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La question n'est pas que vous y croyiez ou pas ; la réponse est qu'ils y croient et que ça fonctionne, puisque dans ce cas comment se fait il qu'ils soient à leur place et vous à la votre !
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Ici ce sont des témoignages qui vont dans le sens d'un culte à Baal Zeboul (dieu des mouches ou du fumier à cause de l'odeur répandue autour des sacrifices) ce peut être aussi Beel Zeboub ce qui donne Belzebuth.
Plus bas vous avez une description des démons les plus importants, dont :
Lucifer (porteur de Lumière, ç'est à dire qu'il apporte la connaissance) qui représente l'Orgueuil,
Azazel 'colére",
Belphégor "Paresse", parceque celui ci ne s'est pas impliqué lors de la révolte de Lucifer, son inaction et son désintérêt furent la cause de sa chûte, car comme il est dit "Dieu n'aime pas les tiedes" ç'est aussi sa paresse intellectuelle qui lui firent perdre son statut pour le déchoir,
Belzebuth, aussi considéré comme le dieu de la Peste,
Asmodée, ç'est la Luxure,
Mammon, lié à l'Avarice et la Cupidité, on le voit représenté en veau d'or lors de la traversée du Desert par les hébreux alors que Moïse était parti chercher les tables de la Loi,
Léviathan, suscite la Peur, elle est l'arnarchie ou les Chaos,
Voilà les sept princes des ténébres, Astaroth lui est le banquier des enfers et semble être une composition du nom (Asta)Rothschild soit en entier les enfants d'Astaroth (il est invoqué en magie noire)
Henry
Dans le Nouveau Testament, Béelzébul (traduit en français par Belzébuth ou Belzébul sous l'influence du latin) est mis dans la bouche des pharisiens pour désigner le « prince des démons » (Marc, iii, 22 ; Matth., x, 25 ; etc.). La tradition manuscrite atteste trois variantes du mot : Beelzeboul (dans la majorité des cas), Beezeboul (dans certains manuscrits grecs qui reflète probablement la leçon originale du Nouveau Testament et la prononciation populaire en Palestine) et Beelzeboub (dans la Vulgate et les versions syriaques, qui ont sans doute aligné la lecture sur l'hébreu de II Rois, i, 2).
L'étymologie et la signification du terme sont discutées et malaisées à établir. Dans le IIe Livre des Rois (i, 2), il est fait mention de « Baal Zebub, dieu d'Eqrôn ». Littéralement, la formule signifie « maître (Baal) des mouches », acception que le grec des Septante a adoptée en traduisant par Baal-myia, « Baal-mouche ». Les textes rabbiniques parlent d'un « Seigneur du fumier », évoquant par là le sacrifice offert aux idoles (le verbe zabal est employé dans le sens d'« enfumer »). Il semble cependant que les Évangiles aient conservé le nom primitif Baal-Zebul, « Baal le prince », d'une divinité phénicienne et cananéenne connue. Les tablettes d'Ugarit le confirment : selon le cycle de Baal, on rendait un culte au « Zubulu (prince), Seigneur de la terre ». Au terme de bien des siècles d'évolution et d'influences, ce titre désignera, dans la démonologie juive dont s'inspire le Nouveau Testament, le « prince des démons ». (L'apocalyptique juive, dont, entre autres éléments, relève la démonologie, correspond d'une certaine façon à un mouvement de « remythisation » de l'enseignement biblique traditionnel en Israël.)
Ils se rendirent à la maison, et la foule se rassembla de nouveau, de sorte qu'ils ne pouvaient même pas prendre leur repas. Lorsqu'ils l'apprirent, les membres de la famille de Jésus vinrent po...
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