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18 septembre 2024 3 18 /09 /septembre /2024 17:43

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18 septembre 2024 3 18 /09 /septembre /2024 17:15
Pierre de Gaulle avait évoqué la mise en place d'une titrisation de la dette pour l'épargne. C'est à dire que votre épargne va être transformée en titre (obligation) de participation à la dette Européenne.
En effet la dette Française sera fondue dans la dette générale Européenne, ç'est une manoeuvre subtile qui permet d'éponger les dettes des états mais aussi  d'engager plus de dettes encore, car il y a des états qui ont une gestion rigoureuse , vous connaissez le principe des communautés de communes, elles n'ont pas permis un relèvement des comptes des communes mais un engagement plus profond dans les dettes, mettant ainsi les communes bien gérées dans l'embarras. Il en sera de même pour cette opération, suivant le fameux adage "to big to fail" - trop gros pour tomber. D'où la tentation au final de la pyramide de Ponzi, ç'est à dire faire de la cavalerie financière et de la faillite.
Cela va permettre également d'enchaîner les citoyens Européens à l'Europe par la dette. Les élus des états comme la France  vont se défausser de leurs responsabilités comme d'habitude et refiler le baigneur à l'Europe.
Il ne faut pas se faire d'illusion, la dette ne fera que s'accroître et les rendements obligataires ne feront que baisser, du coup votre épargne disparaîtra dans les gestions calamiteuses des technocrates Européens.
Cependant il y a une chose que je tiens à dire ;  après avoir laisser filer les déficits, laisser des dilapideurs de la Nation en place, je ne vous plaindrais pas ! Il fallait agir le moment venu, ils en ont profité, ils ont coulé le pays par la dette, dispersé la patrimoine sans que personne ne bronche donc il ne faut pas venir pleurer, d'autre part ça permettra peut être maintenant que votre épargne est engagée dans la les comptes publics de vous intéresser de prés à la gestion des gouvernants, qu'ils soient Français ou Européens. En sommes beaucoup vont être les dindons de la farce c' est arrivé à cause de votre inertie, toujours croire que les uns ou les autres favorisaient une épargne, une capitalisation plus ou moins rentable. Chacun a été au plus près de ses intérêts en ignorant l'intérêt commun qui était de se mêler de ce qui vous regardait ç'est à dire de la gestion de l'Etat. (un mandat et demi à 1 000 milliards de dettes faut le faire)
Maintenant vous aller découvrir qu'ils vous ont pris pour des pigeons, mais cela ça fait plusieurs décennies. Quant à eux ils seront toujours au dessus de la mêlée enfin pour le moment.
Bon courage
Henry

 

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Déficit : « L’UE va faire passer en force la mutualisation des dettes et la titrisation de l’épargne privée »
 
 
 

Le journaliste et essayiste Tom Benoit revient pour Epoch Times sur le déficit public et le meurtre d’un agent municipal à Grenoble dimanche 8 septembre.

Epoch Times : Dans un courrier envoyé aux parlementaires en charge des questions budgétaires incluant une note du Trésor, le ministre sortant de l’Économie et des Finances, Bruno le Maire ainsi que celui des comptes publics, Thomas Cazenave ont mis en garde contre une dérive des comptes publics liée selon eux, à une « hausse extrêmement rapide des dépenses des collectivités territoriales ». Le déficit public pourrait représenter 5,6 % du PIB en 2024 contre les 5,1 % prévus par le gouvernement. Faut-il blâmer les collectivités territoriales ?

 

Tom Benoit : Non, il ne faut pas les blâmer, notamment pour plusieurs raisons. Premièrement, le discours qui consiste à accuser les collectivités territoriales vise, dans une forme de double langage, à justifier le fait que l’État central doit prendre le pas sur les collectivités territoriales en matière de dépenses comme de décisions, qu’elles soient urbanistiques, sociales ou entrepreneuriales, mais aussi que l’Union européenne doit prendre le pas sur les nations qui sont d’une certaine manière, des grandes collectivités territoriales.

Je dirais également que les dépenses des collectivités territoriales sont directement encadrées, structurées par les décisions politiques de l’État central. C’est, par exemple, l’État qui décide du nombre de fonctionnaires dans le pays, non pas les maires ou les présidents de régions.

Par ailleurs, concernant ce qu’on appelle de manière arbitraire la « transition écologique », c’est-à-dire un retour à plus d’écologie, plus de bien vivre avec une forme de respect de l’environnement, l’archaïsme qui peut être décidé par rapport à des mesures et des décisions ciblées par les collectivités territoriales serait bien plus efficace que toutes les décisions technocratiques et hors-sol qui sont prises à la fois aujourd’hui par les États européens et plus généralement par la Commission européenne.

L’ancien président du conseil des ministres italien, Mario Draghi a rendu ces derniers jours un rapport de 400 pages avec 170 propositions à la Commission européenne dans lequel on nous dit que l’Europe doit être davantage intégrée, c’est-à-dire une Europe qui s’endette comme un seul État pour tous les États, qui décide comme un seul gouvernement pour tous les gouvernements nationaux, avec d’une part, des émissions des titres obligataires communs à l’Europe et d’autre part, avec des commissaires européens, notamment à la Défense comme le souhaite Mario Draghi, très prochainement aux Finances, mais aussi au commerce intérieur.

Nous aurions alors des ministres de la Commission européenne qui seront en quelque sorte les ministres uniques de tous les États européens avec des dépenses décidées bien loin des territoires et des collectivités territoriales.

Selon des informations de La Tribune, le nouveau Premier ministre Michel Barnier a demandé à l’UE un délai supplémentaire pour le redressement des comptes de la France. L’hexagone a récemment été placé par Bruxelles en procédure de déficit excessif. Comment voyez-vous l’avenir de la France sur le plan budgétaire ?

Nous avons plus de 3100 milliards de dette publique avec une durée de vie moyenne de huit années et demie à rembourser, sinon plus justement à faire rouler. La grande question est de savoir si nous allons pouvoir nous endetter auprès des marchés financiers avec des taux longs qui vont très certainement augmenter. Aujourd’hui, on s’endette à un peu moins de 3 % en remplaçant de la dette majoritairement à zéro.

Deuxièmement, notre économie libérale, c’est-à-dire d’entreprises, est de plus en plus ankylosée par un commerce intérieur paralysé. Ce qui par ailleurs n’est pas le cas chez nos voisins allemands qu’on cite souvent comme exemple. Et on constate aujourd’hui que les Allemands sont en récession. Officieusement, la France l’est déjà. Elle ne l’est pas par rapport à des dépenses publiques faramineuses, mais sur un plan purement nominal, officiel et comptable.

Par ailleurs, j’observe que la situation des Allemands sur le plan public est bien plus rassurante que celle des Français. Les Allemands ont un commerce intérieur qui fonctionne, leur dette représente 65 % du PIB tandis qu’encore une fois, notre commerce intérieur est paralysé et notre endettement représente presque le double de celui de nos voisins d’outre-Rhin.

Si nous comparons avec l’Italie, nous pouvons également constater que Rome bénéficie contrairement à Paris d’un excédent commercial. Ce qui est un élément rassurant pour les Italiens qui eux aussi ont un déficit public abyssal.

En Europe, d’autres États s’en sortent très bien. Je pense notamment à l’Irlande qui ne sait plus quoi faire de son excédent, qui est en plus largement investi dans des sociétés américaines, donc à l’abri pour une longue durée – en tout cas, tant que la bourse américaine et que des valeurs comme Pfizer, Amazon et Apple se porteront convenablement.

Les finances de la France sont donc paralysées d’une part par la santé économique précaire de notre pays et d’autre part par les mauvaises décisions budgétaires. Je regrette que les décisions prises sur le plan purement économique et financier ne soient pas propices à relancer l’économie, et que les économies évoquées par le gouvernement soient totalement marginales. Je parle bien entendu des économies et pas des nouvelles taxations puisqu’il faut s’attendre à des réductions, par exemple au taux réduit de la TVA sur certains produits ou certaines catégories de produits. Plus largement, ce qui me préoccupe est que pour sauver l’euro, l’UE va faire passer en force la mutualisation des dettes et la titrisation de l’épargne privée. Parce que, sans cela, jamais l’Allemagne, le Luxembourg ou l’Irlande n’accepteront de faire pot commun avec des pays comme la France ou l’Italie.

Le 8 septembre, Lilian Dejean, un agent municipal grenoblois a été tué par balles par un individu ayant provoqué un accident de la circulation dont il essayait de bloquer la fuite.L’auteur des tirs est toujours en fuite. Selon le procureur de la République de Grenoble Éric Vaillant, il est connu de la justice pour diverses infractions, notamment « vols, violences et trafic de stupéfiants ». Comment analysez-vous ce drame et quel regard portez-vous sur le profil du suspect ?

Contrairement à ce qu’a affirmé le maire de Grenoble Éric Piolle, ce n’est pas un accident. C’est un fait divers qui s’inscrit dans une multitude de faits divers récurrents. Je constate aussi que c’est un profil qui est de plus en plus impliqué dans ce type de drame.

J’ai tendance à penser que le problème provient davantage du manque de considération de certains individus à l’endroit de la nation et de l’idée que l’on se fait individuellement de la nation par rapport à ses parents, ses grands-parents, sa culture, son identité, que par rapport au fait de rencontrer des périodes de la vie parsemées de certaines formes de délinquance. Il y a toujours eu des délinquants.

Mais là où il y a une fracture qui est terriblement inquiétante aujourd’hui, c’est qu’il y a une catégorie de personnes qui est en dehors de l’ordre national et qui ne s’inscrit pas dans une nation, en l’occurrence la France. C’est la grande différence par rapport au passé.

Le maire écologiste de Grenoble Éric Piolle est critiqué après la mort de l’employé municipal. L’ancien maire LR de la ville iséroise et opposant d’Éric Piolle, Alain Carignon a estimé sur Cnews hier qu’il a « failli deux fois, comme maire et comme employeur ». Au micro d’Apolline de Malherbe, l’édile de Nice, Christian Estrosi a déclaré qu’ « Éric Piolle est un maire qui n’est pas sécuritaire et autoritaire » et qui « ne parle que de prévention ». Comment jugeriez-vous le bilan sécuritaire de l’actuel maire de Grenoble ?

Je ne serai pas très à même de juger le bilan sécuritaire du maire de Grenoble. En outre, son attitude vis-à-vis de ce drame m’a choqué. J’ai constaté qu’Éric Piolle avait une fâcheuse tendance à se réfugier, pour ne pas dire se défiler derrière certaines situations, notamment la circulation d’armes pour expliquer la mort de l’employé municipal.

Ce genre de drames n’est pas lié à la circulation des armes, mais au fait que certaines personnes se trouvent dans des dispositions malsaines qui conduisent justement à ces drames. Donc quand le maire parle d’accident ou émet il y a quelques mois l’idée d’étudier des possibilités permettant à des résidents de mieux vivre en proximité avec des dealers, je pense que le constat de Christian Estrosi sur la complaisance dont fait preuve Éric Piolle est juste.

Mais ce qui est davantage regrettable, c’est le manque de prise de responsabilité d’un maire et d’un homme politique qui affiche d’une façon assumée parfois des ambitions nationales. Cette faculté à se résoudre à accepter une décadence qui touche à la sécurité, à la santé et à la vie de ses concitoyens est dramatique.

Source

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16 septembre 2024 1 16 /09 /septembre /2024 18:38

Une bonne vidéo de Iam Mazikeen ; elle nous explique la façon dont Macron a géré la rénovation de Notre Dame, un grand démocrate bien sûr

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16 septembre 2024 1 16 /09 /septembre /2024 18:21

Interview de Tom Benoit par Florian Philippot, au- delà l'esprit partisan écoutez bien cette interview, elle est capitale pour la compréhension de ce qui va se passer au niveau de l'épargne des Français et son absorption par l'Europe.

Il va y avoir une création d'une dette commune Européenne, ç'est à dire que les dettes de tous les états Européens seraient mis dans un pot commun, mais les pays qui ont une gestion comptable positive ne sont pas d'accord.

Souvenez vous quand il y a eut la création des communautés de communes, les grandes villes en majorité surendettées ont épongées leur déficits grâce aux petites communes,

Une mesure toute a fait dans la lignée de la médiocratisation des sociétés Occidentales, médiocratisation de l'enseignement scolaire, du travail, de l'information, de la politique.

C'est une culture, comme nous l'avons vu pour les cérémonies des JO, ça tenait plus de la parodie que de l'artistique.

 

Henry

 

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16 septembre 2024 1 16 /09 /septembre /2024 18:16
Archives : Michel Barnier, le Brexit et le laboratoire de Wuhan

9 Septembre 2024,

Archives : Michel Barnier, le Brexit et le laboratoire de Wuhan

Le laboratoire de Wuhan a été approuvé par le chef du Brexit de l'UE, Michel Barnier, en 2004 - malgré les avertissements des services de renseignement français selon lesquels la mauvaise réputation de la Chine en matière de biosécurité pourrait conduire à une fuite catastrophique

Le négociateur en chef du Brexit de l'UE a approuvé la construction du laboratoire P4

Les services de renseignement français ont averti que la mauvaise sécurité chinoise pourrait conduire à une fuite

Jacques Chirac, le président français de l'époque, a fait avancer le projet de laboratoire de Wuhan

50 scientifiques français devaient se rendre à Wuhan mais n'ont jamais été envoyés au laboratoire

Glen Owen - The Mail on Sunday- Le 23 mai 2020

La construction du laboratoire chinois au centre des soupçons croissants sur la source de la pandémie de Covid-19 a été approuvée par le négociateur en chef du Brexit de l'UE, Michel Barnier, malgré les avertissements des services de renseignement français.

M. Barnier, actuellement empêtré dans des négociations acrimonieuses avec le Royaume-Uni sur un accord commercial post-Brexit, était le ministre français des Affaires étrangères lorsqu’il a donné le feu vert au démarrage des travaux de l’Institut de virologie de Wuhan en 2004, dans le cadre d’un accord conjoint avec les Chinois.

Cette décision a été prise malgré la forte opposition des conseillers diplomatiques et de sécurité français, qui ont fait valoir que la réputation de la Chine en matière de mauvaise biosécurité pourrait conduire à une fuite catastrophique.

Ils ont également averti que Paris pourrait perdre le contrôle du projet, et ont même suggéré que Pékin pourrait exploiter la technologie pour fabriquer des armes de guerre biologique.

Onze ans plus tard, alors que le laboratoire se préparait à ouvrir, les architectes français du projet se sont plaints d’avoir été, comme on le craignait, évincés par le gouvernement communiste chinois.

Le rôle de M. Barnier dans la création de l’institut de Wuhan peut être révélé dans le cadre d’une enquête du Mail on Sunday sur les liens français avec le laboratoire.

Le site effectuait des recherches sur les coronavirus lorsque l’épidémie a commencé dans la ville en novembre dernier.

Un nombre croissant d’experts scientifiques et de sécurité remettent désormais en question l’insistance du gouvernement chinois sur le fait que le virus proviendrait d’un marché d’animaux sauvages à Wuhan, le refus de Pékin d’autoriser une enquête internationale ne faisant qu’ajouter aux soupçons croissants.

La semaine dernière, le Mail on Sunday a révélé que les experts pensent désormais que le coronavirus a été introduit sur le marché par une personne déjà porteuse de la maladie.

Les biologistes qui ont mené une étude historique ont déclaré avoir été « surpris » de découvrir que le virus était « déjà pré-adapté à la transmission humaine ».

Jacques Chirac, le président français à l’époque de l’accord, a fait pression pour que l’institut de Wuhan soit créé après l’épidémie de SRAS de 2003, qui a touché 26 pays et entraîné plus de 8 000 cas et 774 décès. M. Chirac, ainsi que son Premier ministre pro-Pékin Jean-Pierre Raffarin, ont promis un financement et une expertise français en échange d’une part des droits d’auteur sur les découvertes du laboratoire.


 

Ils ont fait valoir qu’une collaboration franco-chinoise pourrait permettre de développer des vaccins efficaces – et lucratifs – pour empêcher la répétition d’une pandémie virale mortelle.

La France est un leader mondial dans la recherche sur les virus, mais le gouvernement Chirac a également vu dans cet accord un moyen de forger des liens commerciaux plus forts avec la Chine que ses rivaux occidentaux.

Selon un article du Figaro, des institutions telles que la Direction générale de la sécurité extérieure, l’équivalent français du MI6, ont exprimé à plusieurs reprises leur inquiétude face au manque de contrôle international sur les laboratoires chinois et aux problèmes de « transparence ».

Une source a déclaré au journal : « Ce qu’il faut comprendre, c’est qu’un laboratoire P4 [de biosécurité de haut niveau] est comme une usine de retraitement nucléaire. C’est une bombe atomique bactériologique.

« Les virus qui sont testés sont extrêmement dangereux – les combinaisons de plongée, les sas de décontamination, etc. doivent être respectés à la lettre. »

Dans le cadre de l’accord, jusqu’à 50 scientifiques français devaient se rendre à Wuhan pour aider les Chinois à gérer correctement le laboratoire – mais ils ne s’y sont jamais rendus.

Alain Mérieux, le milliardaire français qui a contribué à la création du laboratoire de Wuhan en partenariat avec son Institut Mérieux de Lyon, a abandonné le projet en 2015 : « Je renonce à la coprésidence du P4, un outil chinois. Il leur appartient, même s’il a été développé avec l’aide technique de la France. »

Selon Le Figaro, un diplomate au fait du dossier a ajouté : « Nous connaissions les risques encourus et pensions que les Chinois contrôleraient tout et nous éjecteraient rapidement du projet. » « Nous pensions que fournir cette technologie de pointe à un pays avec un agenda de puissance sans fin risquait d’exposer la France en retour. »

Leurs craintes se sont aggravées en 2015 lorsque la Chine a mis en œuvre une nouvelle politique de technologies à « double usage », qui permet à ses forces armées d’utiliser n’importe quelle technologie civile à des fins militaires.

L'institut de Wuhan est devenu opérationnel en janvier 2018, et a coïncidé avec une visite à Pékin de l'actuel président français Emmanuel Macron et de M. Raffarin, qui a été nommé « envoyé spécial en Chine ».

Hier soir, un représentant du ministère des Affaires étrangères a déclaré :Une source à Paris a confirmé que M. Barnier avait contribué à la création de l’institut de Wuhan lorsqu’il était ministre des Affaires étrangères, en tant que « signataire du document ».

M. Barnier, un conservateur gaulliste, a été ministre des Affaires étrangères pendant un peu plus d’un an, d’avril 2004 à juin 2005.

La source a déclaré : « L’objectif était de développer des vaccins suite à la crise du SRAS entre 2002 et 2004.

« Il y avait beaucoup de coopération sur toute une série de questions entre la France et la Chine à l’époque, et Michel Barnier mettait en œuvre la politique du gouvernement. »

La source a ajouté que l’opposition à cette initiative était venue d’un certain nombre de personnes, y compris de hauts responsables des services de sécurité français.

« La question de la biosécurité était certainement une source de préoccupation au sein des agences, y compris la DGSE », a déclaré la source.

Une source des services de sécurité impliquée dans l’affaire à l’époque a déclaré : « Les laboratoires chinois n’inspiraient pas beaucoup de confiance, mais le gouvernement avait ses propres raisons de progresser dans ce domaine. »

Une équipe de scientifiques a produit la preuve que le virus pandémique est « particulièrement adapté pour infecter les humains », ce qui soulève de nouvelles questions quant à savoir si ses origines étaient naturelles ou auraient pu se produire dans un laboratoire.

Le professeur Nikolai Petrovsky, un chercheur de haut niveau en matière de vaccins qui a dirigé l’équipe australienne, a déclaré que le virus n’était « pas typique d’une infection zoonotique normale [de l’animal à l’homme] » puisqu’il est apparu avec la capacité « exceptionnelle » de pénétrer dans le corps humain dès le premier jour.

Il a déclaré que le virus aurait dû émerger d’un animal par « un événement naturel anormal », mais la possibilité qu’il ait fui d’un laboratoire ne pouvait être exclue.

Petrovsky, professeur de médecine à l’université Flinders d’Adélaïde, dirige une unité de recherche en biotechnologie qui commencera le mois prochain des essais sur l’homme pour un vaccin contre le Covid-19.

« Je n’ai jamais vu de virus zoonotique se comporter de cette manière auparavant », a-t-il déclaré.


 

Il a déclaré au Mail on Sunday que les nouveaux virus transmis par les animaux se renforcent normalement lorsqu’ils s’adaptent aux hôtes humains, mais pour des raisons inexpliquées, ce nouveau coronavirus semble parfaitement adapté pour infecter les humains sans avoir besoin d’évoluer.

Il a souligné la « coïncidence » selon laquelle les virus connus les plus proches étaient étudiés dans un laboratoire de Wuhan, la ville chinoise où la pandémie a éclaté, et a insisté sur le fait que la possibilité d’une fuite, aussi lointaine soit-elle, ne devait pas être ignorée dans la recherche de son origine.

« Les implications ne sont peut-être pas bonnes pour les scientifiques ou la politique mondiale, mais ce n’est pas parce que les réponses pourraient causer des problèmes que nous ne pouvons pas les fuir », a-t-il ajouté. « Il n’y a actuellement aucune preuve d’une fuite, mais suffisamment de données circonstancielles pour nous inquiéter. Cela reste une possibilité jusqu’à ce qu’elle soit exclue. »

Le professeur Petrovsky est allé plus loin que tout autre expert en évoquant l’idée que le virus s’est échappé de l’un des deux laboratoires de recherche sur les virus des chauves-souris à Wuhan.

Richard Ebright, l’un des meilleurs experts mondiaux en biosécurité, a également déclaré à ce journal que les chances que ce nouveau virus contienne des caractéristiques aussi inhabituelles et se produise naturellement étaient « possibles – mais improbables ».

Ebright, professeur de biologie chimique à l’université Rutgers, dans le New Jersey, a déclaré que les scientifiques de l’Institut de virologie de Wuhan créaient des coronavirus chimériques (de nouveaux micro-organismes hybrides) et cherchaient des financements pour tester leur capacité à infecter des cellules humaines tout en utilisant des procédures qui ne laissent aucune trace de manipulation humaine.

Interrogé sur la possibilité d’une fuite, il a répondu : « Il y a certainement une possibilité. Mais rien ne permet d’affirmer une forte probabilité. »

La semaine dernière, le ministère de la Santé a révélé les détails d’une étude clé contestant les affirmations de la Chine selon lesquelles la pandémie est apparue sur un marché d’animaux de Wuhan en décembre. Les chercheurs ont été « surpris » de découvrir que le virus « était déjà pré-adapté à la transmission humaine », contrastant sa stabilité avec un autre coronavirus qui a évolué rapidement alors qu’il se propageait sur la planète pendant l’épidémie de SRAS de 2002-2004. Leurs conclusions sont étayées par l’étude de l’équipe australienne sur la « protéine de pointe » qui lie le Sars-CoV-2 – la nouvelle souche de coronavirus responsable de la maladie – aux cellules du corps humain. La recherche, publiée sur le site Web de l’Université Cornell mais pas encore évaluée par des pairs, a utilisé la modélisation informatique pour tester la capacité de la protéine de pointe à se lier aux humains et à 12 hôtes animaux possibles.

Il a constaté que la capacité à se lier aux cellules humaines dépassait de loin sa capacité chez d’autres espèces. « Cela indique que le Sars-CoV-2 est un pathogène humain hautement adapté », a-t-il déclaré, « soulevant des questions quant à savoir s’il est apparu dans la nature par un événement fortuit rare ou si ses origines se trouvent ailleurs. »

Le professeur Petrovsky a déclaré qu’il semblait « très inhabituel » qu’un « virus adaptatif humain » soit soudainement passé d’un hôte animal à l’homme l’année dernière.

« C’est soit une coïncidence remarquable, soit un signe d’intervention humaine », a-t-il déclaré. « Il est possible que le virus soit un événement fortuit et qu’il s’avère que les humains étaient l’hôte parfait. » « Mais nous n’avons pas de preuve de cela, car personne n’a encore trouvé ce virus chez un animal hôte intermédiaire [par exemple le pangolin]. » Personne ne peut dire qu’une fuite de laboratoire n’est pas une possibilité.

Il a affirmé que les scientifiques étaient réticents à discuter de la possibilité d’expériences de laboratoire bâclées ou de fuites, car toute réaction négative pourrait entraîner des restrictions de recherche et menacer des recherches cruciales. Cependant, a-t-il ajouté, il était essentiel de découvrir la source du virus.

Le professeur Petrovsky a déclaré que si le Sars-CoV-2 était un événement naturel, un autre virus apparenté pourrait à nouveau surgir de la même source avec des conséquences encore plus dévastatrices. « La prochaine fois, les taux de mortalité pourraient être bien pires », a-t-il averti.

Il a également souligné le « site de clivage de la furine », qui permet à la protéine de pointe de se lier aux cellules des tissus humains, notamment les poumons, le foie et l’intestin grêle.

Des études antérieures ont noté l’efficacité de cette méthode de clivage, qui n’existe pas dans les coronavirus les plus similaires – bien que les chercheurs aient modifié en 2009 le virus du SRAS pour introduire un site de clivage de la furine dans une position similaire au Sars-CoV-2 et aient constaté que cela augmentait l’infectiosité du virus.

Dans la dernière étude publiée vendredi, trois scientifiques allemands ont souligné à quel point ce site de clivage était essentiel à l’infection des cellules pulmonaires humaines. Un expert américain en sciences biomédicales, qui n’a pas souhaité être nommé, a déclaré qu’il n’y avait aucune preuve directe pour soutenir l’idée que le virus avait été conçu ou fuité en laboratoire, bien que « l’emplacement de la mutation de la furine acquise soit assez surprenant ».

Un autre chercheur de premier plan a déclaré qu’un membre de son équipe « est devenu un peu pâle lorsqu’il a regardé cela ».

Un article publié plus tôt cette année par Yong-Zhen Zhang, l’expert chinois des maladies qui a publié la première séquence du génome du Sars-CoV-2, a déclaré qu’il s’agissait « sans doute de la différence la plus importante » entre le nouveau virus et son plus proche parent connu, qui a été dérivé d’une chauve-souris par des chercheurs de Wuhan.

Simon Wain-Hobson, virologue à l’Institut Pasteur de Paris, a déclaré que le « corpus de preuves » suggérait qu’il s’agissait d’un virus naturel. « Vous verriez des signatures s’il s’agissait d’un virus conçu et je ne vois aucune preuve qu’il soit conçu », a-t-il déclaré. La semaine dernière, les autorités sanitaires chinoises ont confirmé avoir ordonné à certains laboratoires de détruire des échantillons du coronavirus pour s'assurer que les travaux ne soient pas effectués dans des unités qui ne respectent pas les règles mondiales de biosécurité.

L'Organisation mondiale de la santé salue sur son site Web l'« ambassadrice de bonne volonté » Peng Liyuan comme une star de la chanson... mais omet de mentionner qu'elle est l'épouse du président chinois, en raison des inquiétudes concernant la gestion de la pandémie de coronavirus par l'OMS

Par un journaliste du Mail on Sunday

Peng Liyuan est répertoriée sur le site Web de l'Organisation mondiale de la santé aux côtés de l'ancienne présidente libérienne Ellen Johnson Sirleaf et du gardien de but de Liverpool Alisson Becker comme l'une des neuf « ambassadrices de bonne volonté ».

Lors de sa nomination, le chef de l'OMS de l'époque a salué la « voix mondialement connue et son cœur compatissant » de la chanteuse folklorique chinoise, affirmant qu'elle était « une grande étoile brillante avec un public immense et respectueux d'admirateurs ».

Il n'a cependant pas été fait mention de l'autre raison pour laquelle Peng est si connue : elle est l'épouse de Xi Jinping, président de la Chine et chef de son Parti communiste.

Peng, qui a le grade de major-général dans l’armée, a chanté en uniforme pour les soldats après qu’ils ont écrasé les manifestations pro-démocratie sur la place Tiananmen – bien que les censeurs d’État aient cherché à effacer ces images d’Internet.

La révélation que la première dame de Chine a servi dans un rôle aussi important va accroître la pression sur l’OMS, qui a été critiquée pendant la pandémie – suscitée par les inquiétudes concernant la relation étroite de son actuel patron avec Pékin.

« La définition de la bonne volonté semble être étirée », a déclaré le député conservateur Tom Tugendhat, président de la commission des affaires étrangères. « L’OMS devrait choisir des personnes qui défendent les droits de ceux qu’elle est là pour servir, et non celles dont le bilan laisse planer le doute sur leur engagement. »

Peng, qui a rejoint l’Armée populaire de libération en 1980, s’est fait connaître à la télévision d’État chinoise en tant qu’interprète de chansons sirupeuses louant le Parti communiste et l’ascension au pouvoir de son pays.

Elle a épousé Xi en 1987, alors qu’il était maire adjoint divorcé de la ville de Xiamen. Elle a été nommée par Margaret Chan, première responsable chinoise d’un organisme des Nations Unies, qui a depuis rejoint un organe politique clé du Parti communiste. Peng a été reconduite à l’OMS par le successeur de Chan, Tedros Adhanom Ghebreyesus, qui a également tenté de confier l’un des postes au dictateur zimbabwéen Robert Mugabe avant que l’indignation ne l’oblige à reculer.

Peng a assisté à des sommets influents et a rejoint son mari lors de réunions clés de l’ONU. Elle a également rencontré Bill Gates, le philanthrope milliardaire qui a renfloué l’OMS après que son financement ait été coupé par les États-Unis en raison de leur position pro-chinoise. Donald Trump a qualifié l’OMS d’« orgue à tuyaux » au service des intérêts de Pékin.

https://www.dailymail.co.uk/news/article-8351113/Wuhan-virus-lab-signed-Michel-Barnier-2004-despite-French-intelligence-warnings.html

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16 septembre 2024 1 16 /09 /septembre /2024 18:05
La stupidité est mortelle
 

 

Poutine et Cipolla face à la stupidité occidentale

On va donc refaire la guerre...

«Il ne manque pas un bouton de guêtre», disait l’auguste maréchal Le Bœuf en 1870, six mois avant de rendre glorieusement le fort de Metz avec l’illustre Bazaine, un autre maréchal de France…
Flaubert écrit alors dans sa correspondance : « Ce peuple mérite peut-être d’être châtié, et j’ai peur qu’il le soit. »

 

Nous sommes arrivés à un tel point dans la catastrophe française et sommes dirigés par de tels idiots que nous ne savons pas si cette nation-machin ruinée et surendettée survivra dans trois ans.

Il est vrai qu’une partie des idiots aux affaires veut aussi nous faire disparaître pour obéir au conclave ploutocrate de Davos. Et comme une grande partie de la population est d’accord (télé-addiction, antiracisme, féminisme rousseauiste-sic, humanitarisme BHL, grand reset, russophobie, écologie, bellicisme ultra, chasse au pauvre et au carbone ou maintenant aux arbres, demandez le motif), pourquoi se gêneraient-ils ?

 

Depuis deux ans l’ennemi réduit sans y toucher l’OTAN à de la bouillie de chat ; il l’a fait avec 6% du budget militaire US (60 milliards contre 1100) et avec un sixième de ses propres troupes, les mêmes qui doivent se faire exterminer par deux ou vingt mille (qui sait alors ?) zouaves français ; en même temps l’Europe avance vers le grand reset involontaire (enfin, presque) à coups de pénurie et de passe énergétique, voire de confiscation des comptes bancaires. L’Ukraine entêtée (découvrez le livre de ma femme sur le patriotisme ukrainien qui a toujours été virulent et sous-estimé, surtout par les russes) va continuer ses opérations. Biden et Blinken seront contents sauf qu’ils peuvent aussi sauter électoralement, ayant fait doubler ou tripler le prix de l’essence dans le premier pays motorisé du monde automobile. On ne parlera pas de l’immobilier et des loyers (3000 dollars mensuels comme prix de base à Miami, 1200 dollars pour un 5m2 à New York, voyez le Daily Mail…).

Mais continuons, comme dirait Sartre avec son trio imbécile aux enfers. La France est désindustrialisée et connaît un déficit commercial mensuel de cent milliards…de francs ; l’Allemagne des débiles sociaux-écolo-démocrates connaît ses premiers déficits commerciaux qui vont durer et s’amplifier ; les USA de Biden sont à plus de mille milliards de déficit commercial par an (34 000 milliards de dette ; mais la bourse monte)…

La Russie est excédentaire de 300 milliards d’euros chaque année, devenue grâce aux sanctions la quatrième (elle dépasse le Japon cette année ou la prochaine) puissance économique et la deuxième puissance commerciale du monde (première puissance militaire elle l’était déjà sauf pour les distraits, les néo-Gamelin et autres colonels Goya-Yoda-yoga…).

Mais ne passons pas à côté du grand mystère : l’abrutissement occidental.

J’ai écrit de nombreux textes sur la stupidité. Elle me parait une marque occidentale dans la mesure où elle est industrialisée depuis l’imprimerie faustienne (voyez Guénon, Barzun, McLuhan, Lévi-Strauss, etc.) : le patriotisme fut une caractéristique de cette stupidité qui est toujours hystérique et violente. Céline en parle très bien de cette «religion drapeautique qui remplaça promptement la première» (c’est dans le Voyage) mais aussi Marshall McLuhan qui étudiant Pope et la Dunciade dénonce le développement industriel du conditionnement psy à cause de l’imprimerie – à qui on doit les sanglantes et interminables guerres de religion ; Flaubert a tonné contre les idées reçues plus tard, et Ortega Y Gasset a dénoncé lui ces terrasses pleines, ces salles de cinéma pleines (Hermann Hesse aussi dans le pauvre Loup des steppes), ces cafés pleins, ces réunions politiques pleines de fascistes, de communistes, de socialistes, de libéraux et maintenant d’européistes et autres mondialistes convaincus. L’occidental est composé de deux classes : la classe qui prône « l’ineptie qui se fait respecter partout » (Debord) et la classe de « l’imbécillité qui croit que tout est clair » (Debord encore) parce qu’elle l’a vu et cru à la télé ou dans les journaux. McLuhan a été définitif : la rage occidentale vient toujours de l’imprimé.
On est industriellement sous hypnose depuis Gutenberg.

En face il y a la Russie et la Chine et les Brics plus adultes. L’occident est-il fondamentalement stupide ? Entre révolutions, nationalisme, socialisme, colonisation, décolonisation, grand reset et écologie, est-il fondamentalement un continent d’imbéciles, ces imbéciles dit Bernanos dont la colère menace le monde ? Ouvrez vos journaux, écoutez BHL et BFM pour vous en rendre compte.

Le sujet est vaste ; je vais rappeler l’époustouflant professeur italien (souvent des imbéciles, ces professeurs, relisez Molière et son Bourgeois gentilhomme en ce sens) Cipolla et ses cinq lois de la stupidité. Je les donne en annexe mais je rappelle la principale pour moi : « elle crée des problèmes à un groupe de personnes sans en tirer le moindre bénéfice. »

Cela me parait résumer notre classe politique actuelle efféminée, gnostique, idéaliste, pleurnicharde, écologiste, humanitaire, ignare et demeurée – mais sélectionnée en ce sens par les tireurs de ficelles façon Fink (BlackRock) ou Klaus Schwab. Car l’occident reste avec sa «culture du carnage» helléno-hébraïque le lieu des tireurs de ficelles. Mais on n’en dira pas plus de peur de passer pour un complotiste (chaque curieux qui DEMANDE OU DONNE UNE EXPLICATION devient un complotiste. Toute explication devient ontologiquement complotiste).

Rappelons donc ces lois de Cipolla sur la stupidité :

Une personne stupide est une personne qui crée des problèmes à une autre personne ou à un groupe de personnes sans en tirer elle-même le moindre bénéfice.

_________________________

 

 

Carlo Cipolla avait établi 5 lois immuables de la stupidité.

Loi 1: Toujours et inévitablement nous sous-estimons le nombre d’individus stupides en «liberté».

Peu importe le nombre d’idiots que vous imaginez autour de vous, vous sous-estimez invariablement le total. Pourquoi? Parce que vous partez du principe faux que certaines personnes sont intelligentes en fonction de leur travail, de leur niveau d’éducation, de leur apparence, de leur réussite… Ce n’est pas le cas.

Loi 2: La probabilité qu’une personne soit stupide est indépendante des autres caractéristiques de cette personne.

La stupidité est une variable constante dans toutes les populations. Toutes les catégories qu’on peut imaginer –de genre, ethnique, religieuse, de nationalité, de niveau d’éducation, de revenus– possède un pourcentage fixe de personnes stupides. Il y a des professeurs d’université stupides. Il y a des gens stupides au Forum de Davos, à l’ONU et dans toutes les nations de la terre. Combien y en a-t-il? Personne ne sait. Voir la Loi 1.

Loi 3: Une personne stupide est une personne qui crée des problèmes à une autre personne ou à un groupe de personnes sans en tirer soi-même le moindre bénéfice.
Mais les stupides sont eux constants. C’est pour cela qu’ils sont si dangereux.

Les personnes stupides sont dangereuses et créent des dommages avant tout parce que les gens raisonnables ont du mal à imaginer et à comprendre des comportements aberrants. Une personne intelligente peut comprendre la logique d’un voyou. Une rationalité détestable, mais une rationalité… Vous pouvez l’imaginer et vous défendre… Avec une personne stupide, c’est absolument impossible. Une personne stupide va vous harceler sans aucune raison, pour aucun avantage, sans aucun plan et aucune stratégie… Vous n’avez aucune façon rationnelle de savoir quand, où, comment et pourquoi une créature stupide va attaquer. Quand vous êtes confronté à un individu stupide vous êtes complètement à sa merci

Loi 4: Les personnes non stupides sous-estiment toujours les dégâts que peuvent faire les individus stupides. Elles oublient en permanence que conclure un marché ou s’associer avec des personnes stupides est une erreur très coûteuse.

Nous sous-estimons le stupide à nos risques et périls.

Loi 5: Une personne stupide est la plus dangereuse des personnes.

Elle est plus dangereuse qu’un voyou car nous ne pouvons rien faire ou presque contre la stupidité. La différence entre les sociétés qui s’effondrent sous le poids de leurs citoyens stupides et celles qui surmontent cette difficulté tient à une chose: leur capacité à produire des citoyens se comportant de façon intelligente dans l’intérêt de tous.

Si dans la population non stupide, la proportion de voyous et de personnes agissant à l’encontre de leurs propres intérêts est trop importante: «le pays devient alors un enfer» conclut Marco Cipolla.

Le début de la phase finale de la stupidité postmoderne date des années soixante (on y reviendra) : on a d’un coup la révolution sexuelle (qui accouche de l’avortement puis de la tyrannie LGBTQ), l’antiracisme, le féminisme, l’écologie, le bellicisme humanitaire façon BHL qui rejoint l’apocalypse sauce néo-cons, on a la fin des valeurs, Vatican II, mai 68, les villes nouvelles, l’immigration de remplacement, le binôme télé-bagnole (voir la mère maquerelle d’Audiard), on a le grand effondrement à la romaine (revoir Fellini, Kubrick, Tati, Godard, etc.), et la désindustrialisation aussi, tout cela aboutissant à l’actuelle catastrophe. Enfin on a la tyrannie informatique (Hal 9000 dans 2001).

La stupidité est mortelle.

Nicolas Bonnal

   

Sources

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16 septembre 2024 1 16 /09 /septembre /2024 17:51

Pourvu qu'on ne le retrouve pas comme Ministre de l'Economie, ç'est un Macron puissance 10. Il achevera la France et les Français !

 

 

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16 septembre 2024 1 16 /09 /septembre /2024 17:49

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16 septembre 2024 1 16 /09 /septembre /2024 17:42
Ce que j'avais prévu arrive, les pays dont l'économie est fragile et dont le surendettement est trop important vendent les dettes des pays dits alliés. Ce n'est donc que le début d'une grande déliquescence économique des pays Occidentaux, ces derniers se tiennent par la dette, chacun détenant la dette de l'autre sauf au moment ou il faut sauver sa peau !

 

Henry

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Le Japon se débarrasse de 9.2 milliards de $ de dette française
 

 

Nous allons parler de nos amis japonais qui viennent de larguer pour plus de 9.2 milliards de dollars de dettes françaises ce qui en fait l’une des plus grosse ventes.

Je vous en avais parlé dans un édito précédent de manière rapide.

Compte tenu de l’importance du sujet et des risque qui pèsent sur la dette française, il était utile de se pencher un peu plus sur cette histoire et de creuser un peu.

Alors que se passe-t-il du côté du Japon ?

 

Perte de confiance ? Spéculation ? Attaque sur la dette souveraine de la France ?

Essayons de comprendre ce qui se passe, les causes, les risques, et surtout, ce qui semble le plus probable, le Japon et la France faisant partie du G7 et de la même alliance politico-économico-militaire une attaque frontale contre la dette de notre pays semble une hypothèse peu crédible.

Voici les derniers éléments que je peux soumettre à votre sagacité !

Ici pas de vérité intangible, mais une analyse basée sur des probabilité analytiques.

Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.

Préparez-vous !

Charles SANNAT

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16 septembre 2024 1 16 /09 /septembre /2024 16:56

Votre vie ne vaut pas très cher, elle vaut quelques dizaine de dollars tout au plus, mais multipliée par des milliards !

 

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Bill Gates : «Pour chaque maladie pour laquelle nous n’avons pas de vaccin, nous essaierons l’ARNm. Il suffit de faire quelques essais. Nous serons en mesure de construire des usines dans le monde entier capables de produire des vaccins à 2 dollars»
pic.twitter.com/CrzA4JiXLj

— Philippe Herlin (@philippeherlin) September 11, 2024

 

 

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