Washington exige des exemptions aux règles européennes, menaçant la directive sur le devoir de vigilance. Une réunion d’urgence à Bruxelles le 8 octobre.
L’UE s’apprête à offrir des privilèges aux géants américains, alors que ses PME étouffent sous les normes. Les détails des exemptions restent flous.
Les fonctionnaires européens cèdent face à la pression américaine, compromettant l’accord transatlantique. Les exportateurs européens plongent dans l’incertitude.
Le « Brussels effect » s’effondre : l’UE prétend imposer ses normes, mais se soumet à Washington. Les citoyens paient la facture.
Les pressions américaines sur Bruxelles
Washington réclame des exemptions aux règles européennes. Une réunion d’urgence est prévue ce 8 octobre à Bruxelles.
Début octobre, l’administration Trump a adressé un courrier à la Commission européenne pour exiger des passe-droits aux réglementations de l’Union.
Les révélations du Financial Times et de Bloomberg confirment que la Maison Blanche demande des exemptions sur plusieurs textes majeurs, dont la directive sur le devoir de vigilance.
Ce dispositif, censé contraindre les multinationales à rendre des comptes sur leurs chaînes d’approvisionnement, est jugé par Washington comme une ingérence.
Trump refuse que les bureaucrates bruxellois dictent leurs normes aux entreprises américaines.
Bruxelles sous influence
Face à cette offensive, la Commission européenne organise une réunion consultative ce mercredi 8 octobre. On imagine déjà les eurocrates chercher la meilleure manière de maquiller leur recul sous un vernis d’intérêt général.
L’UE, qui étouffe ses propres PME sous des montagnes de normes, s’apprête à offrir aux géants américains les privilèges que nos entreprises n’auront jamais.
Les détails précis des exemptions restent flous, mais l’expérience parle d’elle-même : quand Washington exige, Bruxelles s’exécute.
Réactions embarrassées de l’Union européenne
Les ambassadeurs ne seront pas surpris : la « déclaration commune » signée en août dernier ouvrait déjà la voie à ces concessions.
Le texte stipulait que l’Union s’engageait à éviter toute « restriction excessive » au commerce transatlantique.
Une formulation volontairement floue, taillée sur mesure pour les multinationales.
Quand les Américains tapent du poing sur la table, Bruxelles recule. Derrière le discours officiel sur la coopération équilibrée, c’est une reddition.
Les lois sur la déforestation ou le mécanisme carbone aux frontières sont déjà dans le collimateur de Washington.
Les fonctionnaires européens s’empressent d’apaiser leur allié d’outre-Atlantique, pendant que nos élus détournent le regard.
Des conséquences lourdes pour nos entreprises
Cette complaisance a un prix. Les multinationales américaines obtiendront des passe-droits pendant que nos PME françaises continueront de crouler sous les obligations environnementales et sociales.
L’UE impose des contraintes intenables à ses propres acteurs économiques, mais dès qu’il s’agit de protéger les profits américains, elle trouve un moyen d’assouplir les règles.
Un responsable européen, interrogé par Les Échos, ne cache pas son exaspération : « Rien de nouveau. C’est toujours la même idéologie assumée et ce chantage permanent qu’ils pratiquent. »
Cela reste de l’idéologie assumée et du chantage permanent.
Mais la machine bruxelloise reste empêtrée dans ses contradictions : lourdeurs internes, lenteur décisionnelle, absence de vision.
Un accord transatlantique vidé de son sens
La demande américaine a dynamité l’accord commercial dont Ursula von der Leyen se vantait encore récemment.
Le « partenariat gagnant-gagnant » s’effondre avant même d’avoir produit le moindre effet.
Les exportateurs européens, qui comptaient sur un cadre stable, replongent dans l’incertitude. Bruxelles s’est couchée pour un accord qui ne vaut déjà plus rien.
Les promesses de stabilité ont volé en éclats. Nos dirigeants européens, toujours prompts à céder, s’enfoncent dans le ridicule.
Pendant ce temps, Trump, lui, défend ouvertement les intérêts américains.
Le « Brussels effect » ou l’illusion du pouvoir européen
Le vrai enjeu se joue ici : la capacité de l’UE à imposer ses normes grâce à son marché intérieur.
Ce fameux « Brussels effect » devait faire de l’Europe un modèle mondial.
Mais comment prétendre diriger le monde quand on se soumet à Washington ?
Les technocrates européens se glorifient d’un pouvoir réglementaire qu’ils n’exercent plus.
Derrière les grands discours, c’est toujours le citoyen européen qui paie la facture pendant que les multinationales américaines s’en sortent avec les honneurs.
Les promesses creuses de Bruxelles
Mercredi soir, la Commission a affirmé rester « concentrée sur la pleine mise en œuvre de la déclaration commune, essentielle pour préserver notre commerce transatlantique et protéger les emplois ».
Des mots creux. En réalité, cette novlangue technocratique masque une impuissance chronique.
Pendant que Bruxelles prétend « protéger les emplois », des pans entiers de notre industrie disparaissent.
Le Collectif citoyen et Xavier Azalbert, France-Soir
Publié le 09 octobre 2025 - 20:40
Image illustrative d'un bulletin de santé inexistant de Emmanuel Macron, Capture écran elysée 2020
France-Soir, IA
Dans une France en pleine crise démocratique, où la défiance envers les élites atteint des sommets et où Emmanuel Macron semble de plus en plus isolé, abandonné par une grande partie de ses proches politiques, la question de son état de santé physique et mental émerge comme un enjeu majeur. Le président lui-même a publiquement évoqué une « maladie » en 2022, décrivant un épuisement profond qui interroge sur sa capacité à gouverner dans un contexte de tensions géopolitiques explosives. Des voix s’élèvent pour dénoncer la maltraitance institutionnelle infligée aux Français depuis des années, un système qui, selon certains analystes, aurait aussi rendu « malades » les citoyens par ses politiques oppressives et l’état d’impasse démocratique dans laquelle la France se trouve aujourd’hui avec 4 premiers ministres en deux ans. Et les anciens militaires de l'association Place d'Armes viennent même de l'adjurer « de quitter ses fonctions au plus vite ».
C’est dans cet esprit d’intérêt public et de transparence promise par le chef de l’État lors de ses campagnes électorales – où il jurait « de la transparence sur tout ce qui peut avoir de l’importance » concernant sa santé – que France-Soir s’est lancé dans une enquête rigoureuse et déterminée.
Notre objectif : éclairer les Français sur l’état de santé de leur dirigeant, non par voyeurisme, mais par devoir journalistique et civique.
Depuis décembre 2020, un seul bulletin de santé a été publié par le Dr Jean-Christophe Perrochon, médecin-chef de la présidence délégué par le ministère des Armées. Aucune mise à jour depuis, malgré les engagements répétés de Macron. Des bulletins ont-ils été établis en interne, mais jamais rendus publics ? Qui ou quoi les bloque ? Ces questions, légitimes dans un pays démocratique, hantent l’opinion publique.
La recherche du Dr Perrochon : une enquête qui porte ses fruits
France-Soir n’a pas ménagé ses efforts pour retrouver le Dr Perrochon, figure discrète mais centrale dans le suivi médical du président. Notre équipe l’a localisé et sommé, par voie d’huissier, d’établir et de publier un bulletin de santé actualisé, afin d’honorer la « double promesse électorale » de transparence de Macron.
Malgré cette sommation, silence radio. Cette opacité n’est pas anodine : elle soulève des soupçons sur d’éventuels obstacles internes à la présidence, peut-être motivés par la peur de révélations embarrassantes sur l’état physique ou, plus crucial encore, mental du président.
Emmanuel Macron est-il apte ? Le Dr Perrochon retrouvé, il est sommé par voie d’huissier d’établir un bulletin de santé du président
Pour recontextualiser cette affaire, France-Soir a publié une série d’articles approfondis sur les relations complexes entre les puissants et leurs médecins (1). Ces enquêtes explorent les secrets partagés dans l’ombre du pouvoir et le dilemme entre secret médical et intérêt général.
En 2004, la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) a condamné la France pour avoir censuré la publication du livre du Dr Claude Gubler, Le Grand Secret, lequel révélait aux citoyens français le cancer caché de François Mitterrand pendant deux septennats. Selon la CEDH l’intérêt public prime sur le secret médical quand il s’agit de la santé d’un chef d’État.
Ces cas historiques rappellent que la santé des dirigeants n’est pas une affaire privée quand elle impacte des millions de vies. Aux États-Unis, le débat sur l’état mental de Joe Biden a explosé lorsque son médecin a snobé une audition sénatoriale, jetant un voile de suspicion sur les bulletins officiels.
En France, l’enjeu est encore plus pressant : une récente étude scientifique sur la santé des dirigeants d’États nucléaires met en lumière les pressions psychologiques extrêmes qu’ils subissent. Dans ce contexte, les déclarations de Macron sur la « mutualisation » de l’arme nucléaire – rejetée par 58 % des Français selon un sondage récent – interrogent son état d’esprit. Ajoutez à cela la peur d’une escalade guerrière en Ukraine, avec l’envoi massif d’armes françaises et les accusations incessantes contre la Russie. La santé mentale d’un leader nucléaire n’est pas un tabou : c’est une question de sécurité nationale.
L’affaire Perrochon : d’une enquête journalistique à un scandale d’état
Face au mutisme du Dr Perrochon pourtant mis en demeure de communiquer et/ ou d’établir des bulletins de santé du Président de la République, France-Soir n’a pas lâché prise et a saisi la Commission d’accès aux documents administratifs (CADA) pour vérifier si ces bulletins relèvent bien des documents administratifs communicables.
C’est là que l’enquête a pris un tour inattendu et triomphal. Le 12 juin 2025, à notre grande surprise, nous avons reçu une réponse officielle du secrétaire général de l’Élysée, M. Patrice Faure, directeur de cabinet du président.
Dans une lettre en recommandé, il nous intime de cesser tout contact avec le Dr Perrochon, sous peine de poursuites pour violation du secret médical. Pire : il menace explicitement notre avocat, Me Diane Protat : « Vos clients demandent, ni plus ni moins, à un médecin de violer le secret professionnel auquel il est tenu vis-à-vis de l’un de ses patients », écrit-il, qualifiant notre démarche d’ « étonnante ».
Réponse officielle de M. Patrice Faure, directeur de cabinet du président
Cette décision administrative unilatérale, qui refuse catégoriquement l’accès à tout bulletin et impose une censure préalable, est une admission indirecte : l’opacité serait une politique délibérée de l’Élysée.
Cette réponse, aussi choquante qu’incroyable, est une avancée pour les lecteurs de France-Soir. Elle confirme que notre enquête dérange au plus haut niveau et force l’administration à sortir de l’ombre. Pour la première fois, un haut responsable de la présidence admet que des bulletins pourraient exister mais ne sont pas publiés, et va jusqu’à menacer un média libre et son avocat pour protéger ce mur de silence. C’est un scandale en soi : un acte administratif qui intimide la presse, contraire à l’article 11 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen et à l’article 10 de la CEDH.
France-Soir a répliqué le 4 juillet 2025 par une lettre ferme de Me Diane Protat, rappelant la jurisprudence CEDH sur Le Grand Secret et les engagements de Macron sur la « transparence médicale ». « France-Soir inscrit son action dans le cadre de la liberté de la presse et de son devoir d’informer le public », peut-on lire,
soulignant que le secret médical ne saurait primer sur l’intérêt général quand il s’agit de la santé d’un dirigeant.
Face à cette opacité persistante, qui contredit les promesses électorales et les pratiques de transparence des prédécesseurs de Macron, France-Soir est passé à l’offensive juridique. Le 8 août 2025, le Tribunal administratif de Paris a ainsi été saisi d’un recours pour excès de pouvoir contre la décision de M. Faure.
Représentés par Me Protat, Xavier Azalbert (directeur de la rédaction) et la société Shopper Union France (éditrice de France-Soir) contestent cette mesure comme une atteinte illégale à la liberté d’expression et à la liberté d’information.
Une transparence fondamentale et une question prioritaire de constitutionnalité
Alors que France-Soir prétend que cette décision unilatérale du directeur de cabinet d’Emmanuel Macron relève de l’organisation administrative de l’Élysée (et non d’un acte de gouvernement immunisé) et qu’elle cause un préjudice direct aux citoyens en les privant d’une information essentielle au contrôle démocratique, les services du Premier ministre, curieusement répliquent pour le compte du Président et affirment dans leur argumentaire adressé au tribunal administratif que :
Face à cet aveu que les Français n’auront jamais accès aux informations importantes sur la santé du Président de la République, France-Soir persévère en déposant une question prioritaire de constitutionnalité :
« L’article L. 1110-4 du Code de la santé publique, en ce qu’il consacre le secret médical sans prévoir d’exception pour la communication des informations relatives à l’état de santé du Président de la République nécessaires à l’exercice du droit de la société à demander des comptes à tout agent public de son administration, garanti par l’article 15 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789, et à l’application de la procédure d’empêchement prévue par l’article 7 de la Constitution, méconnaît-il les droits et libertés garantis par la Constitution, notamment le principe de transparence et l’exigence de continuité de l’État ? »
Le Tribunal administratif de Paris doit, selon la loi, examiner cette question cruciale sans délai. En effet, l’absence d’exception dans l’article L. 1110-4 du CSP visant le Président de la République, paralyse les mécanismes constitutionnels de gestion des crises institutionnelles et notamment la mise en œuvre de la procédure d’empêchement prévu par l’article 7 de la Constitution et limite anormalement le droit des citoyens à être informés de l’état de santé de leur dirigeant en violation des dispositions de l’article 15 de la DDHC.
Alors qu’une crise démocratique sans précédent est en cours – avec un président esseulé, acculé par les scandales, et de plus en plus de voix appelant à sa démission –, la transparence totale sur son état de santé, physique et mental, est impérative.
Les pressions géopolitiques actuelles amplifient l’urgence : envoi d’armes en Ukraine, mutualisation nucléaire malgré l’opposition populaire, dépenses colossales pour un « plan d’armement européen » illusoire, comme l’illustre le Dr Olivier Frot, saint-cyrien et docteur en droit. Un dirigeant affaibli mentalement pourrait-il prendre des décisions rationnelles face à un risque d’escalade avec la Russie, qualifiée en permanence d’ « ennemie de la nation » ?
France-Soir continue son combat pour la liberté de la Presse et pose à la Justice et à ses lecteurs la question fondamentale : doit-on modifier la loi sur le secret médical pour prévoir une exception claire pour les personnalités à la tête de l’État ? Pas seulement pour Macron, mais pour tous les futurs présidents, afin d’imposer une transparence absolue sur ce sujet vital.
Les Français ont le droit de savoir si leur leader est apte à exercer le pouvoir suprême, surtout dans un monde au bord du gouffre. La santé des puissants n’est pas un privilège : c’est une responsabilité collective. France-Soir reste vigilant, pour que la vérité l’emporte sur le silence.
Auteur(s) Xavier Azalbert, France-Soir Publié le 07 octobre 2025 - 10:23 Le cirque continue... aux frais des Français DR, France-Soir Résumé pour les pressés : le cirque Macron, épisode Lecor...
Une guerre permettrait aux dirigeants de plus en plus contestés de rester au pouvoir sans élection, de pouvoir instituer une dictature a l'intérieur et imposer les restrictions nécessaire afin qu'ils puissent continuer à mener grand train, tout en finançant les multinationales de l'armement
Henry
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Une escalade militaire sans précédent
L’alerte est lancée. D’après les informations relayées par Martin Armstrong, des sources proches de l’appareil militaire confirment que l’OTAN prépare secrètement le déploiement massif de 250 000 soldats en Ukraine. Une manœuvre désespérée, destinée à soutenir un régime en déliquescence et un conflit que l’Occident n’a jamais pu gagner. Cette décision, si elle se concrétise, pourrait déclencher une réaction violente de la Russie, et entraîner une escalade sans retour. Dans ce climat de tension extrême, préserver son patrimoine devient une priorité.
Putin acculé : quelles représailles à attendre ?
La réponse de Moscou ne tardera pas. Pour Vladimir Poutine, cette intrusion massive de l’OTAN aux portes de la Russie est une ligne rouge franchie. Il pourrait choisir d’intensifier les frappes, voire d’élargir le champ de bataille bien au-delà des frontières ukrainiennes. Certains analystes évoquent déjà la possibilité d’attaques asymétriques en Europe de l’Ouest. La situation devient explosive.
Pourquoi l’Occident s’obstine
Malgré les échecs répétés sur le terrain, les élites politiques occidentales persistent dans leur stratégie agressive. Leur objectif : affaiblir durablement la Russie, même si cela signifie risquer une guerre totale. Cette obstination met en péril la stabilité du continent. Les citoyens commencent à perdre confiance.
Août-Septembre : la période critique
Les mois d’août et septembre 2025 pourraient être décisifs. Selon Armstrong, des mouvements militaires inhabituels sont attendus durant cette période, qui pourrait marquer un tournant décisif du conflit. Les marchés financiers sont déjà fébriles. Une panique boursière reste possible à tout moment.
De nouveaux conflits en embuscade
L’embrasement ne se limite pas à l’Ukraine. Armstrong évoque aussi d’autres zones de tension en cours de formation : Moyen-Orient, Asie du Sud-Est, voire Balkans. Une guerre régionale pourrait devenir mondiale si l’effet domino se confirme. La diversification des actifs devient donc urgente.
Crise migratoire et révoltes sociales à venir
À chaque guerre, son cortège de drames humains. Le spectre d’une nouvelle vague migratoire massive plane sur l’Europe. En parallèle, la montée de l’inflation et les tensions sociales fragilisent déjà les démocraties occidentales. Une spirale dangereuse est enclenchée.
Changer de cap : renverser les néoconservateurs
Selon Armstrong, le nœud du problème réside dans l’influence des néoconservateurs, accrochés au pouvoir et enfermés dans une vision idéologique du monde. Pour restaurer la paix, il faudra d’abord les écarter. Cela implique un réveil citoyen massif, mais aussi une résistance économique face au système en place.
La base militaire de Quantico, en Virginie, a été le théâtre d'un rassemblement inédit : près de 800 généraux et amiraux américains y sont convoqués par le secrétaire à la Défense, Pet...
Les USA ont leur Bill Gates, la France à son Attali, chacun sa plaie. Notdre Gargamèle national se délecte d'une société eugéniste ou la sélection sera la règle, la démocratie pour les citoyens du monde et l'errance pour la masse restante.
Il faut donc passer par une monnaie numérique, un passeport numérique, un passeport vaccinal, un crédit social, un bilan carbone individuel une connection à l'IA pour être augmenté.
Avons nous besoin de cela, de contrôle, de flicage a tous les niveaux, d'une société eugéniste ou les enfants seront produits en éprouvettes, dans des ventres de verres, des couveuses, ou l'on décidera de votre vie, de ce que vous serez, soit citoyen ou esclave, de qui sera augmenté ou pas, alors ce ne sera plus la machine qui sera une béquille, mais vous qui devriendrez une machine, puis vous serez annihillés puisque vous ne serez plus utile. Voilà ou se terminera votre libre arbitre, votre conscience vos émotions, vos amours, dans un circuit d'ordinateur ou vous ne serez plus qu'un flux.
Voilà ce que nous promet Gargamèle dans ses rêves les plus fous identiques à ceux de Yuval Harrari, dont la muse est Klaus Schwab. Belle engeance que tout ces gens, aussi timbrés les uns que les autres !
On est loin de l'affaire Mazarine Pingeot, Philippot s'en émeut, mais quid des députés, des sénateurs, la France est au bord du gouffre, il y a des envois de troupes en Ukraine sans que le parlement ait validé la décision, et ç'est une obligation, quand on arrive a ce point là ç'est à dire s'asseoir sur la constitution sans aucune réaction ç'est que soit les parlementaires sont sous pressions et j'en doute ou soit sont complices.
En effet ils ont la possibilité d'engager la procédure de destitution mais rien n'est fait, la pétition au parlement a obtenue les 100 000 signatures et rien n'est fait, alors on agite la démission, ou la dissolution personne ne prend la décision ou évoque la destitution donc pour moi ils sont complices car ils maintiennent un homme qui est en charge de détruire la France de l'endetter pour la mettre dans les mains de multinationales qui acheterons les services publics à bas prix...
C'est pour cela que je préconise l'élection par tirage au sort après avoir supprimé les partis politiques ç'est le seul moyen pour remettre de l'ordre dans un pays miné par la corruption, la drogue, et les affaires. (voir la vidéo d'Etienne Chouard)
La République désignée sous ne nom de démocratie n'est pas du tout démocratique, le seul vrai et véritable moyen d'obtenir un Etat juste est l'élection par tirage au sort pour un mandat non ...
Nous allons sans doute vivre un nouveau psychodrame en provenance des Etats-Unis, puisque le gouvernement américain, ou plus précisément l’Etat fédéral fait face à risque de shutdown, c’est-à-dire de « fermeture » pour manque de finances et d’argent !
Aux Etats-Unis, ce n’est pas comme en France. En l’absence d’adoption du budget, chez nous, le budget de l’année précédente est reconduit automatiquement à périmètre constant. Aux Etats-Unis, s’il n’y a pas de budget voté, alors il n’y a pas d’argent pour les ministères et les administrations non essentielles ce qui se résume globalement aux agences de sécurité et à l’armée, et encore, pas pour leur personnel administratif.
Les fonctionnaires reprennent donc leurs affaires et rentrent chez eux sans être payé et en attendant que les parlementaires américains du Congrès se mettent enfin d’accord. Cela arrive régulièrement dans l’histoire politique américaine, mais là, les positions politiques et idéologiques sont tellement polarisées, radicalisées qu’un accord pourrait mettre beaucoup plus de temps à émerger qu’habituellement.
C’est dans ce contexte que le Le vice-président JD Vance a déclaré lundi que les démocrates ne valent pas mieux que des preneurs d’otages brandissant une arme métaphorique contre le public américain alors que le pays s’approche d’une fermeture du gouvernement (source The Wall Street Journal ici) .
Il faut savoir également que si les républicains à la Chambre des représentants n’avaient pas besoin des démocrates pour adopter leur mesure lorsqu’ils l’ont approuvée plus tôt ce mois-ci, le Sénat, en revanche, exige le bipartisme, avec un seuil de 60 voix requis pour faire avancer la plupart des projets de loi. Les républicains détiennent une majorité de 53 voix contre 47. Voilà pour l’explication technique du bocage
La perception des électeurs déterminera le prix que les démocrates paieront pour avoir retenu les votes dont les républicains ont besoin pour maintenir le gouvernement en activité. À quelques heures de la date butoir du shutdown, les démocrates du Congrès ont affiché une rare unité dans leur volonté d’assumer ce risque politique.
Le chef de la minorité au Sénat, Chuck Schumer (démocrate, NY), et un petit groupe de démocrates ont sauvé les républicains en mars en votant avec eux pour faire avancer un projet de loi prévoyant le maintien du gouvernement à court terme. Ce faisant, il a suscité la colère de nombreux membres de son propre parti, qui ont déclaré qu’il avait renoncé au peu d’influence dont disposaient les démocrates.
Cette fois, alors que les agences fédérales devraient fermer partiellement mercredi à minuit et demi, Schumer n’a aucune intention d’aider les Républicains sans un accord pour rétablir des milliards de dollars de dépenses de santé. Schumer et le chef de la minorité démocrate à la Chambre des représentants, Hakeem Jeffries (NY), ont présenté leurs arguments au président Trump lundi, mais sont sortis de la Maison Blanche sans accord.
Lors d’une réunion à huis clos lundi soir, on pouvait entendre les démocrates de la Chambre des représentants applaudir et acclamer. Après avoir passé une grande partie de l’année écoulée à pointer du doigt et à débattre des moyens de contrer Trump, les démocrates se sont réjouis de leur volonté de se rassembler sur ce que beaucoup considèrent comme un enjeu gagnant : la réduction des coûts de santé.
Lors d’une réunion avec le président Trump et des représentants républicains influents, des démocrates de premier plan ont plaidé pour le rétablissement de milliards de dollars de dépenses de santé.
« Nous sommes unis pour préserver les soins de santé », a déclaré le représentant Gabe Vasquez (démocrate, Nouveau-Mexique), dont la circonscription a été remportée par Trump et qui est considérée comme indécise par le Cook Political Report, un organisme non partisan. « C’est un enjeu crucial pour nous. »
Les dirigeants républicains affirment qu’ils ne négocieront pas la prolongation des subventions à l’assurance maladie pour des millions d’Américains si les démocrates n’apportent pas les votes nécessaires au Sénat mardi pour garantir le maintien du gouvernement. Ces crédits d’impôt améliorés de la loi sur les soins abordables, adoptés pour la première fois en 2021 par les démocrates pendant la pandémie de Covid-19, expireront à la fin de l’année.
« Discutons-en. Mais nous le ferons dans le cadre d’un gouvernement populaire ouvert », a déclaré Vance lundi à la Maison Blanche après avoir rencontré les dirigeants démocrates. « Nous ne vous laisserons pas prendre le gouvernement populaire en otage et vous donner ensuite tout ce que vous voulez. »
Ambiance… de blocage !
Pour mémoire, grâce aux subventions allouées, le nombre de personnes inscrites à la couverture de l’Affordable Care Act a plus que doublé depuis 2021, pour atteindre environ 24 millions cette année.
Si les paiements ne sont pas prolongés, des millions de personnes bénéficiant de l’ACA verront leurs factures d’assurance maladie exploser, souvent de plusieurs centaines de dollars, voire plus, par an. Pour les Démocrates, l’expiration des subventions a envoyé un message fort sur l’accessibilité financière et la protection des soins de santé des électeurs, un message qui, selon de nombreux membres du parti, pourrait leur permettre de tenir jusqu’aux élections de mi-mandat de l’année prochaine.
Un sondage réalisé par KFF, une organisation à but non lucratif de recherche sur la santé, a révélé que 63 % des républicains, 80 % des indépendants et 91 % des démocrates étaient favorables à la prolongation des paiements supplémentaires.
Les conséquences du blocage
Les républicains avertissent qu’un blocage budgétaire pénaliserait les Américains d’autres manières. Au-delà des congés temporaires et des salaires perdus, typiques des blocages précédents, le directeur du Budget de la Maison-Blanche, Russ Vought, a également demandé aux agences d’établir des listes d’employés à licencier en cas de pénurie de financement.
A courts termes, les marchés boursiers et financiers devraient marquer le pas alors que les indices sont plutôt hauts.
Réponse donc mercredi soir.
Nous verrons bien si les agences fédérales ferment, cela pourrait durer longtemps, et il n’est pas dit que Trump et Vance, ne se servent pas de ce shutdown pour réduire considérablement les dépenses de l’Etat fédéral en provoquant un immense « afuera » dont ils pourraient rendre responsable les démocrates !