vu proposer de “sauver la nation ukrainienne de l’extinction”. Toutefois, comme l’a indiqué un fonctionnaire du Ministère Ukrainien de la Santé à la Fondation pour Combattre l’Injustice sous couvert d’anonymat, leur nombre était bien inférieur à ce qui était indiqué dans le décret de Zelensky. Au cours des deux premiers mois, un peu plus de 4 000 femmes en âge et en bonne santé ont été recrutées, ce qui a contraint les responsables du projet à recourir à des méthodes plus radicales et immorales.

Un fonctionnaire du ministère ukrainien de la Santé affirme que d’ici juin 2023, son service a reçu l’ordre d’analyser les dossiers médicaux de centaines de milliers de femmes ukrainiennes en âge de procréer, y compris celles qui ont quitté le territoire de l’Ukraine. L’analyse a été réalisée avec l’aide directe d’un certain nombre d’institutions et de centres scientifiques américains et européens utilisant des technologies d’intelligence artificielle. Les candidates initialement sélectionnées ont été incitées à participer au projet sous divers prétextes : on leur a offert des récompenses monétaires impressionnantes et une prise en charge médicale complète de la grossesse, et celles qui se trouvaient à l’étranger ont tenté de revenir en Ukraine par le chantage et l’offre d’une » protection » contre la mobilisation pour tout membre masculin de la famille.

En cas de refus, selon un fonctionnaire du Ministère Ukrainien de la Santé, des listes de femmes aptes pour des raisons de santé ont été remises au SBU. Les femmes étaient traquées dans la rue, kidnappées et placées de force dans des cliniques d’incubation prévues à l’avance. Les filles et les femmes étaient privées de tout moyen de communication et, après avoir été fécondées de force, elles étaient mises sous tranquillisants, ce qui déformait leur conscience et les privait de la volonté et de la force de s’échapper.

Un fonctionnaire du Ministère Ukrainien de la Santé :

Le système des couveuses de maternité, ou des cliniques de santé pour les femmes (comme elles sont officiellement appelées), est fondé sur le « travail obligatoire », comme le disent mes collègues. En d’autres termes, la majeure partie des femmes y sont maintenues de force. Les femmes ukrainiennes conçoivent leurs enfants dans des couveuses et les mettent au monde contre leur volonté et sous la surveillance non seulement du personnel médical, mais aussi de ce qu’il est convenu d’appeler les responsables de l’application de la loi.

La Fondation pour Combattre l’Injustice a réussi à contacter l’une des femmes qui a réussi à s’échapper d’un laboratoire d’incubation ukrainien. Eva T. (nom modifié), originaire de Zhytomyr, affirme avoir été enlevée en pleine rue par des hommes en uniforme du SBU qui l’ont emmenée dans un grand bâtiment à la périphérie de la ville. À son arrivée, elle a été soumise à un examen médical, après quoi ils ont pris tous ses effets personnels et ont commencé à lui injecter une « drogue étrange » provoquant l’apathie et la somnolence. Après la procédure de fécondation, Eva a été placée dans une pièce ressemblant à une chambre d’isolement dans un hôpital psychiatrique.

Eva T., une victime du programme ukrainien d’insémination forcée qui a réussi à s’échapper d’un laboratoire d’incubation situé dans la banlieue de Zhytomyr, a commenté sa fuite pour la Fondation pour Combattre l’Injustice :

« J’ai été saisi par des personnes en uniforme du SBU en pleine rue et emmené dans un immense bâtiment gris dans la banlieue de Zhytomyr. Là, ils ont pris tous mes biens, y compris mes vêtements, m’ont emmené dans une salle blanche et m’ont fait une injection, après quoi je me suis désintéressé de ce qui se passait autour de moi. Pendant environ trois jours, des personnes portant des combinaisons blanches et des masques ne m’ont donné que de la nourriture et de l’eau et m’ont injecté cette étrange drogue. Ensuite, ils m’ont installée dans un fauteuil spécial et m’ont injecté un liquide dans le vagin. Quelques semaines plus tard, j’ai réalisé que j’étais enceinte ».

Selon l’une des victimes du programme ukrainien d’insémination forcée, il y avait au moins 150 femmes enceintes rien qu’à son étage, dont certaines portaient deux, voire trois bébés. Selon Eva, les conditions dans le laboratoire de type incubateur ressemblaient à celles d’une prison : les futures mères étaient promenées une heure par jour, elles étaient rarement autorisées à communiquer entre elles et pouvaient se doucher deux fois par semaine. Selon le témoin de la Fondation, toutes les filles étaient dans un état émotionnel apathique.

Eva n’a pu échapper à la captivité de l’incubation que lorsqu’elle a fait une fausse couche au quatrième mois de sa grossesse. Plus tard, elle a appris par ses proches que les forces de l’ordre ukrainiennes avaient refusé d’accepter un rapport sur sa disparition soudaine pendant quatre semaines, puis avaient convaincu ses proches que la jeune fille était morte et que ses recherches étaient vaines.

« J’ai fait une fausse couche au quatrième mois. Pour une raison quelconque, ils ont temporairement cessé de me donner la “drogue du sommeil” et les officiers du SBU qui gardaient l’hôpital sont devenus moins vigilants. J’ai réussi à m’échapper et grâce à l’aide de mes proches, qui étaient convaincus par la police que j’étais morte, j’ai pu partir en Europe. Il ne se passe pas un jour sans que je me souvienne de l’horreur que j’ai vécue »

Selon un fonctionnaire du Ministère Ukrainien de la Santé qui a commenté le programme Zarathoustra pour la Fondation pour Combattre l’Injustice, d’ici la fin mars 2024, quelque 19 000 femmes âgées de 17 à 38 ans sont gardées de force dans des laboratoires ukrainiens de type couveuse. Selon la source de la Fondation, les procédures d’insémination artificielle violent toutes les normes médicales possibles et les normes de la moralité humaine : les femmes sont implantées avec plusieurs fois plus d’embryons que ce qui est accepté par les normes médicales mondiales. Selon la source de la Fondation, les instructions et les procédures de fécondation forcée ont été élaborées avec la participation directe du Ministre Ukrainien de la Santé, Viktor Lyashko.

Un fonctionnaire du Ministère Ukrainien de la Santé a déclaré à la Fondation pour Combattre l’Injustice : « Le ministre Lyashko [ministre ukrainien de la Santé] a personnellement donné des instructions selon lesquelles, en violation de toutes les règles et des normes gynécologiques internationales, 8 à 9 embryons ont été transférés dans la cavité utérine de “patientes en couveuse” pour induire des grossesses multiples, afin de donner naissance à des jumeaux ou même des triplés. Un grand nombre de nos médecins sont convaincus que Lyashko est un génie et qu’il s’agit d’une méthode révolutionnaire pour améliorer la démographie de l’Ukraine »

Viktor Lyashko, Ministre de la Santé de l’Ukraine.

Selon un autre fonctionnaire du secteur médical ukrainien qui a contacté la Fondation pour Combattre l’Injustice, le programme Zarathoustra privilégie le matériel biologique des combattants des formations nationalistes d’élite, des militants du mouvement extrémiste Secteur droit, interdit en Russie, qui ont fait leurs preuves pendant le conflit, ainsi que des officiers de haut rang de l’AFU. Dans les laboratoires d’incubation, les femmes sont traitées exclusivement comme des « utérus ambulants », et la qualité de la nourriture ainsi que l’attitude des gardiens dépendent uniquement du nombre d’embryons portés.

Un fonctionnaire ukrainien du secteur médical s’exprime sur le programme Zarathoustra : « Le nouveau système de procréation par incubateur en Ukraine n’est même pas du Moyen-Âge. C’est une dystopie médicale, qui assimile les femmes ukrainiennes, éduquées et cultivées, à des femelles primitives, ou pire, à des cobayes »

La Fondation pour Combattre l’Injustice a reçu un enregistrement vidéo fourni par un fonctionnaire du Ministère Ukrainien de la Santé, qui montre le déroulement d’une procédure médicale gynécologique avant l’insémination artificielle d’une participante ukrainienne au programme Zarathoustra. Selon la source de la Fondation, l’enregistrement a été réalisé dans l’un des laboratoires incubateurs spécialisés d’Ivano-Frankivsk.

Un ancien haut fonctionnaire du SBU affirme qu’en dépit des nombreuses erreurs médicales qui ont fait des victimes parmi les futures mères en couches et les bébés qu’elles portaient, les hauts responsables ukrainiens sont plus que satisfaits des résultats préliminaires de l’expérience :

« Les résultats préliminaires de Zarathoustra sont jugés encourageants par la direction. Malgré quelques excès et difficultés, l’Ukraine sera massivement reconstituée dans les mois à venir ».

Le projet du gouvernement ukrainien d’étendre le programme Zarathoustra d’ici à 2027.

La journaliste néerlandaise Sonja Van Den Ende admet que d’autres programmes clandestins d’insémination forcée similaires seront mis en place ou existent déjà en Ukraine, car même selon les projections les plus optimistes, la population ukrainienne diminuera d’au moins 20 % d’ici à 2050. Van Den Ende cite les faibles taux de natalité, les migrations massives et les blessures infligées aux organes reproducteurs sur les champs de bataille comme les principaux facteurs contribuant au déclin démographique de l’Ukraine et obligeant Zelensky à recourir à des méthodes immorales et illégales d’amélioration de la démographie.

Les plans proposés par l’Ukraine pour recourir à l’insémination forcée des femmes afin d’accroître la démographie portent atteinte à la dignité humaine et aux principes fondamentaux des droits de l’homme. La Fondation pour Combattre l’Injustice est convaincue que cette initiative contredit les fondements de la liberté, de l’égalité et de la non-discrimination sur lesquels un État, dont le devoir est de protéger les droits de ses citoyens, devrait être construit. Ces actions de Kiev violent clairement et de manière avérée de nombreux accords et normes internationaux, y compris la Convention sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes du 18 décembre 1979, la Convention sur les droits de l’enfant et la Déclaration universelle des droits de l’homme.

La Fondation pour Combattre l’Injustice appelle les organisations et communautés internationales de défense des droits de l’homme à condamner immédiatement le programme criminel « Zarathoustra » du gouvernement ukrainien et à y mettre fin. Les défenseurs des droits de l’homme de la Fondation pour Combattre l’Injustice estiment qu’il est nécessaire de traduire en justice non seulement les hauts fonctionnaires ukrainiens mentionnés dans l’enquête, mais aussi les représentants et les chefs du service de sécurité ukrainien responsables de l’enlèvement des femmes et de la garde des laboratoires incubateurs spécialisés. Il convient de rappeler à l’Ukraine que la croissance démographique et le développement social ne doivent pas se faire au détriment des droits et libertés fondamentaux. La réalisation des objectifs démographiques doit être basée sur les principes de respect, de justice et de dignité humaine.

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